Il ne s’approcha pas de moi pendant que nous emmenions le démon plus loin, j’avoue que je lui en voulais, il n’avait pas le droit de commencer à me mettre des gens comme eux devant moi. Une fois que l’homme avais été emmené, il vient rejoindre, son visage était différent, je compris qu’il n’était pas d’accord, ce qui se confirma quand il me demanda si j’avais pris la bonne décision, j’étais resté silencieuse, ne voulant pas lui répondre sur le coup, sa phrase n’étais pas finie, même si il se taisait, j’attendais qu’il me dise ce qu’il pensait réellement.
Il m’expliqua alors que ce démon avait été un esclave et qu’une fois qu’il avait pu partir il c’étais mis avec une femme et eurent un enfant, cependant il était tombé malade et malgré son travail il n’arrivait pas à payer les soins. Disant que j’avais laisser trop parlée mes émotions, il ne savait rien, si je m’étais laisser guider par elle, je n’aurais sans doute pas modifier la sentence, sa leçon de moral aurait peut être marcher, si il ne m’aurait pas rappeler que nous ne pouvions pas sauvée tout le monde, il avait tuer trois personne pour en sauvée une, ces trois personnes avait aussi une famille, alors que l’on me demande pas de le prendre en pitié, bien sur, perdre un enfant ses difficile, mais un frère, sœur, mère ou père, ca l’est tout autant, alors oui, j’avais pris la bonne décision, il espérait quoi ? Que je dise, c’est bon vas y et quand ton enfant retombera malade, n’hésite pas, retourne volée et tuer quelqu’un au passage. Je soupirais en regardant derrière moi, cette histoire avait réussi) mériter comme jamais je ne l’avais été, heureusement que c’étais une émotion qui ne se montrait jamais sur mon visage, j’aurais certainement eu des ennuis, déjà qu’il n’avait pas été d’accord sur ma façon d’agir, que dirait il de ma façon de pense.

*J’avoue que moi non plus je ne vois pas trop ce qu’il attendait que tu fasses, tu lui à déjà éviter la mort, tu ne pouvais pas le libéré sur parole non plus, même si ses raisons était noble, ca n’efface pas les gestes en eux même.*

Pendant que Gaël préparait son portail pour notre prochaine destination, ielenia c’étais approcher de moi, elle seul savais réellement me comprendre, j’étais bien contente de l’avoir prés de moi, je n’en voulais pas vraiment à Gaël bien évidement, mais j’étais perplexe quand à sa façon de penser, le faite de vouloir sauver une vie, n’enlève pas le faite qu’il en à pris trois pour tenter d’y parvenir, de toute manier tout ange qui se respecte et qui est au courant de cette histoire, se dois d’allée voir l’enfant et le soignée, j’étais certaine que c’étais déjà faite d’ailleurs.
Quand j’au passé le portail, j’arrivais devant une plaine pour enfants, je ne comprenais pas vraiment ca que j’allais devoir faire ici, mais la femme qui s’en occupais s’emblait vraiment affaiblie, était elle malade ? il me dit alors que je devrais m’en occuper, enfin pas de la femme, mais de tous les enfants, je m’inquiétais, à cause de ce qui c’étais passé, j’avais l’impression qu’il ne me croyait plus vraiment capable, j’espérais vraiment qu’il n’avait pas commencé à me sous estimé, ce serais bien dommage. Je m’avançais alors vers la femme qui me regardait suspicieuse, c’étais normal, elle avait la garde de tout ses enfants et il ne fallait pas qu’ils leur arrivent quelque chose et encore moins qu’une inconnue ne vienne s’en prendre à eux. Je lui souris tout en lui tendant ma main.

-Bonjour, je m’appelle Yuka Nydelia, je suis venue vous proposez mon aide, vous me semblée fatiguer, j’ai l’impression que vous avez bien besoin de repos.

Elle me regarda quelque instant, elle devait vérifier la signification d’une telle proposition, la méfiance étais bien présente chez elle. Je remarquais cependant, qu’elle était plus que fatiguer, elle était malade, un bref coup d’œil me permis de me rendre conte qu’elle souffrait de surmenage, quoi de plus logique âpres tout, elle me sourit et me dit.

- Je sens votre aura, je suis d’accord, mais avant laisser moi vous faire visiter, je vous dirais aussi tout ce qu’il faut savoir, est ce que vous accepteriez de me remplacer jusqu’à ce soir ? je serais la quand les parents viendrons les chercher, mais ces vrai que j’aimerais me reposer avant correctement. Merci pour cotre aide en tout cas.

Elle me fit visiter les locaux, ce n’étais pas grand, les enfant jouaient dehors, mais il allait bientôt devoir rentrée pour manger, les nourrissons eux dormaient et elle m’expliqua que c’étais le plus dur à s’occuper, car dés que un pleurait, tout les autres s’y m’étaient, une fois les soupers donner, il devait rester à l’intérieur ou d’autre jouets les attendaient, puis le soir venu, les parents venaient les chercher, la elle se devait d’être la pour être sur que les enfant retourne avec leur parents, ce que je comprenais, elle me montra aussi le souper du soir, vu la chaleur c’était plat froid, ou était ranger le kit de secoure et tout ce qui pourrais m’être utile. Puis elle me décrivit chacun des enfants et leur habitude, il y avait sept enfant et cinq nourrisson, ca devrais allez, je notais cependant tout sur un bout de papier pour être certaine de ne rien oublier, il n’aurait plus que manquer de ca. Je lui demandai alors si elle pouvait me présenter au moins aux enfants, pas pour que je ne le fasse pas moi-même, mais si elle partait sans le faire, les enfants ne comprendraient pas et je me ferais pas confiance, elle accepta volontiers et les fit se rassemblée devant nous quelque instant le temps de leur expliquée, puis elle parti prendre son repos bien mérité.
La propriété étais vaste, je du à plusieurs reprise courir pour éviter qu’un des enfants ne s’en aille trop loin, les enfants cependant était assez sage et si mignon, je ne pouvais pas m’aligner de la pouponnière, mais je trouvais dommage d’être juste la à regarder, j’eu alors l’idée de me dupliquer et la deuxième moi restais prés des petits, mais attention, elle devait venir me prévenir quand en bébé pleurait et non s’en occuper, j’aurais vu ca comme de la triche en quelque sorte. Les enfants étonné me demandèrent alors de quoi j’étais capable et je du leur faire une démonstration de tout ce que je savais faire, à certain moment mon double venait me chercher et je du changer des couches ou alors donner un biberon, des fois il suffisait juste que je prenne l’enfant dans mes bras pour qu’il se calme, qu’elle plaisir de m’occuper d’eux, moi qui n’avais pas connu le plaisir d’être mère avant de mourir.
Si ce teste n’en étais pas vraiment un pour moi, il me permit de me détendre, bien sur je ne me faisais pas d’illusion, c’étais une journée, au fil du temps, je commencerais moi aussi à sentir les effets de la fatigue. Quand il fut l’heure je commençais à les préparée pour le repas, la bien sur c’étais une autre histoire, j’avais droit au je n’aime pas, ou je n’ai pas faim. Je pris alors mon temps pour leur expliquer calmement, pour ceux qui disait je n’aime pas, je leur demandais si au moins ils avaient gouté, comme c’étais pas le cas, ils le firent devant moi, un seul n’aimaient vraiment pas, heureusement l’ancienne gardienne avait prévu le coup et je pu lui donner autre chose, quand à ceux qui n’avait pas faim, je leur demandais au moins de manger la moitie, car c’étais le dernier repas de la journée. Une fois le repas fait, je me suis dépêché à vite tout débarrasser et tout nettoyer pendant qu’ils jouaient à coter. Ce qui me prenait le plus de temps c’étais de devoir surveiller aussi les nourrissons, je me demandais comment elle faisait pour surveiller les deux, moi j’avais mon double, mais elle, avec le temps elle devait avoir développé une ouïe particulièrement bonne. Quand j’eu fini de tout ranger et vérifier que tout étais prêt pour quand leur parents arrivent, je cherchais alors un livre, n’en trouvant pas, je décidais de l’inventer. Sans forcer les enfants, je leur proposais de leur raconter une histoire, ceux qui ne voulaient pas l’écouter devaient jouer calmement. Je leur racontai alors une histoire avec un lapin qui voulais trouver la plus succulente des carottes, j’étais tellement plonger dedans que je me rendis pas conte que la gardienne étais revenue, c’est seulement à la fin de l’histoire qu’elle vient me voire.

