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 Jeu dangereux [ Quête PV : Anwen]

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Jeu 03 Oct 2013, 14:43

Alors que la jeune femme n'avait pris la fuite, enfin c'est ce que je pensais, je me suis mise à courir après elle, avec une rapidité impressionnante. C'était de la pure folie ce que je faisais, je n'avais pas beaucoup d'endurance, donc je devais faire attention à ce que je faisais. La jeune femme courrait encore et encore, sans s'arrêter. Comment cela se faisait que la jeune femme avait normalement la cheville cassé, alors qu'elle pouvait courir comme un cerf ?? La, c'était la question que je ne comprenais pas du tout !! Je continuais à lui courir après, mais j'avais du mal, je n'avais plus d'endurance. Soudain, le jeune homme, Arizar, prit la parole :

-(Mais qu’est ce qu’il lui arrive ? Fais attention ou tu mets les pieds et ne la perd pas de vue, je suis derrière toi ne crains rien !)

Heureusement qu'il était auprès de moi, j'étais heureuse lorsque j'avais entendu cela, j'avais le sourire jusqu'aux lèvres! Je ralentis un peu car la jeune femme avait fini de courir, mais qu'est qu'elle faisait au juste ? Elle avait tellement entendu quelque chose de spécial ? Avait elle entendu un appel de secours venant de l'une de ses amies ? Trop de question, et cela ne me plaisait pas ... Je restais mais pas pour longtemps si la jeune femme continuait à me faire trinbaler dans toute la forêt !

- (Je ne sais pas, mais j'ai l'impression qu'elle a entendu une voix de ses amis, donc elle a couru jusqu'ici... Mais, je ne vois rien avec ce brouillard de malheur !! Mais, je te remercie d'être auprès de moi, Arizar ...)

Je n'arrêtais de rougir même s'il n'était pas en face de moi, drôle de réaction. Mais, je devais me concentrer sur la mission que nous avions commençé. Puis, la jeune femme se mit à marcher très vite, mais je voyais bien qu'elle boitait sérieusement. Ce n'était pas une blessure comme les autres... La jeune femme traversa quelques buissons avant de tomber sur une petite mare. Je scrutais autour de la mare vaseuse pour regarder s'il n'y avait pas de dangers. Je ne voyais rien de spécial, mais je me méfiais quand même. Soudain, je vis le corps d'une jeune femme allongée près de la mare ...

- La bas !!  Vite dépêchons nous  !!!

Je courus rapidement vers le corps qui était inerte ... J'espèrais qu'elle ne soit pas morte, ce n'était pas le jour, je ne voulais que personne ne meurt, mais je savais que c'était impossible pour le moment. Je la pris dans mes bras, je sentais encore un peu son coeur, mais il était faible, j'avais du mal à l'entendre. OH non, je n'allais pas te laisser comme cela . Je me retournais vers Arizar.

-( Elle va mourir si on ne l'aide pas ...)
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Ven 04 Oct 2013, 13:15



« Quête : Jeu dangereux »

Anwen & Arizar



La course poursuite continue à travers la forêt, je ne sais absolument pas où nous sommes mais nous devons rester groupé à tout prix et ne pas nous séparer donc je continue de poursuivre les deux femmes. Nous arrivons dans une zone plus humide et trouvons même une petite mare.

« La bas !!  Vite dépêchons nous  !!! »

J’entends la voix de la jeune fille mais je ne sais pas encore de quoi elle parle. C’est alors que je l’aperçois, une autre femme est étendue sur le bord la mare, inerte et immobile. Anwen est déjà auprès d’elle et cherche son pouls. Elle se retourne vers moi et avec un regard désolé et suppliant me transmet ses pensées.

(Elle va mourir si on ne l’aide pas…)

A ces paroles j’accélère et me précipite auprès de la jeune fille, son teint cadavérique n’annonce rien de bon, son rythme cardiaque est très lent mais je ne vois aucune blessure, aucune plaie, aucun coup. J’examine attentivement ses doigts, sa bouche, son nez, ses oreilles et je finis par comprendre lorsque je vois les baie à côté de nous. Elle à voulu manger des fruits empoisonnés sans savoir qu’elle allait manger du poison.

« Bien Anwen tu vas refroidir son corps avec de la glace nous devons ralentir la progression du poison le temps que je prépare un antidote. Fais bien attention à ne pas paralyser son cœur, s’il s’arrête nous n’aurons presque aucune chance de la sauver. Vous deux, allez me chercher du bois sec et de la mousse, vous en trouverez sur les arbres. »

Sans attendre leurs réponses ou ne serait-ce que leur consentement je commence l’extraction du fluide des baies afin d’en récolté le poison, équipé de mes gants je ne risque pas d’infection par le toucher. Je prépare les autres ingrédients qui me permettront de contrer les effets nocifs du poison et des toxines. J’ai sur moi un petit récipient de cinquante centilitre en fonte que je peux mettre sur le feu ce qui me permettra de purifier l’eau et d’extraire les différentes propriétés des plantes que je mettrais à chauffer. Je mélangerais le tout avec le poison, et l’antidote sera alors prêt, il faudra alors lui faire boire la solution.

Le couple revient rapidement avec ce que je leur avais demandé, Anwen se charge d’allumer le feu alors que je récolte ce dont j’ai besoin dans la mousse. Une fois le feu prêt je place le petit récipient et fais porter l’eau à ébullition avec les plantes requises pour l’antidote. Je mélange le tout et à l’aide des trois autres personnes nous redressons la jeune fille et tentons de lui administrer par voix orale l’antidote. Nous la reposons délicatement au sol et n’avons plus qu’à patienter. Pratiquement une heure c’est déroulé depuis que nous l’avons trouvé et elle ne reçoit les soins que maintenant. Je ne sais pas depuis combien de temps elle est dans cet état, je n’ai aucune idée si l’antidote à été administré assez tôt pour contrer l’effet du poison mais j’essaie de ne pas le faire remarqué. Je garde l’information pour moi afin de ne pas leur transmettre mon inquiétude mais je sais qu’Anwen perçoit mes émotions et qu’elle finira bien par comprendre que je ne suis pas rassuré.

Seul le temps pourra déterminer si nous sommes arrivés à temps, je n’ai aucun doute dans la qualité de mes soins bien que précaire je suis habitué à agir avec peu de moyen et je n’ai pour l’instant jamais raté un seul antidote que je connais mais dans la précipitation une erreur peut vite tout faire basculer…








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Lun 07 Oct 2013, 11:22

Alors que je tenais la jeune femme dans mes bras, je sentais son coeur. Il était si faible, j'avais peur qu'elle ne meurt dans mes bras. Je ne voulais pas la voir mourir, je voulais qu'elle continue à vivre. Franchement, parfois, je voudrais qu'on soit tous immortel pour que personne ne meurt, mais je n'étais pas dieu ou bien une Ather. Je ne pouvais pas redonner la vie à une personne, je n'étais pas la reine de la mort.

