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 Chasse au trésor entre amis. [PV Cocoon]

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Ven 27 Juil 2012, 21:52

J’attendais depuis quelque jours déjà, Elise m’avais demandée d’allée lui cherchée une plante qui ne poussait que sur le continent du matin calmée, dans le foret du savoir plus précisément, seulement ca n’avais pas été évidents, j’avais du la chercher pendant une semaine entière et que je l’eu enfin trouve, je du bien prendre garde a ne pas abimée l’arbre sur le quel elle poussait pour permettre a de nouveau bourgeon de naitre.
Je me retrouvai alors au port, coincée car le prochain bateau pour le continent naturelle ne partais que dans une semaine, je l’avais malheureusement ratée de peu.
Et pour bien rajoutée a ma mal chance, cette endroit compilais tout ce que je détestais, des ivrognes, des mercenaires, des bagarreurs, j’avais développée une certaine habilitée d’esquive a force d’évitée tout ce qui passait par les différentes fenêtres des habitations
De la journée j’allais examinée les différent bateaux, il y en avait de toute sorte, mais un qui attirais particulièrement mon regard étais un énorme paquebot blanc, il était magnifique et même si je ne souhaitais pas a ce qu’il m’appartienne, je m’avouais quand même, que j’aimerais un jour, faire un tour dans un bateau comme celui-ci, bien sur il était agréable de volée, mais je n’avais jamais naviguée.
Je rentrais a l’auberge, c’étais la plus convenable que j’avais trouvée, mais je n’avais pas prévu assez d’argent, je ne pensais pas devoir passée une semaine ici, alors j’avais discutée avec propriétaire des lieux, je voulais bien travaillée pour lui, je lui demandais pas de salaire, juste une chambre pour moi et Ielenia et de quoi me nourrir, il avait accepté avec plaisir, car actuellement il y avait plus de monde que habituellement.
Vu l’endroit j’aurais vraiment pu tombée plus bas, la patron étais vraiment sympathique, il ne m’avais pas donnée une chambre tout mytheuse comme je m’y serais attendue, mais au contraire il m’avais donnée une des rare chambre avec une pièce d’eau, tout les matin j’avais un déjeunée chaud et le soir je pouvais mangée chaud aussi, il n’y avais que a midi que je devais me débrouillée, mais comme je l’aidais en cuisine il me laissait manger deux trois petit truc qui me coupais ma faim jusqu’au soir. Ielenia par conte devais chasse, mais ca ne la dérangeait pas, souvent elle restait prés de moi et c’étais temps mieux, car il y avait des personnes qui ne ce gênait pas en ce lieu.
J’étais en train de service un groupe de brigands, je du me penché pour ramassé un verre qui étais posé un peu plus loin sur la table, quand je sentis qu’un d’entre eux c’étais permis de me mettre la main au fesse, je me retournai pour lui demandé d’arrêtée, mais Ielenia avais été plus rapide, elle lui avait chopé le poignet et le tenais bien fermement dans les mâchoires.
LE patron arriva en courant, je demandai rapidement a Ielenia de la lâchée.

-Je sais que tu fais ca pour moi, mais ce ne va pas, tu vas nous attire des problèmes.

Je m’excusai auprès de mon patron, j’avoue que je ne le fis pas auprès de l’homme qu’elle avait mordu.

-Ce n’est pas grave, je savais que tu risquais d’avoir ce genre de problème au moins elle te protège, monsieur je vous demanderais de quitter mon établissement au plus vite.

Je me retournai alors vers Ielenia, mais elle n’était plus prés de moi, elle venait de courir vers l’entrée et sautée sur un nouvelle arrivant, le faisant tombée, mais que lui arrivait elle? Je m’approchai et je fus surprise de voir qu’elle ne l’attaqua pas au contraire, elle était en train de lui léchée joyeusement le visage, quand le client arriva enfin a l’écartée, je reconnu ses yeux entre mille, Ielenia avait du reconnaitre son odeur. Je me penchai pour l’aidée a se relevée.

-Ca va rien de cassé?.

On ne pouvait pas dire que je n’étais pas heureuse de le revoir, je devais rayonnée de bonheur d’avoir croisée une bon ami.
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Sam 28 Juil 2012, 00:14

Cocoon avait entendu pas mal de rumeurs sur des vieux loups de mer, recrutant quelques bras sur les quais pour décharger. A cette époque de l'année les docks étaient remplie de docker, et les marins se hâtaient de faire les préparatifs pour vite reprendre la mer. L'orisha faisait partit des dockers, engagé pour vider les cales. A part sur des bateaux de "croisière" il n'avait encore pas croisé de femme. Enfin de "marines". Chaque jour qu'il travaillait il se demanda s'il allait un jour en voir une. Malgré tout il travaillait dur, se levant tôt à l'aube, et ne rentrant que pour l'heure du dîner à l'auberge. Cela faisait quelques jours que ça lui faisait les bras et il avait pas mal de courbature au niveau du dos. Il avait de plus en plus mal à la colonne vertébrale, et il fallait qu'il consulte un docteur dans les plus brefs délais, pour ne pas que ça s'empire. Une simple magie ne pourrait le guérir. Malheureusement il y avait des fois où il fallait s'en remettre à la science, comme dans ce cas là. Il savait son formateur bon docteur, mais c'était avant tout un sorcier et jucher dans une tour haute comme le diable, qui plus est. Alors quitte à marcher des heures et combattre mille fléaux, il préférait de loin payer un professionnel lambda. Le soleil était dur et brûlant, mais le vent marin savait l'apaiser. Mais Cocoon était un orisha et les dockers qui avaient la peau tannée par ce cagnard, savait que la race de l'homme aux yeux différents, ne risquait rien des brûlures de l'être divin. Parfois même ils leurs arrivaient de plaisanter sur lui. Le racé affichait plus un rictus ironique qu'un vrai sourire, ou un rire franc. Malheureusement il ne savait pas sourire ni rire... Peut être bientôt qui sait ? Avec tous les gens qu'il rencontre, il va bien y en avoir un qui allait le faire sourire.

Dès que la soirée arriva, la nuit tomba vite. L'air iodée de l'océan se fit mordant. Cocoon enleva le bandana retenant ses cheveux, et se changea dans la cale d'un bateau, avant de partir. Pour que cela soit plus confortable, voir économique -mais ça, ça restait à prouver- il avait décidé de loger à l'auberge se trouvant le plus proche de son lieux de travail. Sa besace sur son épaule, il se dépêcha de rentrer, ne voulant pas plus traîner dans le quartier. Il n'avait pas d'armes sur lui et ne préférait pas tenter les coquins du coin. Alors qu'il allait passer lourde porte en chêne de son logis commun, un homme sortit en courant, le bousculant d'un coup d'épaule. Mais voilà qu'à peine avait-il franchi le pas de porte, qu'une boule blanche lui sauta dessus le déséquilibrant pour de bon. Il se retrouva malgré lui sur les fesses, se faisant câliner par une boule de poil douce.

-Ielena ?

Il lui rendit son affection avant de lancer :

-Si tu es là, je pense que ta maitresse ne doit pas être loin.

Et à peine avait-il dit cela, qu'une main se tendit vers lui, et un rire d'ange, qu'il aurait reconnu entre d'autres, se fit entendre.

Citation :
-Ca va rien de cassé?
Il leva vivement la tête, et vit Nydelia lui tendre sa main amicale. Cocoon la saisit doucement se relevant plus grâce à l'aide de ses jambes et ses muscles, que sa main à elle. Car s'il s'aidait d'elle, elle finirait par terre à son tour. Une fois debout il se mit à une table comme d'habitude. Le patron lui fit un signe de tête que l'orisha lui rendit. Une fois que l'ange fut en face de lui, il réalisa qu'elle était là. Et puis une douce chaleur envahit son corps. Elle l'enveloppa d'un léger bien être apaisant naturellement son stress et sa nervosité venant de la dure journée de travail. Quand cette source se répandit dans tout son corps, réchauffant légèrement son sang, et atteignant son cerveau, il leva ses yeux vers elle.
Il était heureux de la revoir. "Heureux ? Pouah, je vais vomir... Espèce de gros nounours mielleux !" ...évidemment, faut toujours que l'autre casse tout.
Malgré tout, ça ne lui coupa pas le bonheur succinct qui l'envahissait. Une fois son repas apporté, il bu une gorgé de son breuvage et dit à sa compagne :

-Alors, je vois que tu travailles ici... Ca fait longtemps ? Je ne t'avais pas vu avant. En même temps faut dire que je rentre plutôt tard d'habitude.

Elle lui sourit. Il s'en voulait de ne pouvoir le lui rendre. Puis vu qu'elle repartit au service, au pas de course, Ielena vint s'asseoir près de l'orisha.

-Alors ma grande, qu'est ce qu'une belle ange comme elle fait dans une taverne rempli de raclures et de pouilleux comme eux ? Il murmura : Ou comme moi...

Il la regarda malgré tout, espérant une réponse, mais il n'eut qu'en retour sa tête velue et douce sur ses cuisses. La renarde était allongée sur le banc regardant avec attention le jeune homme.

-T'approche pas trop, je ne me suis pas encore lavé.

