| | | [XXXII] Un cadeau empoisonné ? [Solo] |  |
| | Auteur | Message |
|---|
Invité
Invité
 | | Dim 30 Déc 2018, 19:14 | |
| Catégorie de quête : XXXII. Autre
Partenaire : Solo
Intrigue/Objectif : Anwen a reçu une lettre étrange, lui disant qu'elle a reçu un terrain donné par une personne anonyme. Anwen prend la décision d'aller voir ce cadeau "empoisonné" afin de savoir ce qu'il lui attend là bas. Il s'agit de découvrir ce territoire et ces limites : Parcelle 13 - Plage| Parcelle 13 - Plage - Mer de Méduse |
« Mademoiselle Anwen, vous avez reçu une drôle de lettre… » - « Je n’attends pas de lettres, puisque je ne connais personne encore. Brulez-la, ou renvoyez-la ! Le destinataire peut s’être trompé d’adresses. » - « Non, je ne pense pas que ce soit cela. Il est bien écrit votre nom et prénom sur cette lettre, je vous l’assure ! » Je me retournais alors que je préparais des baumes pour les cicatrices des enfants. Les mêmes enfants qui avaient été attaqués par une bande de loup dans les montagnes. Je leur faisais des baumes pour éviter des cicatrices trop voyantes. Je me lavais les mains rapidement pour pouvoir prendre cette lettre. L’écriture était soignée, belle et propre. Je haussais un sourcil me demandant pourquoi j’avais reçu ce genre de lettre. Je l’ouvris sous le regard du jeune garçon, Sam, qui s’était bien, rétablit. Il était aussi curieux que moi, lorsque je voulais connaître les nouvelles du jour. Je dépliais doucement la lettre blanche afin de la lire. L’écriture était soignée et sans faute d’orthographe, ni de tâches. Par contre, ce n’était pas une femme qui l’avait écrite. Je souris et je commençais à la lire dans ma tête. Puis avec l’agitation de Sam, je décidais de la lire à haute voix. Je me grattais la gorge et je commençais :
« Chère Mademoiselle Anwen,
Je vous permets de vous envoyer cette lettre pour apporter une bonne nouvelle ou bien une mauvaise nouvelle, selon vous. Je me permets de vous dire que vous avez reçu d’une personne anonyme d’une terre d’exception. Il s’agit d’un terrain complètement vierge, dénué de présence humaine. Ce terrain est une parcelle près de l’océan. De ce fait, vous en êtes l’unique propriétaire, mais n’oubliez pas qu’il s’agit d’une grande île et que vous n’êtes pas seuls à avoir eu des terrains. Vous êtes de libre d’en faire ce que vous voulez, nous ne sommes pas juges de vos décisions à présent. Veuillez retourner cette lettre le plus vite possible signé.
Bien cordialement,
X »
La lettre était simple. Fallait-il accepter ce cadeau empoisonné ? Et qu’est que j’allais faire de ce terrain vierge de toutes traces humaines ? Mais en même temps, j’aurais enfin une maison pour moi-même. J’aurais tout le temps de construire quelques choses pour moi, et pour ma famille et de vivre comme je le voulais. J’avais tellement d’idées qui bouillonnaient en moi. Je devais me calmer, je devais respirer encore et savoir si je devais vraiment accepter. Sam me donnait un coup de coude dans les côtes avant de me dire : « Moi, je pense que tu devras accepter, c’est un beau cadeau. De plus, peu de personnes ont un territoire comme celui-ci… Moi, je le prendrais et j’irais partir vivre directement là-bas. » - « Hum… Pourquoi pas ? Qu’est que je peux y perdre ? » Je pris la lettre et je la posais sur une table en moi. Je pris une plume et de l’encre afin de la signer. Je pris un corbeau et j’enroulais la lettre autour de sa patte afin de la renvoyer. Une fois que cela fait, je repris ma prière pour la grande Phoebe. J’aimais ce moment en paix, mais je compris rapidement que je ne pourrais pas rester tranquille. « Oui Sam ? » - « Tu ne pars pas immédiatement pour savoir comment est ton terrain ? »
