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 Event Août 2015 | Groupe I | Encore contre les Masqués ohéohé

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Mar 11 Aoû 2015, 20:54



GROUPE I
Lysis - Yuki - Olwë - Aina - Jezabel - Jane [Ethan] - Veronika [Samael]

La situation actuelle : Entre désastres et carnages, les continents frémissent et se raccrochent à d’infimes brides d’espoir pour tenir. Seuls le Continent Mystérieux et l’étrange Tælora sont épargnés par les secousses et les vagues, obligeant les habitants à fuir leur demeure pour les plaines sauvages du Temple des Esprits. Vivre près des côtes n’est plus envisageable tant les vagues, immenses et violentes, frappent inlassablement les rivages. Les Masques d’Or – créatures abominables dont le visage difforme est fait dans un alliage de métal et d’or - infestent chaque contrée, meurtriers, sanguinaires ; ils continuent leur marche impitoyable et sèment la mort. Les guerres et conflits touchent leur apogée, rendant la vie insupportable aux peuples. Les propriétaires ancestraux et légitimes des statues monstrueuses que sont les Alfars marchent sur d’autres régions dans la volonté assassine d’agrandir leur empire. De nouvelles expéditions partent pour les nouvelles terres, mieux équipées et préparées. Tælora abriterait déjà une Cité, celle érigée par les Ondins dans le plus grand secret. Peu à peu, les rumeurs se rependent et les histoires se partagent. On murmure que la Dévoreuse - responsable du chaos et du désordre – et l’Architecte – créateur des Masques d’Or – sont une seule et même personne : Vanille caël Deslyce, que l’on peine à trouver pour des explications. Les ragots veulent aussi qu’elle ait volé un artefact rare et précieux, nécessitant une intervention extérieure. Il faut des réponses, pénibles à obtenir depuis que la Cité Engloutie a fermé ses portes aux étrangers.

« Chargez ceci sur la caravane ! Les enfants ?! Venez par ici ! Ecoutez tous ! Le convoi va bientôt partir ! S'il vous plait, regroupez vous et veuillez suivre la caravane ! », « Mais, où allons nous ? », « Sur le continent mystérieux, maman. Viens. », « Ne vous inquiétez pas, ça va bien se passer. Sachez que le continent mystérieux est le seul à ne pas subir les affres des tremblements ! » Mélissandre courait partout. Elle naviguait entre chaque village de l'antre des damnés pour organiser les départs en masse. Il ne restait plus beaucoup de monde à évacuer, mais tout le monde était fatigué de courir alors que le responsable de ces crimes avait été révélée. Qu'on l'attrape et qu'on lui torde le cou et ça s'arrête là. Si le monde ne s'écroulait pas, il faudrait à nouveau tout reconstruire, comme à chaque fois, pour le seul bonheur d'une personne. Pourquoi ce genre de mauvaise herbe ne disparaissait pas. Pourquoi il fallait toujours qu'il y ait des Orion, des Jun et des Vanille ?
Ceux qui en faisaient les frais, c'était toujours les mêmes.
Mais se lamenter ne règlerait rien.

Au loin un bruit sourd retentit. Par dessus la lande désertique, le volcan ardent grondait, comme manifestant son envie d'exploser et de se répandre, pour brûler toutes les terres alentours. Si jamais il arrivait une chose pareille, ils seraient définitivement morts et perdus, surtout là où ils se trouvaient actuellement. Un enfant la bouscula et elle le guida vers la caravane « Mais que font les renforts bon sang... ? » La caravane commença alors à partir, enfin, vers les rives pour se diriger vers le bateau le plus proche. Mélissandre traversa alors le village, avant de rencontrer un messager « Ma Dame ! Fuyez ! Ils arrivent, les Invincibles ! » « Co... » Les voilà, arrivant au loin, filant comme les ombres, et venant dans leur direction. Ils se dispersèrent à travers chaque village pour tuer toute la population. Des engeances créées spécialement pour détruire... « Il... Il faut partir ! » Elle se dirigea vers la caravane, remontant la file à toute allure « Dépêchez vous ! Avancez ! Fuyez ! Ils arrivent ! » Affolés, les gens prirent leur progéniture et partirent dans tous les sens, laissant les vivres et les biens sur place, préférant sauver leur peau « On a besoin d'aide ! » Elle ne pouvait pas partir à Mégido maintenant chercher des renforts et en plus, elle ne savait pas si l'Orishala allait les lui léguer.
Commençant à se battre, désespérée, elle n'arriva pas à se défaire de l'emprise d'un des Masque d'Or. Pour les vaincre, il fallait y être à plusieurs et, pour le moment, il n'y avait que peu de combattants


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Jeu 13 Aoû 2015, 20:49

Samael avait demandé à Véronika de rentrer au palais Jucktion. Les tremblements et les attaques des masques d’or qui semblait venir de partout risquaient de se propager dans le palais et si cela était le cas, cela risquait d’être la panique et il avait trop souffert pour remettre cette demeure en état pour que celle-ci soit détruite si tôt reconstruite. Du coup, la jeune vampire se dirigeait vers le palais pour tomber née à né avec une troupe de gens qui semblait prendre la fuite. Elle pouvait tout à fait comprendre la raison. Apres tout, si les ordres ne venaient pas de son père, elle aurait ne serait sans doute pas revenir sur le continent dévaster. Rien que d’entendre le volcan ardent gronder, lui donnait des sueurs froides. Mais les ordres de Samael étaient généralement au-dessus de tout. Elle savait que quand son père donnait des ordres, elle devait les respecter à la lettre autant que possible… Enfin, il y avait par moment des raisons qui lui permettait de désobéir aux ordres que lui donnait son père démon. Mais cela devait généralement être une question de vie ou de mort. Encore plus si c’était pour abandonner le territoire qu’il avait conquis avec tant de difficulté.

Alors que Veronika s’apprêtait à aller à la rencontre de ce petit groupe de gens qui se dirigeait vers les navires pour partir, un homme courait pour appeler une femme qui se trouvait dans ce petit peloton et pour les prévenir de ce qui allait sans doute être une attaque imminente… la femme remontait toute les personnes pour ensuite leur crier qu’il fallait fuir. Au bout de quelques secondes, la jeune vampire pouvait voir la troupe d’ennemi arriver vers eux et elle du coup, vu qu’elle se trouvait à quelques pas de la caravane seulement. La fuite était sans nul doute la meilleur solution, mais fuir ou ? Les masque d’or s’emblait se diriger partout et elle n’avait aucun moyen de passé pour atteindre Jucktion… Du coup, elle ne voyait que deux possibilité, soit elle prenait la fuite comme les autres pour sauver sa peau, soit elle allait aider cette femme qui était déjà en prise avec des masques d’or. Si elle partait par la mer, elle pourrait sans doute faire le tour et atteindre le palais de son père sans problème. Mais cela rallongeais sa course et surtout, les masques d’or qui semblaient vouloir envahir les terres du Yin et du Yang risquait d’arriver bien avant. Du coup, elle avait l’impression qu’elle n’avait pas le choix et même si elle savait que cela n’allait pas forcement plaire à Samael, elle décidait d’aider ses gens. Avec un peu de chance, elle allait pouvoir trouver un moyen pour passer à travers les masques d’or avec l’aide de ses pauvres gens… Même si c’était loin d’être certains.

Du coup, Véronika décidait de se battre et d’aide cette jeune femme en prise avec un masque d’or. Elle essayait de gagner un maximum de force en utilisant le réflexe des lieux. Un petit rocher pas trop loin se trouvait sur le chemin et courant sur le rocher, elle l’utilisait pour se propulsé à pleine vitesse contre l’ennemi qui était en prise avec cette jeune femme. Elle frappait l’homme au masque d’or en plein visage, mais cela ne semblait l’avoir que reposer légèrement… Véronika elle qui espérait vécu tout la force qu’elle avait mise l’avoir au moins déboussolé un peu. Mais à peine qu’avait-elle fini son attaque qu’un coup de poing d’une puissance phénoménal frappait le visage de la vampire. Un peu plus et sa mâchoire aurait été arraché. Mais cela n’empêchait qu’elle s’envoler pour frapper ensuite plusieurs fois le sol assez brutalement. Avant d’être stopper par le rocher qu’elle avait utilisé quelques secondes plutôt. Véronika se relevait péniblement. La bouche en sang et avec toute les difficultés du mon pour bouger sa mâchoire. Elle n’était pas cassée, mais la violence du choc faisait qu’elle avait tout un coté de son visage qui gonflait rapidement. Véronika savait qu’il était fort, ce n’était pas la première fois qu’elle avait eu affaire à ses types. Lors de son voyage dans la cité engloutie, elle avait eu affaire à un de ses types et avait d’ailleurs eu l’occasion d’en apprendre un peu sur eux. Non seulement sur leur puissance, mais aussi sur le faite qu’il semblait être lié d’une façon ou d’une autre avec les sirènes… Mais là le temps n’était pas au débat, mais à la survie et celle-ci ne tenait qu’à un fil.


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Ven 14 Aoû 2015, 21:48


Pêche avait peut-être eu toutes les meilleures intentions du monde en offrant ses services de téléportation, mais j’aurais peut-être dû décliner son offre. Ou bien alors j’aurais dû lui adresser d’autres paroles qu’un simple «Merci» emprunt de reconnaissance, parce qu’apparemment, elle avait cru avoir carte blanche quant à l’endroit où m’envoyer. J’avais pensé ouvrir les yeux et me retrouver sur les Terres d’Émeraude, à prévenir mon peuple de fuir, que Maëlith ne serait pas en sécurité, ne serait pas en mesure de se défendre contre ce que j’avais pu voir du chaos qui se déroulait sur le continent.