Nydelia passa devant lui, ayant surement entendu sa phrase et, le taquinant, agita en souriant une main devant son petit nez, présageant une mauvaise odeur environnante. Puis elle repartit en riant pour prendre d'autre plats à distribuer.
Il était vraiment heureux de la revoir.

-Elle va s'attirer des ennuis avec sa robe blanche et ses habits divins... Tu ne pense pas ?

Et alors qu'il regardait la petite tête de la louve, elle se mit à grogner. Pourquoi était-elle si agressive vers lui tout à coup ? Mais elle se releva bien vite et la suivant du regard, Cocoon vit un gros ivrogne, attraper la longue robe de l'ange. Cette dernière essaya de s'échapper, en prenant plus ou moins soin de ne pas arracher ses vêtements. L'orisha se leva et en un coup de main sur l'épaule du gros crasseux, il le fit lâcher le vêtement. Se mettant ainsi devant Nydelia, l'ivrogne se mit à rire grassement, s'étouffant sur la fin. La jeune femme, resta prudemment derrière l'orisha. Quand le soulard vit que son adversaire ne riait pas, il se ravisa et lui tourna le dos, croupissant dans son coin. La jeune femme le remercia et alla finir son service. Il regarda Ielena, faisant passer le message de protection. Il comptait sur elle pour surveiller l'ange.
Vu que la nuit était tombée lorsqu'il fut dans l'auberge, il entra dans une pièce au fond de l'auberge, près des cuisines, à la lueur de la bougie. Il en alluma un bon paquet pour faire une éclairage décent et une fois la porte refermée, les bruits et les rirent s'estompèrent. Quel monde ce soir ! Il se débarrassa de ses vêtements de travail et plongea dans la bassine d'eau chaude spécialement préparé pour lui. Il y resta un moment, se frictionnant vigoureusement par moment, mais se prélassant. Bien que son empathie fut en sourdine, il détecta deux présences s'approcher. Le bruits avait cessé et juste les pensionnaires restèrent là à discuter. Quand la porte s'ouvrit doucement, il avait les yeux fermés, et la tête légèrement penchée en arrière. Un rictus s'afficha sur ses lèvres.

-Tu prends des risques toi...

Il ne prit même pas la peine de bouger et ajouta.

-Rentre et ferme la porte, ce serait fâcheux que quelqu'un d'autre arrive...

"Pudique toi ? Pfff... Jamais ! enfin, merci la mousse hein ?"
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Sam 28 Juil 2012, 01:07

Il se releva, bon je sentis qu’il ne mettait pas de force pour tirée, en même temps si il l’aurait fait on aurait eu l’air bien tout les deux assis sur le sol. Il alla alors s’assoir a une table, le patron servi un verre et me fit signe de lui apportée, en même temps que je devais débarrassée sa table.
Puis je m’éclipsai en cuisine, je patron voulais me mettre un peu a l’abri de regards, au moins le temps des soupers, je m’attelais a la tache et fis une assiette un peu plus copieuse pour Cocoon, le patron s’étonnais de ne plus voir Ielenia prés de moi, alors que depuis que j’avais commencée elle ne m’avait pas quittée d’une semelle.

-Oh, c’est par ce que l’on connaît Cocoon, on a voyagé un petit temps ensemble et on est devenue très proche, il la sauvée alors elle est énormément attachée a lui.

Le patron souri, je n’avais pas imaginée trouver un gars aussi sympa dans ce genre de lieu, une fois toute les assiettes servie on distribution ensemble les repas, j’apportai la sien a Cocoon qui me questionna sur ma présence dans cette endroit.

-J’ai raté le bateau pour rentrée chez moi, comme je n’avais pas les moyen de me payer une chambre j’ai propose d’échanger le prix contre un travail, j’ai commencée seulement hier, mais j’ai été me couchée tôt, je n’ai pas a me plaindre i lest vraiment gentille.

Gentille oui, mais faillait pas que je traine, je reparti rapidement continuée mon service, c’étais étonnant le nombre de personnes que l’on avait ce soir, je comprenais pourquoi il avait accepté de m’engagée, il ne s’en serait jamais sortie seul, je courais partout, jetant de temps en temps des coups d’œil a mes deux amis, je vi que Ielenia avais posé sa tète sur ses genoux, elle devait être aussi contente que moi de le revoir.
En apportant un verre a la table voisine il fit une remarque comme quoi il n’était pas lavée, je fis donc une mimique qui amusant au passage ma louve.
Je sentais son regarde dans mon dos, puis un grognement lointain se fit entendre, que lui arrivait il ?
Je compris quand un homme attrapa ma robe, j’essaya de ma dégagée mais rien a faire, Cocoon vient a m’on aide, il montra a cet homme qui valait mieux me lâchée, je n’avais pas peur pour lui je savais de quoi il était capable, mais je préférais qu’il n’aille pas t ennui, l’ivrogne se retourna alors et continua a boire son verre, je remercia l’orisha et le patron m’interdisais dorénavant de lui servir la moindre goutte d’alcool et me conseilla de chercher de nouveau habits pour le lendemain, moins volant.
Je du allée préparée le bain de monsieur, j’avoue que la situation me faisait rire, bah être au petit soin pour lui étais un digne remerciement pour l’aide qu’il m’avait apportée.
Pendant qu’il commençait à prendre son bain j’allai d’un table a l’autre, j’espérais vraiment qu’il n’irait pas se couchée avant que je le voie correctement.
Enfin le dernier client étais partie, Ielenia étais assis prés de la porte au Cocoon prenais son bain, le patron voulais allez le faire sortir pour pouvoir tout fermée.

-.Laissée je m’en occupe, allez couchée, je m’occuperais de fermée, j’ai encore pas mal de table a débarrassé.

Il me remercia et disparu a l’arrière ou se trouvais sa maison qui étais directement attachée a l’auberge.
je m’approchai alors de la porte je voulais juste lui demandée de ne pas trop trainée, mais Ielenia utilisa ses patte pour ouvrir la porte et entra dans la pièce.
J’entrai a sa suite pour la faire sortir, quand il lâcha que je prenais des risques, décidément il n’avait pas changée celui la.
Je savais qu’il était dénudée, encore heureux qu’il y avait assez de mousse pour tout cachée, mais je détournais la tète, encore heureux que ses yeux étais fermée car si non il m’aurait vu rougir. Il me demanda de fermée la porte, mais je n’en fis rien.

-Désolée, mais le patron est parti ce couchée, je lui est dit que je fermais, j’ai encore quelque table a debarassée, on parlerais dans un endroit plus convenable après si tu le veut bien, de plus il n’y a pas baucoup de clients qui on pris une chamber ce soir donc on pourra restée en bas si tu le desir.Puis je rajouta malicieuse. -En faite pourrais je savoir quel genre de risque parlez-vous monsieur l’orisha ?

Je sorti alors et termina de débarrassé la table, il m’en restait deux quand il sorti enfin de la pièce d’eau commune, j’allais pouvoir la rangée et me reposée.
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Sam 28 Juil 2012, 02:01

Citation :
-Désolée, mais le patron est parti ce couchée, je lui est dit que je fermais, j’ai encore quelque table a debarassée, on parlerais dans un endroit plus convenable après si tu le veut bien, de plus il n’y a pas baucoup de clients qui on pris une chamber ce soir donc on pourra restée en bas si tu le desir.

Elle doit fermer ? Hum... Ce n'était pas très prudent de la laisser seule, mais au vu du monde qu'il y avait, autant dire qu'il n'y avait pas de risques. Il gémit légèrement :

-Déjà... ?

Mais elle enchaîna :

Citation :
-En faite pourrais je savoir quel genre de risque parlez-vous monsieur l’orisha ?

Mais avant qu'il n'ait pu faire quoi que ce soit, elle sortie en refermant la porte.
Cocoon finit par sortir du bain, bien décrassé, et enfila un débardeur et un pantalon. Il mit ses affaires dans son sac et sortit de la pièce. Attendant que l'ange finisse ses travaux, il s'assit sur un banc, buvant un grand verre d'eau désaltérante. Il se courba en arrière légèrement, en essayant de faire du bien à son pauvre dos endoloris, sans succès. Une fois la taverne rangée, propre, et fermée pour la nuit Nydelia se laissa tomber sur le banc en face de lui.

-Tu préfèrerais pas qu'on monte ? J'ai un mal de dos...

Il se leva et, tout en gardant ses pieds fixes, tourna violemment son bassin. Sa colonne vertébrale craqua en un fracas d'os. Un bruit répugnant... Elle l'emmena vers sa chambre. Le grand palace. L'orisha siffla, dénotant ainsi le confort princier de la pièce. Lit double, salle d'eau personnelle, une coiffeuse, et d'autre meubles étaient là. Quand il fit quelques pas, il regarda par terre. Un beau tapis était posé sur le sol et juché quasiment tout le parquet.

-Eh bha... Tu verrais où je dors moi... C'est bien que le tavernier t'ait mise ici, tu n'as pas besoin d'aller te laver en bas, là où passent tous les ouvriers. Enfin, ceux qui veulent bien se laver.


Il se laissa tomber sur le lit. "Roooh puis confortable en plus...!" Son dos hurla de douleur lorsqu'il se coucha, mais ceci passa assez vite, et toutes liaisons nerveuses se turent. Enfin tranquille. Nydelia vint s'asseoir à ses côtés. Cocoon se tourna sur le dos et dit :

-Tu m'as dis que tu devais rentrer chez toi, mais qu'es tu venu faire ici ? Ce n'est pas vraiment la meilleure partie du continent...

