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 Pour les beaux yeux d'une femme [Pv Takias]

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Dim 20 Mai 2012, 15:03

Wouah. Il n'y avait pas d'autre chose qui pouvait sortir de la bouche de Zoro en voyant ses formes devenant encore plus précise une fois qu'il ne restait plus que les sous-vêtements pour la couvrir. Sa dentelle en était des plus excitante. Il avait du mal à ne pas la regarder. Mais il se fit embrasser et là, il n'y eu rien de mieux. Il ferma les paupières, savourant se baiser, prolongeant l'alliance entre leurs lèvres sans retenue. Il frissonna en sentant ses mains glisser le long de son dos. Elle l'attirait encore, ses lèvres, il ne pouvait plus s'en passer. Ses caresses il en était dépendant. Son corps, il voulait le sentir brûler contre le sien. Il ne pouvait pas se passer d'elle cette nuit là. Elle se laissa retomber, l'amenant avec elle. Il était à présent au-dessus et ne décollait pas ses lèvres des siennes. Elle était juste en dessous de lui et il aimait l'embrasser comme ça. Il faufila sa langue entre ses lèvres, rendant le baiser encore plus passionné. Il fit glisser ses mains le long de ses hanches, jusqu'à son bassin. Il passa sa main sur sa culotte, ne détachant pas ses lèvres. Mais elle, elle le fit. Elle brisa le baiser. Il en profita pour lâcher un petit soupire de bien être. L'écoutant attentivement, il baisait son cou, déposant de légers baisers. Il ricana un peu sous ses paroles. Il prit un peu de temps à comprendre ce qu'elle voulu dire. Il comprit assez vite lorsque ses mains se baladèrent sur son pantalon. Il sourit et reprit le baiser qu'ils avaient laissé en plans. Il la laissa inverser encore une fois les rôles. Une danse fougueuse dont les deux partenaires s'échangeaient leur place de temps en temps. Voilà ce qu'il pensait de la situation. Mais rien ne pouvait l'empêcher de toucher son corps de ses mains, restant doux. Elle se redressa et il la suivit, ne voulant pas détacher ses lèvres. Mais il en fut obligé. Il retomba donc sur le sol, délicatement, lui caressant le bas ventre de ses deux mains en la regardant faire.

Il frémissait alors qu'elle lui enlevait son pantalon. Il appréciait ce moment alors qu'il se retrouvait maintenant en caleçon tous ça grâce à Takias qui, dans ses mouvements de déesse, lui enlevait doucement le reste de ses vêtements. Il n'avait pas froid. La chaleur du feu vers lequel ils se rapprochaient lentement et celle que dégageait leur corps en communion ne le permettaient pas. Ils étaient maintenant presque nu tous deux, seulement recouvert de tissu fébrile qu'il n'allait pas laisser sur son corps très longtemps. Il frissonna lorsqu'elle le frôla et sourit, passant sa main sur sa joue. Sa poitrine qui se laissait presque transparaître sous son soutien-gorge vint se coller sur son torse pour sa plus grande joie. Il la laissait baiser son corps, glissant ses mains le long de son corps pour arriver à ses fesses. Il les empoigna sans gêne, lui embrassant le creux du cou en profitant qu'elle soit encore à porter. Puis elle descendit lentement le long de son corps dans des baisers qui le faisaient frémir de plaisir. A ce train là, il n'allait pas pouvoir s'empêcher de lui sauter dessus. Elle lui faisait un choc tellement fort qu'il voulait l'attraper. Mais il se retint, serrant au creux de sa main l'herbe fraîche et humide. Il poussa un long soupire de plaisir lorsqu'elle embrassa son entre-jambe. Et le pire c'est qu'il en voulait encore. Mais il n'allait pas se laisser faire comme ça. Il étira un long sourire lorsqu'elle revint au niveau de son visage et l'embrassa langoureusement. Il fit glisser ses mains jusqu'à ses joues, prolongeant se magnifique baiser en fermant les paupières.

Il ne voulait pas que ça s'arrête, mais il faudrait bien un moment le faire. Mais pour le moment, ils étaient tous les deux couchés dans l'herbe et c'est comme cela que ça devait se dérouler. Leur corps l'un sur l'autres, ses jambes s'enroulant autours de celles de sa partenaire, il aimait ce magnifique moment. Mais il avait encore envie de plus. Elle avait attisé son envie et maintenant il voulait son corps. Il la serrait contre lui, ses mains venant dans son dos pour la coller à lui sans retenir une certaine force. Il roula encore, devenant assez proche du feu, montant sur elle. Il restait coucher sur son corps, ses mains venait détacher son soutien gorge, laissant voir sa poitrine généreuse. Il lui sourit.

Je tricherais autant de fois qu'il le faudra si c'est avec toi. Il ricana et lui embrassa le haut de la poitrine, jetant son sous-vêtements avec le reste. Tant que tu m'offre ton corps sublime.

Il sourit et lui passa sa langue sur ses lèvre avant de lui baiser le cou, descendant ses lèvres jusqu'à sa poitrine. Il ne se retint pas de l'embrasser. Ça avait été beaucoup trop tentant depuis le début et il pouvait enfin le faire. Il déposait ses lèvres sur sa poitrine, la serrant fort contre lui. C'était un moment magique qui ne voulait pas arrêter. Il la lâcha finalement après avoir passé quelque minute à l'embrasser, revenant au niveau de son visage. Il lui infligea un fougueux baiser plein de passion. Souriant, ses mains descendirent lentement le long de son dos, jusqu'à son bassin. Ses mains se glissèrent sous son dernier sous-vêtement, venant prendre son fessier entre ses mains. Il ne se détachait pas d'elle, c'était trop intense pour cela.
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Dim 20 Mai 2012, 17:43

    C'était pour moi le paradis, je ne m'étais jamais sentis aussi bien depuis des lustres. Les douces caresses de Zoro était pour moi comme la plus irrésistible de toutes les drogues, c'était ma drogue. Les mains de l'homme en étaient les principaux outils, pendant que je lui ôtais son pantalon, il posa ses lèvres au creux de mon cou et ses deux mains saisirent mes fesses avec vivacité. Son corps était musclé et tellement attirant. Chaque fois qu'il effleurait ma peau douce un frisson de plaisir et d'excitation me parcourait la colonne vertébrale, et plus encore maintenant que nous étions quasiment tout nus. Ma voluptueuse poitrine était plaquée contre son torse si désirable. Je me sentais tellement bien, pour rien au monde je ne voulais bouger. Lorsque je déposais le baiser sur le tissus protégeant son intimité, Zoro lâcha un soupir de plaisir qui traduisait bien ses pensées. Il aimait cela et il en redemandait, à ma plus grand satisfaction. Il me donnait de plus en plus envie, et bientôt je ne pourrais plus y tenir, mais c'était visiblement la même chose pour lui à ma plus grande joie. Bientôt, bientôt, mais pas encore. Je voulais profiter de chaque instant, de chaque minute, de chaque seconde en contact avec son corps. J'enroulais mes deux jambes autour de celles de mon compagnon savourant le contact que nous avions avec nos corps. Je n'étais habillé que par mon soutien gorge et ma culotte et lui seulement par son caleçon. Mais je savais que ces derniers auront tôt fait de suivre les autres vêtements dans l'herbe. Mais il roula une nouvelle fois, échangeant de nouveau les positions, il grimpa sur moi et je lui rendis un sourire charmeur. Mon corps parfait était sous lui, sous cette puissance et cette beauté qui me donnait encore plus envie de lui. Nos baisers étaient passionnées et ses mains venaient souvent jusqu'à les joues brûlantes. Il se coucha sur moi et me sourit en décrochant l'attache de mon soutien-gorge...un de moins. Ma poitrine aux formes désirables se dévoila nue devant lui et je savais très bien qu'il n'y tiendrait plus, que la tentation serait trop forte pour n'importe quel homme digne de ce nom. Je restais allongée sur le sol, sous le poids qui ne me gênait pas de Zoro. Il me sourit et dit, répondant à ma précédente remarque:

    Je tricherais autant de fois qu'il le faudra si c'est avec toi.

    Il rit doucement et baisa le haut de ma poitrine. Puis, jetant le sous-vêtement avec les autres affaires, il dit:

    Tant que tu m'offre ton corps sublime.

    Je souris en plongeant mon regard dans se yeux, il passa sa langue sur mes lèvres avant de me faire un baiser dans le cou et de redescendre vers ma poitrine. Enfin, il le faisait, ce que la plupart des hommes rêvaient de faire avec moi. Mais ce qu'il devait ignorer, c'était que son plaisir était tout autant élevé que le mien. Que ses baisers sur mes seins étaient tout aussi plaisant pour moi que pour lui. Ses douces lèvres se posèrent sur mes deux seins, les embrassant de longues minutes, et je ne pus m'empêcher de lâcher un soupir de plaisir lorsque je le sentis sur l'extrémité de ma poitrine. C'était tellement bon...Lorsqu'il s'arrêta j'eus comme un regret, regret compensé par la fait qu'il me serra contre lui, ma poitrine collée à son torse musclé. La peau douce de mes seins nues contre celle de son torse chaud était des plus agréables. Je laissais doucement mes mains tomber derrière son dos, juste avant ses fesses, caressant le bas de son dos avec un soupir de bonheur. Il remonta ses lèvres jusqu'à mon visage en m'embrassant de nouveau avec une passion dévorante. Pour la premières fois je laissais ma langue découvrir la bouche de mon partenaire, comme lui l'avait fait tout à l'heure. Nos langues s'entremêlaient dans un ballet époustouflant. Ses mains glissèrent le long de mon dos et finirent par se glisser sous le tissus de dentelle noire de ma culotte. J'eus un frisson de plaisir lorsque elles touchèrent mes fesses sans gêne. Je restais un moment comme cela laissant ma langue jouer avec la sienne dans nos bouches. Puis, d'un élan puissant je me relevais sans rompre le baiser, simplement en me mettant dans une position à genoux. Le fait qu'il était sur moi, lui aussi se retrouvait à genoux sur le sol, collée contre moi, nos bouches ne s'étant pas séparés l'une de l'autre. Elles restaient collés, comme inséparables. Les mains de Zoro sur mes fesses je fis descendre aussi les miennes dans son dos, les laissant glisser dans son caleçon. Elles se posèrent sur ses fesses musclées. Puis, rompant tout doucement le baiser je dis, en répondant à sa précédente remarque:

    "Tes désirs sont des ordres, je t'offre mon corps, mais pas sans le tien...!"


