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 [V] - A la poursuite de chenapan [Cain]

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Sam 02 Mar 2019, 20:42










Catégorie de quête : V: Capture.
Partenaire(s) :Cain
Intrigue/Objectif :Lexie se retrouve en Avalon à la demande de son oncle pour une petite tâche à accomplir, mais celle ci ayant un contretemps, Lexie se trouver a rester en ville plus longtemps que prévue.
C'est alors qu'une petite bande de voleur vont lui dérobée ses économies. Se lançant à leur poursuite, elle va alors faire une rencontre percutante.




Bande de sale gamins!




Je poussais un soupir pendant que je me promenais dans la ville. On pourrait croire que je serais contente de me retrouver ici. La citée qui montrait que même les ailes blanches n’était pas parfait, certain avait peut-être même été corrompu par un des miens. La citée ou à chaque quoi de rue, il y avait des personnes qui s’adonnait à leur péchée d’une manière plus au moins grande. Oui cette ville avait tout pour plaire à une démone, sauf que je n’aimais pas la raison pour laquelle j’étais venue ici.
Pour une fois, mon oncle m’avait permis de sortir de chez moi et en plus de cela, j’avais même pu quitter les terres blanches, qu’est-ce que j’avais été ravie de la nouvelle, j’en pouvais plus de m’y trouver alors que j’y étais née. Mais c’était juste car il voulait que j’aille rendre visite à une de ses anciennes amies qui était censé s’y trouver avec une lettre que je devais lui donner. Je me demandais pourquoi il me l’avait demandé à moi, après tous des messagers ce n’était pas ce qui manquait, même si là je pouvais comprendre qu’il ne puisse pas utiliser une aile blanche, mais pourquoi moi ? J’avais voulu lire la lettre, mais il l’avait scellé, ce qui avait augmenté mon intérêt pour ladite lettre.

Mais une fois arriver en ville, j’avais voulu rapidement en finir avec cette mission, pour pouvoir profiter un minimum avant de devoir rentrée. Mais voilà que madame n’était pas chez elle, j’avais demandé à ses voisins s’ils l’avaient vue, mais ce n’était pas le cas depuis plus d’un moi. Je pensais sérieusement à laisser la lettre simplement sous sa porte, c’est ce que j’aurais fait en temps normal, mais là au moins j’avais une excuse pour ne pas rentrer directement chez moi.
Seulement, bien que cette ville me propose plein d’activité intéressante, je n’arrivais pas à trouver une occupation qui me plaisait plus d’une journée et du coup j’avais légèrement l’impression de tournée en rond.
Et ici, je venais une énième fois d’aller vois si elle était rentrée, mais ce n’était toujours pas le cas. Rigolant intérieurement, je me disais que mon oncle ferait un drôle de tête si maintenant la lettre venait à être urgente alors que je n’arrivais pas à la lui donner… Avant de me ressaisir rapidement, car il arriverait encore à passer ses nerfs sur moi.

Je me dirigeais alors dans une auberge ou j’avais l’habitude d’allée diner, m’asseyant à la table habituelle, je commandai mon repas sans prendre la peine de saluer le tavernier. «Encore rater je présume ?» «Qu’est-ce que ca peut te faire ? Au moins tant qu’elle n’est pas là, tu a une cliente fidèle, a moins que tu sois lasser de me voir et dans ce cas j’irais chercher un autre établissement…» «Encore de mauvaise humeur à ce que je voie.» Il déposa alors ma commande devant moi, puis reparti derrière son comptoir. C’était depuis mon arriver que je venais tout les jours, il avait fatalement fini par me demander ce que je faisais ici. Mais lui-même ne savais pas ou était la personne que je cherchais, du coup il venait seulement aux nouvelles.

Je mangeais mon repas tranquillement, puis je me dirigeais vers le comptoir ou je sortis ma bourse, pianotant sur le bois sombre, j’entendis une voix fluette m’appeler. Baissant la tête, je vis un enfant me regarder et rapidement il me demanda si je n’avais pas des bombons pour lui. L’envoyant rapidement balader, je reportai mon intention sur le tavernier qui revenait avec ma monnaie. Mais quand je voulu remettre le tout dans ma bourse, je me rendis compte que celle-ci avait tout simplement disparue.
Tournant la tête, je pu apercevoir l’enfant qui m’avait parler avec un de ses copains visiblement et ce dernier avait ma bourse dans la main et tous deux courraient à tout allure. «Petit Morveux, revenir ici immédiatement !» Je me lançais à leur poursuite, m’imaginant déjà ce que j’allais leur faire quand j’allais leur mettre ma main dessus.
Comment osait-il me dérobée mon argent, sous mes yeux en plus ? Heureusement que mon oncle n’était pas là, il m’aurait juste dit que c’était bien fait pour moi et que je n’avais qu’à faire attention à mes affaires.

