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 [VI] - Ingredient pour un remede.

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Jeu 07 Mar 2019, 21:21



Catégorie de quête : VI : Recherches
Intrigue/Objectif :Le groupe de Kayla arrive dans les terres gelée du berceau cristallin. Seulement voilà que Nerwen tombe gravement malade. Trouvant un abri, Kayla sera charger de trouver Laïla, une amie au Braskä qui les accompagnes. Malheureusement, cette dernier n’aura pas tous les ingrédient nécessaire et ce sera de nouveau à Kayla de trouver ce qu’elle a besoin.

Trouble sur les terres gelée.


L e vent était assez froid et j’avais un peu du mal à m’y faire, en même temps c’était la première fois que nous venions dans un endroit ainsi. Aussi froid. Par compte, j’aimais la vue que cela m’apportait, une veste étendue blanche à perdre de vue, mais où on savait que quelques parts se trouverait des abris corrects. C’est peut-être cela qui me faisait plaisir, comme l’environnement était plutôt hostile, Glorhal nous avaient rapidement que l’on dormirait chez une de ses connaissances pendant son séjour ici, car il ne nous voyait pas encore dormir dans un lieu ainsi. Enfin, bien qu’on en avait été content, on avait déchanté quand il nous avait appris qu’il s’agirait d’un test avant que l’on parte d’ici. On avait alors tous les trois poussée un soupir d’exaspération. Pourquoi est-ce qu’il voulait encore nous tester ? C’était toujours ainsi, il nous emmenait quelques parts et puis quand nous croyions être tranquille, il nous annonçait qu’on allait avoir un exercice divers à faire. Enfin, on avait fini par s’habituée. Même si ici, on allait bien devoir se préparée.
De ce qu’il nous avait dit, ici on était en territoire Lyrienn, mais en même temps nous risquions de croisée pas mal d’autre race car finalement ils n’étaient pas si nombreux à y vivre. Quand il nous l’avait dit, j’avais eu en encore plus envie de me rendre dans cet endroit, je m’étais toujours demander comment un certain nombre de race pouvait vivre en communauté dans une même ville. Est-ce qu’ils s’organisaient en quartier ou est ce qu’ils étaient réellement totalement mélangés tous ensemble ? Tout ça m’intriguait réellement.

Je parlais alors avec Valar des races que nous aimerions rencontrée, lui n’avais pas réellement d’envie particulière, tout ce qui l’intéressait c’était de trouver des guerriers et ce peut importe la race a la quelle ce dernier pouvait bien faire partie. Décidément, il ne changerait jamais, lui mis à part le combat, il n’y avait rien qui pouvait réellement l’intéresser. Mais bon son petit cotée bourru faisais partie de son caractère, ce n’était pas un mal. Mais bon, au fond, moi-même je ne savais pas réellement ce que je cherchais comme rencontre à faire. Je crois que c’est par ce que ça n’avait pas réellement d’importance pour le moment.
Mais alors que je tournais la tête pour demander à Nerwen, je vis qu’elle ne nous avait pas suivis. Regardant plus loin derrière nous, je remarquais qu’elle était assez à la traine et surtout elle me semblait aussi blanche que la neige sur là qu’elle nous marchait. «Glorhal, attend je crois que Nerwen ne se sent pas bien !» Je fis alors rapidement demi-tour pendant que j’entendais notre guide maugrée quelques peut de ce retard qu’ont allaient prendre. Il aurait aimée qu’on atteigne les habitations avant la nuit et ce qui était en train de se passée, ce n’était pas dit qu’ont allaient y arriver.
J’atteignis mon amie au moment ou elle chancelait et je la rattrapais pour la coucher délicatement sur le sol. Je lui demandais alors ce qu’il se passait quand je voulu dégager les cheveux qui venait de tombée sur son visage. Rapidement, quelque chose me frappa. «Mais… Elle est brulante.» Glorhal venait de nous rejoindre quand je le préviens, rapidement il se pencha sur mon amie afin de vérifier mes dires. Il regarda un peu partout avant de m’annoncer qu’il y avait un endroit ou nous pourrions nous abriter pour voir ce qu’il en était exactement. Puis, il la porta en nous ordonnant de le suivre rapidement.