L'orisha la vit allumer quelques bougies pour éclairer la pièce. Ielenia se trouva un coin tranquille et confortable pour s'y poser, attendant que sa maitresse se pose.

-Y a une rumeur qui circule sur les docks. Je travaille la bas, depuis environ une semaine, et y a pas mal de jeunes gars qui raconte qu'un vieux type a laissé une carte et des indications pour un soi disant trésor enfoui quelque part dans les environs. Parait qu'il est mourant même... Tu y crois toi à ce genre de chose ?

Il réfléchit quelques secondes.

-Ca fait un peu irréaliste... Tu imagines, un trésor de manière à couvrir notre retraite. Pas mal non ?

Son cynisme était bien présent, même s'il restait perplexe. Financièrement, Cocoon s'était toujours arrangé pour s'en sortir mais un petit coup de pouce ne lui aurait pas fait de mal. Et puis maintenant qu'il avait quelqu'un à qui offrir de précieux objets... Autant en profiter ! Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs... Rien n'était fait et rien ne prouvait l’existence de ce trésor. Malgré tout il se prêta à en rêver. Des bruits de rue, dehors, se firent entendre puis disparurent aussi tôt. L'orisha n'avait même pas la force de se lever...

-Tu es plus en sécurité dans cette chambre là, et puis toi au moins tu as un verrou.


Il se releva d'un coup et descendit en trombe dans les dortoirs en sous sol. Il revint alors quelques minutes plus tard, un peu essoufflé de sa course sans entrainement et dans l'état dans lequel il était. Il tenait dans ses mains son épée, recouverte, comme emballée, dans des bandes de tissus. Nydelia le regarda surprise :

-Je n'ai pas le droit de la prendre sur les docks. Quel malheur...

Il la posa dans un coin, sans la déballer.

-J'ai récupéré quelques bandes non utilisées de la pyramide, plutôt pratique pour protéger l'épée lorsque qu'elle est en dehors du fourreau...

Il lui fit un clin d'œil même s'il était sur que le simple souvenir de cet enfer, procurerait quelques frissons à la jeune femme. Elle partie ensuite dans la salle d'eau. Cocoon en profita pour enlever ses chaussures, son pantalon et son débardeur, restant en sous vêtements. "J'espère pour toi qu'elle n'a pas peur des corps totalement torturés et marqués de cicatrices..."
Nydelia lui posa quelques question depuis la pièce où elle était puis, vu que plus aucun des deux ne parlaient, il ne lui en fallut pas plus pour s'endormir. L'homme avait de dures et longues journées de manutention. Le sommeil était pour lui un sacré repos. Surtout avec des vertèbres nases comme les siennes. Il pria inconsciemment pour que la jeune femme ne fuit pas en courant. Non... Les anges ça ne fuit pas de toute façon !

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Sam 28 Juil 2012, 12:50

Maintenant qu’il était sortit je me dépêchai d’allez rangers la salle d’eau et terminer de rangers, une fois cela fait j’allai fermée la porte de l’auberge, j’entendis d’ailleurs a ce moment la un homme ce plaindre que c’étais fermée, il n’avait cas allez boire ailleurs.
Je venais à peine de m’assoir en face de Cocoon quand il me proposa d’allez dans un endroit plus confortable et vu comment ses os craquait je pouvais comprendre qu’il cherchait un endroit plus moelleux.
Il siffla en entrant dans la chambre qui mettait destinée.

-Je n’ai pas vraiment demande cette chambre, car le travail que je fais ne suffit certainement pas à payer une si magnifique chambre, mais le patron a tenue a ce que je l’aille, alors j’essaye de le remercier au mieux et tu sais, même si je n’ai pas reconnu, je dois faire le ménage dans toute les chambre au matin alors oui j’ai surement oui ou tu dormais.

Il s’allongea sur mon lit, âpres une journée de boulot il devait être extenuée, je m’assis prés de lui et il me demanda ce que j’étais venue cherchée. Je me levai et pris un morceau de tissu contenant la plante.

-Elise avais besoin de cette plante seulement on ne la trouve que dans le jardin du savoir, elle ma alors demandée d’allée lui en cherchée.

Pendant que j’allumais les bougies et que Ielenia se préparais a se reposée il me parla d’une certaine personne qui connaitrai l’emplacement d’un trésor me demandant si j’y croyais, oui possible après tout.

-Pourquoi pas, ce qui m’étonne c’est que tu na rien touchée au trésor de la pyramide et pourtant la aussi on avait de quoi vivre comme des rois, enfin moi je ne m’y intéresse pas vraiment, du moment que j’ai de quoi vivre et me nourrir ces le plus important.

Il était en train de me parlée de la sécurité de ma chambre quand il disparu dans les escaliers, quand il revenait il était essoufflée et avais son arme entre les mains, les bande qui la recouvrais me rappelèrent étrangement quelque chose. Et en effet elle venait de la pyramide, bon si son but étais de m’arrachée un frisson pendant que je repensais aux momies et leur corp décomposée, il avait réussi, je crois que je ne voudrais sentir leur odeur de nouveau pour rien au monde.
J’allai a mon tour ma rafraichir, surtout que je devais sentir l’alcool a force d’en servir toute la journée, on continua a parlée pendant quelque temps puis le silence ce fit, j’en profitai pour faire mes cheveux puis enfillant une plus petite robe pour passée la nuit je sortis a j’aperçus que Cocoon c’étais mis a l’aise et avais l’air de dormir profondément.
Je crois que je ne l’aurais pas fait si il aurait été réveillée, mais vu qu’il dormait j’en profita pour lui soulagée le dos, mon père m’avais appris quelque massage a faire en cas de forte douleur dorsal, j’avais adorée ses cour surtout qu’il me les montrais sur moi, essayant au mieux de ne pas le réveillée je commença alors a faire des point de pression le long de sa colonne vertébrale, j’insufflait en même temps un peu de magie blanche pour optimisée le résulta, je priais réellement pour qu’il ne se réveille pas surtout que je devais être aussi rouge qu’un pivoine.
Quand je jugeai que ca devais été bon, j’allais vite ma passée un coup de brosse dans les cheveux et regarda autour de moi, il y avait de tout dans cette chambre, sauf un fauteuil, je ne pouvais pas allez dans une autre chambre, même celle que louais Cocoon car le patron me chercherais quand devras venir me réveillée.
Dormir a terre ? ces moi qui aurais besoin d’un massage le lendemain, je soupirais, il ne me restait pas beaucoup de solution, en faite il ne m’en restait qu’une, je m’approchai du lit et m’allongea le plus au bord que je pouvais, Ielenia sauta sur le lit se mettant entre nous, pourquoi pas, même si j’étais sur que au matin elle sera en boule au bord du lit.
Je fermai les yeux, un peu gênée, mais réellement heureuse de l’avoir retrouvée, de plus on allait peu être re vivre une aventure ensemble.
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Sam 28 Juil 2012, 14:28

Citation :
-Pourquoi pas, ce qui m’étonne c’est que tu na rien touchée au trésor de la pyramide et pourtant la aussi on avait de quoi vivre comme des rois, enfin moi je ne m’y intéresse pas vraiment, du moment que j’ai de quoi vivre et me nourrir ces le plus important.

-Cet or était des offrandes que le sorcier s'est approprié. Il n'était pas à nous, nous n'avions en aucun cas le droit de le prendre même si il appartenait à des gens décédés.

Dans son peuple, il y avait un grand respect des morts. Les premiers orishas morts, non naturellement, était ceux qui se sont sacrifiés pendant la guerre pour la liberté. Au nom d'Antares. C'était un peuple soumis, d'esclaves et de souffrances. Et entre eux, ils honoraient leurs mémoires. Ce type de respect était présent chez beaucoup de ses confrères, et lui en avait acquis le même don.
Par la suite, Cocoon était bien trop épuisé pour sentir quoi que ce soit. Son dos était bien trop meurtrie de l'intérieur pour ne pas déceler de suite une anomalie. La nuit fut meilleure que les précédentes. Quand le petit jour arriva il ouvrit doucement les yeux. Il était sur le dos, un bras tendu en travers du lit, servant d'oreiller à l'ange. Ielenia était en boule au fond du lit. Il voulut lever la tête, mais trop fatigué, il la laissa tombé durement sur le traversin. Nydelia dormait, appuyée sur son bras et casiment collé à lui. "Bonjour la timide hein !" ...bha, la nuit on bouge ! L'orisha afficha un petit rictus sur ses lèvres. Et puis il réalisa. Le jour était levé. Les docks ! Il finit par se tourner vers l'ange et la réveiller doucement. D'une voix qui se voulait douce il lui dit gentiment :

-Je suis en retard... Laisse moi juste reprendre mon bras.

Elle se tourna et il pu dégager son membre avant de sauter du lit. Son dos allait nettement mieux. "Hey, les lits de princesses, ça change !" ...la différence était nette, effectivement.
Il passa rapidement à la salle d'eau et retourna vers sa besace restée prés de son épée. L'orisha se changea totalement, sans aucune pudeur, de dos à la dormeuse. Si celle ci s'était réveillée, elle allait être rouge comme une tomate ! Mais trop pressé pour s'en rendre compte, il fit demi tour vers la couche et embrasse son amie sur le front, lançant à Ilenia en chuchotant :

-Je compte sur toi !

