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 Panique en Cuisine-Caliel

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Dim 24 Nov 2013, 11:17

J'eus un regard neutre vers l'horizon. Alors que je haussais les épaules. Sans rien dire, marchant tout simplement. J'avais l'impression que même les gens s'écartaient de mon chemin... Comme si ils sentaient ma mélancolie. Je sortis une cigarette de ma poche, l'allumant d'une pensée. La fumée formait dans l'air des arabesques bleutés avant de se trouver englouties par un je ne sais quoi. Le vent sans doute. J'entendis un grognement dans ma tête. Frère loup voulait se manifester. En devenant lycanthrope... J'avais gagné un instinct animal. De cet instinct s'était manifesté l'animal. Il me montra ensuite une image de Ritsu. Je regardais pensivement ce ciel automnal. D'un bleu couleur fleur de maïs. Il faisait froid et une écharpe était enroulée autour de mon cou.

« Et oui... Pour les mortels la vie ne tient qu'à un fil... un petit fil tendu entre deux piquets, dans le vide. Le reste... N'est qu'un jeu idiot de funambule, et ce grotesque acrobate finira par tomber un jour ou l'autre et embrasser le ciel du paradis. »

J'avais le vague à l'âme. Cet animal était mort sous mes yeux, mais comment le considérer comme un animal, un simple animal alors qu'il était aussi intelligent qu'un être humain ? L'amertume était encore profonde, mais je chassais ses images de ma tête, envoyant au loin la fumée de mon petit poison. De toute façon... Je ne pouvais pas mourir de mauvaises habitudes. Je finis par m'arrêter devant un restaurant, jetant au loin ma cigarette et pénétrant dans ce dernier. J'étais seul oui... Et je n'avais rien de mieux à faire. Il était midi, l'heure d'influence. Les gens bavassaient gaiement. Sans se soucier de ce qui les entouraient. Je m'arrêtais un instant pétrifié sur le pas de la porte. Je connaissais ce jeune homme. Assit à cette table, non loin de la porte d'entrée. Mon regard fut piqué de curiosité. Je m'approchais, mon cerveau ne voulait pas y croire. Je me glissais sur la chaise juste en face de lui. Le regardant avec de grands yeux éberlué. Avant de cligner deux fois des yeux, me mordant doucement la lèvre. J'eus un frisson. Tout ça n'était-il pas une mauvaise blague ? Frère loup, pragmatique comme jamais affirmais que je ne rêvais pas. Et qu'il faudrait le tuer pour garder ma place. Mais je ne dis rien, trop absorbé par ce spectacle.

« Je te croyais... Mort, ou du moins disparut Naram. »


Je pouvais sentir son essence. Une essence qui s'approchait dans mes souvenirs de celle de mon ancien souverain. Mais il me semblait plus... Jeune, moins torturé par foule de chose. Je le regardais avec curiosité. Avant de retrouver ma langue. Arquant un sourcil interrogateur.

« Mais ou étais-tu ? »

