Méli ▬ ❝En effet c'est la motivation première pour ceux qui viennent ici. Mais bon il y a des plus ambitieux, voir prétentieux qui se disent prêt à contrôler le monde en sortant d'ici. Mais bon au moins ça nous fait un peu rire entre nous, il faut bien prendre les choses de façon légère parfois sinon on ne dormirait plus. Certains ont de quoi vous faire peur parfois quand vous savez ce qu'ils veulent faire de leur avenir, heureusement très peu y parviennent. Mais bon... Il faut de tout pour faire un monde.❞

Zéleph sourit. Oui il y avait des fou sur les terre du Yin et du Yang, bien autant que des sages, c’était cela l’équilibre supposât-il. Maitre du monde ? Il y en avait des assez orgueilleux pour croire qu’il était possible d’avoir le monde au creux de sa main ? C’était presque pathétique pour le réprouvé. Pourtant il avait croisé un homme comme cela un jour, il ne pouvait que croire que c’était vrais pour la peine, mais le pauvre ne lui avait pas fait grande impression. Enfin si il avait bien comprit c’était de cela dont il parler, l’ancien roi des démons était un fou si on lui posé la question, un simple idiot.

Zéleph ▬ ❝ Oui, c’est ce qu’on dit. ❞

Après tout un monde trop parfait serrait un monde ennuyeux, si il n’y avait ni obstacle ni contrainte et si tout le monde était beau et gentil. Zéleph se ferait un plaisir de plonger ce monde dans la débauche et leur montré les vrais plaisir de la vie. Pour autant il n’était pas maléfique, il ne voulait qu’un mal à personne tant que cette personne ne viens pas l’attaquer de lui-même. Buvant à nouveau du jus de fruit Zéleph posa son verre sur le sol.

Zéleph ▬ ❝ Il est temps pour moi. ❞

Oui il était temps de dévoré le monde de toutes les façons qu’il soit, après tout il n’y avait plus grand-chose qui pouvait l’arrêter. Il avait dompté le démon Zéleph, cloué le bec aux spectres de son père et lié son âme au tigre dans la même journée. Il était temps pour lui d’aller commencer par bien dormir, il mérité bien une petite pose, et puis le voyage d’ici au Circus aller être très long, ce n’était pas la porte à coter. Autant ne pas trop tarder quand même. Ce levant il salua poliment l’esprit, avec en lui le plus grand des respects en vers cette dame, puis, il se retourna et partit, laissant là les chatons qui auraient bien voulu jouer avec lui. Il pensa même en partant à adopter un chat, c’était pour dire comme le tigre venait de le changer …