Enfin, il faut dire que mon esprit avait un peu vagabondé une fois que mes paupières se furent fermées. J’avais d’abord pensé aux Terres d’Émeraude, c’est vrai, à Maëlith et aux Orines qui peuplaient la ville. Puis, j’ai pensé à la statue que j’avais affrontée, aux tremblements de terre, à ces mystérieux Alfars qui, de ce que je savais, étaient la cause du mal auquel les Terres étaient aux prises… La dernière pensée que j’eusse clairement formulée, avant que Pêche n’use de sa fabuleuse magie sur moi, fut un souhait pour aider ceux que le cataclysme avait déjà touché, un peu comme sur la Plage de Sable Fin, pas uniquement à travers des prières, mais également sur le terrain, en personne.

Bref, la leçon à tirer de tout ça était on ne peut plus claire : je devais apprendre à contrôler le fil de mes pensées de façon beaucoup plus efficace. Parce que Pêche n’avait pas fait d’erreur en me transportant ici, oh non! Je n’avais résidé sur le Continent Dévasté que quelques jours à peine et j’avais été témoin de scènes horribles, encore plus affreuses que le naufrage de la Plage. Là-bas, il y avait des tremblements et des vagues, oui, ainsi que des statues étranges, d’accord, mais tout ça n’était rien comparé aux Masques d’Or, ces créatures infâmes que je n’avais jamais croisé. On racontait toutes sortes de choses à leur sujet, chaque mot prononcé sur eux entraînant un frisson le long de mon échine. Invincibles, sanguinaires, carnassiers; un homme avait raconté avoir vu l’un d’eux enlever son masque et aperçu la face atrocement mutilée d’un cavalier de la mort elle-même. Ce n’était probablement pas vrai, mais il était difficile de ne pas prêter oreille à ces racontars.

Je me découvrais au jour le jour la mystérieuse capacité que j’avais déjà expérimentée lors du combat de la Plage, la dangereuse façon que j’avais de me faire à chaque situation. Les carnages me soulevaient le cœur, mais j’avais appris à aider ceux qui en avaient besoin plutôt que de courir dans la direction opposée. Nous étions tous camarades dans la misère, tous frères et sœurs tentant de faire de notre mieux pour survivre aux assauts multiples du cataclysme qui s’abattait sur nos frêles épaules. Je naviguais ces sombres avenues de la conscience collective avec ce qui ressemblait à de l’aise, désormais, malgré mon dégoût pour certaines scènes dont j'étais témoin. Je faisais mon chemin, tentant de trouver un lieu où trouver la paix, une façon de retourner au bercail pour prévenir les miennes de fuir ou de chercher de l’aide, si ça n’était pas déjà fait. Les rares Orines que je croisai ne possédaient pas plus d’informations que moi; d’ailleurs, il était difficile de nous reconnaître entre nous, difficile de reconnaître les visages familiers dans une foule d’expressions désemparées. C’est donc en m’enquérant de la situation auprès de quiconque fusse assez généreux pour m’accueillir que j’appris qu’un convoi se ferait bientôt en direction du Continent Mystérieux, qui portait ma foi bien son nom, car je n’y avais jamais mis les pieds. Ce Continent était, j’avais ouï-dire, le seul à être épargné par les secousses et les désastres qui avaient frappé le reste de monde. En était-il ainsi par le simple hasard ou par l’insondable volonté des Aethers? Quoi qu’il en soit, j’avais dans l’espoir de rejoindre ce convoi, me rendre sur le continent épargné et m’y établir, du moins jusqu’à ce que toutes ces catastrophes ne s’épuisent.

Presque tous avaient déjà été évacués, hormis une poignée de familles qui se dirigeaient vers la dernière caravane en vue. Pressant le pas, tentant de ne pas faire attention au volcan qui se faisait de plus en plus menaçant, au loin, je courus presque vers la caravane qui peinait à partir. Je m’assis à son bord, prenant sur mes genoux une petite fille en pleurs, qui avait probablement perdu sa mère dans le mouvement de la foule. Tentant de la bercer sur mes genoux, de l’apaiser par une chanson en Niseis, je fus surprise par les cris d’une dame se dirigeant à toute vitesse vers la caravane.

« Dépêchez vous ! Avancez ! Fuyez ! Ils arrivent ! »

La caravane n’avançant pas très vite, plusieurs préférèrent sauter sur le sol et s’éloigner à toute vitesse, emmenant dans leur sillage un nuage de poussière. Il n’y avait aucun doute sur ce qui était en train de se passer : les Masques d’Or, que je redoutais depuis mon arrivée, étaient à proximité. Prenant la petite dans mes bras, je décidai que sortir de la caravane était la meilleure solution. Je me retournai cependant vers la dame qui avait crié aux réfugiés de se fuir, tentant d’estimer sa position, voulant me trouver un guide en ces terres inconnues. Plissant les yeux, je l’aperçus, là, à quelques mètres de la caravane, aux prises avec un Masque d’Or particulièrement coriace. Une autre femme était en train de l’aider, mais avait été violemment mise au sol par le répugnant Masque d’Or, se tenant douloureusement la mâchoire. Ne sachant pas trop quoi faire, encombrée d’un enfant dans les bras, j’arrêtai le premier venu et lui confiai l’enfant, lui indiquant de l’emmener avec lui vers la sûreté.

Je courus le plus rapidement que je le pus vers la deuxième femme, celle mise au sol, pour m’enquérir de son état.

«Mademoiselle!» commençai-je, essouflée, m’agenouillant à ses côtés, «Mademoiselle, allez vous bien?»

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Lun 17 Aoû 2015, 03:35




Une grande lueur autour d'elle, n'y voyant plus rien dû à l'éclat oppressant pour son regard de renarde. Une sensation de voltige, de tourner sur elle-même jusqu'à sentir de nouveau un sol sous ses pieds. Ouvrant les yeux pour voir si c'était terminé, constatant autour d'elle un champs de roche sans fin mais ce fut tout ce qu'elle eut le temps de voir avant de tomber à genoux et ce mettre à vomir tout le contenu de son estomac. «Première et dernière fois que l'on m'y prend... je déteste la téléportation ! » Bien que le dernier repas n'était pas très récent, les sensations qui accompagnent le rejet n'avait rien d'agréable, surtout ce coup acide qui vous agresse les papilles. Goût qu'elle ne pu chasser faute d'eau ou autre liquide à portée de main.

La renarde se mit à marcher jusqu'à croiser ce qui semblait être une route, regardant à gauche et à droite, voyant au loin le nuage que pouvait provoquer le mouvement de chariots et chevaux. Elle croisait les doigts que ce soit des gens, espoir d'avoir à boire et obtenir information sur le lieu où elle se trouve. Avançant pas à pas dans la même direction que le mouvement, se disant qu'ils passeraient tôt ou tard à sa hauteur. Lorsque le bruit des sabots se fit plus fort, elle s'arrêtait alors pour faire signer au conducteur.
- Navré de vous importuner, auriez-vous un peu d'eau pour une femme égarée ?
- Mieux encore, montez à bord.
- Quelle... générosité.. c'est étonnant alors que la chaos sévit.
- Nous sommes une caravane qui amène les gens encore en vie pour quitter vers ailleurs.
- C'est mon jour de chance !

Le conducteur fit un grand sourire et la laissa prendre place à l'arrière où elle reçu un peu d'eau afin de la désaltérer et effacer ce goût en bouche. Jane discutait peu, de nature non propice à la discussion quand il ne s'agit pas de savoir quelque chose, se contentant de hocher de la tête à mesure qu'un homme lui résumait la situation. Racontant tout sur les sirènes, les alfars, Vanille, bref toute les informations qui circulaient. Des enfants chantaient des comptines, accrochant tour à tour à chaque passager un sourire sur le visage, oubliant l'espace d'un instant les tourments du monde. Se fut l'heure d'une halte, le groupe avait atteint un autre village et l'aide suivait son cours, dernier arrêt avant la rive si tout se passait bien. C'était sans compter sur les Masques d'Or qui se mêlaient à la visite. Posant pied à terre, elle vit quelques femmes aux prises avec l'un d'eux.

La bélua avait bien compris que ces êtres étaient dur à tuer, la nécessité de se défaire de son emprise était la priorité. Une première se débattait, la seconde sur le sol à se frotter la mâchoire et une troisième qui s'assurait de l'état de la précédente. «Mouais elle est pas sorti du pétrin avec tout ça...» Jane se mit à courir, prenant de la vitesse, se faisant renarde et passant entre les jambes de Mélissandre pour croquer de toute ses forces le mollet de l'adversaire. Ce dernier fut déconcentré et pu être repousser, la renarde ne le lâchant qu'au moment où il fut tombé sur le dos. Se retournant pour voir si tout le monde allait bien, elle reconnu Aina qu'elle venait en fait tout juste de quitter sur la plage après la destruction de la statue. Étrange coïncidence que les deux se retrouvaient ensuite au même endroit à de nouveau s'unir pour aider les autres. Profitant de la confusion, un homme parvint à assommer l'ennemi, Jane se fit de nouveau humaine vu qu'elle devenait plus calme.