    Sans même attendre une quelconque réponse de sa part, je glissais mes mains sur l'élastique de la pièce de tissu qui constituait son dernier vêtements. Tout doucement, je la lui ôtais, en dégustant chaque détail de son intimité. Mon cœur battait de plus en plus vite et mon désir devenait plus fort, mais moi il me restait toujours ma culotte, il me fallait encore patienter un peu, un tout petit peu...Je me plaquais contre Zoro, le faisant ainsi basculer en arrière, je me trouvais de nouveau sur lui, à la différence que son entre-jambe était bien visible. Je fis doucement descendre son caleçon et le jetais à côté de nous, avec le tas de vêtements amassé. Zoro se découvrait maintenant nu à moi, et je ne le regrettais pas. Lui souriant de nouveau, je posais mes lèvres sur les siennes en un baiser violent de désir ardent. Puis, je redescendis en faisant le même parcours sur son corps que tout à l'heure, à l'exception que ce n'était plus mes lèvres qui se posaient sur son torse mais ma langue, doucement sur sa peau. Je continuais à alterner en faisant aussi des baiser. Je reculais doucement en arrière pour que ma bouche descende le long de son corps, je descendis ainsi jusqu'à son bassin, puis arrivait à son entre-jambe. Mes lèvres se posèrent cette fois ci sur son intimité et non pas sur le tissus qui le couvrait. Mes deux mains posées sur ses cuisses, je laissais des baisers un peu partout sur son entre-jambe, savourant le plaisir crée. Je caressais de mes mains tantôt sa partie centrale, tantôt les deux parties rondes qui l'entouraient. Puis cessant d'y poser mes lèvres, j'y posais en dernier ressort ma langue, que je fis ensuite remonter le long se sont torse avant de retrouver de nouveau le contact chaud de sa bouche. Je m'allongeais de nouveau sur lui, sentant son sexe nu plaqué contre le mien, encore protégé -pour guère longtemps- de la culotte de dentelle noire. Ma langue s'entremêlait avec joie dans la bouche de Zoro, mon corps brûlant était au summum de son désir. Bientôt...bientôt...

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Dim 20 Mai 2012, 20:54

Leur corps était l'un contre l'autre, bercés par la chaleur que leur promulguait celui de leur partenaire. Les frissons que Zoro donnait à sa partenaire ne faisait que le rendre encore plus excité. Il ne tiendrait pas longtemps, c'est vrai, mais il voulait d'abord que ce soit également la même chose pour Takias. Il allait donc prendre son mal en patience et la faire languir. Il resta concentré sur sa poitrine, déposant ses lèvres sur chacun de ses seins. Il y passa aussi sa langue sur le bout, voulant lui donner le plus de plaisir. Ses soupires, sa respirations et les battements de son coeur augmentait ce sourire qu'il affichait sans craintes. Il la voulait toute entière, sans aucun soucis. Sa peau douce était la plus rêvée de toute. Rien ne pouvait gâcher ce plaisir immense qui les enivrait et qui prenait de l'importance au fur et à mesure des baisers qu'ils déposaient. Il la tenait que trop fort contre lui, mais son corps lui était comme indispensable. Comme si, s'il la lâchait maintenant, tous le monde s'écroulerait. Le plaisir était déjà trop grand et les mouvements de la femme ne faisait que les attiser. Mais il dû obligatoirement lâcher sa poitrine avec un petit soupire, regrettant peut-être son acte. Mais ses lèvres étaient d'un réconfort inimaginable. Leur langue dansèrent ensemble dans un baiser des plus intense. Leurs envies se mêlaient dans se baiser dont Zoro essayait de plus en profiter. Ils étaient à genoux, l'un devant l'autre et leur corps se serraient l'un contre l'autre pour le plus grand plaisir des deux partenaires. Il aimait sentir sa poitrine nu sur son torse. Il tenir ses fesses entre ses mains, les massant légèrement pour le plus grand bien de sa propriétaire. Mais elle aussi lui attrapa le fessier, ce qui lui causa un petit geste de surprise.

Elle avait faufiler ses mains dans son caleçon sans qu'il s'en rende compte, trop occupé à admirer ses courbes nues. Il lui lança un regard charmeur, souriant un peu. Il aurait dû rester un peu plus concentré, mais tant pis. Ce qui est fait et fait et c'est comme cela. Et puis, sentir ses douces mains sur sa peau était très loin du désagréable. C'était presque plaisant. Quand à lui, il resserra un peu la poigne qu'il avait sur ses fesses, lui infligeant une sorte de punition pour l'avoir surpris autant. Elle brisa finalement ce magnifique baiser et il soupira encore une fois, écoutant ses dires avec un sourire plutôt grands. Il la regarda, amusé lorsqu'elle lui dit qu'elle lui offrait son corps et il déposa ses lèvres sur sa poitrine. Mais il fut légèrement surpris alors qu'elle termina sa phrase. Il ramena sa tête devant la siennes, la regardant. Il frémit alors qu'elle lui enlevait son sous-vêtements. Il sourit et passa sa langue sur sa poitrine en attendant qu'elle ai terminé. Il était maintenant nu, collé à elle sans gêne. C'était bien la première fois qu'il se retrouvait dans les bras d'une femme sans ses vêtements. Il passa sa langue sur ses lèvre, enchaînant avec un langoureux baiser. Mais elle le fit basculer en arrière et il ne pu retenir un petit cri de surprise. Il avait l'impression de perdre ses moyens, emporter par la vague de plaisir qu'elle lui procurait. Il ne pouvait pas détourner son regard d'elle. Elle jeta son caleçon dans le tas d'habits qu'ils avaient amassé au fur et a mesure du temps, s'étant déshabillés. Il ne restait plus que la fine culotte de Takias et ils seraient tous deux nue et enfin prêt.

Mais elle la laissait languir. Il ne voulait pas la brusquer, il voulait surtout lui mettre l'eau à la bouche et maintenant qu'il était nu, ça allait devenir facile. Il enroula ses bras autours de sa nuque lorsqu'elle l'embrassa dans son furieux baiser. Il prolongea ce moment d'intense plaisir, ne voulant pas qu'elle le lâche. Mais c'est ce qu'elle fit. Il fut déçu, mais cela ne dura pas. Il frissonna sous ses baisers et sa langues. Il se laissait faire, fermant ses mains dans l'herbe fraîche, yeux fermés. Elle arriva rapidement à son entre-jambe et chaque mouvement qu'elle faisait à son sexe lui faisait tellement de bien qu'il se crispa. Il essaya de ne pas gémir sous ses baisers, mais c'était trop bon. Il se sentait déjà durcir, fronçant les sourcils. Ses doigts se fermèrent furieusement sur le sol, arrachant quelques brin d'herbe. C'était fou comme c'était bon. Impossible pour lui de se retenir plus longtemps. Il se redressa un peu et il prit le bout de sa poitrine en bouche. Ses mains descendirent le long de son ventre, entrant dans son sous-vêtement avec envie et impatience. C'est bon, il avait craqué. Ses deux mains caressèrent ses cuisses avec entrain puis elles se déposèrent entre ses jambes où elle firent des allez et venu. Il lâcha son sein, y passant sa langue.

Ton corps m'excite....

Il ne pu dire juste ses mots avant de faire glisser sa culotte, se servant de ses bras comme un bascule. Il envoya le sous-vêtement sur le tas et se jeta pratiquement sur elle, se retrouvant sur elle. Il était couché entre ses deux jambes, au niveau de son menton. Il lui baisa le cou, descendant lentement. Sa langue vint se balader sur sa poitrine, léchant ses tétons. Il descendit encore, lentement, laissant glisser sa langue sur son corps jusqu'à arriver à son enter-jambe. Il embrassa ses cuisses avant de poser ses lèvres sur son intimité, y faisant balader sa langue. Il profitait du plaisir qu'il lui donnait, main sur ses cuisses, les caressant avec ses pouces. Elle était irrésistible et son corps tellement sexy l'attirait. Il ne pouvait plus se contrôler.
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Mar 22 Mai 2012, 18:59

    Je sentis la surprise de Zoro lorsque j'eus glisser mes mains sur ses fesses. Il sursauta presque et il semblait se venger en resserrant ses mains autour de mon propre fessier. Je lâchais un espèce de couinement sous ses mains puissantes avant de lui dire doucement à l'oreille avec une voix faussée de petite fille:

    "Serais-tu devenu méchant, Zoro?"