Et puis il disparut de la chambre en moins de dix minutes, laissant juste son épée.

Toute la journée il essaya de se renseigner sur le type qui recrutait des mercenaires pour chercher son trésor, ainsi que sur les différentes versions. Nydelia en apprendra surement de son côté, ils pourraient mettre tout cela en commun le soir. Toute la journée, il déchargea des caisses et chargea des fonds de cales. Il avait toujours la vieille appréhension qu'on l'enferme sans faire exprès dans la cale et qu'il voyage par mégarde avec le bateau. L'orisha n'était pas un navigateur en herbe en plus... Alors ce serait sacrément mal tombé.
Une fois que les bateaux furent tous partis, son supérieur le fit venir :

-Ecoute, on a des problèmes avec les autres gars...

-C'est à cause de mon retard ce matin ? Je suis vraiment désolé je...

-Non, non, pas du tout ! Tu fais du bon boulot, j'aimerai vraiment que tu restes, mais tu mets en rogne les autres.


L'orisha fit les gros yeux, comprenant mal.

-Ecoute petit, c'est pas ma faute, mais y a eu pas mal de plainte de la part des gars sur ton compte, alors il faudrait que tu partes. Tiens, ton salaire.

Cocoon regarda l'enveloppe et la prit entre ses mains. Visiblement, les humains ne l'acceptaient pas encore comme il le croyait. Sa déception se lisait sur son visage. Il avait besoin de se boulot et se faire renvoyer à un peu plus d'une semaine de travail... C'était gênant et légèrement humiliant pour lui. Avant de partir, il retint le vieillard et dit :

-Vous ne connaitriez pas un homme mourant cherchant des gaillards pour un trésor enfoui ?

-C'est une légende ça petit...

Malgré tout il lui indiqua où se trouvait l'homme, et comment l'aborder. Au final il finit par essayer de le décourager, mais Cocoon ne le laissa pas parler plus longtemps et partit aussi tôt en le remerciant. Il partit donc pour l'auberge, et entra à la même heure que la veille. Son air était beaucoup plus dur et morose que la veille. Alors qu'il ouvrait la porte, perdu dans ses pensées, il vit la petite louve l'attendre impatiemment au pas de la grande porte. Il la caressa légèrement distrait et alla s'asseoir plus loin. Une choppe apparut devant ses yeux et l'ange lui sourit. Il soupira :

-J'ai été viré.

Elle s'arrêta tout à coup de bouger. Avait-elle capté sa peine et sa déception ? Le problème de Cocoon était que quand il était heureux, ça ne se voyait pas, et juste les plus empathique le ressentait, mais alors quand il était déçu, frustré, énervé, et bien d'autre, c'était nettement plus visible.

-J'avais besoin de ce boulot...

Il était vraiment trop déçu. Malgré tout il finit sa choppe, attendant que Nydelia finisse son service. Il passa peu de temps dans la bassine d'eau, se lavant consciencieusement mais rapidement. Quand il alla se rasseoir, sa compagne finissait de laver le sol, et de fermer. Les derniers pensionnaires étaient partit dans le dortoir au fond de l'auberge. Puis elle vint s'asseoir prés de lui.

-Bon au moins, j'ai des informations sur la soi disant légende du trésor. C'est un vieil homme habitant dans les quartiers résidentiels, mais délabrés, du port. Je n'ai pas son adresse exacte, mais nous devrions bien finir par le trouver. As tu eu des indices toi de ton côté ?

Il reposa sa tête sur un de ses bras regardant la jeune femme. Viré parce qu'il était différent...
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Sam 28 Juil 2012, 15:13

J’entendis une voix pendant mon sommeil, mais ne me réveilla pas pour autant, je me contentais de bougée car ca avait l’air d’être ce que l’on me demandait de faire et replongea plus profondément dans mon sommeil. Malheureusement ce n’étais que pour une courte durée, car dans les minutes qui suivirent j’entendis quelqu’un frappée a ma porte.

- De bout la belle au bois dormant, il est l‘heure

C’étais le patron, je me réveillai en sursaut, je cherchais Cocoon des yeux mais il n’était plus la, seul son épée étais posée sur le meuble, je soupirais, j’aurais aimée lui souhaitée une bonne journée, enfin je le verrais certainement au soir.
Quand je sorti le patron étais toujours devant ma porte, il me dit que je ne devais pas faire la chambre numéro huit car l’orisha n’avait pas dormis ici, même si j’avais été gênée au moins il m’épargnait une chambre à nettoyer.
Il me tendit alors d’autre vêtement, c’étais un pantalon et un blouse simple, il me dit que c’étais pour évitée le problème d’hier, c’étais cadeau, je l’en remerciais vivement lui disant que je lui rembourserais mais il refusa.

-Ne t en fait pas ces cadeau, tu me fais pensée a quelqu’un que j’ai connue, elle n’est plus de ce monde et t’aider me donne l’impression de l’aidée elle.

Je restais un peu étonnée par une telle confidence, mais je n’eu pas le temps de continuée a rêvassé, les clients allait arrivée et le déjeuné devais être prêt.
Je fonçai me changer, puis en cuisine, je prêtais plus d’attention a ce qu’il se disait, enfin, quand je les entendais, car a de nombreuse repris j’entendis Ielenia grognée, elle était plus protectrice que a son habitudes, ce ne m’étonnerais pas qu’un certain orisha en sois responsable, mais bon au moi je fus assez tranquille de toute la journée. J’entendis quelque truc t intéressant, mais il était assez difficile de pouvoir y prêter plus d’attention quand on devait se dépêchée à servir les verres en même temps.
A partir d’une certaine heure Ielenia alla se postée prés de la porte, le patron et moi la regardions d’un regard amusée, mais bon je lui précisai quand même que aujourd’hui hui il ne fallait pas lui sautée dessus, je ne savais pas si j’avais réussi a lui soulagée suffisamment le dos.
Puis il entra enfin, je pris une boisson et lui apporta, je ne savais pas pourquoi mais il me semblait différents, plus sombre, d’ailleurs quand je posai le verre il m’apprit qu’il avait été virée, c’étais quoi ce bordel, d’accord je n’avais jamais travaillée avec lui, mais je ne doutais pas un seul instant qu’il faisait correctement son travail. Si je n’avais jamais réussi a savoir ce qu’il ressentir réellement, ici je compris automatiquement que ca n’allait pas, la déception se lisait sur son visage, malheureusement je n’avais pas le loisir de parlée plus longuement avec lui car d’autre clients attendais leur commande, ces moins motivée que je continuais mon service, il alla prendre son bain et une fois fait il m’attendit, le patron n’avais pas l’air de vouloir partir tant qu’il étais la, mais je le rassura en lui disant qu’il ne faisait juste que m’attendre, d’ailleurs vu l’homme bon que c’étais peu être lui trouverait il quelque chose.
J’allais m’assoir prés de lui, il m’apprit qu’il avait quelque renseignement sur le gars en question.

-J’ai entendue la même chose que toi, mais je sais que sa maison, enfin plutôt sa cabane d’âpres ce que j’ai compris est un peu isolée, beaucoup le croient fou car il serait partie longtemps en mer sans rien trouvée. Si non le trésor contiendrais le butin d’un abordage sur une flotte marchande, plus particulièrement de marchante de joaillerie.

Je reparte un instant dans la cuisine, le jour avant je n’avais rien mangée mais aujourd’hui il valait mieux que je me mette quelque chose dans l’estomac, j’en profitais pour prépare un thé, je n’avais certainement pas les talents de ma mère, mais j’espérais qu’il serait assez relaxant pour qu’il arête de Boyer du noir.

-Tu sais si on le trouve, tu n’aura plus besoin de travaillée, tu pourras t’installée et vivre une vie heureuse, sans te souciée du reste, si maintenant obèle trouve pas, tant pis, mais je suis sur que tu trouveras autre chose.

Je n’avais certainement pas trouvé les bons mots, mais je ne savais pas quoi faire d’autre c’étais horrible de le voire si décompose.

-Demain ces le jour de fermeture de l’auberge, il n’y aura que les pensionnaires du coup le patron na pas besoin de moi, on commencerait les recherche demain, qu’est ce que tu en dis ?
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Sam 28 Juil 2012, 17:57

Citation :
-J’ai entendue la même chose que toi, mais je sais que sa maison, enfin plutôt sa cabane d’âpres ce que j’ai compris est un peu isolée, beaucoup le croient fou car il serait partie longtemps en mer sans rien trouvée. Si non le trésor contiendrais le butin d’un abordage sur une flotte marchande, plus particulièrement de marchante de joaillerie.

-Joaillerie ? Intéressant me diras-tu... Mais qu'allons nous faire avec des pierres précieuses ? Les revendre, simplement ? Enfin quoi que ce soit je ne me plaindrais pas du moment que ça a de la valeur.