Je les suivais en serpentant dans les différentes rues de la capitale, sans réellement faire attention ou je mettais les pieds et j’entendis plusieurs personnes se plaindre sur mon passage. Mais je n’en avais pas grand-chose à faire, la seule chose qui m’importait, c’était de retrouver ces petits voleurs.
Je remarquais après un moment, qu’ils étaient rejoints par deux autres enfants qui semblait avoir le même âge, eux aussi courait. Est-ce qu’ils faisaient partie de la même petite bande ? Après tout c’était possible vu l’endroit ou je me trouvais.
Mais alors que je n’avais plus réellement de distance à parcourir, je pris un tournant et me cognais contre quelque chose. La force fit que je me retrouvais sur le sol et regardant devant moi, je remarquais qu’il s’agissait d’une autre personne. D’un homme pour être plus précise, le genre de personne que je qualifiais aisément de grande perche en fait… «Tu fais chier, tu ne peux pas regarder ou tu mets les pieds !» Et oui, la mauvaise fois et moi on est assez bonne amie. Je me relevais assez rapidement en regardant l’endroit ou les enfants étaient il y a peu, mais fatalement, il n’y avait plus aucune trace d’eux…

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Mar 05 Mar 2019, 13:14

Mon séjour à Avalon est toujours aussi agréable, je ne serais pas pourquoi j'aime autant parcourir cette ville de long en large. Je me balade tranquillement dans les quartiers, regardant les étales du marché proposé leur article divers. Je tombe sur un vendeur de livres, assis sur un tabouret en bois et fumant sa pipe plongé dans sa lecture. Je prends un bouquin au hasard, le titre n'a rien de palpitant et je le repose à sa place. Le regard du marchand m'avait suivi à la seconde où j'avais saisi le livre, j'oublie assez vite avec cette ambiance apaisante que les vols sont monnaies courantes par ici.

Je vagabonde encore jusqu'à trouver une auberge pour me rafraichir un peu, le soleil me tape sur le crâne depuis le début de la journée et je n'ai pas eu la brillante idée d'embarquer une bourde d'eau. Je rentre dans une enseigne qui propose des boissons comme des repas sans vraiment choisir avec précision. Laissons-nous emporter par le hasard pour le repas d'aujourd'hui. La cloche secouée par l'ouverture de la porte attire une serveuse dans ma direction, mon regard se dépose immédiatement sur ses ailes noires.

- Attendez-vous quelqu'un ?

- Non, je suis seul.

Elle m'indique une table pour m'installer, puis elle cherche dans ses vêtements de quoi prendre note. Elle semble plutôt maladroite, elle prend plusieurs secondes avant de retrouver son calepin pour prendre les commandes. Je demande pour l'instant quelque chose à boire, une simple limonade pour prendre le temps de choisir le plat que je vais déguster. Elle revient assez vite, le sourire aux lèvres en déposant mon verre sur ma table. Elle repart à toute vitesse dans les cuisines pour revenir avec un plat pour le client de la table voisine, dans sa maladresse à vouloir allers trop vite elle renverse le plat sur le client qui s'énerve immédiatement.

- Excusez-moi messieurs.

- Sale garce tu peux pas faire attention !


Je ne prête pas attention au conflit devant mes yeux, mais l'homme est tellement énervé frappe ma table du poing en se levant pour intimider la serveuse. Ma boisson se renverse à cause du choc, j'en reste sans voix. Le gorille qui renverse mon verre commence à devenir violent en attrapant les cheveux de là déchu pour le tiré le plus haut possible l'obligeant à se mettre sur la pointe des pieds. Je me lève de ma chaise puis j'arrive dans son dos pour lui mettre un coup de pied dans les parties intimes.

- Et toi tu ne peux pas faire attention .

L'homme s'écroule au sol, le bruit attire des enfants curieux qui viennent de dehors. Je retourne à ma place, j'appelle la serveuse encore étonnée du rebondissement de la scène.

- Un autre verre si vous plaît.

Elle prend une petite seconde avant de réagir et de repartir derrière le comptoir pour réparer la boisson. La déchu revient avec le même sourire que tout à l'heure et dépose le verre devant moi en restant immobile à me fixer.

- Merci pour votre aide, c'est offert par la maison.

Les enfants commencent à s'attrouper autour de la table en me faisant des louanges pour avoir vaincu l'homme plutôt, la serveuse vient me chuchoter à l'oreille quelque chose d'étonnant.

- Je travaille dans un bordel la nuit, si vous venez je vous ferai une ristourne.

D'un sourire elle file après m'avoir murmuré à l'oreille et retourne en cuisine. Les enfants tirent mes vêtements pour avoir mon attention. L'un d'eux profite même pour prendre ma dague sans ma permission et filez avec.

- Eh toi reviens immédiatement !


Je m'élance à sa poursuite dans les rues, la foule l'avantage par sa petite taille se faufilant entre les gens à une vitesse incroyable. Au contraire je bouscule chaque personne sur mon passage, quand je suis presque sur le point de le perdre de vue après un carrefour j'entre en collision avec quelques choses munis d'un language bien garnis et de manque de savoir-vivre. D'après la voix il s'agit d'une femme, mais je m'en moque totalement je me relève rapidement pour voir où le chenapan à filer avec ma dague. Plus aucune piste, rien, envolé ! Je me retourne vers la responsable de ma chute, mon regard n'a rien d'amical malgré mes tentatives pour garder mon calme.

- Je n'ai pas de temps à perdre avec ce genre de futilité. Lui dis-je en lui tendant la main pour l'aider à ce relevé. Un sale gosse mon volé ma dague, et maintenant je l'ai perdue de vue.

J'interviens par bonne manière, qu'elle accepte ou refuse je m'en moque royalement. Une fois les civilités accomplies j'ai bien l'intention de trouver ce maudit gamin, quitte à prendre le reste de mon séjour à Avalon.

