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 Le bouc émissaire [PV Yami]

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Lun 19 Jan 2015, 19:01

Tu marchais depuis maintenant trop longtemps. Ta seconde journée de voyage était bien plus éprouvante que ce que tu aurais jamais imaginé. Déjà fatiguée de votre longue marche de la veille, il a fallu que toi et Flamiche tombiez dans cette grotte, accueillies par une charmante araignée... au final, tu n'avais même pas eu le courage de trouver cette fameuse milibe, la fleur qu'ont quéri les aubergistes elfes. Tu es toute rouge de honte rien qu'à t'imaginer leur révéler ton échec... encombrée de cette pensée, ton pas se fait plus lent dans la neige. Tu baisses la tête, instinctivement, quand tu aperçois la fumée des chaumières au loin. Flamiche ne profère aucune remarque ; marchant à une distance raisonnable de toi, elle doit être perdue dans ses propres pensées. Alors que tu appréhendes tes retrouvailles avec tes bienfaiteurs, Flamiche est, par contre, toute excitée de les revoir. Elle a hâte de retrouver un endroit et un plat chaud... et tu ne la comprends que trop bien.

Mais alors que tu t'attendais aussi à passer une fin de journée paisible, l'accueil que vont te réserver les habitants témoigneront du contraire... quand vos silhouettes traversent la forêt de sapins et que les premiers habitants vous remarquent, ce ne sont pas les sourires courtois ou timides qui s'affichent sur leurs visages marqués par le froid. Non. Leur bouche ne se retrousse pas d'un millimètre, et leurs regards pourraient presque geler les arbres qui vous entourent, s'ils ne l'étaient pas déjà. Naïve, tu ignores ces manifestations hostiles : ils sont certainement de mauvaise humeur, qui sait ? En revanche, Flamiche n'est pas dotée de ta sourde oreille de petite fée innocente.

FLAMICHE : Ils ont quoi contre nous, ceux-là, encore ? Ils nous ont déjà oubliées ? ... Viens, Etincelle, on accélère le pas.
ETINCELLE : Hein ? Du calme, tu crois pas que tu mets la charrue avant les bœufs ? On ne va pas se faire manger !

Et, soudain, en employant cette image, tu te revois devant cette araignée qui, elle, vous aurait bien mangées. Une boule t'empêche soudain de déglutir. Ta mort aurait pu être si proche, tout à l'heure seulement... et celle de Flamiche... ah, non. Arrête de penser à ce genre de choses. Secouant la tête, tu chasses tous ces souvenirs trop frais à ton goût, et tu te reconcentres sur les choses étranges qui se déroulent autour de vous.

FLAMICHE : Fais. ce. que. je. te. dis.

Déjà sur les nerfs, Flamiche a sifflé ces ordres entre les dents. Alors que vous avancez vers l'auberge, les villageois qui semblaient de mauvais poil vous suivent discrètement. Cette fois, malgré ton optimisme, tu ne peux ignorer qu'il se passe quelque chose qui ne va pas vous plaire... tu aurais envie de te faire aussi petite qu'un pou ou de t'accrocher au bras de la bélua, mais tu ne peux faire ni l'un ni l'autre. Alors, les jambes flageolantes, tu continues à marcher maladroitement. Quand tu arrives enfin près de l'auberge, ton estomac fait des noeuds désagréables : tu es certaine qu'à l'intérieur se cache la réponse à tout cela. En fait, tu n'as pas envie de la connaître, mais Flamiche te fait comprendre que vous n'avez pas le choix. Ici, sur le territoire d'inconnus, ce n'est pas toi qui fais la loi.

Tu t'arrêtes devant la porte, tremblante. Mais Flamiche ne te laisse aucun répit et l'ouvre. Une chaleur qui aurait pu être agréable vous envahit. Mais tes frissons ne font qu'empirer quand tu entres dans l'auberge.

AUBERGISTE : AH ! Vous voilà, vous !

