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 [Q] - Un après-midi ensoleillé

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Dim 20 Sep 2020, 17:07



Un après-midi ensoleillé


Objectif : Myu et Ærya se rencontrent pour la première fois. Ensemble, elles feront des activités ludiques.


« La la li la la. » Myu avançait tranquillement, sur un petit pont. Elle revenait des cours, son cartable attaché dans le dos. Ses longs cheveux blonds cascadaient sur ses épaules et ses yeux bleus étaient ouverts sur les merveilles du monde. L’éducation ygdraëenne était complète et excellente. La jeune Elfe aurait pu être une bonne élève si elle ne passait pas son temps à rêvasser, l’esprit toujours dans la lune. C’est, du moins, ce que lui disait sa mère. Celle-ci avait cette bienveillance naturelle, propre à certaines mamans poules, envers sa progéniture. En réalité, Myu était peut-être un peu en retard par rapport aux autres mais les cours ne l’intéressaient pas tant que ça. Elle préférait se rouler dans l’herbe et admirer les cascades qui parcouraient le territoire de son peuple. Le bruit des rivières lui était agréable et elle adorait s’accroupir à côté de l’eau afin d’essayer de percevoir quelques petits poissons. Ces derniers ne s’arrêtaient jamais pour la contempler mais les admirer la rendait heureuse. Seule, Myu respirait la joie de vivre. Son père était comme elle : un individu simple qui avait ouvert un commerce d’œufs de poule. Son entreprise avait fructifié et, avec le temps, il avait pu l’étendre au reste du monde et procéder à des exportations qui lui avaient permis d’avoir une vie décente. Sa femme, la mère de l’Ygdraë, elle, travaillait dans l’élevage canin. La maison était une véritable ménagerie. Entre les chiens, les poules et les trois petits frères de Myu, il y avait toujours du bruit et des choses à faire. Pourtant, malgré tout, l’ensemble était paisible et heureux.

Une fois que l’Elfette eut passé le pont, elle se retrouva rapidement dans un grand jardin. Il appartenait à son voisin. L’homme aimait y faire pousser tout un tas de légumes. Les cerisiers qu’il se plaisait à entretenir étaient actuellement en fleurs et le spectacle en valait la peine. Des pétales rosés recouvraient une bonne partie de l’endroit. Myu, qui avait reçu l’autorisation expresse, dès son plus jeune âge, de venir jouer et déguster les fruits et les légumes, s’assit dans l’herbe. Elle replia ses jambes et entoura ses genoux de ses bras, afin de regarder le paysage. Elle avait eu une vie paisible. Elle n’avait d’ailleurs pas connu Earudien. Ses parents lui en avaient parlé parfois mais il ne faisait aucun doute que l’avenir du peuple se trouvait ici. L’Ygdraë n’était pas assez âgée pour s’intéresser à la politique et aux problèmes que celle-ci pouvait engendrer. Plusieurs visions se heurtaient mais, justement, ces visions étaient bien loin de ses préoccupations. Elle avait entendu parler d’un problème avec les Démons mais son jeune esprit avait rapidement tout oublier, afin de se concentrer sur d’autres choses, plus futiles. Elle n’aurait su comment réagir, de toute façon. La notion même de « mort » lui était étrangère. Elle avait vu plusieurs animaux mourir et en avait été attristée mais aucun de ses proches n’avait connu le même sort. C’était simple, facile, espiègle et doux.