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Mar 05 Mar 2019, 15:54











Rensseignement




L’homme que j’avais percutée était loin d’être des plus courtois, mais étrangement cela me faisait sourire. Enfin quelqu’un qui ne prenait pas garder aux bonnes manières simplement car j’étais présente. Surtout de ce que je comprenais, lui aussi avait été victime d’un enfant. Certes, pour beaucoup, ils auraient pu dire que ce n’était qu’une dague, mais je savais qu’il y avait des dagues qui avait une certaine valeur et en plus dans tous les cas il n’était pas plaisant de se faire voler quoi que ce soit, j’en savais quelque chose vu ce qu’il venait de m’arriver. Je me demandais d’ailleurs si son petit voleur n’était pas l’enfant que j’avais vu rejoindre les deux miens.
Il avait tendu la main pour m’aider à me relever, mais je n’y fis pas attention, je réfléchis un instant… Visiblement on allait chercher le même groupe d’enfant et la ville était assez grande, toute seul, maintenant que je les avais perdus de vue par sa faute, ça allait être tout de suite beaucoup plus compliquer. J’allais devoir faire autrement que simplement leur courir après et peut être que cet homme pourrait m’être utile. Il ne me semblait pas des plus agréable, mais en même temps c’était le genre de comportement que j’avais l’habitude de côtoyer. «Ecoute, visiblement toi et moi on est dans le même pétrin. Une bande de sale gosse ma dérobée ma bourse contenant mes économies et je compte bien les récupérées. Hors avant que tu me barre la route, j’ai justement vu d’autre enfant les rejoindre. Je suppose donc qu’il s’agit d’une petite bande de voleur. Et voilà qu’on va tous les deux les poursuivre. Donc autant qu’ont les cherches ensemble, on perdra moins de temps.» J’avais pas envie de perdre beaucoup plus de temps par compte.

Mon regard continua à balayer tous les alentours, comment est-ce qu’ont allaient faire pour les retrouver maintenant ? On ne pouvait absolument pas savoir par ou ils étaient partis et il fallait avouer que je le temps que je lui parle, les gamins eux en avaient bien profiter pour mettre une certaine distance. Bon, je n’avais pas trop le choix. Je me remettais en route et sans réellement prendre la peine à tourner une nouvelle fois la tête, je lançais à cet inconnu. «C’est par là qu’ils sont partit, c’est déjà un bon début.» J’avançais dans les rues sans attendre sa réponse, s’il voulait m’accompagnée, il n’avait qu’a prendre le pas.
Arriver au croisement ou j’avais vu les enfants partirent, je regardais les chemins possibles. Evidement, il y en avait plusieurs et ca allait être compliquer de savoir le quel il avait pris.

Tournant, la tête, je vis un homme adosser à un mur qui regardais les passant. J’allais peut etre avoir un peu de chance pour le coup. Je m’approchais alors de l’homme, ce dernier sentais l’alcool, mais étrangement il semblait encore tenir assez droit pour me répondre. Quand il me vit approcher, il posa son regard sur moi et me demanda ce que je lui voulais. L’odeur d’alcool bon marcher bien aller me chatouiller les narines… J’espérais réellement qu’il était aussi lucide que je laissais présager son attitude physique. «Un renseignement, des sale gamins se son enfuit en passant par ici. C’est dernier m’ont dérobée quelque chose et je compte bien le leur reprendre. Par ou est ce qu’ils sont partit ?» «Bonjour, s’il vous plait… Ah, les jeunes ne connaissent même plus le minimum de la politesse… Dans ce cas, pourquoi est-ce que je ferais moi preuve de politesse et vous répondrais je…» «Bien, j’aurais pu concevoir l’idée de vous apporter une bouteille d’un meilleur alcool que celui que vous buvez si vos informations étaient exacte et que j’aurais retrouvé mon argent, mais je trouverais tout seul. » Je fis alors mine de m’éloignée de cet homme, attendant de voir s’il allait mordre à l’hameçon et ca n’y manquait pas. Quelques instants après, se sentis sa main sur mon épaule. «Attendez ! Oui, je les ai vu ces gamins, ils ont pris la route de droite, mais après je ne sais pas vraiment pas ou ils ont continué. Mais je peux vous dire que ces gamins sévissent depuis quelques temps, vous ne devrez pas avoir de difficulté a trouver des personnes qui vous donneront des renseignement, on est quelques un a vouloir qu’ils cessent. Voilà, je vous ai répondu, donc m’oublié pas hein.» Ah les ivrognes… Promettez leur une bonne bouteille et ils vendraient père et mère… Je lui adressais simplement un sourire avant de reprendre ma route. Tournant la tête cependant pour voir ce qu’avait décider l’autre finalement. Est-ce qu’il était partit de son cotée ou m’avait-il suivi ?

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Ven 26 Juil 2019, 14:50

Visiblement je ne suis pas le seul à subir un vol. Quand je la regarde cette femme ne m'inspire pas confiance. Pourquoi j'ai cette drôle de sensation à son égard ? Je me reprends en oubliant cette idée en écoutant son discourt pour travailler ensemble pour faciliter les recherches. Je n'ai rien contre un allié dans cette tragique situation, l'idée de devoir dire à Flora que j'ai égaré la dague me donne des sueurs froides.
Je fini par la suivre dans la rue qu'elle indique pour avoir vu les enfants la dernière fois. Notre chemin croise celui d'un ivrogne, elle engage la conversation avec lui pour avoir des informations aux sujets de nos petits criminelles en fuite. Je m'adosse à un mur pas trop loin surveillant les alentours par précaution, qui sait ils ne sont peut-être pas si loin.

