-28%
Le deal à ne pas rater :
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G Double Sim 128Go ...
389 € 539 €
Voir le deal

Partagez
 

 (Quête Solo) Un Pharaon Toutencarton. [Terminé]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité

avatar
Ven 21 Sep 2012, 10:02

perdu dans l'ombre.



Il se mordit la lèvre, septique. Face à lui un labyrinthe, derrière lui, un labyrinthe. Il s'y était aventuré avec la certitude que ce serait rapide. Il connaissait ce genre de casse tête grandeur nature, après tout n'était-il pas le labyrinthe ? Ça aurait dû se passer posément, donc, ses choix le menant droit vers la sortie. Tout faux. Il s'était perdu, sa mémoire l'aidant bien peu au milieu de ces murs immenses et quasiment tous identiques.
« M*rde » souffla-t-il en fixant l'intersection.
Il venait d'essayer deux chemins, tous deux menant à des culs-de-sac. Il n'avait plus qu'à faire demi-tour. Encore. Pourquoi était là, au final ? Un soupire traversa ses lèvres. Il n'était même pas sûr que ce fût le chemin à suivre. Peut-être qu'au final il n'y avait pas de sorti ? Rien pour atteindre ce qu'il voulait : les fins fonds de la pyramide. Avec tout le bordel que mettaient les esprits dans sa vie et cette annonce vieille de quelque temps où on lui demandait de chercher un objet, Zéleph avait eu sa curiosité piquée à vif. Il fallait qu'il comprenne ce qui se passait. Le pourquoi du comment. Il savait trouver la clé dans les abysses... Malheureusement il avait foiré quelque part avant d'y arriver !

Donc, ce superbe labyrinthe commençait à l'agacer franchement. Il avait autre chose à faire, un établissement à faire tourner ou un peuple a gouverné par exemple ! Et perdre son temps ici, déjà que pour sa seule curiosité il était entrain de miser gros, ça l'énervait mais à un point ! Évidemment, il avait pris en compte le fait de se perdre, de ne pas atteindre ce lieu inconnu existant seulement dans les paroles des esprits, mais ce n'était pas une raison pour se retrouver bloquer, là sans retour possible, sans arrivée possible. Perdu. Se perdre c'était bien une des choses qu'il appréciait le moins : qu'importe les choix il n'était plus sûr du tout, il doutait jusqu'à chacune de ses décisions.

A droite. A gauche. Il était seul, au milieu d'un carrefour. Des couleurs, passés, une ligne noire, opaque. Il déglutit. Il commençait à se laisser aller, à perdre ce qui l'animait depuis sa décision de partir dans le désert. S'arrêter. Fermer les yeux. Inspirer. C'était bon, ça passait, tout allait bien. Il les rouvrit et resta figé. Une lueur bleue. Du feu bleu. Il cligna des yeux. Non, il ne rêvait pas, elle était bien là. Une boule de feu bleue flotté au fond du corridor. Cela ressemblé à un feu follet. Zéleph l’observa en s’approchant, craintif. Lueur pâle de couleur bleutée en forme de flammèche suspendue dans l’air à une faible hauteur au-dessus du sol. La lumière était plus ou moins diffuse, vacillante dans l’ombre du lieu.

Il passa sa main au-dessus de la lueur sans qu’aucune chaleur ne ce face sentir. Son regard était fasciné par la flamme dansante. Accroupie il la regarda de plus près. Il n’en avait jamais vue. On disait que les feus follets étaient des esprits perdu n’apparaissant qu’aux voyageurs, tout aussi égaré, dans le but de les entrainer dans les abysses les plus profondes de la nuit. Parfois il arrivait qu’un feu follet montre le bon chemin, mais cela ne rester qu’une vague légende. Zéleph glissa sa main vers la lueur, mais l’esprit bleue s’évapora avant le contacte.
« Attend ! » son souffle parue ce perdre dans le vide.
Ragent le roi ce redressa, lors ce qu’une autre lumière ce fit voir, au fond d’un des chemins qu’il venait de remonter. Devait-il le suivre ? Il avait déjà parcourue ce couloir. Ce n’était qu’un cul de sac. Curieux il prit le partit de suivre la faible flamme. Quand a ce perdre dans ce labyrinthe autant que ce soit pour une bonne raison, et non seulement pour sa propre bêtise. Il ce rapprocha de l’esprit, puis le frôlant du bout des doigts celui-ci disparut à nouveau pour réapparaitre encore. A joué à ce petit jeu du chat et de la souri avec le feu follet il finit a nouveau face au mur qu’il avait déjà côtoyé quelques minutes auparavant. A quoi jouer ce petit esprit farceur ?

Couvert d’étrange dessins, comme des hiéroglyphes, ce mur s’apparenter à tous les autres dans ce lieu. Zéleph y déposa la main. Prenant le temps cette fois de si intéressé. Ses doigts longèrent lentement les mots inconnus de son langage. Des lettres, tel de petits dessins soigneusement graver dans la roche aux couleurs jeunes pâles. De mystérieux écrits. Dans son geste, l’index du réprouvé toucha un rond formé grâce à deux gravures. Cette forme parue bancale. Exercent une légère pression le rond s’enfonça comme un simple bouton. Le sol, puis les murs ce mirent à trembler. Sous les yeux écarquiller du roi un passage s’ouvrit devant lui. Serrent ses doigts autour de sa torche il jeta un coup d’œil dans l’ombre opaque qui s’étaler là. Il aperçut alors, au plus bas des escaliers découvert, la lueur bleue de son ami le feu follet.
« C’est donc bien pour me perdre. » Sourit-il amèrement.
Si ce fantôme chercher à l’enfoncer dans les profondeur il le suivrait, car après tout c’était ce qu’on lui avait conseiller de faire.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 10:52

je te contemple.


Il s’aventura sur les marches. Longue. Interminable. La descente parue ne jamais se terminer et Zéleph n’accéléra jamais le pas, comme pour la rendre plus ennuyeuse encore. En réalité il cherché à ne pas se faire piégé. La seul lumière qui éclairé ses pas était sa torche. Aussi grosse soit la flamme, cela ne lui donner pas la meilleur des visibilités. Bien au contraire. Chaque pas qu’il faisait était assuré, pour ne pas faire croire à ses ennemies tapis dans l’ombre qu’il pourrait les craindre. Ses pensées, quant à elles, étaient prudentes. Qui savait où le menait cette petite chose étrange ? Il avait bien peur d’être entrain de ce laissé berner. Bien qu’il en avait pleinement conscience. Il ne voyait aucun autre moyen de trouver ce pourquoi il était venu.

Son pied quitta la dernière marche et atterrie sur le sol en roche. L’esprit bleu c’était une nouvelle fois volatilisé sous son regard. Cette fois pourtant, il ne réapparut pas tout de suite. Zéleph le chercha. Rien. Il n’y avait qu’un profond vide ici. Lors ce qu’il eut l’initiative d’avancer un bruit lourd ce fit entendre derrière lui. Levant les yeux vers le haut des escaliers qu’il ne voyait qu’à peine, il comprit que le passage c’était refermer. Un léger stresse ce fit ressentir. Cette situation n’avait rien d’agréable. Son seul guide avait disparu, et il était enfermer sous une pyramide perdu en plein désert.
« Petit ? » sa voix ce perdit dans un écho.
Il eut la sensation que la lueur ne reviendrait plu le guidé avant un moment. Plutôt que prendre le risque de trouver le centre de la pièce, Zéleph commença par longer le mur pierre. Le bruit de ses pas résonné dans l’immensité de la salle. Aucun autre son que celui-ci ne se faisait entendre dans ce lourd silence. Que sa respiration étrangement calme, en vue de la situation. Sa main glissa le long de la roche aux reliefs grossiers. Il n’y avait plu de hiéroglyphes ici, comme si cette endroit n’avait pas était créer pour la même raison que le reste de la pyramide. Comme si quelque ici était arrivé.

Zéleph fini par arriver au coin de la pièce. Il avait marché un long moment dans la même direction, ce qui voulait dire que cet endroit était bien aussi immense qu’il l’avait imaginé. Devait-il en faire tout le tour avant d’en chercher le centre ? Cela aurait était surement la meilleur chose à faire. Dans cette endroit oppressent, mieux valait mettre les meilleurs chances de son coter. Le roi ce remit alors en marche. Sur qu’au bout de cette quête il gagnerait quelque chose qui valait la peine de se perdre. Sa seule peur était de croiser la mort. Cacher. Quelque chose le guetter, il en était persuader. Illusion de l’esprit ou vérité. L’ombre commencé à l’oppresser. Doucement mais surement ses penser succomber à l’idée qu’un grand danger aller venir. Son instinct le soumettait à la crainte et la prudence à chaque mouvement, chaque battement de cils ou de cœur.

