Dans un mouvement circulaire, consciencieusement travaillé, les petites travailleuses de la rue Broadwick emballent à l’aide de leur baguette les dernières confiseries « Arrache-dents » en vogue, qui seront dans tous les rayons bonbons de la pointe de l’Ecosse aux îles anglo-normandes. A l’approche d’Halloween, les ateliers de Bertie Bott’s et des farces-et-attrapes sont en pleine activité, le travail par-dessus la tête. Toutes les mains et toutes les baguettes sont réquisitionnées pour produire le plus en un temps record. Tandis que dans l’atelier du chocolat, on capture les chocogrenouilles et l’on force les images de célèbres sorciers à rester en place, dans l’atelier des guimauves on installe des parpaings sur les marmites pour éviter qu’une masse uniforme et très sucrée puisse s’enfuir. Un brouhaha presque maîtrisé est présent, une musique à la chaîne entraînante rythme les gestes habiles des sorcières. Les sons sont pluriels et varient : aux petites boîtes qui sont emballées, passant par les croassements des grenouilles chocolatées jusqu’aux fusées bubble gum qui pètent par inadvertance, le tintamarre ne cesse d’être alimenté qu’à huit du soir, lorsque toutes trinquent leur tablier et leur toque pour des habits de moldus. Toute sans exception portent des odeurs relatives à leur travail de la journée. Les moins chanceuses, celles qui travaillent sur les recettes bizarres des fameuses Jelly Beans, sont obligées d’utiliser un sort « Enlève-odeur » efficace, qui les rendent anosmiques toute une nuit. Certaines empruntent le chemin de traverse en passant par l’unique cheminée présente dans l’immense atelier et d’autres, comme Rose-Alysse, préfèrent sortir sur la rue portant sur leur atelier Bertie Bott’s et prendre un bus des plus moldus qu’il soit. Certains soirs, lors d’événements sportifs ou festifs moldus, beaucoup d’ouvrières sortent par l’unique entrée qui normalement porte sur une toute petite boutique de confiseries. Le sortilège trompe-l’œil savamment installé donne l’illusion et les protège d’une certaine façon des rares clients moldus – d’ailleurs, ce sont souvent des touristes qui se perdent dans les ruelles -. Et heureusement, la rue est suffisamment évitée dans le quartier de Soho pour que le phénomène répétitif et assez cocasse de voir sortir en file indienne de nombreuses femmes d'une toute petite boutique ne soit pas remarqué.

Le lendemain, à huit heure, tout recommence. La routine journalière continue. En période d’Halloween, les ouvrières sont un peu plus stressées que d’habitude, ce qui provoque parfois des accidents pour le moins : pas marrant du tout. Comme la fois où Rose-Alysse est tombée dans une marmite de préparation pour les fusées bubble-gum. Elle en est ressortie toute rose et pendant un mois, lorsqu’elle marchait dans la rue Regent, on la confondait avec un de ces hommes peints en or, qui prennent des positions sans user de magie pendant des heures. Cracmole de naissance, Rose-Alysse opta plutôt pour la patience que l’entraide d’une consœur. Le mauvais sort de « Rosalium Pastis » cessa finalement au bout d’un mois ; laissant de l’accident à la drôle d’ouvrière des cheveux, des sourcils et des cils roses, senteur bubble-gum tutti frutti.

Aujourd’hui est un jour spécial. Le jour où la dernière commande est envoyée à Godric’s Hollow, le Sabbat approche. Rose-Alysse en charge des commandes par hiboux postaux boucle le dernier envoi. Toutes les ouvrières se regardent, elles sont lasses, fatiguées. Un petit cri d’enthousiasme entame leur cœur, mais leur souffle est si épuisée que certaines se contentent de sourire, alors que d’autres s’endorment. Elles ne passeront certainement pas leur journée d’Halloween comme les autres sorcières et sorciers, peut-être qu’elles prendront leur unique journée de repos comme acquise. Les confiseries qui ne peuvent pas être vendues, ni aux moldus, ni aux sorciers, sont proposées aux ouvrières par paquet, pour éviter les pertes. Chacune prend le sien, conscientes qu’un petit monstre sucré peut habiter le sac. Elles se saluent et rentrent chez elle, alors que dans les rues londoniennes, pleins de petits gens drôlement habillés se promènent. Rose-Alysse passe inaperçue dans le décor du Picadilly Circus, même avec ses fausses ailes de fée achetées dans une boutique Claire's.

