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 Quel prix pour une vie ? (pv Cocoon)

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Mer 01 Avr 2015, 20:47

Il faisait froid et humide. C’était les deux seules idées qui l’avait a l’esprit. Il marché depuis quelques minutes déjà dans cet ruine, sans savoir si il était réellement libre ou non, et la seule idée qui lui vin fut celle là. En avait-il a faire quelque chose d’être libéré après tout se temps ? Après avoir tout perdu ? Il n’y avait ni colère, ni regret dans son coeur. Il semblait même étrangement calme. Il n’en voulait ni a lui, ni a personne. Cela faisait bien trop longtemps pour encore devoir se justifier. De toute façon, sur quel table pouvait-il tapé du poing aujourd’hui ? Il n’était plu rien, il le sentait, il le savait. Tout lui avait étaient retiré. Voilas sa punition. Ni pouvoir, ni force, ni magie. Il semblait vide, comme à son premier jour. Nouveau née. Etait-il a se point aller trop loin ? Certainement, sinon on ne l’aurait pas traité de cette façon. Qu’importe se qui était arrivé, qu’importe se qu’il penser. Tout n’était plu que poussières. Que souvenirs. Des souffrances et des peines du passer. Quelque choses sur les quels il n’avait aucune envie de penser. Alors oui, l’air humide et froid qu’il sentait ici était devenu le seul sujet intéressant qui valait la peine d’être relever. Sa sentait le renfermer, cette odeur odieuse de moisie. Avait-il étaient enfermer ici pendant plusieurs siècle pour que cela est cette tête ? En faite voila une question qui valait la peine. Il ne savait pas combien de temps il avait passer là, dans cette cellule sans porte ni fenêtre. Des mois, des années, il le savait, mais combien, ça il l’ignorai.

Aurait-il une réponse de toute façon ? Pas bien sur. Cela faisait un moment maintenant qu’il tourné en rond ici. En tout cas il avait cette sensation. Il fallait bien avouer que Zéleph n’avait jamais eu le sens de l’orientation. Un piètre leader en somme. Il n’avait pas non plu l’espoir de trouvé une quelconque sortie. Il avait cette impression qu’il n’était pas libéré. on avait simplement agrandit sa prison. peut être était-ce une récompense pour avoir accepté son sort. C’être résigner. Il n’était pas devenu obéissant pour autant, mais cela ne l’empêcher pas de ne plu se rebeller. De toute façon avec la force d’un enfant il n’aurait pas pu faire grand chose. Se n’était pas quelque chose d’ont il pouvait se venté. Etrangement, il s’en ficher. Quelque part il était libéré d’un poids, d’un fardeau. Il ne voulait, ni désiré acquérir a nouveau cette puissance. En ayant perdu cette force, plus personne ne viendrait l’emmerdé. Personne pour le craindre, personne pour l’aimer. Il redevenait un anonyme, et il s’en sentait plus heureux qu’il n’aurait jamais pu le croire.

Il était pied nu dans cette grande enceinte. Il traversé pièce par pièce en découvrant le décors sombre et détruit. C’était délabré, abandonner. Il n’y avait pas l’ombre d’une vie. Il ne semblait pas non plu possible de trouvé facilement une sortie, alors rapidement le réprouvé abandonna l’idée. Il se contenté de marché un peut, visité d’un pas lent et prudent. Il n’avait aucune confiance en les Aetheri et craignez que cela soit encore un de leur piège. Le sol était froid, l’air glacial bruler presque la peau nu de son torse et celle de son visage. Il penser s’être habituer maintenant a cette température, mais en sortant des profondeurs de cette endroit il avait du se rapprocher des courant d’airs plus violants. Epuiser, a force de marché sans but, il s’assit sur une pierre ronger qui sortais sur sol. Une sorte de colonne qui c’était échouer avec le temps. En faisant le tour il c’était rendu compte d’une chose. Il n’était pas dans une prison classique, ou quelque chose du genre. Il se trouvait dans un lieux sacré, quelque chose de gigantesque, qui avait étaient construit a la gloire de quelque chose ou de quelqu’un.