Je le savais bien mais je le voulais tellement. La jeune femme était si froide, je ne savais pas quoi faire. Arizar arrivait en courant mais il vit l'horreur. Il soufflait, il vit ce qu'il se passait. Il commençait à la regarder rapidement, je ne savais pas quoi il en pensait. Puis, il prit la parole avec une voix neutre :

- Bien Anwen tu vas refroidir son corps avec de la glace nous devons ralentir la progression du poison le temps que je prépare un antidote. Fais bien attention à ne pas paralyser son cœur, s’il s’arrête nous n’aurons presque aucune chance de la sauver. Vous deux, allez me chercher du bois sec et de la mousse, vous en trouverez sur les arbres.

Je commençais à la glacer, mais pas trop non plus, si je ne pourrais plus la faire revivre ou faire fondre la glace sur son corps. Je la regardais et je caressais la joue doucement. Je devais lui donner un espoir pour qu'elle vive encore. Je vis mon ami préparer un rèmede dans son coin. Comment faisait il cela au juste ?

Je le regardais de loin pour savoir mais je devais m'occuper la jeune femme. L'autre jeune femme pleurait encore une fois dans son coin, le jeune homme regardait dans le corps froid. Que pensait il ? Soudain, Arizar avait fini, il lui donna l'antidote. Il lui donna tout, elle avala tout. J'attendis quelques minutes, son coeur battait toujours. Puis, la jeune femme ouvrit les yeux doucement, je compris que le soleil lui faisait mal aux yeux.

- ou suis je ?
- tu es vivante et tu es dans la foret des murmures !
- Ah oui, on avait fêté et je suis tombée dans cette mare !

Je lui souris tendrement et je la pris dans mes bras très forts. Puis, je me levais pour prendre dans mes bras Arizar, et je lui pris la parole dans son oreille pour le remercier pour ce qu'il avait pour la jeune femme:

- Merci beaucoup, Arizar ...

Je l'embrassais doucement et tendrement pour le remercier de tout ce qu'il avait fait, mais cela voulait dire autre chose aussi ...Mais, il fallait continuer notre route pour trouver les autres personnes qu'on avait perdu !
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Lun 07 Oct 2013, 12:44



« Quête : Jeu dangereux »

Anwen & Arizar



L’attente est quelque chose de terrible, ne pas savoir si elle va se rétablir est une vrai question pour moi, j’ai confiance en mes capacités de guérisseur mais les réactions varie d’un corps à l’autre et j’espère qu’elle réagira bien à l’antidote. Le soulagement s’empare de moi lorsqu’elle commence à ouvrir les yeux. Un peu perturbé par la situation, Anwen la réconforte et la jeune fille reprend petit à petit ses esprits. C’était elle aussi une des participantes de ce « cache-cache ». Bien, nous en avons retrouvé trois sur les sept, plus que quatre et nous pourrons rentrer. Plongé dans mes pensés sur la façon qu’avait eu la première femme que nous avions trouvé à se mettre à courir partout, je ne sens pas venir Anwen qui me saute autour du cou.

« Merci beaucoup, Arizar… »

Ses lèvres se posent contre les miennes, elle commence à m’embrasser doucement, je glisse ma main sur sa joue et mes doigts touche sa nuque comme pour lui indiquer de ne pas rompre cette union entre nos lèvres, j’apprécie le moment et lui rend son baiser avec un amour non camouflé. Le goût de ses lèvres est aussi bon que m’envoute son parfum, je suis incapable de résister à cette femme, je ne sais pas pourquoi mais je me laisse aller à mes sentiments.

C’est finalement elle qui rompt cet instant en me ramenant à la réalité, nous devons retrouver nos disparus. C’est incroyable comment Anwen est capable de me faire oublié tout ce qui m’entoure jusqu’à en oublié même ceux qui m’entourent et la raison de notre présence dans cette forêt. A vrai dire j’en oublie même la forêt elle aussi, lorsque je suis si proche d’elle je ne vois plus qu’elle et suis totalement fermé au reste. Mais nous nous sommes engagés à les retrouver, j’aurais l’occasion de passer du temps avec Anwen une fois ma parole respectée, je me tourne vers les autres et alors que j’allais leur demandé de me suivre un crie transperce la forêt, non loin de nous vers l’Ouest. Je m’engage à travers la forêt avec un seul ordre pour les autres.

«  Suivez-moi, et ne courez pas partout ! »

Je courrais à travers la forêt, j’entendais quelqu’un appeler à l’aide mais ce qui m’inquiétais le plus c’était le silence de la faune, je ressentais la présence d’un prédateur, un félin. Il fallait que j’arrive le plus vite possible auprès des proies du félin, je sais que je peux apaiser la fureur d’un animal je l’ai déjà fais par le passé face à un loup affamé. Apparemment la proie n’était pas seule, j’entendais d’autre personnes avec celle qui avait criée, une autre femme, Après presque dix minutes de course dans une forêt où l’on est constamment ralenti par des branches, des buissons, des arbres trop épais pour être traversé je parviens finalement à trouver les proies, et le prédateur par la même occasion. Une puissante panthère les a acculés au bord d’une gorge d’environ quinze mètre de haut. La panthère m’a sentie arrivé et se sens tout de suite menacé par ma présence ce qui augmente sa dangerosité.

Je fais signe à ceux qui me suivent de s’arrêter immédiatement, la panthère ne doit pas être plus stimuler que nécessaire sinon elle va passer à l’attaque.








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Lun 07 Oct 2013, 14:43

Alors que j'avais remercié le jeune homme de ce qu'il avait fait pour la jeune femme, nous devions repartir chercher les autres personnes qui étaient peut etre en danger dans cette nature qui n'était pas accueillant du tout. Je ne voulais plus y revenir du tout ! Mais, je devais continuer, je ne devais pas désespérer comme cela, mais ce n'était pas de ma faute. Je voulais juste être Arizar, je ne voulais pas qu'on se laisse dans une autre quête après celle là. J'avais besoin de lui, je voulais être tranquille avec lui, je voulais qu'on parle je voulais en savoir plus sur lui.

Cependant, je revins dans la réalité, je devais trouver ces personnes dans la forêt qui devenait de plus en plus sombre et ténébreuse. BOUHHH, je ne voulais pas partir d'ici, rapidement et en courant très vite ! Soudain, Arizar prit la parole après qu'on lui est donné un baiser tendre et simple :

-Suivez-moi, et ne courez pas partout !