Je me retournais avec un air sérieux et déconcertant. Je soufflais doucement et je compris que je devrais y aller maintenant. Je finis mon sac et je pris quelques affaires pour survivre : de la nourriture, de l’eau et une carte avec des crayons pour connaître les repères du terrain donné. Je partis seule pour ne pas avoir de problèmes avec un compagnon de route. Je devais dans un territoire que je ne connaissais pas. Je n’en avais jamais entendu parler. Ce terrain était dans un lieu appelé « Orahza » dans la mer de Méduse. J’avais beaucoup voyagé dans ma vie, mais là, c’était incroyable ! De nouveaux continents avaient été apparus depuis la dernière guerre. Le voyage allait prendre des semaines au moment pour y arriver. Je devais traverser le continent naturel avant de prendre un bateau pour aller sur la mer de Méduse puis trouver le terrain qui m’était destiné. Mais d’un autre côté, cela me ferait du bien de reprendre un peu le voyage et de revivre comme avant, mais sans faire de vague aujourd’hui. Cela me ferait du bien ! Peut-être que je retrouverais d’anciens amis. Je commençais mon long voyage seule, je priais une dernière fois à l’autel de Phoebe pour qu’elle me porte chance dans cette quête de moi-même.
822 mots
|
|
| | | | Invité
Invité
| | Mer 09 Jan 2019, 11:30 | |
| | Parcelle 13 - Plage - Mer de Méduse |
Après des semaines de voyages à pied, puis quelques semaines de voyages sur un bateau, j’arrivais enfin à destination. Enfin, je devais prendre un bateau de pêche pour arriver sur le territoire donné par cet inconnu. Le temps était idéal pour naviguer, mais aussi pour observer la grande île de loin. Cette île était immense, je n’arrivais pas à voir les extrémités Sud, Est et Ouest. Au niveau du Nord de l’île, je peux voir des montagnes, des forêts, mais aussi des plages pour se poser sans aucun problème. C’était un bon point déjà ! Les plages étaient dégagées.Après des semaines de voyages à pied, puis quelques semaines de voyages sur un bateau, j’arrivais enfin à destination. Je devais quand même bien, rester sur mes gardes. A ce que j’avais compris, dans la lettre suivante, mon territoire était une plage avec une petite partie de forêt. Ce territoire pourrait être très intéressant, économiquement. Il fallait que je me creuse la tête pour savoir ce que je pourrais en faire. Je revins au présent et le bateau de pêche arriva sur la terre ferme. La plage était plein nord de l’île avec une bonne exposition au large. Hum ! Ce n’était pas mal tout ça ! Je regardais autour de moi attentivement. Le soleil venait de se lever sur l’île. Comme j’étais au nord, j’aurais du soleil toute la matinée. Il ne faisait pas trop chaud pour le moment et j’aimais beaucoup cette douce chaleur. Je marchais sur le sable mouillé avec mes bottines.
Au niveau du Nord de l’île, je peux voir des montagnes, des forêts, mais aussi des plages pour se poser sans aucun problème. Je devais connaître la limite de mon territoire pour savoir jusqu’où je pouvais aller et surtout construire. Heureusement, j’avais pris du papier, du parchemin pour réaliser une carte approximative de mon terrain donné. Il fallait que je connaisse bien les limites, mais aussi ce qu’elle recelait comme ressources. Je sortis de mon sac de quoi dessiner et écrire. Cependant, je devais la voir vue d’en haut. J’acquis depuis longtemps le pouvoir de voler, mais je n’avais pas d’ailes pour m’envoler. Je trouvais ça bizarre d’un côté, mais au bout d’un moment, cela m’embêtait plus. Je n’étais pas un Ange, mais parfois en volant, j’éprouvais le sentiment d’être un. Une fois que j’étais dans le ciel, je pus voir l’ensemble de l’île. Elle était vraiment immense ! Comment avions-nous pu passer à côté de tout cela ? Le monde avait bien évolué depuis les derniers évènements. Il y avait tellement de choses à visiter encore ici-bas ! Des frissons remontèrent dans mon dos, car je compris que j’étais loin d’avoir tout visiter encore. De plus, l’envie de voyager me reprit subitement en observant la beauté de cette île. Enfin, je compris aussi qu’il aurait d’autres personnes sur ces territoires.