Assit là il imagina qu’il aller encore devoir subir le silence et la solitude. Regardé le temps passer sans avoir l’impression d’y participé. Simplement être spectateur.
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Mar 21 Avr 2015, 13:45

« Cocoon... Ca ne va pas ? » L'Orisha tourna la tête, lançant un coup d'oeil par dessus son épaule. Derrière lui, une muse arrivait doucement, venant le rejoindre sur le balcon du palais. La nuit était claire, la lune était pleine et les éclairait comme jamais. Le soupir du Titan retentit. Il était fatigué, las, mais n'y pouvait rien. Il courba son corps, faisant plier cette stature en deux, brisant son échine pour poser ses avants-bras sur la rambarde en pierre du balcon. Plongeant la tête dans le creux de ses bras, il regarda le sol. La femme qui partageait sa vie posa une main sur son dos, caressant cette peau à la couleur et à la chaleur du soleil. Sentant cette peau gelée, il attesta la proximité de la femme, et se redressa en expirant lourdement « Les Oracles m'appellent depuis longtemps... Il faudrait que j'aille les voir. » Attrapant la belle pour l'asseoir en face de lui, il posa ses grandes mains sur ses petites cuisses de lait « Je fais un rêve... Comme celui que j'avais fait pour aller chercher Morgana... Sauf que là, ça concerne les Oracles. Mais j'ai un mauvais pressentiment. Je me refuse d'aller les voir... », « Que crains-tu bel homme ? », « La fin d'un monde. La fin de notre monde, Lucrèce. » Baissant les yeux, il soupira à nouveau, collant son front au sien. La voix de la magnifique vampire était douce, feutrée, sensuelle, ne bousculant ni l'harmonie des lieux, ni l'harmonie de leurs âmes. Il sentit alors ses longs doigts blancs parcourir ses joues brunes, effleurant pudiquement ses angles masculins, ses pommettes dures et sa mâchoire carrée. Son échine tressailli, trahie par un frisson. Avançant son visage, il embrassa la bouche de fraise de sa dulcinée.
Pourquoi ne l'avait-il pas fait plus tôt ? C'était dans son étreinte qu'il retrouvait sa tête. C'était contre elle qu'il avait la meilleure des vues pour scruter le monde. Comme un miracle, comme un remède à tout, ses pensées s'éclaircirent « J'irai les voir. » Le peuple avait besoin des yeux aveugles des Oracles. Sans eux, certains évènements importants seraient passés sous silence.

Cocoon se rendit chez les Oracles, dès que le jour se leva. Infirmes clairvoyants, prédisants un avenir plus ou moins vrais. Le souverain devait découvrir pourquoi ses rêves, pourquoi ses appels. Même s'il se refusait d'y aller, même si tout cela n'était pas pour lui, ni dans ses croyances...
« Oracles... », « Le Roi est venu ! Cocoon, nous t'attendions. », « Je sais. », « Nous savons que le temple n'est plus un lieu pour nous, mais il faut que tu comprennes qu'il reste un lieu sacré. », « Antarès n'est plus, vieillard. », « Mais d'autres subsistent. Antarès n'a jamais été seule. », « Et donc ? Vous êtes en train de me dire que vous voulez retourné là-bas ? », « Non, mais toi oui. », « Vous êtes conscient que je vais chopper des rhumatismes dans votre bouge sacré ? », « Roi ! Un indigne profanne notre lieu depuis trop longtemps. Tu ne peux pas l'ignorer. », « Il fallait peut être commencer par là. Je vais y envoyer l'armée, comme ça il dégagera vite le squatteur. », « L'armée n'y fera rien. Un Mortel n'y fera rien. L'indigne est divin. Et il n'y a qu'un homme pour vaincre les dieux, et c'est toi Cocoon. » Le Titan fit demi-tour, sans mot, sortant de là.
Les vieux avaient totalement embrouillé son esprit avec des paroles inconcevables. Il ne comprenait pas... Un Dieu squattait là-bas ? Non... Les vieux ne s'en seraient pas plain. Peut être un prophète fou. Un émissaire, un champion, envoyé peut-être par Sympan lui même, qui savait réellement ?