À entendre le ton menaçant de l'elfe qui vous avait paru si doux, ton cerveau se stoppe complètement. Tu as l'impression d'être prise en faute, mais en faute de quoi, exactement ? C'est ce qui t'inquiètes le plus. Non, tu n'as pas ramené la milibe... oui, vous êtes arrivées tard... mais est-ce une raison pour être aussi hostile ? Tu ne sais pas. Tu ne sais plus rien. Désormais, tu attends, pétrifiée, de subir ta punition pour une faute inconnue. Mais alors que tu deviens aussi pâle qu'un fantôme, les larmes aux yeux, Flamiche s'avance, en colère. Rien ne peut la calmer quand elle est énervée. Que va-t-elle faire pour vous défendre ? La regardant, tu fondes tous tes espoirs en ta sœur, priant intérieurement.

FLAMICHE : Eh. On a passé toute la journée à chercher votre satanée fleur, et c'est comme ça que vous nous accueillez quand on revient, complètement exténuées ? Vous avez vu un peu la tempête qu'il y a eu quand le soleil était à midi ?! Non ! Car vous êtes restés bien au chaud. On est que des jeunes filles ! Donc j'attends un peu de respect et... tiens, t'es qui, toi ? Et pourquoi tu portes nos sacs, d'ailleurs ?! Réponds !

Chaque mot de Flamiche a été comme un coup asséné sur la table. Elle a ce don de ne jamais se laisser démonter alors que toi, tu tombes en pièces quand on te souffle dessus. Comme si, en fait, même grandie à la taille d'une grande fille, tu restais aussi fragile et maniable qu'en ayant ta taille de fée... c'est certainement car, même si tu changes physiquement, le monde te paraît encore magnifiquement grand et intimidant.

Néanmoins, tu sors de ta torpeur quand ton regard se pose sur ton sac, balancé aux pieds de cet inconnu aux lunettes noires. D'abord, tu as l'impression que ton sac a été souillé et tu cours le récupérer, en reculant tout aussi vite de l'inconnu. Quelque chose qui émane de lui te fais encore plus peur que l'aubergiste, en ce moment-même, et tu n'as pas besoin de te demander pourquoi : sa silhouette imposante, le fait de ne pas percevoir son regard, peut-être. Il te fait penser à ces espions dans les histoires que te contaient ton père. Perdue et intimidée, en tenant fort ton sac, tu attends qu'il réponde à la question de Flamiche, en priant pour qu'il fasse comme si tu n'existais pas. Comme si tu n'étais qu'un pou.

Eclaircissements xD:
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Lun 16 Fév 2015, 12:38

Il faisait froid içi. C'était les premières fois que je m'aventurais dans un endroit pareil. Très loin des bordels bourré de jolies femme qui vous font monter vôtre température corporel en un rien de temps. Mais j'étais bien loin de la maison. Et je le regrettais un peu. Je voulais visiter un peu les montagnes mais je me suis perdu car j'ai tué le guide sur la route. Il voulais pas me laisser pisser dans la neige alors bin, voilà. Et puis après de longue heures de marches, je me suis retrouvé dans ce village. Pile poil après un blizzard des plus violents. J'étais recouvert de neige de la tête au pied. J'avais un petit bagage, trois fois rien. Juste des fringues de rechange et je me les caillaient à morts vu que je ne pensais pas qu'il ferait aussi froid. Alors je me pressais un peu de rentrer dans ce qui a première vu, ressemblait à une auberge. J'ouvris la porte avec une petite once de violence qui démontrait bien mon empressement à retrouver un endroit chaud. Je rentra tellement vite que je manqua de peu de me ramasser sur le planché. Mais je me rattrapa et ferma la porte de suite pour conserver la chaleur. Du moins, la salle était chauffé car l'ambiance s'était refroidis dès que je venais de rentrer. Des regards du coin de l'oeil, des chuchotements et tout ce qui s'en suis. Mais bon, j'avais l'habitude de se genre de choses. Et en général, ça s'arrête à là. Alors tranquillement, je me dirigea vers une table inoccupé pour me reposer un peu et au passage, sortir mes habits plus chauds et mettre les léger dans le sacs. Et puis, j'attendais. J'attendais. Encore et encore. J'attendais qu'une serveurs ou un serveurs au pire. Voir même l'aubergiste! Vienne simplement me prendre ma commande. Mais rien y fesait. Alors je pris la décision de me lever pour aller en direction du bar. Je frappa le bois du plat de la main encore dans son gant pour faire une réclamation. Enfin plutôt une constatation.

