Tout n’était plus que ruine et cendre, on ne pouvait pas le dire autrement, il fallait le voir pour comprendre. La terre était brûler, tout était dévasté, et Zéleph marché au milieu carnage. Il était difficile d’expliqué ce qu’il ressentait. Il était dégouté, en tout point. Des corps rependu sur le sol, il ne pouvait plu les regardé. La rage qui subsisté fini par le faire lâché prise. Il avait fini par oublier le rationnel. Il devait ce concentré sur sa race et prendre les choses en mains avant de ce concentré à nouveau sur Jun. Les pertes étaient grande, aussi bien humaine que matériel et il déploré cette horreur. Bouton d’or devrait repartir de zéro, comment les habitants allaient il reprendre confiance ? Il était si navré, jamais il, n‘aurait cru que les sorciers oseraient cela. Si il avait su bien sur qu’il aurait renforcé les forces armée, mais ce qui était fait n’était plu à refaire, y pensait ne servait qu’à ce faire du mal, un peu plus. Il devrait tout refaire, redonner foie a son peuple, reconstruire le village, remettre en état les champs. Faire le deuil. Peut-être aurait-il dû aller a Stenfek pour faire un discours et rassuré son peuple, amis dans son état il en était incapable. Il donner cette tâche a ses sentinelles et resterait ici sur le terrain pour aider son armé à remettre en ordre ce carnage. Il était un roi d’action plu que de parole, et les réprouvés aimer cela. DU moins c’était ce qu’il avait senti tout au long de son règne, est-ce que cela pouvait changer maintenant qu’ils vivaient le pire ?

Le jour c’était levé de puis quelque heurs déjà, les corps des sorciers entassez les uns sur les autres au milieu du champ, les pertes réprouvé mit les uns après les autres pour chercher leurs identité et les rendre à leurs famille. Il faudrait penser à faire un enterrement, une commémoration quelconque pour remercier leur courage. Il devait penser a cela aussi, il devait penser a tellement de chose en réalité qu’il ne savait plus où il en était et n’avait pas réellement les épaules pour réconforté qui que ce soit alors que lui-même était effondré, c’était pourtant belle et bien son rôle. Dans un moment il trouva le temps pour écrire à Maak, il devrait être au courant de tout et puise qu’il n’était pas encore arrivé et que personne n’avait le temps d’aller le chercher le meilleur moyen de le prévenir était encore une lettre de sa part.

« Maak. Je ne sais pas comment le dire, ni comment l’expliquer. La colère me ronge, la haine me guide, mais surtout la douleur m’accable. Nous accable. Jun a fini par nous attaquer. Je ne pensais pas qu’il oserait le faire, je ne pensais pas qu’il oserait impliquer nos peuple dans son désir de me détruire. Cette nuit les sorciers on attaquer Bouton d’or. Incendier le village, nos récolte, nos champs, tuant les familles de paysans je ne suis pas arrivé à temps du Circus pour empêcher le massacre. Jun avait tout prévue. Ils n’étaient pas assez pour que nous puissions les écraser, mais cela lui importe peut, il voulait me faire mal, révolté notre peuple et provoqué le chaos. C’est un fait, la guerre est déclarée. Si tu avais vu les corps des nôtres morts, écartelés, la chair brulé. Cette odeur empeste l’air et me hantera longtemps encore après cette attaque.

A quoi bon te le décrire, tu le verras toi-même. J’espère que cette lettre t’arrivera vite pour que tu me rejoignes dans les plus brefs délais. Je ne suis pas capable de prendre les choses en mains seul. J’ai besoin de ton aide. La rage m’aveugle, j’en ai bien peur et c’est pour cela que j’ai besoin de toi. De plus Jun ma affaiblit, pas assez pour que je me laisse enfermer pour qu’on me soigne comme les autres sentinelles me supplie de faire. Je ne renoncerais pas même blesser, même meurtrie et fatigué. Il va falloir remettre debout Bouton d’or, redonner courage à notre peuple, confiance également. L’armé est déjà là, la reconstruction serra facile, mais le deuil lui bien plus rude.

Au milieu des ruines, de la puanteur, et des cadavres j’ai du mal à voir autre chose ici que la mort. Une chose est sûre je ne trouverais plu de repos avant d’avoir vengé notre peuple, avant d’avoir fait ravaler son sourire a l’empereur noir. Je n’admets pas qu’il est pu s’abaisser à cela. Notre peuple bouillonne de rage autant que moi, je pense que personne ne pourra se remettre de ce carnage. Je n’ai pas le temps pour en dire plus, l’évidence est là. Nous sommes en guerre Maak, j’attends que ta venue, les troupes sont déjà toutes prêtes pour la bataille. Rien ne nous arrêtera. La vision des horreurs de cette nuit est encore le meilleur stimulant qui soit, malheureusement. »

Zéleph fit envoyer la lettre, puis retourna voir Adam qui avait des choses à lui dire. Tout commencer maintenant, et comme il l’avait écrit à Maak, il ne trouverait le repos qu’une fois que son peuple serrait venger, pas avant.