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 | Description de Port Dirælla |

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Mitsu
♚ Fondatrice ♔

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◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Mer 14 Juil 2021, 08:47


Texte par Vanille
Présentation générale : Port Dirælla est la première Cité a avoir été bâtie sur les terres indomptables et sauvages de Tælora, comme un bijou posé avec délicatesse sur le meilleur écrin qui puisse être. Aussi ambitieuse qu’audacieuse, elle s’enorgueillit d’être l’une des réalisations majeures de l’ère, grâce à son architecture soignée dans les plus infimes détails et ses structures inédites et surprenantes. Surnommée la Flamboyante tant elle rayonne de son éclat et nimbe les regards étrangers des flammes qui brûlent à ses portes, elle est un atout considérable pour le peuple ondin, qui l’érigea en centre économique principal de son activité, ne gardant pour la Capitale que les tâches nobles de la politique et de la diplomatie. Elle fut construite durant les temps troubles et meurtriers qui suivirent la résurgence du continent, à peine sorti des abîmes glacials. Fondée par Lady Vanille caël Deslyce, alors Dame des Abysses, elle s’éleva dans le plus grand des secrets avant d’être révélée au monde, pour peu à peu regagner l’estime des peuplades outragées. Port Dirælla est la première - et a longtemps été l'unique - Cité des Ondins qui ne se trouve pas sous la surface des mers et des océans. A ce titre, elle possède la réputation d’être plus accessible, occupée par des créatures marines aussi enchanteresses qu’agréables. Prisée pour ses produits d’exception, ses paysages enchanteurs et son décor somptueux, elle a tous les charmes nécessaires pour séduire les plus réticents.
Carte schématique du lieu:

La composition de Port Dirælla : Même un regard peu attentif et avisé comprendrait les infinies richesses de la Cité après avoir longé quelques unes de ses allées. Parfaite représentation des mœurs et de la culture ondine, Port Dirælla repose sur un idéal élitiste et un goût de perfection. Ainsi, les résidants jouissent d’un statut certain et de ressources qui leur permettent de vivre de façon plus qu’aisée et même les quartiers dits « modestes » sont empreints de luxe et de raffinement, avec des villas fleuries aux pierres blanches et des grands parcs aux lacs d’eau claire autour desquels les enfants jouent. Les habitants des quartiers « riches » peuvent se prévaloir de manoirs encore plus grands et imposants, et quelques domaines remarquables attirent l’attention des curieux. Les nobles et les bourgeois aux finances nécessaires s’affichent dans ses quartiers, comme la vitrine de leur réussite. Néanmoins, rien ne vaut le cœur de Port Dirælla, ses rues où les Maisons – économiques – les plus prestigieuses possèdent une enseigne, où l’on trouve la banque, les tribunaux, les écoles et les universités ainsi que les plus beaux domaines, parmi lesquels on trouve le Domaine Dhisalia de Lady caël Deslyce. Surtout, surplombant toute la Cité, en équilibre sur les eaux de Shriuni, le Palais de l'Impératrice s’érige en maître, prêt à accueillir le monarque en déplacement ainsi que les membres importants du gouvernement et les Néris. Les allées commerçantes regorgent du meilleur de l’économie ondine, avec des plantes médicinales ou vénéneuses d’une qualité sans nulle autre pareil, des artisans du nacre prêts à réaliser toutes les fantaisies, les chocolatiers les plus habiles qui profitent du climat chaud et humide de Tælora, des bijoux aussi fins que superbes et bien d’autres choses encore.