Il ne m’était pas facile de le suivre dans la neige, je n’avais pas réellement l’habitude de courir dedans, c’était d’ailleurs pour cette raison qu’il la portait lui-même aux lieux d’avoir demandé à Valar. Et finalement, on arriva près d’un creux dans la falaise, rapidement il nous ordonna de rentrée. «Kayla, sort ta bûche s’il te plait, ça nous tiendra chaud le temps que toi Valar essaie de trouver assez de bois pour nous en faire un plus permanent. Regarde bien en dessous des pins et essaye de trouver le plus sec possible. Une fois que tu auras fait cela Kayla, sort ramasser de la neige, on va essayer de faire baisser sa température.» Ni une, ni deux, on s’exécuta rapidement. J’allumais la buche que j’avais trouvé, mais j’espérais que Valar ne mette pas trop longtemps à trouver assez de bois pour faire un feu digne de ce nom. Puis, je sortis de l’abris pour aller ramasser de la neige dans un des récipients que l’ont transportaient.
Quand je reviens, il l’avait mis à son aise, mais je pouvais constater qu’elle avait du mal à respirer. Je déposais la neige auprès d’eux et il m’ordonna de lui en mettre sur le visage, que c’était le plus important. Pendant ce temps, je le vis fouiller dans son sac après divers mixture et potion qu’il avait toujours en permanence avec lui. C’était une des précautions qu’il avait prises et nous avaient conseiller d’en faire de même quand nous ne serions plus avec lui. Avoir toujours de quoi soignée les maux mineurs et de quoi soulager ne serais ce que temporairement les plus importants.
Valar reviens une petite heure après et il s’occupait du feu tout en me rendant ma buche, ce que je l’en remerciais. Mais finalement, notre intention était principalement portée sur Nerwen, on commençait à l’entendre délirée. Sa fièvre ne semblait pas tombée malgré tout ce que nous avions déjà fait. Seulement, je ne voyais pas ce que nous pourrions faire d’autre.

Je commençais à être réellement inquiète, je ne savais pas ce que nous pouvions faire davantage. Mais Glorhal se leva alors et alla dans son sac, dans ce dernier, il sortit un bout de parchemin, griffonna rapidement dessus et il me le tendit. «Kayla, tu es la plus rapide de vous deux. Moi je dois rester ici. Alors écoute moi bien. Tu suis la route que je t’ai tracé là, c’est très important si tu ne veux pas te perdre et gagnée un maximum de temps. Tu vas arriver dans un village. Là-bas, cherche après Laïla, c’est une Ygdraë, c’est chez elle que je vous emmenais. Elle s’y connait en soin. Dis-lui de venir rapidement jusqu’à l’abris numéro sept de la falaise, elle sera le quel je parle. J’ai été son guide aussi pendant son premier voyage. Aller file maintenant.»
Je pris le parchemin et je sortis de la grotte, rapidement je me mis alors à courir, regrettant que Laël ne m’aille pas suivis jusqu’ici. Mais il m’avait dit que le climat lui était trop hostile pour venir avec moi malheureusement. Pourtant ici il m’aurait permis de gagnée pas mal de temps, mais je ne pouvais pas réellement lui en vouloir. Lui aussi aurait pu tombée malade. Et Glorhal n’était pas un Ygdraë, bien qu’il nous côtoyait depuis un moment, ce n’était pas dit qu’il aille la même vision que moi au niveau de la vie animal.

Je ne sais pas combien de temps je couru, mon regard se portais sur le parchemin pour être certaine de bien suivre les indications qui m’avait été donnée. Si je venais à me perdre, non seulement je me mettais en dangers, mais je ne trouverais peut-être pas Laïla à temps.
Et finalement, j’aperçu de la fumée. Soulagée, je courus encore plus vite bien que je commençais à m’épuisée réellement. La neige commençait à se faire moins présente à mesure que je me rapprochais des habitations, sans doute une conséquence de la vie présente, mais ça ne rendait pas le climat moins hostile, le vent continuais à soufflée assez fort.
Arriver aux portes du village, deux gardes me regardèrent arriver et je m’effondrais presque sur place quand l’un d’entre eux me rattrapa en me demandant si j’avais été poursuivie. J’essayais alors de reprendre mon souffle pendant qu’il regardait derrière moi, comme s’il s’attendait à voir surgir quelqu’un ou quelque chose à tout moment. «Non… Mais un de mes amis est tombée malade. Notre guide m’a envoyé ici pour que je trouve Laïla afin de la ramener auprès de mon amie. S’il vous plait, dite moi ou je peux la trouver.» «La demeure de Laïla se situe par là… Ecoute je vais t’enmener. Rick prend ma place le temps que je m’en occupe s’il te plait.» Un homme qui était un peu plus loin leva la tête et viens prendre sa place. Puis l’homme me fis signe de le suivre. J’avais encore un peu les jambes tremblantes à cause de la course. Mais j’étais de nouveau capable de marcher.
Il me guida alors dans les rues du village et heureusement, car j’ai bien l’impression que s’il m’avait conduite, je me serais tout simplement perdue. Finalement, on arriva devant une maison qui était assez grande et avait même sa petite serre personnelle. Il m’expliqua que c’était ici. Je frappais à la porte, mais pas de réponse. «Jeune fille, je crains qu’elle soit encore en train de faire le tour des malades. Je ne peux t’accompagner si tu décides de la chercher et je ne pourrais même pas te dire chez qui elle se trouve actuellement. Maintenant, il n’est plus très tôt, elle ne devrait pas tarder à revenir. Je comprends l’urgence, mais il serait peut-être mieux que tu l’attende ici.» je comprenais sa mise en garde, mais elle ne m’arrangeait pas. Mais qu’est ce que j’allais pouvoir faire d’autre ? Si je partais à sa recherche, j’étais certaine de ne pas retrouver la maison.