    Les baisers s'enchaînaient dans un ballet excitant. Sa langue ne cessait de caresser ma poitrine me procurant encore plus de plaisir. Puis il s'arrêta à mon plus grand dam, mais ses lèvres vinrent se coller aux miennes et je plaquais ma poitrine nue contre le torse chaud de mon partenaire. J'avais doucement lâché ses fesses mais lui tenait encore les miennes en les massant du bout de ses doigts. J'avais des frissons de plaisir lorsque ses mains touchaient mon corps sans pudeur. Je finis par briser le doux baiser en rompant le contact si rassurant de nos deux corps. Lorsque je lui ôtais son dernier vêtement, Zoro patienta doucement en laissant sa langue sur ma poitrine, rendant l'action encore plus plaisante. Puis notre baiser fut des plus passionné, un long baiser où nos langues s'entremêlaient brièvement. Il enroula ses bras autour de mon cou et je me laissais rassurer par le contact de nos deux corps enfin nus. Lorsque je caressais doucement son intimité, la couvrant de mille baiser, je le sentis se tendre sous le plaisir et le désir. Il poussais de petits gémissements de satisfaction qui me donnait le sourire. Je continuais longuement avant de remonter pour un nouveaux baiser des plus attentionnés. Je sentais comme des tremblements dans le corps de Zoro et je me rendis compte qu'il allait bientôt agir. En effet, d'un mouvement rapide, il prit ma poitrine en bouche, doucement avant de faire glisser ses mains le long de mon ventre jusque sous ma culotte. Ses deux mains se pressèrent sous la fine dentelle en caressant mes cuisses avec douceur. Il laissait ses mains aller et venir avec vivacité. Puis il murmura dans un souffle:

    Ton corps m'excite....

    Sans bouger je lui répondis:

    "Autant que le tien avec moi..."

    Puis il retira le dernier sous-vêtement qui protégeait mon entre-jambe, le jetant sur le tas d'habit dans l'herbe. Il se rua sur moi avec un plaisir manifeste et il se coucha sur moi délicatement. Ses mains descendirent le long de mon corps nu. Il était allongé entre mes jambes, son visage descendant sur ma poitrine, y déposant mille baiser. Il passa sa langue sur les deux tétons de mes seins, me donnant des frissons. Mais le meilleur restait à venir. Ses mains trouvèrent rapidement mon intimité et massèrent mes cuisses avec joie. Sa langue suivit le chemin, dessinant délicatement sur mon ventre blanc avant d'arriver à mon entre-jambe. Il posa des baiser sur mes cuisses puis sur mon sexe, doucement. Il laissa ensuite sa langue découvrir mon intimité, à mon plus grand plaisir. Les mouvements qu'il me faisait subir était des plus délicieux, je ne pouvais m'empêcher de laisser s'échapper des petits soupirs de plaisir agréables. Sa langue embrassait délicieusement mes cuisses et leurs centre. Je ne pouvais décrire ce que je ressentais, un plaisir tellement immense que je finis même par lâcher une sorte de gémissement implorant de continuer. De longues minutes passèrent avant que nous nous embrassions de nouveau. Mon désir était presque au maximum...presque. Je pouvais encore le faire languir. Ce que ses mains, ses lèvres et sa langue venait de me faire était tout simplement divin et je voulais lui faire ressentir la même chose. Je voulais qu'il n'en puisse plus, que chaque regard que moi l'emplisse d'une envie indéniable. Je voulais le faire languir, quitte à ce qu'il se jette sauvagement sur moi. Je voulais qu'il me désire au plus profond de lui. Alors une idée me vint à l'esprit, un nouveau fantasme à mettre en pratique, pour son plus grand plaisir. Doucement, je rompis le baiser et pour la première fois, me relevais debout sur mes deux jambes, entièrement nue. Je lui souris pour bien lui montrer que je ne voulais en aucun cas cesser nos ébats. Je lui saisis la main et le fis se relever à son tour doucement.

    "Viens, lève toi!"

    Je le tirais et une fois qu'il fut debout, je me plaçais derrière lui, collant ma poitrine contre son dos musclé. Il faisait à peu près une tête de plus que moi de sorte que ma tête se posait sur son épaule. Je me trouvais donc derrière lui, debout tous les deux. Je me serrais contre lui, lui déposant des baiser sur le cou, avant d'y poser ma langue. Je passais mes mains sur son bassin, collant le mien à ses fesses. J'étais donc collée derrière lui, mes mains caressant doucement ses reins, descendant vers son entre-jambe. Lorsqu'elle l'atteignirent, elle ne cessèrent de le cajoler de mille caresse douces et désirables. Je déposais doucement ma langue dans la nuque de Zoro, profitant de tout son corps, serrant mon bassin contre ses fesses. Puis, lentement, je me décalais sur le côté tout en restant collée à lui, me retrouvant en face du jeune homme. Je passais ma langue sur ses lèvres et l'embrassais fougueusement avant de me baisser et de me laisser glisser. Pour éviter qu'il ne bouge, je dis avec sensualité:

    "Laisse moi faire...!"

    Cela ajoutais une pointe de mystère quand à mes futurs actes. Je me mis à genou, ma tête juste devant son entre-jambe. Doucement, je l'embrassais, y déposant mes lèvres pulpeuses avant de laisser ma langue goûter chaque parcelle de sa peau. Mes mains caressait ses fesses derrière, descendant sur ses cuisses. Mon plaisir était puissant, mais j'espérais que le sien l'étais encore plus. Je laissais ma langue maintenant moins timide se balader sur son intimité, en y déposant des baiser. Mes mains revinrent devant, ajoutant su plaisir en caressant son entre-jambe avec douceur. Puis, doucement, je pris en bouche son extrémité, lové par ma langue. Je laissais mes mains remonter sur son intimité la pressant doucement. Ma langue caressait le bout de son sexe avec douceur et plaisir. Puis je le laissais doucement, y passant une dernière fois ma langue. Cela avait été un pur plaisir pour moi, et certainement aussi pour lui, des frissons parcoururent mon corps nu. Comme c'était bon! Doucement, mes mains se posèrent sur son torse, y traçant des sortes de cercles imaginaires. Puis, sans crier garde, je passais ma jambe derrière la sienne et le poussais, faisant une sorte de croche patte, le choc fut quelques peu rudes et je savais qu'il était surpris après un tel moment. Mais je voulais libérer son courroux, je voulais qu'il me désire le plus possible. Je le fis donc tomber et tombait sur lui doucement, ma poitrine au niveau de son visage. Ma bouche collé à son oreille, je dis avec malice:

    "J'attends "ma punition" pour t'avoir fait tomber mon cher..."

    Cela ne faisait que commencer, mon désir n'était que trop fort, mais je voulais que le sien le soit encore plus, je voulais qu'il soit au summum, au maximum sans pouvoir redescendre. Ma main vint caresser de nouveau son entre-jambe, tandis que j'attendais sa réaction, qui n'allait pas tarder à arriver...

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Ven 25 Mai 2012, 15:04

Le corps de sa partenaire était des plus magnifiques. Il ne pouvait détourner le regarde de cette femme dont les contours ressemblaient à ceux d'une déesse. Il ne pourrait pas longtemps se retenir. Les baisers et les caresses qu'ils s'échangeaient mettaient sa patience à rude épreuve. Mais il ne voulait pas que ce soit trop rapide. Il voulait encore la faire attendre, qu'elle finisse par craquer d'elle même. Mais ses formes lui donnaient un plaisir divin. Ses mains posées sur ses fesses était d'une douceur incomparable. Sa poitrine généreuse attirait sa langue comme un aimant. Lorsqu'elle lui demanda s'il était devenu méchant, il étira un sourire, un peu amusé par ce qu'elle venait de dire. Il était vrai qu'il ne s'était pas retenu. Il devait faire attention. Il décolla ses lèvres de ses seins et la regarda droit dans les yeux.

Peut-être bien...

Puis il déposa ses lèvres sur les siennes. Il s'en suivit d'un échange de baisers et de caresses. Le plaisir montait, l'envie brillait dans leur regard. C'était un merveilleux moment et Zoro voulait en profiter un maximum. Rester contre elle était un privilège qu'il ne pourrait sûrement pas avoir plus d'une fois. Il ne laissera donc pas passer sa chance. Elle répondit à sa phrase. Était-il si excitant ? Il embrassa sa poitrine à répétition, savourant chaque mouvement qu'elle lui laissait faire. Chaque caresses, chaque baisers, il les appréciait comme si c'était les plus merveilleux de tous. Il descendit ses baisers et sa langue sur son corps pour lui provoquer le plus grand plaisir avant de commencer à lui faire du bien avec sa langue. Ses frissons et ses soupirs d'aises lui donna l'envie de continuer. Il lapait de sa langue son intimité, fermant les yeux pour apprécier le plaisir qu'il lui donnait. Il tenait fermement ses cuisses, les caressant de ses pouces. Les mouvements qu'il lui causait le fit sourire. Le gémissement qu'elle poussa ne fit que le pousser à continuer ses mouvements langue, la rendant plus humide qu'elle ne l'était déjà. Et cela pendant une poignée de minutes passionnée. Mais il fut un moment où il dû remonter ses lèvres, les plaquant contre les siennes. Sa poitrine compressée par son torse, tous les deux nues, provoquant un certains plaisir. Alors que sa langue jouait avec la sienne, yeux fermés, pour leur plus grand bien, il la sentit briser fougueux baiser. Il la regarda se lever, assez surpris. Il admirait ses formes et ne pu rester couché bien longtemps. Elle l'attirait. Mais il fut assez perturber de ne plus sentir son corps. Ils étaient tous les deux debout, nus.