La Route de Phyvæsi : Elle est l’ouvrage majeur de Port Dirælla, aussi impressionnante que surprenante. Construite autour et sur les eaux du fleuve Shriuni qui s’en va se jeter dans les vagues, elle élargit et étend le chemin du cours, façonne des détours et des courbes, s'élève et serpente dans les largeurs et les hauteurs pour créer un immense réseau qui permet aux navires – qu’ils soient marchands ou de plaisance – de s’approcher de bien des rues où ils peuvent s’amarrer quelques temps, une fois les autorisations nécessaires délivrées et le prix acquitté. Les canaux passent souvent au dessus ou en dessous d’un pont pour les promeneurs, près d’un point où les Sirènes se prélassent et même à travers des édifices spécialement conçus pour la négociation, les taxes ou le repos. La Route de Phyvæsi traverse la Cité sur un axe entier et s’achève près de la Porte de Mourn où les vaisseaux sont contraints d’utiliser la dernière boucle pour faire demi-tour. D’une propreté irréprochable, les eaux sont d’une pureté surprenante, claires et limpides, grâce à un ingénieux système et une touche de magie ; les Sirènes désireuses de vivre dans un espace sans défaut et particulièrement préoccupées par la clarté de l’onde folle dans laquelle elles aiment tant se prélasser. Port Dirælla est par ailleurs une ville immaculée, aux allées sans la moindre trace de saleté et pas un pavé ne semble souillé, pas même dans les quartiers où prend place le grand marché. Un parfum enchanteur flotte dans la Cité entière, sans que l’on puisse déterminer si les enchantements des Ondins ont eu un rôle à jouer.
Les Gorges de Lirislin : Port Dirælle est une Cité bien protégée, entourée d’une immense muraille de pierres sculptées dans un souci de protection et de préservation, aussi bien contre les bêtes monstrueuses qui peuplent Tælora que pour empêcher les gêneurs de franchir les frontières de la ville. Les accès sont limités à deux entrées et contrôlés. Le plus simple pour rejoindre la métropole reste d’emprunter la voie des mers et de traverser les Gorges de Lirislin. Sur des structures flottant à même les eaux salées, une vie s’est installée, composée des demeures et des embarcations des pêcheurs et de gardes qui ont préféré le rythme battant des Gorges, leur proximité avec l’Océan, plutôt que le cœur de la Cité et ses terres. Cette architecture n’a pas été construite au hasard mais bien pensée, pour réduire le passage menant à Port Dirælla et permettre un contrôle sur les allées et venues des étrangers. Les voyageurs, les marins, les marchands et les pirates n’ont d’autres choix que d’emprunter cette route s’ils souhaitent approcher la Cité avec leur flotte. Une fois les discussions passées avec Lord Tebryn Mynceria ou un Ondin sous ses ordres – il est affecté à ce poste depuis les premières heures de la construction - le vaisseau pourra – contre un prix et des taxes – s’amarrer dans les Gorges ou continuer son chemin sur la Route de Phyvæsi. Des membres de la Caste des Enfants de Yanna auraient, selon les rumeurs, un point de rendez-vous récurrent dans l’une des tavernes qui bordent les maisonnettes des Gorges. Véritable place du négoce et des ventes, elles sont prisées par les commerçants, qui font leurs propres lois en ces lieux.

La Porte de Mourn : Taillée à même la roche aux nuances lunaires de la muraille qui protège Port Dirælla, la Porte de Mourn est l’unique accès terrestre qui offre aux visiteurs une entrée sûre. Les plus hardis tenteront d’escalader les falaises escarpées, hautes et rudes mais l’ascension ne sera pas de tout repos et un détachement de Soldats de la Cité veillent sur les bordures de leur ville et empêchent la plupart des imprudents de mener à bien leur projet. Gigantesque, démesurée et ouvragée, la Porte de Mourn est une réalisation audacieuse. Les eaux du fleuve ont été élevées jusque dans la muraille pour couler tranquillement dans un canal central, jusqu’à se jeter par des brèches dans Dirith, façonnant un décor enchanteur et monumental. Loin d’être libre d’accès, la Porte de Mourn est sous une surveillance constante, protégée par un bataillon de Soldats et de quelques membres de l’administration Ondine qui vivent non loin. Ils sont aussi chargés de repousser les bêtes sauvages qui s’approcheraient trop des limites de la ville, de protéger les voyageurs qui demanderaient asile, sans oublier d’opérer les contrôles pour que les ennemis de la nation ne bafouent pas les terres de l'Impératrice des Abysses. Loin de démontrer un mal évident, ils prodiguent nourriture et eau à ceux dont ils rejettent les demandes, pour leur permettre de survivre sous le climat brûlant des plaines de Tælora. Le fleuve n’est pas assez large, ici, pour laisser passer une embarcation plus grande qu’une barque.

La Porte de Shar : Connue et réputée pour sa beauté et son élégance, ses motifs éclatants et les flammes qui brûlent à ses sommets, la Porte de Shar est à elle-seule une œuvre d’art, façonnée par les doigts des artistes les plus talentueux de la Cité Engloutie. Elle est une délimitation entre les Gorges de Lirislin qui traversent les quartiers modestes puis riches et la Route de Phyvæsi qui serpente dans le cœur de Port Dirælla pour s’enfoncer dans l’entierté de la Cité. Pour que les portes s’ouvrent, il est nécessaire de présenter aux Veilleurs les autorisations nécessaires, obtenues auprès de Lord Tebryn Mynceria. Large et imposante, Shar est à l’image du reste de la métropole, comme pour donner une première impression de majesté et de prestige à ceux qui s’aventurent dans la ville. Il s’agit là d’une démonstration de force du peuple des Mers, capable d’allier la sécurité à la grâce, pour faire oublier les obstacles au profit de l’ébahissement. Les plus réticents face aux différentes conditions doivent se rappeler d’un élément primordial : ils sont loin de voir la totalité des Soldats qui protègent Port Dirælla. Nul ne sait combien d’Ondins parcourent les flots en silence mais une chose est sûre : ils sont là et prêts à surgir à la moindre incartade. La Porte de Shar est aussi surnommée la Deslicéa.