Je fis alors les cents pas devant la maison, regardant partout pour voir si je ne voyais pas une des miens arriver vers la maison. Le temps passait, mais il n’y avait toujours rien et je commençais à désespérée.
Finalement, une jeune fille aux cheveux blond s’approchais de la demeure et à mesure qu’elle s’approchait, je la reconnaissais comme une des miens. Je courus alors dans sa direction et ne prenant pas garde à sa surprise, je lui expliquai rapidement la situation. Le cas de mon amie, qui m’avait envoyé, ou nous nous trouvions et surtout l’inquiétude de notre guide qui était fort perceptible alors qu’il nous avait toujours montrée une parfaite maitrise de lui-même. «Je voie, écoute laisse-moi juste le temps d’aller chercher quelque affaire dans ma maison et on y vas d’accord ?» Je n’avais pas réellement le choix de toute manière. Elle courut chez elle et je remarquais qu’elle faisait assez rapidement, à travers la porte, je la voyais aller d’un bout à l’autre de la pièce telle une mini tornade. Mais même si je voyais qu’elle faisait tout son possible, je trouvais qu’elle prenait beaucoup trop de temps malgré tout. Mais je du bien prendre mon mal en patience.
Finalement, quand elle sortit, elle me fit signe de la suivre et à l’arrière de la maison, je remarquais une petite écurie ou se trouvais un magnifique étalon. Ce dernier semblait content de voir qu’il avait de la visite et Laïla commença à l’harnacher, puis elle se tourna vers moi pour me demander si j’avais déjà monté à cheval. Bon, je n’en avais jamais monté, mais j’avais monté Laël, ca ne devait pas réellement être diffèrent. Quand je le lui dis, elle affichait un sourire. «Oui et non. Disons que tu as les bases, mais tu vas vite te rendre compte que ces deux types de fouler bien différente. Monte derrière moi et tien toi bien. Il a l’habitude de galoper sur ces terres, mais on est pas à l’abris d’une plaque de glace.» Je me dépêchais alors de grimper derrière elle et on partit rapidement. J’espérais vraiment que l’on arriverait à temps.
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Ven 08 Mar 2019, 01:22



Catégorie de quête : VI : Recherches
Intrigue/Objectif :Le groupe de Kayla arrive dans les terres gelée du berceau cristallin. Seulement voilà que Nerwen tombe gravement malade. Trouvant un abri, Kayla sera charger de trouver Laïla, une amie au Braskä qui les accompagnes. Malheureusement, cette dernier n’aura pas tous les ingrédient nécessaire et ce sera de nouveau à Kayla de trouver ce qu’elle a besoin.

Trouble sur les terres gelée.


Laïla n’avait pas tort, chevauchée son étalon n’était pas pareil que chevauchée Laël, bien qu’assez confortable, c’était à mon sens beaucoup plus brusque que les foulées de Laël. C’est qu’elle me manquait cette bourrique. Mais bon, je me contentais de m’accrocher à la cavalière et à essayer de rester sur le cheval. Le vent, que je trouvais déjà fort était encore plus fort, enfin non, c’était plutôt le fait que l’on fendait l’air qui me donnait cette impression. Je me disais d’ailleurs, heureusement qu’il ne neigeait pas en plus, je ne crois pas que je l’aurais supportée. Quelque part, il n’était pas net ceux qui vivait ici, enfin c’est ce que je me disais.
Après un moment qui me semblait interminable, j’aperçu enfin l’abri que l’on avait trouvé, soulager de voir que Glorhal avait raison quand il avait dit qu’elle comprendrait. Une fois devant, elle sauta du dos de son cheval et se précipita à l’intérieure. Je me débrouillai alors pour descendre et je le regardais un instant. Il ne pouvait pas rentrée à l’intérieur et ici il n’y avait rien pour l’attacher, du coup j’avais peur qu’il en profite pour s’avancer. Mais alors que je m’interrogeais, il me poussa vers l’intérieur avec ses naseaux. Comprenant qu’il n’y avait pas de risque de fuite, j’entrais à mon tour dans l’abris. J’aimais ce genre d’animaux, pas spécialement intelligent, mais suffisamment en tout cas pour montrée une certaine fidélité à sa maitresse. Mais bon elle semblait bien s’en occuper, du coup ça devait aider.