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Ven 29 Nov 2013, 20:33


Caliel soupira. D'un geste las, il écrasa la fin de sa cigarette sur le bois de la table, arrachant une grimace à un serveur qui ne fit cependant aucun commentaire. Loin de se préoccuper des considérations éthiques ou autres sottises aristocrates, le Génie, d'une pichenette, envoya valser le mégot sur la table d'à côté, tout en crachant la fumée blanche de ses poumons. N'importe qui se serait fait reprendre d'un tel comportement. Mais on fichait une paix royal à ce jeune homme. Parfois, c'était grâce à sa gueule d'ange, car on ne pouvait que fondre au moindre de ses regards, et il serait déraisonnable de lui formuler ne serait-ce que l'ombre d'un reproche. Certains se méfiait de lui. Il irradiait d'une drôle d'aura de danger, alors on préférait se taire plutôt que risquer une de ses colères. L'inexpression de son visage était glaçante, terrifiante. Et d'autres encore n'osaient même pas l'approcher, car on le confondait avec un homme qu'on ne venait pas ennuyer. Mais ça, Caliel ne le savait pas. De toute manière, cela ne l'intéressait pas, pourvu qu'on ne vienne pas troubler sa paix. « Tu fumes trop.» constata Aerith, d'une voix éternellement morne, dénuée de la moindre émotion. Caliel releva le regard sur celle qu'il considérait comme une espèce de petite sœur. La petite poupée, qui semblait avoir à peine plus d'une quinzaine d'années, était assise en face de lui. Elle portait ses habituels vêtements préférés, courts et légers, un haut blanc qui laissait voir son nombril et une jupe bleue plissée, ainsi qu'une panoplie de bijoux sans valeur mais qui lui conférait un style particulier. C'était une jolie fille, avec de grands yeux d'un violet clair et de longs cheveux bleus, lâchés. Mais Caliel peinait à l'apprécier à sa juste valeur. Il faisait pourtant des efforts. Et c'est la raison qui l'avait poussé à l'inviter au restaurant. « Je n'ai pas besoin de respirer.» répondit-il simplement en se concentrant sur le menu. Manger aussi, d'ailleurs, n'était ni une nécessité ni un réel plaisir. Mais c'était toujours divertissant de jouer un rôle. « Avez-vous choisis ?» minauda une jeune serveuse blonde qui s'adressait exclusivement au Génie. Caliel, d'un regard, incita Aerith à s'exprimer. « Le canard laqué.» - « Et pour monsieur ?» - « Les raviolis aux champignons.» Choix hasardeux. « Une boisson ?» - « Votre meilleur vin rouge.» La fille prit les menus et s'éclipsa.

On ne tarda pas à servir les plats commandés. Et c'est dans une atmosphère silencieuse, c'est à dire habituel, que les jeunes gens se mirent à manger. Le repas se déroulait sans encombre. Mais c'était sans compter sur l'apparence de Caliel qui prêtait réellement à confusion. Un petit blond s'était approché, et il semblait pour le moins confus. Naram. C'était un nom qui n'était pas inconnu au Djinn. Ce n'était pas la première fois qu'on l'appelait ainsi, sans qu'il comprenne réellement pourquoi. Comment aurait-il pu se douter qu'il était le parfait sosie de son père ? Génie, d'autant plus, on ne pouvait que les confondre puisque leur essence était semblable. Alors des passants s'étaient parfois fait une idée sur la question : l'ancien Marid était amnésique, ou avait décidé de reprendre sa vie à zéro. C'était plausible. Alors pourquoi pas ? Caliel releva les yeux pour dévisager le jeune étranger. Lui aussi était Génie. Cela se sentait. « La véritable question ne serait-elle pas plutôt : est-ce que les gens comme nous ont déjà été vivant ? Notre race n'est-elle pas celle de merveilleux cadavres ambulants ?» Il souleva sa fourchette où était piqué un ravioli. « Quel malheur que de ne pas sentir la douceur des champignons et l'aigreur d'une sauce familiale parfaitement exécuté.» Aerith leva les yeux au ciel. « Je commence à douter de la composition de ton tabac.» murmura-t-elle en poussant son assiette, terminée. Caliel fumait. Comme son père. Tout concordait. Et c'était d'autant plus troublant puisque le jeune homme ne contredisait pas les dires de son interlocuteur. Sans prendre en compte l'intervention de l'Ondine, Caliel continua : « Car la mort n'est-elle pas le concept qualifiant l'état d'un organisme biologique ayant cessé de vivre ? Auquel cas, nous sommes plutôt mal partie. Heureusement que la décomposition n'est pas pour nous. Alors en définitive, je ne suis ni mort ni vivant. Juste une âme errant de ci ou là qui s'accroche bien trop à sa pauvre existence pour disparaître.»