Les Terres de Rezella : Grâce aux dons des Enfants des Mers et de la femme qui fut à l’origine du projet, Port Dirælla bénéficie d’un territoire stable et plutôt sec. Toutefois, les Ondins ont tenu à conserver – comme par nostalogie ou devoir de mémoire – un lieu où ils n’auraient pas tenté de retirer l’eau salée dont s’est gorgé le Continent, une fois sorti des abîmes par Lady caël Deslyce. Ce sont les Terres de Rezella, qui bordent la mer. A bien des égards, elles se rapprochent à des marais, à ceci près qu’elles dégagent une atmosphère douce et enchanteresse. Un miroir d’eau de quelques centimètres s’étend, reflète les nuances de la végétation et du ciel. Les arbres millénaires s’élèvent vers des hauteurs insoupçonnées tandis que les racines, elles-mêmes parfois aussi larges qu’un tronc commun des autres Continents, se mêlent et s’entremêlent pour former une toile, dont les formes sont soulignées par des plantes et des fleurs hautes en couleur et en parfum. Une faune exceptionnelle vit sur ses terres, protégées et contenues par quelques Ondins dévoués à cette cause. Il règne une quiétude surprenante, comme si l’on s’était éloigné de toute existence humaine pour se perdre dans un aperçu d’Eden merveilleux. Quelques Sirènes y cultivent, par ailleurs, quelques espèces particulièrement rares de plantes vénéneuses, qui constituent une part importante de leur économie.

Les Jardins de Kovialle : Particulièrement prisés par les rêveurs, les poètes ou les artistes en tout genre, les amants et les enfants, les Jardins de Kovialle sont des espaces de verdure pensés pour le bien-être des habitants de Port Dirælla, qui chercheraient à flâner sans risquer de faire une rencontre malencontreuse. Les paysagistes ont mis un point d’honneur à préserver la végétation naturelle de Tælora, sans implanter la moindre espèce venue d’autres continents. Composés de fleurs colorées et exotiques, d’arbres aux feuilles surprenantes et de roches couvertes de mousses flamboyantes, les Jardins de Kovialle rappellent les Forêts Enchanteresses des Orines, sur le Continent Mystérieux. Des points d’eau claire permettent aux Sirènes de se prélasser sous la forme qu’elles préfèrent. Les visiteurs étrangers tombent souvent sous le charme des Jardins, avant de succomber face à la beauté des créatures qui s’y trouvent. Les âmes seules trouvent souvent un partenaire en ces lieux charmants, où sont souvent organisés de grands jeux comme des cache-cache. Les femmes se plaisent à se parer de leurs plus beaux atouts, de leur plus belle tenue, pour apparaître radieuses et sensuelles et envoûter les hommes de passage.

Le Chemin de la Foi : Simple chemin de terre bordé de pierres blanches et de fleurs, il est reconnaissable aux lianes et aux racines qui forment de grandes arches tout le long du parcours. Il est réservé aux Ondins et aux Sirènes qui veulent accorder du temps à la prière, à leurs idoles. Il débute sur l’un des rivages des Terres de Rezella pour s’achever sur l’autre. Le Chemin de la Foi est un pèlerinage contemplatif de remise en question et d’invocations de ses Dieux. Il doit être réalisé dans le plus grand des silences, sans prononcer un mot à qui que ce soit. Le croyant ne doit pas sortir du Chemin et donc prévoir de quoi se nourrir, boire, dormir, car faire le tour de Port Dirælla est long et une magie divine semble ajouter de la difficulté à la route. Le temps devient une notion abstraite qui s’étire et se rétracte à volonté ; le jour et la nuit s’enchaînent à des rythmes improbables sans logique apparente. Quelqu’un qui marcherait le long du Chemin de la Foi – sans l’emprunter – arriverait bien avant celui qui entreprend le voyage. Il doit être éprouvant, faire frémir la foi pour la rendre d’autant plus éclatante. Il est utilisé habituellement pour l’Aether Aylidis et parfois en l’honneur de Phoebe.  