Il avait raison, on devait rester groupé et ensemble, pour qu'on ne se disperse pas, sinon ce serait en plus la galère qu'avant. Je devais faire attention à l'ensemble du groupe. Arizar était devant le groupe, moi je fermais la marche doucement. Je regardais derrière nous si personne nous suivait discrètement. Le brouillard était toujours là, ce n'était pas bon signe pour nous. Je croyais qu'on allait encore plus se perdre dans cet endroit, à moins que cela ne soit pas déjà fait ...

Soudain, nous entendîmes un cri féminin, une autre personne ? Enfin, d'autres personnes on dirait, car elles étaient plusieurs à crier. Mais pourquoi ? Arizar courut très vite, je savais que quelque chose allait se passer. Quelques minutes plus tard, nous étions arrivés près d'une gorge qui était assez haut, je ne voulais pas même pas voir ce qu'il y avait au fond de cela. Non, merci.

Puis, je vis 2 jeunes femmes qui étaient au bord du précipice, une panthère noire comme les ténèbres, mais ses yeux avaient une couleur particulière. Ils étaient couleur émeraude !

-( Que faisons nous alors ? Car je ne veux pas que la panthère morde les jeunes femme et je ne veux pas qu'elles tombent dans le précipice, elles ne pourraient pas y survivre, c'est impossible !)

J'avais dit cela à mon ami intime. Que devons nous faire ? Je regardais la scène, la panthère ne faisait rien de spécial, elle attendait quelque chose. Mais quoi au juste ? Bonne question... Soudain, j'entendis quelque chose derrière moi, un grognement sourd et terrifiant. Non, c'était impossible. Une autre panthère était derrière moi, elle me fixait beaucoup trop, je vis sa langue sortir de sa bouche... OH, elle avait faim ... Maman !!!! La panthère voulait juste me manger, elle ne voyait que moi ... Je devais la calmer, mais, ce ne savait pas comment faire . Donc, je courus dans le sens opposé du groupe, pour qu'elle ne remarque pas les autres !!

-( Arizar, je vais me faire manger !!!!!!! )
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Sam 12 Oct 2013, 17:24



« Quête : Jeu dangereux »

Anwen & Arizar



Je m’approchais doucement des deux autres femmes tout en restant face à la panthère. Cette dernière avait compris qu’elle n’avait pas à faire à une cible avec moi. J’avais parcouru la moitié du trajet quand elle poussa un grognement, c’était un avertissement, elle ne m’autoriserait pas à réduire la distance que me séparait des femmes apeurés.

( Arizar, je vais me faire manger !!!!!!! )
De quoi ?! Les panthères ne chassent pas en groupe normalement, à moins que…

(Ok Anwen, les panthères ne chassent pas, nous sommes sur leur territoire et nous avons un couple qui défend son territoire. Ecoute ce que je vais te dire et ne lui tourne JAMAIS le dos. Arrêtes de courir tu ne vas faire que l’énerver, tu vas te rapprocher de moi, je vais les distraire et tu partiras avec le groupe, je sais que je peux les calmer sans combattre mais elles ne doivent pas être distraite par quelqu’un d’autre. Tu as bien compris ?)

« Ecoutez moi tous, vous allez suivre Anwen sans jamais tourner le dos aux panthères, lorsque vous serez hors de vue vous devrez la suivre sans jamais la contredire, je vais distraire les panthères pour vous permettre de fuir, ne faites pas de mouvement brusques, ne courez pas, ne criez pas. Si vous ne les agressez pas, elles ne vous attaqueront pas, elles seront focalisées sur moi ! »

Je ne me préoccupais plus du groupe, toute mon attention sur les deux félins. J’ouvre mon esprit et tente de leur faire comprendre que nous avions perdu des membres de notre groupe. Je leur transmets des signes de non agressions, je tente de leur expliquer que nous allons fuir. L’une d’elle semble prête à nous laisser partir, mais le mâle n’est pas de cet avis, son hostilité redouble et il abandonne Anwen pour se tourner vers moi. Les deux panthères me font face à présent. Je recule progressivement, afin d’éloigner les deux prédateurs de notre groupe, mais j’assure ma posture défensive et commence à montrer des signes d’hostilité. Si le mâle pense pouvoir me mettre à mort il ne se gênera pas.

Le mâle gratte le sol de ses griffes avant, comme s’il se préparait à me sauter dessus alors que sa femelle semble plus prudente. Je leur transmets alors des souvenirs de mes combats pour leur faire comprendre que je suis prêt à me défendre. La femelle perd tout envie de combat et s’assoie mais le mâle redouble de grognement, je dégaine très lentement mon sabre et me tourne vers lui tout en lui transmettant une très grande vague d’hostilité qui me coûte beaucoup d’énergie. Je n’ai pas l’habitude d’utiliser mon pouvoir ainsi et le faîte que je ne maitrise pas beaucoup la magie m’épuise rapidement.

Je perçois alors des souvenirs de la femelle, ils ont deux petits et l’un d’eux est mort à cause d’une des deux femmes. Le pauvre petit à été surpris par les deux femmes, il a couru à travers la jungle et n’as pas fait attention où il allait et il est tombé de la falaise, aucune chance de survit pour lui. La femelle comprenait que les deux femmes n’avaient pas voulu sa mort mais le mâle voulait se venger et soulager le manque et la disparition du petit. Je le comprenais, j’avais ressenti pratiquement la même chose lorsque Minoru avait été capturé.

Je baisse mon arme et tente de lui transmettre ma compassion, j’essaie de lui faire comprendre que je ne souhaite pas l’affronter mais que je suis prêt à me défendre. Rien n’y fait. Il s’aplatit sur le sol et bondit.


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Dim 13 Oct 2013, 11:58

Alors que la panthère m’avait vu de loin quand même, je pris la fuite rapidement, sans que les autres me voient. Je courrais rapidement dans le foret des murmures. Ah super, alors que je ne pouvais pas supporter cette foret, il fallait que je cours dans ce lieu à toute vitesse pour que je distance l’animal. Mais, elle courait très vite, je n’arrivais pas aller plus vite, car je n’avais dû mal à éviter les branches des arbres, les feuilles qui me faisaient glisser sur la boue.