Ce silence, totale, aller le rendre fou. Habituer depuis trop longtemps au bruit des corps qui l’entourent au Circus, il n’aurait jamais crue qu’un tel néant puisse encore exister. Cette fois il décida de foncer vers le centre de la pièce, tant pis. L’irritation avait fini par être plus forte que la crainte du vide. Ce fut un choc lors ce qu’après quelque mètres à peine il tomba sur un mur. Comment ? Zéleph n’aurait jamais cru tomber sur un obstacle aussi vite. Il avait fait tout le tour. La salle lui avait paru bien plus grande, mais l’ombre caché bien des secrets, et il en fut la première victime. De nouveau perdu, seul dans le noir le réprouvé espéra que le feu follet aller réapparaitre, car à présent il ne savait même plu d’où il venait.

Droite. Gauche. Il revenait à la case départ. Son sens de l’orientation déjà médiocre, n’arriverait jamais à briller dans un tel moment. Zéleph ce mit a erré comme un condamné dans ce lieu inconnue, emplit de mystères. Son plus grand malheurs ce fut lors ce que sa torche approcha de sa triste fin. Il fallait bien que cela arrive, elle n’était pas éternelle. Tout comme lui si il ne trouver pas le moyen de sortir d’ici. Malheureusement pour son propre bien, il était bien décidé à trouver l’objet qu’il était venu chercher avant d’avoir le désir de s’en sortir.
« Fait ch*er. » le soupire s'évapora avec son désespoir.
Ayant toujours eu un dialecte particulièrement pousser et châtier, ce moment ne dérogea pas à la règle, vue dans quel mauvaise situation il c’était mis.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 13:21

sans perdre un instant.


Un grattement. Oui un bruit, comme un léger grattement s’éleva du silence. Dans le noir absolu. Zéleph chercha à trouver sa source. Les yeux ouvert ou fermé, cela ne faisait aucune différence. Il était aveugle. Ce bruit était sa seul chance de retrouver la lumière. Ce concentrant totalement sur ce qui semblait être des griffes ce faires sur un mur, comme celle d’un animal. Le réprouvé longea le mur pour s’en approcher. Du moins, les mains cherchant des prises, ses pas tâtonnant le sol, il avança vers ce qu’il crut être le bon chemin.

Il détesta cette sensation. Perdu dans le néant. Priver de son sens le plus utile. Il marcher comme un vieillard sans sa canne. Cherchant son chemin. La peur de tomber à chaque seconde. La peur. Une sensation unique et plus utile que certain pouvait le penser. A ce moment elle encerclé Zéleph, comme un étau insatiable. Le « rien » était quelque chose de terrifiant, pour qui que ce soit. Les enfants dans leurs chambres, les morts dans leurs cercueils, les âmes perdues dans de profonds souterrains. Après un instant il finit par prendre un peu confiance. Rien n’était clair, son chemin aussi noir qu’inconnue, mais le grattement ce faisait un peu plus fort. On aurait dit des bruits de pas précipité. De petites bêtes. Quand Zéleph réalisa cela ce fut trop tard.

Son pied ne rencontra plu le sol, mais le vide. Il tomba alors en avant. Ses yeux ce fermèrent d’eux même attendant le choque. La chute ne fut pas longue avant qu’il atterrisse. L’atterrissage fut amorti par un tas de petite chose qui craquèrent sous son poids. Une odeur putride vin agresser sa narine. Ce redressant il ouvrit enfin les yeux lors ce qu’un rat monta sur sa jambe. L’éclairage ici était faible, mais bien présent. Lors ce que le regard du réprouvé fit le tour de la pièce, une irrépressible envie de vomir lui vin. Il avait atterrie sur des os. Les grattements venaient des diffèrent rats, à moitié malade qui se nourrissaient du peu de chairs en décomposition qu’il y avait ici.
« C’est pas vrais ! » du dégout, de la colère transpiré de ses mots.
La question qui lui vin était pourtant simple. Où est-ce qu’il était encore tombé ? Ce levant il ce débarrassa des rats affamer et descendit de cette montagne de morts. Avec une grimace il essuya la saleté qui c’était mise sur ses vêtements. Etre sale ne le déranger pas, mais savoir ce que c’était le rendait malade. Le regard vide. Il remarqua que cette pièce était toute petite. Sans issus. Pour changer. Un juron sortit simplement. Seul réaction dans un moment où d’autre aurait paniqué. La crainte de finir comme ce tas de visiteur derrière lui. Zéleph savait voler, il n’avait aucune peur quand à rester bloquer ici, mais il n’avait aucune envie de retourné dans le noir absolu. De toute façon la trappe qui c’était ouverte pour le laisser tomber avait à présent disparut, faisant place à un plafond lisse, sans fissure apparente dans l’obscurité. N’avait-il pas pressentît que cela aller arriver ? Pris au piège, comme tous ceux qui était ici.

Un soupire. Un rat tenté de grimper sur son pied. Il l’envoya simplement finir sa vie contre le mur déjà plein de sang devant lui. Ce fut à ce moment qu’il la vie. Un mot. Une simple phrase écrite avec du sang, sur toute la largeur du mur. C’était si flagrant, si évidant, qu’il ne l’avait pas vue. Le réprouvé était figé. Un frisson d’effroi le parcourra. Il n’avait jamais rien vue de tel. ZÉLEPH
« C’est une blague ? »
Son propre nom était afficher là, sonnant comme un avertissement. Seulement il savait que c’était impossible que ce soit pour lui. Non. C’était pour l’autre. Celui qu’il avait vaincu. De la haine a l’état pur. Qui avait eu assez de colère pour écrire en si grand. Le sang d‘un seul corps n’aurait suffi. Le roi resta devant ce simple mot, contemplant le triste résulta d’une torture mental certaine et insoutenable, ou l’avertissement d’une mort lente. Par tous les Dieux, où est-ce que les esprits du temple l’avait envoyé au juste ? Toujours plus de mystères et de moins en moins de lumière. Rien ne sentait bon dans tout ça et le réprouvé avait bien peur de ne pas en sortir indemne. Adam l’avait prévenu de prendre les avertissements des esprits au sérieux, mais comme d’habitude il avait oublié de l’écouter préfèrent foncer sans réfléchir dans la gueule du loup.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 17:05

sans prendre de gants.


Mascarade. Ce mot écrit. Qu’une blague. Son propre nom. Fait de sang. Il réfléchit. Qu’avaient dit les esprits déjà ? Un objet destructeur, capable de rendre fou tout être bénéfique et être maléfique. Plus il y penser et plus cela ce rapprocher de son démon. En lui beaucoup d’interrogation ce poser. Toujours sans aucune réponse, il finit par soupirer agacer. Perdu et cela dans tous les sens du terme. Voir son propre nom en sang sécher sur un mur, cela lui taper sur les nerfs. Il était enfermer dans une pièce qui empester les corps pourrie et les gémissements de rat le dégouté. Ne voulant plu voir cette horreur il prit l’initiative de s’en débarrasser. Le coup qu’il donna fut fatal pour le mur. S’écroulant sous un nuage de fumer, les rats en profitèrent pour s’enfuir entre les grava. Pour sa part Zéleph attendit que la poussière ce posa pour voir ce que cela cacher. La solution avait était juste là. Son nom écrit tel une cible sur un mur.

Comme si il était tombé au plus bas, l’endroit où il mit les pieds n’avait plus rien des pierres de la pyramide, faire de roche de sable. Il était dans une grotte, froide et humide. Cela n’allait donc jamais finir. Il était condamné à arpenter les profondeurs du désert jusqu’à ce qu’il finisse par tomber ce mystérieux objet. Il n’avait aucune idée de ce à quoi il ressembler, mais vue le peu de chose qu’il y avait ici, il était certain de ne pas le louper. Entrant dans cette endroit glacial, il s’éloigna peut a peu de la lumière. Sa seul demande était qu’il ne retombe pas dans la même cécité, cette fois il ne le supporterait pas aussi longtemps. Alors que la lumière devenait de plus en plus faible au fil de ses pas, la lueur bleutée refit surface.
« Tu t’es décidé ? » sortit-il avec un simple sourire.
Est-ce que les feux follets pouvaient comprendre els vivant ? Zéleph n’était pas un as sur ce sujet et cela lui importait peut. Comme un miracle au moment où l’ombre revenait l’encerclé, cette petite chose lui apparaissait. Bonne ou mauvaise chose, il n’avait toujours qu’une solution. Il la suivit. Cette faible lumière était son seul espoir. Triste vérité, certes. S’enfoncent dans cette grotte dans ses plus profondes entrailles. Le réprouvé entendit de l’eau. Comme un cours d’eau. Plus il avancer et plus ce cour d’eau ressembler à un torrent.