Une fois à l’intérieur, je vis qu’elle était déjà penchée sur Nerwen, je demandais alors soucieuse comment est-ce que ça se passait pour le moment. «Mal. Ses délires ont empiré après ton départ. Il a essayé plusieurs autres remèdes, mais aucun ne semble avoir de l’effet. On a légèrement réussi à faire baisser sa fièvre, mais c’est vraiment minime, presque imperceptible. Il craignait que tu n’arrives pas à temps. Mais même si finalement vous êtes arriver…» Son regard fixant Laïa, je la regardais à mon tour et je vis pourquoi il semblait sceptique. Son visage était grave, ce qui n’était vraiment pas rassurant. Est-ce que même elle ne savait rien faire ? Si seulement Nerwen pouvait être en état de nous dire ce qui pourrais l’aider, après tout elle s’y connaissait assez bien pour tout ce qui était plante médicinal… Mais bon, il nous avait dit que c’était une soigneuse et en plus elle connaissait mieux les plantes qui se trouvait par ici… Je n’avais plus qu’à espérer que ça se passe bien.

Pendant de long instant, je la regardais chipoter dans son sac, puis administrée des choses à Nerwen et finalement, je remarquais que cette dernière semblait se calmée. «Est-ce qu’elle va s’en sortir ?» Elle ne me répondit pas tout de suite, continuant à examiner mon amie pendant un long moment. Finalement, c’est à Glorhal qu’elle répondit. «J’ai réussi à la stabilisée. Mais ce n’est vraiment que temporaire. Malheureusement, je crain ne pas avoir ce qu’il faut pour la soignée. Là sa température va baisser et ça lui permettra de reprendre un peu de force. Elle peut essayer de lutter seul contre la maladie, je peux l’y aider un peut. Mais ses chances sont réellement faibles. Il me faudrait d’autre ingrédient. Comme l’œuf d’un oiseau de glace par exemple, ou encore…» «Mais les œufs de ces oiseaux son extrêmement compliquer à trouver. En plus ils n’en pondent qu’un ou deux à la fois et ce qu’une fois tous les deux ans. Si on commencent à prendre leurs œufs, ils vont finir par disparaitre !» Je savais que la vie de mon amie était en jeu, mais je ne pouvais pas m’empêcher de penser à ca non plus. Après tout je m’étais jurée de protéger ce genre d’animaux. Est-ce que leur survie avait plus d’importance que la vie de mon amie ? Laïa, elle me regardait légèrement surprise. «Tu connais ces oiseaux ? » «Elle à étudier avec Eowin à la capitale. Du coup elle sait pas mal de chose de tous ces animaux.» «tu as réussi à convaincre cette chouette de t’enseignée cet élevage ? Et ben… Ecoute, si tu à étudier avec elle, tu sais aussi que certain œuf ne son pas viable car non fécondé. Cela me suffira amplement. Glorhal, je sais que tu n’es pas pour laisser les jeunes partir tout seul, mais elle sera plus rapide seul et en plus de cela elle pourra connaitre tous les ingrédients que j’ai besoin. Si tu veux que cette jeune fille survivent, alors il faut que tu lui fasse confiance et qu’elle aille chercher ce que j’ai besoin.» Je le vis réfléchir un moment, puis finalement il hocha la tête. Laïa commençait à m’écrire une liste des choses qu’elle avait besoin, puis elle me la tendit. «Prend mon cheval, il sera te ramener ici quand tu auras tout. Il y a une ou deux plantes aussi, est ce que ça ira ?» «Avant d’apprend auprès d’Eowin, c’est aux plantes que je m’intéressais. L’environnement est certes fort diffèrent, mais ça devrais aller.» Et sans perdre une seconde de plus, je sortis de l’abris. Remontant mon haut sur ma bouche pour me protéger du froid comme je pouvais. Je m’approchais du cheval et je lui expliquais ce que je voulais, même si je n’étais pas certaine qu’il me comprenne, je savais que c’était important. Puis on se mis en route. Même si elle avait visiblement gagné du temps, il y avait quand même quelques trucs sur la liste et je ne savais pas combien de temps j’avais réellement.

Heureusement, maintenant que j’étais toute seul, j’avais plus d’aisance sur la selle. Mais une fois que je fus arrivée à proximité d’un endroit qui me semblait propice pour les nids de ses oiseaux, je descendis et lui demanda de m’attendre. Il allait falloir être discrète. Ces oiseaux étaient du genre territorial et leurs becs étaient capables de soufflée des souffles glacials.
Mais pendant que j’avançais, je ne pouvais pas m’empêcher de penser aux œufs que j’allais trouver. Comme je l’avais dit, ils étaient assez peu nombreux et tombée sur un qui n’était pas fécondée, c’était possible, mais est ce que j’allais réellement avoir cette chance ?
J’avançais silencieusement, espérant trouver rapidement ce que je cherchais tout en réfléchissant comment j’allais faire partir l’oiseau. S’il c’était déjà rendu compte que son œuf ne donnerait pas de petit, alors j’aurais la chance qu’il soit déjà parti, mais dans le cas contraire, il allait se montrée extrêmement protecteur envers son nid. Et effectivement, en marchant j’en repérais un, le magnifique oiseau un bleu polaire trônais sur le nid et regardais partout. Vu sa taille imposante, je préférais garder l’emplacement en tête et je continuais ma route en veillant à pas entrée dans sa zone à risque. Mais malgré cela, je sentais son regard sur moi.