A plusieurs reprises, j’avais failli me faire mal, et tomber. Heureusement que j’étais assez agile pour ne pas tomber et repartir sur mes pieds. Cependant, je ne pourrais pas courir indéfiniment, je le savais bien, mais je ne voulais pas m’arrêter, je ne voulais pas qu’elle me mange, je n’étais pas bonne de toute façon. Alors que je courrais dans ce lieu, Arizar me contacta pour me donner des indications spéciales :

-(Ok Anwen, les panthères ne chassent pas, nous sommes sur leur territoire et nous avons un couple qui défend son territoire. Ecoute ce que je vais te dire et ne lui tourne JAMAIS le dos. Arrêtes de courir tu ne vas faire que l’énerver, tu vas te rapprocher de moi, je vais les distraire et tu partiras avec le groupe, je sais que je peux les calmer sans combattre mais elles ne doivent pas être distraite par quelqu’un d’autre. Tu as bien compris ?)

Super !! Il voulait que je m’arrête pour faire face à cela, mais c’était impossible, je n’aimais pas les animaux qui avaient envie de me manger. Mais, j’écoutais quand même ce qu’il me disait, et je pris en compte ses ordres, ses indications. Donc, je m’étais arrêtée rapidement et je la regardais dans les yeux. L’animal s’arrêta elle aussi, directement. Ses yeux me firent peur, je ne savais pas que ce les jeunes femmes avaient fait, mais ils étaient sacrément énervés. Fixés les yeux de l’animal n’étaient pas une bonne idée non plus.

Soudain, la panthère qui étaient devant changer de direction, il reprit la direction ou se trouvait Arizar. Oh non, cela n’allait pas le faire du tout. J’attendis que l’animal parte vers celui que j’aimais pour reprendre la route vers lui, je me demandais ce qu’il avait fait au juste pour qu’il change de direction… Non, ce n’était pas bon du tout, je courrais vers la falaise, là où se trouvait Arizar. Je courrais rapidement, je ne savais plus quoi faire, mes jambes allaient flancher si Arizar était blessé, et je n’avais pas envie qu’il se fasse manger par le mâle.

Quelques secondes après, j’arrivais vers le lieu. La femelle s’était repliée, mais le mâle était prêt à attaquer l’homme que j’aimais. Il bondit sur lui, alors qu’Arizar n’avait lâché son arme. Soudain, dans un élan de puissance et de protection que j’avais pour lui, je bondis à mon tour. Je bondissais sur le jeune homme et non sur le mâle. Je n’avais pas envie de le blesser et de le faire tomber dans le précipice. Je tombais sur le corps d’Arizar quelques secondes avant que la panthère tombe sur lui. La panthère s’arrêta net lorsqu’il avait vu ce que j’avais fait. Le mâle me regarda dans mes yeux ou encore plus, dans mon âme. J’essayais de lui faire comprendre, que je tenais beaucoup à cet homme et que je ne voudrais pas qu’il meurt, car je ne pourrais pas m’en remettre.

Mes yeux le fixèrent encore et encore jusqu’à que le mâle parte d’ici. Au bout de quelques secondes de fixation et de silence absolu, le mâle décida de partir d’ici avec sa femelle. A ce moment-là, je respirais, mon cœur battait tellement vite que j’avais cru qu’il allait s’arrêter. J’étais contente qu’Arizar aille bien. Je posais ma tête sur son torse doucement …

- Ne refais plus jamais cela …
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Dim 13 Oct 2013, 12:56



« Quête : Jeu dangereux »

Anwen & Arizar



Mon sabre est posé en sol et j’ouvre mes bras en signe de paix mais le mâle souhaite en découdre. Il s’accroupi et me charge, je change de posture immédiatement et ma seule solution est de jouer avec sa force pour le dévier de sa trajectoire puis de le frapper rapidement dans l’aine. La douleur sera fulgurante mais ne sera pas handicapante pour lui, avec un impact suffisamment puissant il comprendra et il arrêtera le combat de lui-même, sinon je serai obligé de le tuer.

Alors que la panthère me charge quelqu’un sort des broussailles sur ma droite et plonge sur moi, j’ai tout juste le temps de changer de posture afin d’absorbé le choc. Je suis projeté au sol et finis ma glissade non loin du bord de la falaise. La panthère c’est stoppé dans sa course et semble regarder celle qu’il avait d’abord prit en chasse puisque c’était Anwen qui m’avait plaqué ainsi. Le félin semblait étonné de voir une femelle s’opposer ainsi dans un combat entre deux mâles et il comprenait que la femelle ne voulait voir personne souffrir. La panthère se rappela son deuxième petit et sa propre femelle, toute envie de combat disparu en lui et il se retourna vers sa famille afin de les guider dans la forêt et ainsi s’éloigner de nous. Juste avant de disparaître dans les buissons il se retourna vers moi et d’un petit feulement qui n’avait plus rien d’hostile il me transmit sa dernière pensée : l’idée de famille et de protection. C’était comme s’il me présentait des excuses et qu’il m’expliquait pourquoi il avait agit ainsi, je lui transmis une vague de compassion juste avant qu’il bondisse et disparaisse à jamais dans cette jungle broussailleuse.

« Ne refais plus jamais cela …»

Cette remarque m’arrache un sourire et je sais pertinemment que si c’était à refaire je l’aurai fais. J’ai un lien particulier avec les animaux depuis longtemps et je savais que je pouvais m’en sortir, mais Anwen n’avait pas encore découvert cette part de moi et elle l’avait maintenant découvert. Je sais qu’au fond d’elle, elle est consciente que je ferai n’importe quoi pour elle et si m’opposer à un groupe de félin n’était qu’une épreuve qui appartenait au passé maintenant, elle serait aussi celle qui me permettrait de me rapprocher une nouvelle fois de ma chère et tendre. Je reste ainsi allongé sur le sol tout en analysant ce qu’il venait de ce passer. C’était la première fois qu’un félin réagissait ainsi face à moi, mon pouvoir avait grandit sans que je ne m’en aperçoive et il m’avait permit de comprendre, de transmettre de puissante vague d’hostilité, de réduire celle de la femelle et finalement de protéger celle qui m’était chère. J’entendais encore le miaulement de leur petit dans ma tête.

(Quoi ?! Non je n’ai pas entendu leur petit, et ce miaulement n’est pas dans ma tête !)

Je rampe un peu plus loin sur le bord de la falaise à la recherche de la source de ce miaulement. Je la trouve trois mètre plus bas, sur une corniche, le petit félin qui aurait du chuté d’une quinzaine de mètre est tombé deux mètre plus bas, a été amorti par la branche qui a  été arraché sous sa chute et qui se trouve à côté de lui. Il est maintenant coincé sur cette corniche, c’est impossible pour moi de le laisser et je préviens Anwen tout de suite.

(Anwen vient m’aider, le petit n’est pas tombé loin et il est vivant, je vais aller le chercher !)