S'adressant à Mélissandre.
- Tout va bien ? Pas de blessure ?
Jane fit signe d'attendre un instant, se retournant pour éviter le regard des autres, ouvrant la bouche pour y glisser deux doigts et retirer un morceau de tissu qui lui avait collé entre les crocs.
- Désolée...  Et maintenant ?
La bélua écouta la réponse de celle qui avait réclamé de l'aide puis se tournait vers l'orine.
- Aina ! Contente de te revoir ! Tout va bien ?
Le petit quatuor semblait en position sûre pour l'instant, sans savoir si un autre assaut était à prévoir.
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Lun 17 Aoû 2015, 05:10

Voyager par la voie des airs, il s'agissait du moyen le plus sûr pour survivre en ce moment de panique. Malheureusement, peu de personnes pouvaient choisir cette option pour voyager. Pour ma part, je profitais de ce moyen pour me rendre le plus rapidement vers Aeden. Je ne savais pas grand-chose en ce moment. Cependant, je pouvais annoncer au roi que la situation cauchemardesque que vit le peuple des élémentals était causée par les sirènes avec la venue d'un nouveau territoire. Par contre, j'ignorais si le roi était retourné à Aeden. Lorsque la ville était tombée en ruine, le roi était porté disparu. J'étais parti à la recherche du roi dans la ville des Ondins, mais je ne trouvais aucune information me laissant croire qu'il avait pu y séjourner. Maintenant que je retournais vers le reste d'Aeden pour voir la situation, mon regard fut porté par quelque chose d'autre. Je pouvais entendre, au loin, des sons de personnes apeurées. Il s'agissait d'un groupe d'habitants qui cherchaient à se sauver des êtres masqués. Je savais que les habitants d'Aeden avaient besoin de mon aide, mais je ne pouvais rester de glace face à la situation. Alors, je plongeais en ligne droite. Je m'approchais rapidement du sol, mais aussi d'une femme qui courrait avec son petit garçon entre les bras. Elle se sauvait d'une menace qui la surpassait. Rendu à leur niveau, je les soulevais d'un geste de la main grâce à la force du vent et je repoussais la menace avec une bonne rafale de vent. L'être masqué fut surpris et projeté plus loin, mais il reprit vite sur pied. Avec la petite famille que j'avais sous ma main, je ne pouvais le battre. Je préférais plutôt m'enfuir pour les amener plus loin même si aucun lieu n’était sécuritaire en ce moment. Pendant que je les portais, la femme et le petit garçon furent heureux de voir que l'individu qui les tenait n'était pas un être masqué.

- Est-ce que vous étiez simplement deux?

- Non, répondit la femme. Nous sommes avec un groupe d'individus qui a décidé de quitter demeure et souvenirs pour se rendre dans un territoire sécuritaire, mais nous fûmes attaqués par des Masques D'Or. Notre groupe se trouve un peu plus loin.

La femme fit un signe de la main. Je devais m'assurer que les autres étaient en sécurité. Ils devaient se sauver et si je devais prendre un peu de mon temps, je le ferai. C'est ainsi que je retrouvai un groupe d'individus qui semblait avoir mis à terre un homme masqué. Je n'avais pas le temps pour rester auprès d'eux pour discuter de l'avenir. Je devais penser au présent. À peine que j'eusse déposé la mère et son fils, je continuais mon chemin en passant par dessus le petit groupe. Je voulais retrouver le plus de personnes possible. Fuir était une bonne option, mais ces habitants n'avaient aucune chance contre des êtres comme eux. Alors, je devais les réunir pour mieux les protéger. Je me rendis plus loin à la vitesse du vent pour retrouver un père avec sa femme et ses deux garçons. Il y avait un Masque d'Or qui était tout prêt d'eux. Arrivant en flèche, je me propulsais vers cet être ignoble qui se trouvait sur mon chemin. Il avait à peine pensé à se tourner la tête que le choc dans son dos lui avait coupée le souffle. Sous le choc, des côtes cassaient et l'homme ne put qu'émettre un son de douleur. Il tomba à genou, mais, comme le précédent, je me doutais que c'était encore qu'une question de temps avant qu'il se relève. Alors, il fallait faire vite. Je les soulevais à leur tour pour les faire voyager plus rapidement. Je les rapportais proche de la caravane, mais je ne voyais pas d'autres moyens de les protéger pour le moment. Les avoir proches de moi et du petit groupe de combattants me semblait être la meilleure option.

- Vous êtes folle!?! Nous devons nous enfuir, pas retourner dans cette caravane!

- Fuir est une option, mais la mort vous guette. La seule possibilité que vous avez devant vous en ce moment est de me suivre. Je vais vous amener dans un lieu sécuritaire, mais je dois amener le plus de personnes possible.

Mon ton était autoritaire, mais j'étais des plus sérieuses. L'homme avait bien envie de rouspéter à nouveau, mais il voyait que le moment n’était pas à l'affrontement. Avec un grand silence, j'apportais une seconde famille au petit groupe. J'étais vêtu de ma grande robe d'un mauve foncé avec ma cape allant en harmonie.

- J'espère que vous allez bien. J'ai eu vent que vous êtes en route pour aller dans un endroit sécuritaire. Je peux vous aider, mais il y a beaucoup de famille en danger. Il faut les retrouver.

Je ne pouvais faire l'ensemble de la tâche. J'avais besoin d'aide et elles étaient les plus aptes à venir en aide à ses familles apeurées. J'attendais un peu leur réponse, mais si rien ne bougeait, j'allais retourner sauver d'autres familles.

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Lun 17 Aoû 2015, 14:37


Créatures des enfers aux airs d’exquis et d’interdit, quelques jeunes femmes se prélassaient près des rivages dévastés de l’Antre des Damnés. La furie des eaux froides ne les inquiétait pas, pas plus que l’écume qui se brisait sur les roches et les côtes. Les bêtes monstrueuses rôdaient à leur côté, sans les attaquer ou manifester la moindre agressivité à leur égard. Les Sirènes ne craignaient rien de tout cela. Allongée sur une pierre glacée, l’une d’elle frôlait les vagues du bout des doigts. Les lèvres tordues en une mine boudeuse et contrariée, elle semblait occupée à soigneusement ignorée une autre demoiselle. « Ce n’est pas une trahison. » - « Pourtant, la ressemblance est frappante. Pourquoi ne restes-tu pas avec nous ? Il y a encore beaucoup de travail. » - « Je dois retrouver quelqu’un. » - « Tu es trop attachée à cette Bélua. Elle n’est que ta servante et cette petite idiote n’aurait pas été capable de tenir sa langue si tu lui avais révélé la vérité. » - « Je sais mais elle a eu l’excellente idée de quitter la Cité Engloutie pour partir à ma recherche. Je dois la retrouver et la mener à Tælora. » - « Jézabel … Elle ne comprendra pas. » - « Elle n’aura pas la force de protester. » - « C’est dangereux. » - « Je n’ai peur de rien. » - « Tu devrais. Si quelqu’un apprend ce que tu es, tu risques d’avoir de gros ennuis. » - « Sous forme humaine, rien ni personne ne pourra me dénoncer. » - « Sauf peut-être elle. » - « Non. Elle m’est trop fidèle pour songer à m’accuser malgré les preuves accablantes. » - « Je doute que la Khæleesi apprécie la présence d’une étrangère, pas dans son œuvre. » - « Lady caël Deslyce n’est déjà plus vraiment notre Reine. » - « Certes mais … » - « Je suis de sa famille. » - « C’est une raison supplémentaire pour repartir. » - « Mon nom et mon visage sont inconnus du public. Je suis une anonyme. » - « Tu ressembles beaucoup aux femmes de ta lignée. » - « Pas assez pour me trahir. » La Sirène soupira. « Il n’y a rien que je puisse dire qui te fera changer d’avis, n’est-ce pas ? » - « Non. Ma décision est prise. Tout se passera bien. » - « Si tu le dis. Essaie de nous revenir au plus vite. J’espère que cette Panda vaut la peine que tu mettes en jeu tes écailles. » - « Kaguya est quelqu’un de bien. Elle me sera utile. Elle l’a toujours été. » - « Fais en sorte de ressembler moins à … toi. » - « Ne t’inquiète pas. Je sais ce que je fais. » - « Je l’espère. »

Jézabel s’était glissée dans une vieille chaumière délabrée à travers les carreaux brisés de son unique fenêtre sale et vacillante. Il n’y avait plus personne. Les occupants étaient partis depuis longtemps et la Sirène eut tout son temps pour fouiller dans les malles et les placards à la recherche de quelques vêtements qui seraient plus ou moins à sa taille. Elle finit par dénicher une robe sombre et des petites chaussures usées, le tout légèrement trop grand pour elle. Cela ferait l’affaire. Après avoir jeté un coup d’œil à son reflet, elle se mit à souffler, agacée. Elle avait l’allure d’une poupée de porcelaine avec son teint de lait, ses ongles parfaitement manucurés et sa longue chevelure brune. Une poupée mal habillée, mais une poupée quand même. Résignée et déterminée à rester en vie, elle se mit à gratter la terre, à emmêler ses cheveux et les coiffer grossièrement, à salir ses joues. Nouveau coup d’œil dans le miroir. Elle sourit. C’était beaucoup mieux. Du bout des doigts, elle s’empara de la jolie broche d’or qu’elle abordait depuis quelques temps déjà, ce bijou qu’elle avait retiré de ses cheveux pour des raisons évidentes. Elle hésita un instant puis l’engouffra dans ses poches. Il était temps de partir à la recherche de Kaguya. Elle aurait préféré éviter les rassemblements. Seulement, elle était persuadée que la jeune fille, peureuse et naïve qu’elle était, était forcément en compagnie d’autres individus. Les groupements attiraient les Masques d’Or. Les fanatiques ne s’en prenaient pas aux Sirènes. C’était risqué. Cependant, elle n’avait pas le choix. Attirée par les cris et les gens qui couraient dans tous les sens, elle finit par trouver quelques personnes, attaquées par les fanatiques bariolés. « Kaguya ! » Elle criait son nom mais sa voix, trop douce et claire, peinait à se faire entendre dans la cohue et le désordre des affrontements. « Kaguya ! » Elle se tenait aussi loin que possible des Masques d’Or, préférant passer pour une lâche que pour une ennemie. « Kaguya ! » - « Jezabel ! » Le Panda détala vers la Sirène. « Qu’est-ce que … où étais-tu ? » - « Plus un mot. Fais-moi confiance et reste près de moi. »