-Et ben, je ne l’ai est jamais vu aussi calme, bravo et merci beaucoup, mais voila les parents, préparée vous les enfants.

J’allais alors l’aider à préparée les nourrissons et fit disparaitre mon double, ensuite je dis au revoir aux enfants qui repartaient avec leur parents. Une fois tous parti, je rangeais les derniers choses et dit au revoir à la gardienne avant de rejoindre Gaël. Je me demandais ou ce qu’il allait m’emmener maintenant.

Gaël regarda la scène. On dirait bien que partir est une tâche difficile pour la gardienne. Par ailleurs, il s'agissait d'une garderie bien remplie. Gaël essayait de rester neutre face à Nydelia, mais la situation était très amusante à voir. Gaël adorait les enfants et voir leur petit visage lui remplissait de joie. Cela fit changer l'humeur qu'il avait avec le test précédent. Gaël observa et remarqua qu'elle était presque trop naturel. Le test semblait facile pour elle. Gaël n'était pas très surpris, car les anges avaient presque un talent innée pour la gentillesse envers les enfants surtout les femmes (Ce n'est pas sexiste, c'est une vérité!). Gaël n'avait pas de misère à faire passer l'ange sur ce test. Le soir venu, Gaël accueillit les bras grands ouverts son acolyte.

- Toutes mes félicitations! Tu as réussi à monter à quel point vous pouviez être sensible aux autres, rester calme et penser à tous les individus. J'espère que vous avez profiter ce petit moment, car nous allons passer à toute autre chose...

Gaël Sortit son épée et traça le trajet vers leur prochaine destination. Gaël passa en premier comme d'habitude. La nouvelle destination était désormais moins agréable à voir. Les deux individus se retrouvèrent à une étage supérieur d'une église. On pouvait voir l'étage inférieur qui était bien différent d'un salle d'église traditionnelle. Les bancs étaient toutes occupés par des personnes blessées. On pouvait entendre des pleurs et des hurlements de douleurs. Certains était là et cherchait leurs proches. L'endroit était réellement lugubre. On pouvait ressentir une énergie malsaine qui s'émanait de tous. Gaël prit une grande respiration avant de dire ce qui suit:

- Je vous présente l'Église Benedicta. Il s'agit d'un refuge pour le moment. Les zombies ont envahi leur village. Les personnes ont essayer de se défendre pendants plusieurs jours, mais certains ont péries et d'autres blessées. Certains ont perdus leurs proches et espèrent qu'ils soient toujours en vie. Cependant, l'espoir est à leur plus bas. Chaque personne a vécu une perte en quelque sorte. Tu as une lourde tâche sur les épaules. Tu vas devoir leur redonner espoirs et réconforter les personnes qui ont perdus leur proche. Par ailleurs, il va falloir faire l'infirmière en soignant les malades. Je vais rester ici. S'il y a quoi que se soit, je vais t'aider. La tâche est très difficile et en temps normal, il y aurait plusieurs anges à faire la tâche. Je veux te laisser faire pour commencer. Bonne chance!

Gaël lui montra le chemin à prendre pour descendre en bas. Il n'avait pas d'y d'ordre à prendre, mais elle avait deux tâche à faire. Gaël n'aimait pas voir les gens ainsi, mais il n'avait pas d'autre choix. Il avait eu l'ordre de la laisser faire en premier. Gaël se croisa les bras et observa la scène en restant relativement neutre.

Hrp: Cette tâche doit se faire en deux temps. Je te laisse choisir l'ordre. Gaël va venir t'aider au prochain post.

Quand je retournais vers Gaël, son visage avait radicalement changé, est ce que le faite d’avoir vu autant d’enfant le mettais de meilleur humeur ? En tout cas, j’étais assez rassurée, je croyais que je faite d’avoir utilisé un double allait me crée des problèmes, mais je ne l’avais pas fait dans le but de me facilitée, la tâche, au contraire, ca me permettait de m’occuper de deux chose à la fois sans en avoir délaissé une. Il me félicita, mais il espérait que j’avais bien profité, ce qui me fit directement penser qu’il allait ce passée quelque chose de bien pire, mais quoi ? Je devais bien avouer que pour le moment tout ce que j’espérais c’étais un bon lit, mais à mon avis, il voulait aussi voir mon endurance, car en situation réelle, je n’aurais certainement pas l’occasion de ma reposer à heure dite, ielenia m’avais fait remarquer que elle n’avait pas de teste à passé, mais qu’elle aimerait dormir et à part se reposer pendant le déroulement de chaque teste, je ne voyais pas vraiment ce qu’elle pouvait faire, mais bon.
Soupirant légèrement, je passais le portail à sa suite, me demandant ou est ce que j’allais de nouveau atterrir et surtout ce qu’il m’attendait, j’espérais secrètement que ca sois une épreuve comme celle que je venais de faire, mais malheureusement je savais que ce ne serais pas le cas, ca aurait été beaucoup de beau. On atterrit alors dans une sorte d’église, mais je sentais qu’il y avait quelque chose de différents, déjà il y avait beaucoup de monde, mais ce n’étais pas l’endroit de recueille que je connaissais, beaucoup de personnes se trouvaient la, mais toute était blessée, des cris se faisait entendre et je me demandais ce qui c’étais passé pour que ca devienne comme ca. Gaël m’expliqua alors que cette église servait actuellement de refuge, leur village avait été attaquée par les zombis qui avait attaqué plusieurs endroit de ce monde, ils avaient l’air d’avoir tenu comme ils avaient pu, mais à quel prix ? Ils avaient perdus de la famille, leur maison peut être et des choses auquel ils tenaient. Il m’expliqua que j’allais devoir essayer de leur redonner espoir, mais comment ? en plus il y avait aussi des blessés qu’il fallait s’occuper, me disant qu’il y avait un truc prioritaire sur l’autre, je me dirigeais vers l’endroit ou était tout les blessés, je sais bien que redonner l’espoir au autre est important, mais sans savoir l’état des blessés, je ne pouvais pas prendre le risque que certain meurent, une fois arriver, je regardais autour de moi, il était nombreux, je comprenais pourquoi il m’avait dit que nous aurions du être plus nombreux, mais avec toute les attaques qui avaient eu lieux, il ne devait pas en avoir beaucoup de disponible. Je regardais les blessée qui s’entassais autour de nous, je ne savais pas vraiment par quoi commencer, l’odeur du sang était fort présente, je voyais des personne s’agiter essayant de faire pour un mieux sur les blessés, je savais qu’il allait me donner un coup de main, ce serais nécessaire, mais est ce que l’on serait pour autant assez, j’en étais pas vraiment certaine. Je m’approchai alors d’un homme qui me donnait l’impression de faire partie de ceux qui soignait les blessés, demandant confirmation. Une fois que ce fut fait je lui demandai.

-Je vois qu’il y à quelque rouleau de tissus, est ce que vous pouvez mettre prés de chaque personne un morceau de ce tissus qui signifierais la priorité des soins à apporter, peut importe la couleur du moment que une veut dire blessée grave et urgent, l’autre, grave mais stable et la dernier blessure léger. Il ne faudra cependant pas oublier de vérifier si nous ne devons pas changer de couleur de tissus entre le moment ou il sera posé et le moment de mon passage.

Il me regarda un instant, puis, il parti chercher les rouleaux avec trois autre personne, tous ensemble on commença alors à faire un premier diagnostique pour connaitre l’ordre des priorités. J’avais du mal à na pas m’arrêter à ceux que je jugeais grave, mais il fallait absolument que je vérifiais qu’il n’y avait pas de blessés pire que celui que j’avais en face de moi. Une fois que l’on eu fini, je les regardais tour à tour, on allait se diviser.