Rapidement, il la sentit passer derrière lui. Il frissonna sous ses baisers, sentant sa langue. Il ondula un peu son fessier sur son bassin, ne voulant pas rester de marbre et se laisser faire. Il gardait sa bouche entrouverte, respirant de plus en plus fort à cause de ses caresse. Il se pencha légèrement, lâchant un léger gémissement. Ses mouvements était divins. Il ne pouvait se retenir de lâcher des soupire d'aise, de gémir. Et cela ne s'arrangea pas lorsqu'elle se mit devant lui. La regardant glisser lentement, il lui attrapa les épaules pour l'en empêcher, mais sa voix si douce et magnifique lui fit lâcher. Il prit une inspiration et la regarda. Non seulement ses mains le faisaient frissonner sous les caresses, mais ses lèvres ainsi que sa langue lui faisait tellement de bien qu'il ne put retenir un second gémissement, encore plus fort. Il sentait son sexe bouger de lui même dans de légères secousses. Elle était forte dans à ce jeu là. Il plissa les yeux, ouvrant grand la bouche pour lâcher ses bruits causé par Takias. Ses douces mains vinrent aider ses lèvres à lui procurer du plaisir, et ça marchait. Il ne pouvait s'empêcher de pousser des bruits sortant de sa bouche. Il manqua de tomber, mais se reprit. Il posa ses mains sur sa tête, ne la poussant pas. Il ne pouvait rien faire de plus que d'attendre qu'elle ai fini. Il se cambra lorsqu'elle prit le bout de son pénis dans la bouche. Sa langue était tellement bonne, ses mouvements le faisait gémir. C'était incroyable ! Il sentait tous son corps réagir au plaisir qu'elle lui procurait.

Lorsque ses lèvres le lâchèrent, il poussa un long gémissement de plaisir. Qu'est-ce qu'elle était bonne. Il la laissa faire, mais lâcha un petit cri de surprise lorsqu'elle le fit tomber. Il la regarda droit dans les yeux, reprenant le souffle qu'elle lui avait prit en l'écoutant parler. Il sourit et une fois qu'il n'eu plus le souffle court, il lui murmura à l'oreille, sa main se posant sur son coeur afin de sentir les battements qu'il faisait. Mais alors qu'il allait parler, elle recommença à caresser son entre-jambe et il manqua de gémir.

Si c'est une punition que tu veux...Tu seras servie...

Il rit légèrement et descendit ses baisers jusqu'à sa poitrine. Dans un plaisir qu'il ne pouvait contrôler, il prit délicatement son téton en bouche, le léchant de l'intérieur de sa bouche. Alors qu'il s'occupait de son sein, sa main descendit en ondulant sur son corps jusqu'entre ses cuisses. Il déposa une caresse sur chacune d'elle avant de passer ses doigts sur son intimité qu'il sentait humide à cause de ses mouvements de langue. Il y passa quelques caresses, cherchant à lui faire plaisir, mais il ne s'arrêta pas. Il vint titiller son sexe avec son doigt avant de, lentement, le faire rentrer à l'intérieur. Sa langue passait sur son téton dur, comme un enfant qui cherchait son lait. Yeux fermés, il continuait à lui faire plaisir. Après lui avoir arraché un gémissement, il se glissa complètement sur elle ayant retiré son doigt. Sa bouche restait sur sa poitrine, l'aimant et la couvrant de baisers et de mouvements de langues. Il frotta, faisant attention de ne pas entrer maintenant, son entre-jambes avec le dos de son membre. Il accéléra de plus en plus, sentant son plaisir se mêler au sien en constante augmentation. C'était si bon de la sentir contre lui. Mais il dû arrêter. Il se releva à son tour, la tenant par la main pour la redresser. Mais il la lâcha une fois qu'elle fut assise, posant son sexe juste devant ses lèvres. Il en voulait encore.

Il passa ses mains sur sa nuque et la força à prendre son pénis en bouche. Il ne voulait pas la brusquer, c'est pour cela qu'il y allait doucement et qu'il la laissait faire pour le moment, se contentant de retenir ses gémissements. Mais plus le temps passait, plus il devenait impatient et il commença à la pousser, s'enfonçant peu à peu dans sa bouche. Il donnait quelques coups, frottant son intimité sur les recoins intérieur de ses joue. Il sentait le plaisir monter lentement alors que ses yeux étaient rivés sur elle, la regardant. Il la prenait de haut, certes, mais le plaisir qu'il lui procurait ne pouvait pas être ignorer. Il ne tiendrait pas longtemps, sûrement avait-il déjà trouvé l'endroit où il allait lâcher. Il courba ses sourcils vers le ciel sous le coup de plaisir, se mettant sur le bout des pieds. Il sentait le plaisir monter rapidement, son sexe bougeant tous seul à cause du bien que Takias lui procurait malgré elle. Quelques secondes suffirent à lui procurer assez de plaisir pour qu'il ne tienne plus. Il poussa son sexe au plus profond de sa bouche, la collant à sa peau. Dans un long gémissement, sans la prévenir, il jouit. Sa semence vint s'écouler dans la bouche de la jeune femme. Retirant son sexe dans un soupire de bonheur, il tremblait. Il la regardait, les yeux remplie d'envie. Il n'avait pas terminé. Malgré qu'il avait déjà jouit, il pouvait encore rallonger ce délicieux moment. Il s'approcha lentement d'elle, l'aidant à se lever.

N...Nous n'avons pas encore fini...N'est-ce pas ?

Il ricana, la collant à lui d'un bras autours de sa taille. Il l'embrassa avec fougue, pénétrant sans gêne sa langue entre ses lèvres. Il la tenait fermement, se laissant emporter par le flot de bien être qui le prit soudain. Il la regardait dans les yeux pendant ce long et délicieux baiser. Puis il le brisa. Il regarda son corps collé au sien, lui laissant le temps de respirer. Puis il la retourna, maintenant elle lui faisait dos. Posant ses genoux contre ses jambes, il la fit tomber à genoux. Il la regarda avec envie et posa son pénis sur son intimité, ses mains venant empoigner ses hanches dans de longues caresses. Il déposa des baisers le long de son dos jusqu'à ses fesses. Puis, dans un envieux coup de reins, il pénétra son intimité avant de lâcher un long gémissement. Il était entré en elle et maintenant, il sentait tous le plaisir que lui provoquait cet acte. Il se pencha sur son dos, commença de lent va et viens en retenant ses soupires de plaisir. Elle était tellement bonne qu'il n'avait pas pu s'en empêcher. Yeux fermés, il appréciait ce moment magnifique.

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Mer 30 Mai 2012, 16:49


    Sa langue était des plus tendres sur ma poitrine, surtout lorsqu'il prenait le bout de mes seins en bouche. Je le sentais se durcir lorsque je m'occupais de son intimité en y mêlant ma langue. Mes gestes de main et de langue lui était certainement des plus plaisant. Je m'en donnais à cœur joie et lorsque je pris le bout de son pénis en bouche, je sentis ce dernier se cabrer, comme au bord de la tentation. Je souris tout en poursuivant mes petites activités sur la peau de son sexe. Je l'entendais gémir de plaisir et chacun de ses petits cris me donnait encore plus envie de continuer, ce que je fis sans attendre. Lorsque je le fis tomber et comme je m'y attendais, il fut surpris et me dévisagea avec curiosité. Je repris mes caresses sur son intimité alors qu'il répondait à ma précédente remarque.

    Si c'est une punition que tu veux...Tu seras servie...

