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 [XXXII | RP dirigé] La Malédiction de la Mer [Solo]

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Lun 24 Déc 2018, 11:43


Assassis Creed réalisée par Neil Kairanna



Catégorie de quête : XXXII. Autre -> RP Dirigé
Partenaire : /
Intrigue/Objectif : Votre personnage reçoit un parchemin lui indiquant quelques instructions. De nombreux commerçants ont disparu en mer, sur différents bateaux. On lui indique le dernier emplacement du navire qui transportait des marchandises concernant la Coupe des Nations, des marchandises qui devaient être acheminées dans le lieu de votre choix puis vendues. Quand votre personnage va arriver sur le navire, il va se rendre compte que tout le monde est mort. Il faudra ramener le navire sur la terre ferme avant de recevoir d'autres instructions. Aussi, si les individus sont morts, c'est qu'ils ont été victimes d'une malédiction, qui peut aussi atteindre votre personnage. Vous êtes assez libres quand à cette dernière, si vous voulez développer ou non ^^


Ici, en plein milieu de l'océan, il allait mourir. Il avait eu trente six milles occasions de périr sur le continent mais non, c'était là qu'il allait passer l'arme à gauche. Ici, au milieu de nul part, entouré d'eau à perte de vue alors que les cieux lui tombaient sur la tête et déchiraient le tissu des voiles du navire sur lequel il se retrouvait perdu. Les vagues se fracassaient sans discontinue sur le ponton de bois. Le Déchu avait été obligé de s'attacher avec un cordage pour être certain de ne pas passer par dessus bord. Mais à présent, il se demandait s'il n'allait pas plutôt couler avec le tout. Il était frigorifié, les doigts gelés et gourds, agrippés comme des serres monstrueuses sur la barre, mais la colère bouillonnait en lui, le réchauffant suffisamment pour le faire tenir debout. S'il arrivait à mettre la main sur la personne qui lui avait envoyé cette fameuse lettre, il lui ferait passer un mauvais quart d'heure. Il commençait à en avoir ras le bol des gens qui lui envoyait des parchemins pour lui demander de faire des choses, sans jamais signer et mettre un nom en bas de l'écrit.

Mille millions de mille sabord ! Kinath, par tous les diables, je t'en prie, viens moi en aide.

Ce n'était pas certain que prier l'Aether de l’Émancipation soit la meilleure chose à faire alors qu'il était perdu en pleine mer mais c'était la première chose qui lui était venu à l'esprit. Il savait que généralement, pour tout ce qui était océan, c'était Eoda que l'on vénérait mais il ne connaissait pas les mises en pratique pour l'honorer. Cependant, dire quelques mots à son attention ne pouvait pas faire de mal après tout. Ca serait toujours mieux que rien et peut être que cela l'apaiserait assez pour qu'elle arrête la tempête ou tout du moins, la calme assez. En fait, il voulait juste pouvoir arriver sur une terre, n'importe laquelle, même si ce n'était pas la destination première. Un grand craquement retentit tandis que le mat de misaine se fissurait dans son quart supérieur et tombait sur le pont, entraînant dans sa chute les voiles, les déchirant comme des lambeaux de peau. Le regard du Calciné dériva vers la grande marque rouge peinte en plein centre du pont central. Un grand singe entouré de douze autres en train de courir, le tout formant un cercle. Malgré la pluie et les rafales, malgré les vagues salées qui s'abattaient sur le pont, l'idéogramme ne partait pas.

Peut-être qu'ils avaient raison finalement. Ce navire est maudit.

Maudit. Et lui aussi finirait mort parmi les débris, comme tout le reste de l'équipage quand ils avaient découvert le vaisseau. Des cadavres. Pas une seule âme encore vivante. Quand ils avaient commencé à déplacer les corps, c'était là que le dessin avait été visible. Et que les quelques matelots qu'Ignis avait payé de sa poche pour l'aider dans cette entreprise avaient pris la fuite aussi vite que possible sur leur vieux rafiot, le laissant tout seul dans la galère. Ils avaient hurlé à la malédiction sans lui laisser le temps de comprendre. En fait, ils n'avait même pas cherché à lui expliquer quoique ce soit. Lui qui était venu ici pour retrouver un bateau disparu et ramener les marchandises dédiées à la Coupe des Nations  qu'il contenait, se retrouvait à présent dans une situation bien plus délicate que ce à quoi il s'était attendu quand il s'était engagé dans tout ce bordel.Il n'était pas utopiste au point de se dire que cela serait aussi facile que de respirer mais à aucun moment, il n'aurait ne serait-ce qu'imaginer qu'il se retrouverait tout seul au commande d'un navire, bousculé en pleine tempête, avec peut être une malédiction sur le coin de la tronche.