-Vous, vous m’aiderez à soignée les blessés, n’oublier pas, les tissus rouge en premier, vous, vous passerez prés des patients pour vérifier leur état, voir si ils n’ont pas besoin de changer de catégorie. Quand à vous, j’aimerais que vous passer aussi prés de tout le monde, pour leur apporter du confort ou quelque chose qu’ils auraient besoin. Ah et vous, allez vous reposez, vous êtes exténuer, ca ne sers à rien de trop forcer. On vous appellera si c’est vraiment nécessaire.

Je leur demandais alors après si ils étaient d’accord, j’avais pris les plus réveiller avec moi, diminuant les taches par rapport à leur niveau de fatigue, ca ne servait à rien de travailler en étant trop fatiguer, ils ne verraient pas correctement la graviter des plaies. Ils acceptèrent tous et on se mit alors au travail, fonça sur le premier tissus rouge qui était à notre portée. Certain avais des bras ou des jambes couper, d’autre un objet leur traversait le corp, puis d’autre avais des traces de morsure, mais ils leurs manquaient un grand bout de chaire, on essayait de soigner ce genre de plaie comme on pouvait, mais des fois on n’avait pas vraiment d’autre choix que de couper le membre. Heureusement il n’avait pas beaucoup de rouge, mais quand même pas mal d’orange, heureusement que ca voulais dire que leur état était stationnaire, de temps en temps, on nous appelait, certain changeaient de couleur et on devait dans ce cas se dépêcher. On avaient déjà passé une bonne partie de la nuit et on devait encore faire tout les tissus verts. On m’avait apporté de l’eau, et certaine personne avait proposé de me remplacer, mais j’avais refusé poliment disant que ca allait. J’espérais juste que je ne mentais pas, car après il faudrait s’occuper des familles et ce ne sera peut être pas le plus évidents.

Je bu une gorgée d’eau, tout en regardant autour de moi, je ne savais pas vraiment ou les soins en étaient tellement il y en avait à faire, mais je me demandais aussi si d’autre blessés allait encore arriver car si c’étais le cas on étaient pas prés de nous arrêter, j’avais aussi surveiller plusieurs des personnes qui m’aidait à soignée les blessés, j’avais du effectuer plusieurs fois des changements, ceux qui c’était totalement reposer montais m’aider au soin, ceux qui c’étais reposer en s’occupant des petits problèmes passait à la vérification, par conte, je remarquais bien que ca ne suffirais pas, il y avait trop de blessés et pas assez d’aide, je commençais à me demander si je n’allais pas utiliser de nouveau un double, peut être un triple, pourtant je savais que ce n’étais pas quelque chose à faire dans mon état, j’étais beaucoup trop affaiblie, trop fatiguer, du coup je risquais d’usé trop de mon énergie. J’allais quand même le faire, c’étais nécessaire, mais j’entendais la voix de Gaël derrière moi. Il me demandait alors d’allez me reposer, il m’expliquait aussi que normalement il ne devrait pas m’aider, mais j’avouais que j’appréciais qu’il prenne un tel risque, âpres tout, si il venait m’aider lors d’un teste, est ce que ca ne pourrais pas lui attiré des problèmes ? il me rappela alors que je devais encore allez leur parlée, je n’étais malheureusement pas douée pour commencer à faire un discoure, mais bon j’aurais plus facile une fois la tête vraiment reposer. J’allais alors m’appuyer sur un mur, tout en m’occupant de tout les patients qui se trouvaient sur mon chemin, je n’aimais pas vraiment devoir laisser tout le monde ainsi, mais bon Gaël était la âpres tout, alors je ne voyais pas vraiment qu’est ce que je risquais. Je demandais à une jeune femme de me réveiller dans une heure, me reposer, oui, mais il était hors de question que ca ne dure trop longtemps. Ielenia viens se coucher prés de moi, elle posait alors sa tète sur mes genoux, tout en se montrant particulièrement affectueuse, la pauvre.

*Tu aurais peut être du rester à la maison comme je te l’avais proposé, mais bon repose toi bien surtout, tu en a bien reposser.*

Elle ne me répondit pas s’endormant rapidement, je l’imitais aussi tôt, ne voulant pas perdre de temps pour le peu de repos qui m’était enfin accordé. Quand on me réveillait, je me demandais comment les choses avaient évolué, ce fut d’ailleurs la premier chose que je demandais à mon réveil, on m’expliqua alors que Gaël avait réussi à soignée le plus gros de tout les blessures, il ne restait que les petites plaies, mais il valait mieux les faire tout de suite, car ca pouvais s’infecter et c’étais quelque chose que je voulais absolument éviter. Apres une nouvelle heure de travail, je commençais à enfin voir le bout, les cas grave était très stable, il leur faudrait juste un peu de temps que l’on change leur pansement, les autres était sur pieds, certain avait déjà commencé à monter pour allez retrouver les leurs, il y avait juste un coin de la pièce qui n’attirait aucun regard, la bas se trouvait les personnes qui n’avait malheureusement pas survécu à leur blessures, toute ces vie gâchée. Je m’étais diriger vers eux pour imprimer leur visage dans ma mémoire, il y avait une tâche à faire en particulier, j’aimerais vraiment n’avoir jamais eu à la faire, âpres tout annoncer la mort de quelqu’un n’étais jamais évidente, en plus, il allait falloir que j’arrive à savoir qu’elle cadavre portait qu’elle nom. Je demandais alors de l’eau et commençais à nettoyer les corps, comme il y avait eu beaucoup de travail, on n’avait pas pris le temps de nous en occuper, pourtant nous ne pouvions pas montrée les corps de leur proche ainsi à leur famille. Une fois cette triste tâche finie, je montai à mon tour, je regardais le monde, certain venait prés de moi spontanément, voulant seulement savoir comment leur famille allait, ne sachant pas répondre à tout le monde à la fois, je leur demandais d’être patient, tout en leur disant que je savais que ce n’étais pas évident, comment savoir vouliez vous que quelqu’un reste calme pendant qu’elle se demandait si ceux qu’il aimait. Je redescendis en bas et pris un parchemin pour noter tout les prénoms des personnes qui étais en état de me les donner, retournant prés des personnes inquiète, je leur dit la liste des noms, leur expliquant aussi les états des personnes qui avait été reconnue. À la fin il ne restait plus beaucoup de personnes autour de moi, alors je leur demandais de me décrire ceux qu’il cherchait, c’étais effectivement ceux qui était sans vie.

-Je…Je suis vraiment désoler, mais malheureusement , j’ai bien peur d’avoir une mauvaise nouvelle à vous annoncer, j’aimerais que vous me suiviez en bas.

Ils me suivirent alors en bas, je leur montrais alors les corps et essayais de les rassurée le plus possible, une fois que je compris qu’il fallait les laisser tranquille, j’allais en haut. Gaël m’avait parlé de faire un discourt, mais je n’étais pas d’accord, chaque personne était différente, alors je préférais allez prêt de chaque personne, écouter leur histoire et a ce moment la trouver les mots juste qu’il fallait qu’il entende. Peu à peu ils vénèrent eux même vers moi. Tout à la fois, ils commencèrent à quitter l’église, le soleil avait commencé à se levée et un communiquer avait été envoyé pour dire que les zombis avait été repoussé et que la reconstruction était en cour. Bientôt, il ne restait que les blessés qui ne pouvais pas bouger et qui attendait que l’on les emmène. J’étais contente que ce sois fini, les familles qui avait perdu un des leur avait demandé à ce que l’on fasse un petit cimetière à l’arrière de l’église et ca avait été fait le plus rapidement possible. Je jetais un coup d’œil à Gaël, me demandant ou ce qu’il allât m’emmener cette fois.