« Hi hi hi ! » À l’entente du rire, l’attention de Myu se renforça. Silence. Avait-elle rêvé ? « Hi hi ! » « Oh ? » répondit la blonde, en se relevant tout en laissant son cartable sur place. « Qui est là ? » demanda-t-elle, absolument pas inquiète. Le son était enfantin et joueur. À petits pas, l’Elfe s’approcha d’un bosquet. Elle vit des branches bouger, alors que le rire reprenait, dans un essai de fuite. Visiblement, elle avait commencé une partie du jeu du chat et de la souris avec une enfant inconnue. La chose plut à la blonde, qui contourna un buisson. « Raaa ! » fit-elle, en soulevant ses mains pour imiter un gros monstre. Là, elle tomba nez-à-nez avec les yeux céruléens d’une gamine qui éclata de rire. « Salut ! Comment tu t’appelles ? » questionna la plus grande. Elle lui disait quelque chose mais elle doutait de lui avoir déjà parlé. « Mon papa il m’a dit de ne pas parler avec les zinconnus. » commença l’enfant, en liant ses deux petites mains devant elle tout en se dandinant. « Mais moi ze suis pas très zobéissante. » ajouta-t-elle en riant. « Ze suis Ærya ! » « Tu es la fille d’Ezechyel Valärunkar et de Mircella Rumblee, non ? » Ses parents étaient connus. « Voui ! » avoua l’enfant. « Qu’est-ce que tu fais là ? » « Ze suis partie en aventure ! » dit-elle, avec une grande détermination dans la voix.

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Mer 23 Sep 2020, 11:25



Un après-midi ensoleillé



Après un petit moment où le jeu de cache-cache et de course poursuite avait repris, Myu s’arrêta, autant essoufflée que la fillette. Les mains sur les genoux, elle inspira et expira plusieurs fois, imitée par l’enfant qui, visiblement, avait décidé de la prendre comme modèle. Ces choses-là vont vite, généralement. Il suffit d’une rencontre pour que le charme opère et que les amitiés naissent. « Et si on se couchait par terre ? » proposa soudainement Ærya. « Par terre ? » « Oui ! Comme ça, on pourra regarder le ciel et les nuages ! » Dans les yeux céruléens de la petite Ygdraë, il y avait un monde de merveilles, d’audaces non encore déçues et d’innocence. La jeune fille qui l’accompagnait respirait la même joie de vivre. Toutes les deux n’avaient pas connu la guerre. Personne n’avait jamais essayé de les manipuler ou, dans le cas d’Ærya, elle ne s’en était pas aperçue. La naïveté des premières années illuminait leurs prunelles. Il n’y avait que la bonté, les rires heureux et les cœurs chaleureux.