Oui, il ne fallait pas faire le difficile. Déjà, prouver l'existence de ce trésor n'allait pas être une mince affaire, alors carrément CHOISIR le trésor, il en était hors de question. Il prendra ce qu'il y aura. Et puis sa jeune amie essaya de le réconforter le plus qu'elle pouvait :

Citation :
-Tu sais si on le trouve, tu n’aura plus besoin de travaillée, tu pourras t’installée et vivre une vie heureuse, sans te souciée du reste, si maintenant obèle trouve pas, tant pis, mais je suis sur que tu trouveras autre chose.

Elle était gentille. Il était apathique au possible et elle, elle restait gentille. Il adorait les anges... Il soupira une fois de plus.

-Tu sais pour quoi j'ai été renvoyé ? Car je suis un orisha et que tous les dockers étaient des humains simples et idiots. Je ne sais pas si simplement ils jalousaient mon attitude mais ils me repoussaient tous. Aucun ne m'adressait la parole. Les premiers jours ça allait mais après ça n'allait que plus mal. J'entendais les critiques sur moi et sur ma race. La plupart des dockers avaient la peau bien attaquée par le soleil mais surement que de voir que je ne brûlais pas, ça leur a fait prendre conscience que j'étais différents. Mes yeux n'arrangèrent rien...

Il était légèrement agacé mais se concentra sur l'ange et les informations sur vieil homme. Il était d'accord pour se mettre à la recherche de l'intéressée dès le lendemain. En attendant ils discutèrent des détails dans la chambre de manière à se mettre d'accord. Puis il se laissa tombé sur le lit :

-Tu sais quoi je n'ai pas du tout eu mal au dos aujourd'hui. Je devais aller chez l'herboriste mais finalement... Je pense que je vais remettre le rendez vous à plus tard...

Cocoon s'installa confortablement. Et puis il réagit à quelque chose :

-Ca te dérange pas que je dorme ici ? C'est bien plus confortable et ça fait passer mes douleurs.


Il se tourna vers elle, l'interrogeant du regard. Rien n'allait lui certifier qu'elle n'allait pas le laisser moisir dans sa chambre au rez de chaussé. Malgré tout il prit le temps de lui expliquer qu'il fallait mieux bien partir en plein jour et rentrer avant le soir, car les rues étaient mal fréquentées. Et puis il finit par se coucher malgré tout sur le lit. Elle n'aura qu'a le virer si elle ne le veut pas car la nuit dernière il s'était imposé grossièrement et dans la matinée ça l'avait gravement gêné.

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Sam 28 Juil 2012, 18:59

Il me demanda qu’est ce que l’on allait faire des joyaux, mais je n’en savais rien, je ne m’y étais jamais intéresse plus que ca, je savais que ca avait un prix, mais mes connaissance s’arrêtais la.
Enfin au moins il se contentait du faite que ca avait de la valeur et ca avais l’air de le déridée, très, mais très légèrement, c’étais toujours ca de gagnée âpres tout.

- Si tu conte les revendre, je te déconseille de le faire ici, ils ont beau ne pas croire a ce que raconte ce vieux marin, je suis sur que si le trésor étais trouvée il ne cracherais pas dessus et ferais tout pour le dérobée, de nombreux bijoutier recherche des pierres dans la rue commerçante, j’irais plutôt la bas, en plus le risque que tu te fasse volée est minime comparée a ici, il serais capable de vouloir t’achète une pierre pour le quart de sa valeur.

D’un coup il changea complètement de sujet, m’expliquant pourquoi il avait été renvoyée, je trouvais ca injuste, une tel discrimination ne devrai pas être permit. Les rare étranges qui passait dans mon village jadis étais toujours bien accueilli, qu’il soit orisha ou non, je ne comprenais pas comment ca pouvais arrivée, des fois les humains pouvaient être bien cruelle. Cependant qu’il m’expliqua ce qui c’étais passée me fit plaisir, il avait l’air tellement renfermée sur lui-même que je n’avais pas osée abordée le sujet et ca me faisait plaisir qu’il le fasse de lui-même.

-Les humains peuvent être sans merci quand il son confrontée a quelque chose qu’il ne connaissent pas, ce n’est pas juste et ce devrai changée, mais il on l’air d’avoir du mal a perdre cette habitude, tu veut un conseil Oublie ce qui c’est passée, le plus important c’est que tu sais ce que tu est, ce que tu vaut, tes amis le savent aussi et tu dois te dire que actuellement ces le plus important, ce n’est pas des ouvrier ivrogne qui vous t’aider a avancée, mais des personnes qui te soutienne et t’apprécié telle que tu est.

On remonta dans ma chambre, il se laissa tombée sur le lit, m’apprenant qu’il n’avait absolument pas eu mal au dos aujourd’hui, je me retournai rougissant, ielenia bonne complice sauta sur Cocoon pour me cachée a sa vue.

- Ah bon… Ben le lit dois être plus confortable que je le pensais, c’est plutôt une bonne chose non.

Bon, y avais plus qu’a espéré qu’il ne le repère pas dans ma voix maintenant.
Une fois calmée, je me retournai et je vis qu’il c’étais installée dans mon lit encore une fois, mais bon au moins cette fois ci il me demanda quand même si ca ne me dérangeait pas, je ne savais pas vraiment quoi répondre d’ailleurs il ne me laissa pas le temps car il m’expliqua qu’il valait mieux être rentrée avant la nuit.

-Pas de soucis, de tout manière je préfère être ici pour aide pour le service du soir et oui dors bien.

J’allai a rafraichir comme j’avais fait la veille, quand je reviens un léger ronflement se faisait entendre, il dormait déjà, on ne pouvait pas dire qu’il avait des problèmes d’insomnie.
Comme la nuit précédente i-je m’allongeai le plus prés du bord, cette fois ci ielenia resta sur le sol, je bougeais de base beaucoup alors a deux ca ne devais pas être évident pour elle de ferme l’œil.
Quand le jour se leva, je me réveillai blottie sur Cocoon, je me levai rapidement, gênée, bon ce n’étais peu être pas une bonne solution, mais bon, je descendis et alla préparée le petit déjeunée, que je montai directement dans la chambre avant de redescendre pour préparée celui des pensionnaires.
J’étais en train de sévir le dernier repas quand Cocoon descendit enfin Ielenia sur ses talons.
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Dim 29 Juil 2012, 13:41

Citation :
- Si tu conte les revendre, je te déconseille de le faire ici, ils ont beau ne pas croire a ce que raconte ce vieux marin, je suis sur que si le trésor étais trouvée il ne cracherais pas dessus et ferais tout pour le dérobée, de nombreux bijoutier recherche des pierres dans la rue commerçante, j’irais plutôt la bas, en plus le risque que tu te fasse volée est minime comparée a ici, il serais capable de vouloir t’achète une pierre pour le quart de sa valeur.

-Je ne pensais même pas rester dans ce coin véreux lorsque l'on aurait fini notre ascension. Tout ce qui m'étais venue à l'esprit, était de rentrer en ville. La rue marchande est une bonne idée pour la revente des joyaux et autres bijoux... Et puis je pense aussi qu'il n'y aura que là-bas où l'on en tirera le meilleur prix. En attendant, essayons de n'en parler à personne...


Il regarda tout de même autour de lui, scrutant les derniers pensionnaires qui quittaient leurs tables. Apparemment les murs n'avaient pas encore des oreilles... Mais méfiance tout de même.

Citation :

-Les humains peuvent être sans merci quand il son confrontée a quelque chose qu’il ne connaissent pas, ce n’est pas juste et ce devrai changée, mais il on l’air d’avoir du mal a perdre cette habitude, tu veut un conseil Oublie ce qui c’est passée, le plus important c’est que tu sais ce que tu est, ce que tu vaut, tes amis le savent aussi et tu dois te dire que actuellement ces le plus important, ce n’est pas des ouvrier ivrogne qui vous t’aider a avancée, mais des personnes qui te soutienne et t’apprécié telle que tu est.

Elle avait raison. Entièrement raison. Il n'avait rien à prouver à qui que ce soit. Lui seul savait qui il était et ce qu'il valait vraiment et les autres n'avaient pas à le juger de la sorte. Cette attitude de superficiel l'agaçait au plus haut point. Etre aussi... Idiot. Il trouvait ça malheureux et en même temps lamentable. Cocoon la regarda. Il prit une de ses mains dans la sienne, la serrant doucement et il sortit :

-Merci d'être là pour moi...

Ce n'était pas facile pour lui. Il n'avait pas l'habitude. Il savait que c'était comme ça qu'il devait agir, et il écoutait son instinct. L'orisha voulait vraiment la remercier, car à chaque fois qu'il s'était trouvé mal, ou déçue, elle s'était montré d'un soutient sans faille. Comme son ange à lui. La pauvre âme en peine qu'il était avait enfin de l'aide pour ne plus se sentir seul. Et pourtant des fois... C'était si dur d'en parler, ou de dire ce qui n'allait pas. Lui qui était tellement habitué à être seul dans une galère.
Puis ils finirent par monter dans la chambre. Et il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'il s'endorme comme la veille.