Je marchais encore un long moment avant de trouver un autre nid. Celui là me semblait vide. Mais est ce que c’était par ce qu’elle n’avait pas encore pondu ? Je réfléchis un moment et non, ça ce n’était pas possible. Enfin, normalement ils avaient des périodes, mais comme le climat était diffèrent et le temps aussi, c’était assez compliquer de savoir si oui ou non la période était déjà passée pour tous.
Mais je commençais malgré tout à grimper à l’arbre, extrêmement prudente pour ne pas tombée et risquer d’attirée les animaux par le bruit que j’allais faire. L’escalade ne fus pas chose aisée, surtout que je du enlever le vêtement chaud que je portais par-dessus mes vêtements habituels pour me tenir chaud. Mais finalement, j’arrivais enfin à atteindra la fameuse branche ou le nid était posée. Un rapide coup d’œil me fis remarquer qu’il y avait bien un œuf. Je regardais une nouvelle fois autour de moi, m’assurant que la mère n’était toujours par-là, puis je me hissais sur la branche. Avançant prudemment jusqu’à lui, je fini par le prendre en mains et je commençais à le regarder attentivement.
Eowin m’avait appris plusieurs méthodes pour savoir si un œuf était fécondée ou non et je me débrouillais pour mettre ses enseignements en pratique. Après quelques longues minutes d’observation, je poussais un soupir. Ce dernier était fécondé. Heureusement que je l’avais pris avec un tissu par précaution. Je le reposais alors dans le nid et je descendis de l’arbre. Je venais à peine de quitter la zone, que j’entendis les battements d’ailes de la mère qui venait de revenir. En plus j’avais eu chaud. Mais de nouveau je notais l’emplacement, au cas où.
Finalement, j’en trouvais un troisième, je mis tellement de temps que je me jurais de me contentée de ce que je trouvais dans ce dernier et s’il était vide, tant pis j’irais chercher celui que j’avais trouver précédemment. L’oiseaux était dans le nid. Il fallait donc que je trouve un moyen de le faire partir. J’essayais de penser à ce qu’aimais ces oiseaux et je fini par me rappeler de quelques choses. Bien que protecteur ils avaient un petit défaut. Il ne pouvait pas résister à une sorte de rongeur.
Je me dissimulais davantage derrière un arbre et je commençais à crée l’illusion de ce fameux repas tant apprécier. Malheureusement, je ne savais pas crée les sons, mais bon c’était toujours ça. Et même si ça pris un peu de temps, l’oiseau fini par la remarquer. Certes, n’importe quelle personne aurait remarquer que ce n’était qu’une illusion, mais pour un animal ça devrai passer.
Et effectivement, après une seconde d’hésitation, il s’envola et je fis courir l’illusion plus loin, la faisant fuir dans une direction choisie.

Je me dépêchais alors d’aller vers l’arbre, parfaitement conscience que je n’allais pas voire beaucoup de temps. De nouveau je grimpais et une fois que j’eu l’œuf en main, je fis tout pour être plus rapide, tout en tendant l’oreille au cas où, se rendant compte qu’il avait été tromper, il revenait pour protéger son œuf. Après quelques instants, je poussais un soupir de soulagement. Celui là ne donnerais pas naissance. Je l’emballais précieusement pour le protéger et je m’apprêtais à descendre quand je vis l’oiseaux revenir. Lui aussi me vis et il me fonça dessus rapidement. Même si j’étais un peu haute, je sautai sur le sol et me mis à courir. J’entendais ses bruissements d’ailles me poursuivre et je savais que je devais faire vite pour mettre de la distance entre le nid et moi. Au bout d’un moment, il aurait envie d’y retournée, vu que ce dernier avait été en danger. A moi après de disparaitre pour quand il se rendrait compte de la disparition de son œuf.