Un peut plus tard, elles étaient allongées toutes les deux dans l’herbe grasse, comme beaucoup d’autres l’avaient fait avant elle, et continuaient à le faire. Jun se retrouvait, fréquemment, dans une position semblable, au côté d'Alaster. Le Déchu prenait alors un brin d’herbe entre ses lèvres et, lorsqu’il ne dormait pas, s’amusait à contempler les formes ouatées qui se trouvaient au-dessus de sa tête. Il suspectait son voisin de les modifier à sa guise, pris dans une valse créatrice parfois presque trop enfantine pour un homme de son âge. Aussi, d’autres, dans le monde, s’adonnaient à ce jeu simple avec le même entrain. Le bonheur n’a souvent besoin d’aucune complexité. Il peut se contenter d’être simple. « Regarde ! On dirait un petit chien ! » s’écria soudainement Myu, en pointant son index vers un cumulus. « Oh ouiii ! Un petit ssien ! » répondit Ærya, en émettant un rire si caractéristique à l’enfance : fort, sans pudeur et particulièrement enjoué. Si elle pouvait avoir de gros chagrins pour de petites choses insignifiantes aux yeux des adultes, elle était capable d’une intensité de l’autre côté du spectre pour trois fois rien. Cette gymnastique émotionnelle pouvait surprendre, même si Myu, du haut de sa fin d’adolescence, possédait la même façon d'agir. Les adultes étaient parfois ternes, plaintifs, pris dans le quotidien d’une vie non souhaitée, voire subie. Elles, ne possédaient pas encore ces soucis. Elles étaient pleines et entières, à profiter du moment présent et à souhaiter plus fort que tout que, tout au long de leur existence, elles continueraient de s’amuser et de trouver le monde merveilleux et empli de surprises. « Là ! là ! C’est mon papa ! » « Ton papa ? Dans un nuage ? » « Siii même que ! Regarde ! Là y a ses oreilles ! Bon elles sont un peu déformées mais c’est à cause que y a du vent ! Oui voilà ! C’est le vent qui fait battre ses oreilles ! Ha ha ! Puis après là y a ses cheveux ! Bon ils sont en bataille mais c’est le vent ! Parce que, le vent, il fait des farces ! C’est comme quand ma zupe elle s’est soulevée la dernière fois et que tout le monde a vu ma culotte ! » Elle se mit à se bidonner, les mains posées sur le ventre. « C’est vrai que le vent est farceur ! » dit Myu, avant de replonger son regard sur le nuage en question, afin d’essayer d’y percevoir Ezechyel. Il y a des choses simples à réaliser : même lorsqu’on ne voit pas, parfois, il suffit d’un peu d’imagination pour transformer un nuage en Ygdraë blond. « Han ça y est ! Je vois ton papa ! » Elle rit. « Oh et puis, là-bas, c’est l’école ! » « Waaa ! L’école ! » fit-elle, sans savoir à quoi ressemblait vraiment l’école. « Tu sais quoi ? Moi z’aimerais qu’il y ait toute ma famille dans les nuazes parce que ze les aime tous plus grand que l’univers ! » déclara soudainement la gamine. Myu tourna la tête vers elle et lui prit la main. « Je suis sûre qu’ils ont tous une forme de nuage ! C’est juste qu’il y a beaucoup de gens sur ces terres alors… ils se promènent pour aller leur rendre visite ! Mais tu les verras tous apparaître dans les nuages un jour ! » « C’est vraiii ? » « Oui ! Il suffit de regarder les nuages tous les jours et ils apparaîtront lorsqu’ils auront terminé leur voyage ! » « Trooooop bien ! »

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Jeu 24 Sep 2020, 10:58



Un après-midi ensoleillé



« Vous faites quoi ? » Dans le champ de vision d’Ærya, une partie du ciel s’effaça, au profit de la tête d’un enfant qui devait avoir à peu près le même âge qu’elle. Les yeux de la fillette s’agrandirent soudainement, avant qu’un air curieux ne saisissent ses traits. Elle se redressa un peu brusquement, manquant la collision frontale. Heureusement, le garçon eut la bonne idée de s’éloigner légèrement. Une fois sur ses petites jambes, l’Elfette le détailla. L’émeraude de ses yeux la fit rire. « Yeux verts, yeux de vipères ! » dit-elle, machinalement. Celui-ci répliqua. « Yeux bleus, yeux d’amoureux ! » Les deux se mirent à rire, sous l’œil bienveillant de Myu, qui reprit la parole après un temps. Il y avait quelque chose de particulièrement doux dans l’air. « Ærya, voici Arion. C’est le petit-fils du couple à qui appartient ce jardin. Il vient de temps en temps voir ses grands-parents. » Arion sourit. Lorsqu’il regardait la gamine, il semblait que rien d’autre n’existait dans le monde. « Arion, voici Ærya, c’est la fille d’Ezechyel et de Mircella. » Inutile de préciser le nom de famille des deux protagonistes. Ils étaient assez célèbres pour que, placés dans la même phrase, côte à côte, il n’y ait aucun doute sur leur identité. La fillette sourit à son tour. « Vous faites quoi, alors ? » reprit Arion, puisqu’il n’avait toujours pas eu de réponse à sa question. « On regardait les nuazes pour y trouver des formes dedans ! » « Oh je vois ! Je fais ça avec mes deux grandes-sœurs parfois ! C’est rigolo ! Un jour, j’ai vu un Yggdrasil ! » « Un Yggdrasil en nuaze ? Waaaa ! » s’exclama son interlocutrice, soudainement surexcitée.