J’étais en train d’aider les personnes blesser à monter dans une des charrettes qui était venu les chercher, ils allaient être emmené dans un centre de soin qui ce situait à quelque kilomètres d’ici. Plus aucun d’entre eux risquait de mourir en chemin, c’étais un soulagement en moins. Gaël était venu prés de moi, il me disait que j’avais réussi mon teste, mais ce n’étais pas ca qui avait retenu mon intention. On ne pouvait malheureusement pas accéder aux demandes des familles en deuil. Le fléau allait continuer à s’abattre sur eux, ce n’étais vraiment pas juste. Il m’emmena alors dans la pièce ou ils étaient et en l’ouvrant, je voyais en effet que les corps commençaient en effet à bouger, qu’elle horreur, mais bon heureusement, Gaël m’appris qu’un remède avait été trouvé, mais bon il faudrait du temps et puis ca ne les ramènera pas à la vie. Il s’arrangeait alors pour bloquer la porte, il allait falloir les garder ici, c’était très important. Il ouvrit les fenêtres et laissa le soleil entrée dans l’église, ca m’éblouit d’ailleurs les yeux pendant quelque instant, puis je remarquais qu’il faisait particulièrement beau, c’était agréable.
Il me dit alors que j’allais devoir allez aider ici, c’est vrai qu’il y avait beaucoup de travail à faire, beaucoup de gens qui devait se sentir perdu devant leur maison en ruine, cherchant les dernier objets qu’il pouvait sauver des décombres. Il sorti alors sur le toit, je m’y attendais, il m’avait aidé avant car c’étais une situation de crise, du coup il n’avait pas pu rester les bras croisé alors que temps de personne souffraient, ici c’était différents, c’était épuisant, mais en aucun cas, l’un d’entre eux était en danger. Je soupirais en sortant mes propres ailes. J’allais devoir prendre sur moi, mais je me jurais que une fois tout ces testes passé, car j’avais l’impression que j’en aurais pas l’occasion avant, je prendrais un bain avant d’allez dormir pendant une journée entière, enfin j’essayerai. J’atterris alors au début du village, c’était un peu comme hier soir, il allait falloir trouver des priorités, mais il y avait tellement à faire, beaucoup de personne avait été blessé, du coup il ne restait plus grand monde pour aider à la reconstruction. Normalement la aussi à mes connaissance il aurait du avoir de personne pour donner un coup de main. Mais actuellement il avait trop de travail à faire partout, tout le monde était déborder et je n’allais pas échapper à la règle. Alors je décidais de commencer par l’eau et la nourriture, je trouvais que c’étais le plus important pour aider ceux qui en travaillais sans relâche pour reconstruire leur village. Je pris alors quelque seau et me dirigeais vers le puits, les enfants qui aidait comme il pouvait, m’apportait des gourdes avant d’allez les donnés à leur famille, j’avais aussi préparée quelque seau supplémentaire car j’avais remarqué que certaine personne qui était blessé était en train de travailler. Il allait falloir changer leur pansement de très peu de temps, j’espérais juste qu’il restait de quoi en faire, il allait falloir que je m’en assure avant de continuer. J’allais alors vers une des personnes qui c’étais occuper des blessés avec moi pour lui demander. Il me dit qu’il en restait, mais pas beaucoup, mais que si c’était vraiment nécessaire, il y avait des vêtements que l’on pouvait faire bouillir pour les utiliser. Il parti le faire automatiquement. Très bien, c’étais au moine quelque chose que je n’aurais pas totalement à m’en occuper, ils m’avaient assez aidé pour savoir exactement comment faire le bandage. L’eau c’était fait, je viendrais en puiser de nouveau si c’était vraiment nécessaire, vérification pour les bandages, ca allait être bon, ainsi qu’en faire de nouveau, alors maintenant il fallait faire quelque chose qu’il leur rendrait alors de l’énergie, je savais bien qu’il faisait encore chaud, mais malheureusement, je ne connaissais qu’une chose qui pouvais leur redonné assez d’énergie, tout en ne demandant pas beaucoup de ressource car il allait devoir économiser. Je me dirigeais alors vers les réserves et trouvais ce que je cherchais, beaucoup de légumes, je trouvais aussi un morceau de viande assez gros. Une fois que je sortis avec tous mes achats, je me dirigeais vers une maison, je leur demandais alors si je pouvais utiliser ces ingrédients pour faire un bon bouillon pour tout le monde et utiliser sa cuisine. Elle sortit alors quelque instant, j’attendis patiemment, quand elle revient elle était accompagnée du chef, il me dit alors que je pouvais tout utiliser, mais que j’aurais plus de place dans sa cuisine, je le suivi alors et une fois arriver je commençais à préparée le bouillon. Plusieurs femme était venu m’aider à nettoyer les légumes et à tout préparée, quand la soupe n’avais plus cas cuire, je sortis et me dis que maintenant ca allait être les matériaux. Allez courage, ca avançais après tout, pour le bois, je ne pouvais pas aider, je ne possédais pas la force nécessaire, alors j’allais chercher tout ce que je pouvais, on triait aussi le débris pour voir si il n’y avait pas des matériaux récupérable. Puis j’aidais à bien placer les planches, à les attacher et tout fixer correctement. De temps en temps, j’allais chercher de la soupe à distribuer, ou j’aidais au changement de pansement, voyant que le travail avait bien avancé, je pris un gourde et un bol de soupe et alla l’apporte à Gaël, je n’étais pas certaine qu’il en avait besoin, mais au moins il en avait au cas ou. Puis je retournais aider à la reconstruction. Le faite que je savais voler me permettais de monter le matérielle, celui que je pouvais être très rapide, me permettais d’allez plus vite pour faire certaine tâche. Le travail à effectuer était titanesque, la nuit approchait et il restait à faire, mais tout le monde aurait un toit pour cette nuit. Mais bon il ne fallait pas s’arrêter en si bon chemin, pendant que tout le monde continuaient à travailler, j’aidais les mères à coucher les petits, je leur dis d’en faire autant. Il ne restait que les hommes et deux maison à terminer les réparations, heureusement, il n’y avait pas de nuage et la lune était pleine, mais je convaincu les hommes d’allez prés de leur femme, une fois parti, je profitais de ma vision nocturne pour tout finir. Un fois fait, je m’allongeais sur le toit de la dernière maison qui venait d’être finie tout en regardant les étoiles. Je ne comprenais pas comment un tel fléau avait pus s’abattre sur ce monde.

Quand Gaël revient prés de moi, je devais bien avouer que je redoutais l’endroit ou il allait m’emmener, pas vraiment que je n’avais plus envie de continuer, car à vrai dire, même si c’était des testes, je ne les prenaient pas ainsi, à chaque fois, c’étais de personnes qui avaient besoin d’aide, si je pensais au travail à effectuer en tant que teste, ca me mettrais non seulement du stresse, mais en plus ca voudrais dire que j’attend quelque chose en échange, je préfère alors les aider à ma manière. Je ne savais toujours pas vraiment ce qua ca donnait, mais bon. Alors que je me demandais ce que j’allais devoir faire maintenant, il me parla simplement d’allez dormir, enfin j’allais pouvoir me reposer correctement, on me donnerait une paillasse faite de paille, je crois que je dormirais quand même comme un bébé. Je l’avais attendu patiemment ce moment, bien sur les personnes que j’avais aidées en avaient besoin, mais avec la fatigue, nous devenons moins efficaces et nous ne pouvons plus aider les autres comme on le devrait. Il descendit alors au sol et créa son portail, ielenia se précipita à l’intérieur, mais je la suivie un peu plus lasse. Je regardais alors ébahie ce qu’il y avait devant moi, je n’en revenais pas, moi qui voulait me contenter d’une paillasse, j’avais droit à une véritable chambre de luxe. Elle était tout simplement magnifique, elle dégageait une pureté, elle était spacieuse et chaleureuse, il y avait même un endroit pour allez prendre un bon bain, qu’elle bonheur. Gaël me dit alors que je devais me reposer, je me demandais alors qu’elle teste m’attendrait demain pour avoir droit à une chambre ainsi. Il posa alors sa main sur mon épaule et caressais ielenia avant de partir. Je me demandais ou ce qu’il allait allez. Je regardais alors ielenia qui était déjà partie sur une écuelle d’eau. Moi je partis dans la pièce d’eau et commençais à faire couler l’eau, puis j’entrais et profitais de l’eau chaude sur ma peau, mes muscles se détendre, en même temps c’est vrai que je les avais mis à rude épreuves ces dernier jour. Je restais dans l’eau un long moment, puis je me mis en tenue pour allez dormir et m’assis sur le lit, ielenia sauta alors dessus pour ce mettre prés de moi, elle aussi semblait épuisée, la pauvre, elle m’avait suivie depuis le début.

