Ca faisait deux semaine que je vivais avec Cocoon, je ne devais rester que quelque jour, mais c’était tellement facile de vivre avec lui. je me souviens encore avoir pensée qu’il serait difficile de séparée nos deux fille, mais en l’occurrence, c’était moi qui avait du mal à le faire. Après tout, Alicia considérais Hasna comme sa soeur et moi Cocoon comme mon frère, donc en gros c’était le même résulta. Ma gamine m’avait d’ailleurs demandé pourquoi nous étions restées aussi longtemps et si je contais réellement rentrée un jour. J’avais été surprise sur le coup, mais je n’avais pas vraiment vu le temps passée, c’est quand elle me l’avait dit que je m’en étais rendue conte. J’étais tellement bien. de plus, même si je n’étais pas capable de vivre de nouveau avec toute ma joie de vie, j’avais retrouvé le sourira. Et je l’en remerciais beaucoup. Je voulais me faire le plus discret possible. Mais je n’eu pas des masses d’effort après quelque jours, il fallait bien se doutée que quelqu’un allait me rappelée à l’ordre. Alors que nous étions toute deux en train de préparée nos gamine pour qu’elles aillent en court, quand j’entendis alors frappée à la porte. Après quelque instant d’hésitation, il alla ouvrir la porte, après tout ce n’était pas chez moi, mais c’était bien pour moi, car une fois la porte ouvert, c’est avec effroi que je vis Kahel. Je fis un rapide calcul dans ma tête. Une semaine dans le village, plus deux semaine ici, presqu’un moi que je n’étais plus allée au sanctuaire et je voyais bien à son visage qu’il n’était pas vraiment ravis de mon absence soudaine et surtout, imprévue, il était au courant pour la premier semaine, mais pas les deux autres, j’avais complètement oublié.

- Majesté, j’avoue avoir essayée de tout faire pour vous laissée le temps, mais il y a certain tâche que je ne peu pas faire pour vous, comme le faite que ca fait deux semaine que nous ne savons pas quoi faire pour un séraphin que nous croyons aptes à passé au rang supérieur, vous devez revenir au sanctuaire aujourd’hui.

Je soupirais et après m’êtres excusée, on conduit rapidement nos filles à l’école pour que je puisse moi-même repartir, lui demandant de s’occupée d’Alicia quand l’école serais finie. J’espérais réellement pouvoir rentrée tôt, surtout que j’avais peur que Cocoon se mettre d’accord avec Shaolan pour le manque de présence, même si c’étais à moindre mesure. Ielenia, avais essayé de me prévenir, mais sans me donné de date je ne l’avais pas écouté. Alors en entrant, je regardais le pile de papiers, lâchant un méchant soupir et dire que j’avais réussi à me mettre correctement en ordre avant mon départ. Kahel m’avais rejoins quelque instant après, je le connaissais, il se faisait le plus discret possible, mais je savais qu’il prenait ma sécurité à cœur, mais ca voulais dire être au courant de ma vie privé, même si il ne me le disait pas. Il savait donc par quoi j’étais passé, ce qui expliquait qu’il m’avait laissé autant de temps. D’ailleurs, après quelque minutes il entra pour me donnée un coup de main. Me demandant seulement de temps en tant si ca allait. On avait réussi à bien diminuer le boulot ce qui avait fait qu’il me faudrait qu’un jour ou deux pour tout remettre en ordre.

- Tu n’a plus qua planifier deux trois petite chose et je crois que ce sera bon pour aujourd’hui. Dit, tu aime voyager, pourquoi est ce que tu en a pas profiter, je veux dire, tu es restée enfermée, tu aurais pu allée prendre l’air. Ecoute, je sais bien qu’il ; y a encore du travail, mais quelque jour de plus ou de moins, ca ne changera pas grand-chose.

C’était assez étonnant qu’il me propose cela, mais c’était tellement juste. Le remerciant, j’eu le plaisir de rentrée asse tôt. J’avais gardé l’habitude de frappée avant de rentrée, mais c’était normal après tout. Apres le train train quotidien, je m’assis prés de Cocoon.

- J’avoue que je n’y avais pas pensée, mais Kahel ma demander pourquoi je n’avais pas profitée pour partir un peu. Et il à pas tord, j’ai moyen de prendre encore quelque jour, on pourrait en profitée non ? même si j’avoue que je ne sais pas encore ou ce que nous pourrions allée, qu’est ce que tu en pense, c’est vrai qu’il n’y a rien de mieux pour nous changée l’idée n’est ce pas.

J’espérais vraiment qu’il serait d’accord, je ne voulais pas restée ici trop longtemps, d’ailleurs au court de la journée, j’avais pensée qu’il serait certainement temps que je rentre chez moi, mais je gardais ca pour moi. Mais vivre une aventure ensemble serais l’idéal pour finir cette cohabitation.