Cocoon sentit un poids se coller contre ses jambes. Le temps qu'il réalise quoi que ce soit, ce poids se fit bien plus lourd... Ielenia. La louve prit ses aise contre ses cuisses. Il porta une main à son visage et remarqua qu'il était sur le dos et que la main qu'il voulait bouger était bloquée. Se forçant ainsi à bien ouvrir les yeux, le jour éclairait maintenant la pièce, il vit mieux la louve collée contre ses cuisses, à les regarder, et Nydelia pelotonée contre lui. D'accord, il avait le sang chaud, m'enfin quand même ! "Quel aimant mon ami... !" ...merci chère conscience. En soi ça ne le dérangeait pas. Au moins il tenait chaud aux autres et lui ça lui faisait de la compagnie. Ca changeait de ses nuits seul ! Il finit par se rendormir dans les minutes qui suivent, bien trop fatigué pour faire quoi que ce soit.
Quand il se réveilla à nouveau, Ielenia avait pris la place de l'ange et Cocoon se retrouva seul. Le soleil inondait maintenant la pièce de lumière. Un petit déjeuné de prince lui avait été déposé à son chevet, et il s'en régala. C'était toujours mieux que de partir le ventre vide ! Mais maintenant qu'il n'avait plus de travail il pouvait se concentrer sur les informations de cette aventure naissante.

Il descendit à la fin de son festin, ayant trop mangé -évidemment- et rejoignit Nydelia qui finissait tout juste son service. Il attendit qu'elle règle les derniers détails, et ils partirent en quête du vieil homme croulant. Cocoon l'attendait dans un coin sombre de la pièce principale, étant toujours plus à l'aise dans l'ombre que dans la lumière, et la vit disparaitre pour aller se changer et remettre sa robe. Et forcément, cela ne loupa pas, un marin rustre et grossier, qui la lorgnait de loin, finit par l'attraper. L'orisha sortit de l'obscurité et en deux pas était sur le type. Il prit son poignet qu'il serra avant de légèrement le tordre :

-Lâche la.

Sa voix résonna dans la pièce tout à coup et le marin regarda aux alentours. Son expression vira de bord quand il se sentit observé et essaya de dégager son poignet. Nydelia resta en retrait, alors que Cocoon était accompagné de Ielenia en première ligne. Cette taverne n'était finalement pas si sûre, même en journée. Les deux hommes s'affrontèrent du regard et le marin, pensant faire du zèle, se mit à hurler dans la pièce, déjà calme :

-Alors petit j'ai embêté ta petite amie c'est ça ? Eh bien viens alors si t'es un homme !

Le genre de provocation banale, lassante et tellement... humaine. L'orisha commençait à clairement en avoir marre de se faire rabaisser que ce soit dans sa race, que dans sa personne. Le vieux type puant s'était rapproché de lui, gros signe de défiance, et Cocoon, bien que pas très agile, leva rapidement sa main et l'abattit sur le cou de l'homme. Sa gorge s'écrasa légèrement, mais bien assez pour lui couper le souffle pendant trois bonnes secondes. Pendant que ce dernier essayait de respirer, Ielenia en profita pour planter ses dents dans ses mollets, lui laissant une belle trace de crocs. Nydelia finit par prendre le bras de l'orisha et le tirer vers la sortie. Ce dernier ne quitta pas l'homme des yeux, énervé comme tout, jusqu'à ce que la porte se referme sur eux. Bon sang, il détestait ce genre de provocation masculine voulant prouver une fierté inexistante chez certain...

-Ce genre de type... Je trouve ça détestable, vraiment.


Il finit par décrocher ses yeux de la porte en chêne, fermée et se tourner vers la jeune femme.

-Ca va, tu n'as rien ?

Et il se surprit à passer d'un sentiment d'énervement, limite de rage, à l'inquiétude la plus totale pour sa jeune ami. C'était ça. Ce qui l'énervait c'était le fait qu'elle ait pu en ressortir troublée ou avec des séquelles. Il était intervenu vite, heureusement, mais qui sait...
Il voulait vraiment être aussi protecteur pour elle, qu'elle était gentille pour lui. Il lui devait bien ça. Dans le labyrinthe, lors de la quête dans la pyramide, il crut mourir d'épuisement et de folie. Et si elle n'avait pas été là... Il y serait encore ! Alors oui... Il lui devait bien ça. Puis il leva les yeux vers elle :

-Bon les quartiers sont là bas... La cabane doit être derrière, surement à l'orée du port.

Il montra avec son doigt tout un tas de bâtiments empilés, et ils se mirent en route.
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Dim 29 Juil 2012, 14:51

Pendant que je finissais de débarrassée les tables Cocoon alla se refugier dans l’ombre des escaliers, Ielenia vient me dire bonjour et je lui servi rapidement son déjeuné, car elle ne pouvait pas mangée a l’intérieur malheureusement, mais bon ca lui permettais de sortir de ce lieu et prendre un peu l’air ca lui faisait du bien.
Le temps qu’elle finisse je décidai d’allée me changée, même si pour travaillée c’étais mieux, je préférais de loin ma robe ou j’étais plus a l’aise, de plus si je devais sortir mes ailes je déchirerais le haut, alors que ma robe les laisserais sortir sans problème vu qu’elle avait été cousue pour.
Une fois descendue je me dirigeai vers mon patron pour le prévenir que je partais.

- Je m’en vais, tout est fini, mais y a plus de pain voulez vous que j’en achète pendant que je suis dehors? Je reviendrais avant les soupées ne vous inquiétée pas.

Il me sourit et me dit de bien profitée de mon jour de repos mais de faire attention, il regardait quelque chose derrière moi en disant ca, mais je n’y fis pas attention, mais alors que je me dirigeais vers Cocoon, un des clients m’attrapait au niveau du bras et me tirais vers lui, ces hommes m’écœurais de plus en plus.
J’allais lui mettre une gifle quand la main de cocoon apparue devant moi tenant le poignet et lui ordonnant de me lâchée, ce qu’il fit rapidement, je reculai et vis mes deux garde du corp se postée devant moi, je regardais la scène en me disant que ca faisait trois fois en trois jours, ce serais qui demain ?
Ils s’affrontèrent du regard, je sentais bien que ca allait mal tournée, je rougis quand le marin parla de moi comme ca petite amie, il n’était vraiment sans gène ca gars, Cocoon lui attrapa la gorge et Ielenia attaqua la mollet, mordant a pleine dents, si elle continuait elle lui sectionnerait un tendon.
J’attrapai alors Cocoon par le bras, fit un signe au patron pour lui dire que ca allait bien et l’attira dehors, tout en disant a Ielenia de me suivre.
Il me disait qu’il trouvait ce genre de personne détestable et me demandais si je n’avais rien et je ne pouvais pas le contredire, car je ne savais pas combien de temps j’allais réussir a évitée de leur donnée un coup de pieds dans les partie sensible, en soupirant je lui répondis.

-Plus de peur que de mal ne t’en fait pas. Merci beaucoup.
Et encore le premier jour c’étais pire, j’ai du nettoyer les trace de sang toute la nuit tellement Ielenia avais eu les crocs faciles, le patron a réussi a les calmée, mais ce n’est pas encore parfait malheureusement.


Il m’indiqua alors le chemin des quartiers et on se mit en route, mais une patrouille passa et un éclat brillant attire mon attention à leur ceinture.

-m*rde, on a oubliée quelque chose a l’auberge, vaut mieux vite allée les cherchée

Je couru vers l’auberge, je le savais sur mes talons, je m’arrêtai devant la porte car un panneau avais fait son apparition

Attention loup méchant.
Toute personne qui s’en prendrait à la serveuse se ferait exclure sans retour possible.
De plus elle risque de devoir allez chercher une jambe de bois chez l’ébéniste d’a cotée car elle ressortira avec un mollet en moins.

Je rigolai en voyant la pancarte et entra, me voyant hilare le patron me fis un clin d’œil complice et je montai rapidement dans ma chambre et redescendit rapidement rejoindre Cocoon en lui tendant son arme.

-Je préférais que l’on ne parte pas sans ca qu’est ce que tu en dis?

J’attachai mon épée a ma ceinture et on se remit en route, je regardais les différents étalage qui étais étendu sur le chemin, la plus part du temps c’étais du poisson, mais de temps en temps c’étais des objets, du matérielle et autre.
Ielenia s’arrêta devant une femme qui vendais des coquillages, la truffe colée a un en particulière.
C’étais un magnifique coquillage rose qui étais montée en pendentif, je compris ce qu’elle voulait et lui acheta, tant pis je travaillerais un jour de plus. Je luis mis sur le collier et on reprit notre route, Ielenia exhibant fièrement sont collier.

- Excuse moi pour l’attende, mais elle me demande jamais rien alors si je peu lui faire plaisir.