Cocoon partit au plus vite. Il se téléporta directement à la montagne, sachant qu'il se devait de braver la tempête. Il ne pouvait pas se téléporter dans le temple. La magie n'opérait que peu là-bas. Elle était juste assez puissante pour permettre aux anciens de communiquer avec les Dieux. Il marcha pendant des heures dans la neige, arrivant devant le grand bâtiment lorsque le soleil était encore dans le ciel. Ses fourrures et autres couches de vêtements, étaient complètement envahies de neige immaculée.
Il tira l'énorme porte qui bougea, dans un grand raclement de pierres sur le sol. Elle devait facilement atteindre les seize pieds de haut et faire plusieurs kilogrammes, peut être atteignait-elle la tonne. Un courant d'air affreux lui gela les os, et il entra rapidement dans le hall. Tout était en pierre, sombre, froid et absolument abandonné. Ses pas résonnèrent, s'étendant, courant le long des murs pour mourir au plafond « Il y a quelqu'un ? » Voix rauque, ferme, autoritaire... Celle d'un homme, celle d'un monarque. Continuant d'avancer, il se dit que, quoi qu'il advienne, l'entité résident ici n'avait pas une très grande aura magique. Etant sensible à la présence des Aetheri, vu combien il les détestait, il aurait pu rapidement capter cette... Magie, cette aura particulière qu'il avait rencontré si souvent au temple. Mais ici, ce ne fut pas le cas.

Continuant son chemin, il se rendit dans une salle. Celle où les Oracles avaient l'habitude d'habiter. Observant les lieux, il ne vit rien de particulier, rien de récent. Ces vieux fous ne lui avaient-ils pas raconté des salades ? Ce ne serait tellement pas étonnant. Les Oracles deviendraient-ils séniles ?
Allant dans une très grande pièce, il vit des murs dressés au centre de la zone « Depuis quand... » Y avait-il un labyrinthe ici ? Les vieux s'emmerdaient tan que ça pour faire construire un truc de pareil ? Lorsque Cocoon se rendait ici - pour les peu de fois où il était venu- il n'était allé que dans une seul pièce, celle de vie des séniors, aucune autre. Ainsi il découvrait finalement le temple...
Seulement les labyrinthe, il n'y avait rien de plus chiant.
Et pour cause.
Levant la jambe, il donna un coup de pied puissant dans le mur en face de lui. Il craqua, se fissura, puis tomba. Avec la force, l'élan et la lourdeur des pierres, l'autre mur sur lequel il tomba se fissura et craqua. Il en fit aussi craqué un autre, qui s'effondra. Et petit à petit, les murs s'effondrèrent sur d'autres, qui eux-mêmes s'effondrèrent sur d'autres, dans une chaine infini, jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus aucun.
Terminé.
Commençant à marcher sur les débris de cette prison claustrophobique, il regarda toujours autour de lui, essayant de capter l'once magique qui le ferait sursauter. Dans ce silence pesant, il se tendit, prêt à tout. Mais la seule chose qu'il percuta, fut une main. Un pauvre bras, blanc comme un linge, sur le sol. Sous les décombres, un corps essayait de survivre. S'accroupissant, il commença à enlever les pierres gravées, lourdes, mortelles. Petit à petit il découvrit des jambes, un bassin, un torse, et une tête. Le tout en assez mauvais état.

Regardant l'homme à terre, blessé, mutilé, barbu, chevelu... Il se dit que les Oracles devaient très certainement parler de lui. Seulement, il n'avait rien de divin.
Se rapprochant alors à nouveau du sol, il toucha son front, sa joue, et tapa un peu cette dernière dans le but de le réveiller. Ce fut laborieux, mais le clochard finit par ouvrir les yeux. Cocoon ne prit pas le temps de le détailler et il dit « Les Dieux, c'est plus ce que c'était. Aller mec, viens. Faut que tu sortes de là, c'est pas chez toi ici, c'est chez moi. » L'attrapant par les bras, il prit le pas de le soutenir pour l'aider à marcher. Une fois dans le hall, il l'assit sur une murette et se mit en face de lui « Bon je vais te faire boire et manger, et je vais t'habiller, car si le temple ta pas tué, la montagne elle, elle ne se gênera pas. » L'orisha enleva ses plus épaisses couches de fourrures, les lui passant pour qu'il s'habille mieux, de manière à survivre aux intempéries. Il sortit quelques vivres énergisantes, et une outre de sa besace « Tiens. » Cocoon le regarda alors d'un peu plus loin, un peu mieux. Il prit le temps, cette fois-ci, de le détailler. Dès que ses yeux l'analysèrent, son esprit fit l'association directe avec un homme. Un homme porté disparu. Fronçant les sourcils, il serra les dents. C'était impossible... Et puis finalement il trouvait que ça ne collait pas si mal. Il était du genre à fricoter avec une déesse alors... Forcément, ça créé des problèmes. Et puis pour qui le connaissait, certaines choses physiques de lui étaient caractéristiques.
Ca ne lui sauta alors aux yeux que lorsqu'il s'en soucia.