J’étais un peu surprise, car contrairement à ce que je croyais, il ne me semblait pas si emballée cas son habitude. J’étais un peu inquiète, il m’avait simplement parlée de travail. Mais par la suite je compris mieux pourquoi. Hasna était tombée malade et ca l’inquiétais. Je n’avais pas besoin d’avoir son pouvoir pour m’en rendre conte. Alors qu’il me demandait ou ce que je voulais allée, je me levais. Alicia qui était restée prés de moi, me regardais surprise. Il m’avait parlée de la chaleur ambiante, mais je ne l’avais écoutée cas moitié. Je me dirigeais alors vers la chambre de la gamine.

-Laisse tombée, ce sera pour une autre fois, on aura bien d’autre occasion de partir tout les deux.

Je rentrais dans la chambre de la gamine, je regardais la petite dormir paisiblement. Je m’assis alors sur le bord du lit en la regardant. Elle semblait en effet avoir une belle fièvre, posant délicatement ma main sur son visage, je constatais que c’était bien le cas. La pauvre, elle ne semblait pas en grande forme. Je restais la quelque instant, tout en me rendant conte que quelque chose. Je ne faisais plus de différence entre Hasna et Alicia, elles étaient toute les deux de petite étoile qui illuminait ma vie. Ce qui provoquait chez moi une profonde inquiétude pour la petite. Alicia m’avait alors suivie dans la chambre, me tournant vers elle, je la regardais, j’avais peur qu’elle devienne jalouse, mais ce n’étais pas le cas a premier vue. Je déposais un baisée sur le front avant de sortir pour retournée prés d’Alicia. Le prenant dans mes bras, elle commençait à jouée avec mes cheveux, habitude qu’elle avait chopée de Cocoon certainement.

- Maman, pourquoi est ce que tu n’utilise pas ta magie pour qu’elle aille beaucoup mieux. Ce serais plus simple non ?
-Ne chercherais tu pas encore un moyen pour évitée ton breuvage Alicia ? j’en suis capable, c’est vrai, mais est ce que ce serais vraiment mieux, elle doit se crée un système immunitaire pour évitée de tombée souvent malade. Enfin, va jouée un peu s’il te plaie, mais ne fait pas trop de bruit d’accord ? il ne faut pas la réveiller.

Elle me serait une ultime fois dans ses bras et je la regardais allée chercher ses crayons pour dessiner dans le calme. Je du réfléchirai quelque instant avant de me souvenir de quoi on parlait avant de partir.

- Personnellement niveau chaleur ca me vas, à ton avis, je les appris dans quel conditions mon contrôle de la glace ? enfin, a la base on avait convenue avec Kahel que quelque jour de plus ou de moins n’étaient pas grave, vu que j’avais fais le plus urgent aujourd’hui, mais je préfère évitée de partir maintenant, je crois que tu serais d’accord avec moi. En faite, tu te souviens de la tisane que je t’avais faire boira une fois que tu étais aussi enrhumé, est ce que tu crois qu’elle aimera le gout, c’est très bon pour la fièvre après tout. Mais ca reste amère malheureusement.

Je me levais alors pour préparée le repas, un bon bouillon ferais du bien à tout le monde ce soir, de plus ca passait tout seul dans les petite gorge malade. Alors que j’étais en train de coupée les légumes, je pensais un peu à ces deux semaines passées et soudainement, une phrase me revient à l’esprit et une question me traversait l’esprit. Elle ne me quitta pas, ni pendant que je faisais prendre le bain d’Alicia, ni pendant que je prenais le mien. Alors je profitais du sommeil des deux gamines et du faite que j’étais seul avec lui.

-Cocoon…Il y a quelque chose qui m’inquiète légèrement depuis deux semaines. Tu te souviens de ce que tu ma dit au niveau des péchées ? Une question ma traversé l’esprit ces dernier temps, est ce que tu me rejetterais si je venais à faire un pas de travers, j’avoue que je n’y avais jamais songée, mais qui sais ce qui peu arrivée ? ces dernier temps j’aurais pu succombée à la jalousie, la colère et heureusement ce n’est pas arrivée. Mais si ca arrivait, est ce que tu ne m’apprécierais plus.

Mes mains se refermée sur ma robe tellement j’étais inquiète de sa réponse, bien évidement, je croyais connaitre la réponse, enfin non, j’espérais. Mais non j’avais besoin d’avoir lé vérité. J’avais un peu peur que la trahison de Shaolan commençais à me faire perdre confiance en toute les personnes qui m’était cher et je ne voulais pas que ca arrive.

Il c’était alors excusez de ne pas pouvoir partir. Qu’elle idiot, comme si on pouvait partir en aventure en sachant sa gamine malade ? aucun père digne de ce nom en serait capable, alors ses excuse était inutile, ni son idée de la laissé à la nourrisse, c’était tout simplement hors de question de tout manier. Comme il la disait, elle aurait besoin de lui. il semblait ennuyer pour l’ambiance de sa maison, mais ce n’était pas la peine, je m’y sentais vraiment bien. il fini par allée tout de même essayée de donnée le breuvage à la gamine, j’espérais que ca allait marchée car après tout ca faisait des miracles, comme me disait Elise, plus le goût est abjecte plus se sera efficace et c’étais souvent vrai. Il avait d’ailleurs oubliée les circonstances, moi je m’en souvenais que trop bien, à cause de la période que ca c’étais produit.