Il avait été patient pendant mes achats, décidément il ne semblait ne vouloir rien faire pour me contrariée, d’un certain cotée il me faisait pensée a Chaoloan tout en étant différents.
On arriva enfin dans le quartier des habitations et en effet une petite cabane délabrée était à l’ écart, on s’approcha et délicatement je toquai à la porte.
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Dim 29 Juil 2012, 15:40

Alors qu'ils se mettaient en route, Nydelia eu l'idée astucieuse d'aller chercher les armes. La sienne à sa ceinture et la claymore à l'orisha, trainant parterre dans les bandages. Il eu de la peine de lui avoir fait porter pareille arme... C'est vrai qu'il avait été assez imprudent de sortir sans défense, pratiquement à l'aveuglette. "Quel idiot !"...oh oui !
Il sangla le fourreau dans son dos de manière à ce qu'il résiste aux chocs, à la course, et autre, puis ils reprirent la route. Alors qu'ils traversaient le port, ils passèrent sur la place de marché du coin. Nydelia regarda quelques stands sans pour autant s'arrêter et puis ils perdirent Ielenia. L'orisha s'arrêta et l'ange se dirigea vers un étal où était exposé des coquillages, et roches précieuses. La louve avait ses deux pattes avant posé sur le rebord, et la truffe collé à un des coraux. Il passa une main dans ses cheveux, et l'ange arriva, s'excusant du retard. Cocoon la rassura brievement, et ils repartirent. Le petit animal faisait du zèle avec son pendentif en coquillage.
Ils dépassèrent un bon pâté de maisons avant d'arriver en bordure du port. Une cabane, plutôt similaire à une hutte, se détachait légèrement du paysage non pas par ses couleurs, mais par sa forme. Dans le quartier, c'était surtout des résidences superposés, montées en bloc, alors que là c'était une bâtisse primitive, voire précaire. "Parfait, si tu choppe la galle dans ce taudis, viens pas te plaindre !" ...toujours aussi aidé.
Au final, ce fut sa compagne de route qui frappa la première, laissant l'orisha légèrement en retrait. Au début, rien ne se fit entendre. Puis haussant les épaules, il voulut s'avancer pour frapper à nouveau mais alors qu'il n'eut même pas le temps de bouger, une vieille femme vint ouvrir.

-Qui êtes vous ? Nous n'attendons personne !

Cocoon laissa faire l'ange pour les présentations et le sujet de la présence ici. Même s'il n'attend personne, le vieil homme devait savoir que des rumeurs couraient sur son compte !
Au bout d'un bon moment de débat, la femme fini par nous faire entrer. Et contrairement à elle, l'homme nous accueilli bien plus chaleureusement. Le malheureux était alité et ne pouvait en aucun cas bouger, demandant plutôt des choses à sa femme s'il voulait quelque chose.

-Effectivement j'ai bien une carte, mais inutile de parcourir l'océan, vous ne trouverez cet endroit nulle part en mer.

Nulle part ? Les compagnons se regardèrent. Mais comment allait-ils faire ? Le grabataire ria légèrement en voyant leurs mine déconfite, et puis fini en toussant, s'étouffant presque. Une fois son serieux revenu il nous dit :

-Le port était déjà là lorsque mon grand père y travailla. C'était un joli petit port de commerce, qui alimentait trois habitations tout au plus. Il y avait beaucoup de marins, et d'hommes de main.

La femme lui porta un vieux vélins tout miteux.

-Et vous voyez ceci ? Ce sont des galeries, creusé par mes ancêtres, encore plus vieux que mon grand père ! Dessous il existe un labyrinthe de réseaux sans fin, servant plus à rendre fou qu'autre chose.

Parfait, c'était juste ce qu'il fallait à l'orisha pour lui faire sauter une durite.

-Mais ce plan vous indiquera exactement où il faut aller, et pourquoi. Il toussa. En gage de la quête, de manière à ce que vous ne partez pas avec le butin, vous devez me laisser un objet cher à vos yeux, chacun. Prenez plutôt ça comme une... Assurance.

Malade, mais pas totalement cinglé le vieux ! Il ne perdait pas le nord, à ça non ! Une fois sortit de là, ils eurent pleins d'autres renseignements et surent d'autres choses importantes. Nydelia les remercia chaleureusement et Cocoon regarda où la vieille dame mettait son collier. Oui, l'orisha avait un collier, mais il ne le portait jamais, car il était magique et bien trop puissant pour lui. Malgré tout il y tenait.
Le soir allait arriver, et ils se mirent en route pour chercher l'entrée des souterrins. L'ex marin leur avait indiqué que c'était près d'une fontaine dans le quartier pauvre. Je problème était : quelle fontaine ? Il y en avait trois. Ils allèrent donc à la première qu'ils trouvèrent. Tous deux examinèrent de tous les côtés, à l'intérieur, dehors, sur les bords, parterre, sur le piquet du milieu où il y avait les dessins. Rien. Bredouille, ils se dirigèrent vers la seconde. La déjà en y faisant attention, on voyait une petit plaque dépasser du bassin. La fontaine était petite, voire ridicule, et Cocoon lança :

-Ce n'est pas une vraie fontaine, c'est juste un leurre.


Il mit son pied sur le rebord, plia sa jambe au maximum et poussa d'un grand coup sec. la fontaine se décala d'un bon mètre et la trappe pu se voir entièrement. En fouillant partout, les deux jeunes n'avaient pas vu que la nuit tombait et que l'ange devait rentrer vite. L'orisha remit la fontaine à sa place d'un autre coup de pied, et ils se dépéchèrent de rentrer. Il ne fallait pas trainer maintenant, et les voyous commençaient à sortir. Dieu merci, ils arrivèrent sain et sauf et sans embrouilles dans le bâtiment.
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Dim 29 Juil 2012, 16:26

On attendit quelque instant avant que quelqu’un vienne nous ouvrir, quand enfin la porte s’ouvra ce fut une femme, l’air server qui se trouvais face a nous, elle nous montra directement que l’on n’était pas les bien venu, aussi bien dans son attitude que dans ses paroles.

- Bonjours excusez moi de vous dérange voici Cocoon et je suis Nydelia, est ce qui serais possible que nous nous entretenions avec votre mari, est ce qu’il est la?

Elle me regarda quelque instant avant de m’aboyée a la figure :

- Bien sur qu’il est la, mais je ne vois pas qu’est ce qu’une jeune fille comme vous peu lui vouloir,

Je dus lui expliquée pendant je ne sais pas combien de temps qu’une rumeur circulais, que nous aimerions a envoi plus, pour la démentir si elle s’avérait fausse, j’étais e coure d’argument quand une voix a l’arrière lui dit de nous laissée entrée.
Je fus soulagée, je commençais à croire que l’on allait restée éternellement coincée devant cette femme antipathique.
Un homme étais allongée dans le fond de la pièce, il semblait faible et effectivement il était assez âgée, il n’avait plus l’air d’avoir mangée a sa fin depuis pas mal de temps, en même temps, il ne pouvait pas travaillée et sa femme devais s’occupée constamment de lui, alors comment avoir assez pour vivre, je comprenais mieux pourquoi il acceptait de partagée son trésor.
Il nous expliqua que le trésor ne se trouvait pas en mer. Comment ca pas en mer, mais ou était il alors ? contait il nous envoyée dans un endroit qu’il ne connaissait pas ?
Il nous montra un plan, un réseau de galerie étais dessinée et il nous appris que c’étais des souterrain, mais attention c’étais un labyrinthe, je jetai un coup d’œil inquiète a Cocoon, je me souvenais de sa crise dans la pyramide et cette fois ci je ne pourrais pas sentir l’air, peu de change qu’il y en aille beaucoup dans des souterrain.
Il acceptait de nous confier la carte, seulement en échange on devait lui confier quelque chose de précieux, pour pas que l’on parte avec tout le butin, je réfléchissais, depuis ma vie humaine je n’avais plus rien possédée, rien ne m’appartenais réellement, je n’étais pas encore passée dans mon ancienne demeure, je l’expliquai alors au vieux marin qui soupira, il semblait désolée pour moi, mais il m’expliqua que si je ne laissais rien en échange on ne l’aurait pas.
Ielenia vient posée son museau sur mes genoux et l’homme remarqua le lien qui nous unissait et me proposa de la laissée ici, car en plus les souterrain n’étais pas fait pour un animal, je ne voulais absolument pas, puis je regardai Cocoon qui confia un collier a la femme du marin, je m’abaissai et chuchotais a l’oreille de ma louve.

-Je sais que ce n’est pas plaisant, je n’aime pas devoir te laissée, mais il a raison, tu as couru beaucoup de risqué dans la pyramide et je ne veux pas que tu en prennes d’autre et puis ses pour lui que l’on fait ca, il en a besoin tu comprends, sois sage d’accord, mais je te connais au moindre problème retourne chez Elise, d’accord.