Hum … Cela voulait dire qu’il pourrait avoir des conflits, des pillages, ainsi que des alliances commerciales. Il faudrait que je sache qui étaient les autres propriétaires. Je devrais aussi rencontrer et discuter avec eux, ce qu’on pourrait faire ensemble. Je me grattais la tête, car je n’étais pas sûr que tout le monde veuille travailler ensemble et faire de cette île quelque chose d’unique en son genre. Tout le monde n’était pas des personnes bienveillantes… Malheureusement ! Alors que j’étais dans le ciel, je pus voir les frontières du terrain. La parcelle était quand même bien grande, mais mal répartie. Le territoire était à soixante-quinze pourcents de plage et vingt-cinq pourcents de forêt. Je dessinais rapidement les contours sur mon parchemin en essayant d'être le plus précis possible. Une fois terminée, je redescendis sur la plage pour aller m’enfoncer dans la petite partie de forêt. Je devais savoir ce qu’il y avait comme espèce de plantes. Si je pourrais utiliser du bois d’ici, ou bien, je devrais en demander sur les territoires proches de moi. J’entrais dans la forêt doucement, car je pensais fortement qu’il aurait des animaux sauvages.
Dans la forêt, il y avait beaucoup d’arbres, de plantes médicinales comme toxiques. Je pus remarquer des traces d’animaux dans le sol mi-sable mi-terre. Il y avait quelques racines nourrissantes, et des fruits et des légumes dont je ne connaissais pas encore. Le terrain était plat. Pas de collines ou de point en hauteur. Mauvaise vision en cas de problèmes avec un inconnu. Je ne pourrais pas le voir arriver. De plus, je devais absolument trouver un point d’eau potable si je devais m’installer ici ou en faire une résidence secondaire. Je continuais de griffonner dans mon carnet et sur ma carte pour avoir le plus de détails possibles. Pour l’instant, le terrain est convenable pour moi.
800 mots
|
|
| | | | Invité
Invité
| | Lun 25 Fév 2019, 12:02 | |
| | Parcelle 13 - Plage - Mer de Méduse |
Je terminais enfin de dessiner les contours de mon nouveau territoire. Je devais en profiter pour me balader dans cette petite jungle pour connaître la faune et la flore. Je voudrais bien savoir à quoi je devais m’attendre lorsque je devais m’installer ici pour mes petites affaires. Le point le plus important était de trouver une source d’eau potable. Alors, je redescendis du ciel pour m’attaquer au sol. Le territoire était plat, sans colline et sans plateau. Je devais m’enfoncer dans cette partie non-visible pour répertorier l’ensemble des plantes comestibles, toxiques et médicinales. Je ne pourrais pas passer des jours ici, mais j’avais le temps d’écrire tout ce que je voyais d’utile pour ma prochaine visite en ces lieux. Le sable disparaissait pour laisser place à de la terre mélanger au sable. Ce lieu était un peu plus stable pour que je puisse construire quelque chose. Bien évidemment, la maison ne serait pas construite à même le sol. Je pensais la mettre sur pilotis, même si normalement, cela se faisait dans l’eau. Le sol n’était pas stable et solide, donc la maison ne devait pas être construite directement sur le sable. De plus, il fallait que je creuse profondément pour qu’elle soit durable et qu’elle ne détériore pas avec le temps et l’eau salée. Hum. Je notais tout cela, dans mon petit carnet qui commençait à ne plus avoir de pages à force.