-Et ben ma grande, on ne peut pas dire que l’on à rien fait ces derniers jours, je ne sais pas si j’aurais tenue une journée de plus.

Je lui souhaitais bonne nuit et m’installais confortablement dans le lit, jeans un dernier regard pas la fenêtre, je m’endormais rapidement, en me demandais ce que j’allais encore devoir accomplir demain, qu’est ce qui m’attendais ? je me trouvais alors transportée dans mes rêves, je ne vis pas exactement quoi eu début, puis me vision s’éclaircis. Je voyais un couple s’occuper d’un enfant qui venait de naitre, je regardais plus attentivement le visage des deux parents et reconnu les mien, plus jeune. Malheureusement je n’eu pas l’occasion de voir cela plus longtemps, soudainement ma vision changea et je me voyais à l’âge de treize ans, j’étais en pleure devant ma porte un ruban à la main, ma mère essayais de me réconforté. Je reconnaissais ce moment, mon meilleur ami venait de tomber gravement malade, on ne savait rien faire pour l’aider et j’étais complètement désemparé, même maintenant je sentais les larmes monter en moi, redoutant la suite du rêve, je voulais me réveiller, mais je n’y arrivais pas. Alors je me mis me rendre au centre de soin, voulant apporter des fleures à Sophia, mais alors que j’essayais de la réveiller, elle gardait les yeux fermer, je détournais le regard, mais je ne pouvais pas empêcher mes cris d’arriver à mes oreilles, j’avais été anéantie cette fois la, je n’avais plus été la même avant un long moment. Le rêve continuait alors, me montrant l’enterrement de Sophia. Heureusement, la suite était bien plus agréable, je me voyais dans les champs, Shaolan en train de travailler, moi l’aidant, notre premier rencontre. La suite du rêve se déroula alors ainsi, ne me montrant que ce moment, sa demande en mariage aussi. Je n’en revenais pas, je ne voulais d’ailleurs plus me réveiller, cependant je connaissais la suite du rêve, je sentais au fond de moi que je ne pourrais pas y échapper. Il faisait noir, les maisons était en feu et un rire se faisait entendre, je ne sais pas comment ca se faisait, mais je voyais ce qui c’étais passé avant que j’arrive, étais ce à cause que l’on me l’avait raconté ? je voyais le démon s’acharner sur tout les villageois, puis je le vis s’attaquer à mes parents, qu’elle horreur de voir ce spectacle. Alors que cette partie continuais, je e voyais arriver. Je n’en pouvais plus de voire ca, mon rêve contenais, je me voyais mourir, rencontrée Elise, puis Cocoon, je revivais mon passé, des moments était douloureux et je devais bien avouer que tout ce que je voulais, c’étais me réveiller et ne plus jamais revivre ca. Je commençais à voire des moments beaucoup plus récent et ca me rassurais, je me disais que ce serai bientôt fini. D’ailleurs, quelque temps après, je revivais l’attaque d’Elise, ma fuite et malheureusement, sa mort. Je me réveillais alors en sursaut, j’étais en pleur et ielenia gémissais à coter de moi, le soleil c’étais levé. Je me sentais malgré tout reposé malgré mes rêve, je sentais aussi une faible aura magique et je compris ce qui venais de ce passé. Mais pourquoi avoir tenu que je revive tout ce moment ? ce n’était pas vraiment logique après tout. J’allais me passé de l’eau sur le visage et brossais mes cheveux tout en pensant au rêve que j’avais fait, bien sur il m’avait permis de revoir des moment joyeux, mais d’autre extrêmement douloureux. Je caressais ielenia qui c’étais fait du souci et descendu en bas. Si j’avais trouvé la chambre magnifique ce n’étais rien comparée au rester de l’auberge, on m’apporta alors un déjeuner et je commençais à manger le temps que Gaël arrive, ca m’étonnait d’ailleurs qu’il n’était pas encore la, surtout que je voulais lui demander pourquoi il avait fait ca. Tout les testes précédent, je les avais trouvé logique, mais celui la, je ne le comprenais vraiment pas et j’aimerais qu’il me l’explique, avais je un enseignement à tirer ? je connaissais mon passé et avait tirée l’enseignement depuis longtemps. Bah je verrais bien quand il arriverait et que je pourrais lui demander.

La journée était belle. Les oiseaux chantaient et tout semblait paisible en cette magnifique. Descendant tranquillement du paradis, un ange gassouillait avec des petites ailes volait avec un carnet à la main. Il avait l'air pensif et songeur. Il écrit pleins de trucs sur sa feuille qui semblait illisible à la vue des autres. Il avait les cheveux blonds et frisés comme un mouton. Il avait des petit yeux bleus. Rendu au niveau du sol, son atterrissage fut un peu catastrophique. Il atterrit sur une pied perdit l'équilibre et tomba à terre. Il se releva et commença à enlever la poussière qui était sur ses vêtements. Il n'était pas très habitué de venir sur la terre. Il n'y avait jamais mis les pieds par ailleurs. Il avait été recruté pour une courte période, c'est-à-dire le passage d'un test. Ce dernier avait été aussi appelé à évaluer le rêve de la demoiselle a qui il devait faire le test. À peine plus grand qu'un nain, il marcha des petits pas vers l'auberge qui était juste à côté. Il avait une bonne idée à quoi elle ressemblait et il ne devait pas avoir trop de misère à la reconnaître. L'ange poussa la grande porte qui était assez lourde pour lui et découvrit l'environnement. Il trouvait cela bien banal comparativement au Paradis. Puis, il vit la demoiselle qui l'attendait. Il s'approcha avec ces petites jambes et lui dit avec un voix presque énervante à quel point il était aigu et surexcitante:

- Mademoiselle Nydelia, c'est bien vous? Bien sûr que c'est vous, je m'aurais pas trompé au tout début de mon évaluation. Je me nomme Napoléon. Je serai votre évaluateur pour votre prochain test!

Il fit un beau sourire et empoigna sa main pour faire les salutations. Puis, il n'attendit pas une seconde avant de la lâcher et reprendre la parole:

- Je sais, je sais! Gaël ne vous a rien dit. Il a été convoqué d'urgence au Paradis. Je n'en sais pas plus sur lui, ni à quoi il ressemble. Cependant, je vais être aussi exemplaire que lui et même plus encore.

Il regarda quelque seconde les yeux de l'ange et reprit parole sans laisser le temps à Nydelia de digérer ce qu'elle venait de recevoir en plein visage. Il utilisa sa magie de voir dans les esprit pour lire ses pensées profondes:

- Je vois que vous vous questionnez sur votre dernier test. Il est bien de connaître son passer et en tirer des conclusions. Chaque évènements de votre vie doit être plus sérieusement. Pour mieux s'identifier en tant qu'archange, il faut voir les forces et les faiblesses dans chacun de ses actes de la vie. Il ne faudrait surtout pas refaire encore et encore les mêmes erreurs sans arrêt. Ça serait une vraie perte de temps!

Puis, il regarda sa montre à gousset. Il venait de perdre des minutes précises. Il sursauta ce qui le fit lever du sol. Il empoigna la main de l'ange et commença à se précipiter vers l'extérieur.

- Nous allons être en retard si je continue de parler de la sorte. Attraper votre compagnon de route, car je vais vous emmené dans un endroit qui est très loin d'ici.

La pauvre Nydélia devait sûrement se questionner énormément sur ce qui l'attendait et ce drôle de type pas très normal. Il regarda le ciel. Puis, il mit un doigt dans sa bouche et le sortit pour sentir la direction du vent. Puis, il commença à se frotter les mains. Il sortit une toute petite pairs d'ailes de son dos. Cela était presque ridicule. Il s'envola comme une mouche pas très habille et alla dans le dos de Nydélia. Il l'attrapa en glissant ses bras sous ses bras à elle. Il poussa vers le haut, mais cela ne leva pas Nydélia. Il reprit sa chance et cela ne marchait pas.

