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 Des Ombres déprimées... Pléonasme ou euphémisme ? [Event IV ─ Mission 5 ]

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Aaliah Z'Odra
~ Ombre ~ Niveau I ~

~ Ombre ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 2211
◈ YinYanisé(e) le : 22/02/2011
◈ Âme(s) Soeur(s) : On ne peut conquérir un coeur qui abrite l'amour d'un défunt...
◈ Activité : Bâtisseuse d'empire
Aaliah Z'Odra
Mer 17 Sep 2014, 21:51



Aaliah avait sombré dans un profond sommeil, fatiguée par sa nature humaine lorsque la magie revint sur les Terres du Yin et du Yang. Recouvrant sa nature d’Ombre, son rêve prit fin subitement, la réveillant brusquement. La dure réalité retomba sur ses épaules comme un fardeau. La faim, la soif, le sommeil ne lui était plus nécessaire. Elle se redressa, délaissa son lit de fortune pour rejoindre ses affaires. Elle dut fouiller plusieurs minutes avant de remettre la main sur sa dague. D’ordinaire, elle la rangeait dans son corsage, afin d’avoir toujours une arme à porter de main. Cependant, pour dormir, elle avait trouvé plus prudent de s’en défaire, d’autant plus que sa nature brumeuse avait disparu en même temps que la magie. Et il aurait été vraiment humiliant de se blesser à cet endroit aves sa propre arme ! Lorsqu’elle parvint à retrouver son arme, la jeune femme la regarda hésitante. Elle souhaitait toutefois s’assurer qu’elle avait bien retrouvé tous ses pouvoirs. Aussi, elle pressa la lame contre sa peau comme pour s’entailler la main. Aaliah n’eut pas vraiment à se concentrer pour que son corps redevînt brume et que la dague passât à travers. Elle avait perdu cette capacité à saigner ; elle avait retrouvé le domaine des morts…

Elle aurait pu s’en réjouir ; elle qui avait connu l’angoisse d’être de nouveau humaine, mais n’en était plus capable. Les émotions l’avaient également quittée. Aaliah se sentait même moins émotive encore que d’ordinaire. Il lui fallut un temps pour réaliser qu’elle n’usait pas de son contrôle sur elle… L’Ombre ferma les yeux un instant afin de réveiller ce pouvoir et se persuader de son bien-être. Aaliah esquissa presque un sourire. Cette absence d’émotion, même si elle lui semblait terrible lourde par moment, lui convenait finalement bien mieux que d’en éprouver de trop. Elle s’assit à même le sol, replongeant dans d’ancien souvenir et tentant ainsi de récupérer celle qu’elle était avant. Aaliah en profita aussi pour faire le tri dans tout ce qui s’était passé ces derniers temps. Chose guère aisé devant l’amplitude qu’avaient prise ses aventures… Elle avait chassé des malfrats des terres des Ombres, laissé sa fille au château pour parcourir les terres restantes. Elle avait répondu à l’appel d’Alicia, une réprouvée, pour sauver stenfek et au détour d’un chemin pour Bouton d’Or, elle avait croisé les pas de la jeune Luane. Elle lui avait confié son envie de l’aider et le plaisir qu’elle avait eu de la revoir. La dernière chose, elle l’avait dite sous le coup d’une émotion qu’elle ne maîtrisait pas. D’ordinaire, elle ne l’aurait pas usé de tels mots.  D’ailleurs, elle n’était pas certaine de pouvoir exprimer à nouveau ce sentiment.

Aussi, elle décida de quitter Bouton d’Or sans même essayer de revoir la jeune Ombre qui avait dû, elle aussi, recouvrer sa nature brumeuse. Un retour aux sources qui ne devait pas forcément lui plaire, elle qui ne comprenait pas encore tout ce fardeau. Et elle n’était probablement pas la seule ! Les jeunes Ombres devaient être perdues devant ce qui s’apparentait à une seconde mort. Eux qui avaient pu revivre, subissait à nouveau la damnation de leur acte contre nature : le suicide. Aaliah était assez forte pour apprivoiser ce fardeau, le regarder sous un autre jour et puis, éprouver des émotions n’était pas vraiment son envie première. Elle portait à jamais le deuil d’un amant qu’elle n’avait pu aimer et l’absence de sentiment envers les autres ne l’affectaient pas plus que cela. Elle n’avait jamais cherché à retomber amoureuse, à aimer un autre, parce qu’il n’en aurait pas d’autre. Parfois, sa famille lui manquait, mais elle était parvenu à combler cette absence en se créant une famille de substitutions qui parvenait à la comprendre par de là ses airs parfois glaciale. Alors qu’elle montait sur le dos de Lalaith, sa fidèle licorne, l’inconnue qui les avait aidé la regarda, curieuse. Elle pointa du doigt la cape qui recouvrait son visage ainsi que ses épées qui pendait à sa taille, trahissant un long voyage.