Dirith : L’eau qui se jette du haut de la muraille près de la Porte de Mourn alimente les réseaux de Dirith. Des plateaux de roches rouges et cendrées forment un terrain inégal, sur lequel repose jusqu’à un mètre d’eau claire et froide qui s’écoule en petites cascades. Le paysage dégage une aura de calme et de tranquillité. Pourtant, les accidents mortels ne sont pas rares et il s'agit de la principale préoccupation des Soldats de la Porte. Il est nécessaire de traverser Dirith pour rejoindre le cœur de Port Dirælla. Les Ondins, habiles et habitués, savent où marcher, comment avancer. Les voyageurs imprudents glissent souvent sur la terre humide, pour se briser sur les pics aiguisés qui bordent chaque plateau. La légende veut que de nombreux restes et squelettes reposent dans les trous les plus profonds de Dirith et s’animent parfois, pour faire chuter d’autres visiteurs en les faisant trébucher, en leur saisissant les chevilles, pour qu’ils les accompagnent dans la mort. D’autres voient en ces drames une preuve de la mauvaise foi du peuple ondin et affirment que les décès trouvent une explication logique qui aurait le mérite d’allier la réalité au mythe : des Sirènes se dissimuleraient dans Dirith pour leur bon plaisir. L’explication a été démentie de nombreuses fois, appuyée dans sa véracité par le peu de profondeur disponible.

Menella : Surnommé les Jardins de la Reine en référence à celle qui porta le titre de Dame des Abysses pendant de nombreuses années, Menella sont des terres sauvages que l’on peut trouver entre la muraille et Kovialle, car les Ondins préféraient laisser une marge entre la frontière et la Cité. Envoutant, captivant, inquiétant, Menella regorge de secrets et de mystères. Parfois, l’eau déborde, la faute à Dirith et à ses cascades. Les rayons du jour peinent à percer les épais feuillages des vieux arbres, conférant une douce atmosphère à la région. Des plantes improbables poussent sur ces terres, qui sont loin d’être inhabitées. Débarrassées des monstres de Tælora, elles ont été offertes aux Nymphes, un peuple affiliée aux Sirènes en ce qui concerne la gouvernance. Certains clans de ces délicieuses créatures ont élu domicile à Menella et mènent une existence loin de tout, ne souhaitant pas être dérangées par d’autres formes de vie. Malicieuses à leurs heures, elles aiment tendre des pièges à ceux qui osent les importuner dans leur tranquillité. D’après les récits de ses hommes imprudents, les fleurs scintilleraient d’une lueur vive et froide lorsque des Nymphes approcheraient, sans que l’information puisse être vérifiée puisque les jeunes femmes se laissent rarement apercevoir.

La Galerie des Dames de Jeralissa : La grande muraille qui protège Port Dirælla des invasions extérieures est – au-delà d’une protection avisée – un support d’expression pour les artistes de la pierre de la Cité Engloutie, qui ont trouvé grâce à elle un moyen de rendre hommage aux figures importantes pour le peuple. Ils ont sculpté la roche, jusqu’à érigé d’immenses statues, toutes plus belles et impressionnantes les unes que les autres. La plus imposante et grandiose est sans nul doute celle de l’Aether Ailydis – celle de Phoebe étant légèrement plus petite. Elles forment avec le Palais une ligne droite aux évocations certaines, comme un regard protecteur. A égale distance de la porte de Mourn, on peut trouver les statues de plusieurs reines – les hommes n'étant pas représentés – et surtout de la Khæleesi. D’autres Souverains appréciés ont été représentés, à savoir, Cybèle, Emiline et Docæmella, ce qui a valu à la muraille le nom de Galerie des Dames. L’ajout « De Jerelissa » est un abus de langage du dialecte commun pour signifier la protection supérieure, accordée par la représentation des deux divinités protectrices des Ondins.
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Mer 14 Juil 2021, 08:48



Informations


Qui peut fouler le territoire ? : Toutes les races des Terres du Yin et du Yang peuvent fouler le sol de Port Dirælla, en théorie.

Niveaux de dangerosité :

■■■□□□□□□□ : Tælora n’est pas un continent calme et paisible par essence. Cependant, Port Dirælla bénéficie d’une protection remarquable, empêchant les invasions de bêtes carnassières et monstrueuses. Quelques créatures parviennent toutefois à s’introduire dans la Cité et causent des dommages, avant d’être arrêtées. Elles sont particulièrement revanchardes et sanguinaires, mais la Garde de l’Impératrice veille. Port Dirælla est un lieu plutôt sûr. Les rues sont tranquilles et il est plutôt rare de voir le moindre délit. La Cité est riche et affiche un certain standing, qu’elle tient à conserver.