Je m’attache avec une corde alors qu’Anwen attache l’autre bout à l’arbre le plus proche, d’une longueur de cinq mètre j’ai largement de quoi descendre. Je ressens la peur du petit félin, je vais d’abord devoir le réconforter car je ne pourrais jamais remonter avec lui s’il s’agite de trop, il pourrait même m’entrainer dans une chute mortelle. La paroi est très facile a escalader et la descente n’est qu’une formalité, je pose le pied sur la corniche alors que le félin se recroqueville le plus loin possible de moi. Je m’assois en tailleur, ouvre les bras et replonge dans les esprits. Son rythme cardiaque est très élevé et il est apeuré, je lui transmets l’image de ses parents afin de tenter de le calmer puis lui envoi une vague d’apaisement et de calme. Le petit se calme légèrement mais reste entièrement méfiant, je fouille alors dans mon sac et ressors un peu de viande séchée. Il est d’abord prudent et s’approche en boitant, sa patte avant droite est blessée et il a du mal à se déplacer mais la faim tiraille son estomac et il ne peut finalement pas résister.

Il s’approche et commence à manger le morceau que je lui ai offert, puis il s’assoit face à moi et pousse un petit miaulement. Je lui fais comprendre que je peux le soigner à l’aide d’image et de sensation, le félin est méfiant mais il m’autorise à l’examiner. Par chance sa patte n’est pas cassé, je lui applique une petite solution et entoure sa patte avec un bandage, je lui retire les échardes qui se sont coincé sous ses coussinets et déjà le petit félin se sent mieux, il miaule une nouvelle fois et se frotte contre moi en signe de remerciement. Je lui fais comprendre que nous allons remonter, il ne comprend pas comment mais se laisse faire, après tout cet Homme venait de le nourrir et de le soigner, il ne pouvait pas être méchant.

Je le place dans ma sacoche la tête à l’air libre, j’empêche mon bardeau de trop bouger afin que le félin ne soit pas baladé et je remonte aussi facilement que je suis descendu.


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Mer 16 Oct 2013, 20:29

Alors que j’étais sur lui, je me sentis bien et sereine, je n’avais vraiment pas envie de le mourir. Mon cœur serait mort et peut être que je me suiciderai face à cette épreuve qui serait trop difficile à mon goût. Mais, je ne devais pas penser à cela aujourd’hui, j’étais si heureuse de le voir là, auprès de moi. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas vu depuis le bal dans le parc qui était très bien. J’avais appris beaucoup de chose sur lui, j’étais heureuse d’en savoir un peu plus de lui et son passé. Je lui souris en écoutant son cœur battant.

Cela me fit beaucoup de bien à mon âme de le sentir vivant. Puis, je compris qu’il avait le don de parler aux animaux, enfin de transmettre ses émotions et sentiments aux animaux qui étaient autour de lui. Je n’avais jamais vu cela auparavant, j’étais surprise de l’apprendre, mais cela faisait quelque chose en plus que je savais sur lui. Soudain, Arizar s’arrêta un peu de respirer pour une raison, mais il me dit par la pensée quelque chose :

-(Quoi ?! Non je n’ai pas entendu leur petit, et ce miaulement n’est pas dans ma tête !)

Quoi ? Je n’avais pas compris ce qu’il avait dit. Leur petit du couple n’était pas mort en tombant dans le précipice ? A moins qu’il avait survécu, il avait de la chance, cela voulait dire qu’il avait de la force en lui. Je souris, et Arizar voulait qu’on le sauve à tout prix, je le comprenais beaucoup et je ne m’empêchais pas de le faire. J’étais ravie qu’il l’aide. Le petit était en bas sur un rocher, un plateau. Franchement, la chance était avec nous aujourd’hui, ce n’était pas si mal comme journée alors.

-(Anwen vient m’aider, le petit n’est pas tombé loin et il est vivant, je vais aller le chercher)

J’acquiesçais la tête en souriant. Je devais prendre la corde pour qu’il descende sans problème, je tenais la corde autant que je pouvais. Il me demandait si le petit n’était pas gravement blessé, je ne voulais pas qu’il meurt, non pas aujourd’hui et pas devant nous. Puis, finalement, Arizar voulait remonter et c’est ce que je fis immédiatement en tirant sur la corde très fort. Mes mains me firent mal, mais je me retenais de crier pour le bien de tous. Une fois que le jeune homme fut remonté, je vis dans sa sacoche le petit qui était trop mignon.

-Alors il était bien vivant ? Il a eu beaucoup de chance d’avoir survécu à cette chute ! J’espère qu’il va bien … Et je me demande comment on va le redonner aux parents, je ne sais pas même où ils sont partis …

Le petit était bien dans la sacoche de mon bien aimé, il avait l’air d’être bien en ce moment même. Je voulais que le petit retrouve sa famille pour qu’il vive heureux. Tout le groupe le regarda attentivement, les jeunes femmes étaient attendrit, captivité par les yeux de la créature, et l’homme était en train de regarder la rocher où on avait retrouvé l’animal blessé. Maintenant, la mission était de retrouver les parents pour le ramener dans sa famille.

-( Comment on va faire ? La forêt est trop grande, on ne pourra jamais retrouver le territoire ou la tanière de ses parents ! Cela m’inquiète beaucoup …)

J’essayais de me mettre à la place du petit, je n’aurais jamais aimé d’être perdu et d’être seule dans que personne ne puisse m’aider. Je ne savais pas quoi faire pour l’aider. Je me sentais mal … Mais, je pris quand même la route dans cette forêt terrifiante.
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Jeu 17 Oct 2013, 18:52



« Quête : Jeu dangereux »

Anwen & Arizar



Le petit félin ne se laisse approcher par personne et reste dans la sacoche, comme s’il se sentait en sécurité, j’étais surpris de sa réaction et me demandais comment j’allais faire avec lui puisque ses parents les croyaient mort qu’ils étaient à présent loin de nous, camouflés dans cette épaisse forêt. Il ne laissait personne l’approcher et griffait ceux qui tentaient de le prendre malgré tout.

(Comment on va faire ? La forêt est trop grande, on ne pourra jamais retrouver le territoire ou la tanière de ses parents ! Cela m’inquiète beaucoup …)

Anwen pensait aussi à cela, comment résoudre ce problème surtout que nous avions encore deux personnes à retrouver et que la journée touchait à sa fin…
(Cela nous ralentirai de retrouver les panthères, pourrait nous mettre en danger et ne servirai peut être pas, le petit porte les odeurs d’Homme sur lui maintenant, ses parents félins le rejetterons, c’est bête à dire mais ce petit n’a plus de parent. Je ne peux pas me résoudre à l’abandonner ici, il mourra s’il reste tout seul. Je pense donc l’emmener avec moi, malgré les quelques coup de griffes qu’il m’a donné finalement il n’est pas si méchant, avec un peu d’attention et d’éducation je pourrais en faire un gros matou ! J’ai toujours souhaité avoir un animal de compagnie, c’est l’occasion qui se présente à moi, Minoru ne sera pas contre je ne pense pas...)