-Quand tu à poursuivi le gars qui nous a permis d’allée à la montagne, il c’étais mi à pleuvoir, tu t’en souviens ?

Personnellement, je ne me souvenais que trop bien des conséquences de ce voyage. Ca me rassurais cependant de savoir qu’il m’aimerait quoi qu’il advienne, mais il avait trouvée ma question étrange et je dois dire que je pouvais le comprendre. Je ne devais pas être dans mon état normal pour le moment. Il avait alors posée sa main sur ma joue et je sentis sa chaleur, il me rassurait, disant qu’il me ferait oubliée celui que j’avais aimée. On n’en avait pas vraiment reparlée depuis, d’une par ce que je n’étais pas prête et de l’autre, je le connaissais assez pour savoir qu’il n’aborderait jamais le sujet et je l’en remerciai, car il avait fait une simple allusion, mais ca avait réveillée en moi une douleur qui c’était endormie pendant deux semaine et il fallait que ca reste ainsi. Je voulais l’oubliée, je voulais apprendre de nouveau à vivre et surtout, je voulais que mon cœur sois encore capable d’aimée. On monta alors se couchée me disant qu’il espérait vraiment que nous pourrions partir vite tout les deux. Je l’espérais aussi, pour la petite, il faudrait un jour ou deux si elle avait bu, mais ca dépendais aussi de son organisme. Mais je n’étais pas si pressée que ca, que ca sois ici ou ailleurs, actuellement le plus important était que je passe du temps avec lui. Par conte quelque chose me surpris, son envie de venir avec moi le lendemain, c’est vrai que ce serais plus sympa, mais je n’étais pas certaine de ce qui se passerais avec Kahel justement. J’avais l’impression que j’allais avoir un enfant t’aquilant son grand frère, pas l’idéale pour travaillée, mais pour ce détendre, c’était le mieux à ma connaissance.

- Tu n’as pas peur de t’ennuyer ? je veux dire, il n’y a pas grand-chose à faire et tu seras uniquement entourée d’ange. De plus sois sympa avec Kahel, il est un peu trop formel, mais ses Adam lui-même qui lui à demandée de veiller sur ma sécurité. Tu veux que je t’apprenne un truc. Quand il y a eu le combat avec Elise…quand il à su ce qui c’était passée, il veillait déjà sur moi, alors que je n’étais qu’une séraphin. C’est quelqu’un de bien.

Je ne lui en voulais pas, bien au contraire et j’étais certaine qu’il le savait. Mais je voulais aussi qu’il apprenne à la connaitre, âpres tout, moi aussi je m’étais faite une fausse opinion de lui et ce n’étais pas faute d’avoir essayé de le comprendre. Tout en m’asseyant sur le lit, je regardais l’orisha paisiblement allongée, je crois qu’il valait mieux que je lui dise exactement ce qui me travaillait.

-Cocoon, j’ai peur de te perdre. J’ai déjà perdu deux êtres qui m’étaient cher, chacun de la façon la plus horrible qui soit. Elise par ma main, par ma faute… Et je ne suis certainement pas blanche avec ce qui ses passée avec Shaolan. Alicia partira un jour, pour vivre comme nous ses propres aventures. Et j’ai vraiment peur de me retrouvée toute seul, sans personne.

C’était étrange n’est ce pas ? je le savais incapable de m’abandonnée, mais j’étais persuadée qu’Elise et Shaolan ne me laisserais jamais tombée et pourtant… tout deux m’avais abandonnée, en ne me laissant qu’un souvenir amère d’eux. J’allais alors regardée le ciel par la fenêtre, je m’en voulais de luis avoir dit ca, ce n’était pas sympa de ma part.

- Excuse moi Cocoon, je sais bien qu’il y a très peu de chance que ca arrive, mais pourquoi à t il fallu que tout ca m’arrive, pourquoi est ce qu’il a fallu que je vive cette vie, j’étais tellement bien avant, bien évidement, il y a des choses que je suis heureuse d’avoir vécue, comme ta rencontre ou celle d’Alicia, mais il y a tellement d’événement tragique que je haie d’avoie vécu.

J’espérais qu’il ne m’en voudrait pas, mais après tout j’avais toujours été le plus franche que je le pouvais, surtout avec lui.
.

