La brume matinale brûlait encore grésillant autour d’elle, mais pas une créature ne pouvait restée endormie un matin comme celui-ci. Il y avait ce silence paisible, gravé dans les mouvements, de sorte que même la moindre brise d’air était inexistante. Lourd et encombrant, l'aube est venue comme un rappel. Ethen regardait son feu crépiter, attendant seule dans la forêt, que l’eau de son thé bout. Elle n’avas plu de vivre, il ne lui restait que du thé, et elle savait qu’il lui faudrait gagner le village le plus proche pour remplir son estomac déjà vide de la veille. Elle aurait pu chasser, mais avait casser son arc il y a plusieurs jours déjà. Dans la panique d’avoir était mise nez-à-nez avec un ours. L’irone dans tout ça c’est qu’elle avait trébucher, c’était égratigner le visage et les mains, et que l’ours l’avais fixer tout ce temps-là, curieusement. L’humaine avait plus eu peur de lui que l’inverse. La bête ne voulait rien de plus que passer son chemin. Quoi qu’il en soit, après une bonne peur, un arc briser en deux, et un peu de sang, Ethen avait continuer son chemin, sentant le poids de la honte pesé sur ses épaules.

Ayant fini son thé, dans l’environnement serin de la forêt, l’apprenti avait ranger ses affaires dans son sac, avant de reprendre sa route. Il était difficile sans carte de trouvé son chemin. Pas de boussole non plu, elle devait faire preuve d’un extrême sens de l’orientation pour arriver là où elle le souhaité. Ou alors avoir de la chance. Beaucoup de chance. Cette chance, par la grâce des Grands, elle en avait assez pour atteindre un chemin. Chemin qui finit par gagner une route, qui finit par gagner un village. Chaque pas au milieux de nul part, la mené vers son but. L’humaine prenait le temps d’observait la nature autour d’elle. De s’imprégner de l’air frais et humide du matin. Le brouillard c’était maintenant gentiment dissipé, laissant aux voyageur tel qu’elle la joie de pouvoir admiré l’immensité du paysage de la région.

Pourquoi était-elle là ? Pour la simple raison de la curiosité et du hasard. Ethen n’avais pas réellement de plan durant son voyage. On lui avait demandé de partir à la découverte du monde et c’était ce qu’elle avait fait. I question, ni doute furent donner. Elle avait pris son sac, attraper ses affaires et avait quitter le Hédas, le cœur ouvert à l’aventure pur et simple. Voilà comment on se retrouvé perdu, sans plan, sans arme de chasse, sans nourriture et sans savoir où aller. Elle souhaité simplement ne pas être dans une région hostile aux humains, ni aux réprouvés, quoi que pour ces derniers, elle ne craignait rien, personne ne pouvait savoir qui elle était. Gagnant le village, celui-ci était encore vide du vacarme de la vie. Les hommes s’éveillant à peine de leur lourd sommeille. Elle ne croisa qu’une ou deux personne en chemin de ce qui semblait être une auberge. A l’entré, elle caressa la tête d’un vieux chien, attendant paisiblement que le temps passe. Poussant la porte, elle ne fut pas surprise du vent de chaleur qui la gagna. Il n’y avait personne à par elle, et pendant une seconde elle se demanda s’ils prenaient déjà les clients, mais quand derrière le comptoir elle vit une silhouette, elle n’hésita pas à s’avancer.

Raide, stoïque et raide comme à son habitude, elle fixa cette personne attendant qu’elle lui dise qu’ils n’ouvraient pas encore, et quand cela ne vint jamais elle s’assit simplement sur un haut tabouret. « Une assiette de ce que vous servez le matin, serait possible ? » demanda-t-elle finalement, humblement, sachant peut-être que la cuisine n’était pas encore ouverte, mais elle mourrait de fin, et son visage creusé de fatigue devait aisément le laisser paraître. Elle posa son sac au pieds de son assise, puis releva ses yeux verts sur la personne, attendant sereinement.

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