-Je me demande comment cela à Megido, depuis le problème avec cette sphère …

Oui, j’étais venue à Megido pour rendre visiter à L’Orishala, Cocoon, que je commençais depuis que j’étais devenue un maitre élémentale de l’eau. Il m’avait beaucoup aidé durant ce temps et avant la grande guerre entre les Anges et les Anges-Déchus. Cela nous avait mis dans une condition assez tendue entre nous. Et je ne savais pas quoi faire pour y remédier, donc j’avais rendu visite à Cocoon. Mais, un incident s’était produit quand j’étais là-bas. Une catastrophe, un chaos hors du commun. Des sorciers avaient envahis la ville pour une raison que je ne savais pas encore, aujourd’hui. Un vieil sorcier avait donné un pouvoir, celui de la vision d’aigle comme les Orishas. La ligne verte me guida jusqu’à une cabane où j’avais trouvé une sphère d’orée. Il m’avait donnée des visions, des visions tragiques. Mais, je n’en me rappelais plus trop aujourd’hui, mais bon, j’avais gardé la sphère.

Une fois que j’avais récupéré cette sphère, la Ville de Megido était parfaite et sans dégâts. J’avais eu une vision du futur, plutôt funèbre. Depuis, je n’étais pas revenue à Megido, et je ne savais pas ce qu’il était devenue de cette ville. Donc, je m’étais obligée d’y aller faire un petit tour pour connaitre l’état de ce lieu. Je sortis de mon appartement du Palais Royal d’Aeden avec une tenue de combat au cas où. Je me verrais mal d’aller la bas avec une robe légère et blanche… Enfin, bref, j’avais pris mon Estoc Trempée et je me rendis à l’entrée du Palais. La téléportation était une bonne idée pour aller plus vite et je me voyais mal de faire au moins cinq jours de marche à pieds intensive pour rejoindre cette ville et de constater des dégâts importants alors que je n’aurais pu être là bien avant.

Donc, ma décision était prise, je devais y aller en me téléportant. Emndel, mon loup blanc, voulut me rejoindre, mais quelque chose me disait que je ne devais pas l’emmener avec moi aujourd’hui. J’aurais pu perdre déjà Erine dans le désert de glace, à cause d’un ridère qui lui avait massacré sa jambe. Donc je demandais mon loup préféré de rester dans le palais pour surveiller les alentours de notre royaume. Je respirais un bon coup, et je me concentrais autant que je pouvais, mais je savais que cette mission allait être difficile pour moi et pour les autres personnes qui étaient sur place pour les aider à protéger leur ville.

Une fois téléportée, je me trouvais au centre de la ville. Dès que j’ouvris les yeux, je pus voir un monde en chaos et dans une désorganisation totale. Les citoyens coururent dans tous les cas, pour soit s’enfuir ou bien soit pour les aider les dernières barrières à rester debout contre les ridères… Encore eux ? Et bien, ils avaient décidé de nous envahir jusqu’à la profondeur de nos terres. J’avais déjà rencontré des ridères dans le désert des glaces, et ils étaient impossibles à les tuer ou encore de les blesser. Je n’avais trouvé aucun moyen de les blesser ou de les mettre à terre dès le premier coup. Il était vrai que je n’avais pas ressenti une baisse de magie dans mon corps, il était vrai que les ridères ne m’attaquaient pas. Mais pourquoi ? A cause de ce cristal bleu implantée dans ma main ? Non, c’était impossible… Un si petit caillou pourrait avoir un champ d’action aussi énorme que cela ?

Je réfléchissais en plein milieu de la foule qui n’arrêtait pas de crier à tout va. Les gens étaient vraiment perturbés par tous ses dégâts meurtriers et autres problèmes qu’il y avait autour de cela, c’est-à-dire des problèmes de santé, d’économie, de nourriture et de soldats aussi. Je regardais autour de moi et je ne savais pas quoi faire pour les aider. J’avais l’impression que j’étais revenue dans le temps où je n’étais qu’une simple élémentale de l’eau qui avait été impuissante contre les Zombies. J’avais du soigner toutes les personnes sur le Port, dans le continent calme du matin. Mais après tout cela, je m’étais promis que je devais devenir plus forte pour protéger pour ceux que j’aimais dans ces Terres du Yin&Yang.

Mais aujourd’hui, je ressentais la même chose qu’il y avait 2 ans au moins. Cela me fit bizarre de ressentir cette émotion, ce souvenir qui m’avait fait mal au cœur et qui avait marqué mon esprit pour toujours. Soudain, je me repris en main et je décidais d’aider ces personnes qui étaient en difficulté, je devais les protéger à tout prix. Cependant, je me demandais où était passé le gouvernement des Orishas ?