L’esprit bleu disparut. Regardant autour de lui Zéleph fut fasciné de voir autant d’eau. Des cascades déferlaient de tous les coter. Posant un pied de plus en avant il ce stoppa net. Des flammes bleues s’allumèrent en cercle tout autour de la salle. Comme des dizaines de feu follet. Une fois la lumière allumé il put voir ce qu’il y avait. Un bassin ce tenait au centre du cercle bleu. Le décor autour était surprenant. Des pilonnes, des colonnes ce rejoignant sur une statue de femme. C’était à la fois magnifique et terriblement inquiétant. S’approchant un peu plus, il posa son regard sur le bassin translucide. L’eau y paraissait plus pure que nul par ailleurs. Voulant toucher cette eau à l’aspect étrange il entra dans le cercle des feux follet. Ceux qui étaient sur son chemin disparurent, dans un léger vent qui secoua ses cheveux et ses vêtements.
« Ne fait pas ça. » il sursauta.
Cette voix n’avait rien d’humaine, et lors ce qu’il leva els yeux pour voir qui avait parler il avait raison de le penser, car il n’y avait rien. Rien que du vide. Ce genre de manière avait tendance à agacer le seigneur des deux rives.
« Qui êtes-vous ? »
Une rafale de vent l’obligea a ce cacher le visage. Lors ce qu’il put enfin regarder, une femme flotter dans les airs. Le corps fait de la même matière que les feux follets et aussi nue qu’au premier jour. Elle était l’incarnation même de la statue derrière elle. A la fois magnifique et terrifiante. Elle rit. Un rire cristallin, enfantin qui surplomba le bruit des chutes d’eau.
« Tu sais qui je suis. » susurrât-elle.
Le réprouvé était égaré entre l’envie de nié et celle de croire que c’était vrais. Quel était cette sensation au fond de lui ? L’être surnaturelle qu’était cette apparition ce posa aux milieux du bassin, marchant sur l’eau dans une démarche naturel. Près de lui, elle eut un sourire tendre.
« Tu sais qui je suis, Shizuo Stark. » laissât-elle entendre dans un murmure.
Cela parut être un écho se répercutant dans l’esprit du réprouvé. Comment ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 19:57

je te ressent.


Son regard était fixe. Choquer. Figer. Elle connaissait son nom ? Trop de chose était étrange ici depuis qu’il était arrivé. Son nom écrit avec du sang sur un mur et à présent cette créature faite de rien qui connaissait son nom d’autre fois. Elle avait beau dire il ne savait pas qui elle pouvait être. Jusqu’au moment où. Deux ailes lumineuse, tout aussi bleu qu’elles, apparurent dans son dos. Cette fois Zéleph fut éblouit.
« Lucy ?» Hésitât-il.
Elle rit à nouveau, puis posa un regard doux sur lui. Presque Maternel. Oui c’était elle. Il n’aurait jamais crue pouvoir la voir. Etait-ce un esprit ? Ou une apparition de sa propre folie. Pourtant elle avait l’air tout à fait réel, mais il croyait qu’il n’y avait que les chamanes qui pouvaient voir les esprits errant ?
« Je suis condamné ici. » dit-elle, cassant le silence qu’il avait lui-même imposé. « Condamné ?» >« En attendant que la malédiction continue. »
Il parut soudainement comprendre. Bien sûr, sa mère était morte, Lucy vivaient en chacune de ses descendantes, bannies a jamais du monde, devant subir une vie voué à l’échec dès la naissance sans jamais pouvoir intervenir. Une torture que les autres races lui avaient souhaitée, pour l’éternité. C’était donc dans ce lieu qu’elle était enfermé. Pourquoi ? Pourquoi spécialement ici ?
« C’est ici que nous nous somme aimez. »
Lucy répondait à ses questions avant même qu’il ne les poses. Il comprit à sa réponse que la douleur ne devait n’en être que plus intense de devoir attendre sa prochaine vie dans le lieu de son bonheur, de sa déchéance. C’était ici. L’endroit où Zéleph et elles étaient tombé amoureux, avaient vécu, loin de tous. Il comprit que c’était ici qu’elle attendait sa propre mort, avant que son esprit soit associer au corps de la prochaine mère, qui tomberait amoureuse d’un démon, et porterait un enfant tel que lui, pour mourir et recommencer encore. C’était sa prison.
« Je croyais avoir briser la malédiction libérant Zéleph en moi. » dit-il.
« Tu l’as fait. » Répondit-elle simplement.
« Alors pourquoi ? »
Se rapprochant de lui, elle déposa un doigt sur ses lèvres dans un « chut » si léger qu’il flotta dans le vent. Il ne sentit que de l’air, mais le geste suffit à lui faire arrêter ses questions.
« Tu ne pourras jamais nous sauver, nous méritons cela. »
La main qu’elle posa sur sa joue ne lui fit sentir aucun contact, et pourtant il ressentit un profond bien être. Dans ses yeux. La même lueur que celle qui vivait dans ceux de sa mère. Il s’y noya quelque secondes qui parures être de longues minutes. Lucy était sa mère. Du moins d’une certaine façon, c’était une partie d’elle. Alors c’était comme si il l’avait retrouvé pour un petit moment. Son être tout entier ce calma. Toute la colère, la haine. Sa présences lui fit ressentir un profond calme, comme lors ce qu’il était enfant.
« Shizuo, tu n’es pas là par hasard n’est-ce pas ? »
« En réalité, je ne sais plus très bien. »
Les esprits du temples lui jouer un mauvais tour, ou bien le « il n’y a que vous qui puissiez nous venir en aides » était vrais. Si cela avait un rapport avec les amants maudit, Lucy et Zéleph, alors en tant que leurs descendant il supposer être le seul à pouvoir les aidée.
« Tu es ici pour le cristal. »

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 19:58

la mort dans le sang.


Le regard perdu. Paumé. Il ne savait plus où il en était et ce retrouver vide face au fantôme de son passer. Lucy, de son sourire tendre et de sn regard bienveillant avait l’air d’en être doucement amuser. Lui cela ne le faisait pas rire. Quel était ce cirque de puis tout à l’heure ? Un feu follet, puis tous ces cadavres, son nom écrit sur le mur et maintenant son ancêtre ? Il y avait quelque chose de mauvais là-dessous, quelque chose de sombre. Le pire pouvait arriver.
« Où se trouve-t-il ? »
« Par ici. »
Elle lui montra le bassin sur lequel elle marcher avec élégance, donnant presque l’impression de voler. Zéleph se pencha pour regarder le liquide. Voulait-elle dire qu’il devait plonger ? Ne cherchant pas à comprendre il comment-ça a s’élancer.
« Attend ! »
Ce stoppant brusquement dans son élan il leva les yeux sur elle. Quoi encore ? Elle lui sourit et ce plaça derrière elle, posant ses mains glacer sur ses épaules.
« Ne plonge pas, marche simplement. Fait-moi confiance. »
Très bien. Il acquiesça. Ne comprenant pas trop il fit un pas dans le cercle d’eau. Contrairement à ce qu’il penser il ne finit pas le pied dans l’eau. Ce fut comme si la terre autour de lui bouger et lui non. Allant tout droit, il traversa l’eau sans être mouiller et son pied atterri à nouveau sur la roche. Ce bassin était en réalité un portail et il remercia intérieurement Lucy de l’avoir empêché de plonger, il ce serrait fait sacrément mal. Lors ce qu’il se retourna vers le bassin, celui-ci ce vida. Quoi ?! Il ne pouvait plu revenir en arrière, l’eau avait disparue. Soupirant il ce concentra sur la pièce. C’était la même grotte qu’il avait quitté, seulement toutes les couleurs avait disparu. Il était entré dans un monde en noir et blanc. Troublante vision.
« Lucy ? » sa voix ce perdit dans un écho.
Rien n’y faisait, cette fois il était seul dans un monde dénué de couleur. C’était étrange, mais il ne s’attarda pas à s’étonner de cela. Posant son regard autour une étrange barque capta son attention. S’en approchant il réalisa qu’elle était faite de la même roche que le reste de la grotte, seulement elle était en train de flotter. Voyant que le court d’eau où elle était sortait d’ici il y vue un moyen de partir et monta à bord. Il ne fut pas assis que la barque ce mit à avancer seul, sans même qu’il n’est pris la pargué.
« Comment ? »
Il ce redressa pour observer le transport. Pas un moteur, rien, de la magie alors ? Ses questions n’auraient jamais aucune réponse et il ne put continuer ainsi car la barque ce dirigea droit vers un torrent. Le bruit violant de l’eau frappant la pierre le fit frissonner. Il n’imagina pas la force qui ce déverser là et ne voulait pas que ses os ce brise ici. M*erde. Ce fut la seul chose qui lui vin lors ce qu’il se rendit compte qu’il n’avait aucun moment d’en rechaper. Il avait tenté de faire apparaitre ses ailes mais cela ne marcher pas. Il fut alors emporter avec la barque dans une longue chute. Fermant les yeux il n’u que le réflexe de ce protéger la tête lors ce qu’il rentra brusquement dans l’eau. Le choc fut brutal, mais il ce reprit et nagea jusqu’à la surface, non pas sans être un peu assommer. Gagnant la berge il si allongea, le souffle couper. Il s’endormit.
« hey Monsieur t’es mort ? »
Zéleph entendait une voix lointaine. Elle ressemblait vaguement à celle d’un enfant. Sentant quelque chose le piquer il grommela quelque chose d’incompréhensible. Un rire lui parvint alors dans ses songes.
« Faut pas rester ici, il va revenir ! »
Ce faisant à présent clairement pousser le réprouvé ouvrit les yeux et ce frotta la tête troubler. Une petite fille entra dans son champ de vision. Elle était bleu, faite de la même matière que Lucy. Un fantôme encore ? Pourquoi était-elle bleu alors que tout le reste ici était dénué de couleur. Elle lui attrapa le bras et le tira l’air soudain affolé en jetant des regards terrifier un peu partout.
« Vite ! Vite ! Aller viens ! Il arrive ! » chuchota-elle.
Le réprouvé ce laissa conduire dans un trou de la grotte, il si accroupit sans vraiment comprendre ce qui ce passer. Lors ce qu’il vit une ombre passer devant lui. L’esprit tremblant a ses coter. C’est quoi ces conneries encore ? Sortant de sa cachette une fois la menace évaporé, la fille en fit de même, lévitant à ses côtés.
« Ouf, bah heureusement que j’étais là. » Dit-elle décontracter.
« Qu’est-ce que c’était ? »
Le fille ce glissa devant lui le fixant comme si il venait d ‘une autre planète.
« Tu ne connais pas le minotaure ? »
Elle avait l’air réellement choquer. Puis elle croisa les bras sur sa poitrine prenant un air de maitresse d’école.
« Le minotaure des sables mange l’âme des gens, qu’ils soit mort ou vivant. »
Génial Zéleph était blaser. Un torrent, puis un mangeur d’âme. C’était une journée exceptionnel dans la vie du réprouver.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 22:03