Quand je fus le cas, je courus encore un peu, je voulais être certaine de ne plus rien risquer. Puis je retournais près de l’étalon qui m’attendait patiemment. Quelques peut essoufflée, je lui caressais l’encolure pendant que je sortais le parchemin qu’elle m’avait confié. «Bon, on a besoin d’une fleur qui pousse sur la falaise, on va donc regarder à ça pendant que nous allions au prochains point, ou là on devraient trouver une autre plante. Après, il ne restera qu’un seul ingrédient et on pourra rentrée. J’espère que tu es en forme.» Je remontais sur son dos et on se mis en route.
En y réfléchissant, je crois que je n’avais jamais courue autant. Même pendant les exercices les plus coriaces. Mais bon, c’était pour sauvée mon amie, alors je pourrais alors le faire quelques fois. Par compte, maintenant que je devais chercher une plante, j’espérais que je la trouverais avant que la nuit tombe. Car dans le cas contraire, j’allais avoir énormément de difficulté. Par compte, pendant que je reprenais la route, j’essayais de ne pas penser au chant de l’oiseau qui raisonnais dans les environs, un chant rempli de tristesse d’avoir perdu son œuf. J’avais beau avoir vu que de toute manière il n’aurait pas donner naissance à un oisillons, lui ne le savais pas.
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Sam 09 Mar 2019, 20:03



Catégorie de quête : VI : Recherches
Intrigue/Objectif :Le groupe de Kayla arrive dans les terres gelée du berceau cristallin. Seulement voilà que Nerwen tombe gravement malade. Trouvant un abri, Kayla sera charger de trouver Laïla, une amie au Braskä qui les accompagnes. Malheureusement, cette dernier n’aura pas tous les ingrédient nécessaire et ce sera de nouveau à Kayla de trouver ce qu’elle a besoin.

Trouble sur les terres gelée.


Pendant que nous avancions avec l’étalon, je regardais uniquement les falaises. C’était un avantage non négligeable qu’il connaisse ainsi les lieux sur lequel nous cheminions. Mais pour le moment, je n’arrivais pas à trouver ne serais qu’un pétale de ces fameuses fleurs et je commençais un peu à désespérée. Et puis, je ne pouvais pas m’empêcher de me faire beaucoup de soucis pour Nerwen, je savais que son état était stable, mais est ce qu’il était suffisant pour qu’elle ne risque plus rien jusqu’au moment où j’allais rentrée ? En plus j’avais pensé à rentrer via ma magie, mais je devais être honnête, je risquais surtout de me retrouver dans la falaise si j’essayais de faire cela maintenant. Je ne m’étais pas encore assez entrainée pour et ma magie n’étais pas encore assez puissante pour que je puisse le faire en toute sécurité.
Le soleil commençait à décliner quand j’aperçu enfin quelque chose qui m’intéressait. Regardant plus précisément l’endroit, je reconnu la fleure qu’elle m’avait dessiné sur le parchemin. «Bon… Maintenant que je l’ai trouvé, je n’ai plus qu’à faire un peu de grimpette… Sans me rompre le cou ce ne serais pas mal…» Habituée à grimper aux arbres depuis assez jeune, je n’avais pas réellement peur de l’escalade, mais là on parlaient quand même de parois rocheuse qui ne me semblait pas réellement fait pour ce genre d’événement. Pourtant je n’allais pas avoir le choix si je voulais atteindre la plante.

Je me mis en contre bas de celle-ci et je commençais à regarder attentivement ce que je pouvais faire pour l’atteindre. Elle n’était pas bien haute heureusement, mais assez pour pas que je puisse l’atteindre facilement. Je devais donc absolument regarder à trouver un endroit qui serait assez sécurisant pour ne pas que la roche se dérobe sous mon poids dès que je mettrais le pieds dessus. Mais je ne m’y connaissais pas réellement. On en avait un peu fait avant mon départ, mais ce n’était pas pareil.
Finalement, je décidais de me lancer, ça ne servait à rien d’attendre trop longtemps, dommage que je n’avais rien pour sécuriser ma monter. Je déposais juste l’œuf que j’avais trouvé plus loin, hors de question que je le brise si je venais à tomber. Et je commençais à monter. Essayant de repérée les prises pendant que je montais, finalement ce fus assez facile d’atteindre la plante. Mes doigts se refermèrent sur cette dernière et j’en cueillie plusieurs, elle n’avait pas réellement précisé combien il en fallait, mais je me doutais que ce n’était pas énorme non plus.
Malheureusement, la descende fut plus compliquer. Certaine prise que j’avais utilisé, c’était dérobée sous mon poids à la monter et je ne pouvais plus les utiliser pour descendre. C’est donc encore plus prudent que j’essayais de retrouver la terre ferme. J’avais réussi à faire les trois quarts du chemin quand je fis un mauvais choix et mon pied se dérobant, je n’eus pas d’autre reflexe de poussée avec mes bras pour m’éloigner un maximum de la falaise pendant ma chute. Et heureusement. Ça n’avait pas provoquer un éboulement, mais certaines roches étaient tombées et je n’aurais pas aimée me retrouvée en dessous.