+760 mots : Jezabel est une Sirène à la broche d'or mais vous ne pouvez pas le deviner comme ça ^^ Elle est à la recherche de sa servante et amie : Kaguya, une Bélua Panda. Elle arrive près du groupe et la retrouve.
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Lun 17 Aoû 2015, 15:24



GROUPE I
Lysis - Yuki - Olwë - Aina - Jezabel - Jane [Ethan] - Veronika [Samael]

« Mourrez !!! Aaah !! » Mélissandre arriva enfin à bout de ce Masque d'Or. Du sang sur les bras, et sa robe à moitié déchirée, elle souffla lourdement, reprenant peu à peu ses esprits. Avec l'aide de Jane, elle pu alors mettre fin aux jours de cette engeance « Merci... Merci beaucoup... » Un peu plus à même de discuter, Mélissandre répondit « Le plus important va être d'emmener les gens jusqu'au bateau, sur la côte sud. Nous trouverons... Plus tard un moyen de nous débarrasser de ces Masques. Ce qu'il faut, ce sera de les distraire le temps que nous évacuons tout le monde. Mais pour le moment, beaucoup sont partit dans les forêts décharnées alentours, alors... Il faut mettre la main sur tout le monde. Si seulement... » Non loin, une jeune femme demanda de l'aide. Les deux s'avancèrent pour porter secours à la victime. Jane semblait connaitre l'Orine, et Mélissandre se tut pendant leur échange, regardant ailleurs si rien d'autres ne pouvait être fait.

« Ecoutez, venez avec moi, retournons à la caravane. » Mélissandre aida la jeune inconnue à se lever « L'idéal c'est que nous restions groupé. De cette manière nous... » Un cri retentit alors qu'elles se mettaient en route pour rejoindre la charrette non loin. Tournant la tête vers le bourg, une fumée noire se dégagea, montant vers le ciel, et des flammes précédèrent le nuage « C'est pas vrai... Rejoignons la caravane en premier, nous nous occuperons du feu après, il faut emmener le plus de monde possible dans le convois. Les Masques d'Or sont actuellement dans les villages. » Il n'y avait que du sauvetage à faire, le reste ne servait à rien car tout était perdu de toute manière.
Les femmes arrivèrent alors au niveau de la maison en flamme « Y a-t-il des gens à l'intérieur ? » cria-t-elle aux habitants apeurés et paralysés « Non ! Personne m'dame ! », « Partez d'ici bon sang ! Allez rejoindre la caravane, nous retenons les ennemis, il faut absolument que vous évacuiez ! Vite ! » La famille prit les jambes à son cou et se dirigea vers le sentier.

Au loin, un bruit sourd retentit à nouveau « Le volcan... Bon sang s'il explose... Nous sommes fichu ! Si la lave atteint notre village... Au moins, je suis certaine que même les Masques y passeront... » Mélissandre prit un enfant dans ses bras, le donnant à une femme qui se dirigeait, elle aussi, vers le sud « Bien, mesdames, laissons les flammes prendre tout ce qu'il nous reste. Regardez, les Masques d'Or ne sont plus ici, ils sont partit dès que le feu a prit, ça nous laisse le temps de chercher des survivants sous les décombres avoisinant. » Même si le but n'était pas de mettre le feu à toute la contrée, au moins, les flammes ralentiraient tout un chacun. Les femmes se dirigeaient avec les cris. En fonction des bruits qu'elles entendaient, plus ou moins étouffés, elles allèrent de ci de là, sauver des gens tantôt sous des débris de maisons, tantôt ailleurs. L'eau montait dangereusement, et leur arrivait aux chevilles, assez facilement. Depuis la mer, les eaux débordaient, emmenant des bêtes marines avec elles mais, étrangement, celles-ci ne s'aventuraient pas vraiment vers les villages côtiers infestés de Masques d'Or.

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Mar 18 Aoû 2015, 22:54

Véronika avait bien senti le coup passé. Un peu plus et elle aurait sans doute perdu connaissance. Elle se demandait pourquoi elle avait agi de cette façon sans doute qu’il y avait des moyens plus facile et moins dangereux pour réussir à rejoindre le palais de son père. Mais peut-être qu’elle était un peu trop impulsive ou qu’elle avait un plu grand cœur que son père… C’était difficile à dire surtout pour elle qui obéissait à son père sans discuter. Elle se couperait un membre juste pour lui s’il le fallait. Toujours était-il qu’alors qu’elle tentait de se relever non sans mal, une personne arrivait pour demander comment était mon état. Elle pouvait sentir la joue de Véronika gonfler rapidement, la situation semblait claire, la jeune vampire n’allait pas bien et alors qu’elle commençait seulement à reprendre pleinement ses esprits, elle regardait d’un air un peu furibond avant de dire :

Super ! J’ai juste l’impression d’avoir la mâchoire décroché.

Evidemment, c’était ironique. Elle n’allait pas bien, et cela semblait vraiment plus qu’évident. Elle put voir ensuite une autre personne arriver alors que celle-ci avait pris une apparence de renard quelques instants plutôt. Il ne fallait pas être un génie pour comprendre que c’était sans doute une Bélua. Mais celle-ci semblait surtout s’intéresser à celle qui était venu s’inquiète du sort de Véronika… Si le temps l’aurais permis, elle lui aurait faire remarquer que la blessé à l’heure actuelle c’était elle. Mais la situation ne risquait pas d’aller en s’arrangeant du coup, elle ne répondait rien et laissait la troisième jeune femme qui avait réussi à abattre le masque d’or l’aider à tenir debout, le temps qu’elle puisse courir de ses propres ailes.

Au bout de quelques instants Véronika pouvait marcher et courir d’elle-même sans avoir besoin de soutien. Mais comme le faisait remarquer la jeune femme, il fallait partir, surtout quand un bruit sourd se faisait entendre. Le Volcan entrait-il en éruption ? Tout le monde savait que celui-ci avait toujours était en éveille et qu’il n’était d’ailleurs pas rare qu’il crache quelques boules de flammes ou des petites coulées de lave. Mais cette fois, il semblait vraiment sur le point d’exploser au bruit qu’il faisait… La fuite était vraiment la situation la plus saine sur le coup… Véronika avait donc compris qu’il valait peut-être mieux attendre que tout cela se calme avant de foncer tête baissé à Jucktion… Surtout si le volcan décidait de se réveiller pour tout raser sur son passage.

Véronika n’avait pas spécialement envie de passé son temps à sauver des gens, elle aurait clairement préféré fuir sur le coup, mais rien ne laissait croire qu’elle pourrait partir seule surtout sur un navire alors qu’elle ne connaissait pas grand-chose en navigation. Du coup, elle décidait aussi d’aider le gens à sauver la peau. Elle se mettait alors à aider une jeune femme coincée dans des décombres…. Retirant pierre après pierre, elle faisait attention au Masque d’or qui ne semblait pas venir vers eux. C’était étrange, cette personne ne voulait être prit dans les flammes, mais c’était plutôt étrange que ceux-ci semblait presque s’être arrêter à nous poursuivre… Pourquoi ? C’était la question que se posait Véronika alors qu’elle venait tout juste de libère cette jeune femme qui était certes vivante, mais qui avait quand même une jambe cassé à cause d’une pierre qui lui avait écrasé la jambe…

Pendant qu’elle réfléchissait, certes elle n’avait pas beaucoup de temps pour réfléchir, mais une idée lui était venu à l’esprit. Les masques d’or n’étaient pas immortel, ils étaient très fort, ils pouvaient survivre à la juste un bâtiment entier. Mais pourquoi évitait-il les flammes ? Cela ne pouvait pas être un hasard pour notre jeune vampire. Du coup, elle se dirigeait vers les autres filles qui faisaient de leur mieux pour aider les gens ou pour combattre les masques d’or et pour leur dire :

Dites, vous ne vous demandez pas pourquoi, les masques d’or évité les flammes ? Vous ne croyez pas que le feu pourrait être leur point faible ?

Peut-être que c’était une idée totalement stupide, qu’une fois qu’on tenterait d’utilisé les flammes contre eux on remarquerait que cela n’avait en réalité aucun effet. Mais Véronika se disait que de toute façon, cela ne courait rien d’essayer… Surtout que cela ne pouvait pas être elle qui testerait cette théorie vu qu’elle ne contrôlait pas le feu.


