Wrath atterrit près de son supérieur « J'ai réussi a défaire un Baron sur les trois, mais les deux autres sont sur le point de quitter le champ de bataille. Bien avant que je ne le tue, ils se sont gravement disputé et le trépassé a blessé l'un de ses collègues. La pluie de feu a été lancée sur ses propres initiatives, contre l'avis de ses congénères. D'où le fait qu'elle ait cessé... », « Bon sang ! Sonneront-ils la retraite ? », « Je ne sais pas ! Mon alliée s'occupe d'eux pour ne pas qu'ils partent justement mais elle commence à perdre haleine, nous devons nous dépêcher ! », « Bien, je vais régler cette affaire. Je ne veux plus jamais que des gens puissent penser avoir le contrôle sur l'un de nous. », « Attendez vous... Erza peut vous aider ! », « Erza a décimé la moitié de l'armée à elle seule, mais je ne veux pas qu'elle risque sa vie et son règne pour deux con.nards », « Il y a d'autres solutions, je ne peux pas vous laissez vous sacrifier, le peuple a besoin de vous ! », « Non Wrath, le peuple a besoin d'un meneur d'homme, qu'importe son visage. Le peuple a besoin de quelqu'un comme toi. Tu es le plus à même d'hériter de mes fonctions. », « Q... Quoi ?! » L'ancien déchu écarquilla les yeux, ne comprenant pas bien ce qu'il était en train de se passer.

Seulement, pendant son incompréhension, la Révolte s'envola vers les Barons restant. Il vit en effet la sirène et sa rapière, lutter comme elle pouvait. Atterrissant à ses côtés, il dit « A nous. Merci de ta loyauté, tu peux te retirer. », « ...? » Jyl ne comprit pas et essayant de regarder en direction de l'armée à peu près calmée, pour distinguer Wrath, mais en vain « Je viens de te dire de t'en aller. » La blonde ne demanda pas son reste et se fondit dans la foule pour se téléporter près de son vieil ami « Que fait-il ? », « Son devoir... » Wrath était assit dans le contrefort éphémère, attendant la chute. Attendant la fin de tout « Viens te battre, que fais-tu là à pleurer comme un enfant ?! », « Je... Te rends-tu compte ? La Révolte s'est... », « Nous pouvons encore le sauver, il n'est pas mort ! Viens, allons défaire ces Barons tous les trois ! », « Je... » La femme lui attrapa le bras, tentant de le lever mais en vain « C'est bientôt... Je ne peux pas le voir mourir... », « MAIS IL N'EST PAS MORT, WRATH ! » A ces mots qu'elle hurla, une détonation retentit et l'ancien Déchu jeta sa bague. De l'autre côté, complètement à l'opposé, une explosion se vit. Des membres partirent dans tous les sens et une pluie de sang s'abattit sur les archers, les mages et le bois de certaines catapultes « Non... ! » Tout le monde s'arrêta.

Les bruits de fer cessèrent, les cris se turent et la lande devint calme. Les Mages firent apparaitre la pluie pour calmer le feu qui se déclenchait et laver les peaux souillées. Au bout de quelques secondes de silence, tous se regardèrent. La rage était retombée, l'eau emportant tout. Les quatre chefs de guerre furent défait. Des soldats ressentaient un fort sentiment d'injustice et des murmures se firent entendre « Pourquoi lui ? Se sacrifier pour ces chiens... ? » Les mercenaires, eux, n'avaient plus de raison de continuer. Ainsi, inanimés par un quelconque désir si ce n'était celui de l'or, ils tournèrent le dos aux Réprouvés, rangeant leurs armes. Les commandants furent incapables de dicter des ordres et tous rentrèrent.
Wrath se leva, le visage décomposé. S'élevant un peu dans les airs il dit alors « Soldats, la guerre est terminée... Rentrons chérir nos familles, nous l'avons mérité. Un communiqué sera diffusé dans les prochains jours pour rendre hommage au grand héros que nous venons de perdre... » Il n'y avait pas d'autres mots en réalité. Chacun fit demi-tour alors que l'ancien Déchu vint à côté de l'endroit où eu lieu l'explosion. La terre était calcinée et le choc avait propulser les corps déchiquetés aux quatre coins des lieux. Le cœur lourd, la mine défaite, le guerrier se mit à genoux, priant alors pour la paix de l'âme du défunt, le remerciant de tout ce qu'il a pu accomplir avec humilité au sein du peuple. Jyl arriva à ses côtés, posant une main sur l'épaule de l'homme.

Serait alors célébré la perte d'un grand homme pour en voir un autre reprendre le flambeau de la hargne et la dignité. Parce que les Réprouvés étaient fait comme ça. De cette matière que l'on avait beau rosser mais qui, jamais, de cédait.

Mots : 802