Ecoutez mon petit monsieur! C'est inadmissible de se comporter comme tel envers un client à la limite de mourir de froid venant se réfugier dans vôtre auberge pour se réchauffer et se rassasier. Vous avez intérêt à vous bougez avant que je m'énerve. Et je vous préviens, c'est pas jojo à voir!

Le ton menaçant n'y était pas car en prime, j'étais crevé. Alors bien sûr, cela ne faisait aucunement effet. Je m'assis sur le tabouret et posa le crâne sur le bar assez fort. Et puis, je m'endormis. Le voyage avait été long et crevant. J'avais au moins espéré que je puisse avoir au moins un lit pour la nuit. Mais il en fut autrement car quelques heures plus tard, je me réveilla en sursaut. J'avais froid et on me balança des trucs à la figure. En plus de me balancer dehors, on me lança mon sac et deux autres alors qu'ils n'étaient pas à moi. Je somnolais encore que je me faisait agresser par une voix des plus agaçante. Je regardais alors celle qui m'aboyais dessus. avec un regard fermé, sérieux et froid, comme à mon habitude. Et je remarqua du coin de l'oeil qu'une petite elfe rappliqua pour prendre un sac avant de se retirer aussi tôt. Je bailla un coup avant de poser ma mains sur la tête de l'elfe colérique.

Allez tais toi deux secondes s'il te plaît, je viens de me réveiller alors zen. Et puis cris pas comme ça sur les gens, c'est chiant. Pour vos sacs je ne savais même pas qu'ils étaient vôtre. Alors calme toi.

Je lâcha la tête de la petite même si elle essaya de s'en dégager depuis un moment. Et pour quoi? Pour prendre un cigare. Je l'alluma et tira la première latte. Je me dirigea vers l'aubergiste. Toujours l'air aussi calme. Je le regarda dans les yeux pour lui adresser la parole. Le ton hautain que j'allais prendre n'allait probablement pas lui plaire.

Et toi. Ecoute mi bien je ne me répéterais pas ce coup ci et je suis sérieux. On ne balance pas les gens dehors comme ça sans raison. On ne se comporte pas comme ça envers des clients et surtout. Surtout!

Je le pris à une main pour le plaquer au mur avec violence.

On ne se comporte pas comme ça envers des jeunes demoiselles. Alors ta intérêt à nous fournir des explications et j'espère pour toi qu'elles seront pertinentes.

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Mer 25 Mar 2015, 15:22

Flamiche s'énerve toute seule. Elle crie à en enflammer ses joues, qui deviennent plus rouges que la veste ignoble du tenancier de l'auberge. Mais contre toute attente, l'inconnu ne monte pas d'un ton. Au contraire, alors que tu es paniquée et que Flamiche s'efforce de la cacher en s'énervant sur le bonhomme, lui reste tranquille et se met à fumer un truc que tu ne connais pas, mais qui ne t'inspire pas du tout confiance. Les trucs qui font de la fumée, c'est toujours mauvais.

Mais soudain, tout bascule. Ta panique te noue encore l'estomac quand tu entends le crâne de l'aubergiste se coller au mur : l'inconnu le menace d'un ton si calme qu'il pourrait de la même façon demander l'heure à un passant. Mais l'étincelle qui luit dans son regard ne t'échappe pas. Cette froideur, c'est encore plus effrayant que toutes les crises de colère qu'a pu faire Flamiche. D'ailleurs elle n'en mène pas large depuis qu'elle s'est faite rembarrer par lui comme une gamine se ferait punir. Plantée dans son coin, comme toi, elle tremble en fondant maintenant tous ses espoirs dans la... force de persuasion... de l'inconnu.