■■■■■■■□□□ : Pourtant, Port Dirælla n’est pas forcément une Cité où chacun peut se promener à sa guise, sans craindre quoi que ce soit. Les Sirènes sont des créatures complexes et subtiles, qui n’œuvrent pas au grand jour. Il existe bien des crimes et des délits, présents en masse en ces lieux. Mais ils ne se présentent pas sous une forme brute et violente. Les Sorciers sont particulièrement mal vus à Port Dirælla et ils évitent de flâner dans la Cité, sous peine de subir un châtiment cruel.

Saisons :

- Tarra : Cette saison est plutôt longue. Durant cette période, les températures sont élevées et les vents marins, assez forts. Les cieux sont dépourvus de nuage et les averses sont rarissimes. La chaleur n’est pas insupportable mais il vaut mieux être habitué à vivre dans de telles conditions. Ils sont nombreux à prendre de vilains coups de soleil après seulement quelques minutes dans les rues de la cité, ou à simplement s’évanouir.

- Eatari : Cette saison est plutôt courte. Durant cette période, les températures sont vraiment très élevées et il n’y a même pas une petite brise pour atténuer la chaleur. Les étrangers sont plutôt rares durant cette saison, et les Sirènes adoptent un rythme de vie différent pour éviter les heures les plus délicates. Mieux vaut éviter de se promener quand le soleil est haut et puissant, dans le ciel. La nuit est cependant très agréable et de nombreuses festivités sont organisées.

- Nesu : Cette saison est plutôt longue. Durant cette période, le climat est particulièrement agréable à vivre : les températures ne sont pas trop élevées et les vents marins ne sont pas virulents mais bien présents. Parfois, quelques brèves averses s’abattent sur la Cité. Les nuits sont fraiches mais tout aussi plaisantes, un moment idéal pour de nombreuses festivités.

- Halelen : Cette saison est plutôt courte. Durant cette période, les températures sont très élevées mais la pluie s’abat sans interruption. Parfois, il ne s’agit que d’une petite averse. D’autre fois, c’est un véritable déluge. Cette saison ne dure pas très longtemps mais est particulièrement difficile à vivre. Pendant Halelen, ils sont nombreux à ne pas travailler, sur décret impérial, car le temps n’est pas propice à l’économie. Par ailleurs, des offices religieux se tiennent durant cette saison, qui est donc placée sous le signe du recueillement.

- Aethan : Cette saison est plutôt courte. Durant cette période, le climat est assez doux, presque froid selon les critères de la région. La Cité est balayée par les vents marins et les cieux sont couverts par d’épais nuages. Cette saison reste claire et lumineuse, quoi que les averses ne soient pas rares. C’est aussi la période des orages, violents et coléreux.

Langues : Les Sirènes parlent le Valærian. Il est plutôt rare qu'elles fassent l'effort de parler dans la langue commune, même si les étrangers ne peuvent pas les comprendre lorsqu'elles s'expriment dans leur langage maternel.

Économie : La Cité de Port Dirælla est le principal centre économique du Peuple des Sirènes. Les Grandes Maisons possèdent plusieurs établissements en son sein, afin de proposer leurs produits à la vente. Vous trouverez aisément des boutiques de plantes, qu’elles soient médicinales ou vénéneuses. Les Sirènes sont aussi les maîtresses incontestables des domaines de l’orfèvrerie, de la joaillerie et de la bijouterie. De nombreux établissements, souvent très prestigieux, jonchent les rues. Le nacre et les perles sont souvent mis à l’honneur. Evidemment, les fèves de cacao et ses produits dérivés sont présents en masse. Vous n’aurez aucun mal à trouver des algues, sous toutes ses formes. Il en va de même pour les denrées alimentaires des Sirènes, dont les ananas et les bananes, ou pour les instruments de musique réputés de la race : les violons, les violoncelles, les ocarinas. La porcelaine est aussi un élément clef, tout comme le cristal et la fabrication des tridents. Ceci dit, à Port Dirælla, il est plutôt rare de trouver des commerces dits « modestes ». Les prix sont assez élevés, mais la qualité se paye.

Monnaies : La monnaie raciale des Sirènes, la Dyrræ, est la monnaie officielle de Port Dirælla. Elles acceptent néanmoins la monnaie commune.

Religions : Les principaux cultes sont dédiés à Aylidis et Mæhilda. De nombreux temples sont dédiés à Aylidis, qui possèdent certainement les plus prestigieux édifices. Mæhilda n’est pas autant adorée mais tient cependant une place de choix. Les autres cultes sont minoritaires et sont tous tolérés, pourvu de ne pas entraver le culte de la Grande Aylidis.
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