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Lun 24 Aoû 2015, 01:07


Depuis les événement qui c'était produit sur la plage, j'avais passer mon temps à récupérée. Je n'aurais jamais cru mettre aussi longtemps. En même temps, j'avais sans doute été au dessus de mes forces. Et depuis j'avais repris le voyage je voulais essayer de comprendre tout ce qu'il ce passait, de comprendre pourquoi tout ça arrivais et qui était derrière tout ça. Au début, j'aurais à la limite pu croire que c'était des événements naturelles, les animaux eux, déranger avaient commencer à perdre un peu la tête. J'avais beau ne pas m'y connaître en animaux, je supposais que c'était possible quand elles étaient déranger de leur habitat naturelle.
Mais quelque part ça prenait beaucoup trop d'ampleur et puis s'il n'y avait que ça. Malheureusement comme on le dit souvent, un malheur n'arrive jamais seul. D'étrange personnes avaient commencer à attaquer les villes et villages. Des être portant un étrange masque d'or et ne faisait que massacrée sur leur chemin. Et comme si ça ne suffisait pas, en plus de leur barbarie, ils étaient incroyablement résistant. Est ce que tout ceci avait vraiment une explication sensée ? Était ce encore un fou qui était atteint la folie des grandeur ?
Assis sur un rocher, je repensais à ce que j'avais entendu, que la dame des abysses seraient derrière tout ça. Vu le revirement des sirènes, je n'étais pas très étonner finalement, mais j'aurais aimée qu'elle reste dans son océan. Et même si elle avait voulu récupérée son continent, pourquoi mettre en péril le monde ? Tout le monde l'avait oublier, est ce que quelqu'un aurait vraiment contester qu'elle le reprenne pour son peuple ? Maintenant, c'était peut être juste le fait qu'il aille resurgit qui causait tout ces tremblements, mais pourquoi les masques. Il devait avoir quelque chose a protéger, ça n'allais pas être simple d’obtenir nos réponse.
Je me relevais alors et repris mon chemin, ça ne servais à rien de rester ici à me casser la tête, autant que je continuer d'allée vers le village le plus proche pour trouver des vivres. Mais j’espérais que je trouverais quelque chose, car en regardant vers le volcan, je remarquais qu'il n'était peut être pas loin d'entrée en irruption. Si ça venait à arriver, je crois qu'il nous manquerait plus que les cyclones et autre soucis venteux pour avoir la total. Est ce que les gens qui subissaient tout cela serais encore se relever. Depuis que j'avais quitter le village, j'avais l'impression qu'il y aurait toujours quelqu'un pour risquer de tous nous exterminer.

Mais alors que j'arrivais pas loin du village en question, je remarquais une caravane qui était en train de se crée, mais en même temps, encore assez loin pourtant, des individu qui correspondait au masque d'or. Ils n'allaient jamais avoir le temps de foutre le camp avant qu'ils n'arrivent. Je me téléportais alors jusqu'à eux juste au moment ou l'alerte était donner.
Je savais que je n'étais pas assez forte pour les combattre, je ferais de mon mieux si je n'avais pas le choix, mais je préférais mille fois me concentrée sur le sauvetages des personnes qui en avaient besoin. Surtout que dés que l'alerte fut donner, tout le monde laissa en plan leur bien et commençais à courir dans tout les sens. Je rattrapais alors un couple et cria à un autre de s’arrêter pour le moment. - «Ne vous dispersez pas comme ça, avancez groupe. S'ils vous tombent dessus à cinq alors que vous êtes seul, vous y passerez. Alors que si vous êtes plusieurs, vous avez plus de chance.» Le deuxième couple s’approchait alors du premier et ils firent routent ensemble, expliquant à toute les autres personnes croisée qu'il fallait faire la même chose. J’espérais qu'ils auraient assez de jugeote pour le comprendre et suivre ce bête conseil.
Je continuais alors à rassemblée tout le monde, gardant un œil sur ceux qui combattait et qui essayait de maintenir les masques d'or à distance. Seulement certain avait réussi à percer et je vis une mère courir vers son enfant qui n'avait visiblement pas voulu laisser son doudou. Et bien évidement, le masque l'avait repérer aussi. Je pris alors mon arc et visa la masque d'or, je ne cherchais pas vraiment à le blesser, mais juste détourner son attention et heureusement pour moi ça avait marcher. Le masque tourna son visage vers moi et quand il voulu continuer vers la familles, elle avait déjà foutu le camp.

Mais maintenant je me trouvais avec quelqu'un de puissant à battre et je ne savais pas vraiment comment m'y prendre. Je le regardais un instant, essayant de trouver un point faible quelque part, mais s'ils étaient fait d'or, jamais je ne les percerais et je ne pouvais pas croise qu'ils seraient sensible à tout ce qui était magie mentale.
Je pris alors le bracelet de mon poignet. Je n'aurais jamais cru en avoir autant besoin et pourtant.  «Allez ma belle, j'ai encore besoin de toi. Fait de ton mieux.» Le chimère surgit alors de nouveau et s'envola attrapant le masque d'or sur son passage, prenant de l'altitude, je la vis ce faire blesser à la patte et elle lâcha de masque. La chute était haute. Est ce que ça l'avait tuer ? Peut être, mais je n'allais pas allez verifier. La laissant gérer les masque d'or, je fini par continuer à m'occuper de la caravane.

Des personnes avaient fuit dans la forêt alentour, je soupirais alors et me dirigeais vers la forêt et commençais à les chercher. Pour certain, ils voulaient se cacher ici et je pouvais comprendre que pour eux c'était une bonne idée, mais finalement ce n'était pas une bonne chose et ce n'étais pas facile de les faire sortir de là.  «Si vous restez ici, vous allez vous retrouver seul et si des masques reste à la traîne, ils vont tomberont dessus sans que vous puissiez faire quoi que ce soit. Est ce que vous croyez vraiment que vous avez plus de chance ? Moi j'en doute, alors vous voulez rester ici d'accord, mais laisser moi emmener votre enfant pour qu'il aille au moins une chance de vivre.» Mes paroles pouvaient semblé dur, mais qu'un adulte fasse le choix de se mettre en danger d'accord, mais par piter laisser les enfant en dehors de ça. Mais finalement c'est tous qui rejoignis la caravane et a mon retour je constatais que le village était en flamme. Je ne pouvais pas m'imaginer ce que ça faisais de perdre ainsi tout ce qui nous appartenait, mais je me doutais que ce n'étais pas facile pour eux.

Les masque étaient partit et une femme semblait s'en étonner. Il se demanda si le feu n'était pas leur point faible.  « s'ils sont fait d'or, il y a fort a parier qu'ils risquent de fondre. Je ne m'y connais pas en métaux, mais je suppose qu'il faut une température extrême. Un peu comme la lave qui risque de nous arriver dessus. Par compte, je penserais plutôt a autre chose, car justement, comme il sont fait de métal, ils doivent être lourd non ? Ne serais pas plutôt la marée montante qu'ils auraient fuit ?»

Je ne pouvais pas en être certaine non plus, mais je crois que c'était tout à fait possible aussi. Mais maintenant qu'ils étaient partit, ce n'était pas notre principale soucis. J'aidais alors a trouver les quelque survivant qu'il y avait encore dans le village et essayais dans quand même prendre quelque vivre pour le voyage. Je soignais aussi les quelque blesser. Je voyais ma renarde me regarder avec un air de reproche, je savais ce qu'elle pensait, j'avais déjà eu du mal à m'en remettre et je continuais à dépenser mon énergie sans reflechire. Mais je ne voyais pas ce que je pouvais faire d'autre.
Par compte, si elles ne s'approchaient pas maintenant de nous, je ne pouvais m’empêcher d’être inquiète en voyant les créatures.  «Dite, avez vous prévu quelque chose pour que le bateau ne coule pas suite à l'attaque de ces créatures ? Pour le moment elles non pas l'air de vouloir venir à nous, mais ce n'est pas dit que ce sera toujours le cas une fois que l'on sera en mer.»
J’étais inquiète, je ne voulais pas que l'on aillent fait tout ça pour rien. Et surtout je ne voulais pas mettre les autres en dangers, même si je ne voyais pas vraiment ce que l'on pouvaient faire d'autre et j'en étais bien consciente.

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Lun 24 Aoû 2015, 02:35


En attendant la réponse de la jeune fille dont je m’étais enquéri de l’état, je ne pus rester impassible devant le courage dont avait fait preuve le bélua renard en s’attaquant à la cheville du Masque d’Or. Je n’étais pas parvenue à apercevoir son visage avant que sa transformation en son animal totem soit effectuée, mais la morsure qu’il avait infligée à l’assaillant des deux jeunes femmes semblait avoir donné assez de momentum à la première d’entre elles pour qu’elle réussisse à en venir à bout. Je me détournai alors que le sang giclait sur son visage, aspergeant sa robe d’un liquide rougeâtre et embaumant l’air d’une odeur cuivrée. Les yeux de nouveau rivés sur la jeune femme que j’étais venue aider, je fus déstabiliser par le regard haineux qu’elle me lançait, suivi de la remarque sarcastique qui fusa.

«Hmph. Très bien.»

Elle n’avait clairement pas besoin de mon aide. Soudainement redevenue hautaine, mon regard passa d’empathique à froid, puis je me relevai, n’accordant plus d’attention à la jeune fille, remise sur pied par celle à la robe souillée de sang. J’avais entre temps perçu la présence d’une autre personne à mes côtés et je me retournai vers elle pour la première fois. C’était bien le bélua renard qui avait repris forme humaine, qui s’adressait désormais à moi par mon prénom. Elle disait être contente de me voir, mais je dus la détailler un instant avant de répondre. De courts cheveux bruns, un regard brumeux, une peau de neige… Il me fallut quelques secondes pour la replacer, mais je parvins à me souvenir d’elle : c’était Jane, la jeune femme  de la Plage!

«Jane! La jeune femme de la Plage,» m’écriai-je, joignant la pensée à la parole. Baissant la voix – me souvenant que d’autres Masques d’Or erraient peut-être aux alentours et qu’il valait mieux ne pas attirer leur mortelle attention vers nous –je repris, «je vais bien, je vais bien! Comment te portes-tu? Quel hasard, tout de même, de se revoir ici!» J’avais beau avoir meilleur mine qu’à la Plage où, je m’en rappelais, j’avais été souillée de boue et éreintée par des jours de marche sans avoir vraiment eu l’occasion de me reposer, j’étais tout de même honteuse de ne pas me montrer sous mon meilleur jour à quelqu’un se souvenant de moi.