Alors que l'aubergiste est en train de bégayer et que les membres de sa famille se mettent à paniquer en criant au fumeur de le laisser tranquille, tu entends une clameur à l'extérieur. Et quand tu regardes à travers la fenêtre, ton sang se glace : tu as l'impression que le village entier s'est rassemblé pour regarder la scène. Tu vois tous ces regards portés sur les deux personnages principaux du drame avec une attente comparable à la tienne. C'était comme si le monde entier était contre vous. Et dire que cinq minutes plus tôt, vous reveniez d'une journée épuisante, vous attendant à une soupe si particulière à eux... alors que les questions se bousculent dans ton esprit, la femme de l'aubergiste se décide enfin à y répondre.

FEMME : ...ne lui faites pas de mal, je vous en prie ! ...une famille entière a été... assassinée... cette nuit ! Et un fromager nous a révélé toute l'histoire. Je vous en prie, allez répandre votre maléfice ailleurs, ne nous faites pas de mal...

Ne comprenant pas un mot de ce qu'elle dit, tu t'es juste arrêtée au mot "assassinée". Ce qu'il implique t'immobilise d'effroi. Dans ton monde, il n'y a jamais eu ce genre de problèmes. Et là... des gens que tu as peut-être croisé la veille ont été tués, peut-être même que tu as croisé les coupables... cette dernière remarque te fait revenir dans la réalité. Comment osent-ils penser que tu en es coupable ?! Toi ou même Flamiche ? Ces gens qui vous ont donné le couvert, qui vous ont souri tout ce temps... après l'effroi, c'est le sentiment de trahison qui t'assène une seconde claque. Entre toutes ces émotions, tu n'arrives plus à te contrôler.

Et soudain, tu rétrécis, encore et encore, si bien que tu lâches ton sac et que tu finis par faire ta taille de fae, sous les regards ébahis de tout le village. Finalement, tu es vraiment devenue un pou. Humiliée, tu commences alors à sangloter, tes larmes tombant comme une poussière malmenée et tu voles jusqu'à la capuche de Flamiche où tu te blottis en ignorant tout ce qui est en train de se passer. Tu l'as vu te lancer un certain regard : c'est le regard qui te montre qu'elle n'est pas fière de toi. Tu n'es pas très fière de toi non plus, mais c'est trop pour une petite fae. Vraiment trop. Vaguement, tu entends Flamiche recommencer à parler avec son ton colérique, mais rien n'a plus d'importance. Et tu t'endors. Tu t'enfuis de ce drame.

FLAMICHE :  Vous avez vu ce que vous avez fait à Etincelle ?! Vous venez de nous accuser d'un meurtre !! Je peux savoir ce qui vous amène à faire de telles accusations, hein ?! Et pourquoi ces satanés voisins nous épient, d'abord ? Ils nous croient coupables, eux aussi ?!

FEMME : Calmez-vous... je vous en prie ! Si vous souhaitez discuter, lâchez mon mari, par pitié. Nous voulons juste vivre tranquillement.

FLAMICHE :  Ouais, on aimerait bien, nous aussi. Mais vraisemblablement, vous n'êtes pas de cet avis. Hé, inconnu... tu veux bien le lâcher ? Qu'on puisse tous se calmer et parler de toute cette mouise ? T'es observé, euh... par tout le village, en fait.

Flamiche s'est mise à grommeler : elle s'est enfin calmée. Désormais, la situation, même si elle s'avère plus compliquée que prévu, lui semble un peu plus claire. Pendant un moment, elle avait imaginé le pire. Mais un assassinat, ici, alors qu'elles étaient tout proches... ça aurait pu tout aussi bien être elles. À cette pensée, Flamiche frissonne. Ce voyage ne commence pas si bien pour elles : un jour, elles tombent dans le nid d'une araignée et le second, elles sont prises pour des assassins. À quand un peu de tranquillité ?!
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Mar 07 Avr 2015, 10:49