« Arion ? » Une voix appelait l’enfant depuis le haut du jardin. Les oreilles de Myu bougèrent légèrement. La jeune fille finit par se redresser afin d’indiquer leur position. « Youhou ! Nous sommes là ! » dit-elle, en essayant de forcer sur ses cordes vocales pour être entendue. Quelques minutes plus tard, une silhouette apparut. L’homme en question devait avoir la trentaine et était, sans contestation possible, le père de l’enfant. Les yeux qu’il posa sur lui furent une preuve suffisante. Rassuré de retrouver le bambin, il revint aux bases des relations sociales, à savoir la politesse. « Bonjour ! Désolé. Nous étions en train de cuisiner, je suis allé chercher un ingrédient et, quand je suis revenu, le chenapan avait disparu ! » « Papa, papa ! » commença l’enfant, qui, visiblement, venait d’avoir une idée. « Oui, Arion ? » « Est-ce que tu peux jouer de l’harmonica ? Comme ça, on peut danser. Ærya, je suis sûr qu’elle danse trop bien. » « Ærya ? » demanda l’homme, tout en posant des yeux interrogatifs sur les deux jeunes filles, avant de comprendre, au rougissement soudain des joues de son fils, qu’il s’agissait de la plus petite. « Je dois réfléchir… Le gâteau ne va pas se faire tout seul. » « S’il te plaît, dis oui ! » supplia presque l’enfant. Myu plaça son index sur ses lèvres, avant de faire une suggestion : « Vous pourriez jouer pour nous et, lorsque vous aurez fini, on pourrait venir vous aider à préparer le gâteau ? » Le père de famille sourit. « Ça me semble un marché convenable. » En réalité, ça ne lui importait pas tant que ça. Ils n’étaient pas pressés : le repas était prévu pour ce soir et il restait quelques heures avant que le soleil ne disparaisse à l’horizon.

Après avoir décliné leurs identités respectives, l’homme fit apparaître entre ses doigts un harmonica. Il commença à jouer une musique entraînante. Myu tira légèrement sur sa robe et fit une révérence devant Ærya et Arion qui la lui rendirent, en riant. Tout ce petit monde commença alors une drôle de chorégraphie, en essayant d’imiter les danses qu’ils avaient pu apercevoir parfois lors des festivités locales, sous l’œil amusé du musicien improvisé. Les deux enfants finirent par lier leur bras et par tourner le plus vite possible, faisant fi du rythme pour adopter le leur, entre deux grands éclats de rire. La jeune fille les regardait tout en sautillant, se rendant bien compte, à l’instar de l’homme, que quelque chose se passait entre les deux. Pouvait-on réellement parler d’amour à cet âge-là ? Sans doute.

À la fin de la danse, Arion sourit timidement à Ærya. L’Elfette, quant à elle, ne perdit pas de temps. « Dis ? Tu veux être mon amoureux ? » « Euh… » « Il faut dire oui ! » le corrigea la fille d’Ezechyel. « Oui alors. » « Chouette ! » La scène fit rire les plus grands.