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Alors que je progressais dans la ville de Mégido, je me demandais où était les Eshus et l’Orishala. J’espérais qu’ils ne s’étaient pas barrés de leur ville, laissant tous ces gens, tous les autres Orishas, dans cette situation. Mais, je ne pensais pas que Cocoon ferait cela, il était un bon roi, c’était ce que je pensais de lui sincèrement. Cependant, je n’étais pas là tous les jours pour savoir comment il dirigeait son peuple. Je respirais encore une fois, pour me dire que tout n’était pas perdu dans cette ville, que je pouvais encore les aider. Plus j’avançais dans la ville, plus je trouvais qu’elle était étrange. Je passais dans les différentes rues et quartiers de la ville et je ne vis pas beaucoup de monde. Où était passé le reste de la population de Mégido ? Une bonne voire, une très bonne question… Etait-il tous morts par les sorciers ? Ou bien par les Ridères ? Je ne devais pas faire de conclusions trop hâtives dans ces moments importants.

Je regardais encore autour de moi, mais franchement, cela me fit bizarre de ne voir personne dans ces rues. Puis, je me dirigeais vers les remparts qui étaient vraiment la dernière des protections de la population et j’espérais trouver des Eshus dans ce coin. Je marchais le loin de la protection qui était à moins fini pour la prochaine attaque de ces monstres. Les Orishas essayaient de renfoncer les murs avec des meubles, des pièces en métal, et d’autres choses qui pouvaient tenir le choc contre eux. Je baissais les yeux car je savais que c’était impossible, les ridères pouvaient se téléporter, pouvaient se déplacer très vite, et avaient beaucoup de puissances en eux pour nous éliminer en moins d’une journée. Je l’avais bien vu la dernière fois que je les avais rencontrés.

Il me donnait la chair de pouls rien qu’en les regardant dans les yeux et ressentant leur puissance dans leur corps. Puis, au bout de quelques minutes de marche intensive, je vis un groupe de personnes de six ou sept personnes. Leur puissance était différente aux autres, donc j’avais compris que c’était les personnes que je recherchais depuis tout à l’heure. J’arrivais vers eux et je pris la parole sans avoir le temps de me regarder dans les yeux. Je pris une voix calme mais aussi horrifiée par la vue de ce paysage qui me fit mal au cœur :

-Mais qu’est qui s’est passé au juste ? Où sont le reste de la population des Orishas ? Et vous savez très bien que votre protection ne sera jamais suffisante pour retenir les ridères !!?

-Oh là !! Doucement, Mademoiselle ! On peut savoir qui vous êtes au juste au lieu de nous attaquer comme cela ?

Je poussais un grognement, car on n’avait pas le temps de parler autour d’un thé et des biscuits. Mais, je respirais un peu et je repris la parole avec plus de courtoisie envers eux :

-Donc, je m’appelle Anwen Worthington, Esprit élémentaire de la Glace et je suis au Service de l’Impératrice du Tout, Takias ! Je connais bien votre Orishala, Cocoon ! Voilà vous êtes satisfaits ?

- D’accord ! Nous avons compris qui vous êtes et ravie de vous voir auprès de nous. Alors je vais vous expliquer ce qu’il s’est passé dans notre ville. Depuis l’attaque des Sorciers, il y a au moins plus de 3 mois, beaucoup d’Orisha sont soit morts sous les débris de maisons, soit ils sont partis dans d’autres villes pour se réfugier de la mort qui est présente ou soit les autres sont ici ou disparu dans la nature. Aujourd’hui, on doit renfoncer les remparts avec ce qu’on a sur place. On se prépare à une autre attaque des Ridères dans les prochaines heures qui viennent…

Je comprenais pourquoi il se dépêchait de rassembler le plus possible d’objet dans l’intérieur de la muraille. Certains orishas avaient décidé de fuir au lieu de les aider, c’était une raison que je pouvais comprendre, certains avaient peur pour leur vie… Les Eshus me demandaient si je pouvais les aider à renforcer leur défense pour avoir plus de chance de survivre contre ces monstres que je ne pouvais pas les décrire encore. J’acceptais avec plaisir, car je n’allais pas m’échapper de cette ville. Je pouvais les aider et j’aimais aussi cette ville, car c’était la ville de mon âme-sœur, Arizar. Donc, je ne pouvais pas les laisser la détruire aussi facilement et j’avais une idée pour comment je renforçais la muraille.

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Alors que les Eshus m’avaient demandé de les aider à renforcer leur muraille avant que les ridères n’arrivent pour tout détruire, j’avais accepté avec plaisir de les aider. C’était naturel de faire cela pour eux. J’aimais bien ce peuple et je les respectais beaucoup aussi. Et je ne voulais pas partir sans avoir faire quelque chose pour eux, j’avais mal au cœur de les voir comme cela. Alors qu’à Aeden, il n’y avait aucun problème pour le moment, et je croisais les doigts pour dire que rien ne pourra traverser les portails d’Aeden. Mais le problème était que la magie baissait beaucoup et que nos éléments perdaient la tête rapidement et il était impossible de les contrôler correctement.