La tension était à son comble. Moi qui était venu içi en paix, je sentais pourtant que les gens me voyaient d'un mauvais oeil. Mais j'ai tellement l'habitude que je n'y ai vraiment pas fait attention. Mais bon, si ça n'aurait été que moi, j'aurais tué cette aubergiste sur le champs pour cette accusation de meurtre que je viens d'entendre. Quitte à se faire accusé, je préfère le faire en présence de tout le monde. Et puis au moins, ça sera pour quelques chose. J'avais son crâne dans la main. Il ne me manquait plus qu'à la serrer pour le tuer. Ces arguments, ils me les fallait. Mais tourner autrement. Sinon les gens risquaient de mal le prendre. Alors j'écoutais passivement ce qu'il se disait autour de moi. Jusqu'au moment où l’insupportable gamine recommença à m'adresser la parole. Mon dieu qu'elle était chiante. Mais bon, elle avait raison. Il fallait mettre les choses à plat pour pouvoir parler. Et donc il fallait cesser la violence. Alors je regarda l'homme que j'avais dans la main. Et j'hésitais un peu. Le tuer par cette affront ou alors le laisser vivre suite à la demande d'une dame. Car aussi chiante soit-elle, elle reste une femme. Alors je tira une latte sur mon cigare avec un sourire quelque peu sadique. Je recula doucement ma main avec le crane de l'autre homme toujours dedans. Je commençais vraiment a reculer assez pour pouvoir lui éclater d'un coup le crâne contre la clôture. Puis je ravança rapidement ma main vers le mur. Histoire de faire monter la tension un grand coup juste avant de lâcher l'homme quelques centimètres avant l'impact. Histoire de faire monter leurs trouillomètre au maximum. Puis je me m'y a rire un grand coup. Surement tout seul. Je m'en tenais les côtes tellement c'était hilarant. Puis je pris la paroles pour cassez ce silence de glace avec une voix des plus amusées.

Mais sérieusement, vous verriez vos têtes! C'est juste . . . Nan mais franchement. Vous avez vraiment cru que j'allais le tuer? J'aurais pu pour l'accusation à tord que vous avez lancé que j'ai très bien compris. Mais s'il vous plaît quoi.

Je regarda deux secondes autour de moi. Et je voyais que j'étais le seul à rire de ma plaisanterie. Quel manque d'humour considérable. Je me racla alors la gorge, redressa ma cravate et remis en ordre mon habillement. Je repris alors d'une voix plus ferme. J'avais très vite retrouver mon calme et mon sérieux.

Enfin bref. Je vais vous donner quelques raison de nous innocenter. Premièrement, je viens seulement d'arriver. Et comme vous l'avez vous, le mon est ma scène alors quitte à tuer, autant le faire avec classe pour inspirer la plus belle des craintes. Ensuite, les deux gamines, s'il vous plaît. L'un est une trouillarde de première catégorie et l'autre aboie plus qu'elle ne mort. Alors s'il vous plaît, passez aux chapitre suivant. Nous ne somme pas ceux que vous cherchez.

J'espère avoir été claire. Et le premier qui ose venir me soutenir que nous somme des meurtriers, la ce coup ci, je lui montre vraiment de quoi je suis capable. Même si je suis un démon, je hais être accuser à tord. Petit un parce que je ne l'ai pas fait et petit deux parce que comme je l'ai pas fait, je me suis pas amuser. Alors qu'on vienne pas me dire que je me suis amusé sans le savoir sinon ça risque de très mal tourner.

Après ces quelques mots, je me dirigea vers le groupe de gamines. Mais ce n'était pas la grande gueularde qui m’intéressait. Mais l'autre. Celle qui c'était faite aussi petite qu'un puceron. Je ne pouvais pas la voir. Mais je me doutait qu'elle était rester avec son amie. Alors je me dressa bien droit devant les deux. Enfin surtout devant la plus visible. Mais je m'adressa aux deux d'un ton calme et avec une voix douce et suave.

Vous n'avez pas besoin d'avoir peur. Tant que vous êtes avec moi, ils ne vous feront aucun mal.

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