- Vous êtes bien lourde ma chère... Milles excuses, je ne voulais pas paraître mal polie. C'est juste mon opinion. Bon, passons au plan deux.

Napoléon transforma ses ailes en des ailes immenses et disproportionnées. Il avait des ailes aussi grande qu'un arbre mature de chaque côté. Il donna un coup d'aile et les trois êtres s'envola comme si de rien était. Il volait très rapidement par ailleurs. Il avait eu se pouvoir en cadeau après de nombreux voyages au paradis. Les cheveux de la jeune dame s'envola dans le visage de l'archange qui trouvait cela bien désagréable, mais il ne dit rien. Après quelques secondes seulement, il ralentit et atterrit en face d'un centre pour personnes âgées. Le lieu était mossade et on pouvait voir des vieilles personnes qui attendait que le temps passe. L'archange alla en face de Nydelia et lui dit après savoir raclé la gorge:

- Tu vas devoir aider ses personnes âgées. Ils ne sont pas mourante bien sûr, mais ils sont comment dire... Dans un ennui mortel! Je vous laisse faire. Je me retire pour prendre des notes ma chère. Bonne chance!

Le drôle d'ange s'envola et disparu dans l'air. Il avait aussi la capacité d'être invisible.

Hrp: La tâche ici est simple: rendre ces personnes heureuses d'être encore en vie. Il y a plusieurs aspects intéressants à voir. Je te laisse deviner par toi même!

En ce qui concerne Napoléon, imagine un cupidon, mais avec le caractère du lapin dans alice au pays des merveilles.

Je venais de finir de manger, mais toujours aucune trace de Gaël, j’étais pour le coup assez ennuyer, est ce qu’il avait eu un problème ? je commençais à me demander si je n’allais pas allez voire directement dehors, quand le porte s’ouvrit, un jeune garçon entra et vient prés de moi, il se présenta sous le nom de Napoléon, il me disait qu’il serait mon nouvelle évaluateur, mais pourquoi ? ou était passez Gaël, ce n’est pas que je n’aimais pas ce Napoléon, après tout je ne le connaissais pas, mais C’est Gaël qui m’avait évalué depuis le début, alors pourquoi changer maintenant, en plus je l’appréciais quand même. Enfin, de tout manière, je ne serais peut être jamais pourquoi c’étais ainsi, si il avait été convoqué comme venait de me le dire Napoléon, ca ne me regardais pas vraiment et puis je n’avais pas vraiment le choix. Une chose était certaine, c’est qu’il ne me laissait pas le temps d’en placer une, mais bon pour la suite c’étais plutôt à mon avantage, il m’expliquait pourquoi j’avais fait ces rêve, c’étais bien un teste comme je m’y étais douter, mais je le trouvais inutile, bien sur je le comprenais, mais ca faisait longtemps que j’avais compris de mes erreurs et bien sur, jamais je ne contais les refaire, mais il était bon d’avoir revu certain passage, plus joyeux. Par conte, une gros inconvenant avec ce teste, c’est que maintenant, je pensais à ceux qui me manquait, les morts comme les vivants, ca risquait de me faire perdre ma concentration et ce n’étais pas bon. M’entrainant dehors, il me disait que nous allions être en retard si ca continuait, par conte question délicatesse, il n’était pas très douer, étant végétarienne, comment pouvait il me qualifier de lourde ? enfin, ils nous emmenaient bien plus loin, il volait assez rapidement, mais s’il me l’aurait demandé, je lui aurais dit que j’étais capable de le suivre, même si j’aurais du porter ielenia comme maintenant. On atterri devant un endroit ou il y avait beaucoup de personne âgée, j’étais assez étonné, j’avais entendue parler de ce genre d’endroit, mais j’en avais jamais vu, dans mon village on s’occupait de nos grand parents, comme eux c’étaient occuper de nous en faite et nous trouvions cela normal. Napoléon me dit qu’ils allaient bien, mais ils s’ennuyaient, je devais alors les occuper, enfin, leur rendre leur dernier mois plus joyeux. Mais comment pouvais-je faire ? je commençais alors a allez me présenter, puis allants prés des personnes qui s’occupait d’eux j’allais leur demander qu’est ce qu’il faisait de leur journée, la jeune femme me regardait légèrement embêter, je ne comprenais pas pourquoi, jusqu’au moment ou elle me répondit.

- Malheureusement pas grand-chose, on manque de personnelle, du coup nous ne pouvons pas nous occuper d’eux comme on le faudrait, on sacrifie alors les activités pour les soins, je sais que ce n’est pas l’idéal, mais nous n’avons pas le choix.

Bien sur, ils ne pouvaient pas négliger leur santé, mais la plantée mentale était aussi importante que la santé physique. Alors je décidais de faire un tour dans les environs, mais d’abord il fallait les faire patienté, mais comment je pouvais faire ca ? ils étaient plutôt en bonne santé, alors je pris un bout de papier et commençais à noter des questions avec leur réponse, rien de trop compliquer, mais quelque chose qui les aideraient à faire à travailler leur mémoire, je donnais le tout à un membre du personnelle et lui demanda de prendre le temps dix minutes de leur faire cette petite activité. J’avais bien choisi les questions, certaine donnait des réponses assez marrante et je contais la dessus. Je les aidais à tous les rassemblée aux pieds d’un arbre en fleures et m’envolais après vers le village, je cherchais en faite une école et heureusement il y en avait une, je demandais alors d’allez voir une classe ou les enfants était assez vieux pour comprendre ce qu’étais une personne âgée et on m’y conduit.

- Bonjours, après avoir discuté avec votre professeur, on va vous organisé une petite sortie, vous allez venir avec moi rencontrée des personne respectable, elles ont besoin de compagnie et ca leur ferait plaisir de partager leur souvenir avec vous.

Les enfants semblait enthousiasmé, certain même proposais que ca pourrais devenir un sortie hebdomadaire, une fois tout les détaille arranger, je repartis les voire, un léger sourire était apparu et je pris la place de l’employer. Je leur proposais alors de me dire ce qu’ils aimeraient faire, leur avis était le plus important, je ne pouvais pas leur imposer quoi que ce sois, comme beaucoup était valide, certain proposèrent un jeu de mime, on fit alors deux équipe, une qui cherchait les idées, pendant que l’autre mimerais, puis on inverserait, j’adorais entendre leur idée, certaine était assez loufoque. On mit alors le tout en jeu, j’avais veillé à faire des équipe équitable, car même si ils étaient peut nombreux, il y avait des non valide, alors on essayait de trouver des choses minable pour eux aussi, je ne voulais pas qu’ils se sentent exclu. Quelque minute après, j’entendis les enfants arriver, j’avais demandé qu’il aille le nombre d’enfant égal au nombre de personne âgée, ainsi chacun allait veiller sur une personne, les résidents étaient ravis. Sauf un, malgré l’effort de l’enfant, il ne se montrait pas particulièrement joyeux, j’allai alors prés de lui pour voir ce qu’il ce passait. Son petit fils ne venait plus le voire, il ne savait pas pourquoi et ca l’inquiétait, il savait que son fils et sa belle fille était morte, mais il ne savait rien pour lui. Je le laissai seul un petit temps et reparti au village, les employer m’avais dit ou il habitait. Une fois arrivé il m’ouvrit, heureusement il n’avait rien. Je lui expliquai alors ma présence ici.

- Je ressemble comme deux gouttes d’eau à mon père, j’ai peur que quand il me voie je lui fasse trop pensé à lui. Mais c’est vrai qu’il me manque.