« Vous partez… sans votre amie ? » s’étonna-t-elle

L’Ombre n’eut pas le courage de la rectifier. Luane n’était pas vraiment son amie. Du moins, ignorait-elle actuellement le lien qui les reliait… Enfin, s’il y avait encore un lien. C’était complexe. En tant qu’humaine, d’étranges émotions l’avait envahie et elle avait presque vu en Luane, une sœur qui lui manquait. Cependant, elle devait accepter la réalité. Elle était redevenue Ombre, celle qui parlait peu et se confiait plus rarement encore. Rare étaient ceux qui la considérait comme une amie, car il fallait passer par-dessus sa froideur et son absence de contact. L’Ombre n’était pas du jour à revenir vers les autres pour leur parler du beau temps passé ou à tenter de maintenir un lien d’amitié. Elle avait essayé, bien sûr, mais c’était plus souvent le destin qui la ramenait auprès de quelques connaissances que sa propre volonté. Aaliah était ainsi et elle ne voulait pas proposer à Luane de l’accompagner. Sa fierté en aurait pris un trop grand coup si la jeune femme répondrait non…

«  Oui, je dois retourner auprès des miens… Dites-lui cela, elle comprendra et… choisira
Choisira quoi ?
le chemin qu’elle veut prendre pour rentrer chez elle…»

Sans attendre une probable interrogation de la part de la jeune femme, Aaliah tapota l’encolure de sa monture qui disparut à l’horizon. L’Ombre fila vers le Royaume des Abîmes sans regarder en arrière et ne s’arrêta qu’à la frontière de leur territoire où l’on entendait déjà les pleurs de ses fragiles consœurs perdues dans ce retour à la dure réalité de leur situation. Elle s’approcha d’un jeune homme et posa un genou par terre. Elle n’était pas franchement douée pour trouver des mots de consolation, mais elle ne pouvait décemment pas laisser des Ombres dans ses états sans rien faire. Elle était une gardienne, elle devait montrer l’exemple. Ayant retrouvé ses pouvoirs, elle usa d’abord de son contrôle des émotions pour rendre les Ombres un peu plus enclines à l’écouter.

~ 1006 mots



Des Ombres déprimées... Pléonasme ou euphémisme ? [Event IV  ─ Mission 5 ] CLDAsI2

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Dim 21 Sep 2014, 11:51


La magie était enfin revenue ! Une belle et grande dragonne blanche de trois mètres de haut rugissait de plaisir. Elle écarta ses grandes ailes blanches parsemées de rayures noires semblable à celles des tigres blancs. Elle se secoua entièrement, montrant sa joie immense de pouvoir enfin réutiliser son pouvoir afin de passer de sa forme de tigresse à sa forme de dragonne ! Elle bondissait de partout essayant de me faire réagir. Mais cela ne fonctionnait pas. La magie étant revenue, ma condition d'ombre le fut également. Bizarrement, je ne me sentais pas joyeuse, ni triste, ni désespérée … Je me moquais de tout ce qui m'entourait, je ne faisais même pas attention aux gens qui venait vers moi. J'usais tout simplement de mon pouvoir de la Brume Sombre pour passer sous une forme insaisissable pour éviter de heurter les gens.

Je ne faisais même plus attention à moi. Ma longue robe noire était, par endroit, en lambeaux. Je marchais pieds nus, sans compter mes très longs cheveux noirs en bataille. Beaucoup de choses me tourmentèrent, certes je disais que ma condition d'Ombre ne me faisait ni chaud, ni froid … et bien il en était le contraire psychologiquement. Je ne savais pas du tout où je devais aller, ni quoi faire. La seule personne qui aurait pu m'aider c'était bien Aaliah, mais hélas, je ne la trouvais même plus dans Bouton d'Or. J'entendis une voix assez lointaine pour moi, alors que l'énonciatrice inconnue de ces quelques paroles était juste à côté de moi. « Votre amie m'a chargée de vous dire qu'elle était repartie retrouver les siens. » Je passais juste à côté d'elle sans m'arrêter, ni la remercier de ses informations. J'étais dans un état que l'on pouvait juger de végétatif. Plus aucuns sentiments, plus aucunes émotions … De plus, dans cette phare, je ne captais que les trois derniers mots : retrouver les siens. Or, je ne connaissais pour l'instant que de nom l'un des territoires des Ombres, le Royaume des Abîmes. Je décidais tout simplement de suivre mon instinct et de me diriger vers le territoire des Ombres.