la peur au trouss.



La petite fille se mit à rire. Qu’est-ce qu’il y avait de drôle au juste ? Elle approcha sa main de son front et lui donna une pichenette.
« Petit blondinet. » Ce mit-elle a chantonner.
Le réprouvé grinça des dents, mais elle s’enfuit en riant. Blondinet ? Réalisant ce qu’elle lui avait dit, il regarda ses mains. Il ne put éviter de se rendre compte qu’elle avait raison. Les tatouages qui couverts es bras étaient revenu, cela voulait donc dire qu’il avait perdu son pouvoir de métamorphose. Plu d’ailes, plu de métamorphe. C’est pas vrais … Tout ses pouvoir avait disparu. Heureusement il lui rester ses armes et sa force naturel. C’était mieux que rien. Zéleph se mit à la recherche de la gamine, la suivant dans le gouffre qu’elle avait pris.
« Hey, petite ! »
Seulement quand il arriva au bout il était encore devant un ravins et la fille n’était pas là. Il n’avait pas rêvé pourtant. Ce penchant vers le ravin il n’y vu qu’un profond vide.
« Bouh. »
Le réprouvé faillit tomber dans le vide. Levant son regard sur la petite fille qui riait comme une folle il ne dit rien mais le pensa très fort. Je vais t’étrangler. ce relevant en flottants es vêtement il se retourna vers elle qui regarder en bas. Il y avait une chose que le réprouvé ne comprenez pas.
« Comment ça ce fait que je puise te voir ? »
Normalement il n’y avait que les ombres ou les chamanes qui le pouvait. Enfin de ce qu’il en savait. Lui n’était ni l’un ni l’autre. Cette fille n’était pas un fantôme. Elle en avait l’aspect, mais elle était comme Lucy, d’une matière bleutée, comme une lueur solide. La petite se contenta d’hausser les épaules et de répondre vaguement.
« Tu ne viens pas de ce monde. »
« Pardon ? »
« Oui, tu viens du future. Tu as traversé le portail. »
Cette fois encore Zéleph était totalement perdu. Il était dans la passer ? Cela expliquer beaucoup de chose, comme le faite que tout était noire et gris ici, ou qu’il ne pouvait utiliser ses pouvoir. En réalité il n’exister pas ici. Si il venait vraiment du futur, il n’était donc pas encore née, sinon il pourrait au moins utiliser ses premiers pouvoirs.
« Tu es là à cause des esprits du temples. »
Comment elle pouvait le savoir au juste ? C’était quoi cette histoire encore ? Il avait passé un portail pour se retrouver dans le passer avec une petite fille morte qui savait exactement d’où il venait. Il n’y avait rien qui sonnet mal là dedans ? Soupirant Zéleph regarda autour de lui. Il savait au moins où il était, même si ce n’était pas la même époque.
« Dit c’est quoi ton nom Monsieur ? »
« Zéleph »
« QUOI ?! »
L’esprit bleu avait crier si fort que des pierres s’en étaient détacher des mur pour tomber dans le ravin sous le choc de l’écho. Elle le dévisager comme si il était fou, mais lui la regardait l’air blasé. Quoi encore ? Elle plissa les yeux comme pour l’observer, puis d’un air suspicieux elle le questionna.
« Comme le dieu démon ? »
« Je suppose. » Dit-il simplement.
Elle ce recula comme pour se protéger, les yeux grand comme des soucoupes. Qu’est-ce qu’ils avaient tous avec son nom en ce moment ? Depuis qu’il était né celui-ci ne disait rien à personne, et en une heure il n’en avait jamais autant entendu parler.
« Tu es le vrais Zéleph ? Alors les chefs de races n’on pas réussit à te t’enfermer ? »
C’est donc ça…
« Si il l’ont fait, je suis un autre Zéleph. »
La petite fille soupira l’air profondément soulager. Il était donc dans le passer, si loin que Zéleph sévissait toujours. Il aurait peut-être pu sortir d’ici et rencontré son ancêtre, mais c’était loin d’être une bonne idée, mieux valait prendre ce pourquoi il était là et retourner à son époque. Ainsi tout irait bien mieux pour tout le monde. La fille lui fit un grand sourire et ce rapprocha de son visage dans un éclat de rire.
« Moi c’est Nina. Je vie ici par ce que je me suis perdu et je suis morte, mais le minotaure n’a toujours pas manger mon âme, je suis donc condamner a le fuir. »
Zéleph acquiesça. Pourquoi était –il là au-dessus de ce ravin déjà ? La réflexion lui fut à peine venue, qu’il vit la fille le pousser d’un doigts.
« Non, ne fait pas … »
Trop tard il tomba en arrière, en vrais chute libre. Je hais les enfants !


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 22:09

l'oubliede soi.