Ça faisait deux ingrédients sur les quatre. Maintenant je devais trouver les baies d’un arbuste, celui-là ça ne devrait pas être compliquer. Je l’avais étudié pendant nos cours sur la flore et on se trouvait justement dans son environnement préféré. Mais ça ne voulait pas dire que je trouverais facilement ce que je cherchais. De ce que je me souvenais de mes cours, l’arbuste en question aimait certes le grand froid, mais c’était par ce qu’il avait été modifier de manière magique, si à l’origine cette plante aimait le froid, elle ne pouvait pas survivre à des températures aussi basses qu’ici, mais ses baies étaient extrêmement nourrissantes. Un homme avait alors manipulé la plante et insufflée un peu de magie pour qu’elle puisse survivre dans des lieux comme celui-ci, ou en haute montagne. Ainsi, tout les animaux et voyageur qui se perdait dans ce genre d’endroit pouvait trouver quelques choses à se mettre sous la dent. Mais il n’avait pas prévu que les baies seraient vite cueillies ou manger par les oiseaux et il n’avait jamais réussi à ce que la plante les produise en continu. Comme toute plantes, il fallait une sorte de repos pour qu’elle donne de nouveau des fruits de qualité. Du coup est ce que j’allais avoir de la chance et trouver assez de baies ? De ce que je voyais, il m’en fallait seulement une dizaine, c’est-à-dire une ou deux grappes.

J’arrivais dans une zone qui me semblait correcte pour trouver ce que je cherchais et de nouveau je continuais mon chemin à pieds. Je commençais à bien ouvrir l’œil et bien sûr je vis quelques-uns de ces buissons, mais ils n’avaient plus que leurs feuilles ou les rares baies qui s’y trouvaient encore était soit pourrie, soit à moitié manger par les insectes ou les oiseaux.
En plus, pour ne rien facilitée à la tâche, la nuit avait maintenant bien commencer à tomber et mon corps commençais à s’engourdir du froid. Je savais que je n’avais certainement pas beaucoup de temps, mais continuer mes recherches dans de tel conditions étaient tout simplement suicidaire.
Du coup, pendant que je continuais à chercher mes plantes, je cherchais aussi après un abri et je fini par le trouver en premier, sur le chemin j’avais pris de quoi me faire un feu et j’allais m’installer. Cette fois, il était assez grand pour que l’étalon rentre et je le vis s’allonger rapidement. Moi-même je trouvai rapidement le sommeil, bien que la faim commençât à me tirailler l’estomac.

Je me réveillai tôt, le ciel était coloré d’une jolie couleur rosée. Mais je ne pris pas le temps de regarder le paysage et je me remis en route.
J’avais bien fait de prendre le temps de me reposer, car je me rendis compte que j’avais rater pas mal de buisson la soirée précédente. Le manque de luminosité et la fatigue jouant certainement. Du coup, je fini rapidement par trouver ce que je cherchais. J’en ramassais assez pour Nerwen, mais surtout j’en profitais pour en manger moi-même, il n’y en avait pas beaucoup, mais au moins cela calma un peut mon estomac. L’étalon lui se contenta des feuilles des arbustes, même s’il ne semblait pas dire non à une ou deux baies qui passait par là.
«Bon, œuf c’est bon, fleure dans la poche et baie délicieuse. Il ne me reste plus qu’à trouver… Hein ? Mais qu’est-ce que c’est que ça ?» Le dernier nom ne me disais absolument rien et heureusement pour moi, Laïla avait bien pris le soin de me noter l’endroit ou je pourrais les trouver à partir de cette zone. Mais je n’arrivais pas à savoir si c’était une roche, une plante ou quelque chose d’animal. Le dessin qu’elle m’avait fait était assez particulier et elle avait juste noter à cotée de ne surtout pas toucher avec la main.

Je marchais alors à cotée de l’étalon le temps que je lise correctement les recommandations. En le faisant plus en détail, je pu remarquer qu’elle expliquait que c’était quelques choses entre la roche et la plante, voilà pourquoi j’avais émis une certaine hésitation quand je l’avais vu pour la première fois. Son cœur était tendre et surtout la base de beaucoup de remède puissant. Seulement, ne peut de personne l’utilisais, car il fallait l’utiliser avec une grande intention. Il y avait sur tout le pourtour de cette plante/roche, des petits picots qui eux était extrêmement toxique. Le poison était bien évidement mortel, si non ce ne serais pas marrant. Et même s’il y avait un antidote, elle n’en avait pas avec elle et n’avait pas le temps dans crée un maintenant, d’où le fait qu’elle me recommandait une extrême prudence. «Super, mais si ces des picots, dans quoi est ce que je vais le transportée moi ?» Certes j’avais mon sac, mais il était fin et je n’avais rien pour coincer la chose correctement pour pas qu’elle finisse par tout percée et me touchée la peau. Il allait donc falloir que je réfléchisse aussi à un moyen de le transportée sans risque.
Finalement, je repensais au nid des oiseaux que j’avais vu, je ne pourrais pas utiliser un nid réellement, mais quelque chose de semblable pourquoi pas. Du coup avant de continuer mes recherches, je ramassai des branches de différentes tailles et j’allais allez chercher ma corde dans mon sac, espérant que cela suffirait. Mais ma main se posa sur un autre objet tout aussi intéressant. Une boite qui avait une capacitée particulière. Elle était certes trop petite sans doute pour l’ingrédient, mais ce n’était pas pour ça qu’elle m’intéressait. Je me concentrais en la tenant et une autre boite, plus grande et surtout assez épaisse apparu. Je n’aurais que jusqu’à ce soir pour ramener le tout, mais au moins j’allais pouvoir transportée l’ingrédient en toute sécurité.