Même si j’étais une esprit élémentaire de la Glace, mon élément de base, l’eau, était incontrôlable. La glace me faisait perdre la tête, et j’avais du mal à contrôler les autres éléments que j’avais pu apprendre au fil des mois. Alors je ferai tout pour les aider. Je n’étais pas le genre de femme à laisser tomber des personnes qui avaient besoin de moi et qui avait besoin de protection. Les Eshus partirent devant moi pour le présenter la défense qui en avait le plus besoin pour lutter contre les Ridères. Il fallait aller à l’entrée de Megido pour voir que tous les Orishas s’activaient construire une bonne construction. Tout le monde participait à la construire d’une super défense, alors je leur donnais un coup de main.

Une fois arrivée à l’entrée de la ville, les Orisha restant avaient réussi à construire un immense mur avec des pierres qui étaient au sol depuis la dernière attaque faite par les sorciers. Il avait réussi à faire quelque chose de merveilleux avec un peu de chose avec eux. Je leur souris, car franchement, ces personnes avaient envie que leur ville reste intact et debout pour continuer à vivre jusqu’à que les ridères disparaissent des terres du Yin&Yang. Mais, je remarquais que le mur n’était pas assez solide, pour le moment, donc je devais les aider à le renforcer le plus possible. Donc, je reculais un peu pour ne pas blesser des personnes qui étaient à proximité de moi. Et je tentais de renfoncer le mur avec de la glace qui ne pouvait pas fonder au sol et qui était extrêmement difficile à briser.

Je pus créer un mur de trois mètres maximum, car je ne pouvais pas faire plus. Je n’avais pas de problème concernant la magie, mais j’avais un problème concernant mes éléments qui étaient très instables et que j’avais du mal à contrôler et qui pouvaient même se retourner contre moi. Donc je devais faire attention avec mon élément de la glace, principalement. Mais bon, je pus créer un bon mur de glace en supplément au mur de pierre. Les habitants se sentaient rassurer de voir ce mur qui était aussi dur que du béton. Je voyais dans ces yeux qu’ils allaient bien et qu’ils se sentaient rassuré d’être aussi bien protégés. Je souris car cela me faisait bien de savoir que je pouvais aider des personnes dans le besoin. Puis, les Eshus virent vers moi avec les têtes baissés comme s’ils voulaient me remercier :

-Merci beaucoup, Mademoiselle ! Merci d’avoir créé ce mur qui nous aidera beaucoup contre les ridères. J’espère que les Orishas et les Elementals auront un lien plus fort dans les années à venir. Mais au fait, connaissez-vous les ridères ?

-Mais de rien, c’est naturelle pour moi d’aider des personnes en difficulté ! Oui, j’aimerais bien que les Orishas et les Elémentals ont un lien favorable, voire même avoir une naissance d’une certaine alliance. Mais pour cela, nous verrons cela bien plus tard pour le moment. Oui, les ridères … Comment dire qu’ils sont extrêmement dangereux et sans pitié surtout. Je les ai rencontrés dans le désert de glace, dans le nouveau continent. Et franchement, il ne faut pas être sur leur route, c’est le seul conseil que je peux vous donner pour l’instant…

-D’accord, et encore une fois, merci beaucoup pour ce que vous avez fait pour nous ! On ne l’oubliera pas !

Je lui souris pour le faire comprendre qu’il n’y avait pas de problème à cela. Et qu’il avait encore des problèmes, elle serait là pour les aider. Soudain, des bruits se firent entendre derrière les murs. Mince, ils étaient déjà là ! J’espérais que les murs tiendront le coup contre ces monstres, que je n’avais pas encore envie de le voir. BOUM BOUM BOUM… CLING CLING !

Je me retournais vers le mur de glace, que j’avais fait moi-même et je le retrouvais dans un état déplorable. Non, mais qu’est qui s’était passé au juste là ? Les deux murs étaient à terre, démolie par les ridères qui était au moins une bonne dizaine à première vue. Les Orishas courraient partout et cherchèrent des endroits pour survivre à cette attaque. Mais ce n’était pas possible ! J’avais créé un mur de trois mètres de hauteur et d’une épaisseur de un mètre au moins. Mais, les ridères avaient réussi à briser le premier mur de terre, mais aussi le mur de glace… Maintenant, que devais-je faire pour protéger les Orishas et Megido ?