J'ai une vue impeccable sur la façon et la manière que ma nouvelle partenaire de chasse pour manipuler les gens. Elle semble prendre un malin plaisir à jouer des vices de sa victime pour en tirer ce qu'elle veut. L'ivrogne lui dit tout ce qu'il pense savoir en espérant avoir son prix pour ses informations. Sa remarque de ne pas l'oublié est répondu par un simple sourire. Je me décolle du mur quand je la vois repartir de plus belle, je ne peux pas m'empêché de laissé un rire s'échappé. J’attends quelque seconde le temps qu’on s’éloigne de la personne concernée avant de lui faire une remarque à propos de cette fameuse promesse.

- Tu n'as pas l'intention d'honoré ta promesse n'est-ce pas ?
Dis-je le sourire en coin.

Nous marchons dans les ruelles à la recherche du moindre indice pour nous aider à retrouver nos biens respectifs. Il est assez difficile de garder espoir de les revoir un jour, mais hors de question de renoncé aussi facilement pour le moment. Nos recherches ne donnent pas grand-chose, je dissimule ma fatigue aussi bien que je peux à ma partenaire de chasse pour ne pas nous ralentir dans notre quête. J’aperçois une taverne non loin, reprendre quelque force ne serait pas une si mauvaise idée après tout. Je me souviens aussi que la bourse de la femme à mes côtés lui fait défaut à cause de nos petits malfaiteurs, donc je prends les devants pour résoudre le problème.

- Nous devrions faire une pause, vu que ta bourse se balade en ville laisse moi t’invité.


Quand j’y repense je n’ai pas vraiment attendu son approbation pour me diriger vers la taverne, l’envie de boire quelque chose prenais de plus en plus de place dans mon esprit. L’endroit semble plutôt animé, le bruit des chopes qui s’entrechoc avant d’être englouti et le bruit des multiples conversations laisse un fond sonore agréable. Une fois installé à une table je ne tard pas avant d’attiré l’attention du serveur, contrairement à plutôt dans la journée cette fois il s’agit d’un homme assez baraqué au point qu’il est difficile de croire qui soit un serveur dans une taverne. Néanmoins je comprends très rapidement que sa carrure dissipe les plus turbulents de crée une agitation inappropriée dans son lieu de travail. Je passe commande payant d’avance pour ne plus m’en préoccupé pendant notre pause dans nos recherches de petit voyou.

La conversation n’est pas vraiment quelque chose qui me fait défaut, mais je n’ai pas vraiment d’obligation de faire du copinage avec elle. Néanmoins c’est une occasion d’apprendre des choses sur quelqu’un qui ne vient pas de part chez moi.

- Tu voyage beaucoup ?

J’aurais pu m’y prendre d’une façon plus délicate pour ne pas la surprendre avec une question sortie de nulle part, mais elle me laisse une impression que les pincettes pourraient être plus une offense pour elle. J’attend de voir sa réaction pour savoir si une conversation semble l’intéressé, après tout nous somme coincer ensemble depuis un moment sans connaitre le nom de l’autre.
Je ne sais pas combien de temps s’écoule, l’endroit étant plaisant et leur produit agréable en bouche je ne me rend pas compte du temps qu’on passe dans ce lieu. Mais à ma grande surprise un enfant avec une capuche rentre dans la taverne sans que personne ne lui porte une véritable importance. Ma partenaire étant de dos elle ne semble pas l’avoir remarqué non plus. Je décide d’attirer son attention en lui touchant la main, une fois celle-ci acquis je dessine sur la table une flèche dans la direction de l’enfant. J’ai commis l’erreur une fois de ne pas prendre au sérieux des gamins avec le sourire aux lèvres.

- Nous ne devrions pas le sous-estimé.


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Dim 30 Aoû 2020, 20:29











Invitation




L’homme fit remarquer que je ne comptais pas honorer ma promesse… Je jetais un coup vers l’ivrogne qui nous suivait encore du regard, bien que trop loin pour nous entendre. «Ces hommes… Je n’ai jamais réellement compris comment ils faisaient pour survivre. Dans deux heures quand maximum, il aura tout oublié de cette conversation ou se dira que l’alcool l’aura fait délirer. Un doux rêve qui ne se réalisera jamais… Enfin pas par moi en tout cas.» Effectivement, je ne comptais pas honorer ma promesse et le pire c’est que je pouvais trouver énormément de raison qui l’expliquerait. «En plus, si on y pense… Comment est ce que je pourrais honorée ma promesse, si je ne retrouve pas ma bourse, ne n’irais quand même pas lui volée n’est-ce pas ?»  un autre sourire s’afficha sur mes lèvres. Non, je n’étais pas vraiment habitué à ce genre de pratique, mais elle n’était pas ma préférée.

J’avais jeté un coup d’œil au soleil. Remarquant qu’il avait continué inévitablement sa course. La faim commençait à se faire sentir, mais j’étais coincé. N’ayant plus de bourses, je ne pouvais plus m’acheter quoi que ce soit. Certes, j’aurais pu demander à quelque de faire porter un message à mon oncle. Mais d’une part je ne voulais pas de son aide pour une fois que l’ont étaient de hors et de l’autre, le temps que le message lui parvienne et qu’il fasse quelque chose. Et encore dans l’optique qu’il accepterait. Je serais déjà morte de faim depuis longtemps.
Mais comme s’il avait lu dans mes pensées, voilà qu’il se dirigeait vers une auberge disant qu’il m’invitait. Je le suivis sans mot et le laissa commander pendant que je m’installais.
Je regardais la foule. Outre la faim, ce n’était peut être pas une mauvaise idée. Cet endroit était rempli de monde à qui les gamins pourraient vouloir voler quelque chose. Peut être que nous aurions un peu de chance.
Mais alors que j’étais en train de réfléchir à comment j’allais m’y prendre pour continuer à retrouver ces enfants, voilà qu’il me demanda du tact au tact si je voyageais beaucoup. Je levais alors le verre à ma bouche avant de lui répondre. «Ça dépend ce que tu veux dire par beaucoup, je suppose. Disons que je ne peux pas beaucoup voyager, les occasions me sont que trop rare. Cependant, souvent quand j’en ai l’occasion, je peux aller à de belle distance. Donc on va dire qu’ils sont peu nombreux, mais long.» Il allait me répondre, quand un homme l’appela à l’autre bout de la pièce. Visiblement il voulait seulement lui demander quelque chose et je ne fis plus attention à lui attendant qu’il ne revienne.