Elle arrive dans un détour, en plein travaux et passe sous des arches de fer. Elle salue un vieux clochard, qu’elle côtoie depuis pas mal d’années, dont la tenue sombre peut rappeler sans équivoque celle d’un croquemort - elle est principalement rapiécée, faite d’un matériau douteux. Son prénom, imprononçable pour l’anglaise qu’elle est, est pourvu que d’une syllabe. Peut-être est-il tchèque, peut-être russe. Elle ne lui a jamais demandé, ils ne font que se saluer brièvement après tout. Cette fois, elle s’arrête un peu plus longtemps, le vieux bougre édenté et aux yeux vairons n’a pas l’air en forme. La petite femme, dont l’odeur rappelle l’atelier, lui tend le paquet. « Un bonbon ou un sort ? » demande-t-elle pour plaisanter. « Un sort. » répond-il. Elle réfléchit, ne trouvant pas grand-chose dans sa boîte à blagues et finit par lui demander. « Qu’est-ce qui est rose et qui attend ? » Le pauvre hère se met à rire, dévoilant des dents qu’il cachait jusqu’alors.

Assise sur une chaise en face de ma coiffeuse, j’admirais mon reflet en me brossant les cheveux. Etais-je narcissique ? Je n’en doutais pas. Mes yeux dérivèrent alors sur une photo fixée sur le miroir. Il s’agissait là d’un souvenir de mes jeunes années à Poudlard. Habillée de mon uniforme vert, montrant mon appartenance à la maison Serpentard, j’avais déjà, à l'époque, une lueur d’ambition dans les yeux.

Toc, Toc, Toc. Je reposais ma brosse sur ma coiffeuse et pivota vers la porte de ma chambre. « Oui ? » Une domestique ouvrit timidement la porte de la pièce avant de s’incliner devant moi. « Milady, vos parents vous attendent pour souper. » J’hochais la tête et pivota de nouveau pour faire face à mon reflet. « Très bien. Dîtes leur que j’arrive sans tarder. » Du coin de l’œil, je voyais la domestique s’incliner de nouveau avant de refermer la porte derrière elle.

Pendant quelques secondes, je restais immobile en me fixant. J’avais déjà une idée du déroulement du diner. Pourtant, je savais que je n’y allais pas à reculons car mon ambition m'y poussait. Je me levais donc de ma chaise et saisit ma baguette en Aubépine avant de me diriger vers la sortie. Avant de fermer la porte derrière moi, je me retournais et pointa ma baguette vers le plancher avant de chuchoter : « Serpentasortia ! ». Dans un éclair blanc, un serpent terrifiant sortit de ma baguette. Il sera le gardien de ma chambre durant mon absence.

Je pris ensuite le chemin vers la salle à manger. Les couloirs étaient silencieux et le claquement de mes talons contre le carrelage les rendait encore plus sinistres. Un elfe de maison croisa mon chemin. Etait-ce une femelle ou un mâle ? Qu’importe, sa laideur n’avait pas d’égale et je ne pus m’empêcher de continuer ma route sans le regarder avec mépris. Cependant, j’entendais les pieds nus de la créature claquer sur le sol. Elle me suivait. Je m’immobilisais donc pendant que la créature s’arrêtait à mes côtés. « Que se passe-t-il Karsath ? » La voix grêle de la créature agressait d’avance mon ouïe fine. « Maîtresse, votre père a ordonné à Karsath d’aller vous chercher. » Malgré moi je soupirais. « Retourne t’occuper de la maison. Je peux y aller seule. » Sans lui laisser le temps de répliquer, et aussi parce que je savais que l’elfe ne le ferait pas, je poursuivis mon chemin tranquillement.

Finalement je fis mon entrée dans la salle à manger. Mes parents étaient déjà attablés. Par habitude, je regardais les sièges vides autour de la table en chêne. Il n’y a pas si longtemps, ces sièges étaient occupés par les nobles postérieurs de mes frères et de ma sœur. Cependant, tous avaient péris dans des circonstances plus ou moins sombres. Nous n’en parlions pas énormément.