Une chute. Encore une chute. Cela n’allait jamais s’arrêter. Du moins ce fut la sensation qui traversa Zéleph au bout d’un moment. Lui qui avait ressenti ce frisson, ce vide en lui, la peur du choque final. Seulement il l’attendait depuis ce qui lui semblait assez longtemps pour retrouver le contacte du sol, qu’il soit violat ou non. Soudain il vit la petite Nina apparaitre devant lui. Elle lui fit un clin d’œil.
« Bouche toi le nez. » et elle disparut.
Le réprouvé eu envie de l’appeler, il en comprenait pas du tout et commencer à paniquer. Lors ce qu’il entra dans l’eau. Une nouvelle fois. Ce fut une vraie douche froide. Buvant la tasse il finit par sortir de l’eau et tomber au sol. Allonger là il était complétement désarçonner, en profitant pour cracher ses poumons. Lors ce qu’il rouvrit les yeux, sa toue calmé, il vit au-dessus de lui une étrange chose. Le plafond était fait d’eau. Il avait donc chuté et avait traversé cette eau qui avait amortie sa chute avant qu’il n’atterrisse ici. Incroyable. C’était bien le mot. Comment était-ce possible qu’un truc de ce genre existe. Juste là, au bonne endroit au cas où comme lui, des personne étaient amener à tomber dans ce ravins. Maintenant, était-il toujours sous la pyramide ? Non à force de bouger comme ça il devait s’être perdu au fin fond du dessert, et même pas dans son temps en plus …
« Vous vous êtes fait mal ? »
Zéleph aperçu au-dessus de lui le visage d’une femme brune. Elle avait l’aire inquiète et elle avait l’air réel cette fois. Ce redressant le réprouvé regarda autour de lui. Un léger vent passa dans sa chevelure. Il était au milieu d’un champ d’herbes hautes. Levant les yeux, il ne vit plu le plafond d’eau, mais un ciel aussi bleu qu’il aurait pu le voir dans ses rêves. C’est quoi ce bordel ?
« Monsieur ? »
Il posa son regard sur la femme qui le fixer avec un sourire. Elle posa sa main sur son front et il eut un frisson. Une légère brulure. Elle grimaça en regardants es doigts couvert de sang.
« Vous vous êtes bien fait mal oui … Allez venez, ont vas soigner ça. »
Il ne dit rien et la suivit complétement chambouler par ce changement. Etait-ce encore une mauvaise blague d’un manipulateur de rêves ou de réalité ? Non car à part cette petite bosses il ne lui était rien arrivé, donc il avait du mal à croire qu’on l’ait pris au piège pour qu’il se retrouve dans un champ. De plus toute les couleurs étaient revenu, mais il n’avait toujours pas retrouvé ses pouvoir car il ne pus ce soigner lui-même. Perdu au milieu de champs qu’il n’avait jamais vue, il remarqua des moulin au loin. Il était sur des terres agricoles.
« C’est ici. »
Le réprouvé parue ce réveiller quand la jeune femme lui ouvrit la porte. Il entra en la remerciant. Elle ferma la porte puis le fit assoir sur une chaise dans un « attendez moi là je reviens » très vague. Il était concentré sur autre chose, sur ce qu’il venait de lui arriver. Lors ce que la femme revint, elle posa sur la table tous ses ustensiles. Prenant une compresse elle l’en imbiba d’une étrange potion.
« Attention ça risque de piquer un peu. »
Elle l’appliqua, mais il ne sentit qu’un grand froid, anesthésia totalement la douleur. Elle rit un peut en continuant d’appuyer, puis elle lui prit la main pour la poser au même endroit et le forcer à le faire lui-même. Docile il obéît. Il n’avait franchement pas la tête à refuser quoi que ce soit.
« Vous êtes un gros dure. D’habitude les hommes pleurnichent toujours. De plus vous êtes tombé du ciel et vous n’avait qu’une bosse. Vous avez une langue au moins ? » riat-elle.
« Du ciel ? »
Elle se mit à rouler un bandage autour de sa tête pour tenir une compresse neuve. Il avait l’aire complétement perdu, comme un enfant dans une foule, loin de ses repères et c’était bien le cas. Depuis qu’il était entré dans la pyramide tout ne fonctionner plus avec logique. Il était totalement désorienter.
« Oui du ciel. J’étais entrain de récolter mon foins quand vous êtes tombé a quelque mètres de moi. »
Elle finit d’enrouler a tête dans le drap fin et elle le coinça, puis admira son travail dans un sourire tendre. Soupirant un « mignon », elle partit ranger toute ses affaires de premiers soins. Quand elle revint ce fut avec de tasses de tisane et elle s’assit à coter de lui sur la table.
« Vous vous rappelez de votre nom ? »
Zéleph al regarda hésitant. Devait-il lui dire son nom ? Vu la réaction de l’esprit de la petite fille il choisit de se retrancher dans le passer. De toute façon il n’avait même pas son physique normal. Il était blond, tatoué et couvert de cicatrices.
« Shi… Shizuo. »
« Enchanter Shizuo, moi c’est Tsukoyo. » dit-elle dans un sourire éclatant.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 22:12

l'erreurpositive.


Une faux dans les mains. Le soleil tapant sur sa nuque. La chemise trempée de sueur. Comment en était-il arrivé à récolter le blé avec les paysans de la région ? Eh bien il avait eu l’impression qu’il avait rêvé tout cela. Comme si le coup qu’il avait pris sur la tête lui avait fait oublier la vraie vie et que sa vraie vie était ici, dans ce monde qu’il ne connaissait pas du tout. Alors il récolter le blé pour les moulins autour avec les paysans du coin. Dormait chez la fille qui l’avait trouvé, mangé pour ce qu’il avait travaillé. Pourtant il ne pouvait pas arrêter d’y penser. Tout cela sonnet affreusement faut.
« Shizuo ! »
Le réprouvé ce redressa frottant de son bras sur son front pour y retire les goutte de sueur qui y perlé, et voir courir vers lui Tsukoyo. Arriver à sa hauteur elle lui sourit et sur la pointes des pieds elle arriva à lui mettre un horrible chapeau de paille sur la tête.
« Tu l’as encore oublier. Et, tien hydrate toi, tu vas finir par nous faire un malaise, monsieur le dure a cuir. »
Il prit le bol d’eau et le bue sans rechigner, puis il puisa a nouveau dans le seau qu’elle portait.
« Hey le blondinet tu comptes te sifflet tout le sceau ?! »
Zéleph posa son regard sur les autres hommes qui ce mirent a rire comme des cochons. Tsukoyo lui sourit désoler et reprit le bol.
« Ne fait pas attention à eux. »
Acquiesçant il se remit au travail. Il se ficher de ces abruties avec qui il devait ramasser le blé. Ce qui le déranger c’était la façon dont ils étaient avec Tsukoyo. Elle vivait seul dans ce monde masculins et on ne pouvait pas dirent qu’ils étaient gentils avec elle. Il ne le supportait pas. Que ce soit elle ou une autre femme, c’était pareille. Le soir même il était à la fête des moissons, entourées de tout le pays paysan. C’était réellement étrange. Il n’avait pas l’impression d’appartenir à cette vie. Il était tombé du ciel, donc les souvenirs qu’il avait était vrais, la grotte, le passage dans l’eau. A table aux milieux des autres, tout le monde buvaient et manger à sa faim, fêtant le travail accompli pendant ses dernier mois. Lui y était convier, mais il n’était là que depuis une semaine à peine. Pourtant il bue et mangea lui aussi. Seulement il ne le faisait pas de façon aussi vulgaire que les autres. Fatiguer par tout cela il finit par rentré chez Tsukoyo. Sur le chemin il croisa des enfants jouant avec des ronds de tonneaux et des bouts de bois. Il eut un sourire. Les gamins c’est pas si énervent pour finir.
« Non lâche moi ! »
Zéleph tendit l’oreille. C’était la voix de Tsukoyo, et elle venait de crier. Courant jusqu’à sa porte il l’ouvrit sans attendre et ce qu’il vit le fit frissonner. Une vision d’horreur. Attrapent le porc qui agresser son hôte, le réprouvé n’attendit pas avant de lui lâcher son poing en pleine figure. Désarçonner par ce changement de situation, le type ce tenu le nez casser et leva un regard furieux sur le coupable. Serrant les poings, Zéleph était furieux, il aurait pu le tuer. Le type ce jeta sur lui, et sous les cris terrifier de Tsukoyo les deux hommes ce bâtèrent. Seulement Zéleph avait oublié sa grande puissance et il tua cet homme dans sa rage, sans même s’en apercevoir. Il était à terre, couvert de sang et le réprouvé le regarda, la mort ne lui faisant étrangement rien.
« Mon dieu ! Shizuo tu là… tu là tuer !» hurla-t-elle.
Terrifier plus par la remarque de la femme il se tourna vers elle et leva ses mains pleine de sang, comme pour lui s’excuser. Il avait plus honte qu’elle l’ai vue, que de l’avoir fait. Son regard sur lui, lui fit atrocement mal.
« Mais il ... il le mérité. Tsuko … »
« Non ne m’approche pas !»
Elle pleuré. Ce fut comme si le sol s’ouvrait sous lui. Il sentit un coup sur la tête. A nouveau. La sensation d’une chute libre. Lors ce qu’il sortit de ce trou noir il était dans une cellule. Du moins cela y ressembler. Il y avait un rat. Des barreaux. Et tout était d’un noir absolut. C’est quoi encore cette m*rde ?!. Il se passa une main sur le visage, passablement énerver.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 22:47

Sansvie,sanslumière.