Eoda, je sais que je ne suis pas l'un de tes fidèles mais s'il te plait, entends mes prières ! Je te promets à ce jour de t'inclure dans chacune de mes offrandes religieuses, d'avoir une pensée pour toi à chaque rituel. Si tu pouvais faire quelque chose contre cette malédiction, cela m'arrangerait. Ou tout simplement me faire arriver vivant. Si le bateau doit être ton dû, je te le laisse de bon cœur !

Le navire plongea dans le creux d'une vague, cette dernière formant un mur qui percuta de plein fouet le navire. Le Déchu fut projeté violemment par dessus bord. Un a-coup le stoppa net dans sa chute, retenu par le cordage tendu avec lequel il s'était attaché, le balançant contre la coque, qui l'assomma, le faisant plonger dans l’inconscient.

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Lun 24 Déc 2018, 11:49


Assassis Creed réalisée par Neil Kairanna




Le clapotis léger de la houle tranquille contre la coque du navire ramena peu à peu Ignis à la surface de sa conscience. Sa tête le lançait horriblement comme si elle avait percuté à pleine vitesse un objet dur et résistant … Ce qui était le cas en fait. Une plaie à l'arrière de la tête laissait goutter doucement, le précieux liquide se diluant dans une touche carmin à chaque fois qu'il rencontrait l'eau marine. Son corps entier lui faisait mal en réalité. La corde avec laquelle il s'était attaché avait tenu bon. Elle lui avait sauvé la vie, l'empêchant de se perdre dans les profondeurs, arrêtant sa chute sec et net. Cependant, quelque chose lui disait que s'il soulevait sa tunique, il trouverait une nouvelle brûlure, fraîche, faite par les fibres du cordage, malgré ses vêtements, dû à la violence du choc et aux frottements incessants. Il le sentait et le sel marin qui s'était déposé sur lui et ses habits, rendant le tout rêche et irritant n'aidait pas, surtout sur toute les plaies et égratignures qu'il avait.

Le Déchu regarda autour de lui. Il ne savait pas combien de temps il avait été inconscient mais cela avait été visiblement assez longtemps pour que la mer se calme. Le navire n'avait visiblement pas coulé, ce qui était plutôt une bonne chose au vue du fait qu'il était attaché à lui et que si cela avait été le cas, il se serait noyer sans même pouvoir réagir. Le ciel était d'un bleu limpide, le soleil brillant fort à son zenith. La mer était calme, comme si elle ne s'était jamais énervée. S'il ne s'était pas retrouvé attaché dans le vide, il aurait pu croire avoir rêvé tout ceci tellement le contraste était saisissant. A présent, il fallait qu'il remonte à bord. Il ne pouvait pas rester indéfiniment à balancer comme un éléphant sur une toile d'araignée. Il se redressa contre la paroi du navire, posant à plat ses mains et ses pieds dessus. Peut être était-ce son instinct qui était entré en jeu, ou bien une ombre au coin de l'oeil qui l'avait prévenu, mais sans prendre le temps de réfléchir, seulement mu par la peur, Ignis se jeta sur la droite, juste avant qu'une masse compacte ne percute l'endroit où il se tenait à peine quelques secondes plus tôt.

L'animal retomba à l'eau mais le Calciné eut le temps de plonger son regard dans l'oeil noir et avide du requin, sentant presque ses dents le frôler. C'était assurément l'appel du sang qui l'avait amené jusqu'ici. Le Déchu avait entendu dire que ces bêtes pouvaient flairer une seule goutte de sang dans l'eau à des dizaines de kilomètres de distance. Il était étrange de voir comment de telles connaissances pouvaient soudain revenir au moment le plus inopportun, alors que la mort était à vos trousses. Mécontent de sa défaite, le mastodonte faisait déjà demi-tour pour revenir à l'attaque. Il souhaitait sa pitance et il n'était pas prêt à abandonner. Si le Colérique restait dans cette position, il allait à coup sur finir dans la gueule des dents de la mer. Il se devait de remonter sur le pont et rapidement. Il était loin d'être assez souple pour battre un squale et il ne savait pas combien de temps le cordage résisterait à l'assaut. Il se mit donc à tirer frénétiquement sur la corde pour remonter le plus vite possible, s'aidant de ses pieds contre la paroi.

Le museau de l'animal percuta les jambes d'Ignis. Celui-ci se mit à sauter dans tous les sens, gesticulant comme un grain de maïs mit dans une poêle à frire. Pour un peu et la peur lui aurait donné des ailes. En tout cas, elle lui permit de ne pas se faire croquer les jambes. En plus d'être un brûlé, il n'avait pas envie de finir unijambiste ou pire encore, cul de jatte. De toute la puissance de ses bras, il tira et se propulsa en avant. Il sentait vibrer sous lui la coque sous chaque assaut du carnivore. Excédée par toute cette tension à laquelle elle était soumise, par ce sel qui la rongeait de l'intérieur, la corde était en train de s'effilocher et de lâcher inexorablement. Chaque secousse orchestrée par le requin, chaque traction perpétrée par l'homme faisait céder une nouvelle fibre de chanvre. Un craquement retentit et la tension du cordage devint toute molle entre les mains du Calciné. La corde venait de céder et le Déchu chutait.


