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 On ne s'en prends pas aussi impunément à ma citée [Pv Taïkï] Event Août / Mission IV

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Mer 19 Aoû 2015, 00:19


Voilà que nous étions de retour chez nous, après avoir sauvés un jeune garçon, le ramenant à sa mère, et aidés des gens à se mettre à l’abri sur le continent Dévasté. Tout cela avait été bien laborieux pour deux adolescents comme nous, loin d’être les plus fort nous avions quand même réussit à sauver quelques vies lors de ce périple. Une fois notre travail finit, j’avais demandé à mon amie si elle ne voulait pas retourner à Dhitys avec moi, lui expliquant que là bas nous serions à l’abri des dangers de l’extérieur. Celle-ci accepta, mais une expression de surprise m’avais immédiatement saisi lorsqu’elle m’avoua n’avoir jamais posé les pieds dans la citée. Me remettant de la nouvelle, je lui avais alors détaillé cette dernière comme étant une ville magnifique ou il faisait bon vivre pour tous les types de totems des Béluas, je n’avais pas tari d’éloge sur Dhitys, peut-être trop même.

Finalement, après une longue route nous arrivâmes près de la citée des Béluas. J’offris un large sourire à Taïki, heureux d’être là avec elle et curieux de voir sa réaction lorsqu’elle découvrira pour la première fois la magnifique Dhitys. Nous continuâmes donc notre route et nous nous trouvâmes désormais à l’entrée de la citée. Mon sourire s’élargit de plus en plus, les yeux rivés sur ma camarade. Mais aussitôt, à la remarque de cette dernière, mon regard se tourna vers la citée, là mon visage se décomposa totalement.
Devant moi il n’y avait que des décombres, des habitations totalement détruire, des arbres broyés ou réduits en cendres. L’endroit était totalement désolé et il n’y avait plus aucunes âmes qui vivent désormais, la fière citée de Dhitys venait d’être totalement détruite et désertée par ses habitants. Devant cet horrible spectacle, j’étais comme tétanisé, je n’en revenais toujours pas. C’était la ville ou j’avais grandis et ou j’y avais tous mes souvenir, et il y a peu je venais tout juste de la retrouver après mettre échappée de celle-ci. J’avais pus retrouver ma famille et rétablir un certain équilibre, mais ce dernier ce voyait soudainement brisé. Comment cela avait-il put se produire ? Qui aurait voulu raser la ville, et pourquoi ? Toutes ses questions se posaient dans ma tête, sans la moindre réponse pour celles-ci. Mais soudain, mes pensées s’en allèrent vers ma mère et mon pauvre Nuage resté avec elle. Est-ce qu’il était vivant tous les deux ? J’espère fortement que oui, de tout mon cœur. Hélas, même en pensant que tout allait bien pour eux, des larmes commencèrent à couler le long de mes joues. La tristesse m’envahit alors, tandis qu’une grande colère vint se mêler peu à peu à cette dernière. Les poings et les dents serrés, je me mis à en vouloir à tous ceux qui avaient osés ravagé la belle Dhitys. Je n’étais qu’un véritable torrent de haine à cet instant, le petit garçon timide que j’étais venait de disparaître à ce moment. C’était véritablement la première fois que je me retrouvais dans un tel état, et si l’un des coupables se présentait à ce moment, je me serais, sans aucune hésitation, jeté dessus et aurais déversé toute ma colère sur lui en poignardant son corps de milliers de coups de couteau jusqu’à être totalement fatigué.
Continuant de bouillir intérieurement, ce fut heureusement la main de mon amie qui m’aida à me calmer. Celle-ci trouva les mots justes, tout en me disant qu’il valait mieux partir d’ici, peut-être allons nous trouver des survivants dans les alentours de la citée. J’essuyais alors mes larmes et desserrai mes mains toutes engourdies, hochant ensuite la tête j’acceptai l’idée de Taïki et ensemble nous quittâmes le malheureux spectacle que nous offrait Dhitys actuellement.