Je pénétrais dans la petite jungle à rechercher d’éléments vitaux pour ma survie. Il y avait une immense réserve de bois, de palmiers pour être plus précis, de bambous. Le sable mélangé à la terre était toujours présent, et elle dominait l’ensemble du territoire sous mes yeux. La flore était extraordinaire, je pouvais retrouver des espèces nulle part ailleurs dans le monde. La jungle était une canopée, composée de grands arbres tout serrés les uns contre les autres et très épais. Les arbres atteignaient plus de trente-cinq mètres de hauteur. Ils n’avaient pas de mal à se développer rapidement alors. Ils absorbaient tous les rayons du soleil, donc il n’y avait peu de soleil ici-bas. Je souris, car cela ne me dérangeait pas d’avoir peu de lumière. Le soleil ne m’était pas indispensable pour vivre, pour ma part. A force de me balader dans cette canopée, je me rendis compte qu’il y avait beaucoup d’arbres fruitiers. La plupart des fruits étaient sur les arbres en hauteur. Mince, je devais grimper aux arbres pour les récolter. Donc, il y avait des bananiers, des manguiers, du curcuma, des agrumes, des cacaoyers et d’autres espèces inconnus pour le moment. Au sol, je vis des traces d’animaux sauvages. Les empruntes étaient grosses, et avaient du poids. J’aurais dit des félins, mais quelques types de félins, c’était une bonne question.
Puis, il y avait des bruits au niveau des arbres. Quelques choses jouaient avec les branches. Je levais la tête doucement et je ne fis pas de bruits pour ne pas faire peur à ces animaux. Je fixais le haut des arbres et je vis des singes se balader d’arbres en arbres. Ils étaient nombreux, mais pas dangereux, enfin pour le moment. De plus, je remarquais aussi une colonie d’oiseaux magnifiques. C’était sans doute des ibis rouges et des toucans. Je souris, car ces espèces étaient vraiment sublimes et incroyables. J’avais hâte de continuer d’observer tout ce petit monde. L’homme n’était pas venu sur ces terrains vierges et j’avais bien envie que personne ne vienne pour garder tout cela intacte. Cependant, si j’avais reçu une lettre concernant ces territoires, je pensais fortement qu’il y aurait d’autres personnes comme moi. Mince ! Il fallait que je protège cet endroit de l’homme et leur péché. Par contre, le problème était toujours le même… Où allais-je trouver une source d’eau douce ? Pas question de construire quelque chose si je n’avais pas de sources d’eau potable. Je n’allais quand même pas boire l’eau de la mer ! Hors de question. De plus, je n’allais pas emmener à tous mes voyages des réserves d’eau douce. C’était quasiment impossible et inutile surtout ! Je continuais mon exploration et je commençais à creuser la terre pour essayer de trouver quelque chose. S’il y avait bien des animaux qui vivaient ici, il y avait bien un endroit où l’eau douce était présente. Il fallait maintenant que je la trouve sauf la jungle et la limite de mon territoire n’était plus très loin. Le danger était présent et j’espérais que je ne trouve personne sur mon chemin.
750 mots
|
|
| | | | Invité
Invité
| | Ven 01 Mar 2019, 11:22 | |
| | Parcelle 13 - Plage - Mer de Méduse |
La nuit n’allait pas tarder et je n’avais pas spécialement envie de rester sur cette île pour la nuit. Je n’avais pas de provisions, je n’avais pas encore trouvé d’eau potable. Il fallait absolument que je trouve une source pour pouvoir survivre dans ce lieu. Alors j’entrepris mes recherches dans toute ma parcelle de territoire. Je ratissais toute la zone, mais je ne vis rien dans les alentours. Mon cœur battait de plus en plus, car je commençais à stresser réellement. Comment les animaux pouvaient-ils vivre ici s’il n’y avait pas de point d’eau ? Il devait bien avoir une source dans les environs… Mais j’espérais qu’elle était dans ma zone, dans mon territoire et non pas dans une zone dont je n’avais pas les droits. Je priais fortement la Déesse Phoebe pour qu’elle soit clémente avec moi, en ce jour. Puis, après des heures de recherches, je trouvais un endroit assez secret. Le lieu était une grotte. Mais cette grotte avait été bien cachée par la nature. Des lianes avaient recouvert l’entrée, comme si elle l’avait fait exprès. L’entrée n’était pas lumineuse, je ne vois rien à l’intérieur et le tunnel était assez profond. J’entrais dans ce tunnel sans fond. Je n’avais pas de moyen pour avoir un peu de lumière, donc je pris le temps pour avancer.