    Je lui lançais une lueur de défi dans les yeux avant qu'il ne rie. Puis il fit descendre ses baisers sur ma poitrine et un frisson parcourut mon dos. Il se saisit de mon téton pour jouer avec sa langue dans sa bouche. Sa langue caressait doucement l’extrémité de mon sein à ma plus grande joie. Mais pendant ce temps, sa main descendait aussi sur mon bas-ventre en ondulant tel un serpent avant de trouver sa proie. Il laissa tomber sa main sur mon sexe encore humide de ses derniers ébats. Il caressa doucement mes cuisses avant de pénétrer mon intimité. L'un de ses doigt s'y enfonça doucement pendant que je gémissais de bonheur, bientôt je ne pourrais plus me retenir de le désirer encore plus. Je lâchais un nouveau gémissement en sentant son doigt continuer. Sa langue continuait elle aussi de jouer avec mon sein, tel un enfant cherchant le liquide que je pouvais produire mais que je ne possédais pas pour le moment. Je laissais Zoro m'infliger ces doux plaisirs en posant mes deux mains derrière sa nuque tout en sentant mon bassin tressaillir de tentation. Puis il retira doucement son doigt et se coucha sur moi avec lassitude. J'accueillis le contact de son corps avec plaisir pensant que nous allions enfin passer à l'action mais non. Il voulait encore me faire languir et je me demandais comment il pouvait encore se contenir alors que moi j'étais quasiment au bout... Mais peut-être était -il dans la même situation que moi, un désir ardent mais qu'il se voulait de refouler pour être encore plus désirer par son partenaire. Sa langue continuais de jouer avec mon téton maintenant durci par sa salive et le contact de sa bouche. Il frotta son sexe au mien sans pour autant le faire entrer ce qui eut pour conséquence de faire augmenter mon désir au summum. Il le frottais avec de plus en plus de rapidité au point que je ne pouvais m'empêcher de laisser un gémissement impatient sortir de ma bouche. Puis, à mon grand étonnement, il se leva. Il avait certainement une idée derrière la tête. En effet il me saisit la main et m'entraîna avec lui en me laissant retomber en position assise. Je me retrouvais donc assise et lui debout. Son sexe se trouvait donc juste devant ma bouche et il ne me fallut guère longtemps pour comprendre ce qu'il souhaitait. Le désir devenait trop pressant pour lui tout comme pour moi. Néanmoins, comme si il avait peur que je ne comprenne pas, il posa ses mains sur ma nuque m'obligeant sans forcer à prendre son pénis en bouche, ce que je fis sans plus attendre. Je jouais intérieurement avec ma langue sur son extrémité durcie, ma langue ne cessait de la caresser tandis que son désir se faisait plus pressant. Il enfonçait de lui même son sexe dans ma bouche et je continuais à le tremper de ma langue et de ma bouche. D'un mouvement de langue expert, je faisait passer son intimité tantôt sur mes joues tantôt sur mon palet, cherchant à lui donner le plus de plaisir possible. Il semblait ne plus pouvoir se contenir, donnant de petits a coups en s'aidant de son bassin. Mes mains caressaient ses cuisses musclés et nues, les couvrant de mouvement doux. Je ne me sentais nullement soumise il ne m'avait guère obliger à cela, il m'avait simplement fait comprendre qu'il souhaitait que je le fasse, après je savais très bien que je pouvais arrêter quand bon me semblait mais je sentais qu'il allait bientôt ne plus pouvoir se retenir. Je sentais son pénis bouger de lui même sous le plaisir causé. Les mains de Zoro sur ma nuque me donnaient des frissons mais je continuais sans vouloir m'arrêter, le plaisir que j'éprouvais était grandiose mais je savais que le sien l'était plus encore. Je collais mes joues contre la peau de son extrémité en faisant lentement descendre mes mains sur ses testicules. Elles les massèrent longuement, procurant encore plus de plaisir à son porteur. Puis le coups qu'il donna fut plus long et plus poussé, son pénis vint frotter le plus profondément dans ma bouche et il lâcha, il ne pouvait plus tenir. Il jouit de désir et sa jouissance se répandit dans ma bouche un liquide divin. J'avalais sans plus attendre tout en aspirant de moi même. Mes mains descendirent sur la petite partie de son sexe encore en dehors de ma bouche, elles vinrent presser son intimité pour en faire sortir la semence que j'avalais goulument tout en jouant avec ma langue sur son pénis. Lorsqu'il eut fini, je réussis à passer l'extrémité de ma langue humide sur le petit trou de son sexe, avec un désir fou. Il avait jouit, ce qui signifiait que c'était pour bientôt. Lorsqu'il retira doucement son sexe de ma bouche, il tremblait de plaisir, cela se sentait. Comme pour finir le travail, je posais un dernier coups de langue qui remontait sur toute la longueur de son sexe en un gémissement de désir. Il se rapprocha doucement de moi et me fit me relever à ma plus grande joie. Il ne tiendrait guère longtemps. Il me regarda avec une envie folle avant de dire comme pour se rassurer:

    N...Nous n'avons pas encore fini...N'est-ce pas ?

    Je ris avec lui avant de répondre:

    "Oh non, c'est même loin de l'être!"


    Puis il se colla contre moi à mon plus grand plaisir plongeant sa langue entre mes lèvres pour danser avec la mienne. Je sentais encore le goût de sa semence dans ma bouche et lorsque sa langue s'y mêlant, je l'embrassais avec fougue. Il tenait mon corps fermement et pour la première fois j'avais l'impression d'être une allumette dans les bras d'un géant, une femme que n'importe quels bras pouvaient briser d'un simple mouvement. Mais cela n'en était pas moins agréable. Il brisa doucement le baiser et je repris plusieurs ma respiration avant qu'il ne me retourne de ses bras puissants, je me retrouvais donc dos à lui, me demandant ce qu'il allait faire, je pensais d'abord à la sodomie mais cette idée repartit bien vite. Il plaqua ses genoux contre mes jambes, m'obligeant à plier pour tomber à genou, je me laissais faire et je sentis son pénis se coller à mon sexe. Un désir fou m'envahit...bientôt... Je n'eus pas le loisir de penser autre chose, ses mains saisirent vigoureusement mes hanches aux formes désirables et d'un coups de reins il pénétra en moi. Je lâchais un long soupir de bonheur en sentant son pénis s'enfoncer dans mon intimité. Instantanément, je tombais à quatre patte comme un animal et étirais le dos avec plaisir. Je sentais ses coups de reins qui pénétraient chaque fois un peu plus mon corps. Puis, de moi même, pendant que lui s'y enfonçait, je poussais moi aussi rendant la pénétration des plus profondes et des plus enviables. Je murmurais:

    "Bon Dieu... que c'est bon...!"

    Je me sentais tellement bien, les puissants coups de reins de Zoro lui faisait découvrir les mystères de mon corps qu'il désirait tant. Je passais mes mains derrières ses fesses en me remettant à genou, j’appuyais de toutes mes forces comme pour l'aider à pénétrer le plus loin possible. Je ne cessais de gémir de plaisir à chacun des a coups que son pénis offrait à mon intimité. Je sentais ses testicules se coller contre mes cuisses avec plaisir. nous restâmes longtemps ainsi à profiter de ce que nous désirions depuis le début. Puis doucement je me retirais, sentant mon bonheur dans mon corps. Mais je ne restais pas ainsi, à peine nos deux corps s'étaient-ils déliés que je sentais mon corps appeler celui de mon partenaire, seulement je voulais changer de position. Je fis s'allonger Zoro tout en passant mes doigts sur son pénis. Je faisais passer mes doigts autour de son sexe comme si je pompais quelque chose. Puis m'allongeant sur lui, je me plaquais de moi même sur l'intimité de mon partenaire. Ce fut maintenant moi qui donnait de furieux coups de reins en sentant le pénis de Zoro sortir et entrer dans mon sexe avec profondeur. Je me plaquais contre lui et le désir me prenait si violemment que mes mains caressant son torse se crispèrent laissant sur son corps musclé une petite griffure. Mes fesses donnaient des coups pour permettre au sexe de Zoro de s'enfoncer dans l'ouverture. Ma bouche se colla contre la sienne en un baiser brûlant pendant que nos deux corps fusionnaient. Ma langue passa dans tous les recoins de sa bouche avant de descendre laver son tores et son cou. C'était trop bon. A chaque pénétration, je lâchais un gémissement plus ou moins fort en sentant le souffle chaud du jeune homme dans mon cou. Mes mains redescendirent sur ses fesses en les pressant contre moi. Le plaisir était intense et mes cuisses s'écartaient d'elles même pour faciliter la pénétration. Je fis tomber le jeune homme à genou de nouveau en passant mes deux jambes sur le sol. Ses deux jambes étaient entre les miennes, laissant un champ libre à son désir dévorant. Mes mains ne cessaient de masser ses fesses tout en appuyant un peu pour augmenter le plaisir. Ma passion était à son comble...
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Sam 02 Juin 2012, 20:36

C'était tellement bon. Zoro avait les joues un peu rouges, regardant la femme s'occuper de son sexe avec désir. Ses coups de langues le faisaient frémir. Il se cambra et se pencha, se tenant sur sa tête. C'était tellement bon qu'il ne tenait plus. Tous son corps tremblait de plaisir. Puis elle commença à masser ses testicules et il ne pu s'empêcher de gémir. C'était incontrôlable. Ses vas et viens devenaient petit à petit plus violent, s'enfonçant encore et encore dans sa bouche. Sa respiration était difficile, il avait la bouche grande ouverte. Ses yeux étaient plissés à cause de plaisir, ne regardant rien. Il se concentrait pour éviter de lâcher maintenant. Il devait tenir, pour que le plaisir soit plus grand. C'est plus amusant quand c'est long. Mais sa langue passait sur tous les recoins de son membre et cela était tellement bon que la difficulté à se retenir montait d'un cran. Elle commença à racler sa peau avec sa joue. Il manqua de lâcher un cri, mais il réussit à ne faire sortir qu'un long et puissant gémissement. Les lèvres de sa partenaires vinrent toucher la peau de son bassin alors qu'il ne pouvait plus tenir. Sa semence se déversa dans sa bouche. Son sexe baignait dans la bouche remplie de Takias alors qu'il dû poser un pied en arrière, sa respiration reprenant lentement son cour normal. Elle pressa son pénis pour en faire sortir plus de ce liquide qu'elle avait l'air d"aimer. Il lâcha un petit gémissement de douleur, fronçant les sourcils. Il sentait que le peu de sperme qui lui restait coulait sur sa langue. Ses jambes tremblaient et il avait une envie incommensurable de se laisser tomber à genoux. Mais il sentit qu'elle avalait tous ce qu'il avait lâcher. Il la regarda surprise alors qu'il s'enlevait lentement. Le dernier coup qu'elle lui donna, remontant sur tous son corps le fit frémir. Il sortit lentement son sexe, mais il fut obliger de lâcher un nouveau gémissement alors que la langue de sa partenaire venait puiser à la source.