Il me prit dans ses bras pour ma rassurée, me certifiant que ca ne changerais jamais entre nous deux et ce qu’est ce que je deviendrais. Même si l’idée de devenir ombre ne m’avait pas vraiment effleurée, enfin de tout manière que n’aurais jamais le courage. Je savais pourquoi il était si important pour moi, il savait toujours ma rassurée et trouver les mots qu’il me fallait, c’était assez étrange par moment et j’avoue que je me demandais si ses dons n’y était pas étranger. Je le remerciai d’un sourire et alla continuée de m’apprêtée. Quelque temps après, alors que la nuit était déjà bien avancée, je n’arrivais toujours pas à trouvée le sommeil. Je sortis alors par la fenêtre pour me retrouvée sur son toi. Je ne cessais de repensé à tout ca. Pourquoi est ce que toute ces question m’arrivais seulement maintenant, ce n’étais pas juste. De plus, je me rendis conte de quelque chose qui me fis me sentir encore plus mal. Il savait par quoi j’étais passé et dés que j’avais un souci, c’est à lui que je parlais. Mais personnellement je n’avais jamais été la pour lui, comme je l’aurais souhaitée et encore maintenant, je n’arrivais pas à mettre la main sur celle qu’il aime. Ce n’est vraiment pas juste. Tout ca me faisait pensée à une pleurnicharde qui se refugiait encore et toujours chez son grand frère, mais qui ne donnais rien en échange. A part peut être des problèmes supplémentaire. Après tout, s’il est encore prés de moi, c’est grâce à Daemon, qui se fait assez discret d’ailleurs. Malgré que ce sois un démon, je lui dois la vie de Cocoon, qu’il à failli perdre par ma faute. Je savais bien que je devais arrêtée de me posée toute ces questions qui me faisait du mal, mais j’en étais incapable et je ne savais pas pourquoi. Je crois que je commençais à perdre confiance en moi tout simplement. Je ne sais pas vraiment combien de temps de suis restée sur le toi, mais une chose était certaine, je n’avais pas remis mes idées en place quand je vis que le jour commençais à se levée. Une petite nuit blanche, quoi de mieux pour allée travaillée dans la bonne humeur.

Rentrant en faisant le moins de bruit possible, je descendis directement dans la cuisine pour préparée le déjeunée et une boisson énergisante au passage. J’espérais juste qu’il ne m’en veule pas de m’être servie ainsi. Ensuite je commençais à regardée pour préparée la fille et à son réveille tout était prés. Hasnaa allait mieux, j’étais rassurée, mais il lui faudrait encore boire un peu avant d’allée couchée, simple précaution. Une fois à l’école on partit tout deux pour le sanctuaire, je n’avais que de la paperasse aujourd’hui, quoi de mieux pour se tenir réveillée.

-En faite, la dernier fois, j’ai cru qu’ils allaient me faire une crise cardiaque, ménage les un peu s’il te plaie.

Je m’en foutais un peu en réalité, c’est ce que j’appréciais chez lui, alors autant le laissée, mais j’avais peur qu’il ne finisse pas s’attirée des ennuis. Entrant du bureau, j’eu la surprise de voire que Kahel était déjà arrivée, c’était rare, j’arrivais premier normalement. Il semblait aussi surpris, mais c’est vrai que l’on avait convenu que je ne viendrais pas aujourd’hui, de plus je n’étais pas seul.

- Majesté mais qu’est ce que…Vous ne deviez pas partir vous reposée encore quelque jour ?
-La fille de Cocoon étant malade, on n’a préférée reportée cela et puis ca tombe bien dans un sens, on va évitée d’avoir trop de retard ainsi. Mais qu’est ce que tu fais déjà la, il est encore tôt pour toi non ?

Il m’expliqua alors simplement que comme il savait qu’il y avait encore beaucoup à faire, il était venu plus tôt, on planifia la journée et il sorti alors. Je fini par regardée la pile avec dégout, je savais que j’aurais du fuir ce matin.

-Une journée remplie de papier, mon activité favorite. En faite au cas où tu viendrais à t’ennuyer, tu peu toujours vas défier Kahel en duel amicale. Mais ne ma l’abime pas si tu n’y vois pas d’inconvénient et reste sur tes gardes.

J’avais confiance en la force de Cocoon, mais j’avais du combattre au cotée de Kahel et j’avais vu sa force, beaucoup plus brute que moi et surtout fin stratège. Ce n’était vraiment pas quelqu’un à sous estimée. Surtout qu’il savait frappée ou ce qu’il fallait pour déstabilisé psychologiquement son adversaire. Je n’avais peut être pas eu une bonne idée en lui proposant cela, mais au moins ca l’occuperais et aussi bien que pour l’un ou l’autre. Je me mis alors rapidement au travail. J’avais du mal à me concentrée, logique, très peu dormis, les idées noires qui m’envahissent, vraiment pas l’idéal pour ce que j’avais à faire. Je ne rêvais cas une chose, le moment où je pourrais rentrée chez moi.
La journée me paru extrêmement longue, ce n’étais pas croyable comme le manque de sommeil était vraiment pénible. Quand Kahel viens me dire que c’était bon pour aujourd’hui, j’éprouvai un profond soulagement. Surtout qu’il n’était pas vraiment tard et que ca nous permettrais de restée un peu plus avec nos filles. Je savais que Cocoon était impatient de rentrée pour voire sa fille, alors je lui dis que j’irais chercher seul Alicia, ainsi il pouvait y allée directement. J’avais été touchée qu’il veuille venir avec moi alors qu’il aurait pu passer sa journée auprès d’elle. Alicia me raconta sa journée sur le chemin, ma fatigue lui avait sautée aux yeux bien évidement. Quand on fut rentrée, elle me supplia d’allée me reposée, mais je n’avais pas vraiment envie, Hasnaa allait un peu mieux, en tout cas sa fièvre était tombée, tant mieux. La soirée se passa normalement, si ce n’est que j’étais partie me couchée une fois les filles misent au lit, complètement vidée, je m’endormir immédiatement.