Soupirant il se frotta le visage, venant s'asseoir à côté de lui « Me dis pas que t'es Zéleph Stark... »

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Mar 21 Avr 2015, 16:33

Il sourit. Faible et sarcastique, mais il souriait malgré tout a cette affirmation presque soufflé, comme impossible. Il avait un mal de crâne a s’en faire explosé les tempes et la sensation de saigner un peut après se qui venait de se passer. La notions des choses autour de lui était flou. Sa perception troublé. Etait-ce la folie ou bien le réveille difficile après s’être fait assommer, il n’aurait su différencier l’effet. Il était probable que se soit les deux, comme un retour a la réalité. Quelque part il était surprit par cette douleur intense. Pas qu’il n’en ai jamais connue, mais cela faisait longtemps qu’il n’avait pas ressentit ça. C’était a nouveau la marque de sa vulnérabilité. Il n’était plu personne. Personne. « Io zigrin. » Son regard braiser suivit le mouvement de l’imposant homme qui lui avait fendu le crâne en deux. Il réalisa que cette inconnu ne savait certainement pas parler sa langue, mais cela faisait si longtemps qu’il était enfermer ici qu’il en avait oublier d’être sociable. L’avait-il un jour était ? Certainement pas. Il traduit alors dans le même souffle épuiser. « Je l’ignore. » Non pas qu’il était amnésique, mais il ne pensait plu réellement savoir qui il était. Avec peine il avait échapper a la folie, et encore rien n’était certain. C’était juste qu’il se sentait vulnérable, incapable et jamais, Ô grand jamais Zéleph Stark n’aurait ressentit de tel sentiment de faiblesse. Pourtant c’était un fait. Il n’avait plu aucun pouvoir, sa puissance c’était envolé, récupéré par les dieux. Il ressentait l’aura écrasante de son interlocuteur, sachant que cette homme était égale, peut être même supérieur a la puissance que lui avait un jour possédé. Il comprenait le sentiment de crainte que tant de gens avaient pu ressentir en sa présence. Il ne pourrait surement plu jamais éprouvé se plaisir a voir les autres le redouté. Voilas qu’il était devenu aussi chétif qu’un enfant.

Le plus déstabilisant c’était ça, se tenir a coté de cette imposante masse de force et de puissance. C’être fait « sauver » comme l’on sauve la veuve et l’orphelin. Les faibles. C’était très charitable, mais pour un homme comme lui c’était dégradant. Les Aetheri auraient pu lui cracher au visage cela aurait était tout aussi peut supportable. Il supposé que c’était l’idée. Le punir. Pourtant il ne se souvenait pas avoir si mal agis. Combien de fois c’était-il rebeller contre les Esprits ? Contre les Dieux ? Combien de fois les avaient-ils maudits, par fois même rejeté au risque de tout perdre ? Seulement ils l’avent toujours remit a sa place, en le torturant, en l’humiliant, alors qu’avait il bien pu faire cette fois pour qu’on le rende plu mortel qu’un misérable humain.

Zéleph fixa un instant l’homme qui l’avait reconnu. Jusqu’à il y a peu il ignoré qui il était, alors pourquoi était il ici ? Comment l’avait-il reconnu ? Lui ignoré cette personne. Quoi qu’elle lui disait fortement quelque chose. Pourtant peut habile avec les noms il fut incapable de trouvé un nom a mettre sur se visage. Quoi qu’il en soi il devait avoir un haut rang pour insufflé une aura aussi puissante. Quoi que rien ne pouvait affirmé de tel chose, après tout, lui ressemblé bien a un clochard et pourtant il était Dovahkiin. Son regard se détourna, pour faire le tour de ce lieux sombre et glacial. Il chercher des repères pour comprendre, mais aucune réponses ne lui fut facile, sa seule chance de savoir était son « sauveur ». « J’ignore même où je suis et pourquoi les Dieux mon enfermer. Combien de temps suis-je rester là ? » C’était stupide. Il se sentait stupide. Seul aussi, face a l’inconnue, face a l’ignorance profonde et sombre qui entouré a présent sa vie. Il n’était ni malheureux, ni désoler, simplement fatiguer d’avoir encore servit aux mensonges de puissants.