En quelques gestes, Caliel se servit un verre, remplissant au passage celui de sa compagne avant d'en subtiliser un autre sur la table d'à côté pour le tendre au Génie blond. « Souhaites-tu te joindre à nous ?» Caliel jeta un coup d’œil à la petite serveuse qui avait un coup de cœur pour lui. Lentement, il se leva ; pour révéler une corpulence fine qui rappelait encore une fois son père, il était aussi grand que lui ; et s'approcha de la jeune fille. Il se tenait derrière elle, il était tout proche. Et presque immédiatement, la demoiselle fut rouge. Il se baissa pour lui chuchoter quelques mots à l'oreille. Elle acquiesça, et s'empressa de chercher une chaise confortable pour le nouveau venu. Aerith avait les lèvres légèrement pincées. Quand la jalousie était dévorante. « Où étais-je ...» répéta Caliel une fois rassis, toujours son verre à la main. « Avais-je de quelconques obligations à remplir ?»
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Dim 12 Jan 2014, 22:11

Le jeune homme était en plein repas... J'ignorais quels sens avait l'ancien marid et quel sens... Il n'avait pas. Je le laissais manger, le scrutant avec silence. J'étais... ébahis, curieux et en même temps... Je ne comprenais pas. Je secouais doucement la tête.

« La véritable question ne serait-elle pas plutôt : est-ce que les gens comme nous ont déjà été vivant ? Notre race n'est-elle pas celle de merveilleux cadavres ambulants ?»

J'eus un sourire amusé. Je scrutais Naram et je voyais un peu... Celui que j'avais été. Nous avions un parcours différent mais au final... être génie, n'était-ce pas un châtiment ? Et quel lourd tribus pour les crimes que nous avions commis ? Je finis par hocher doucement la tête. Oui comme moi et une infinité d'autres génies. Certains s'isolaient, dans le but de se laisser mourir. Mais comment mourir lorsque notre habitacle est résistant ? Je n'avais pour le moment jamais trop eut affaire à cette lassitude qui se ressent chez certains très vieux génies. Non moi j'avais cette chance qui faisait que... J'étais constamment intrigué par ce que je découvrais. Cette âme d'enfant, dans ce corps d'adulte.

« Quel malheur que de ne pas sentir la douceur des champignons et l'aigreur d'une sauce familiale parfaitement exécuté.»

Pour ma part... Le goût m'étais revenus au fil du temps, et j'avais développé une curiosité pour tout ce qui se mangeait... Avec modération. Je restais planté là à l'écouter en pleine conversation avec un ravioli, moi même, et la jeune femme dînant avec lui. La demoiselle eut là dessus, une réflexion sur le tabac que devait fumer le jeune homme. J'eus un rictus. Lui, était-il tombé dans l'opium ? Pour ma part, c'était un combat dure à mener, se détourner d'une drogue qu'on fumait à outrance... était quelque chose de dur. Du coup... J'étais passé au tabac, avec du mal. J'avais remarqué que lorsqu'une crise de tremblement et de douleur se présentait, le tabac atténuait les effets, voir les neutralisaient totalement. J'avais l'impression d'être assoiffé au milieux du désert, mais pour le moment je m'en sortais, du moins j'essayais.

« Car la mort n'est-elle pas le concept qualifiant l'état d'un organisme biologique ayant cessé de vivre ? Auquel cas, nous sommes plutôt mal partie. Heureusement que la décomposition n'est pas pour nous. Alors en définitive, je ne suis ni mort ni vivant. Juste une âme errant de ci ou là qui s'accroche bien trop à sa pauvre existence pour disparaître.  Souhaites-tu te joindre à nous ? »

Je hochais doucement la tête, un fin sourire tracé sur le visage. Bien vite il me servit un verre de vin, puis une serveuse vint m'apporter une chaise, alors je m'assis en compagnie de cet homme si énigmatique. Je faisais tourner le vin dans mon verre, avant d'en prendre une gorgé.

«  Où étais-je ..Avais-je de quelconques obligations à remplir ?» 