Je n’aimais pas vraiment attendre ainsi. On avait quelque chose à faire et ce n’était pas en restant ici à boire et à manger que j’allais retrouver mes affaires. Mais en même temps, je ne savais pas vraiment comment m’y prendre. Comme je me l’étais déjà dit, la ville était grande et je ne savais pas vraiment par où rechercher. La piste de l’ivrogne avait été trop pauvre. Enfin, il m’avait dit que d’autre pourrait peut être me renseigner, mais en même temps je ne savais pas vraiment vers qui regard maintenant.
Je pourrais alors un soupir et m’approcha d’un homme près de la fenêtre, tout en ayant commandé un vers que je mis sur le compte de mon coéquipier. « Salut, est-ce que je pourrais vous demander quelque chose ?» Je me montrais plus courtoise. Mais je n’avais pas vraiment le choix, je ne savais pas ce que pouvait souhaiter cette personne et je ne voulais pas commettre d’erreur. Il me fit alors un signe de tête, m’invitant à continuer. «Je ne sais pas si cela fait longtemps que vous vous retrouvez à cette fenêtre, mais il se trouve que mon compagnon et moi recherchons des enfants qui nous ont dérobé quelque chose. Est-ce que par chance vous auriez vu quelque chose qui pourrait m’aider ? »   «Ah, vous aussi vous vous êtes fait avoir par ces garnements ? Je suis désolée, mais je crains ne pas pouvoir vous êtes utile. Par compte, une amie à moi en a été victime, elle m’en a parlé la dernière fois que j’ai été la voir. Qui sait, peut être qu’elle sera vous en dire plus ? » Il m’indiqua alors l’endroit ou je pouvais la trouver. De ce que je comprenais, elle n’avait pas réussi à retrouver son bien, mais bon elle aurait peut être remarqué quelque chose.

Je commençais alors à chercher mon compagnon dans l’auberge, mais ne le trouvais pas. Si je fronçai les sourcils un cours instant, me demandant ou est ce qu’il avait pu passer, je pris rapidement la décision de ne pas chercher après. Je sortis alors rapidement de l’auberge pour me diriger chez cette femme.

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Dim 30 Aoû 2020, 20:32











Faible piste




Sa maison était dans un endroit tranquille de la ville, ce qui allait me changer. Il y avait bien quelque voyageur, mais à mon avis c’était surtout des habitants de cette cité qui se trouvait par ici. Arrivant à proximité, j’en arrêtais un pour demander si c’était bien l’endroit qui m’intéressait et je fus soulagé quand on me le confirma. Frappant à la porte, j’espérais qu’elle était chez elle, surtout que la nuit n’allait plus tarder à pointer le bout de son nez.
Ça faisait déjà un bon moment que j’étais à la poursuite de ces garnements… Il valait mieux que je garde cela pour moi. Déjà que mon oncle ne manquerait pas de me charrier s’il apprenait qu’ont avaient réussi à me voler quelque chose, des enfants qui plus est. Si en plus il apprenait que j’avais eu du mal à réglée le souci, j’allais en entendre parler pendant des heures voir des jours. Mais bon, heureusement, il y avait peu de chance qu’il l’apprenne un jour.

La porte s’ouvrit alors sur une femme à la blondeur étonnante. Elle me regarda surprise avant de me demander ce que je lui voulais. «Un ami à vous m’a expliqué que vous avez subi le désagrément d’une jeune bande de voleurs il y a quelque temps. Malheureusement, il s’avère que ces derniers, si ce sont bien les mêmes, m’ont dérobé ma bourse. Est-ce que vous pourrez me dire ce qu’il s’est passé ? Ce me sera peut être utile pour les retrouver. » «Entrée. Par compte, je crains de ne pas vous êtes vraiment utile. Ça fait quelque temps maintenant que ça ces passé en plus.» Elle s’était alors écartée pour que je puisse passer et me fit m’installer dans un fauteuil on ne peut plus confortable. «Je venais de faire le marché et de trouver un magnifique bijou. Je me souviens d’ailleurs que j’avais dû batailler ferme avec le vendeur pour faire baisser le prix, mais soit. Malheureusement, quelques instants après, un enfant m’a bousculé. Moi je suis rentrée, sans réellement faire attention. Mais quand je suis rentrée… Plus de bijou.» Je voyais à son visage que le fait de s’être fait avoir ainsi ne semblait pas réellement lui plaire. Mais bon, je n’allais rien dire. Moi-même je m’étais fait avoir aussi facilement pour le coup.
«Je suis retourné aux marches, à l’endroit où j’avais été bousculé pour voir s’il n’était pas tombé, mais il n’y avait rien. Au début je suis resté camper sur cette idée, me disant que quelqu’un l’avait ramassé. C’est en demandant à un passant qu’a ma prévenue que l’enfant me l’avait volée. Ça fait quelque temps qu’il sévisse donc bon.»
Encore un échec. Je ne faisais que perdre du temps. Mais je lui demandai de me montrer l’endroit ou c’était arriver. Mais elle me fit remarquer l’heure tardive et me conseilla d’attendre le lendemain, cela tout en me proposa de loger ici, ce que j’acceptais.