Levant difficilement sa main, il regarda encore sa peau sèche, ses doigts se ferment sous la contraction douloureuse de ses muscles. le simple geste était un combats pour lui. Si longtemps enfermer, dans le froid, la soif et la faim. Nourrit, il avait était bien sur, mais juste assez pour survivre, pas pour vivre. « Il semble que l’ont met privé de tout ce que j’était. » Il eu un profond soupire en laissant son bras tombé, comme si cela lui avait demander toute sa force. « J’aurait préféré être mort que subir cette humiliation. » Avoir était le champion de se monde, l’homme le plus crains, celui pouvant rivalisé avec la puissance des Dieux. Un demi-Dieux, réduit au silence, réduit a la force d’un misérable vieillard. Y avait-il un but a punir quelqu’un sans qu’il ne sache pourquoi ? Il avait eu le temps d’y penser, de questionner, mais cela ne rester qu’un écho. Dans le vent, où dans sa tête, il avait était seul si longtemps. Des mois, des années ? Il n’aurait su dire, mais assez pour arrêter de croire qu’il serait libre un jour. Alors a cette instant il ne croyait pas une seule seconde qu’il aller sortir de là, que la vie pouvait continuer, car au fond il étaient mort. Ils l’avaient belle et bien tuer.

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Jeu 30 Avr 2015, 12:52

Le type qu'il avait à côté de lui n'était que l'ombre de lui même. Ca ne servirait à rien de le faire parler, il avait l'air aussi mort que vivant. Cocoon, assit à ses côtés, soupira en entendant ces mots. Il ignorait s'il était Zéleph ? Ne pouvait-il pas répondre à une simple question ? La tête de mouton qu'il avait, ne lui épargnait rien, et l'Orishala préféra se fixer sur son intelligence et son sens de l'observation, que sur les divagations de ce sans-abris.
Apparemment les Dieux l'auraient enfermés ici, et depuis pas mal de temps. Cocoon haussa les épaules, tout à coup détaché de cette situation « J'en sais rien. T'as disparu il y a un bout de temps... Un peu moins de dix ans je dirais. Je pensais pas que tu aurais autant énervé les Dieux pour qu'ils t'enferment. Chacun son petit fantasme, moi il préfère me coller un dragon... » Décidément, les Dieux n'aimaient pas les puissants... Entre un qu'ils avaient désiré voir enfermé comme un rat en cage, et l'autre dont il riait de la course poursuite avec les dragons en tout genre... Leurs passe-temps étaient plutôt douteux.
Et puis Zéleph lui filait le bourdon. De voir un homme si digne, en être réduit à ça... Etait-ce cela qui l'attendait aussi ? Lorsqu'il vieillirait, qu'il croupirait dans son futur stable et solitaire... Il perdrait tout ce qu'il aura accumulé ?
Interdiction.