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Lun 24 Déc 2018, 11:56


Assassis Creed réalisée par Neil Kairanna




La vie d'Ignis ne tenait qu'au bout de ses doigts. Littéralement. Alors qu'il voyait sa dernière heure venu, en nourriture au requin, le corps déchiqueté, sa main s'était agrippée à la rambarde, comme une moule sur son rocher. Dans un effort surhumain – pour lui en tout cas – il fit appel aux muscles de ses bras pour se hisser à la simple force par dessus bord, dans le bon coté du navire. Il s'écroula et s'avachit sur le pont comme un gâteau qui n'aurait pas assez cuit. Il était épuisé, à bout de souffle. Il entendait encore les attaques du requin contre la paroi du navire, visiblement mécontent d'avoir vu s'échapper sa proie. Le Déchu savait qu'il devait faire quelque chose, n'importe quoi, mais bouger lui semblait insurmontable. Tout son corps était lourd et gourd, et semblait peser une tonne comme si on lui avait fait avaler du plomb. Il sentait son esprit vouloir partir à la dérive. Mais il savait qu'il ne devait pas. Qu'il était dangereux se s'endormir après avoir reçu un choc à la tête.

Poussant un grognement, il se mit à genou. Maintenant que l’adrénaline était en train de retomber, la tête lui tournait et chaque partie de son corps se rappelait à lui pour lui hurler le mauvais traitement qu'elles avaient subi. Il défit lentement le morceau de cordage attaché autour de son ventre et souleva précautionneusement le voile de son vêtement. Il ne s'était pas trompé. Les fibres de chanvres avaient meurtri sa peau, y imprimant leur marque dans la chair déjà abîmée. Avec un peu de chance, ça ne laisserait pas de cicatrice après coup. Il en avait déjà assez comme cela. Le navire tanguait faiblement mais cela était déjà trop et il faillit perdre l'équilibre plus d'une fois quand il réussit enfin à se remettre debout. Il se traîna jusqu'à la couchette d'un des matelots pour y attraper une vieille chemise et la déchirer dans le but d'en faire un bandage pour sa tête. Pour le reste, il verrait plus tard, quand il aurait touché … S'il ne touchait jamais terre.

Après être retourné sur le pont, il s'approcha du bastingage pour jeter un coup d'oeil par dessus bord. Il ne vit rien que le bleu profond de la mer. Il était en train de se dire que l'animal avait finalement abandonné, ce qui était une bonne chose, quand une ombre grandit sous la surface de l'eau avant de perforer la pellicule liquide et de se transformer en un requin en train de sauter, la gueule grande ouverte comme s'il cherchait à avaler le monde entier. L'homme se jeta en arrière, tombant sur les fesses, grimaçant pour la douleur mais surtout, à cause de la présence du mastodonte. Il s'en était cru débarrasser. Après tout, pourquoi la bête continuerait elle à rôder ici alors qu'il y avait à présent plus de chance qu'elle trouve pitance ailleurs ? Au lieu de ça, il continuait de rôder autour du navire à la dérive, comme s'il attendait qu'Ignis tombe à l'eau ou qu'il savait qu'à un moment ou à un autre, il serait pour lui. Ce monstre n'était pas normal. De toute façon, rien n'était normal depuis qu'il avait embarqué sur le rafiot.

Son regard dériva vers la marque rouge sur les planches au sol. Tout ceci était de sa faute. Le matelot avait eu raison. Ce dessin était une malédiction, il n'y avait pas d'autres explications possibles. Le navire était maudit et lui aussi, par la même occasion. Quel idiot il avait été de ne pas l'écouter et de rester ici. Maintenant, il était coincé sur un vaisseau incapable de naviguer, avec un requin qui lui tournait autour, n'attendant qu'une seule chose, le croquer. Elle était toujours là, à le narguer avec ses douze singes stylisés, aussi brillante et neuve que si on venait juste de la peindre. A la voir, on aurait jamais crû qu'elle avait subi une tempête. Il y avait de la magie là dedans, c'était certain. Il ne savait pas qui avait fait cela ni pourquoi mais il était maintenant pris dans l'engrenage et il n'avait aucune idée de comment arrêter tout cela. Tout ce qu'il souhaitait, c'était ne pas mourir comme les pauvres bougres membres de l'équipage. Il fallait qu'il trouve une solution avant de devenir fou ou pire encore.