Au bout de quelques minutes, le tunnel s’acheva et il déboucha sur une grande salle unique. Cette salle était immense, lumineuse mais totalement vide. Au centre, il y avait un étang qui prenait l’ensemble de la place de la salle. Je m’approchais du bord de ce lac où je pouvais voir le fond. L’eau était si claire, c’était incroyable d’avoir une eau si pure dans ce genre de lieu. La terre devait bien filtrer les sédiments pour donner ce liquide parfait. Je pris de l’eau dans mes mains et je les portais à mes lèvres pour vérifier la qualité de cette eau. Je bus le liquide et j’acquiesçais lentement de la tête. C’était bien de l’eau potable, j’avais enfin trouvé une source d’eau douce. J’ouvris mon petit carnet et je notais l’emplacement de cette source sur la carte que j’avais créé vite fait. Puis, je continuais l’exploration de cette salle. Mise à part cette grande source d’eau potable, il n’y avait rien d’autres à part quelques plantes médicinales. La mousse était présente sur les murs de la salle. Elle me serrait très utile pour mes baumes, mais à voir.
Sur les murs, il n’y avait aucune trace d’un passage quelconque d’êtres humains. Ce territoire était-il réellement vierge de la présence des Hommes ? Hum. J’aurais pensé qu’il y aurait eu des traces d’une ancienne civilisation ou d’un peuple inconnu. Peut-être qu’il y aurait plus de chances d’y avoir quelque chose à l’intérieur même de cette grande île. Cependant, je ne pensais pas que j’aurais la permission d’y entrer librement sans demander aux propriétaires. Je haussais les épaules doucement, car pour l’instant, je devais rentrer à la maison. Le Soleil était bien bas et ma barque devait m’attendre sur le bord de la plage. Je fermais mon carnet, puis le rangeais dans mon petit sac en cuir. Je me rendis sur la plage. L’homme m’y attendait tranquillement tout en fumant quelque chose. « Alors cette petite exploration ? » - « Ma foi, pas mal du tout ! Je pense que je pourrais y faire quelque chose de très intéressant… » - « Oh ? Donc cela a été fructueux pour vous ? Par contre, toujours de traces sur le mystérieux personnage ? » - « Hélas, non. Aucune trace. Cette île est vraiment étrange. Pas la moindre trace d’être humain, pas de signe, pas d’écriture, rien du tout. Vierge. » L’homme se grattait la barbe de quelques jours, puis laissa tomber. Je lui souris et je lui donnais l’ordre de partir d’ici avant que ce ne soit plus possible. Alors, il commença à ramer pour nous ramener sur le grand bateau. Je regardais cette île disparaître, au loin.
L’idée de construire une maison me vint subitement. J’aurais pour la première fois de ma vie, un endroit pour moi et pour vivre comme je le voulais. Mais évidemment, j’avais une petite idée en tête. L’homme continua de ramer et nous arrivâmes à bord du bateau de voyage pour me ramener sur la terre ferme. Après de longs jours de voyages pour retourner au Rocher au clair de lune, je commençais à dévorer des tonnes de livres sur le monde aquatique. Je devais quand même bien rentabiliser cette parcelle de terrain. Je n’allais quand même pas la laisser vierge et vide ainsi. J’avais plusieurs idées, mais la meilleure était de réaliser des cultures d’huîtres. Cependant, je devais réaliser des tests de l’eau et encore avant cela, je devais construire une maison, défraîchir la zone pour qu’elle soit exploitable au maximum.
810 mots
|
|
| | | | | | [XXXII] Un cadeau empoisonné ? [Solo] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