La nuit fut courte, j’eus du mal à trouver le sommeil. Mais après avoir déjeuné, elle me guida vers le marché, pendant de quoi faire des achats en même temps.
On se sépara alors quand elle me montra l’endroit et je me dirigeais rapidement vers l’étale la plus proche. La vendeuse semblait assez bourrée quand je lui demandai des explications. Je compris qu’elle aura souhaité me vendre quelque chose, mais elle saisit rapidement mon incapacité de le faire… Bon en même temps je n’en avais pas réellement l’instancions, bourses ou pas bourses.
Elle m’expliqua alors que c’était une bande de jeunes enfants, circulant de ça et là de la ville sans vraiment de point précis. Elle ne sait même pas ce qu’ils peuvent faire de leur butin, sans doute le vendre, mais bon… Le problème, ces qu’elle n’a aucune idée à qui et/ou… après certaine personne ne dise qu’ils sont sans doute orphelins et qu’ils font ça pour survivre, mais aussi bien elle que moi n’en avions rien à faire visiblement. Et pour cause, moi je voulais récupérer ce qu’ils m’avaient pris, quant à elle, elle m’expliquait que c’était mauvais pour les affaires. Les gens faisaient leurs achats et partais rapidement, flânant moi qu’a l’accoutumer pour éviter de se faire avoir par ces enfants.

Bon, maintenant à la limite je pouvais bien rester ici et espérer qu’ils agissent, mais il y avait plusieurs autres endroits intéressants, donc ce n’était pas dit qu’il reviendrait aujourd’hui. Au fond, je pourrais tout aussi bien laisser tomber et rentrer. Je dirais que je l’avais perdue et tant pis. Je passerais pour une étourdie maladroite et… Mais qu’est ce que je raconte, c’était hors de question ! il fallait vraiment que je les retrouve et tant pis si ça devait me prendre des semaines… Même s’il y avait beaucoup de chance que je retrouve ma bourse vide dans ce cas…


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Dim 30 Aoû 2020, 20:35











Coup de main




Et je flânais de ci et là. Sans vraiment savoir ce que j’allais faire. Surtout que comme j’avais eu le malheur de perdre mon compagnon d’infortune, je ne pouvais pas espérer qu’il m’invite encore ou que ce soit… Heureusement, j’avais rapidement trouvé une solution. J’étais venue ici voir l’amie de mon oncle après tout, du coup je retournai auprès d’elle et lui demanda si je pouvais rester quelque peut. Lui expliquant ma mésaventure sans justifier qui avait dérobé mes économies. Bon, a son regard et son sourire amusée, elle avait certainement compris, mais elle ne relevait pas. Elle m’indiqua seulement la chambre que je pourrais occuper et sortit dehors.
Et je passais donc plusieurs jours ainsi, à arpenter les villes et à chercher. Le soir, elle devient de plus en plus narquoise en remarquant que je faisais toujours chou blanc. Mais elle ne m’aidait pas réellement non plus. Ça l’amusait, mais bon, au moins j’avais pu faire ce qui m’avait été demandé. Curieuse d’ailleurs qu’à ce moment-là j’eus de la chance qu’elle soit chez elle…

Ce faisait exactement quatre jours que je surveillais la ville à la recherche du moindre indice. J’entendais encore parler d’eux, mais sans plus. Enfin si, quelquefois je croisais leurs nouvelles victimes qui avait aussi essayé de les poursuivre, mais ils arrivaient toujours à s’échapper. Je me demandais comment ils y arrivaient. Après tout c’était plusieurs adultes qui leur couraient après. Les gardes bons… C’était que des larcins mineurs et ce n’était pas ça qui allait entacher la ville, donc je pouvais comprendre qu’ils ne faisaient pas grands choses, en tout cas pour le moment.
Mais du coup… Ou alors ils avaient de l’aide d’un adulte ? Mais pourquoi ? Certes il devait avoir des déchus de l’avarice, mais je ne sais pas, ça me semble quand même peut comparer à ce que je sais de ce péché… Mais après tout pour eux un sou c’est un sous  non ? Alors pourquoi pas ?
Mais si vraiment un adulte était derrière tout ça, ça allait vraiment être beaucoup plus compliqué que je l’avais pensé au début, bien que quelque part j’allais être rassurée de savoir que si je ne les trouvais pas, ce n’était pas simplement, car c’était des enfants un peut trop malin, mais simplement, car ils avaient une aide extérieure assez efficace… On se rassure comme on peut quelquefois.