Un horrible silence s’était fait entre nous une fois la ville quittée, à vrai dire je n’avais pas le cœur à parler et de plus, de nombreuses pensées tourbillonnaient dans ma tête, parfois une petite larme perlait au coin de mes yeux.
Continuant notre route au sein de la forêt, nous tombâmes soudainement face à face avec un groupe importants de survivants. Voyant en nous des Béluas, ils nous acceptèrent immédiatement parmi eux. Un léger soulagement se fit en moins et je me mis alors à jeter des regards dans tous les sens, à la recherche d’un visage connu, celui de mère surtout et de mon Liroa. Hélas, je ne trouvai rien à mon grand désarroi. Par la suite, les membres du groupe de survivants nous expliquèrent la situation. Les Alfars les avaient attaqués à l’aide de statues géantes qu’ils arrivaient à contrôler, détruisant ainsi la totalité de la citée. Apparemment ceux-ci désiraient s’emparer du territoire et tuer tous ses habitants, mais nombre de Béluas et d’autres âmes charitables tentaient de les stopper dans leur folie. Aussitôt, à ces mots, ma colère ressurgit, mes poings se serrant de nouveau. J’avais envie d’être parmi ceux à se dresser contre les Elfes Noirs, je voulais les faire payer pour ce qu’ils avaient fait. Et c’est sur ses pensées de haine qu’une statue surgit soudainement des bois, secondée par un Alfars se tenant non loin d’elle. Immédiatement tout le monde se dispersa, créant une véritable cohue, car la surprise était des plus totale. Les dents retroussées et le regard fixé sur le monstre de pierre, j’essayai de me contrôler pour ne pas foncer vers une mort certaines. C’est la voix de Taïki qui me le permit. Et me tournant aussitôt vers elle, je lui pris la main et lui criais alors :

Allons nous cacher dans les bois. J’ai un plan pour massacrer ces enflures.

Je n’avais pas mâché mes mots, mais cela m’était bien égal dans ce genre de situation. Enfin, nous fonçâmes sans tarder vers les bois afin de nous cacher le temps de préparer notre riposte sanglante.  

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Mar 25 Aoû 2015, 22:09

Le jeune garçon que nous avions retrouvé, était enfin sain et sauf près de sa mère. Je pense que cet instant de sa vie sera à jamais gravé dans sa mémoire. On oublie très rarement ces choses là, même si on pense justement que l'on ne s'en souvient pas, les cicatrises, elles, restent toujours et ne s'effaceront pas. Il suffit de passer à un endroit bien précis pour que la cicatrise s'ouvre à nouveau et se remette à saigner de plus belle. Quoi qu'il en soit, mon nouvel ami Wulfran nous invita, mes deux compagnons et moi même, à aller à Dhitys le chef lieu des Béluas. Je ne pus qu'être heureuse, enfin j'allais voir d'autres confrères et consœurs et surtout mettre enfin les pieds dans la cité des Béluas ! « Oh oui ! J'aimerai trop y aller ! Je n'ai jamais mit les pieds à Dhitys. » Certes, je disais que je n'avais jamais mit les pieds à Dhitys, mais peut être que dans mon passé j'y passé le plus clair de mon temps. Je dois vous avouer que je n'en sais rien, je ne me souviens même plus de mon passé. Je ne sais même pas que je suis devenue amnésique à cause de ma mère qui m'a modifié, voire même effacé tous mes souvenirs d'enfances.

Pendant tout le trajet, malgré des violents tremblements de terre, les vents omniprésents, mon nouvel ami me faisait une description de la Cité de Dhitys. Il m'annonça que c'était une ville assez paisible dans l'ensemble et tout simplement magnifique où tous les totems béluas cohabitaient dans un même lieu. J'étais en train de m'imaginer un peu le spectacle que cela sera pour les yeux de voir une Cité aussi magnifique qu'il le dit. Je m'y voyais déjà, au beau milieu du centre, regardant les totems passer devant moi dans une paix intérieur. Je m'imaginais réellement une ville aussi paisible, calme, où il fait bon vivre, où aucune querelle ne venait entraver l'esprit des habitants. Mais pourtant, lorsque nous arrivâmes enfin à la dite Cité de Dhitys, je ne retrouvais rien de similaires à la description qu'il m'avait faite de la ville des Béluas. Tout n'était que ruines et désolations, un chaos total régnait sur l'ensemble de la ville des totems animaux. Les maisons étaient toutes détruites, les arbres centenaires voire même millénaires n'étaient plus qu'un tas de cendre encore fumant, pour ne pas dire encore en train d'agoniser dans le brasier. Des cendres volèrent dans les cieux suite aux bourrasques de vents qui continuèrent de s'affoler. Mon grand lion noir fit le tour de la ville en silence, scrutant les moindres recoins, essayant de chercher la moindre petite trace de vie. Myosotis, bizarrement, restait très calme n'osant même pas regarder ce qu'il y avait autour, elle se contentait de loucher sur le sol.