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Dim 27 Sep 2020, 17:23



Un après-midi ensoleillé



« C’était trop bien de faire le gâteau ! » Ærya avait encore un peu de farine dans les cheveux. Myu sourit puis, comme s’il lui avait fallu un léger temps de latence, se mit à rire, emportée par la joie de vivre qui émanait de l’enfant. Elle avait les yeux pétillants. « Oui, c’est vrai ! » « Z’espère qu’on pourra recommencer bientôt ! » Le soleil avait baissé dans le ciel et les deux Ygdraë étaient en train de faire des coloriages dans le jardin. La plus âgée avait, en effet, sorti son cahier de cours et partageait celui-ci avec la plus jeune. Chacune avait sa propre page. Couchée sur le ventre, elles gribouillaient avec les crayons de couleur qui, normalement, devaient servir à illustrer la géographie du monde. Si elles essayaient de se concentrer, c’était généralement peine perdue au bout de cinq minutes. L’une relevait sa bouille vers l’autre et faisait un petit commentaire qui relançait la discussion. « Comme ça, Arion est ton amoureux ? » « Oui ! Ze le lui ai demandé et il m’a dit oui ! » « Vous allez vous faire des bisous ? » « Des bisous ? » demanda la fillette, interloquée. « Non pas des bisous ! On va zuste se rencontrer et se donner la main. » « Oh je vois. » « Bah oui, il ne faut pas aller trop vite et puis faut que ze le présente à mon papa et à ma maman. Et à mes frères et sœurs aussi ! » Elle traça quelques traits, sa petite langue sortant de sa bouche dans une mimique concentrée, avant de continuer la conversation. « Puis après on pourra se marier et avoir des enfants ! Puis après ze partirai en voyaze d’affaires et lui il restera élever nos enfants ! » « Ah oui, tout ça ! » « Oui ! » Ærya semblait ravie de son projet de vie.

« On se montre nos dessins ? » Il n’y avait rien à montrer réellement puisqu’elles avaient, toutes les deux, presque le nez sur la page de l’autre. Pourtant, Myu accepta la proposition de l’Elfette, curieuse de savoir ce qu’elle entendait par là. La gamine se leva en emportant le cahier avec elle. Elle fit quelques pas en arrière et présenta les choses. « Mesdames et messieurs ! Nous sommes heureux de vous présenter deux grandes artistes ! Veuillez acclamer Ærya et Myu ! » Elle regarda Myu et dit plus bas. « Il faut que tu applaudisses Myu pour que ça fasse réelle ! » « Ah oui pardon ! » dit l’Ygdraë fautive, avant de faire claquer sa main droite dans sa main gauche plusieurs fois. L’enfant reprit. « Voici donc une œuvre d’art trop bien ! Mademoiselle Ærya, qu’avez-vous à nous raconter sur votre dessin ? » Elle changea de place pour s’incarner elle-même. « Avant tout, merci de m’avoir invitée ! Ze voulais remercier mon papa et ma maman pour m’avoir encourazée ! Mon dessin ça représente mon papa qui est avec ma maman puis, en fait, ils sont sur une licorne mazique pour aller combattre les messants ! » Elle s’arrêta et fit un signe à Myu pour qu’elle applaudisse de nouveau. L’Elfe s’exécuta. « Voilà ! À toi maintenant ! » décréta la fille d’Ezechyel.

Les deux échangèrent de place. Myu se leva et prit le cahier, tandis qu’Ærya s’assit calmement par terre. Elle croisa ses petites guiboles et écouta attentivement. « Myu, qu’avez-vous à nous dire sur votre dessin ? » demanda la grande, en jouant le rôle du présentateur. « Alors ça représente mes camarades de classe qui sont tous très concentrés sur le cours et moi, là, qui regarde par la fenêtre. » « Pourquoi est-ce que vous regardez par la fenêtre ? » « Parce qu’il se passe plein de choses dehors et que je préfère être dans un jardin à discuter avec ma copine Ærya qu’à l’école. » « Oh ça c’est pas bien Myumyu ! » dit Ærya en riant, tout en applaudissant à son tour. Myu sourit et se rassit. Elle était dissipée, c’est vrai. « À l’école on apprend pleins de choses même que ! » lança l’Elfette. Elle réfléchit dans sa petite tête et finit par demander à sa grande amie : « Dis Myumyu ? Est-ce que tu voudras bien me raconter ce que tu as vu en cours les prochaines fois qu’on se verra ? Parce que moi z’aimerais bien savoir ! » « C’est vrai ? D’accord ! Je serai attentive et je te raconterai ! » « Troop bien ! Maintenant ze vais rentrer à ma maison parce que sinon ma maman elle va encore s’inquiéter et me courir après partout ha ha ! » Elle se hissa sur ses jambes et fit un bisou à Myu. « Bisous Myumyu ! À la prochaine fois ! » « À la prochaine fois Ærya ! »

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