Ce grattement allé le rendre fou. Ce rat. Cette puanteur. Ce silence. Cela lui faisait revenir de lourds souvenirs. Il avait bien eu raison, ses trois jours n’avaient rien eu de réel, tout comme ce qui ce passer en ce moment. Seulement il avait perdu pied et ne savait plus où commencer la réalité et où elle finissait. Allonger sur la pierre dure de ce qui était supposé être une couche il soupira dans le silence. Il n’arrivait plus à comprendre. Tout cela n’avait aucun sens, aucun. Seulement si cela avait était un rêve il ce serrait réveiller à chaque fois qu’il était tombé, ou qu’il avait touché de l’eau. C’était le genre de sensation qui réveiller les gens. Etait-il mort ? Non cette question était absurde et il l’oublia vite. Plonger dans ces multitudes de questions, de pourquoi, qui ce chambouler en boucle dans sa tête un grand bruit métallique à vous créer une migraine lancinante.
« Réveille-toi bouffon, c’est l’heure de la soupe. »
Ce frottant la tête, Zéleph ce redressa et regarda devant lui. Derrière les barreaux, un homme vêtu tout de noir, sans visage lui lança un bol remplit d’une sorte de purée a la couleur vertes, puant le cadavre.
« Qu’est-ce que c’est ? »
« Pause pas de question et bouffe. »
L’homme continua son chemin dans le couloir, ce trainant son charriot. Regardant son bol le réprouvé le balança au rat qui n’attendait que ça. Il colla son dos au mur, cognant sa tête contre la pierre. Qu’est-ce que je fou en prison ? Il avait tué un homme. Seulement il n’était pas dans le même monde. Il n’en avait pas la sensation. Tsukoyo avait l’air si loin maintenant. Il n’avait plu la notion du vrais ou du faut, à peine surprit du faite que le gars qui l’avait servi n’avait aucun visage. Passant ses journées à rien faire dans cette cellule. Il regarda le rat mourir, intoxiquer par la nourriture, puis il le balança par les quelques barreaux qu’il y avait au-dessus. C’était la seul embrasure qui laisser un peu de lumière passer. Pas grand-chose, juste quelques centimètres à peine. Deux, trois, peut être cinq.

C’était à ce rendre fou de passer ses journées à ne rien faire. Tourner en rond dans cette toute petite pièce noir. Il se mit à graver des choses sur les murs. Sans vraiment savoir ce qu’il faisait, disait. Il perdait la tête. A force de ne pas manger, de ne pas voir la lumière du soleil, de n’entendre d’autre bruits que les siens et les roues grinçantes du chariot du gardien. Il ne sut combien de temps il passa là. Sa barbe et ses cheveux poussèrent. Il tourner en rond. Fit de ses vêtements des lambeaux qu’il garder pour ce faire un lit. La nuit il avait froid. Il se sentait seul. Une solitude à vous en ronger les os. Allonger en plein milieux de sa cellule un jour le gardien vin, sans son chariot.
« Il est temps. »
Ouvrant sa cellule il lui enfila les menottes au pied et au mains puis il le traina dehors. Un bandeau sur les yeux il ne pouvait rien voir. Avancent lentement il sentit soudainement la chaleur du soleil sur son corps. C’était grisent. On l’agenouilla. Soudain le bandeau fut retiré.
« Aaaaaah » un crie de soufrance.
Ses yeux brulaient sous la lumière du soleil. Il ne l’avait pas vue depuis tellement longtemps, et l’adaptation était trop brutale pour que ses rétines puissent suivre et ce réhabitué a une telle intensité. Il se cacha brusquement les yeux dans ses mains. Seul coucher là, il pleuré. Il était devenu fou. La douleur le faisant ce tortiller au sol. Ses yeux le bruler, comme si on y avait appliqué un fer chaud. Au sol, il avait l’impression qu’il ne rêverait plus jamais. Il ne pouvait plu ouvrir les yeux, cela lui faisait trop mal, c’était insoutenable. Il supplia qu’on le fasse revenir dans la cellule. Il supplia à genoux, mais personne ne l’entendit, car personne n’était là. Ils avaient tous disparut. Plus rien. Il était bel et bien seul. Criant. Comment aurait-il pu le savoir ?

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 23 Sep 2012, 23:12

désertsansfin


Perdu aux milieux de nulle part. Recroqueviller sur lui-même comme au premier jour. Il n’était couvert que de tissus déchiré. Attacher comme un chien. Il resta sans bouger pendant ce qui sembla être une éternité. Il avait mal. Il avait faim. Il était maigre et sale. Que c’était-il passer ? Il avait perdu la tête. Il en savait plu qui il était d’où il venait. Tout était allé si vite. Il partait de si loin sans même savoir. A ce moment il était juste un homme, un homme seul et abandonner. Etait il plonger au plus profond de lui-même ? Voyait-il la vérité sur sa vie, ou était-il victimes de sa folie ? C’était impossible de savoir. Impossible.
« De l’ombre … un peu d’ombre… » murmurait-il.
Il avait chaud, affreusement chaud et soif. Comme si il avait était en plein soleil. Bougent un peut, il se rendit compte qu’il était sur une matière instable. Quelque chose qui lui irritait la peau. Du sable. Il était sur du sable. Ce relevant il garda les yeux fermé. Il avait si peur de recroiser la lumière. L’ombre c’était bien mieux pour lui. Il aimer l’ombre. Il n’avait pas mal lors ce qu’il rester dans le noir, le noir et le mal ne lui avait jamais fait de souffrance. Non c’était lors ce qu’il était au chaud, au soleil, dans la lumière et le bonheur qu’il avait mal. Oui, l’ombre, il voulait de l’ombre. Arrachant un bout de tissus de ce qui recouvré déjà à peine son bassin, il se l’attacha sur les yeux. Ainsi il serrait sur de ne pas souffrir. Oui, une barrière entre lui et la lumière, c’était la solution. L’unique solution. Ce mettant de bout. Les genoux s’entre choquant. Il était faible. Réellement faible, mais il arriva à faire un pas, puis deux et trois. Avençant alors il ne sut pas ce qu’il chercher. Ses mains et ses pieds encore lié de chaines il n’aller pas bien vite et n’irait surement pas bien loin, seulement il devait avancer. Toujours avancer, plutôt que de rester là à attendre. Jamais il n’avait était comme ça. Fou où non il devait avancer.

Il avait chaud, soif, faim et son seul espoir, la seul chose qui le guidé c’était le besoin de ses choses-là. Une lueur dans le noir le guider. Oui il avait les yeux bandé, mais dans ce noir absolu il voyait comme une petite flamme vacillante, faible et fragile. Elle bouger lui indiquant où il devait aller. Cette lueur lui disait quelque chose. Comme un lointain souvenir. Elle ressembler vaguement a quelque chose qu’il avait déjà vue dans sa vie. C’était peut-être pour cette raison qu’il avait confiance en elle et qui la suivit. Une confiance totalement aveugle et dans un des sans les plus propre du terme. Il n’avait qu’elle. Elle lui était apparue, comme une divinité qui descend du ciel qui vous tend la main dans un sourire tendre et qui vous dit « viens avec moi. »
« Oui, je viens. ».
Il avait perdu la tête. Tout cela était vrais ou faux, peut importer, ce n’était pas la question. La vrais questionné tait qu’est-ce que c’était ? Où est-ce qu’elle l’emmener ? Il fallait qu’il la suive, c’était tout ce qu’il avait en tête. La seul idée, la seule pensée. Le reste était vide. Un simple néant. Comme une obsession. Comme une fascination il ne vivait plu que pour cette chose. C’était pour cela qu’il se forcer à avancer, a continuer, alors même que son corps ne le porter plu. Alors même que chaque pas lui procuré une douleur excessive. C’était comme si a chaque pas qu’il faisait on lui planter un couteau dans la rotule, comme si ses poumons exploser, comme si ses bras lui était arracher, comme si ses yeux bruler. Seulement il ne pouvait s’arrêter. Cela lui était impossible. Jusqu’à ce que son corps n’accepte plu la torture qu’il s’infliger. Il tomba de tout son long dans le sable. Inerte. Il avait perdu connaissance.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 24 Sep 2012, 18:55

lefauvereviens


La sensation de frais. Un léger vent, de l’eau. Un apaisement profond et inexpliqué. C’était comme flotter sur les nuages, ne plut toucher terre. Oui c’était cette étrange sensation qui traversa le réprouver lors ce qu’il se réveilla. Plonger dans le floue il avait du mal ce sortir de ce doux plaisir. Pourtant il fallait ce sortir de cette torpeur pour revenir à la réalité. Il cligna des yeux, puis fini par les ouvrir totalement. C’est à ce moment-là qu’il se rendit compte qu’il était sur la glace. Respirant l’air frais, il n’y avait qu’une odeur qui le surprit vraiment, celle d’un fauve. Il ne s’en rendit pas tout de suite compte, ce fut quand il se leva qu’il réalisa qu’il n’était pas aussi grand que d’habitude. Il avait la tête très près du sol et sur tout, il avait du mal à ce redressé sur ses jambes. Ce fut évidant. Son regard ce figea. Il avait de grosses pattes velus, tout son corps était couvert de poiles blanc et noir. Non pas encore ! Reposant ses pattes sur la glace il tourna sur lui-même. Sous la stupeur un grognement sortit de sa gueule. Il était redevenu ce foutu tigre qu’il avait quitté au temple des esprits, mais cette fois il n’était pas dans le monde des esprits, ou peut être que si. Où était-il d’ailleurs ?