Laïka, la dragonne tigresse d'Alyska me proposa son dos pour que je fasse le trajet sans me perdre en traversant un bois. Je m'assis donc sur son dos, sans le moindre faux sourire. Mon regard plongé dans le vide, je me souvenais vaguement les quelques mots d'Aaliah me disant que je lui rappelais sa sœur. Je ne me souvenais même plus du sentiments que j'avais ressentit lorsqu'elle avait formulé ces mots. Je ne me souvenais même plus des sentiments que j'avais éprouvé tout le long de ma vie d'Elémentale de l'Air. Je ne suis plus qu'une forme brumeuse, vide d'émotions et de sentiments. Je sentais à peine les mouvements de la dragonne, je n'arrêtais pas de penser à Aaliah. Voulait elle vraiment m'aider ? Je n'en savais trop rien. Et qu'allait penser Alyska lorsqu'elle réalisera que je ne suis plus à Draguial depuis un petit moment. Peut être qu'elle ne voudra plus me voir parce qu'elle pensait que je me suis une nouvelle fois défilée … Oh je ne sais plus ! Je n'en sais rien !

Esprit tourmenté, Âme damnée … une Destinée si funeste et maudite … Voilà ce que le Royaume des Abîmes m'inspirait lorsque je fus enfin sur ces terres. Je descendis de Laïka en glissant tout en prenant mon apparence brumeuse. Je flottais tristement au dessus du sol en utilisant en partie mon pouvoir de la Brume Sombre. Je ne savais pas où aller, ni quoi faire. Le mieux, c'est de continuer à errer sans me poser de question, rester dans cet état végétatif qui caractérisait parfaitement mon état d'esprit actuel. J'entendais les pleures des Ombres désespérées, je n'arrivais même plus à sortir une seule larme. Je n'étais plus maître de mon corps. La perte de la magie, puis cette pluies de magie bleue tombée du ciel qui à marquer sa réapparition … m'a profondément affectée. J'étais totalement perdue, sans savoir ce que je devais faire.

Les paroles d'une chanson me revinrent en mémoire, paroles que j'écoutais et chantais sans cesse lorsque je errais seule.
« Parce que cette vie va te briser
Les années vont t'épuiser
Et chaque jour tu mourras un peu
Jusqu'à ce que les ombres t'emportent

Mourir ne rend pas ce monde mort à nos yeux
Respirer ne garde pas la flamme vivante en nous
Rêver ne rend pas le temps moins réel pour nous
Une vie, une chance,
Tout éphémère. »

Un long soupir sortit de ma bouche, sans que je ne pu le stopper. Je m'arrêtais subitement avant de me retrouver genoux à terre et pleurer à chaudes larmes.
773 mots
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Aaliah Z'Odra
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Aaliah Z'Odra
Dim 21 Sep 2014, 22:42



Le Royaume des Abîmes n’avait jamais été à ce point rempli d’âme en peine. Certes, de nombreuses Ombres allaient et venaient souvent en ce lieu, mais jamais elles n’avaient présentées un tel spectacle. Les Ombres les plus faible avaient eu la chance, en redevenant humaines, de quitter le lieu de leur suicide. Cependant, avec le retour soudain de la magie, celles-ci se retrouvaient prisonnière du lieu où elles se trouvaient au même de recouvrer leur nature brumeuse. Ainsi, le Royaume des Ombres devenait plus qu’une maison pour ses Ombres fantomatiques. Celui-ci n’était déjà guère joyeux en temps normal, mais là, il prenait réellement un horizon inquiétant. Puis, venait les Ombres qui étaient parvenue à quitter leur enveloppe fantomatique avant la venue du chaos, mais ne maîtrisaient pas leur pouvoir, ni n’acceptaient le retour de leur nature d’Ombre. Leur esprit était aussi chaotique que ne le fut les Terres du Yin et du Yang, ce qui fit grimacer Aaliah. La diplomatie et le dialogue réconfortant n’étaient guère son fort. Elle hésitait sur les mots à utiliser pour aider ses Ombres perdues à se redresser.

A genoux face à l’homme en larmes, elle hasarda deux trois mots rassurants et apaisants. Sans efficacité apparente. Pis, le jeune homme semblait s’énerver un peu plus, ce qui n’était pas vraiment l’effet désiré…

« J’étais bien avant ! s’exclama-t-il sous le coup d’une colère subite. Je connaissais la joie, le bonheur, le goût, la vie… Maintenant, je ne ressens plus rien, je ne suis plus rien, je ne suis qu’une Ombre ! Une maudite Ombre qui ne peut plus aimer. Je veux aimer, je veux pouvoir enlacer une personne et sentir mon cœur battre d’amour… finit-il par crier en frappant un poing rageur sur le sol
C’est l’amour d’une personne qui vous à pousser à vous suicider, j’vous rappelle ! Faut savoir ce que vous voulez! » s’emporta à son tour la gardienne.