Je lui expliquais qu’il manquait aussi à son grand père et que même si il lui ressemblait il ne devait pas couper les ponts avec lui, ca leur faisait du tord à tout les deux. Avant de repartir avec lui, je demandais à certaine personne de faire circuler que l’endroit cherchait des personnes afin d’assuré un minimum d’activité. Retournant prés d’eux, j’allais leur demander ce qu’ils aimeraient faire et préparaient en même temps une liste que je remettrais au personnelle, il ne fallait qu’une fois partie, ca redevienne comme avant. Vers la fin de journée, avant qu’ils ne doivent tous rentrée, on organisa des chants, tout le monde participa dans la bonne humeur et j’en étais très content, tous semblait plus joyeux et j’espérais que ca allait continuer, chose qui du leur étonnée, je leur demandais ou on était, je contais bien revenir un jour, vérifier et puis passé encore un peu de temps avec eux.

Spoiler:

Napoléon regardait la scène et hocha la tête sans arrêt presque. À chaque point qui semblait intéressant, il le notait dans son petit livre avec une grande plume. La plume lui chatouillait parfois le nez et il éternua. En étant en plein vol, cela le fit projeter par en arrière. Il reprit son équilibre après le jet d'air projeté. Il revient à sa position et continua d'écrire. La plume chatouilla à nouveau et le fit éternuer une seconde fois. Cela ressemblait presque à un jeu si nous nous mettions dans la peau d'un enfant. Cependant, il prenait la situation très au sérieux. Il ne voulait pas déplaire ces supérieurs. Puis, il chercha un mot à mettre dans son livre. Il se gratta le fond de la tête avec sa plume ce qui fit une belle marque d'encre sur sa tête, mais il n'avait pas penser au conséquence de son geste. Il continua d'écrire. Puis, il regarda sa monte. Cela était long... Le temps était en train disparaître et chaque seconde est importante. Plus le temps passait, plus il sentait son stress monter. Il ne supporterait pas d'être un professeur. Il était un homme d'affaire respecté malgré sa carrure. Puis, la tâche fut enfin terminé, il fit un soupire de soulagement et descendit de son «nuage». Il réapparu du monde pour rejoindre l'ange. Cependant, les enfants étaient toujours là et ils prirent la parole avant:

- Est-ce que vous êtes un enfant? Je n'ai jamais vu un enfant qui semblait aussi vieux...

Napoléon était presque outré d'entendre cela. Sa taille était son point faible et il n'aimait pas trop qu'on rit de cela. Il se mit la tête bien droite et dit au jeune homme qui semblait rire de sa taille:

- Mon cher jeune homme! Je suis une personne beaucoup plus vieille que vous pouvez l'imaginer. Je suis plus vieux que lui.

L'ange pointa un homme dans la foule. Il s'agissait d'une personnage âgée qui avait dépassé le centenaire. Puis, il arrêta la conversation avec le jeune homme. Il perdait trop de temps en discutant avec. Il marcha vers Nydelia et lui dit d'une voix assez autoritaire:

- Bien, ma chère! Il semble que vous avez réussi cette tâche. Notre destination sera assez différente de tout ceux que vous avez rencontré à date. Nous allons nous rendre dans les Cieux. Le comité des anges supérieurs vous attends. Nous avons plus de temps à perdre!

Il s'envola, mais il se retourna au niveau des yeux à Nydelia.

- Cependant, vous ne pouvez pas l'amener avec vous. Seul les anges avaient le droit de venir dans ce lieu spécial. Dites-lui au revoir et suivez moi!

L'archange s'envola dans le ciel vers les nuages. Le chemin était assez loin et long à se rendre. L'archange vola le plus rapidement possible, mais Nydelia allait sûrement la rejoindre même s'il avait pris de l'avance. Il n'avait que des petites ailes sur son petit dos, alors cela avait moins de porté qu'un ange normal. Rendu dans un nuage, un escalier se forma au travers. L'archange mit pied à cette endroit et commença à monter les marches une à une. Il y en avait beaucoup. Cependant, il semblait être habituer de voyager sur les nuages. À chaque marche qu'il faisait, il sentait un poids en moins. Il allait bientôt finir sa tâche. Puis, un homme l'attendait en haut. Il s'agissait de Gaël avec un large sourire. Il comptait être là le moment venu. Il avait eu sa punition. Il allait être confiner au Paradis pour un certain temps. Le voyage sur terre serait plus tard. Il ouvrit ses bras en voyage Nydelia et lui fit un accolade en signe de bienvenue.

- Je m'excuse de ne pas être venu pour ton dernier test, mais je dois suivre l'ordre des supérieurs. Ils m'ont permis de venir te voir avant de faire ta dernière évaluation. Je te souhaite bonne chance et soit toi-même. Je sais que tu es capable de le faire et souviens-toi de plus de choses possible.

Il lui fit un dernier sourire avant de monter les dernières marches avec Napoléon à ses côtés. Les deux archanges se rendit à gauche de la salle qui était assez grande, mais ennuyeuse. En effet, il n'y avait que trois grand bureau devant eux et un planché. Il y avait une lumière dans le centre de la pièce. Il s'agissait de l'emplacement où elle devait se rendre. Lorsqu'elle fut sur l'endroit approprié, trois formes lumineuses s'installa. Il s'agissait des êtres supérieurs. Il restait qu'une tâche à faire et ils tenaient à lui faire passer. La voix central prit parole:

- Mademoiselle Nydelia Yuka, nous vous souhaitons la bienvenue! Nous sommes ici présent pour vous donner votre grade d'archange. Cependant, il vous reste une tâche à faire. Nous avons une question pour vous et cette question décidera de votre avenir... Là voici:

« Vous, Mademoiselle Nydelia Yuka, méritez de devenir archange?»

Les trois êtres lumineux ainsi que les deux évaluateurs restèrent silencieux et attentif à tout parole et geste de sa part. Un silence total se laissait entendre pendant l'attente.

Napoléon arriva quelque instant après, il semblait pas mécontent d’avoir enfin fini, il m’avais semblée être quelqu’un d’assez pressée, dans un sens c’étais dommage, car j’aurais bien aimée rester un peu plus longtemps ici, tout comme avec les enfants, j’avais du m’occuper de vie et c’était pour moi le plus important, ils n’étaient pas en danger immédiat, mais en même temps, c’étais une amélioration de leur train de vie qui m’avait été demander et pour moi c’était bien le plus important que j’avais du faire, le plus important, mais le plus difficile aussi, il est tellement simple de réglée le problème quand il se trouve juste devant notre nez, mais quand nous devons le chercher, c’est une tout autre histoire. Des enfants c’étais approcher de Napoléon, une d’eux lui demanda même si c’était un enfant, pendant qu’il était en train de lui expliquer, je dus me retourner pour éviter de rire, à mon avis, vu sa réaction, ca na lui aurait vraiment pas plus, mais bon la réaction de l’enfant était normal et tellement adorable. Me disant que j’avais réussi, il me dit que nous allions allez dans un autre endroit un peu particulier, il voulait m’emmener à l’endroit ou se trouvait les anges supérieur, je le regardais un instant surprise, c’étais fini ? Je ne comprenais pas vraiment pourquoi je devais allez la bas maintenant si ce n’étais pas le cas, j’allais enfin savoir si oui ou non j’avais réussi ? Je dois bien avouer que je n’étais pas mécontente de savoir que le teste allais enfin être fini, enfin est ce que c’étais vraiment le cas, j’en étais pas certaine, malheureusement pour moi, Napoléon se tourna vers moi pour me dire qu’elle ne pourrait pas m’accompagnée, je trouvais ca dommage, je voulais qu’elle vienne, mais je ne pouvais pas jeter tout mes effort par la fenêtre par un simple caprice non plus, je me retournai alors vers ielenia.

-Désolé ma belle, mais il vaut mieux que tu m’attendes ici, j’espère revenir vite, soit patiente d’accord et souhaite moi bonne chance.
*Tu n’a pas besoin de chance tu dois juste être toi-même et surtout faire ce que tu à toujours fait, ne pas prendre tout cas comme un teste, je te fais confiance, reviens moi vite et plus forte s’il te plaie, courage.