Notre petit groupe se mit en marche en direction de la petite charrette, non loin, sous les instructions de l’inconnue s’étant défendue contre le Masque d’Or. Nous n’étions que quatre, quatre étrangères mal assorties, mais unies par leur désir de survie. Une Orine souriante, un Bélua fonceuse, une jeune femme à la mâchoire enflée ainsi qu’une autre maculée de sang. Peut-être n’étions nous pas menaçantes, de loin. Les Masques d’Or n’avaient probablement pas peur en nous voyant arriver, mais cela me faisait du bien d’être en groupe et d’ainsi me sentir en sécurité. Enfin, presque en sécurité. Ne pas être seule était un atout lorsqu’il s’agissait de venir à bout des Masques, oui, mais ne servait pas à grand-chose s’il s’agissait de se mettre à l’abri d’une éruption volcanique, ce qui pourrait très bien arriver bientôt, à en juger des craquements de plus en plus menaçants lancés par le volcan.

Alors que je m’étais retournée pour le regarder, ce volcan, un cri retentit à l’horizon. Mon attention se tourna vers sa direction : de hautes flammes pouvaient être aperçues, dégageant une fumée noire et épaisse qui s’étendait au-dessus de nos têtes. L’inconnue sanguinolente se prononça; la caravane était la priorité. Sauver les gens du brasier, puis les rediriger vers le convoi. Notre petit groupe de volontaires se dispersa alors, tentant de sauver ceux qui manifestaient leur désir d’être sauvés. Je redirigeais chaque âme qui croisait mon chemin vers la caravane, éprouvant un pincement au cœur lorsque la personne à qui je parlais tentait de trouver un être cher se trouvant sous les décombres. «Ne vous inquiétez pas,» déclarais-je chaque fois, «je m’en occupe, rejoignez le sentier, vite!»

Je n’avais pas beaucoup de force, ainsi, sauver les gens prisonniers des amas de bois et de poussière que formaient les maisons qui s’étaient écroulées m’était quasiment impossible. Je me contentais d’assister ceux qui en avaient besoin, faisant des allers et retours entre les décombres et le sentier, tentant d’assister les gens recherchant des enfants ou des parents disparus, prêtant main forte à mes collègues lorsqu’elles avaient besoin de moi. Je me trouvais instinctivement près de Jane, probablement car elle était la seule ici avec qui j’eusse déjà parlé auparavant – et qui ne s’était pas montrée grossière, il va s’en dire. D’ailleurs, la jeune fille à la mâchoire enflée s’approcha de moi et du reste du groupe pour nous faire part de sa théorie, comme quoi les Masques d’Or auraient une peur du feu. Ce n’est pas bête, pensai-je, mais quelle créature vivante ne craint pas la morsure mortelle des flammes?

«Ce n’est pas bê--» commençai-je, mais une femme qui s’était approchée sans que je ne m’en rende compte me coupa la parole.

« Sils sont fait d'or, il y a fort a parier qu'ils risquent de fondre…»

J’écoutai la nouvelle étrangère faire son exposé sur la marée montante et le feu. Je n’avais jamais considéré que les Masques d’Or pouvaient être faits entièrement de métal – je m’étais toujours arrêtée au fait que leur Masque composant leur identité n’était que cela, un masque. Mesure simple prise pour cacher leur identité alors qu’ils commettaient leur sombre besogne.

«Les faire fondre, les faire couler… S’ils sont réellement faits de métal, la magie élémentaire suffirait à les vaincre, non? Le métal n’est qu’un élément comme les autres, il a des points forts comme des points faibles. Un être entièrement fait de métal ne serait pas invincible ou aussi coriace que la vermine qu’est un Masque d’Or…»

Mon attention fut redirigée vers un groupe de survivants qui progressaient vers le volcan. Je n’entendis donc pas la deuxième partie de l’exposé de la jeune femme aux cheveux roses, car trop occupée à rediriger les inconscients en direction de la caravane.


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Lun 24 Aoû 2015, 04:38



L'attaque sur le Masque d'Or avait été un succès, les efforts combinés avait permis de tuer l'agresseur avant que ce ne soit eux qui y passe. Mais c'était loin d'être terminée, les gens n'étaient pas en lieu sûr et la caravane se devait de partir le plus vite possible avant que la situation ne tourne à la catastrophe. Le feu se mettait de la partie pour semer le chaos, était-ce l'oeuvre de l'ennemi ou un accident ? Il était impossible de le savoir pour l'instant mais la première option restant sans doute la plus plausible.  Mélissandre expliquait son plan de match, Jane suivi sans attendre pour aller s'assurer qu'aucun ne serait la proie des flammes.

- Je vais bien, du moins vu la situation. Pour une fois j'aime le hasard en tout cas.

Une certaine confiance animait Jane, connaissant au moins une personne à ses côtés, ne serait-ce que très peu, suffisait à améliorer la situation. Ainsi, une maison puis une autre, la renarde avait reprit sa forme animale dans l'énervement, permettant de fouiller plus vite les lieux à risque avec son flair et son ouïe. Les cris des victimes perçait l'air tel une alarme, une balise sur laquelle se diriger Petit bonheur la chance que personne n'était prisonnier de décombres soumis au brasier, feu qui pouvait maintenant détruire sans vergogne ce qui reste. Selon elle, les vies sont plus importantes que du matériel car tout peut être reconstruit mais pas une personne. Les visites de maisons en ruine se multipliait, les aptitudes de la bélua facilitait les choses, trouvant dans l'une d'elle une femme et son enfant qui se cachaient sous un meuble qui avait encaissé le choc du toit qui tombait.

Dans la suivante, un autre c'était prit une poutre, l'effort combiné des trois femmes avait permit de le dégager mais il était mal en point. L'une d'elle criant dans la rue pour avoir de l'aide, deux hommes attrapant le blessé pour le porter jusqu'à la caravane où des soins de base pourrait lui être prodigués. La dur réalité de la guerre, des affrontements en tout genre. Les peuples payaient le prix pour les visions de grandeurs des plus puissants. Parfois ces derniers sont plusieurs à s'allier pour leur plan de conquête, d'autres le font en solo après avoir placé un à un les pièces du casse-tête pour que tout s’enclenche. L'histoire d'un monde où la paix ne persiste pas.

Malheureusement, il n'y avait pas que des survivants et des blessés, le trio de femmes trouvait aussi des morts. Tristesse et désespoir frappant à revers ceux qui était là pour aider, forcés de constater que malgré toute la volonté, la perfection et l'idéal n'existaient pas dans cette ambiance de tourment. Il ne pouvait y avoir que des victoires et des bons moments, la défaite et l'horreur du quotidien était omniprésente, la bélua espérait seulement ne pas devoir faire face à tout en même temps, de ne pas être prise au piège par cette série d'événement.

- Combien pourrons-nous en sauver avant de devoir fuir ?

Jane se questionnait, le temps était compté. D'un côté les flammes qui ravageaient le village, de l'autre la marée qui n'avait de cesse de monter. Il y avait une maigre chance que l'un ralentisse l'autre mais rien n'était garanti. Comme pour en ajouter une couche, ce fut le volcan qui se mit à émettre des bruits sourd, sonnant son réveil, le danger qu'il crache sa lave en fusion. Coulée de magma qui terminerait de tout détruire, y comprit les Masques d'Or qui semblait avoir fuit dans la forêt environnantes, pour l'instant.

La bélua regardait vers la caravane, nombres de gens s'y retrouvaient de plus en plus pour fuir l'endroit. Des alliés pour s'assurer que chacun prenne place dans un chariot, véhicule qui quittait avec empressement chaque fois qu'il était plein. Le convoi s'étirait en longueur par les départs fréquents plutôt que tous en même temps, mais cela évitait de devenir une énorme cible rouge pour les Masques d'Or.

- Mélissandre... le volcan... il y a vraiment un risque qu'il nous explose au visage ? Est-ce là notre plus grande menace versus les créatures marines, les Masques et même l'eau qui se rapproche ?

La brunette posait peut-être trop de question, elle n'avait aucune exigence à avoir chaque réponse mais le plus important était la survie d'un maximum... Les hypothèses concernant l'usage du feu pour s'occuper des Masques d'or restait une affaire à suivre.
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Mer 26 Aoû 2015, 21:08



GROUPE I
Lysis - Yuki - Aina - Jezabel - Jane [Ethan] - Veronika [Samael]

Mélissandre se voyait affublée de part et d'autres. Il y avait beaucoup trop d'action qu'elle ne pouvait gérer, et regrettait presque d'être si faible pour pouvoir diriger, d'une main de fer, cette évacuation. Les renforts étaient, cependant, particulièrement attachants. Là pour l'aider, pour aider tout le monde, elle se sentit épaulée, et reprit le courage qui lui manquait aujourd'hui.
Se levant complètement, elle s'approcha alors du groupe principal « Vous avez raison. Le métal qui les caractérise peut également leur être fatal. J'aurai du y penser plus tôt... Le volcan n'explosera pas tout de suite. Je suis de la région, je le connais, il est en ébullition, mais nous ne devons tarder sous aucun prétexte. L'idéal serait de faire fondre ce visage qui les constitue. Sans ça, ils mourront, de toute évidence ! Il faudrait rassembler toutes les personnes maitrisant le feu se réunissent, il faut absolument venir à bout de ces monstres ! » Mélissandre se perdit dans la foule qui avançait sur le sentier, et lança l'appel. Une jeune femme avait également émis l'idée que le métal pouvait les faire couler, mais avec la magie, il leur serait peut être facile de s'épargner les affres de l'eau, alors qu'avec le feu... Si on pouvait éteindre les flammes, il était impossible de faire baisser la chaleur, et la température d'une terre.
Ainsi, elle réunis plusieurs personnes plutôt robustes et volontaires, et tous se réunirent.