Regardant autour de lui il n’était entouré que de blanc. Nuages, glaces ou neige. L’air glacial le faisait légèrement frissonné. Heureusement il avait une épaisse fourrure. Il n’était pas malheureux de l’avoir d’ailleurs car il avait l’air d’être dans des altitudes très hautes. Il fallait qu’il comprenne ce qui c’était passer. Il ne se souvenait plu de rien si ce n’est du spectre de Lucy. Il avait le vague souvenir d’avoir traversé une masse d’eau. Une ou deux fois peut être. Il y avait une fille, oui une fille aussi avec un minotaure ou un centaure. Il commencé à s’agacer, les yeux fermer a ce concentré sur ses souvenirs. Un désert, une femme, une fête, le soleil, un rats, des menottes, … Tout ce bousculer de façon complètement aléatoire. Rien n’avait de sens. Si il avait pu soupirer il l’aurait fait. Rouvrant les yeux autour de lui, il se mit à marcher. Pas bien alaise avec son corps cependant, il trouva la sensation du froid sous ses cousiner très étrange.

Il finit dans la poudreuse, dans une descente assez raide. Mais où est-ce que je vais au juste ? Oui c’était la grande question du moment et le tigre qu’il était ne se sentait pas du tout dans son élément sur cette montagne. Arrivant près d’un rocher il ne réalisa pas bien les distances entre deux zones enneigées et il n’arriva pas à atterrir là où il l’aurait voulu. Il roula tout le long de la cote jusqu’à ce qu’il réussisse à planter ses griffe dans la pierre. Le corps dans le vide, il ce hissa et pu ce sauver d’une chute mortel. Allonger sur la roche il resta là quelque minutes à se remettre de ce stresse inutile.

Lors ce qu’il ce redressa il se rendit compte qu’une grotte complétement faite de glace. Encore une grottes ? C’était très rébarbatif. Il ne se souvenait pas de tout ce qui lui était arrivé jusqu’ici, seulement à force de rentré dans l’obscurité et l’humidité de ce genre de lieu, il se souvenait particulièrement bien de cela. Entrant dans le lieu, il eut du mal à reconnaitre que les reflets qu’il voyait dans la glace étaient bien les siens. Avancent le plus loin possible, il s’engouffra au plus profond de cette montagne. A quoi ça rime tout ça ? Perdu entre trois chemin il ne savait vraiment plu comment ce sortir de ce cercle vicieux. A la fin de ce chemin allait-il encore tomber sur une fille ? Une femme ? Peut-être tomberait-il dans le coma ? Il avait la furieuse envie d’abandonner, mais au lieu de cela il prit le chemin du milieu. Si il abandonner il n’était pas sur de revenir lui-même alors il valait mieux aller jusqu’au bout maintenant.

Entrant dans un cul de sac, c’est là qu’il le vit. Le cristal noir. Je rêve. Il était sur un pilier de glace. Une boule noire de la taille d’une bille. A l’intérieur il y avait comme des éclairs. Le tigre ce redressa alors cherchent à l’attraper de sa gueule quand il sentit el sol ce dérober sous lui. Non pas encore ! Tout disparut à part la boulle et lui et dans sa chutes il chercha à l’attraper de ses pattes, mais cela lui était impossible.




Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 24 Sep 2012, 19:56

lafolietegagne


Le cristal roula sur le sol. Zéleph essaya de l’attraper, mais sa mains ce referma sur du vide. Il vit alors la bille rouler sous le pied de quelqu’un. Levant les yeux il fut surprit de voir Adam lui sourire. Ce fut à ce moment que le clic ce déclencha. Il était redevenu humain. Ce levant il regarda ses main, ce passa ses mains dans les cheveux et sourit.
« Ca va vieux ? Tu as vu un fantôme ou quoi ? » railla Adam.
« Tu n’as pas idée. » Sourirat-il.
Adam ce tourna vers un billard et posa le cristal sur la table. Trop heureux de ce snetir enfin lui-même, Zéleph ne fit pas du tout attention, quand il réalisa soudain lors ce que la boule noir percuta le cristal qui partit dans le troue. Il se jeta dessus, mais trop tard elle avait disparu. Et m*rde !
« A toi. »
Ce tournant vers son ami qui lui tendait sa perche le réprouvé la refusa furieux de ce qui venait de se passer.
« Tes vraiment c*n !» Hurlât-il.
Adam parrut choquer par la situation, alors que Zéleph fourrait son bras dans le trou pour récupérer le cristal, mais il c’était volatiliser, la seule balle qu’il en sortit était le numéro huit, autrement dit, rien.
« J’étais a ça de l’avoir » Il fit un geste de la main comme pour montrer une infime distances. « et toi tout ce que tu trouves à faire c’est de me la balancer dans le billard !. »
Il frappa le billard le cassant en deux dans le simple but d’y retrouver son cristal, mais rien. Il était dans un tel état de colère qu’il aurait très bien pu casser les dents de son conseiller. Hors celui-ci parut aussi excédé par la réaction sur proportionner de son patron. Ce fut la première fois qu’Adam frappa Zéleph et surement la dernière. Lors ce que le réprouvé ce redressa pour poser un regard furieux sur lui, il se mit à l’attaquer sans attendre qu’il réplique.
« Tu vas te calmer avec ton citral ?! Ca suffit Zéleph ! Il n’existe pas, quand est-ce que tu vas te mettre ça dans la tête bon sang !»
Essuyant son nez plein de sang le roi des réprouvé dévisagea Adam. Quoi ?
« Ne fait pas cette tête. De pusi que tu es revenu ont a pas arrêter de te le dire. Ce temple des esprits et ce cristal n’ont jamais existé. »
Adam s’approcha de lui et posa une main sur son épaule, plongent son regard dans le sien, comme pour persuader gentiment un enfant qu’il ne pouvait pas avoir ce dont il avait rêvé. Il ne faisait pourtant pas un caprice. Il n’était pas fou, non, il n’était pas fou !
« Ecoute, on en a déjà parlait tu sais et si tu dois faire une pause dans ton travail moi et Sachiyo ont peut se charger de tout pendant quelque temps. Il faut vraiment que tu oublies cette histoire, ça commence à devenir dingue. »
Le réprouvé ce sentait bête. Seulement il n’avait rien inventé. Il était allé au temple il y a longtemps de cela. Il y était retourné deux fois. Il n’y a pas longtemps il avait reçu une lettre lui demandant de retrouver un objet, ce cristal. Il était donc allé à la pyramide et là tout c’était enchainer. Non il n’était pas fou non d’un chien !
« Ce n’est pas dingue, c’est vrais ! Les esprits mon demander ce truc, je dois leur rendre. Ça a l’air peut être fou mais je …»
« Tu as vu ton ancêtre, tu es passé dans un portail, tu as rencontré une petite filel qui ta pousser dans un ravin, tu as traversé l’eau et tu es arrivé dans un champ. Tu as récolté le blé, sauver une femme et tuer un homme, puis tu es allé en prison pendant des mois, lors ce que tue s sortit tu es devenu aveugle, puis tu tes transformer en tigre en haut d’une montagne, et c’est là que tu as trouvé le cristal. »
« Oui c’est ça !»
Adam soupira tapotant gentiment l’épaule du réprouvé. Il avait l’air vraiment inquiet pour lui, mais le réprouvé lui était persuader qu’il disait la vérité.
« Tu ne trouves pas ça un peu tiré par les cheveux ? »
« Je sais, mais c’est vrais ! Mais … comment tu le sais ? Je viens juste de me réveiller. »
Le conseiller du patron fit la grimace comme si tout cela commencé à l’agacer mais qu’il ne voulait pas le montré.
« Il faut vraiment que tu prenne des vacances. Fait le au moins pour toi, si ce n’est pas pour ton peuple ou bien pour le Circus. Il faut que tu te reposes, tu vas mal finir. Il faut que tu oublies cette histoire. »


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 24 Sep 2012, 20:48

alachaleurdubains



Oublier ? Comment oublier ? Tout cela était un énorme tissu de n’importe quoi. Rien ne coller. Adam avait-il raison, est-ce que la fatigue lui avait fait perdre la tête, est-ce que quelque chose n’aller pas chez lui ? La fatigue lui avait fait inventer tout ça ? C’était impossible, ou en tout cas très dure à le croire. C’était quand même des souvenirs très réalistes. Personne ne pouvait avoir des hallucinations comme cela, de plus il ne prenait pas de drogue, enfin très peut si on compter le tabac qu’il fumer. Est-ce que le tabac pouvait provoquer des hallucinations ? Non, bien sûr que non et il aller finir parano à force de chercher ce qui n’aller pas chez lui. Peut-être que c’était Adam qui avait raison, à force de travailler et de ne dormir que deux voire trois heures par nuit il avait fini par lâcher prise.
« Ca va mon choux ? ».
Zéleph soupira alors que la jeune femme a moitié nue se pendait à son cou. Puis cette fille qu’Adam lui avait collé pour le « détendre » commencé à lui prendre la tête tout autant que cette histoire de rêve ou de folie. Il acquiesça simplement et ce laissa embrasser sans rien dire, la tête complétement ailleurs. Ce qu’il voulait c’était du calme, faire le vide, arrêté de penser et juste oublier pour que tout soit plus clair.