Nullement attristée par leur absence, je me dirigeais vers une toute nouvelle place et m’assit en bout de table, en face de mon père. Mon intention était claire, je voulais reprendre le flambeau de la famille, je voulais m’imposer en tant qu’héritière mais aussi en tant que rivale de Père. Ce geste ne laissa pas ce dernier indifférent car son sourcil se leva légèrement. J’avais capté son attention. Pourtant la seconde suivante son attention se reporta sur ce qui se trouvait dans son assiette. Un autre elfe de maison arrivait à mes côtés et, au-dessus de mon assiette vide, claqua des doigts pour faire apparaître une belle tranche de viande avec des accompagnements succulents. Je n’avais aucune idée de la créature que j’allais manger mais je ne m’en préoccupais pas.

En saisissant les bons couverts, je piquais ma viande avant de commencer à la découper. « Nous n’avons pas le droit à une entrée aujourd’hui ? » Mon ton était cassant. « Tes études à Poudlard sont à présent terminées, Aylivæ. Tu es une sorcière accomplie. » J’apportais le morceau de viande fraichement découpé à ma bouche tout en croisant le regard de Père. « As-tu réfléchi à ce que tu allais devenir ? » Je savourais le goût épicé qui se propageait dans ma bouche. Si je ne répondais pas à sa question, c’est que je savais qu’il n’en attendait pas. « Bien sûr que tu y as réfléchi… » Dans mon regard se lisait l’ambition. « Tu es prête à La suivre ? » Je pris le temps d'avaler mon morceau avant d'ouvrir la bouche. « Oui, je partage ses idéaux. » « Es-tu prête à La servir ? » « Si cela peut m’élever au-dessus des autres… » « As-tu peur d’Elle ? » « Seul un imbécile n’aurait pas peur d’Elle. » Le silence régnait à table. Chacun semblait peser mes mots. Je m’autorisais un regard fugace vers ma mère. La mort de ses enfants l’avait réduite au silence. Elle était à présent perdue dans la contemplation de son assiette. C’était pathétique.

Je reposais alors ma fourchette de façon à ce que ses dents soit tournées vers la table. De cette manière, les armoiries des Song étaient visibles. Après un rapide coup d’œil vers eux, je m’essuyais proprement la bouche avec une serviette en tissu blanc. « Qui sont les Song ? » Je regardais l’assemblée avec un sourire mystérieux. « L’une des familles les plus puissantes mais, et surtout, nous sommes une famille avec un des sangs les plus purs. Les moldus ne sont rien. Les sang-mélée ne méritent en aucun cas le nom de sorciers. Les Cracmols sont pathétiques. Et enfin, les Sang-de-Bourbe sont des aberrations. » Je me relevais doucement de ma chaise, sur le départ. « Afin que seul le Sang-Pur subsiste, je La suivrais sans hésiter. » Mon père hocha la tête. « Tu La rencontrera donc demain. » A mon tour, j’hochais la tête et repartis dans ma chambre.

Lorsque j’ouvris la porte de celle-ci. Le serpent que j’avais fait apparaître était encore là. Sans une once de pitié je dirigea ma baguette sur celui-ci. « Vipera Evanesca » Se tordant de douleur, le serpent brula dans un nuage de fumée noire avant de ne laisser que quelques cendres. Je repris place devant la coiffeuse et y déposa ma baguette.

Demain, j’allais voir ma vie changer et prendre une direction qui était loin d’être inattendue. Demain, j’allais recevoir la Marque des Ténèbres. J’allais prêter allégeance à Celle-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom autrement dit VanilleDeMort.

Demain, je serais une Mangemort.

Mots: 1042

La vue est imprenable sur le Mont Stanley. L’école, bâtie dans les fondations d’une montagne voisine est restée inconnue des cartes des moldus et des sorciers occidentaux jusqu’alors. Seuls ceux qui ont reçu le messager des rêves sont dans la capacité de la rejoindre sans perdre la tête ni la trace d’un chemin. D’ailleurs, les hiboux et les corbeaux atteignent rarement le pigeonnier prévu à cet effet car un sort handicape leur boussole interne, rendant confus le sud et le nord, l’est et l’ouest lorsqu’ils franchissent les nuages immaculées de la Montagne de la Lune. Cet effet est dû à la protection venteuse et séculaire qui se répète depuis des millénaires autour de l’école du Uagadou, fier pilier invisible de la magie ancestrale sur les terres d’Afrique de l’Est.