Cette soirée-là, Lisa, l’amie de mon oncle. Ne comptais visiblement pas sortir et était simplement installé dans le fauteuil, toujours avec son petit sourire en coin en me voyant revenir bredouille. Me voyant engloutir mon assiette et ayant la ferme attention d’allez me coucher, elle ferma son livre et viens s’à soir face à moi. «Si on m’avait dit que la nièce d’Adonis éprouverait autant de difficultés pour retrouver une bande d’enfants… Je ne l’aurais jamais cru. Mais dit moi compte tu vraiment continuer à errer en ville espérant tomber sur eux ? Tu t’es pourtant encore lancé à leurs poursuites hier, mais en vain.» Je la fossiles du regard. Non, mais pour qui elle se prenait à me parler ainsi ? D’accord je n’avançais pas, mais quand même… «Dis-moi… Ça fait quelque temps maintenant que tu écoutes des personnes raconter leur récit à leur niveau. Est-ce que tu as essayé d’analyser ce qui était dit ?  » Quand elle me dit cela, je me souviens qu’elle m’avait fait remarquer que je devrais prendre plus attention à ce qui m’était raconté, mais j’avais décidé de ne pas y faire attention. «Ah la jeunesse. Tu sais, comme j’ai quand même envie que tu partes d’ici un jour, surtout que j’ai connu des invitées plus agréables, j’ai commencé à chercher aussi de mon coté… Un peu. Et j’ai remarqué une constance qui aurait du te sautée aux yeux dés les troisièmes, voir quatrième témoignage. Mais non, toujours focaliser sur l’instant du vol… Mais crois-moi si tu continues ainsi, je crains que je doive t’inviter à trouver un travail et te demander de participer aux charges de cette maison…» Elle me sourit une nouvelle fois et elle monta se coucher.

Pourquoi est-ce qu’il fallait qu’elle soit aussi désobligeante ? Mais bon elle n’avait peut être pas totalement tord. Mais qu’est ce que j’allais pouvoir faire ? Trop énervée pour aller dormir, je pris une cape et je me dirigeais vers une auberge. Elle m’avançait un peut d’argent que je devrais lui rendre et heureusement. J’allais interroger de nouvelles personnes et essayer de remarquer ce qui m’avait visiblement échappé, mais pas à elle.


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Dim 30 Aoû 2020, 20:44











Les bas fond




Pendant des heures je questionnais en vain, enfin a mes yeux. Finissant par noter ce qui pouvait être intéressant et finalement je compris… JE jetais alors le papier au lieu de rage et avançais sans me soucier du reste. Comme elle me l’avait dit, je m’étais simplement stoppé au moment du vol, sans réellement regarder à autre chose. Mais pourtant la solution était assez simple… À chaque fois, ces enfants partaient bien quelque part, en tout cas dans une direction. Certes ce n’était jamais bien défini, sans doute volontairement pour bien brouiller les pistes, mais en même temps, ça avait le mérite de converger vers un point.
Quand je m’en suis rendu compte, j’ai été voir un garde de la ville pour leur en parler, je n’avais besoin de personne qui connaissait cette ville dans ses moindres recoins et pour ça ils étaient les mieux placés. Je leur expliquais alors ce que je voulais exactement, leurs partageants les informations que j’avais réussi tant bien que mal à réunir. «Les portes… De ce que vous me dites on dirait qu’ils s’en allaient toujours vers les portes de l’ancienne citée… Je comprends mieux pourquoi personne n’a jamais réussi à leur mettre la main dessus.» «Je pourrais avoir plus d’explication si cela ne vous dérange pas ?» Il naissait une certaine impatience en moi. Mais il fallait me comprendre, ça faisait un moment maintenant que je tournais en rond et j’avais enfin trouvé quelque chose. Et non seulement j’avais trouvé quelque chose, mais en plus les gardes aussi pouvaient réellement m’aider à retrouver mes affaires, alors oui je n’allais pas tourner autour du pot. «Venez avec moi, je vais vous y mener. Il s’agit d’un passage qui mène à ce qu’était Avalon jadis, les ruines de l’ancienne cité. Mais il n’y a plus de garde, juste des personnes qui ont du mal à faire le deuil de ce passé. Ces ruines son toujours habitée bien sûr, mais c’est devenu… Les bas fonds de notre ville. Malheureusement, il n’y a point de garde là-bas, cette partie est laissée à son sort.» Effectivement, si plus personne n’y allait réellement, comment est-ce qu’ils auraient pu remarquer quoi que ce soit ? De plus, c’était effectivement le meilleur endroit pour se cacher.

Il me guida alors à travers la ville et finalement il me montra un passage qui s’enfonçait sous terre. Il m’expliqua alors que cette partie de la ville avait été ensevelie en quelque sorte, mais toujours vivable. Il faudrait juste que je sois prudente, car même lui ne savait pas vraiment ce qui se trouvait là-dessous, ça faisait longtemps qu’il n’était plus descendu. Et il repartit.
Je commençais alors à descendre vers ces fameuses ruines et cela me semblait interminable. Mais la première chose que je remarquais une fois arriver, c’était l’ancien palais. Jadis, on le disait magnifique, reflétant les rayons de soleil. Mais ici les rayons ne l’atteignaient pas et le rendais triste voir austère.
Comme toute la ville cela dit. Je ne comprenais pas vraiment comment certains pouvaient décider de rester ici. La ville actuelle n’était pas mal et bon le peuple n’était pas vraiment mal traité. Mais comme l’avais dit le garde, ils s’agissaient de faire un deuil d’une ville et d’une vie passer. Peut être que si je m’en souciais réellement ne serais qu’un peu, j’aurais pu comprendre.