Je finis par m'adosser convenablement, fixant mon regard fauve sur le jeune homme, un sourire amusé sur le visage.

« Hé bien, tu as un point de vu assez intéressant sur notre race. Néanmoins... J'avoue que notre peuple n'est pas le notre par choix. Mais plutôt par punition. Enfin tout dépend... Mes enfants sont quant à eux... Fières de ce qu'ils sont. Va savoir... Pourquoi. »

Je posais le verre sur la table, avant que mon doigt ne vienne tournicoter autour d'une de mes mèches. Que dire ? Que faire ? Je choisis la franchise. Aussi stupide que cela puisse paraître jouer carte sur table me semblait la chose la plus maline à faire.

« Vois tu... Je ne pensais pas que tu reviendrais. Des rumeurs courent sur toi, et elles sont nombreuses. Tu aurais disparut, tu serais prisonnier... et d'autres encore plus loufoque. Tu as quitté notre trône. Et j'ai pris ta place comme je le pouvais. Certains sont heureux, d'autres... Complotent déjà pour me tuer. Alors dois-je te compter parmi ceux ci ? Ou pas ? Les complots et les assassinats font parties de la vie d'un dirigent, mais j'aimerais savoir ou se situe les uns et ou se situe les autres, surtout si l'on considère que notre peuple est le plus fourbe qui existe de toutes ces terres. »

Je ne m'étais pas débarrassé de mon sourire. A quoi bon le menacer ? A quoi bon lui offrir quelconque joyaux ? Certains génies amassent tellement de choses... Qu'ils finissent par ne plus voir en l'argent, quelque chose d'une certaine valeur. Je haussais les épaules.

« Pleins de questions me tournent dans la tête. Mais je doute que la réponse d'aucune ne me sois bénéfique. Je préfère être claire plutôt que de tourner autour du pot, et te déranger plus longtemps. Je suis néanmoins curieux... Que compte tu faire ? »

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Lun 03 Mar 2014, 16:33

« Hum. » Juste un petit murmure à peine soufflé du bout des lèvres, un espèce de bougonnement à la fois agacé et songeur. Pensif, Caliel prit le temps de dévisager son interlocuteur, ce Génie aux cheveux blonds qui lui paraissait si intéressant mais terriblement présomptueux d'une certaine façon. Le discours qu'il comptait tenir ne serait très certainement guère bien vu. Mais le jeune homme n'était guère de ceux qui se taisaient en baissant l'échine. « Je pense n'avoir qu'une seule et unique chose à te dire mon cher, et c'est un conseil que j'espère bon : décide-toi.» Un maigre sourire froid étira ses lèvres blêmes. C'était un précepte qui pouvait se discuter dans bien des situations. Il affina donc ses paroles au cas qui les préoccupait en ce moment même. « Oui, c'est cela, décide-toi, tout simplement. Tu es tellement contradictoire ! Et rien à voir avec une question de caractère ou un quelconque mal de l'esprit. Tu es juste totalement illogique dans le comportement que tu adoptes avec moi, à tel point que tu en deviens risible.» Mal à l'aise et gênée par cette étrange situation, Aerith prit son verre de vin pour le boire d'une traite, tout en jetant un regard meurtrier à son frère. Mais cela n'empêcha guère Caliel de continuer : « Je vois que tu me crains. M'avoir sous les yeux te déplait. Je ressens une forme de respect. Très certainement à cause de ce que je suis censée avoir été autrefois. Et pourtant, tu me traites comme un enfant, comme un ignorant qui doit tout apprendre de la vie. D'un côté, tu me toises avec mépris et sans vergogne, comme si je n'étais rien.» Il fit une brève pause, avant d'ajouter dans l'esquisse fugace d'un sourire sans joie. « Alors décide-toi. Sois je suis un Dieu tout puissant devant qui tu rampes, soit je suis une vermine sans intérêt qui ne mérite pas une once d'estime. Très franchement, je me fiche complétement de ton choix. Car ton point de vue m'intéresse autant que le plat que j'ai devant les yeux et qui finira à coup sûr dans une poubelle derrière la taverne et dévoré par les chats errants et le bas peuple. Mais je déteste cette attitude par respect feinté pour la personne pour qui tu me prends.» La Sirène qui accompagnait le Génie lui donna un coup de pied dans les jambes. Ils se dévisagèrent. « Par pitié, tais-toi.» - « Aucune pitié.» Et il rit.