Je l’adorais littéralement, lui caressant la tête, je commençais à rattraper Napoléon, me demandant comment ca allait passer, on ne rencontrait pas souvent des anges supérieur. On arrivait devant des nuages, mais ils se transformèrent en escalier et on commençait à les monter, il y avait beaucoup de marche et je n’en revenais pas qu’un tel lieu existe. Je ne pu cacher mon sourire quand je vis Gaël au sommet, après tout, c’était lui qui m’avait vraiment évalué, alors j’appréciais qu’il soit présent, ca m’apaisait un peu. Me serrant dans ses bras il m’expliquait qu’il lui avait été “ permis“ est ce qu’il y avait eu un souci ? il conforma par conte que j’avais bien un dernier teste à passé, mais de qu’elle genre serait il, surtout si il me demandait d’essayer de me souvenir de tout. On entra dans une immense pièce, on me dit d’allez mes mettre dans la lumière et trois ange apparue, après m’avoir salué, ils me posèrent mon ultime teste, est ce que je me sentais méritante pour devenir archange, une des plus hauts grades de notre hiérarchie ? je pris mon temps, ce n’étais pas quelque chose que je devais répondre vite, l’important c’était les arguments, sentant le stresse monter en moi, je fermais les yeux, pensant au personne qui croyait en moi. Gaël m’avait demandé de ne rien oublier, d’accord, j’avais saisi que je devais faire un résumé de tout ce que j’avais vécu en faite. Mais comment mettre des mots sur tout les teste qu’ils m’avaient fait subir, ils en avaient tellement.

-Pour devenir archange, il faut d’abord être sois même, mais il ne faut pas essayer de cacher nos défaut, plutôt les combattent, être nous même permettra au autre de mieux nous faire confiance et à nous d’être plus honnête avec moi-même. Il ne faut pas oublier non plus que être archange apporte certain responsabilité, et même si ils sont puissant, il aura toujours une situation ou une autre à laquelle il ne pourra rien faire et on ce dois de l’accepter. Il faut aussi savoir gérer des situations des crises, aider les autres peuples est quelque chose de primordial. La persévérance est aussi quelque chose de très important, comment pourrions-nous aider quelqu’un efficacement, si nous abandonnons après quelque instant ? il faut aussi éviter de juger au premier coup d’œil, oublier nos préjugée et prendre les bonne décisions, sans rancune dans nos cœur, ca ne pourrais mener cas la haine. Il faut aussi savoir s’organisé, des fois en des moments de crises, on devra trouver les priorités et commencer par elle, il faut donc savoir rester calme dans la tourmente et réfléchir au meilleur moyen d’aider ceux qui nous entoure, savoir trouver les mots juste aussi et surtout savoir écoutée les autres. Apprendre de notre passé permet de mieux avance dans le présent et avoir un future plus juste. Enfin quelque chose d’important aussi, tout être qu’il soit pauvre, vieux, malade ou infirme, à le droit au bonheur et à l’amusement. Nous ne devons négliger personne et protégée ceux qui en on besoin. Tout ces chose je les ai appris ces dernier jours, ces teste son éprouvant et mette nos nerfs à rude épreuve, mais je crois avoir réussi à montrée que j’étais volontaire et que je ne laisserais personne dans le besoin, bien sur, je ne sais pas ce que vous en pensée et ce n’est pas la question, mais sachez que j’ai fait de mon mieux, pensant à leur bien être et à ce qui était mieux pour eux. Est-ce que j’estime être en droit de devenir Archange ? je ne suis pas le genre de personne qui va vous réclamer ce rang, tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai fait de mon mieux et j’espère que vous le comprendriez ainsi.

J’avais parlé d’une voix assurée et posé, essayant de dissimuler au mieux mon anxiété, j’espérais avoir réussi à leur explique comment je voyais les choses. Bien sur intérieurement, j’étais complètement paniquée, être ici devant eux était quelque chose d’assez impressionnant.

Les archanges regardèrent Nydelia. Elle semblait déterminé tout en vivant ses émotions à l'intérieur d'elle. Il y avait des moment où il fallait apprendre à retenir ses émotions comme en ce lieu. Napoléon avait toujours l'air aussi pressé. Il regardait sa montre sans arrêt. Il se disait intérieurement qu'il était en retard et qu'il allait avoir une pile de papiers sur son bureau qui allait l'attendre. Il était stressé juste à l'idée de voir son bureau. Il tappait légèrement le sol et Gaël trouvait cela très irrespectueux. Il le regarda d'un air sévère et l'archange Napoléon arrêta son geste en faisant un sourire signe de malaise de sa part. Gaël était absorbé par ce que sa recrue avait dit. Il était fier d'elle. Il n'aurait pas espérer mieux de sa part. Elle avait retenu la moral. Il avait la conviction qu'elle allait avoir son poste d'archange. Lorsqu'elle finit son monologue, Gaël était convaincu que les supérieurs prendraient une bonne décision. Tous se retournèrent vers les archanges supérieurs. Il y avait des petits murmures qui se faisaient entendre. Il parlait d'une langue inconnu de tous comme si les supérieur avait créés leur propre langue. Il devait prendre un consensus. Tous gardèrent le silence. Après deux minutes de très longue attentes, les archanges se penchèrent vers Nydelia et dit d'une voix céleste:

- Mademoiselle Nydelia Yuka, au cours de votre évaluation auprès de l'archange Gaël et l'archange Napoléon, vous avez démontrer vos forces et vos faiblesses. Vous êtes braves et courageuses. Vous nous avez surpris par votre détermination auprès des personnes en besoin. Les Cieux ont besoin d'archange comme vous. Vous avez réussis votre évaluation. Je vous félicite!

Les applaudissements se firent entendre. Il fut commencé par Gaël qui n'attendait que ce moment pour applaudir. Il avait un visage lumineux et un sourire aussi grand que son visage presque. Napoléon, quant à lui, applaudissait, mais avec des petits coups de mains. Il allait un peu plus vite que Gaël, mais il n'avait pas autant de coeur que ceux de Gaël. Pendant ce temps, les anges supérieurs descendirent de l'estrade pour se mettre au niveau de Nydelia. Les trois sortirent trois épée différentes qui avait chacun un sens: empathie, amour et loyauté. L'archange du centre leva la main devant Nydelia et cela fit qu'elle tomba à genou. Elle n'avait pas vraiment le choix. Par ailleurs, cela fit en sorte que ses ailes sortirent de son dos automatiquement. Les trois anges supérieurs pointa le centre du dos de l'ange Nydélia et dire de leur trois voix qui ne firent qu'une:

- Nous, les archanges supérieur, glorifions Nydelia Yuka en tant qu'archange. Que la voix des Cieux te guide dans tes missions futurs!

Puis, une forte lumière apparu dans la salle aveuglant tout ceux qui osait la regarder. Les ailes de Nydelia changea soudainement pour devenir plus belle et plus blanche que jamais. Elle avait maintenant obtenu son grade tant convoité. Les anges supérieurs enlevèrent leur arme et les déposa dans leur étuis. Ils s'inclina pour saluer la nouvelle archange de ce monde qui était libérer de leur emprise. Puis, la porte derrière elle s'ouvrit et des escaliers se firent leur apparition dans les nuages.

- Vous pouvez rejoindre les vôtres désormais. Gloire à vous!

Les anges supérieurs passèrent à travers d'une porte qui se formèrent devant eux. Napoléon les suivirent de très prêt. Il était vraiment pressé. Gaël, quant à lui, alla voir Nydelia et lui offrit le plus beau des sourires.

- Toutes mes félicitations, ma chère. Je n'aurais pas dit mieux. Nos chemins se quittent ici. Je vous souhaite bonne chance dans l'avenir et s'il y a quoi que se soit, je serai à ton écoute. Sur ce, bonne chance!

Il lui offrit un accolade et partir tranquillement vers la porte. Lorsqu'il passa, la porte se referma derrière lui. Il n'y avait désormais plus personne sauf Nydelia dans ce lieu qui devenait de plus en plus similaire à un nuage. Une histoire qui finissait bien on peut dire.

Hrp: Voilà, j'ai fini pour ma part. J'ai été heureuse de faire ton Pnj et je suis désolé si cela a pris plus de temps que prévu. Bonne chance dans ton ascension parmi les grands.