Du sang couler de sa bouche. Ses yeux étaient clos. La tête lui tournait et la douleur dans son crâne faisait écho a la brulure dans son thorax. Affaler sur le sol. Il avait manger quelque cailloux, recouvert de blessures ouvertes et d’hématome. Le réprouvé était dans un piteux état. Rien de bien glorieux. Comment en était-il arriver là? Eh bien le début de cette histoire n’aurait jamais pu faire penser cas un seul instant ça puisse se terminer ainsi.

Tout avait commencer alors que le vagabond regardé les poissons remonté la rivière avec envie. Il aurait souhaité pouvoir pêcher et manger un bon saumon. Il avait faim, mais n’avait ni argent, ni la faculté de chasser. A par volé quelqu’un il n’avait aucun moyen de trouvé quelque chose a se mettre sous la dent. Il aurait bien essayé de pêcher a la main, où avec ses lames, mais il avait perdu son agilité et ne serai jamais assez rapide il le savait.  Alors il attendait. Il ne savait comment il aller pouvoir manger, il fallait qu’il trouve une idée et rapidement car la faim se faisait de plus en plus présente.

Sous le calme de la nature, le bruit des arbres, de l’eau coulant à torrent dans la rivière, quelque chose vin briser ce paisible instant. Un homme, plutôt en bon poids, crier en directions e la rive en face. Il était sortie de nul part et foncer a présent dans l’eau. Vue sa panique et l’acharnement avec la quel il tenté de traversé sans se faire emporté par le courant, il chercher à échapper a quelqu’un où a quelque chose. Au début il ne sembla pas voir le réprouvé, puis une fois qu’il l’eu repéré il fonça littéralement vers lui. Trébuchant, les vêtements déchiré, l’air épuisé mais plus que tout terrifier, il s’étala presque a bout de souffle au pied du rocher sur le quel Zéleph était assit. « Aidez moi ! Je vous en supplie aidé moi ! » Il en pleurai presque, la goute au nez, les yeux exorbité. Seulement, le réprouvé avait faim et aucune envie de venir en aide a un gros lard. Cela dit il avait l’air bien riche, malgré ses vêtements souillés par sa folle course, il semblait de qualités. Avait-il de l’argent sur lui ? Avec un peut de chance il pourrait profité de la faiblesse de ce misérable pleurnichard. Seulement il n’avait rien sur lui, pas l’ombre d’une sacoche ou d’une bourse. Par contre il commencer a s’accrocher a son pied en pleurant toute les larmes de son corps, se qui fut assez gênant. « Je vous payerez … Je vous en prie ! Je vous donnerez tout se que vous voulez ! » Voilas qui fut doux a l’oreille du réprouvé. Il imagina de la viande, de la bière, c’était un délice rien que d’y penser.

« Très bien. » Il attrapa l’homme par son colle et le força a lui faire face, trouvant son comportement humiliant pour la race humaine. Zéleph fut totalement indifférent a l’espoir qui naquit dans le regard humide de la victime. Il paniqua pourtant a nouveau regardant par tout autour de lui, quand un grand bruit se fit entendre de là d’où il venait. Le gros homme se cacha alors directement derrière Zéleph, presque rouler en boule, tremblant de tout son être. Levant les yeux le réprouvé vit sortir de la foret trois hommes lourdement armés. La rivières les séparé, mais il savait que de leurs arcs ils pourraient facilement les atteindrais. Rien de bien amical n’émaner de ces trois là. Par instinct il sortit ses lame de ses poignet, près a se battre. Il ne savait pas le comment du pourquoi, mais plus que l’argent il sentait que sa vie aller être mise en jeux. « Ne te met pas sur notre chemin, cet homme est à nous. » Zéleph ignoré tout de leurs histoires, mais par expérience il pouvait voir que les trois hommes étaient des chasseurs de prime et donc, leur proie se trouvé derrière lui a se faire dessus. Le réprouvé n’avait pas envie de discuter, alors il fit un pas vers le bord de la rive signifiant qu’il était près a en découdre. La seconde qui suivit deux des chasseurs le visé de leurs arcs. Le troisième qui semblait être leurs chef leur signifia de baisser leurs armes, s’avancent lui aussi au bord de l’eau. « Ne soit pas stupide. Se gros lard ne vaux pas la peine que tu meurt, crois moi. » « Ca ce n’est pas as toi d’en juger. » Répondit Zéleph d’un ton dure et froid qui ne laisser aucun doute a son choix.

S’en suivit une course poursuite le long de la rivière, Zéleph ce faisant tiré comme du gibier. Il fallait qu’il les dispersé et qu’il arrive a les éliminé un par un. Se fut beaucoup plus difficile qu’il ne l’avait penser au début. Chaque chasseurs étaient de très bon combattant si bien qu’il regretta même de les avoirs provoqué. Il arriva pourtant a en avoir deux sur trois. Non sans mal. Il c’était casser au moins trois cotes, avait l’arcade ouverte et l’épaule décoré d’une flèche. Voilà comment il se retrouva sur le sol a manger la poussière. Le chef des chasseurs furieux venait simplement de lui planté son poing dans son ventre le faisant chuté avec une violence impressionnante à terre. « Tu aurait du réfléchir plus longtemps mon ami. » Sortant une épée de son dos, le chasseur s’approcha du réprouvé a terre. Zéleph se retourna faisant face a son bourreau. Il vit son sourire victorieux, la lame brandit au dessus de sa tête et prête a s’abattre sur lui. Dans un dernier sur saut d’énergie il arriva a rouler sur lui même, l’épée du chasseur se plantant dans le gazon. Zéleph en profita pour se jeté sur lui et planté sa lame droite dans la gorge de l’homme. Une fois l’agonie fini, le réprouvé se leva difficilement. Il souffrait ardemment. Tout son corps lui arraché des plaintes.Fouillant les corps des trois chasseurs de prime pour récupéré leurs argent il trouva également le contrat qui était sur la tête du riche marchant qui l’avait appeler a l’aide. Une belle somme était donner pour sa tête. Retournant au près du cochon, celui-ci changea immédiatement de tête quand il le vit arrivé. La terreur laissant la place a un sourire que Zéleph jugea mauvais. Son visage ressemblait plus a celui ‘un démon heureux d’avoir fait déversé du sang, qu’un humain soulager d’avoir la vie sauve. « C’est fait. » « Bien, bien ! Voilas l’argent comme promis. » Le gros envoya deux pièces d’or au pied du réprouvé. A peine de quoi payé de quoi se soigner. L’humain ria avant de se retourna pour retrouvé son chemin, en crachant sur les cadavres des chasseurs. Le réprouvé soupira. Rattrapent l’homme en quelque pas, il lui attrapa les cheveux, puis lui trancha la gorge sans aucun sentiment. Le corps sans tête de l’humain tomba lourdement. Après tout le contrat disait « la tête », cela devrait leurs suffire. Zéleph n’avait plu cas boité jusqu’au village voisin pour récupéré son argent. Il semblerait qu’il avait retrouvé son ancien métiers. mercenaire, au service de la plus grosse bourse et sur tout de son propre intérêt.