La nuit fus calme et reposante, tellement fatiguée par mes questions de la vieille, je n’avais eu aucun problème pour trouvée le sommeil. Au réveil, même si les interrogations se trouvaient encore dans un coin de ma mémoire, j’avais pris lé décisions de tout laissé de cotée, pour la simple et bonne raison que je ne voulais pas continuée à me morfondre sur moi-même. J’avais ma fille, mon frère et mes compagnons, tous essayaient de me remonter le moral, à leur façon, mais je savais que ça devait les peiner de me voir aussi mal et je ne voulais pas que ça les affecte. J’avais donc décidé, si ce n’est d’oublier, de ranger mes souvenirs, ils faisaient partie de mon passé, mais maintenant j’avais un futur et je ne devais pas l’oubliée. Kahel m’avait interdit de venir aujourd’hui, la fatigue s’était elle tant lue sur mon visage ? Mais je contais bien en profité, une journée de repos me ferait du bien, à commencée par une belle grâce matinée. Enfin une grâce matinée qui nous fis courir pour préparer les gamines, enfin une des gamines. Je ne savais pas s’il était prudent pour la fille de Cocoon de retourner à l’école tout de suite.

-Elle me semble allée mieux, mais pourquoi ne pas la garder au chaud une journée supplémentaire, ainsi elle sera complètement reposée pour les lendemains non ? Ne faut pas aller trop vite non plus.

Voyant qu’il commençait à ce faire tard, je dévidais de conduire ma fille seule à l’école, pas que je ne voulais pas allée avec Cocoon, mais je serais beaucoup plus rapide seul. Le prenant à bras et la couvrant un peu plus, je pris donc le chemin des airs, elle qui me suppliait depuis un moment pour la conduire comme s’a, je l’entendis rire sous son bonnet. Une fois arrivée, cependant elle se tourna vers moi, le visage un peu plus grave, ce qui m’étonnait.

- Maman, on va partir un jour, n’est-ce pas ? on ne peut pas continuer à vivre le bas, je sais bien que tu as peur dans un sens.

Ca m’étonnais de la voir aussi perspicace à certain moment, car elle avait raison, j’allais mieux et je ne voyais plus vraiment de raison de restée, de plus, même si je ne l’avais pas encore retrouvée, Oëna pouvait toujours revenir, qu’elle serait sa réaction si elle me voyait là-bas ? Déposant une baisée sur la joue de ma fille, je la priai de foncée en classe et repartie à pied et plus calmement. Je voulais repartir, voir un peu du monde avant de rentrer dans ma routine. J’achetais quelque provision sur le chemin du retour, en plus d’avoir pris quelque renseignement. J’allais maintenant devoir trouver quelqu’un pour veiller sur Alicia à plus long terme, d’ailleurs, j’avais peut-être une idée. J’en connaissais une qui était vraiment compétente, Alicia l’adorait et franchement, je ne pouvais pas la rejeter à cause de ce qui s’était passé. Allant chez la jeune femme, je la vis en train de rentrer chez elle, une chance, me voyant approchée, elle semblait inquiète.

— Il n’est pas ici et je ne la voie plus je peux vous le promettre, je ne veux plus jamais le voir.
-Calme toi, je veux juste de demandée si de temps en temps, tu pourrais recommencée à garder ma fille, il n’est plus la pour les moments ou je dois m’absentée, vous vous connaisse, je préfère te la confier à toi qu’une inconnue.

Elle avait semblé surprise, mais en même temps ravie. Je retournai alors l’esprit beaucoup plus léger chez Cocoon. J’Ava finie par prendre l’habitude de rentrée directement, si je m’y sentais bien, j’avais cependant remarqué quelque chose.

-Cocoon, pourquoi est-ce que Daemon est si peu présent ? je veux dire, je ne le voie que rarement, pourtant vous m’aviez semblé inséparable. Ça me semble un peu étrange.

J’avais peur que ce soit à cause de moi, après tout, j’en avais eu peur et il voulait peut-être se montrer prudent. Pourtant, sans lui, je me serais retrouvé complètement seul, je ne savais pas trop comment était leur relation, c’était un peu confus. Mais en tout cas c’était dans un sens familial. Une partie de mon cerveau réagit immédiatement, j’étais comme une intruse dans ce cocon, j’avais certainement raison de me dire qu’il était temps de rentrer chez moi, pour lui laisser vivre sa vie, comme avant.