« Nous allons devoir agir très vite ! Ils vont venir, et revenir, d'une minute à l'autre. L'idéal serait de les laisser arriver, de les encercler, et de les tenir en étau. Avec un peu de chance, si nous allumons un énorme feu en plein milieu et les poussons dedans, ils mourront embrasés. Je... Je sais que c'est horrible, mais c'est notre seule solution. Sans elle, nous périrons tous. Des cadavres d'innocents jonchent actuellement les rues, je n'en veux pas plus, je refuse ! » Elle fit une pause, regardant tout le monde avant de reprendre « Nous allons faire trois groupes. Nous nous cacherons respectivement dans cette demeure, derrière cette demeure, et dans celle-ci également. Nous allons devoir les prendre de court et de vitesse, sans ça, ce sera la fin. Lorsque vous verrez un cailloux traverser la place dans les airs, ce sera mon signal. Soyez attentifs je vous prie. » , « Et si d'autres masques d'or viennent et nous tuent par derrière ? » , « Je ferai en sorte de les mettre dans le feu, ou de ne pas leur passer la barrière. Votre sécurité lors de l'attaque, je m'en occuperai personnellement. Pour le reste, suivez mon plan. Nous formerons un cercle autour d'eux, et nous les repousserons. Ceux qui maitrisent le feu devront l'allumer sur mon signal ! Prêt ?! » Les gens acquicèrent, les groupes se firent et tous se répartirent.

Comme prévu, plusieurs minutes plus tard, le temps de se mettre en place, les Masques dorés arrivèrent, épée dans la main. Attendant qu'une dizaine vint se mettre au centre, Mélissandre jeta un cailloux. De concert, les groupes foncèrent vers le centre, sans vraiment hurler, ou pousser de cris de guerre. Les Masques, prit de court, comm prévu, se regroupèrent « MAINTENANT ! » Un énorme brasier s'alluma sur leur position et prit de l'ampleur. Mélissandre se mit à prier, incanter un verbe sacré, et elle enferma dans un bouclier hermétique la dizaine de types « Aaah... ! Bâtard !! » Un Masque d'or avait planté un type qui formait le cercle « Derrière vous ! Retournez vous et battez vous mes amis ! Nous allons les ASSASSINER ! » Mélissandre était devenue presque frénétique. Elle voulait vivre, elle en avait marre de survivre dans ce monde si disgracieux.

Au loin, comme l'appel à la colère, le volcan augmenta ses grondements, au bord de l'écoulement. Il montait...

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Ven 28 Aoû 2015, 16:13

C’était peut-être une idée bête que Véronika avait proposé, mais au moins elle proposait une solution qui allait peut-être aidé à combattre ses masques d’or. D’autres allaient aussi de leur théorie. Une jeune femme proposait que ce soit la marée montante qui les aurait fait fuir. Mais ce n’était pas de l’avis de Véronika qui savait que les masques d’or avaient un lien avec mes sirènes vu qu’elle avait eu l’occasion d’observer une conversation pacifique entre une de ses femmes poissons et de ses monstrueux masques d’or. Elle ne savait pas encore le lien précis qu’entretenaient ses deux êtres. Mais une chose était sûr, ils étaient surement allié… Evidemment la montée des eaux pouvait être un handicape aussi pour ses masques d’or. Mais elle ne pensait pas que c’était la raison de leur fuite vu que les masques d’or étaient pratiquement partout. Traverses un lac ou un fleuve étaient sans doute nécessaire un moment ou un autre pour eux. Enfin bref, il y avait de toute façon toujours des incertitudes tant que rien n’était tenté, il n’y aurait aucun moyen de savoir si oui ou non ses monstres avaient oui ou non des points faibles. En tout cas, Véronika était ravi de voir que son idée semblait plaire à certaines personnes et décidait de dire les quelques informations que son père lui avait confié :

Ils ne sont pas faits que de métal. Il y a de la chaire aussi comme nous.

Son père ne lui avait pas dit grand-chose et puis elle ne préférait pas trop en dire non plus pour la simple et bonne raison qu’elle ne le pouvait pas. Toujours était-il que la demoiselle du nom de Mélissandre expliquait le plan qu’ils allaient devoir mettre en place. Si l’idée bien que simple était plutôt bonne, Véronika ne pouvait s’empêcher de soupirer à l’écoute des mots ou elle disait qu’elle ne voulait plus voir de mort joncher les rues. Malheureusement, il fallait se faire à l’idée que la possibilité de voir encore des morts était grande. Dans son plan, nul doute que certains n’allait pas survivre. Les masques d’or n’étaient peut-être pas des génies. Mais c’était des dangereux adversaires et extrêmement résistant, les mettre hors d’état de nuire allait être des plus difficile et nul doute que certaines d’entre nous n’allait pas ne réchapper. Mais la jeune vampire préférait laisser la demoiselle discuter de son plan jusqu’au bout. Le temps n’étais pas venu pour les débats futiles… Elle préférait attendre qu’elle ait finit son discounter pour dire :

Il faudrait alors trouver quelques objets inflammables pour ceux qui ne peuvent utiliser le feu. Il y a sans doute de l’alcool ou des produits du même style dans quelques demeures et qui sont encore utilisable.

L’idée n’était sans doute pas mauvaise une bouteille jeter sur un de ses masques d’or et il suffirait ensuite d’une étincelle pour le transformer en torche humaine. En tout cas, alors que Véronika se mettait en place, elle eut effectivement la chance de trouver quelques bouteilles d’alcool dans une armoire et ceux-ci allaient en plus bien lui servir. Alors que le plan mit en place semblait assez bien marcher. Une dizaine de masque d’or étaient enfermé grâce à un sort lancé par Mélissandre. Mais d’autre masque étaient présent et nous attaquèrent, la bataille ne faisait donc que commencer… Pendant que Mélissandre criait d’une façon assez plaisante de partir à l’assaut. Véronika qui avait une épée en main et une bouteille d’alcool dans l’autre sifflait vers un masque d’or avant de lancer la bouteille en pleine sur le masque qui lui servait de visage. Elle espérait ensuite frapper d’un coup d’épée sur le masque et que le choc crée une étincelle qui enflammerait le masque d’or. Mais celui-ci c’était avérer plus rapide qu’elle. Il repoussa son épée pour ensuite la frapper d’un coup de pied dans le ventre et la mit en sol. Elle eut à peine le temps de se relever que le masque d’or était déjà ses pieds l’arme prête à lui trancher la tête. Elle n’avait pas le temps d’esquiver ou de bloquer l’attaque elle croyait son heure arriver quand une attaque foudroyante repoussait la créature. Véronika ne savait pas d’où ni de qui cela venait, mais cette personne venait de lui sauver la vie et peut-être même d’abattre le masque d’or avec un peu de chance… Même si elle savait que ce n’était pas sur pour autant.

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Mar 01 Sep 2015, 04:58



La situation semblait plutôt bien se passer malgré le volcan qui voulait jouer les cracheur de feu et les Masques d'Or qui tôt ou tard reviendrait se prendre pour des guerriers sans peur. En fait, ils sont sans peur et ne se prennent pas beaucoup de blessures outre quand il est possible d'en assommer un ou deux. Jane se rappelant la croqué qu'elle avait prit et ce goût horrible qu'elle avait gardé en bouche. La bélua écoutait la suite de l'histoire sur le feu pour détruire l'adversaire, thèse qui devenait de plus en plus plausible et possible de mettre en oeuvre grâce à l'apport de chacun.

Mélissandre disparue dans la foule à la recherche de personnes contrôlant le feu, art qui était loin d'appartenir à la renarde, cette dernière préférant se trouver quelques chose pour frapper pendant que le projet prenait forme. Optant pour le groupe dans la maison, la dernière vague de l'assaut qui s'assurera d'encercler les Masques d'Or qui seraient condamnés à périr par le feu. Le silence se répandit dans l'attente du signal, Jane avait toutefois un coup de fatigue, ses yeux se fermaient par moment alors qu'elle espérait voir passer la roche.

La bélua reçu un léger coup derrière l'épaule gauche, trop amorphe pour réagir, elle tourna la tête vers celui ou celle qui avait fait le coup, comprenant aussitôt de quoi il s'agissait. «Nous disions donc, ce soir c'est festin de poissons pas frais...» Jane avait un sourire de dédain à cette pensée qu'elle aurait préférée ne pas avoir, décidément un peu de repos était de mise mais d'abord un soupçon de sauvagerie et de vengeance. Le plan était en place, tous et chacun fonçant vers le centre comme prévu pour encercler l'ennemi, l'effet de surprise fut immédiat. Le cri de Mélissandre ordonna le feu avant de créer un bouclier autour des cibles pour s'assurer qu'elle périssent bel et bien par le brasier.

C'était sans compter que le cercle qu'ils formait aurait une brèche, chacun à proximité se retournant pour constater et entendre l'appel à la violence, au meurtre pour ne pas dire massacre. Au son du volcan qui marquait le rythme, le Masque d'Or se faisait ruer de coups, le faisant trébucher pour lui asséner un nombre incalculable d'impacts avec les pieds. Soulagement instantané de tout stress, tension ou autre élément néfaste à l'état d'esprit. Une pure libération sensorielle que d'ainsi martyriser une de ces choses faite partiellement de métal jusqu'à ce qu'il ne puisse plus grouiller. Les autres hommes à la peau doré avait beau attaquer de plus en plus nombreux, le groupe voguait sur un vent de victoire et piétinait à mort quiconque approchait.