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Alors que les deux murs étaient percées, les Ridères pouvaient errer dans la ville sans aucun problème et pouvait attaquer tous les Orishas qui restaient dans la ville de Mégido. Je n’avais pas pu protéger ce peuple, alors que j’avais mis toutes mes forces dans la construction de ce super mur de glace. Franchement, je me sentais inutile, mal dans ma peau. J’avais oublié aussi que les ridères étaient extrêmement qu’ils soient seuls ou en groupe, cela revenait à la même chose. La même chose était que personne ne pouvait fuir lorsque les ridères étaient là. Franchement, moi je n’aurais pas de problèmes à m’enfuir, ça je ne le savais, mais comment faire pour les autres habitants. Je ne pouvais pas tous les téléportés dans un autre endroit. Je ne savais pas quoi faire pour les aider, déjà que j’étais un peu perturbée avec le mur de glace, mais là, je me sentais vraiment perdue. J’avais l’impression que j’étais revenue à l’époque où j’étais une simple imprégnée, qui n’arrivaient pas à contrôler son élément de l’eau et qui avait peur de tout et de n’importe quoi.

Cependant, je devais me reprendre rapidement pour aider les Orishas à sortir de la ville vivant. Les ridères détruisaient tout sur leur passage, je me demandais quelles étaient leur raison de leur venue dans notre monde, pourquoi ils avaient réapparu d’un seul coup ! Mais, là je n’avais pas le temps d’y réfléchir, je cherchais des réponses plus tard, pour l’instant, je n’avais pas le temps. Je courrais dans les rues de la ville, puis un enfant au milieu d’une place, qui était perdu. Il criait, il cherchait sa mère, mais au milieu de toute cette foule, je ne savais pas comment faire pour qu’il retrouve sa mère. Donc je courus vers lui rapidement, et je le pris dans mes bras pour le transporter dans un endroit sûr et pour éviter qu’il se fasse tuer par des ridères. Les ridères avançaient rapidement dans la ville de Megido, ils détruisaient les maisons, tous les bâtiments qui étaient sur leur route. Ils n’hésitaient pas à tuer, à écraser, à massacrer les villageois qui étaient sur leur route. Mais que cherchaient-ils exactement à la fin ?

Je courus avec l’enfant dans mes bras, c’était une petite fille, et elle devait avoir même pas huit ans, à peine. La petite fille ne pleurait plus, elle s’agrippa à moi doucement. Elle semblait tellement terroriser par tous ces cris autour d’elle, et je ne savais pas comment la calmer, donc j’essayais de lui dire qu’elle allait retrouver sa mère et qu’elle allait vivre encore pour longtemps. Je lui souris et elle m’envoya un sourire aussi. Une sorte de confiance s’installa entre nous, mais bon, je devais la ramener dans son foyer. Puis, je me retournais pour voir où était les ridères. Mais, je ne les vis pas, ils étaient partis ? Puis, la petite fille pointa du doigt, devant moi pour me montrer quelque chose. Je regardais dans la direction qu’elle m’indiqua et je vis que les monstres étaient maintenant devant nous. Mais c’était impossible ! Ils ne pouvaient pas se déplacer aussi vite, je ne savais pas qu’ils avaient le pouvoir de se téléporter. Je tremblais de peur depuis la première fois en deux ans d’existence en tant qu’élémentale.

Mon dieu, j’étais perdue, je ne me sentais pas bien, mon estomac me fit mal, j’avais un nœud dans mon ventre. Je devais partir rapidement avec la petite fille, je ne voulais pas mourir et elle non plus. Je le vis dans ses yeux marron et bleus. Soudain, j’entendis un cri strident dans mes oreilles. Un cri rempli de haine, profonde et dure. Ce cri me fit mal à la tête, et ce cri ressemblait une vague d’onde de choc. Et avec ce champ de force, je me fis projeter en arrière avec une puissance incroyable et je lâchais, sans le faire exprès, la petite fille. Je ne savais pas d’où venait ce cri, mais lorsque j’ouvris les yeux quelques secondes d’après, je vis un monde chaos. La petite fille qui était dans mes bras, avait disparu. Les maisons n’étaient que débris et poussière. Megido s’était transformée en une ville chaotique, apocalyptique et fantôme. Tout le monde était mort, les corps étaient sans vie, les yeux étaient gris, noir, sans vie.

-Y a-t-il quelqu’un de vivant ? Répondez-moi, je vous en supplie !!

J’attendis quelques secondes, je n’eus aucune réponse. Des larmes coulaient sur mon visage. Je marchais dans les rues cherchant une personne, et je tombais sur les ridères. Ils étaient morts ? Non, je n’osais pas m’approcher d’eux, mais je pensais qu’ils étaient plutôt inconscients. Ce cri avait pu neutraliser ces ridères, incroyable. J’avais vu une solution qui pourrait nous sauver à tous ! Il fallait que je rentre pour dire cela au conseil d’Aeden. Je regardais autour de moi, mais je ne vis rien de vivant…

-Mégido… Excuse-moi de ne pas avoir pu te sauver toi, et tes habitants…

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