Il ferma la bouche, n'en pouvant presque plus. Mais lorsqu'il la releva, la vue de son corps le fit rapidement reprendre la main. Il se sentit à nouveau prêt, mais pas pour se servir de la bouche de la magnifique femme avec qui il avait l'honneur de copuler. Il l'embrassa avec fougue, un désir proche de la folie l'habitant à nouveau. Il sentait le goût de sa semence dans sa bouche et il ferma les yeux, commençant à danser avec sa langue. Ce baiser l'envoûtait plus vite que la sensation du corps de sa partenaire contre le sien. Il frotta son bassin au sien, montrant son impatience. Il ne pouvait plus se retenir, l'acte était proche. Son sexe se raidit. Il la retourna et la fit tomber sur les genoux. Il prit sa poitrine dans ses mains alors que son entrejambe était posé contre lui. Il lâcha lui aussi un gémissement lorsque leur corps fusionnèrent. Ses vas et viens furent d'abord lent et pleins d'amour. Il prenait soin de son corps, sa peau venant caresser la sien à chaque coup qu'il donnait. Puis il fut violent, sa peau claquant contre son fessier. Il retenait ses gémissement, son sexe s'enfonçant de plus en plus profond en elle. Elle n'était pas non actif. Takias faisait tous pour qu'il entre plus profond, mais si elle continuait il allait atteindre le point de non retour. Il lâcha un léger cri, sa bouche s'ouvrant automatiquement pour rester comme cela jusqu'à la fin. Ses mains glissèrent de ses hanches, suivant les formes de ses côtés avant d'empoigner avec force sa poitrine, pinçant ses tétons entre ses doigts. C'était étroit, mais tellement bon. Et la jeune femme ne se priva pas de le marmonner. Il se pencha sur son dos, devenant puissant. Il espérait juste qu'elle ne saignait pas, il ne fallait pas briser le plaisir qui s'installait entre eux. Son torse bandé sur son dos, il sentait son plaisir monter.

Il poussa un long soupire, de bien être mais déçu aussi lorsqu'elle se retira. Avant qu'elle ne fasse quoique ce soit, il prit ses fesses entre ses mains et les massa. Il se mit à genou et passa sa langue sur son intimité toute mouillée. Il la fit même rentrer, mais pas pendant longtemps. Après avoir faire deux trois tours en elle, il se retira et la laissa faire ce qu'elle voulait faire. Ses doigts passant sur son pénis le fit frémir de plaisir, les sourcils se courbant d'eux même. Puis elle s'empala d'elle même sur son sexe, ce qui le fit presque crier. Et les coups de reins reprirent, sauf que c'était elle qui les donnait. Il lui tenait fermement sa poitrine, la regardant se lever et retomber sur lui. Il ne pouvait pas retenir ses gémissements, au bord de l'extase. Il sentait le liquide de la jeune femme se rependre sur son sexe et sur ses poils nubiens. Il serrait assez fort sa poitrine, ayant du mal à se retenir. Même sa voix, lorsqu'il décida à son tour de prouver à sa partenaire que ce qu'elle faisait était bon, était étrangement coupé par le plaisir.

T...Tu es si...bonne...

Il ne voulait pas que cela s'arrête, et seuls eux pourraient en décider. Il bascula sur elle, la faisant tomber dos sur l'herbe témoin de leur ébat. Il lui écarta les jambes ce qui lui donna un vue sur leur sexes. Ses mains tenait les jambes de Takias pour pas qu'elles tombent sur le sol. Il donnait de violent coups, incontrôlable. Il sentait son pénis frémir de lui-même en elle. que pouvait-il faire pour éviter de jouir maintenant ? Il devait se retenir. Il se retira, voulant prolonger ce moment. Il se mit sur elle, sa tête en direction de son intimité. Il la plongea entre les jambes de sa partenaire, embrassant son sexe. Il y passa la langue et la fit rentrer à l'intérieur. A elle de ne plus pouvoir tenir. Mais il était tellement avide de plaisir qu'il frottait son sexe entre ses seins.

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Dim 03 Juin 2012, 19:59


    C'était l'un de ses moments qui passait tellement vite et dont on ne voulait pas voir la fin. Ces moments de bonheur intense où le plaisir a sa place et où l'on ne veut pas qu'il la perde. Pour rien au monde je ne souhaitais être autre part qu'ici, avec Zoro dans l'herbe fraîche de l'arène. Ce n'était guère la première fois que je le faisais dehors mais dans une arène ça l'était. J'avais l'impression de voir des témoins obscurs qui nous regardaient du haut de leurs perchoirs. Mais cette sensation s'évapora avant même de pouvoir la développer ou la réfléchir. Zoro était trop bon pour daigner penser à autre chose. Au début, le jeune homme était doux, amoureux, patient, ses ébats caressaient ma peau avec douceur, comme s'il ne voulait pas me brusquer. Puis le désir le prit, alors, ses va et vient se firent plus rapides, son bassin cinglant contre mon fessier de plus en plus vivement. Ses mains massaient ma poitrine avec énergie la pressant avec puissance. Il pinça les tétons de mes seins sans cesser de faire entrer et sortir son sexe dans le mien, et moi de continuer en accentuant chaque faits et gestes. Lorsque je tombais à genou, Zoro colla son torse contre mon dos, donnant de puissant coup de reins tout en massant ma poitrine à mon plus grand bonheur. Lorsque je me relevais pour changer de position, il ne pu se retenir de serrer mon fessier entre ses mains avant de déposer sa bouche sur mon entre-jambe en y faisant brièvement rentrer sa langue. Il continuas pendant plusieurs secondes avant de me laisser libre de faire se que je souhaitais. Je changeais donc notre position en prenant en main les cartes. C'était maintenant moi qui menait la danse, et quelle danse! Mon bassin donnait de violents coups contre celui de Zoro m'empalant moi même sur son pénis, ce qui eut pour cause de le surprendre, peu d'hommes sont habitués à voir la femme agir comme cela, mais je n'aimais pas me laisser pénétrer sans rien faire pendant nos ébats, prendre le "commandement" était quelque chose qui me plaisait de faire. Je sentais le plaisir monter en moi en même temps qu'il montait en lui, il serrait ma poitrine entre ses mains pendant que j'allais et venais en gémissant. Il me murmura:

    T...Tu es si...bonne...

    Sa voix n'était pas hésitante loin de là, mais le plaisir était si fort que cela pouvait se comprendre. Il échangea de nouveau les positions, alternant comme tout à l'heure le partenaire dominant, tantôt lui tantôt moi. Il m'écarta les jambes sans scrupules et je me laissais faire, aimant être désirée, et je l'étais. Il maintenait mes jambes en l'air tout en pénétrant profondément, je lâchais un petit cri d'extase pendant qu'il s'occupait de nos plaisirs. Puis il se releva, c'était trop bon pou qu'il veuille arrêter maintenant et je le savais que trop bien! Il se leva et se coucha sur moi du sens inverse de la normale, c'est à dire que sa tête se trouvait entre mes deux jambes et que son pénis frottait rapidement entre mes deux seins. C'était la première fois que je m'amusais dans cette position, mais comme on dit il y un début à tout. Profitant du fait d'avoir son pénis à proximité, je l'attirais contre moi en savourant le contact de sa peau qui frottait entre mes seins. Lorsqu'il déposa sa langue sur mon intimité, je lâchais un gémissement, puis un cri lorsque sa langue y entra. Précédemment, sa langue s'y était déposé, elle avait léché, mais n'y étais jamais entré. Maintenant si, j'étais contente de ne pas saigner, cela faisait un moment qu'avec mes nombreux ébats, je n'avais plus eu de saignements, mais je savais que cela pouvait arriver à tout moment. Malgré moi je sentais mon bassin bouger et donner des petites accoups lorsque la langue de Zoro y entrait, voulant augmenter le plaisir. Au summum de mon plaisir, je saisis le pénis de mon partenaire à deux mains pour le ramener vers ma bouche, je l'y enfonçais avec une joie intense tout en dégustant chaque parcelle de son sexe mouillé. Je jouais longtemps avec dans ma bouche, mes mains massant de nouveau ses testicules en remontant quelques fois sur ses fesses. Puis, pour la première fois, je fis passer ma langue dans la petit ouverture de son extrémité, voulant lui procurer le plus de plaisir possible. Mes mains passèrent sur ses fesse pour les appuyer contre ma bouche, afin que son pénis tout entier y soit entré. Je sentais pendant ce temps Zoro jouer lui aussi avec sa langue dans l'ouverture de mon intimité. Je restais longtemps comme cela, à profiter du désir qu'il me procurait et que je lui procurais. Le plaisir était trop bon et malgré moi, mes ongles griffèrent les fesses de mon partenaire tandis que j'entrouvrais la bouche pour laisser passer un gémissement de plaisir. Nous restâmes ainsi longtemps jusqu'à ce que je mordis doucement l’extrémité de son pénis pour lui procurer un plaisir intense. Alors doucement, je fis basculer Zoro à côté de moi sur l'herbe fraîche. Je restais ainsi quelques secondes, sentant encore l'humidité de la salive de Zoro sur mon intimité. Puis, je me tournais et plongeais mon regard dans celui du jeune homme, ce seul regard suffit pour réveiller de nouveau un désir ardent en moi, mais cette fois, j'eus une autre idée en tête. Je me levais et l'attirais à moi, l'obligeant lui aussi à se lever. Nous étions tout les deux debout, et une nouvelle fois, je m'empalais sur son intimité en lâchant un râle de plaisir. Nos mouvements saccadés je donnais des coups plus forts et finis par le coller contre un arbre. Je continuais de pousser en m'enfonçant le plus profondément possible en Zoro. Je plongeais ma langue dans sa bouche en y mêlant mes lèvres. Ma poitrine se collait contre son torse et je prenais ses mains dans les miennes pour le s'y déposer sur mes seins aux formes généreuses. Mes deux mains se posèrent ensuite sur sa nuque en faisant pénétrer de plus en plus loin le pénis de mon compagnon dans l'ouverture de mon intimité.