Je restais près de Wulfran qui semblait être sous le choc. Peu à eu, je vis ses poings se serrer. Je ne pus que poser une main délicate sur son épaule pour tenter de le réconforter. C'est la seule chose que je pus trouver pour tenter de le rassurer, lui dire que j'étais là, avec lui. « Wulf', je … » Mais je n'arrivais même pas à finir ma phrase. Je voulais lui dire que j'étais désolée, mais le problème c'est que je ne pouvais pas. Même si je n'ai, apparemment, jamais mit les pieds dans Dhitys, je ne restais, cependant, pas insensible à cette scène de désolation. « Il vaut mieux que l'on parte d'ici … il n'y a malheureusement plus personne … Mais peut être que l'on pourra trouver quelqu'un dans les bois au alentours … » Je laissais d'abord Wulfran se retourner en premier avant de le faire à mon tour et de partir de Dhitys. Mon cœur était complètement noué … Un silence de mort régnait dans notre groupe malgré les hurlements des feuilles suite aux nombreux coup de fouet que leur donnait le vent et les grondements intéressant des entrailles de la terre.

Après avoir quitté Dhitys pour explorer les alentours, nous tombâmes sur un groupe assez conséquent de Béluas ayant fuit la capitale. Wulfran semblait soulagé même s'il balayait la foule du regard, cherchant peut être un visage familier, enfin je pense. Mais moi, j'avais plutôt tendance à baisser mon regard, bien trop intimidée par tout ce monde autour de nous. Assez rapidement, nos confrères finirent par nous expliquer ce qui leur est arrivé ainsi qu'à notre cité. Je ne savais pas trop où me mettre, certes j'étais une bélua, mais je n'avais jamais mit les pieds dans la cité. Cela me faisait quelque chose de savoir que mes confrères se sont fait attaqué par les Alfars désireux de posséder nos terres. Mais je ne savais pas vraiment comment réagir, je n'avais pas vraiment de lien avec les autres béluas, du moins je ne me souviens pas d'en avoir eu … Pourtant mon cœur me disait le contraire. Quoi qu'il en soit, il fallait que l'on fasse quelque chose, surtout un Elfe Noir et une statue s'approcha de nous. Tous les Béluas partirent dans les bois se réfugier, je restais avec Wulfran cachée parmi des fougères et des pierres. Voyant le regard haineux de mon ami, je compris que c'était bien eux nos ennemis et qu'il fallait que j'arrête Wulfran avant qu'il ne se fasse tuer en se jetant sur l’ennemie sans réfléchir. « Wulfran ! » murmurais-je. « N'y vas pas ! C'est trop dangereux ! » Il se retourna d'un coup vers moi, ce qui me fit sursauter. Il prit ma main et me cria qu'il fallait qu'on se cache dans les bois pour protéger les nôtres et venger nos morts.

Après passé un petit moment à courir se trouver une cachette, Kakeru nous montra un abris en dessous de buissons. Je m'accroupis, faisant attention de ne pas m'accrocher les ailes, surtout la gauche, celle qui n'était pas totalement guérie. « Wul, tu compte procéder comment ? » Je le regardais avec insistance en hochant la tête. Moi même, je ne savais pas comment procéder.






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Sam 29 Aoû 2015, 16:16


Du petit campement de Béluas, il ne restait plus rien, la statue de l’Alfar ayant réalisé un véritable carnage au sein de ce dernier. Du feu ne restait plus que des braises, et les tentes et autres matériels s’étaient vus écrasés sous les pieds et la masse écrasante de la statue. Quelque uns de mes semblable réussir à s’en sortir, échappant au monstre de pierre, mais la plupart n’eurent pas autant de chance, leur corps gisant encore sur l’herbe et leur sang venant nourrir cette dernière.
Pour ma part, j’en réchappai, poussé par un soudain instinct de survie j’avais fuis avec mon amie loin du campement afin d’échapper à nos attaquant. Ensemble nous courûmes à en perdre haleine à travers la forêt entourant Dhitys, jusqu’à trouver une cachette convenable. Sans perdre un instant, nous nous enfonçâmes dans cette dernière. Enfin à l’abri, je pris quelques minutes pour reprendre mon souffle, me calmer et réfléchir à mon plan. Une fois que les battements de mon cœur reprirent un rythme à peu près de normal, je me mis dans une position légèrement plus confortable, à genoux les jambes repliées sous mes cuisses. Joignant alors mes mains entre elles, je fermai les yeux afin de me concentrer. La voix de Taïki parvint à mes oreilles, cette dernière venant malheureusement déranger ma concentration. J’ouvris un œil et la regarda durant un instant qui sembla durer plusieurs minutes. Étrangement, j’hésitai à lui répondre ou non, au risque d’être désagréable. Prenant une grande respiration, je lui répondis simplement sur un ton assez posé, quoiqu’une légère retenue se faisait sentir dans ma voix.