« Les Dieux sont vicieux, ils ne t'auraient jamais laissé mourir. Tu étais quelqu'un. Comme tu viens de le dire, ils cherchent l'humiliation des puissants, pas leur perte. Mais là... Si tu veux retrouver tout ce que tu as perdu ça risque d'être compliqué. Je crois que ta fille va prendre le trône. Enfin, si c'est ta fille. Erza, une espèce de rustre, blonde, mal élevée. Quand tu es partit, il y a eu une espèce de mou du genoux qui a prit ta suite, que le peuple a mis un moment a accepté. M'enfin, même maintenant je ne suis pas sur qu'il l'aime bien... Par contre, ils ont détruit ton circus, et l'étoile noire. T'as plus de putes, et plus de marché noir. » Appuyant son coude sur son genoux, il posa sa tête sur sa main « T'as pas raté grand chose. Il y a eu la fois où Jun a trouvé intéressant de détruire le monde en réunissant le cristal maitre, puis la fois où, on ne sait comment, la magie s'est barrée. Enfin, moi je le sais. Tu sais il y a le Dieu des Dieux, Sympan. Une légende racontait que si tu réunissais le cristal maitre tu auras sa puissance, blablabla, bref, des légendes comme on les aime. Donc avec le retour de Sympan, la magie s'est éteinte sauf celle des génies et des magiciens, les dignes descendant de ce dieu originel vois-tu. Nous on pu des pieds. La moitié de la planète s'est faite décimée car il n'y avait plus de magie, et les premières créatures, les Ridere, nous ont attaqué. Ils étaient invincibles, donc ils ont tués nos femmes, nos enfants, et ont détruit nos villes. Et puis quand tout était dans le rouge, le cycle de la mort et de la vie a eu un problème, et les esprits sont devenus des personnes tangibles. Donc surpopulation. Tu as d'ailleurs du avoir un peu de visite dans cette periode là... Enfin, Sympan est arrivé et d'un coup de baguette magique a essayé de faire une résurrection collégiale, et de remettre les villes comme elles étaient. Enfin ça a fait un énorme bordel pour que dalle au final, comme d'habitude. Et puis depuis... Il n'y a pas eu grand chose. » Soupirant il dit « Je te dis, t'as rien raté. A part un pathétique conseil des chefs. A nouveau oui. » Décidément, les réunions n'étaient pas ce qu'ils préféraient sur les terres « Ah si, des Ætheri sont morts. Les plus faibles, et même certains forts, n'ont pas survécus, et ont disparu. C'est tellement dommage... » L'ironie se sentit dans sa phrase. Cocoon détestait la religion et les Ætheri, ce n'était pas nouveau.

Sentant des courants d'air, le Titan se redressa pour ne pas se laisser engourdir et dit « Au fait, je m'appelle Cocoon. » L'ambiance était maussade, peut être peu optimiste, mais l'Orisha finit par dire « J'ai toujours eu beaucoup de respect pour ce que tu étais, ce que tu as fait, et ce que tu représentais. Et j'en ai toujours. Le monde ne ta pas oublié, mais j'ai l'impression que tu as oublié le monde. Je suis là pour t'aider, sans contrepartie. » Ce n'était pas le genre d'offre qu'il pouvait refuser. Moins cher que gratuit, tout le monde prenait ce genre de marché de nos jours.
Cocoon était quelqu'un de franc, et si Zéleph avait l'oeil morne, s'il l'avait encore aiguisé, il pourrait déceler la chance qui se profilait devant lui. Si avant, se faire apprécier du Dovahkiin était une chance, aujourd'hui, la tendance s'était inversée et avait sourit à l'Orishala. Et ce dernier le tirerait de sa léthargie.
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Jeu 30 Avr 2015, 14:17

Beaucoup d’informations sortait de la bouche de cette homme. Zéleph n’avait pas vue un corps fait d’os et de chair de puis près d’une décennie d’après ce qu’il entendait, et là tout d’un coup on lui déballait un déluge de vérités. Au moins il n’aller pas rester ignorant bien longtemps. A vrais dire il ne pu s’empêche de sourire. C’était pathétique. Lui, les Aetheri, le monde. Tout se temps passer et cette éternel recommencement. Cocoon ? Oui cela lui disait bien quelque chose. Il semblait bien aussi ravis que lui sur le sort de leurs destinés et la façon dont ces terres tourné. Le réprouvé réfléchit quelques instant. Essayant de digéré toutes les informations. Une médiocrité assise sur son trône ? Ironie, encore et toujours. Son peuple avait toujours eux la chance de n’avoir que des leugnes pour le gouverné Sa fille, si il pouvait encore penser qu’elle l’était, le convoité. Bien, soit, il ne voulait plus rien a voir avec la royauté. Si il sortait d’ici, il regarderait les siens sombré a nouveau. Plus jamais il ne donnerait quoi que se soit pour subir la médiocrité des autres races. Il ne regretté rien, son peuple l’avait aimer, c’était soulevé avec lui et il avait pour eux une certaine admiration, mais il préférait disparaitre de leurs vie à l’apogée de son reine, qu’ils se rendent compte de l’incapable qu’il était en réalité. Egoïste, oui peut être, mais il le mérité.