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Lun 24 Déc 2018, 12:07


Assassis Creed réalisée par Neil Kairanna




Oh hé, du bateau ! Vous m'entendez ?

Seul le frotte frotte de la brosse en poil de sanglier contre le bois du pont répondit à la voix. Pourtant il y avait bien quelqu'un puisqu'on le voyait par dessus le bastingage, à quatre patte, en train de frotter avec frénésie le sol. Il n'y eut aucune réaction.

Oh ! Excusez moi ! Vous m'entendez ? Vous allez bien ?

Toujours aucune réponse que le frottement incessant et des marmonnements incompréhensibles. Le matelot échangea un regard avec les autres. Ils se trouvaient dans la baie d'une petite crique, non loin d'un port et avaient vu le navire en piteux état dérivé lentement au gré des flots. Avec leur propre bateau, ils s'étaient approché pour voir ce qu'il en était. Ils étaient assez proche pour pouvoir toucher l'autre rafiot. Ce qu'ils avaient vu, c'était un homme débraillé en train de nettoyer inlassablement le pont, les mains presque en sang, la tête ceinte d'un tissu tâché. Cela faisait plusieurs minutes qu'ils tentaient de prendre contact avec lui mais jusqu'à présent, leurs essais étaient restés infructueux. C'était comme s'ils parlaient dans le vide, l'homme en guenille ne semblait pas les entendre. Ils hésitaient à le rejoindre. A leurs yeux, il paraissait quand même assez atteint au niveau santé mentale. Ils n'avaient pas envie de se faire poignarder par un fou, dans l'hypothèse où ce dernier cacherait une lame sur lui.

Ils échangèrent à demi-mot sur la situation. Ils avaient lancé des grappins pour arrimer l'un à l'autre les deux navires et lâché l'ancre pour ne pas dériver plus en avant au risque de se fracasser sur un récif ou de percuter les pontons du port. Finalement, celui qui avait tenté vainement d'attirer l'attention de l'homme seul se porta volontaire pour grimper à bord du presque naufragé. C'était un jeune téméraire, épris de bonnes volontés et quelque peu insouciant des dangers que pouvaient receler la vie, même si le fait d'être marin lui avait mis un peu de plomb dans la tête. De toute façon, il fallait que l'un d'entre eux se dévoue. Il sauta donc à bord, emmenant quand même avec lui une dague au cas où. Ils n'avaient pas vu d'autres âmes vivantes pendant leur observation mais on ne pouvait être sur de rien. Peut être que d'autres se cachaient dans les cales. Quoiqu'il en soit, il s'approcha prudemment de l'homme à la face affreusement mutilée qu'il pouvait à présent mieux voir. Il lui posa la main sur l'épaule.


Monsieur ?

Ignis sursauta violemment et quitta des yeux cette foutue marque de malédiction qui ne voulait pas s'effacer malgré le fait qu'il frottait depuis il ne savait plus combien de temps. Il y avait un autre homme à ses côtés. Comment était-ce possible ? Il n'y avait personne d'autre sur ce bateau que lui, ces douze singes qui lui riaient à la face et ce maudit requin qui tournait encore et encore autour du navire. Son regard capta la lame à la ceinture de l'inconnu avant de se refixer sur son visage. Ses doigts étaient crispés sur la brosse, comme soudés à elle, incapable de se défaire du fait de l'avoir tenu trop longtemps. Etait-ce la bête, qui aurait finalement réussi à trouver à moyen de monter à bord du rafiot pour venir le chercher et l'entraîner dans les profondeurs où il pourrait le dévorer à loisir ? Non …. Si cela avait été le cas, il l'aurait fait depuis longtemps. Il devait y avoir une autre explication … Peut être un autre tour de la malédiction était en train de lui être joué ?

Monsieur … Vous allez bien ? Que faites-vous ?

La marque …. La malédiction …. Je dois l'effacer …

Ses mains avaient machinalement reprises leur mouvement et s'étaient remises à frotter – frot frot frot frot – encore et encore. Le marin regardait de façon presque hypnotique le mouvement avant de demander doucement.

Quelle marque, monsieur ?

Celle-là, celle des douze singes !

Ignis se retourna pour la lui montrer d'un signe de la main. Comment pouvait-il ne pas la voir alors qu'elle était visible comme le nez au milieu de la figure ? Mais il stoppa son geste et cligna des yeux plusieurs fois. Il n'y avait plus rien … Plus de marque, plus de trace. Même pas un reste de peinture pouvant prouver qu'elle s'était trouvée là. C'était tout simplement comme si elle n'avait jamais existé. Il n'y avait que le mat brisé et les marchandises dans la cale, arrivées miraculeusement à bon port. Pourtant, il la voyait encore, imprimé à la peinture rouge au fond de ses rétines à tout jamais.

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[XXXII | RP dirigé] La Malédiction de la Mer [Solo]

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