    Puis l'une de mes mains remonta sur l'arbre et s'y posa. Des lianes en descendirent doucement jusqu'à saisirent les deux mains et les deux pieds de mon compagnon qui devait se demander ce qui se passait. Les lianes vertes se resserrèrent aux poignets et aux chevilles de Zoro tandis que je lui expliquais en me retirant doucement de lui sans quelques difficultés tellement il m'attirait encore et encore:

    "Lorsque l'on est contrait de patienter le désir devient plus fort et plus sauvage. Avec ta force tu ne tarderas pas à briser ses lianes, tu devras me chercher dans l'arène pour que nos ébats reprennent avec plus de.... sauvagerie!"


    Je lui souris et avant de m'éclipser, je passait ma langue sur ses lèvres et les fis descendre sur son intimité, je la léchais un dernière fois en y pressant mes mains afin que son désir ne cesse d'augmenter, puis, lui offrant un sourire malicieux je lui dis:

    "Dépêches-toi! Je ne pense que je pourrais me passer de toi trop longtemps!"


    Puis, je m'élançais dans les fourrées de l'arène en courant, nue comme un vers. Mon corps m'ordonnait violemment de retourner me coller contre lui, de sentir nos deux corps fusionner et de goûter une nouvelle fois sa semence, de le laisser balader sa langue sur mon intimité, mais mon esprit joueur et avide de se faire désirer m'indiquait de courir le plus vite possible pour que lorsqu'il me trouverait, nos ébats seraient des plus sauvages et puissantes, y laissant peut-être même des cicatrices. J'eus un sourire à cette idée pendant que je courais encore et encore dans les fourrées de l'arène, espérant que Zoro me tomberait bientôt dessus et m'empoignerais de nouveau de ses bras musclés.
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Dim 10 Juin 2012, 10:37

Leurs ébats intense n'était que le début d'un long et délicieux moment. Les choses prenaient une tournure intéressante. Zoro avait, certes, du mal à retenir ses gémissements, mais il n'était apparemment pas le seul. Sa partenaire facilitait les mouvements qu'il donnait avec violence tellement il ne pouvait plus se contenir. Il lui tenait fermement la poitrine, couché sur son dos. Il avait presque l'impression que son bassin donnait des coups tous seul. A force d'être tenté par le corps de cette femme, il n'avait pas pu rester statique bien longtemps. Takias reprit les choses en main, sur lui à présent. Il n'avait pas lâché sa poitrine qu'il massait tendrement, ses doigts se resserrant sur les tétons durcie par leurs actes. Effectivement, au début, il fut légèrement surpris. Ce n'était pas commun de voir une femme pendre le dessus lorsqu'ils le faisaient. Mais ça ne rendait les choses que plus passionnantes. Il balança la tête en arrière, la laissant s'empaler sur son entre jambe qui ne demandait que ça. A chaque coup, il avait l'impression de pénétrer plus profondément en elle. C'était bon, trop bon. Il lâcha un gémissement. Malgré qu'il essayait de lui donner du plaisir en massant ses seins miraculeux, c'était lui qui en recevait le plus. Mais, comme dans une ultime envie de prolonger les choses, il inversa de nouveau les choses. Lui écartant bien les jambes en l'air, il reprit là où ils s'étaient arrêté, regardant l'impact entre leur deux sexe devenir encore plus désireux. Loin d'être pervers, il détourna le regard pour le plonger dans celui de sa partenaire. Avant, évidement, de se pencher sur elle et de l'embrasser langoureusement, demandant sa langue. Puis il resta comme ça une poignée de minutes, jouant avec la bouche de Takias. Il lâcha un petit gémissement étouffé par le baiser. Il ne savait pas combien de temps il allait tenir. Mais ce qui était sûr, c'est qu'il ne voulait pas s'arrêter maintenant. Il fut contraint de briser le baiser, n'arrivant plus à respirer correctement. La bouche grande ouverte, il prenait de long bol d'air.

Ses mouvements de bassins devenaient lentement plus faible. Mais, voulant encore prolonger leurs ébats auquel il se jetait à bras tendu, il se retira d'elle dans un long gémissement qu'il retint. On pouvait quand même l'entendre sortir d'entre ses lèvres fermés. Il changea de position, toujours au-dessus. Maintenant, ses lèvres étaient au niveau de l'intimité de sa partenaire qu'il n'hésita pas à embrasser. Il prit ses jambes et les fit croiser sur sa nuque, donnant de long et langoureux coups de langue sur son sexe. Son sexe frottait délicatement, avec plus de sagesse sa poitrine. Elle n'hésita d'ailleurs pas à ramener le membre de l'homme contre son corps. A cela, il passa sa langue sur ses propres lèvres et reprit ses mouvements de langue. Il trouvait cette position assez amusante dans un sens, mais se concentrait sur le plaisir donné et reçu. Il décida alors d'entrer pour la première fois sa langue en elle, faisant des tours en elle. Elle n'était plus bien étroite, après la scène qu'ils avaient passé, ils étaient prêt à faire n'importe quoi à présent. Le sexe de Takias était humide, non seulement de la salive de Zoro, mais aussi du plaisir qu'il lui procurait. Il pouvait goûter au délicieux liquide de la jeune femme. Alors qu'il souriait, heureux d'avoir enfin pu reprendre le dessus, sa partenaire n'avait pas dit son dernier mot. Il se cambra violemment lorsqu'elle prit son sexe en bouche. Il manqua de gémir, mais se retint. Ils se faisaient à présent monter le plaisir mutuellement, mais le garçon n'avait pas envie de la laisser mener la danse éternellement. A cette pensée, il eu un sourire et replongea sa tête entre l'entre jambe de sa partenaire afin de lui offrir le bien être qu'il était capable de donner. Lentement, il lâcha prise sur son sexe et glissa sur le côté. Il sourit, regardant la jeune femme se mettre face à lui. Ils étaient tous deux couchés dans l'herbe, nus. Leur regard eu pour effet d'attiser à nouveau leur envie. Mais cette fois c'était Takias qui avait une idée en tête.

Il lui sourit et se leva à son tour, la regardant dans les yeux. Malgré qu'ils étaient debout, cela ne les empêcha pas de fusionner à nouveau. Elle fit enter le sexe du garçon en elle. Il s'était dit qu'elle ne devait pas être bien dans cette position, enfin debout. Alors il la porta, lui faisant croiser les jambes dans sont dos. Les pieds de sa partenaire sur ses fesses, il la laissait s'empaler sur son sexe durcie avec désir. Il prolongea le baiser qu'elle lui "ordonna" de faire. Sa langue taquinait ses joues, puis sa langue à son tour. Leur deux membre hors de leur bouche s’entremêlaient avec fougue. Il posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, se faisant entrer plus profondément en elle. En effet, ses mains poussaient dans le sens des coups, même le bassin du jeune homme ne restait pas immobile. Il l'avouait, il aimait bien le faire comme ça. Il rigola intérieurement, continuant leur acte. Mais, alors qu'il prenait plaisir, des lianes vinrent le bloquer, empêchant toutes prises sur le magnifique corps de Takias. Elle se retira doucement, laissant une traîner de leur liquide sur le sol. Il l'écoutait attentivement et sourit. En effet, elle avait raison. La passion demandait de temps en temps de l'attente. La trouver ne serait peut-être pas si facile, mais il allait le faire pour voir ce qu'elle lui réservait. Sur ce point, il était curieux. Il passa sa langue sur ses propres lèvres en souriant. La dernière phrase qu'elle lâcha le fit ricaner. Lui non plus ne tiendrait pas longtemps sans elle. Une fois qu'elle ne fut plus dans son champ de vision, il brisa les lianes qui tenaient ses mains et détacha celles qui l'empêchaient de marcher. Il regarda autour de lui. Ils étaient nus, complètement. C'était un peu ridicule dans un sens. Mais rien ne l'empêcherait de la trouver.

Sans le savoir, il passa plusieurs fois devant elle sans la remarquer. Il avait du mal à la retrouver, et en plus de ça il avait perdu tous le plaisir accumulé depuis le départ. Son sexe n'était plus aussi dur que lorsqu'ils pratiquaient leurs ébats. Il cherchait, il cherchait autant qu'il le pouvait, mais en vain. Il n'était pas très fort à se petit jeu, et malheureusement il savait qu'il ne pouvait pas abandonner. Il ne savait pas ce qu'elle lui réservait sinon. Peut-être qu'elle pourrait mettre carrément fin à leurs ébats et partir après s'être rhabiller. Mais il ne voulait pas ça ! Il voulait encore goûter à son corps. Alors qu'il passa prêt d'un buisson, il vit Takias se cacher. Elle ne pouvait pas le voir, il était derrière, et seulement s'il faisait du bruit en es rapprochant, elle ne l’entendrait pas arriver. Il marcha à pas de loup, faisant attention où il mettait les pieds avant de se coller au dos de la jeune élémental et de lui murmurer à l'oreille.

Trouvé...
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Ven 27 Juil 2012, 21:07


    Je m'étais caché derrière un buisson et attendait patiemment que mon compagnon me retrouve. Je le vis passer plusieurs fois devant moi et je m'aplatissais au sol pour assure ma cachette. L'air était plutôt frais et bien que je ne pouvais avoir froid à proprement parler, je ressentais que l'atmosphère n'était plus aussi chaude qu'elle l'était. J'avais complètement perdu de vue Zoro et je me demandais où il avait bien pu passé. Au moment où j'allais décidé de changer de place, je sentis le contact chaud d'un corps masculin dans mon dos? Je sursautais, ne m'attendant pas à être trouvée par derrière avant de me lever en laissant un sourire étirer mes lèvres pulpeuses. Il me murmura ce mot à l'oreille:

    Trouvé...