On avait détruit tout se qu’il avait. Encore une fois il n’eut ni peine, ni regret. Le circus, il l’avait pratiquement abandonner de lui même. Il avait massacré sa vie et abandonner l’idée d’emporté avec lui quoi que se soit dans la tombe. Voilas qu’il sortait de son cercueil, et il se fichait bien de retrouvé se qui lui appartenait. Plusieurs siècles à se battre pour créer un empire. Un empire fait de violence et de médiocrité. Tout n’était que matériels. Sans réel valeurs en somme.

Il entendait la guerre, la mort, la puissance. Le deuil, la guérison et puis la vie. Zéleph était déjà épuiser a peine le colosse avait commencer. Jamais il n’avait porté intérêt a se monde et sa destruction. Il était intervenu par fois, la plupart du temps malgré lui. Les Dieux avaient subis des pertes ? Eh bien se n’était qu’un juste retour des choses. Il n’aller pas versé une larmes pour ces menteurs, ces meurtriés. Après tout, il le savait de puis fort longtemps, toutes ces divinité n’était au final que des hommes qui, par folie, avaient décidé de soumettre les autres en s’élevant. Lui, comme son camarade semblerait-il, n’était qu’une marionnette au service de leurs bon vouloir. Se qui l’intéresser sur tout c’était la raison pour la quel on l’avait écarté. pourquoi il avait était puni, comme un enfant. On lui avait repris ses jouets et privé d’une partie de sa vie. La colère n’était pas encore de mise. Il était plutôt blasé. Loin d’avoir la force de haïr qui que se soit. Il était perdu.

Son regard était posé sur le titan devant lui. Oui, il avait du le croisé quelque fois, mais dans son orgueil il n’avait jamais fait attentions a qui que se soit. Voilas un regret. Ce gars n’avait rien a gager a l’aider. Zéleph n’était plu rien, qu’un nom, une légende. Il n’avait ni titre, ni richesse, ni puissance. En plus il avait profané un lieux sacré de sa race, malgré lui, mais ça faisait tout de même une bonne raison de le mettre dehors sans concession. Le réprouvé trouva cela presque insolite. Se titan qui aurait pu l’écrasé comme le grain de sable qu’il était devenu, lui exprimer son respect. A sa près il avait du mal a croire se qui se passer. Il devait supporté l’impressionnante puissance de l’Orisha, presque étouffante, et l’entendre lui offrir son aide. Non, il n’avait rien a gagner, alors n’ayant de toute façon pas trop le choix en cette instant, le réprouvé, ou la carcasse qu’il était fut secouer d’un rire. Oui, il trouvait ça amusant. Plus qu’amusant c’était absolument surréaliste. Qu’est-ce qui c’était passer pour qu’il en arrive là ? « Toi tu ne rigole pas. » Il ria encore. Il ne se moquer pas, non, il réaliser bien la chance qu’il avait eut que se titan lui tombe dessus. Seulement il fallait bien voir le ridicule de la situation.

Calmant son fou rire, essoufflé par celui-ci, il se leva en s’appuyant sur les pierres autour de lui. Il se tin comme il pu, droit devant le souverain. Zéleph n’était plu personne, et il ignorai si il voulait redevenir qui que se soit. « Il semblerait que je soi là de puis plus longtemps que je ne le pensé. J’ai raté bien des choses, mais ça n’a pas grande importance. Je ne suis plu se qui était. » Le réprouvé n’en était même pas triste. En vérité il y avait cette nouvelle énergie en lui, comme si soudain on lui donner une autre chance. Comme si il venait de naitre a nouveau. peut être était-ce cela le but. Changer. S’amélioré. Evoluer. « Tu n’a aucune raison de m’aider et je ne te demanderait rien de tel. Un type comme toi ne devrait pas avoir un déchet comme moi collet au pied. » Le légendaire amour-propre des réprouvés refaisait surface. Il semblait qu’il retrouvé ses marques au contacte de  ses semblables. La solitude ne l’avait pas totalement rendu fou. Il l’espérer. « Je ne sais pas se qu’ils voulaient en me faisant régresser, mais se qui est sur c’est que je ne peut me permettre de devoir quoi que se soit a qui que se soit. » Il ne voulait ni être redevable, ni être un fardeaux. Zéleph c’était toujours débrouiller seul. Sur tout a cette instant où il était aussi vulnérable qu’un enfant.

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