Il voulait faire venir la nourrisse le lendemain, Alicia n’ayant été gardée qu’une seul fois par cette dame, je ne savais pas vraiment comment elle allait réagir. Mais comme il me l’avait dit ca me permettrais de partir plus loin, ce qui m’arrangeait. Il m’avait aussi répondu pour son compagnon, j’en étais cas moitié satisfaite, c’étais assez étrange.

- Daemon ta sauvée la vie, ou je n’ai pas pu le faire, il est hors de question qu’un homme comme lui reste à l’écart à cause de moi, il est bon pour possédée un tel don. De plus, jamais je n’accepterais que quelqu’un se mette à l’écart par ma faute. Enfin je suis contente que ta fille aille mieux. J’espère qu’elle est complètement remise maintenant. Quand à moi, ca va mieux, ne t’en fait plus, je suis tombée sur un imbécile. Ce n’est pas car je suis un ange que j’allais évitée de tombée amoureuse des mauvaise personnes, il faut que j’avance, ca s’arrête la.

Le reste de la journée passa tranquillement et je pu allez chercher Alicia serein, j’avais vraiment laissé mes idées noires derrière moi et me sentait beaucoup plus libre que ces derniers jours, ca me faisait vraiment du bien. de plus, j’avais vraiment envie d’avancer, de ne plus pensée à ce qui c’étais passée auparavant. Me pencher sur ma remis en forme, pas de soucis, surtout que je venais de pensée à quelque chose d’assez pratique et que j’avais un peu réfléchis sur le chemin de l’école. Voulant lui faire plaisir, je lui avais promis que l’on reviendrait par les airs, mais ca empêchait Cocoon de m’accompagnée, je trouvais ca dommage, car il ne verrait jamais le beau spectacle que m’offrais les cieux. Je repensais alors à un homme que l’on disait capable de donnée une paire d’aile à toute les personne qui allait à sa rencontre. Le problème c’est que c’étais un homme qui vivait dans une grotte de la montagne. Ca n’allait pas être facile de trouvée un moyen d’emmenée Cocoon par la, c’était si loin et surtout il allait falloir que je trouve une excuse.

-Dit lui que tu à simplement besoin d’aide pour quelqu’un la bas, je suis sur qu’il te suivra sans posé plus de question. J’ai l’impression que tu peux tout lui demandée alors pourquoi pas ca ? et puis c’est bon l’air de la montagne non ?

J’en avais parlée à Alicia et comme je m’y était attendue, elle avait trouvée la réponse, c’était si simple dans un sens. Arrivée, je lui fis faire ses devoirs et âpres la laissais allée jouée, mais toujours dans le calme, elle devait encore se reposé. Pendant la préparation du repas, je regardais Cocoon un moment, j’avais une petit idée, espérons qu’elle soit bonne maintenant.

- Cocoon, un homme aurait besoin d’aide dans la montagne, il m’a envoyé un message, ce n’est pas urgent, mais c’est un vieil ami, j’aimerais aller l’aider, est ce que ça te dérangerait demain que nous partions chez lui ? Il est un peu cacher, mais trouver ce que l’on veut nous dissimuler devient chose courante non ?

J’espérais vraiment qu’il allait accepter, je n’avais pas pour habitude de mentir en plus, mais j’essayais de le dissimiler le plus possible, quitte à me détourner complètement de lui. Puis j’eu une idée pour un peu le forcée la main, je n’aimais pas ça, mais c’étais nécessaire.

- enfin, moi j’y vais demain, Alicia et Hasnna seront avec ta nourrisse, donc elle ne risque rien et puis j’aimerais vraiment que l’on reparte ensemble, ça fait beaucoup trop longtemps et ça me manque vraiment.

Ca par conte ce n’était pas un mensonge, car partir juste pour moi, par pour les autres, pensée à me détendre, me faire plaisir, je ne l’avais plus jamais fait depuis que j’étais devenue reine et il fallait que j’y pense. Mais j’allais devoir envoyer un message à Kahel, pour le prévenir, un autre au magicien, il allait falloir qu’il trouve une idée pour notre raison là-bas. C’était peut-être un peu précipité, mais tant pis, je voulais vraiment lui permettre de parcourir les cieux, en plus, je me demandais si je pourrais en même temps trouver un moyen de réaliser le rêve d’Alicia, même si je savais qu’il avait beaucoup de chance que je doive lui apprendre à utiliser ses ailes.