Le soleil s’approche de l’horizon et je n’ai nullement envie de dormir dans la forêt, dans l’humidité et le froid, exposé à d’autres prédateurs alors que je pourrais être dans un lit. Je réunis tout le monde autour de moi afin de ne pas avoir à hausser la voix et d’une voix calme je leur explique :

« Le soleil sera couché d’ici deux heures, il sera inutile de les chercher dans le noir et je n’ai absolument pas envie de dormir dans la forêt, libre à vous de rester pour chercher les deux qui nous manquent mais je ne serai pas responsable de votre choix, tenez vous le pour dit. Je vous laisse quelques instants le temps que je range mes affaires et ma corde, après ça je pars. »

Je sais qu’Anwen me suivra et peut m’importe ce que choisirons les autres, nous sommes venues tout les deux les sortir de cette forêt, s’ils souhaitent y rester c’est leur droit mais je ne me sacrifierais pas pour eux. Finalement après une concertation d’environ quinze secondes, personne n’avait fait le choix de rester, nous allions donc guider ces cinq là hors de cette forêt. La journée avait été riche en émotion et même si nous n’avions pas encore trouvé tout le monde au moins ceux que nous avons sont presque tous entier, hormis celle qui à mangé les baies et qui se remettra d’ici deux jours tout le monde allait relativement bien.

J’avais du mal à retrouver la clairière, on avait couru dans tout les sens et je n’avais pas pris le temps de noter quelques détails dans ma mémoire afin de nous aider à me souvenir de la route à prendre. J’ai donc du pister nos propres empreinte et faire marche arrière afin de nous remettre sur la bonne voie. Nous parvenons à rejoindre la clairière au bout d’une heure, la nuit commençait à apparaître enrobée de sa noirceur et de ses ombres, prête à nous cacher la lumière. Les ombres augmentaient de minutes en minutes et progresser rapidement en suivant une piste devenait plus difficile en conséquence. Le manque de lumière, les ombres projetées au sol et le piétinement des autres rendaient nos traces plus difficiles à repérer, pour clôturer le tout je jouais contre le temps car si la nuit tombait avant que nous sortions je devrais avancer à l’aveugle sans aucune trace à remonter et nous serions amenés à nous déplacer avec pour seul repère, mon instinct.


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Dim 20 Oct 2013, 13:43

Alors que nous avions récupéré le petit félin qui était blessé, je me demandais comment on allait le redonner à ses parents. Et franchement, la nuit allait bientôt tomber dans la forêt des murmures, et je ne voulais pas rester ici. Le brouillard n’était pas là maintenant, mais cela n’était pas bon signe. Je ne me sentais pas bien du tout, j’avais froid et je tremblais de froid ? Ou de peur ? Je ne savais pas trop, mais je voulais partir d’ici le plus rapidement avec Arizar. Puis, le jeune homme prit la parole dans ma tête :

-(Cela nous ralentirai de retrouver les panthères, pourrait nous mettre en danger et ne servirai peut être pas, le petit porte les odeurs d’Homme sur lui maintenant, ses parents félins le rejetterons, c’est bête à dire mais ce petit n’a plus de parent. Je ne peux pas me résoudre à l’abandonner ici, il mourra s’il reste tout seul. Je pense donc l’emmener avec moi, malgré les quelques coup de griffes qu’il m’a donné finalement il n’est pas si méchant, avec un peu d’attention et d’éducation je pourrais en faire un gros matou ! J’ai toujours souhaité avoir un animal de compagnie, c’est l’occasion qui se présente à moi, Minoru ne sera pas contre je ne pense pas...)

Je lui souris tendrement, j’étais un peu jalouse du félin, mais j’étais contente car Arizar allait le reprendre avec lui, pour s’occuper de lui durant le reste de sa vie. Je savais qu’il allait bien prendre soin de ce petit. Il prit la parole au reste du groupe en disant qu’il ne voulait pas rester dans cet endroit car la nuit allait bientôt arrivé. Il était vrai que personne ne savait ce qu’il allait se passer dans cette foret. Moi, je voulais rentrer à l’auberge, je voulais être tranquille avec lui, je voulais un peu être avec lui avant qu’il ne reparte dans un autre endroit. Soudain, le reste du groupe décidèrent d’aller à l’auberge, ils ne voulurent pas rester dans ce lieu encore quelques heures. Il fallait rentrer rapidement.

-(Comment on va faire pour les deux autres personnes qui sont encore là-bas ? )

Oui, c’était une très bonne question. Je voulais rentrer au chaud et en sécurité, mais je ne voulais pas laisser tomber les deux dernières personnes qui allaient peut être mourir. Mais tout d’abord, nous devions mettre les autres en sécurité à l’auberge, avant peut être repartir chercher les autres une dernière fois.

Nous marchions sans avoir où nous allions, enfin presque. Le soleil nous donnait les derniers rayons du soleil pour nous guider encore une fois. Puis au bout de quelques heures de marche intensive, je vis enfin l’auberge, mais elle était encore assez loin. Puis, j’accélérais le pas pour la rejoindre au plus vite. Mais, je tombais dans un trou assez profond, c’était de la vase. Je ne pouvais plus bouger, mais je ne savais pas quoi, je n’avais plus mon sang froid. Je n’arrivais pas à sortir de ce trou.

-(Ne t’occupe pas de moi, je vais m’en sortir !)

Soudain, le brouillard était de retour parmi nous ! Oh non ce n’était pas bon pour nous. Je commençais à trembler, je n’aimais vraiment pas le brouillard, car qui dit brouillard dit illusion !
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Lun 21 Oct 2013, 12:52



« Quête : Jeu dangereux »

Anwen & Arizar



Les derniers rayons du soleil nous servaient de guide dans ce ciel auréolé de rouge et teinté dégradé orange alors qu’une vague de bleu sombre ballait le tout au fur et à mesure que la nuit se lève. Nous sortons du bois et je constate que nous sommes sortis plus au sud que prévu, nous devons donc traverser les plaines herbeuse quasi marécageuse du sud du village. L’auberge est en vue à plus ou moins trois cent mètres et Anwen accélère le pas, à la limite de courir, l’obscurité nous encercle et ni Anwen ni moi ne voyons la vase qui se trouve devant elle. Elle tombe dedans et se retrouve presque immobilisée avec de la vase jusqu’à la taille, on dirait presque des sables mouvants, je la sens s’énerver et ne plus maitriser son calme.