Je le serai fermement dans mes bras, oui c’étais ce qui m’étais le plus précieux et ca me fendais le Cœur de devoir la laissée, l’homme étais bon je le sentais et me jura de bien prendre soin d’elle, me posant même des questions sur ce qu’il fallait savoir sur elle et du moment qu’elle restait dans le jardin elle pouvait sortir, mais si elle s’enfuyait Cocoon ne retrouverais pas son collier.
J’avais confiance en Ielenia, elle appréciait autant que moi l’orisha, jamais elle ne lui fera un coup pareille.
Il nous confia alors la carte et on remarqua que l’entrée devais se trouvée au niveau d’une fontaine, ca va il en avait juste trois dans ce quartier, on les examina et Cocoon la trouva rapidement, on allait s’engouffrée quand des hommes sortir des docks gloussant, il était tard et je devais rentrée, on referma l’entrée et on se dépêcha de rentrée.
Je fis mon service du soir moi motivée que d’habitude, j’avais du dire au patron que Ielenia c’étais blessée et que j’avais du la laisser ou elle c’étais fait soignée, mais au moins la pancarte faisait effet, car a part des regards aucun des hommes présent n’osa me touchée.
Le patron me dit aussi que demain il fermerait aussi, car sa femme étais malade, d’ailleurs tout le pensionnaire devais partirai ce soir, ce serais recouvert âpres demain, je pouvais restée, je demandai alors pour Cocoon et en m’en portante garante il accepta qu’il reste.
Cette fois ci ces lui qui fit la fermeture, nous on monta dans la chambre, je passa plus de temps dans la pièce d’eau, elle me manquais et j’espérais de tout cœur qu’elle allait bien, revenants dans la chambre je m’allongeais mais je ne m’endormis pas, je fini ma nuit assise sur le bord de la fenêtre a regarder dans la direction de la cabane du marin, tard dans la nuit j’eu l’impression d’entendre une hurlement familier.
Au matin j’apportai le déjeunée en chambre comme je l’avais fait le jour avant, mais on déjeuna ensemble assis sur le lit. Enfin surtout lui car je n’avais pas t’appétit.
Je m’étais permise de le réveillée tôt, comme ca on pourrait plus vite commencée le voyage dans le souterrain.
On retourna prés de la fontaine, encore heureux il n’y avait pas beaucoup de gens on pu entrée dans le passage discrètement.
On alluma nos torche et on commença a avancée dans de dédale, vérifiant a chaque fois trois fois les directions que nous devions prendre, au bout d’un moment le mur étais recouvert de petit pierre luminéssante, on avait plus besoin de nos torche pour voir, tant mieux car ce n’étais pas évident de regarder la carte une torche a la main.
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Dim 29 Juil 2012, 19:23

Quand ils montèrent dans la chambre, Nydelia était clairement tracassée. Cocoon la voyait différente, elle ne savait ni quoi faire, ni où se mettre. Quand elle alla près de la fenêtre, Cocoon se leva du lit et la prit dans ses bras.

-Elle va bien, ne t'inquiète pas. Tu le sais autant que moi en plus... Tu lui manque et elle te manque c'est naturel. Laisse toi aller et ais confiance.


Elle s'appuya sur lui, mais il ne sut pas si elle pleurait. Il essaya au maximum de lui donner de l'affection, même si la sienne était plus froide et différente d'un familier. Il savait qu'il n'avait qu'un faible impact. Au bout d'un moment de bercement, il l'embrassa sur le front et alla se coucher. Si l'ange n'arrivait pas à dormir c'était une chose, mais il fallait absolument que l'orisha prenne des forces. La journée aller être longue et pénible. En se couchant il se retourna et...

-Aah !

Ca c'était du cri de douleur masculin ! Le pauvre homme s'était à nouveau fait mal au dos. Bon sang, quel abrutit. Il se mit difficilement sur le ventre, essayant de toucher où est ce qu'il avait mal. Nydelia s'inquiéta sur le moment.

-Ca fait tellement mal... Je me demande à force, si je ne me suis pas déplacé une vertèbre. En fait quand je travaillais, des hommes tractaient une lourde caisse, pour la monter sur le pont du bateau. Bizarrement lorsque j'y passa dessous elle me tomba dessus. Au final c'est plus mon dos qui a chargé qu'autre chose. Mais alors qu'est ce que ça fait mal...

Il essaya de se masser le dos... En vint. Soufflant un bon coup il décida de ne plus bouger jusqu'au lendemain, peut-être que ça passera. Il fallait qu'il consulte ce pauvre homme...

Le lendemain, son amie le réveilla et le pressa légèrement pour prendre le petit déjeuné. Prenant garde à ses mouvements, il mangea et puis partit dans la salle d'eau. S'il marchait, ça voulait dire que toutes ses vertèbres étaient en place. Un bon point. Un fois prêt, il prit son arme, et la sangla. Ne pensant pas du tout partir à l'aventure pendant ce séjour, il n'avait pas prit de vêtements chaud. Du coup il dû simplement partir en débardeur, pantalon et bottes. Il n'avait même pas ses gants. Ca, ça le dérangeait.
Quand ils arrivèrent à la même fontaine, Cocoon la poussa à nouveau mais plus facilement cette fois, ayant plus de force grâce à la nuit et au petit déjeuné de compèt' ! Ils entrèrent alors dans la trappe, et il referma derrière lui. Une fois dedans, il passa une main dans le dos de son amie pour la réconforté. Elle n'allait pas mieux et il fallait qu'elle se concentre. Sans rien lui dire il sortit la carte, commençant les recherches. Les couloirs sinueux étaient ornés de petits lumières qui éclairaient parfaitement. Pas besoin de torches dans ce cas là. Ils avancèrent un moment, se guidant de la boussole et du plan, avançant à travers les tunnels. Un labyrinthe oui, ils se ressemblaient tous. Et puis sa voix rauque résonna.

-Tu penses qu'il peut y avoir des passages cachés ?

Arrivé à un carrefour il ne savait pas trop où aller, trouvant qu'il était déjà passé dans tous les couloirs adjacents. Nydelia se joint à lui pour allier leurs intelligence et chercher.
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Dim 29 Juil 2012, 20:57

En continuant a avancée, je repensai a la nuit de la veille, j’avais été comme endormie Durant tout la soirée, ne réagissant que très peu a ce que me racontais mon amis, pourtant il avait essayée de me rassurée, mais rien n’y faisait, j’étais restée comme un zombie, mais maintenant que j’étais moi-même, enfin presque.
Surtout que j’avais cru comprendre que son dos lui faisait toujours souffrir, je n’avais pas été capable de la soulagée plus d’une journée, je sais bien que ne n’avais pu le faire correctement, mais j’espérais quand même que ca tienne plus longtemps, en tout cas le temps qu’il sois dans un autre endroit ou le personne qui s’en occuperais mieux ne lui demanderais pas une fortune tout en faisant le travail cas moitie.
Les hommes ne lui avait rien épargnée pendant sa semaine de travail, comment avait il pu être aussi cruel ? ca n’étais pas normal de rejeter ainsi les gens, ils auraient pu le tuée.
Pendant que l’on avançait, j’avais sentie sa main se posée sur mon dos, il devait se faire des soucis, alors quand il me posa une question je sortis de ma rêverie.

-Hein? Des quoi? Ah ?heu montre moi ca

Je regardai longuement la carte, examinant tout ce que je pouvais apercevoir, la carte étais légèrement effacée ce qui la rendit assez difficile a lire, mais bon ca irai, enfin je l’espérais.

-Hum, il y a l’air d’en avoir que deux, un qui même aux trésors et un autre qui permettrais de sortir plus facilement d’ici, mais nous somme encore loin de ce fameux passage.

On continua a avancée quand soudain, on entendit deux vois derrière nous, elles m’étaient familière, désagréablement familière.
On s’accroupi alors au détour d’un couloire et on aperçu les deux ivrogne qui m’avais cherché des problèmes les jours précédent, il rirait et cherchait quelque chose, avait il entendu parlée de ce trésor ? même si c’étais le cas comment avaient ils trouvée l’entrée, le vielle homme avait il demandée a plusieurs personne en même temps, si disant qu’il y en aurait bien un pour lui ramenée et au pire il avait les gages de tout le monde, mais ils se mirent a parlée.

- Tu va voir ils vont nous le payer ces deux la, surtout cette home, de quel droit m’a t il attrapée le poignet, il n’est rien et je te jure que si la louve est avec eu, on la mange au soupée.

Quoi, il nous avait simplement suivi et pourquoi, simplement car il n’avait pas aimée que Cocoon et Ielenia me défende ? Pourquoi était il aussi stupide, surtout qu’il n’avait pas essayée d’être un minimum discret
utilisant ma vitesse je passai entre les deux hommes, les bousculant au passage et me retrouva derrière eux.
Ils se retournèrent surpris, il ne c’étais pas attendu a ce que je leur passe entre les doigts, je leur souris, distrayant ainsi leur attention, pendant ce temps la Cocoon en profita pour en mettre un des deux a terre, le deuxième essaya de protestée, mais j’utilisai l’air pour crée une légère rafale qui lui fait perdre l’équilibre, Cocoon s’occupera bien du reste.
On leur attacha les pieds et main, on viendrait les chercher plus tard, mais au moins on ne les aurait plus dans les pattes.
On reprit alors notre route, les pierres se faisait plus nombreuse dans certain couloir, dans d’autre moins, je regardai alors le plan et compris que l’on en avait presque plus besoin, ces pierre nous traçais le chemin.

- Il faut suivre les couloirs ou il y a le moins de pierre, normalement, j’aurais plus cru a l’inverse suivre les chemins éclairée, brillant comme le trésor, mais ces une piège.


Re vérifiant plusieurs fois sur la carte pour en être sur, oui je ne me trompais pas, enfin je l’espérais, on continua alors a avancée.

- Merci pour hier Cocoon, désolé de ne pas te l’avoir dit plus tôt, mais on n’a jamais été séparée depuis que je suis revenue a la vie, alors j’ai dur de la savoir loin de moi. En faite, si tu veux pour ton dos je pourrais regardée pour te soulagée, ca avais bien marchée le premier jour âpres tout.

Je me stoppai, me rendant conte de la gâfe que je venais de faire, pitié qu’il ne prenne pas mal ce que j’avais fait, je n’avais pas pensée a mal, mais je n’avais pas son autorisation.

Spoiler:
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Chasse au trésor entre amis. [PV Cocoon]

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