Je commençais à arpenter les rues ouvrant l’œil pour voir si je remarquais ces enfants qui m’avaient trop fait courir. Espérant que je n’allais pas mettre longtemps à les retrouver. Car bon, elle était moins peuplée certes, mais ça restait une ville donc pas mal de rue et ruelles à fouiller.
Je posais des questions à plusieurs personnes, leur demander des renseignements, mais ça n’avait rien à faire avec la ville au-dessus. Ceux-ci n’étaient pas vraiment enclins à m’aider. Les seuls mots que j’entendis, c’était une personne qui me proposa d’aller voir ailleurs s’il y était.
Est-ce que j’allais vraiment devoir utiliser la manière forte ici ? L’avantage c’était que si j’avais bien compris, les gardes ne venaient pas ici. Mais est-ce que pour autant il n’y avait pas de milice ? Une qui se serait formée à part de la royauté ? Et puis… S’ils venaient à s’aider les uns les autres, je n’allais pas vraiment tenir bien longtemps.
Mais alors que je me perdais dans mes pensées, j’entendis une voie m’appeler, une jeune femme bien habiller semblait m’appeler et je me dirigeais vers elle. Elle me mena alors dans les ruelles en ruine sans un mot.


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Dim 30 Aoû 2020, 20:46











Chat et souris




Je la suivis pendant un bon moment. Me demandant ce qu’elle me voulait. Peut être que je n’aurais pas du la suivre jusqu’ici enfin de compte. Je lui demandai alors de m’expliquer ce qu’elle me voulait exactement, mais elle se contenta de poser son doigt sur ses lèvres et continua à me guider dans la ville. Et finalement, elle se stoppa à un carrefour en me pointant un chemin du doigt. «Les enfants que tu cherches. C’est la bande d’Erwan. Ils jouent souvent au bout de cette rue. Je crois même qu’ils y entreposent tous leurs butins. Tu ne devrais pas avoir de mal à tout récupérer. » «Pourquoi m’aides-tu ? Tu ne ma rien demander et tu ne me connais pas.» «Ces vrais, je ne t’ai encore rien demandé. Mais voie tu, ils m’ont voler quelque chose à moi aussi. Malheureusement, je ne saurais leur reprendre seul. Donc je te demande de me le ramener. » «Et maintenant que tu m’as déjà indiqué où ils se trouvent, pourquoi est-ce que j’accepterais de t’aider ? Je peux récupéré mes affaires, voir plus. Et partir sans te revoir.» «Ces vraies petites… Mais… Je connais ceux de son espèce, je connais votre fierté… Et surtout, je connais ton oncle. Et quelque chose me dit que tu n’aimerais pas qu’il apprenne ce qu’il t’est arrivé ici. Je me trompe ? » Je regardais cette femme surprise. Comment elle pouvait savoir quelque chose comme ça ?
Je voulais en savoir plus, mais elle refusa de me répondre, mais son regard affichais une lueur triomphante, elle savait qu’elle allait avoir ce qu’elle voulait. Espèce de peste.

C’est quelque peut rageuse que je me dirigeais vers l’endroit qu’elle m’avait indiqué. Rapidement, alors que je me rapprochais, les cris d’enfants se faisaient entendre. On dirait qu’ils s’accordaient un instant de repos avant de remonter à la surface pour commettre leur méfait.
J’essayais alors de me montrer plus discret quand je me rapprochais d’eux. Je ne voulais pas qu’ils s’éparpillent comme des moineaux à m’entendant arriver. Même s’ils ne devaient pas se douter que quelqu’un les pourchasserait jusqu’ici.
Arrivée à proximité, je remarquais une petite bande de cinq enfants. Parlant et riant entre eux. Mais je ne vis pas l’endroit où ils pouvaient entreposer toutes leurs affaires. J’aurais pu simplement attendre qu’ils recommencent ou que d’autre ne rentrent, mais j’avais déjà perdu que trop de temps.
Je continuais alors à m’avancer discrètement, tout ce que je voulais c’était me rapprocher d’un des enfants et me retrouver assez prêt pour l’attraper. Malheureusement pour voir, un petit caillou avait échappé à ma vigilance et me voilà repérée. Comme le l’avais craint, les enfants avaient tournoie leur regarde dans ma direction et l’un d’eux me reconnaissant, il prévient ses camarades qui se mirent à courir.

Je me lançai alors à la poursuite de celui qui avait donné l’alerte, moi aussi je l’avais reconnu, c’était celui que j’avais poursuivi au tout début, donc celui qui m’avait volé ma bourse. Au moins, j’étais certaine qu’il pourrait me dire ce qu’il en avait fait.
On zigzagua un moment dans la ville, clairement il essaya de me faire faux bon, mais je tenais le rythme. Ici, il y avait moins de monde qui pouvait me barrer la route et au bout d’un moment, je réussis à l’attraper par le col. Enfin, c’est ce que je croyais. Car au moment où mes mains se refermèrent, il disparut. Les rires que j’entendais autour de moi me confirmèrent que ces enfants voulaient donc continuer à me faire tourner en bourrique.
Je sentais la colère monter en moi. Déjà que je n’étais pas bien contente d’avoir du les chercher pendant aussi longtemps, voilà qu’ils se permettaient en plus de jouer avec mes nerfs. Mais ça allait jouer contre eux. Car s’ils voulaient jours, c’est qu’ils allaient rester dans les environs et je recommençai alors à chercher après eux.

De temps en temps, je voyais un, qui disparaissais aussi tôt, je comprenais mieux d’allures comment ils réussissaient à échapper a leur poursuivant. Mais il y avait moins de monde ici, du coup ça ne jouait pas en leur faveur.
Que l’ont soient bien d’accord, je ne voulais pas continuer a jouer trop longtemps, si on peut dire. Mais je voulais les éloigner assez loin pour que quand je reviendrais, je n’aie plus qu’à me cacher et attendre qu’ils reviennent, je ressaierais à ce moment-là de les attraper. Et si ça ne marchait de nouveau pas, ce n’était pas grave, je fouillerais l’endroit, sans eux dans les parages.



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