(Ne t’occupe pas de moi, je vais m’en sortir !)
(Comme si j’allais faire une chose pareille…)

Le brouillard se lève et c’est particulièrement étrange car le temps ne s’y prête pas, il est sec et chaud alors que la brume se lève lorsque l’humidité du sol ressort lorsqu’un contraste entre la chaleur de le terre et l’air ambiant se confronte, résultant une brume. En voyant Anwen je compris tout de suite que le brouillard était d’origine magique.

« Ecoutez moi tous, vous allez avancer tout droit dans cette direction sans jamais vous retourner, au moindre bruit suspect vous continuerez d’avancer en pressant l’allure, sans courir, sans paniquer, vous atteindrez l’auberge d’ici une trentaine de minutes. »

Les autres m’obéissaient déjà et se mettaient en marche vers l’auberge, je me tourne alors vers Anwen et plonge mon regard dans le sien.

(Ecoutes moi attentivement, respire calmement, prend une grande inspiration, maintiens la pendant cinq secondes et expire à fond, puis recommence une fois. Tu dois te calmer et ne pas céder à la panique, on va procéder par étape et d’abord te sortir de ce trou, ensuite on s’attaquera à la brume et ce qui risque d’en sortir.)

Je lui expliquais calmement ce que nous allions faire afin de la rassurer et de réduire sa nervosité, il faut qu’elle soit maitre de ses émotions car si nous sommes attaqués, peu importe la source de l’attaque, elle devra être en pleine possession de ses moyens et ne pas céder à la peur. Une fois calmée je lui tends mon bras afin qu’elle s’en saisisse et que je la sorte de là. Je lui explique qu’elle doit se laisser extirper sans s’agiter car cela me ralentira et me demandera un effort beaucoup plus conséquent. Je parviens à la hisser sur la terre ferme avec un bruit de succion étrange. Je commence à ressentir la teneur magique présente dans la brume qui nous entoure à présent ; je ne vois pas à plus de cinq mètres, je me mets en garde, la main sur la garde de mon sabre, prêt à dégainer, tout mes sens en éveil afin de capter le moindre indice sur ce qu’il ce passe et sur un potentiel ennemi.

(Je ne sais pas ce qu’il ce passe mais quoi qu’il arrive reste avec moi, nous séparer serait la pire des choses à faire, nous devons conserver un point de repère réel l’un pour l’autre, soit prête à combattre, on ne sait pas ce qu’il peut arriver.)

Je sens le calme m’envahir et rejeter l’adrénaline qui tente de prendre possession de mon corps, je dois rester vigilant et ne pas céder sous l’excitation, je suis tellement concentré que je pourrais ressentir le moindre insecte sur deux kilomètres à la ronde. Je suis empli de sérénité et de quiétude, particulièrement attentif au moindre mouvement d’air qui trahirai la présence de quelqu’un d’autre.


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Dim 27 Oct 2013, 13:16

Alors que j’étais bloquée dans des espèces de sables mouvante, j’avais perdu mon sang froid, je n’étais pas bien du tout. Mon cœur battait très vite, mon cerveau me disait « alerte, alerte ! », mes membres inférieur avaient disparu sous le sable, mes bras essayèrent de partir de ce trou. C’était la panique, alors déjà j’avais failli me faire manger par des panthères, mais là c’était le grolo !! J’étais perdue et j’avais peur, mais on devait déjà sauver les autres personnes de la forêt maudite. Arizar devait partir avec eux pour les aider à retrouver l’auberge. J’avais dit au jeune homme qu’il devait partir avec eux et rapidement, mais il voulait rester auprès de moi pour m’aider à sortir de là, le plus possible. Le sable montait sur ma poitrine, je ne savais plus quoi faire.

Puis, il demanda aux personnes que nous avions sauvées de partir d’ici, avant que les illusions viennent les prendre et les tuer d’un seul coup. Et je n’avais pas envie que cela se finisse comme cela. Moi d’abord, je voulais encore revoir celui que j’aimais, celui avec qui je me sentais bien depuis quelques temps déjà. J’étais si heureuse de la revoir encore une fois, et j’espérais que je pourrais le revoir prochainement. Je ne voulais pas le quitter, j’avais tellement de choses à faire avec lui et autres choses pour ma race que j’aimais tant. La sable monta encore un peu, mon cœur se serra en plus en plus, il savait que je n’allais pas résister à cela bien longtemps…

-(Ecoutes moi attentivement, respire calmement, prend une grande inspiration, maintiens la pendant cinq secondes et expire à fond, puis recommence une fois. Tu dois te calmer et ne pas céder à la panique, on va procéder par étape et d’abord te sortir de ce trou, ensuite on s’attaquera à la brume et ce qui risque d’en sortir.)

J’entendais sa voix dans ma tête, cela me fit beaucoup de bien sur le coup. Je lui souris tendrement. Je respirais doucement et lentement comme il me l’avait dit, et je fis cela plusieurs fois. Je me sentais mieux et moins stressée, je ne devais pas penser au sable mouvant. Arizar… Sa voix me fit du bien, mon sang froid était bientôt revenue en moi. Je respirais encore plus fois.

-(Je ne sais pas ce qu’il se passe mais quoi qu’il arrive reste avec moi, nous séparer serait la pire des choses à faire, nous devons conserver un point de repère réel l’un pour l’autre, soit prête à combattre, on ne sait pas ce qu’il peut arriver.)

Oui, il avait raison, je sentais qu’une puissance magique venait par ici, vers nous. Mais comment cela se faisait qu’il y avait une tellement puissance dans ce lieu sans que personne ne le remarque auparavant ? Franchement, ce n’était vraiment notre jour, à Arizar et à moi !  Puis, je sentis que mon corps était moins emprisonner par le sable donc, je pris la parole :

-(Arizar, viens m’aider, je sens que je peux partir de ce trou ! Ne t’inquiète pas, tout va aller bien ! Je te le promets)

Je lui tendis les bras vers lui pour qu’il puisse me tirer et qu’il me fasse enlever de ce trou de malheur. Je voulais qu’il se dépêche, puisque je sentais la magie à pleine puissance pas loin de nous. La magie était tellement puissante que je pouvais voir une forme à quelques mètres de nous. Cette forme ressemble à une vielle sorcière, une vieille femme avec un corbeau sur son épaule. Elle sourit en nous regardant dans les yeux, puis, je me disais si ce n’était pas une illusion. Étions-nous piège aujourd’hui ??