C’est vrai que le faite qu’il soit un démon posait légèrement un problème, mais j’avais envie de passée au-dessus de ça et sans dire qu’il deviendrait mon ami comme l’était Cocoon, je voulais vraiment apprendre à l’acceptée comme il se doit et puis mis à part mes connaissances, rien en lui ne faisait réellement pensée à un démon enfin de conte. Par conte lui suite me surpris quelque peu, je l’avais rencontrée âpres Oëna, mais en l’occurrence, ça aurait été l’inverse, il n’aurait jamais eu d’amitié entre nous. J’avais vraiment du mal à imaginé qu’il puisse avoir une quelconque colère envers nous, si nous n’étions pas parfaits, il était rare que les races neutres nous détestent, car nous ne faisions rien pour blessée les autres, à par les races maléfiques bien évidement. Qu’est-ce qui s’était passé dans sa vie pour qu’il puisse réagir de la sorte ? Mais il mit fin à la conversation et je ne compris pas tout de suite pourquoi. Je montais alors pour ranger quelque affaires, assez plongée dans mes pensées, je dois bien l’avouée, ne faisant cas moitié attention à tout ce que je faisais. Mais quelque chose se passa soudainement, quelque chose que je ne m’étais pas attendue, mais en tout cas ça me fit mal. C’est sentiment qui n’était pas les miens, mais qui m’envahissait, que ce passait il ? réfléchissant un petit instant, je me dis qu’il n’y avait qu’une personne qui pouvait crée cette atmosphère, comme un appelle à l’aide, d’ailleurs au même instant, sa voix se fit entendre, une simple phrase, mais tellement remplie de tristesse à son tour. Je descendis alors rapidement les escaliers et vis que ma fille me regardait inquiète. Je lui fis signe de retourner jouée pendant que j’allais voir dans la cuisine ce qui s’était passé. Je ne le vis pas tout de suite et je me demandais ou ce qu’il était, par conte, je remarquais qu’un des tiroirs n’avait pas survécu à ce qui c’était passée. Alicia n’avait l’air de l’avoir vu sortir et il n’y avait qu’une autre porte et je me dirigeais alors vers elle. L’ouvrant, je vis que Cocoon était assis sur le sol. Je ne pouvais pas comprendre ce qui s’était passé. Mais ça ne devait pas être amusant pour qu’il soit dans cet état. Je voulais vraiment l’aider. J’aperçu alors ses mains remplies d’écharde, j’allais rapidement chercher une pince et m’asseyant prés de lui, je commençais délicatement à enlevée tous ces petits bouts de bois, refermant la plaie au fur et à mesure.

-Cocoon, je ne sais malheureusement pas ce cas été ta vie, cette tristesse me trouble, mais j’aimerais que tu ne penses plus aux parties noir de ta vie, ils ne font que vous rendre malheureux et t’enfermer dans une bulle de tristesse. Pense plutôt à tout ce qui est bon, tout ce qui a changé pour que tu puisses voir le futur. Tu ne nous acceptais pas, d’accord, mais penses plutôt à ce que tu fais maintenant, Oëna et moi, sans toi que serions-nous devenues ? Surtout moi, jamais je n’aurais pu affrontée tout ce que j’ai eu sans toi que tu n’ailles pas supportée nos races m’importent peu, car ça n’est qu’une passée, que si on ne put oubliée, il faut acceptée et avancée, car rien ne changera ce que tu es aujourd’hui.

Pensée au bon moment de la passée, pour ne pas voir les mauvais, voilà ce que j’essayais de faire depuis plusieurs jours et ça pouvais très bien s’appliquer à lui.
J’étais vraiment heureuse que Cocoon accepte que nous partions, j’allais enfin pouvoir me vider l’esprit, redevenir la voyageuse que j’étais et non la reine avec des obligations en veut tu en voilas. Même s’il n’était pas franchement ravi de devoir retourner sur une montagne, comme si l’escalade allait lui faire peur franchement. Il parla aussi de son mobilier trop petit et de sa taille, comme si de rien n’était.

- Si tu grandis encore, j’ai bien peur qu’il te faille déménagée, cette maison deviendrait bien trop petit pourvus trois mais en attendant, pourquoi n’irais tu pas chez l’ébéniste ? il pourrait te faire une chaise sur mesure, tu serais mieux ainsi.

Par conte, la confirmation qu’il venait était étrange, comme s’il était embarrassé de quelque chose, qu’est ce qu’il avait, je me tournais alors vers lui le regard interrogateur, mais il était parti. Bah, je me faisais peut-être des idées.

On mit une bonne heure à expliquer aux filles que l’on partait sans elles, ce fus un véritable supplice tant que l’on devait contrer leur attaquant incessant et leur petite voix qui nous suppliaient pour qu’elle nous accompagne. Épuisée par ces longs discoure, on devait encore préparée nos affaires, heureusement que j’avais commencée à prendre des vêtements plus chauds, même si c’était toujours des robes. Car déjà que le temps se refroidissait, dans la montagne, ça allait être pire. Le lendemain on put se mettre en route, on avait prévu de prendre le bateau, mais soudainement j’eus une petite idée, il fallait bien l’habituée aux airs non ? sortant de la ville, j’appelais Astraëlle qui viens se posé et grandit pour que quelqu’un puis la chevauchée, mais ce ne serais pas moi aujourd’hui.