En réalité il prit cette décision lors ce qu’il eut fini ce que son « amie » avait commencé. Cela ne changea pas grand-chose, il y avait quelque chose qui n’allait pas, cette impression étrange immiscé au plus profond de lui. Comment renoncer à des souvenirs aussi encré en soit ? Zéleph décida de prendre le large. Il aller prendre des vacances, loin, dans un endroit où personne ne viendrait l’ennuyait c’était le mieux au fond. Les sources chaudes. Cela lui parut évidant. Sans attendre il prit ses affaires, délégua et s’enfuit au volcan ardant. Plonger dans une de ces sources il pourrait se décontracter loin de toute la pression qui alourdissait toujours plus ses épaules.

Arriver à l’auberge il prit une chambre et si installa avec la ferme intention de ne plus penser a rien, oui de ne plus penser du tout. Pour lui c’était le principal. S’entourant les hanches d’une serviette il entra dans le bain bouillant. Assit là il soupira de bien être dans la vapeur. Voilà c’était tout ce qui lui avait manqué. Un moment de détente. Il se sentait bien mieux et commença doucement a ce détendre. L’effet de l’eau chaude sur sa peau était délicieux. Les yeux fermé il soupira de plaisir.
« C’est bon hein ? »
Zéleph sursauta ouvrant brusquement les yeux. Lors ce qu’il vit une femme devant lui il ne comprit pas. Sur tout qu’il ne l’avait même pas entendu. Il la regarda entré dans l’eau sans savoir quoi dire, sans réagir. Elle lui sourit en s’asseyant a coter de lui.
« J’ai réserver ce bain vous savez ? »
« Je sais. »
Fut la seul réponse qu’elle lui donna en l’ignorant totalement, rattachant ses cheveux pour ne pas que les mèches rebelles ne tombe dans l’eau. Zéleph la regarda levant les sourcils.
« Vous savez ce que ça veut dire au moins ? »
Elle rit en posant un doigts sur ses lèvres Mais c’est qui celle-là ?
« Adam m’envoi. »
« Encore ? »
« Non, pas ce genre de fille.... »
Alors là il était clouer. Quel autre genre de femme Adam pouvait-il connaitre au juste ?
« Je suis là pour vos problèmes. Vous m’en parlez, je vous écoute et je vous aide à comprendre ce que tout cela veut dire. »
Là il était complétement larguer.
« Je croyais qu’Adam ne me croyait pas. » Sourira-il.
Elle lui sourit comme pour signifier « qu’il est mignon celui-là », ce qui agaça profondément Zéleph. Il avait la légère sensation de puis qu’il c’était réveiller au billard que tout le monde le prenait pour un imbécile heureux et il avait tendance à ne pas apprécier ce genre de chose.
« Adam peut-être, mais moi je crois que tous les rêves ou hallucination, peut importer, ont une signification et je suis là pour vous aider. » dit-elle simplement.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 24 Sep 2012, 22:17

lasolution



Zéleph fixa sa « compagne » à coter de lui qui avait l’air de bien profiter du bain gratuit qu’elle avait. Il avait des doutes quant au faite qu’Adam lui est envoyait cette fille. Lui qui lui avait certifié qu’il avait inventé toute cette histoire, lui envoyait une femme près à le croire. Il y avait de quoi se poser quelque questions vous ne pensez pas ? Alors c’est que que fit Zéleph.
« Ça porte un nom ce que vous pratiquer ? »
« C’est vraiment ce dont vous voulez parlez ? »
Elle était en train d’attraper le plateau de friandise et de commencer d’allégrement l’entamer sans se soucier un instant de lui. Elle se fiche de moi ?
« Oui, exactement. »
La jeune femme leva enfin les yeux sur lui avec un petit sourire. Elle avala sa bouchée et lui tendit la main.
« Enchanter Zéleph, je suis Lazy, consultante. »
Il lui serra simplement la main, soudainement intéresser.
« Consultante en quoi ? »
Lazy parut surprise. Elle cacha un rire discret de sa main avec beaucoup de délicatesse, mais le réprouvé ne se fit pas éblouir.
« Oh ça mon chérie ce ne sont pas tes oignons. »
Le roi crue bien qu’il aller s’étouffer face à son audace. Depuis quand son visage laisser croire au gens qu’ils pouvaient l’appeler « mon choux » ou « mon chérie » ? Cela ne le fit pas rire du tout. Ce rapprochant dangereusement d’elle de son air menassent il fit ressortir une certaine aura maléfique.
« Redit moi ça pour voir ? »
« Et si on s’intéresser à vous un peut, hum ? Ces rêves, tout ça ... »
Zéleph leva les yeux au ciel face au dénie de Lazy. Bah tien. Tout de suite il devenait beaucoup plus intéressant. Pour finir il trouver qu’elle avait raison. Il devait bien trouver une signification à tout ça et si cette fille pouvait lui venir en aide et bien soit. Adam n’était pas du genre à faire n’importe quoi, c’était bien qu’elle devait savoir de quoi elle parlait. Si son camarade lui faisait confiance, alors lui aussi. De toute façon tout le monde le prenait déjà pour un fou, alors une personne de plus ou non, ce n’était pas bien important.
« Pourquoi Adam est si inquiet ? »
Zéleph ne pus s’empêcher de sourire. Il était donc si inquiet pour lui ? C’était mignon, il devrait lui en toucher deux mots, bientôt il l’inviterait au restaurant.
« Je ne comprends pas. Il y a un, peut être deux ans, je suis allé dans ce temple. J’y suis retourné juste avant de prendre el trône et maintenant j’ai reçu une lettre, me disant que je devais aller à la pyramide chercher quelque chose pour les esprits. »
« Les esprits ? »
« Oui les esprits.»
Qu’est-ce qu’elle avait a le fixer comme ça. Elle aussi elle le prenait pour un fou ? Ca n’en faisait qu’une de plus. De toute façon il s’en ficher, il n’arrivait pas à ce retiré tout ça de la tête, il était persuadé que tout ça était réel et il ne voyait pas pourquoi toutes les preuves avaient disparu mais c’était vrais.
« J’avais gardé la lettre, mais elle a disparu. Je l’ai cherché par tout mais rien. J’avais le pendentif que les esprits m’avaient donné, mais lui aussi a disparu. Comme si tout ce qui prouver leur existence avaient était supprimer. »
Bien sur cela aurait était trop simple si les preuves avaient toujours étaient là. Tout le monde était contre lui. Il y avait quelque chose qui clocher, quelque chose qui n’aller pas. Lazy parut plus s’intéresser à lui a l’énoncer de preuves.
« Et ce temple vous y êtes allez ? »
Zéleph ce redressa. Enfin quelqu’un sui lui poser els bonne question. Enfin une personne qui ne lui donner pas l’air d’être bon pour l’asile de fou.
« Bien sûr ! Il était toujours là, seulement il n’y avait personne. Je l’ai visité de haut en bas, j’ai fait toutes les pièces mais il était complétement abandonner, presque en ruine… je ne comprends pas. » soupira-t-il.
Il était désespéré et cela se voyait. Il n’en pouvait plu. Il avait tourné et retourner tout ça dans sa tête mais il n’y avait rien d’explicable, rien qui pouvait prouver la vérité. Il était dans le floue, totalement dans le floue.
« Venez on va rentrer et en parler calmement. »
Il ne refusa pas et la suivit a l’intérieur pour ce sèche et enfiler un peignoir qui ne lui ferait surement pas de mal.


Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas
 

(Quête Solo) Un Pharaon Toutencarton. [Terminé]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

 Sujets similaires

-
» Premier accueil [Quête - solo][Terminé]
» La Cérémonie - Solo - Terminé
» Quotidien - Solo [Terminé]
» Alchimiste [solo - terminé]
» Enfin une issue [SOLO] (terminé)
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le pouvoir du Yin et du Yang :: Zone RP - Océan :: Continent Naturel - Ouest :: Désert de Näw-