Chut…

Un simple mot, et mes yeux se fermèrent à nouveau suite à ce dernier.
J’arrivais désormais à distinguer les formes de vie présente aux alentours dans un petit périmètre pour commencer. Je sentais bien évidemment mon amie à mes côtés, la masse imposante de son lion pas très loin non plus. Sur un arbre, mes deux corbeaux scrutaient la forêt tels des veilleurs qui nous avertiraient d’un danger. J’essayai alors de tendre mon pouvoir en direction de l’ancien campement, les formes de vie que j’arrivais alors à détecter ce transformèrent peu à peu en un genre de masse informe. Mais fort heureusement celles-ci étaient peu nombreuses. Vint alors au tour de mes deux compagnons d’intervenir. Ces dernières volèrent dans la direction que je voulais tandis que je m’appropriai leurs yeux.
Après une recherche minutieux, je parvins à détecter l’Alfar contrôlant la statue. Je rouvrir soudainement les yeux, retrouvant ma vue tout en ordonnant à mes corbeaux de garder un œil sur la proie, une partie du travail venait d’être fait ne restait plus qu’à éliminer la menace. Mon regard se logea ensuite dans les yeux de mon amie, une petite flamme peu habituelle brillait d’ailleurs dans les miens, un mélange entre la colère et une excitation malsaine. Elle devait se demander ce que je venais de faire durant les longues minutes à rester assis sans bouger, mais pour toute explication je lui dis simplement.


Je l’ai trouvé, il ne reste plus qu’as nous en débarrasser une bonne fois pour toute.


A ces mots, ma main se posa sur le manche de mon poignard tandis que je sortis de notre cachette.

Désormais à l’air libre, je commençai alors à me déplacer en silence, utilisant les ombres environnantes afin de me camoufler parmi la végétation. J’avançais vers ma cible tel un chasseur traquant sa proie, j’avais totalement laissé mon amie derrière moi, seule la vengeance m’animait à cet instant et ma résolution était sans faille. Sentant que j’étais non loin de l’Alfar je me mis donc à grimper dans les arbres afin d’être cacher au mieux, et à partir de ce moment, je ne me déplaçait plus que de branche en branche, jusqu’à être arrivé au dessus de mon ennemi. Il était là, je le voyais, un rictus mauvais sur ses lèvres prenant un réel plaisir à détruire toute la nature et ses habitants. Ma main se serra sur le manche de mon poignard, l’envie de le tuer courra dans mes veines tel un poison insidieux. Habituellement, j’avais toujours eu peur de me confronter aux autres, et même au cours de mon voyage je n’avais jamais osé attaqué des ennemis qui nous menaçait, trop peureux ou trop faible pour le faire, et petit à petit j’avais pris un peu de confiance en moi. Mais là, les actes de cet hommes envers ma citée et ses alentours avaient littéralement brisé toutes les barrières que m’imposait ma conscience.
J’inspirai profondément et d’un coup, je sautai de ma branche pour atterrir dans le dos de l’Alfar. Sans hésitation, mon arme vint lui trancher le tendon d’Achille, ce qui jeta ce dernier à terre. Profitant de l’effet de surprise et mué par une rage intense, je me mis à califourchon sur l’homme et commençai à le mitrailler littéralement de millier de coups de poignard dans l’abdomen. Des hurlements se firent entendre à des kilomètres à la ronde, souffrant, agonisant, jusqu’à ce taire, emporté par la mort. La statue qu’il contrôla s’écroula sur le sol, inanimée et désormais inoffensive. Mais malgré cela, je continuai encore et encore à marteler le corps inerte de l’Alfar jusqu’à ce que la fatigue ne m’arrête.

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On ne s'en prends pas aussi impunément à ma citée [Pv Taïkï] Event Août / Mission IV

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