« Navré, mais je ne suis pas cet homme dont tu parles. Mais si cela peut te rassurer, tu es loin d'être le premier à nous confondre. Je suppose que je lui ressemble énormément. C'est assez troublant. En tant que Génie, j'aurais très bien pu avoir volontairement pris l'apparence de ce Djinn, mais il n'en ait rien. C'est moi. C'est ma tête. Mais de toute évidence, je partage ces traits avec un autre. Au moins mes présomptions deviennent-elles définitives. Je ne peux être que le fils de ce Naram.» Aerith haussa les épaules. « On t'appelle si souvent ainsi que tu pourrais le prendre comme second prénom.» - « N'est-ce pas le meilleur moyen de passer inaperçu ? Être remarqué en tant qu'un autre ?» - « Moi je trouve ça assez flatteur. Et tu es le fils d'un Roi. Élevé par une Reine. Je me demande qui est ta vraie mère.» Le sourire qui orna les lèvres du jeune se fit soudainement plus acide. « Cher Narcisse. Mon Roi.» Ces paroles n'étaient teinté ni de peur ni de soumission. Il était sarcastique. « Ma conclusion est la suivante. Tu l'auras compris, je ne suis pas l'ancien Marid qui te fait tant trembler, même si tu ne l'avoueras très certainement pas. Cependant, fais attention. Si je suis bien le fils de Naram, je suis aussi le petit-fils d'Evan. Deux grands Rois. Deux Marids. Et la pomme ne tombe pas à des lieux du pommier.» Aerith devenait rouge. Colère ou honte ? Elle même ne savait pas. Mais le comportement de Caliel face à celui qui était un souverain l'effrayait un tantinet. Elle ne parvenait pas même à discerner si son frère était sérieux ou riait un peu de ce Roi. Caliel, qui s'était penché vers son interlocuteur lors de la conversation, se redressa. « Je te laisse le soin de décider si je suis un danger ou non pour ton trône adoré. Pour l'heure, je ne suis ni contre ni pour toi. J'ai d'autres projets bien plus importants et intéressants que la gérance d'une race qui refuse tout gouvernement car la liberté est dans ses gênes.»

Aerith soupira. Une soirée passée avec son tendre Génie n'était jamais de tout repos. « C'est bon tu as finis? » s'impatienta-t-elle. « Presque.» Elle leva les yeux au ciel. « Oserais-je dire que des présentations en bonnes et dues formes seraient appréciables ? Ton Roi ne sait toujours pas qui tu es, avec toutes tes bêtises.» - « Si cela peut lui faire plaisir ...» Il prit la main de la Sirène. « Voici Aerith. Une Sirène aux tendances Génies que j'ai créé à partir de moi. Expériences. Ma sœur en somme.» - « Quant à moi, je ne perdrais pas en surnom dérisoire, en tant que semi-originel, je n'en ai pas besoin. Je me prénomme Caliel.» Les Génies Originels comme les Semi-Originels étaient très certainement la seule chose qui effrayait les Génies. C'était des aberrations, sans attache réelle. Les ténèbres parmi les ombres. Ils avaient été traqué et détruit pendant des siècles. Lui se fichait de savoir s'il serait embêter par sa race. Au moins saurait-il rapidement les positions de ce nouveau Roi.

Un vacarme retentissant sorti des cuisines, suivit de cris ponctués de terreur. Quelque chose se tramait dans ce restaurant. Caliel soupira. Il n'avait pas envie de s'en mêler.
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