Alussa se promenait trainant son esclave derrière elle, la femme se délectait de tirer sur la chaine et la faire couiner de douleur. Elayne était le nom de son esclave, sa servant depuis une cinquantaine d’année maintenant et aussi celle qui l’avait tiré de sa solitude. Cette servante était à la base une ange venue du ciel pour apporter réconfort et lumière à une femme qui devait avoir environ la trentaine à cette époque. Les rumeurs couraient sur un drame tragique s’ayant passé quelques années plus tôt dans un manoir de marbre blanc. Un vampire se serait introduit dans les murs de l’enceinte et aurais sucé le sang de presque tous les occupants du manoir ne laissant aucune gouttes. Elle était venu dans sa lumière et avait entré dans la sombre demeure. Tout était ravager et décrépie, seul la maîtresse des lieux et quelques serviteurs y vivaient. L’ange ne ressentant aucun danger marcha jusqu’à une chambre sans porte ou au centre de la pièce se trouvait un lit à baldaquin au drap blanc comme les rayons de la lune. Sur ce lit était allonger une femme vêtu pauvrement, ses vêtements tous en loque ne cachant rien de ses généreux atouts semblait dormir. L’ange rougit à la vue d’un corps aussi splendide mais ce qui attira son attention était la femme qui pleurait…

Ce remémorant ses souvenirs, Alussa souriait de plus belle pensant à sa douce esclave, son sang lui était trop précieux. Elle l’aimait mais n’oserait jamais l’avouer elle-même et probablement qu’elle ne le comprendrait jamais. L’ange déchus elle se l’avouait, à chaque mouvement de sa maitresse elle couinait et des larmes se déversaient lentement le long de ses joues. Elle pleurait pour les douleurs occasionnées, elle pleurait pour le plaisirs et que la vampire éprouver mais également pour le plaisirs qu’elle en éprouvait. Jamais au temps de son ancienne vie elle n’aurait aimé ce genre de pratique et jamais elle n’aurait été aussi soumise. Cette nuit-là… quand elle eut goutter à la morsure, l’ange su qu’elle devenait à présent une déchu car à cette instant elle avait décidé qu’elle resterais avec la vampire. Le plaisirs était trop bon … cette sensation nouvelle, elle voulait la ressentir de nouveau et connaître l’étreinte d’Alussa. Cette nuit-là elle en était tombée amoureuse. La petite reine elle s’avait qu’il s’était passé quelques choses mais ne voulais pas ouvrir les yeux sur ce qui s’était passé étant de nature trop volage.

Alussa s’arrêtât net devant un inconnu, un inconnu qui la regardait, qui la détaillait de la tête aux pieds en fait. Ce geste lui arracha un faible rictus, il pouvait bien la regarder autant qu’il voulait la femme s’en foutait et n’était guère pudique. Elle tira Elayne devant elle et tira sur la cape qui tomba au sol dévoilant le corps de la déchus. La vampire lui tira violemment les cheveux ce qui la fit crier de douleur et la força à s’agenouiller. Alussa se penchant murmurant quelques chose à l’Oreille de son esclave mais ne détachant pas son regard de l’homme.

- Très belle nuit même, Arrêter de me dévisager je sais que j’ai un corps de rêve mais vous n’y gouterai pas, si vous avez envie d’un peu de compagnie passer vôtres chemin. Mais ne vous gêner pas pour regarder ce que je vais faire subir à cette petite garce.

Alussa découpa une entaille peu profonde dans la nuque de sa compagne, juste assez profonde pour que le sang coule de celle-ci. Elle écha la plaie et y suça les quelques gouttes qui s’en échappèrent et qui provoquèrent quelques gémissement de bonheur chez l’autre femme. La maîtresse vampire se relava en souriant, essuyant le sang sur ses lèvres d’un revers de la main et le provoqua du regard. Elle voulait voir à qu’elle point il était une âme sensible et également à qu’elle point elle pourrait attiser son désir ou le dégouter par ses manières barbaresque.

- Je ne veux rien de vous, vous n’aurai mon nom que l’orsque que j’aurai le vôtre ou que je vous juge digne de le connaître pour l’instant vous vous montrer trop gentleman à mon goût. Sachez qu’une femme comme moi ne sera pas attirer pas les belle paroles mais par les actes.