    Je souris de nouveau et me retournais pour embrasser le jeune homme. Il m'avait terriblement manqué même pendant ce laps de temps qui aurait pu paraître irrémédiablement court. Mais pas pour moi. Collant ma bouche contre la sienne, je sentis mon cœur battre plus vite encore qu'il ne le battait déjà. Je détachais promptement mes lèvres des siennes pour lui répondre:

    "En effet, et tu m'as terriblement manqué...!"


    Je ne lui laissais pas le temps de répondre et le fis chavirer sur l'herbe fraîche. Je me plaquais contre lui le laissant pénétrer mon intimité avec plaisir et passion. C'était fou comme j'avais l'impression que des heures entières c'étaient écoulées, et pourtant, c'était plutôt le contraire. Je regardais le ciel dans un battement de cil et m'aperçut que d'ici une heure tout au moins, le soleil se lèverait. Je ressentis alors comme un pincement au cœur, bientôt, nous devrons nous quitter car un nouveau jeu sera installé dans l'arène. Je posais de nouveau mes lèvres sur celle de Zoro, mais cette fois ci avec beaucoup de douceur, et non pas avec une envie de plaisir. Doucement je me retirais de Zoro et pris sa tête entre mes mains. Je plongeais mon regard de braise dans ses yeux étincelants. J'avais repris beaucoup de sérieux et je lui demandais d'une voix quasi-craintive.

    "Il faut que tu me promettes quelque chose Zoro, je t'en supplie..."

    Je laissais un silence s'installer, comme si j'avais peur de sa réponse, même si je n'avais pas encore fait ma demande... Peut-être avais-je vraiment peur, quoi qu'il en soit c'était un sentiment que j'avais rarement ressenti auparavant, ce genre de pincement au cœur et cette boule à l'estomac, une appréhension terrible. Quoi qu'il en soit je pris un bol d'air et me lançais:

    "Je ne veux pas que cette première rencontre reste la dernière... Sauf si tu n'es pas consentant, bien sûr...Mais j'aimerais que l'on se revoit car bientôt le soleil va se lever et les jeux de l'arène vont reprendre..."

    Je me rendis soudainement compte de mes paroles et ajoutais vivement, comme pour me rassurer moi même:

    "Cela ne veut pas dire que nous allons nous quitter, tout de suite, il nous reste une bonne heure, même plus, mais je voulais m'assurer, je voulais que tu me rassures en fait..."

    Je laissais de nouveau un silence et baissait la tête. C'était vraiment rare que je m'attache à un homme dès la première rencontre, j'espérais qu'il réponde affirmativement mais j'espérais aussi qu'il soit comme moi, c'est à dire que ça ne le gêne pas que j'aille voir ailleurs. Il m'était impossible de me lier par le mariage ou autre pacte à un homme, je ne pouvais pas, j'avais essayer pourtant, mais ma vie était devenue un Enfer, ce n'était pas pour moi. J'étais faite pour vivre de l'amour de plusieurs hommes et non pas uniquement de celui de Zoro ou de n'importe qui d'autres. Mon engagement au sein des Veuves Noires me le rappelaient chaque jour, les hommes étaient pour la plupart des ingrats se croyant êtres les maîtres du monde, ces hommes là je les tuais sans regrets, pour les autres, doux et aimants avec les femmes comme je pensais que l'était Zoro, j'aimais m'y attacher, flirter avec eux mais cela ne pouvait aller plus loin. Je n'entendais pas par plus loin, des rencontres fréquentes, seulement pas d'engagement, je voulais vivre ma vie libre et aller mettre le nez là où je le souhaitais sans être accusé d'adultère. Je voulais être l'allégorie de la liberté des femmes, liberté qui n'avait pas encore sa place dans beaucoup de régions des Terres du Yin et du Yang et c'était ce à quoi je voulais remédier avec mes Sœurs, les Veuves Noires.


HJ:
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Mer 22 Aoû 2012, 11:46

A peine avait-il eu le temps de prononcer le mot qu'il avait choisi avec tact qu'elle lui sauta à la gorge. Il comprit très vite que pour elle, les secondes passée à attendre avaient ressemblées à des heures. Il ne savait pas que c'était aussi efficace d'attendre. Dès qu'elle prit la parole pour lui faire savoir à quel point il lui avait manqué, en si peu de temps, il eu comme une crainte. En plein moment, comme ça, il craignait que lorsque le soleil se lèverais enfin, ils devraient partir de leurs côtés. Mais est-ce que ça sera sans dégâts ? Il était en tout cas sûr qu'il n'allait pas rester de marbre lors de leur séparation. Mais elle ne lui laissa même pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il était déjà dans l'herbe. Et ses pensées tristes furent immédiatement brisées lorsqu'elle se laissa aller contre lui. Il se cambra, préparant à lâcher un léger gémissement. Mais elle l'embrassa avant, coupant court à la voix de l'homme. Sauf qu'il trouva le baiser différent. Comme...Plus léger, plus doux. Il sentit tout de suite comme une sorte de douleur qui avait l'air de ronger Takias. Juste par les mots qu'elle avait dit. Elle lui avait mis l'eau à la bouche lorsqu'elle avait dis que le moment serait plus "sauvage". Et il ne pensait pas qu'elle pouvait mentirait juste pour attirer son attention. Il s'inquiétait beaucoup, et c'est ce qui le poussa à briser le baiser le tout premier, la laissant se retirer. Il posa ses mains sur les siennes, alors qu'il l'écoutait parler. Sa voix, et le "je t'en supplie" fit battre son coeur plus vite que les étoiles filantes dans le ciel. Il s'inquiétait beaucoup. Alors, pour la détendre, il l'assit sur le sol, pour qu'elle se concentre. Il passa derrière elle et commença lentement à lui masser les épaules. La prévenant qu'il écoutait chacune de ses paroles, il la laissa parler. Bien qu'elle laissa un long silence, assez pesant, elle prit bien vite la parole pour lui expliquer ce qui se passait.

Et plus elle parlait, plus il comprit ce qu'elle avait. Et il pouvait compatir, parce qu'il y avait pensé. Elle ne voulait pas que ce soit qu'une histoire d'un jour. Mais pourtant, il se déplaçait beaucoup lui et son coéquipier, ils auraient du mal à se retrouver. Et si cette histoire les tortures trop souvent, il ne pourra pas se concentrer lors de ses aventures. Il voulait bien sûr la revoir, mais c'était un explorateur, aller et venir dans ce monde c'est ça qu'il faisait. Il n'avait jamais rien fait d'autre que de voyager. Et il ne pouvait pas abandonner ça, sinon ce serait abandonner cet esprit de vengeance qui vivait en lui. Abandonner son ami au monde cruel qu'était le leur. Mais il ne pouvait pas non plus laisser Takias. Il voulait qu'aucune tristesses ne peuvent les atteindre. C'était un choix qu'il devait faire, et ça devenait de plus en plus dur à chaque fois qu'elle en rajoutait. Sa dernière phrase signa définitivement le choix. Il ferma les yeux et poussa un long soupire. S'il devait la revoir, il faudrait qu'elle le contact, qu'elle le prévienne. Il ne pouvait pas rester avec elle définitivement. Comme ça, sur un coup de tête. Bien sur, il se disait qu'elle avait besoin de sa présence. Mais il devait la prévenir, Zoro n'était pas le genre d'homme à rester toujours au même endroit. Donc il la lâcha et roula jusqu'à être à côté d'elle. Alors là il posa son bras sur ses épaules et étira un sourire, regardant le ciel. Le ciel qui était encore noire, la nuit était encore là. Bien que le compte à rebours était lancé et il ne leur restait que très peu de temps. Une heure, c'était peu dans une vie. Pas assez pour qu'il en ai assez. Il ne voulait pas la quitter si vite, et n'allait pas laisser ces tracas pourrir leur précieux temps.

Il gardait toujours son sourire qu'il avait fait connaitre. Celui du mec sympa. Elle pouvait toujours compter sur lui, ça s'était certains, mais disons que ça allait être assez compliqué. Il baissa le regard, fermant les yeux. Oui, effectivement. Mais il pensera à cela plus tard. En attendant, son regard passa du ciel étoilé au visage de Takias.

Sache que je suis un explorateur. Je n'ai pas de chez moi. Alors pour nous revoir, ça ne sera pas simple. Mais je te promets que cette rencontre ne sera pas la dernière.

Il passa sa main sur sa joue, lui faisant relever la tête. Il osa même lui voler un baiser. Même s'il en était content, il s'en fichait un peu qu'il leur restait du temps ou non. Il avait passé toute la nuit avec elle, et seul ça s'était suffisant. Bien qu'il voulait que le temps s'arrête, il pourrait partir sans aucun regret, en sachant qu'ils se révéraient un jour. Mais pour le moment, ils avaient plus d'une heure devant eux d'après ce que Takias affirmait. Elle voulait être rassuré, c'est ce qu'elle lui avait dis. Il cacha son sourire derrière le dos de sa main et fini par la prendre dans ses bras. Mais pas comme s'il était poussé par l'envie. D'une douceur digne d'une boule de poil, ou d'un coussin, il la serrait contre lui, lui caressant lentement le dos.

J'espère que je te rassure plus que prévu.

Avait-il dit en cachant son sourire légèrement arrogant dans les longs cheveux de sa partenaire. Au moins, il aurait essayé. Il effaça rapidement ce sourire de son visage, prenant plutôt un visage neutre, perdu entre ses pensées et la femme qu'il tenait contre lui.
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Pour les beaux yeux d'une femme [Pv Takias]

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