Des combats faisait rage ici et là, l'attention de Jane se porta sur un duel entre un homme et une femme qui avait choisi d'arroser d'alcool sa cible dans l'espoir de l'embraser. L'attaque avait presque réussi mais l'adversaire avait été plus rapide, la poussant au sol. La bélua comprit aussitôt le danger, bondissant vers la cible, prenant forme animale pour plaquer en plein ventre avant qu'il puisse abattre son épée sur Véronika. Le Masque d'Or percuta de sa tête une roche, offrant un son de cloche lors de l'impact contre le métal. Jane riait intérieurement de ce fait cocasse, ne pouvait exprimer un rire puissant et enthousiasme faute d'être dans sa phase humaine. «Vivement que j'arrive à bien contrôler ce truc...» Un autre membre du groupe passa l'instant suivant, faisant signe de se reculer. Ayant aperçu les démarches de la vampire, il avait attrapé une torche et s'occupait de terminer le travail. Le corps s'illuminant de diverses couleurs du au métal qui chauffe ou les produits qui semblait y avoir sur le corps, peu importait la provenance, le résultat seul comptait. Un doux parfum de chair, un peu trop, grillé.
- Vous voilà hors de danger en provenance de ce bougre, passons au suivant.

Dans la prison magique, le brasier avait fait son oeuvre avec brio, les corps inertes de cadavre dont les visages avait littéralement fondus, des traits déformés par la chaleur intense. Un succès sur toute la ligne alors que l'union avait fait la force. L'ambiance semblait prendre des airs de fête alors que le nombre de Masque d'Or diminuait mais le volcan lui ne ralentissait pas.
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Mar 01 Sep 2015, 18:47

Le plan était simple. Il fallait sauver le plus de gens possible. J'étais d'accord. Il n'y avait effectivement pas de temps à parler ou sauver des biens pouvant être remplacés. Il fallait sauver le plus de gens possible. Après avoir entendu cela, j'exécutai le plus rapidement. Je m'envolai pour me précipiter vers le lieu où le son de cris et de panique résonnait. Nous étions un petit groupe et je restais silencieuse. J'avais tellement d'informations en ce moment qui tournait dans ma tête. L'océan était en furie ainsi que le volcan. Les hommes aux Masques d'or détruisaient tout. Le monde était aussi chaotique que dans les années passées. Pendant que je venais en aide à des villageois pris dans les fondations de leur maison, je ne pouvais m'empêcher de comprendre la raison de tout cela. Comme si l'homme et la nature avaient décidé de tout ravager ensemble. Bien que je restais calme d'apparence, une colère l'attente régnait à l'intérieur de mon être. J'espérais tellement que la paix vienne dans ce monde. J'avais tellement vu de morts d'innocents depuis mon retour à la civilisation il y a plusieurs années maintenant. Par contre, je ne devais pas me laisser dépasser par la situation. Je devais aider les gens qui sont en danger. C'est après un petit moment d'absence que je repris sur moi. Les flammes grandissaient rapidement et je ne voulais pas non plus que des habitants provenant de village voisin soient pris au piège. Lorsque je vis que la majorité des gens du village se dirigeait vers la caravane. J'allais essayer d'éteindre les flammes sans trop faire de dégâts. Ainsi, je m'élevai dans le ciel pour percevoir l'eau qui augmentait au fil du temps. J'allais profiter de mon contrôle de l'eau pour éteindre les flammes. C'est en levant une main que l'eau s'éleva dans le ciel. D'un geste rapide et assez similaire à un coup de poing, une vague d'eau se propagea vers le village en passant par le ciel. L'eau tomba violemment sur les bâtiments à l'extrême du village qui étaient en feu. L'eau fit un crépitement sur le bois et les pierres bouillantes. Je voulais éviter que les Masques d'or nous retrouvent rapidement, alors je fis en sorte que le nuage noir des flammes restait bas par une température très lourde en humidité. Le village était rendu fantôme, à moitié en flamme et l'autre en ruine. La boucane allait simplement caché notre fuite et s'il se précipitait, il risquait de tomber face première avec les flammes des maisons se retrouvant au centre du village.

Je me dirigeais vers la caravane avec les habitants que j'avais sauvés auparavant. Je leur avais dit de partir auparavant, mais ils étaient restés là,  pour m'attendre. Ils étaient paralysés de peur et partir sans moi leur semblait être dangereux. Cependant, je trouvais toujours la situation particulière lorsque des habitants qui ne me connaissaient point me donnaient une totale confiance de la sorte.  Après que les gens furent à l'abri, je regardais la mer qui touchait mes pieds. L'eau était davantage en mouvement. La vie marine augmentait aussi vite et le danger pouvait se faire sentir dans l'air saline. Le chemin risquait de disparaître si cela continuait. Je cherchais un plan pour les protéger. Par contre, c'est en écoutant les gens parler de les faire fondre qu'une idée me vint à l'esprit.

* La mer devient de plus en plus agitée... Il serait préférable d'en profiter pour les noyer. *

Allant informer de mon idée, une autre personne informait à voix haute le fond de ma pensée. J'espérais que cette idée qui me semblait de génie puisse fonctionner, mais il semblait qu'une autre idée avait dépassé les autres: celui de les brûler. Malheureusement pour eux, je n'avais aucun pouvoir qui touchait le feu en soi. J'allais pouvoir contribuer à la tâche en les retenant, mais pas à les brûler. Je respectais la décision de la dame. Elle avait un grand talent pour diriger le monde et j'appuyais son attitude. J'avais peut-être un plus haut titre qu'elle, mais elle avait pris la situation en main et cela était honorable. Alors, je suivais les recommandations de la dame. Ne voulant pas être enfermé dans une maison, je décidais de rester derrière la maison que la dame avait indiquée. Nous étions cinq à attendre le signal de la femme. Bien que j'étais confiante, je pouvais sentir le stress parmi le groupe. Il y en avait un qui priait un Aether de le protéger du mal. J'observais les autres membres du groupe, mais je restais de silence. Si je parlais, je risquais de compromettre notre emplacement. Le silence était de mise. Les êtres masqués se groupaient avec la soif de sang. Heureusement pour nous, il était arrivé dans le sens opposé à notre position. Dix Masqués étaient au centre de notre point de repère. Un petit caillou s'éleva dans l'air. D'un simple geste, je poussais une bourrasque d'air devant moi. J'avais l'impression que je pouvais les retenir seul, mais je voulais que le groupe s'entraide. Je voulais voir que l'on peut trouver la force au sein d'un groupe. Tout allait bien sauf un homme qui fut blessé. Ironiquement, il s'agissait du jeune homme qui priait un peu plus tôt. L'Aether semble n'avoir pas répondu à sa demande. Selon mon angle, il avait des chances de survie, mais je ne pouvais le dire clairement.
Cependant, une chose m'inquiétait un peu. Je pouvais sentir un mouvement dans l'air tout près de nous. Il y avait des gens en approche. Il était évident que les hommes masqués n'étaient pas uniquement dix. L'attaque provenant de d'autres était imminente, mais j'espérais que l'on est suffisamment de temps pour les retenir pour qu'il meure. Tout en gardant une pression d'air sur les dix prisonniers, je me retournais pour faire face à deux Masqués. Mon groupe ne pouvait continuer à retenir les hommes en feu et se battre.

- Continuer à retenir ses Masqués!

J'aurais préféré leur en dire plus, mais je n'avais pas de temps. Pour éloigner les deux Masqués, je fis une bourrasque de vent sur les deux hommes. Assez puissante pour les éloigner, je n'avais pas beaucoup de temps pour réfléchir. La pression que je poussais était grande, mais les deux Masques d'ors tenaient à me tuer. Pendant que m'attaquais à eux, je voyais d'autres se faire attaquer par des Masqués. Pendant que je m'attelais à repousser les deux devant moi, j'aidais ceux à côté de moi en donnant des petits jets d'air sur les hommes Masqués. Il n'était pas assez fort pour les faire bouger, mais assez pour les distraire un moment et laisser mes collègues de combat prendre un peu l'avantage pour un temps sûrement limité. Lorsque je vis qu'il était à portée de main, j'esquivais les deux coups d'épée. D'un geste rapide, j'agrippais leur masque et avec la super-force j'assommais les deux Masqués ensemble. L'impact ne pouvait pas les tuer à cause de leur résistance, mais je les avais assez assommés pour les neutraliser. Je décidais, sous l'effet de l'adrénaline, de les propulser et les mettre dans le four maison. J'aidais au four en poussant de l'air à l'intérieur. Les hommes fondaient plus rapidement que jamais. L'air et le feu faisaient bon ménage pour faire une catastrophe. Lorsque je vis que le danger était éloigné, je sentais que quelque chose n'allait pas. Je sentais la colère des éléments dans l'air. L'air était chargé de carbone et je n’appréciais guère cela.

- Le volcan est en colère! Il risque d'éclater un moment à l'autre. L'air est chargé et lourd. Il ne faut pas traîner ici. Je peux peut-être ralentir la lave, mais je ne pourrai pas arrêter ce dernier de couler. Dès que vous pouvez, partez! Je vais essayer de gagner du temps!

J'aurais voulu rester plus longtemps, mais le moment était rendu inquiétant. Je décidai de m'envoler dans le ciel le plus rapidement possible. Je me fis une bulle d'air autour de moi pour pouvoir respirer. La boucane noire qui sortait ne présageait rien de bon. J'avais deux options devant moi si la lave coulait: utiliser l'eau à mon avantage ou l'air. L'air risque d'être plus long et moins assuré niveau résultat, mais je savais manipuler cet élément mieux que quiconque dans ce moment. Je retournai au sol en restant silencieuse sur l'état en espérant que le pire n'arrive pas.

+1440 mots:
(Merci Cocoon!!!!! Il comprend! =P. P.s. J'ai corrigé mon texte sans rien changé de particulièrement grave.)
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Event Août 2015 | Groupe I | Encore contre les Masqués ohéohé

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