Je me mis alors à rechercher correctement cette chose. Ce n’était pas simple, car de ce que j’avais compris, bien qu’ils ne se trouvaient que dans une zone en particulier, que je reconnu facilement quand l’étalon refusa d’avancer davantage, il se confondait parfaitement avec les roches qui se trouvait tout autour de lui. Le seul indice que j’avais, c’est qu’une petite tâche se trouvait sur l’un de ses cotées à la forme particulière, forme qu’elle m’avait aussi dessinée. Me voila donc en train de me promener au milieu de roche/plante mortelle, en train d’utiliser mon arme pour les bouger et essayer de repérer cette arme. La joie.
Combien de temps mis je à errée ainsi ? Je n’en savais trop rien, à mes yeux beaucoup trop surtout que j’avais déjà passée une partie de mon temps dans l’abri, je savais que je n’avais pas eu le choix, mais en même temps ça m’avait fait perdre du temps. Du coup maintenant il fallait absolument que je le récupéré pour pouvoir partir rapidement rejoindre mon groupe. Je bougeais un truc, puis l’autre et toujours pas de trace de cet ingrédient. Je relisais correctement ce qu’elle m’avait noté, mais de nouveau je ne trouvais rien qui pouvait réellement m’aider pour la trouver plus rapidement.
A force, il me semblait que j’avais fais le tour, qu’il n’en restait plus aucune que je pourrais trouver. Sans doute à cause de la panique, je fini par donner un grand coup tout autour de moi, touchant plusieurs roches, pourtant je ne perdais pas souvent mon sang froid. Mais là Nerwen comptait sur moi. Et c’est en les regardant encore un peu que je remarquais enfin cette fameuse marque. Et ben, il faudrait peut-être que je perde plus souvent mon sang froid moi…
Je me penchais sur l’ingrédient et je du réfléchir au moyen de le mettre dans la boite, finalement, je m’aidais d’autre roche.

Une fois cela fait, bien que toujours prudente, je retournais près de l’étalon. «J’ai tout ce qu’il me faut, ramène moi rapidement auprès de ta maitresse s’il te plait.» Je fourra tout dans mon sac et grimpa sur son dos. J’étais à peine installer qu’il démarrer rapidement et je commençais à regretter de ne pas avoir utiliser la corde pour m’attacher à lui. Si hier j’avais trouvé que le vent me fouettait le visage, ce n’était rien comparée à aujourd’hui, mais en même temps je n’avais pas Laïla pour le couper un minimum. Mais je n’allais pas me plaindre, je me contentais de m’accrocher et d’espérée que j’arriverais à temps.

Je fus soulagée de retrouver l’abri que j’avais quitter le jour d’avant. Valar était à l’entrée et poussa un soupir de soulagement quand il me vit arriver avant de prévenir les autres. Je sautai du cheval et je couru à l’intérieur prévenant que j’avais tout trouver. Laïla n’attendis pas longtemps, elle prit le tout et elle s’occupa de préparée le remède.
Inquiète, je regardais mon amie qui semblait recommencer à avoir de la fièvre, Valar m’indiqua qu’ils commençaient à être inquiet car elle n’avait plus vraiment beaucoup de temps, puis on resta silencieux. Jusqu’au moment ou je vis Laïla lui donner à boire sa préparation et nous expliquer qu’ont avaient plus qu’à attendre. Et c’est ce qu’ont fit.
La nuit allait bientôt tombée quand Nerwen ouvris les yeux et qu’ont vie l’Ygdraë poussée un soupir de soulagement avant de nous dire qu’elle était tirée d’affaire. «Bon, on va l’installer sur le cheval et en route pour le village alors et on ne traine pas !» HEIN ! J’étais épuisée, j’aurais aimée qu’il attende le lendemain pour nous remettre en route, mais visiblement, ce n’était pas son intention.
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[VI] - Ingredient pour un remede.

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