Lorsqu’elle réalisa que ce n’était certainement pas le bon discours, il était déjà trop tard. L’homme la dévisagea, surpris probablement par cette réponse inattendue. Il se rappela cette personne si chère à son cœur au point d’en mourir d’avoir été abandonnée. La gardienne n’avait pas tort sur ce point, mais ces mots étaient loin de le rassurer, ni même de le réjouir de sa nature. Il avait commis une erreur. Une unique erreur et il la paierait toute sa vie. Ou plutôt toute sa non-vie. Il se mit à hurler, mélange de colère et de tristesse nullement naturels. L’homme ne maîtrisait pas son contrôle des émotions et s’envoutait involontairement. Si toutes les Ombres éperdues sur ces terres faisaient de même, la gardienne n’était pas prête d’en avoir fini… Pourquoi diable avait-elle voulu faire dans la charité ? Elle soupira un instant, baissant sans le vouloir ses propres barrières. L’Ombre qui lui faisait face fut à nouveau prit d’une crise d’hystérie et une onde d’émotion s’échappa de lui. Celle-ci frappa Aaliah de plein fouette qui tomba à la renverse sous l’assaut des émotions. Elle secoua la tête tandis que des larmes coulèrent le long de sa joue. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait plus ressentie une telle pleine !

D’un pas mal assuré, elle s’éloigna du jeune homme incontrôlable et tenta de retrouver ses esprits tout en pestant devant son erreur. La vue encore troublée par ses larmes, elle s’arrêta toutefois un instant, une nouvelle fois surprise. Une Ombre pleurait un peu plus loin, mais contrairement aux autres, sa silhouette lui était familière. Elle ressemblait à Luane. Était-ce vraiment elle ?

« Luane ? »

Étrangement, l’interrogation était dépourvue d’émotion et Aaliah fronça les sourcils. Elle ressentait comme un lien, mais n’aurait pu mettre un nom sur cette sensation. Elle la regarda, sans vraiment savoir quoi faire. L’atmosphère qui régnait dans ce lieu n’avait rien de joyeux en temps normal, mais avec toutes ses Ombres incontrôlables qui semaient la tristesse, il était difficile de ne pas ressentir aussi un début de déprime. La gardienne recula de quelque pas et inspira profondément pour échapper à ce flot d’émotion qui émanait de tout côté. Il fallait qu’elle impose sa présence pour aider les Ombres à mieux se contrôler, à se sentir rassurées et surtout à s’assurer leur écoute. Aaliah se concentra, usant de sa capacité à augmenter son charisme pour irradier par-delà la foule comme une étoile.

Devant elle, quelques Ombres commencèrent à lever la tête pour l’observer, plus coopérant pour l’écouter. Aaliah les regarda à son tour, hésitant une nouvelle fois sur les mots à utiliser pour convaincre ces êtres de leur condition. Cependant, cela avait moins d’importance qu’avant, son charisme compenserait ses paroles. Il ne pouvait qu’admirer sa prestance royale.

« Ressaisissez-vous ! Vous vous mélangez mutuellement les émotions ! Certes, nous sommes des Ombres, des êtres damnés… mais nous ne sommes pas seules. L’Esprit de la Mort veille sur nous et ses Terres sont notre refuge. Derrière notre fardeau, nous sommes aussi les détentrices des mystères de la vie et de la mort que bien des êtes nous envieraient. Notre condition n’est pas des plus aisées, mais le temps nous permet de mieux l’appréhender. »

Aaliah évita toutefois de préciser que les Ombres ne manquaient pas de temps pour s’habituer à leur condition… La gardienne elle-même avait mis beaucoup d’année pour parvenir à passer outre sa colère et sa vengeance pour voir le monde des Ombres sous un nouveau jour. Certes, le bonheur ne lui était toujours pas permis, mais elle était parvenir à vivre sans. Avec le temps, on finissait par s’habituer à tout… Elle posa son regard sur la foule qui la regardait. Au moins, était-elle parvenue à calmer leurs émotions ; l’air ambiant avait perdu de sa nature déprimante, ce qui permettait aux Ombres d’être un peu plus libre dans leur pensée. La gardienne souffla un instant, elle n’avait guère l’habitude de parler autant.


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