-( Qu’allons-nous faire maintenant ? Il faut rapidement rejoindre l’auberge, puisqu'il y a de la lumière, nous serons en sécurité là-bas, mais il faut se dépêcher et vite !)
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Mar 29 Oct 2013, 12:51



« Quête : Jeu dangereux »

Anwen & Arizar



Je sentais la petite panthère s’agiter dans ma sacoche comme si quelque chose approchait mais Anwen avait besoin de moi. Elle avait réussi à se calmer et à repousser la panique qui s’emparait d’elle. J’attrape ses bras et commence à tirer fort afin de la sortir de ce sable mouvant qui n’aurait jamais dut se trouver ici. Je sentais la puissance magique grandir alors que je sortais, lentement mais surement, ma tendre amie de ce guêpier. C’était difficile le sable la retenais avec une grande force et je devais tirer avec beaucoup de force pour l’aider à s’en sortir, mes muscles étaient gonflés et j’avais les veines qui ressortaient par endroits. Au départ elle essayait de m’aider et gesticulait un peu mais j’ai vite compris que cela me retardait plus qu’autre chose et que j’épuisais mes forces inutilement.

Je lui explique alors qu’elle doit se laisser faire, tout se déroulera en douceur et rien ne doit être précipité sous peine de se retrouver tout les deux coincés. Elle s’arrête donc de bouger et je parviens à l’extraire avec un bruit de succion particulièrement bruyant, je sens quelque chose approcher et je le vois dans les yeux d’Anwen mais je dois encore la tirer sur quelques mètres afin de l’éloigner de ces sables mouvants. Je me retourne sans gestes brusques par prudence et constate qu’une vieille femme se tiens à quelques pas de nous, un corbeau était niché sur son épaule nos observant de ses yeux noirs.

Je ne savais pas si la présence de cette personne était une bonne ou une mauvaise chose mais je ne ressentais pas d’hostilité dans l’air, je n’avais strictement aucune idée de ce qui allait ce passer. L’air était empli de magie et saturait presque, même moi je la ressentais avec force et puissance alors que j’en perçois habituellement que les trames et non la puissance.

(Qu’allons-nous faire maintenant ? Il faut rapidement rejoindre l’auberge, puisqu'il y a de la lumière, nous serons en sécurité là-bas, mais il faut se dépêcher et vite !)
(Je ne sais pas, la femme n’a pas l’air hostile mais elle dégage une telle puissance magique qu’il est préférable de ne pas faire de geste brusque, même en rejoignant l’auberge je ne suis pas certain que nous serons en sécurité.)

Je n’ai aucune idée de ce qu’il se passe mais je n’ai pas envie de laisser croire à celle qui nous fait face que nous sommes apeuré, je prends donc l’initiative.

« Bonjour madame, je suis Arizar et voici Anwen, je suppose que vous êtes à l’origine de cette brume magique vu la puissance que vous dégager, je vous serai gré de bien vouloir nous dévoiler votre identité et la raison de votre présence ici. »

J’ai parlé d’une voix assuré et sans peur afin de lui faire comprendre que je ne suis pas effrayé par cette mise en scène, bien que sa puissance magique m’inquiète. Hors de question de lui donner le moindre prétexte pour nous attaquer même si la raison de sa présence est peut être totalement différent de ce que je pourrai imaginer. Je préfère rester méfiant et prudent, on est jamais trop prudent et quitte à paraître un peu rustre je trouve qu’il et préférable de paraître rustre que d’être mort ou gravement bléssé.


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Mer 30 Oct 2013, 20:50

Alors qu’Arizar essaya de me faire sortir de ce trou par les bras, la vieille dame et son corbeau nous regardèrent avec un regard que je n’aimais pas trop. Mes frissons étaient toujours là, et ils n’allaient pas disparaitre aussitôt. Je me demandais si le reste du groupe avait pu rejoindre l’auberge à temps sans que les illusions viennent les attraper et les tuer. Enfin, bref, mon bien aimé avait réussi à me sortir de là avec sa force dans ces bras, il était puissant. En même temps qu’il me tira, il répondait à ma question que je lui avais posée précédemment :

-(Je ne sais pas, la femme n’a pas l’air hostile mais elle dégage une telle puissance magique qu’il est préférable de ne pas faire de geste brusque, même en rejoignant l’auberge je ne suis pas certain que nous serons en sécurité.)

Il n’avait pas tort, mais je n’aimais vraiment pas son regard et son sourire. Sa puissance était mille fois supérieure à nous et dans tous les domaines. Elle était bien plus puissante que Takias ou Cocoon. Et franchement, je n’avais pas envie de me battre contre elle, nous mourrions sur le coup. Enfin, j’étais sortie de ce trou à rat et je me tenais auprès d’Arizar et je lui pris sa manche. Je paniquais encore une fois, mais là, c’était à cause de cette femme. Arizar s’avançait vers elle, mais pourquoi ? Que faisait-il au juste ?

-Bonjour madame, je suis Arizar et voici Anwen, je suppose que vous êtes à l’origine de cette brume magique vu la puissance que vous dégager, je vous serai gré de bien vouloir nous dévoiler votre identité et la raison de votre présence ici.

Hein ? Mais pourquoi il nous présentait à la vieille dame ? Je m’approchais à mon tour vers elle, mais en restant derrière le jeune homme. La vieille dame sourit en me regardant, je n’osais pas la fixer. Puis, la vieille dame prit la parole avec une voix grave et agaçante pour ma part :

-Qui suis-je ? Vous osez me dire cela ? Je suis l’esprit de la forêt des Murmures ! Je ne suis pas très contente que vous ayez pénétré dans mon territoire pour sauver des gens comme eux. Je me demande pourquoi vous avez cela !!

Soudain, je vis le paysage se modifier sous nos yeux et ce n’était pas bon du tout pour nous, nous étions dans le pétrin et jusqu’au cou. Nous n’avions pas la moindre chance contre elle, et je n’avais jamais affronté des illusions puissantes. Mais elle baissa le bras en voyant le félin dans la sacoche d’Arizar et elle reprit la parole avec une voix plus douce, plus tendre aussi, ce qui me fit bizarre au début.

-Cependant, je vais vous laisser tranquille puisque vous avez sauvé ce petit félin de la mort et je vous remercie de ne pas l’avoir laissé comme cela, au bord de la mort… Partez ! Avant que je ne change d’avis !

Je la regardais puis je lui souris, et je la pris dans mes bras même si je savais que c’était une illusion. Puis, je pris le bras d’Arizar pour repartir d’où on venait. Finalement, la vieille dame n’était pas aussi terrifiante que je l’avais cru. Je me retournais pour la remercier, mais elle avait déjà disparu dans la foret… Je souris tendrement.
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Jeu dangereux [ Quête PV : Anwen]

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