-Cocoon, on ne doit pas vraiment trainée, le bateau prendrais trop de temps, alors j’aimerais que tu monte sur le dos de ma dragonne, ne t’en fait pas, c’est comme montée à cheval.

Je ne l’y forcerais pas, bien évidement, mais j’espérais vraiment qu’il accepte de montée sur son dos.

Alors que j’attendais qu’ils se décident à monter sur le dos d’Astraëlle, je remarquais qu’il semblait embarrassé. Qu’est ce qu’il lui arrivait ? J’attendais patiente et inquiète, il finit par me dire ce qui le tracassait et j’en fus énormément surprise. Le vertige, lui ? Ça semblait irréaliste dans un sens et ça m’embêtait pour ce que je voulais lui offrir. Il avait même blanchi, ce qui était fort étrange, j’allais lui dire de laissée tombée, même tout lui avouée, ça ne servait à rien de vouloir lui donnée des ailes si c’était pour qu’ils ne les utilisent pas. Mais il fini par céder et voulu bien montée sur la dragonne. Bon il n’était pas vraiment doué, mais je ne comprenais pas pourquoi Astraëlle ne lui avait pas donné un coup de main, elle le faisait bien pour Alicia. Ce fut quand j’entendis une sorte de grognement joyeux que je compris. La situation avait l’air de l’amuser cette fripouille. Pourquoi tout mon entourage ne pouvait pas être simplement sage par moment ? Quand Cocoon fut correctement installée, je déployais mes ailes, mais s’il avait le vertige, je n’allais pas voler par moi-même tout de suite, je voulais d’abord m’assurer que tout irait bien.

-Astraëlle, vas-y, mais pas trop vite et pas trop haut si tu viens bien, n’oublie pas d’éviter les acrobaties.

Aurais-je du le dire alors qu’il allait m’entendre j’en doute, mais j’étais bien obligé de le dire à la dragonne. Alors qu’elle déployait ses ailes prêtes à prendre son envole, je m’assis derrière lui, je ne resterais pas la longtemps, mais au moins au début il serait que s’il venait à tombée, je serais la pour le rattrapée. Heureusement, elle accepta de volée à une bonne vitesse, le voyage prendrait même pas une journée si on le faisait sur son dos, alors autant en profitée. Je verrais si je continue au non à la suite de ce voyage.
Après quelque instant, quand j’estimais qu’il était assez détendu, je fini par le lâché et sauta d’Astraëlle, je volais maintenant à cotée d’elle, avec cette sensation de liberté que m’apportais les airs. Pas d’obstacle, pas de temps, par réellement de but, je me sentais vraiment bien, libérée de l’attraction terrestre. Mais après quelque temps, je décidais qu’il était temps d’arrêtée pour le moment et de faire une petite pause, on avait déjà traversé l’océan, c’était pas mal et c’était vraiment la que je voulais gagnée du temps. Et puis la dernière fois que l’on avait pris le bateau, il m’avait fait une peur bleue, je n’avais pas envie qu’il recommence cette fois-ci, même s’il n’avait pas l’air d’avoir de tempête à l’horizon. Une fois posée, je fis signe à Astraëlle de l’aide à descendre, j’espère qu’il allait bien.

- Ca va Cocoon, toujours en vie et entier ? Il nous reste plus beaucoup de chemin à parcourir, jusqu'à la montagne.

J’étais réellement inquiète, mais en même temps je ne m’étais jamais doutée qu’il puisse avoir le vertige, en faite, je ne lui jamais trouvée la moindre faiblesse, mis à part son attitude trop protectrice qui pouvait le rendre violent. Je le laissais reprendre ses esprits, réfléchissant à ce que je devais faire, est-ce que je devais lui dire que je lui avais menti, qu’en faite j’allais lui chercher une paire d’ailes ? Alors qu’il avait le vertige, déjà qu’il m’avait dit que j’étais chiante, qu’est ce qu’il me dirait ici ? Mais en même temps je voulais tellement qu’il puisse voir ce que je pouvais, car il n’imaginait pas les paysages qui s’offraient à nous quand nous étions hauts dans le ciel, cette sensation de liberté, quand seul le vent t’accompagne. Que c’est moi, Astraëlle ou ielenia, le plus important était de continuée notre route le plus souvent par les cieux, car c’était ce qui nous plaisait le plus. En prime c’était plus rapidement, mais ça, ce n’était pas vraiment important, car on faisait souvent des détours.
Je lui tendis la gourde d’eau, me demandant ce qu’il allait choisir pour continuée, s’il préférait continuée à pieds, je crois que je lui dirais tout, par conte, s’il voulait continuée par les airs, peut être continuerait je à vouloir lui faire la surprise, j’espérais juste que le magicien avait reçu mon message et avait trouvée une excuse ou une sorte de petite mission à nous faire faire, car il fallait vraiment que ça reste secret.