C’est dans le regard d’ébène d’une femme en pleine réflexion, habillée d’un kanga noble bleu aux motifs blés répétés que Soma Akingbade regarde la montagne voisine flirter avec un orage. Dans un swahili presque irréprochable, un émissaire d’Afrique du Sud a adressé par correspondance télépathique un message à l’égard de l’actuelle directrice de l’école. De nouvelles plaintes ont été déposées à l’encontre de l’établissement au près de la Confédération internationale, principalement en vu de la deuxième édition du tournois des onze sorciers. Une interdiction sur la participation des Animagis serait imposée, empêchant alors à la majorité des élèves de l’école d’y participer puisque tous, à Uagandou, le deviennent à partir de la quatrième année. Elle pince les lèvres, les yeux toujours rivés sur l’illustre Mont Stanley. Une peur lacère les entrailles des Occidentaux, qu’elle a du mal à comprendre mais qu’il va falloir annihiler pour le bien de ses Elèves ; ce tournoi est primordial, tant pour leur visibilité que pour la reconnaissance de la qualité de l’enseignement, ici, à Uagadou. Des évènements couvent sur le feu dans cette Europe paniquée.

Le corps peu à peu de la Directrice se transforme en celui d’un Messager Sagittaire. Il ne lui a fallut qu’une pensée formellement adressée au cœur magique de son organisme – ce qui aurait normalement coûté une torsion du poignet à un sorcier européen – pour se transformer en cet oiseau couronné dont le plumage rappelle celui des cigognes. Elle esquisse quelques pas et s’envole par-dessus le balcon, laissant dans une traînée magique l’impression d’un voile bleu.

L’arrivée au Ministère de la Magie anglaise se fait dans un fracas, Soma n’est pas reconnue pour être la directrice la plus patiente que l’école Uagadou a accueilli sur le siège. Du haut de ses quatre-vingt-dix ans, elle semble régner dans la plèbe des seniors. Elle ne cache visiblement pas son âge, ni son caractère ; alors qu’elle est convoquée pour défendre son école, un étranger dans cette assistance l’interpelle dans un murmure. Elle fait le tour de l’assemblée pour déceler l’inconnu qui lui a adressé télépathiquement un message curieux dans une langue étrangère, sans succès et prend place sur l’estrade, face aux nombreux ministres de la Magie dont le Ministre Ougandais, des Magenmagots et le plus important de tous ; le Manitou Suprême. Cela dure dix minutes, dans lesquelles elle parle des conditions exceptionnelles dans lesquelles sont ses élèves, à Uagandou, rappelant que la métamorphose est l’une des disciplines enseignées dans l’établissement et à laquelle ils y sont attachés, tant par leur savoir que pour leur acuité naturelle à cette forme de magie. Elle ajoute qu’il serait dommage d’annuler la participation d’une prestigieuse école sous le sceau incongru d’une loi étrange, aux buts profondément discutables car il est clair que leur participation n’est pas la bienvenue, en cette deuxième édition. Au bout du temps imparti, elle est révoquée et repart prendre place dans cette assistance, attendant dans une impatience palpable la décision du Manitou Suprême et de ses partenaires au Congrès.

« Rejoins-nous. » souffle finalement cette voix aux intonations étranges, dans un swahili incorrect. Il faut des efforts à Soma pour comprendre le « nous », puis le verbe. La curieuse voix est assez généreuse pour se répéter plus d’une fois, entamant un petit discours silencieux dans la tête de Soma, dans un anglais cette fois. Finalement cette personne lui adresse à vive voix les même mots, dans un chuchotement. Il se trouve à côté d’elle, elle feint de ne pas être surprise. Il est plutôt grand, massif pour un Ministre de la Magie et sa chevelure est sans pareille. Elle tombe dans une cascade, digne d’un torrent de jais. Elle s'était fourvoyée, il n'était pas ministre, mais directeur. Zane Azmog, le nouveau directeur de Durmstrang.

Bonsoir =)

C'est donc l'heure de voter. Vous avez un vote à choix multiple mais vous êtes libres de faire comme bon vous semble : soit voter pour celui que vous avez jugé le meilleur du meilleur, soit voter pour tous les textes que vous avez aimé ^^

Voilà voilà =) Le vote sera clôturé dimanche si je suis là ; sinon lundi. Vanille est occupée en ce moment et reviendra un peu plus tard

Hello, mes petits agneaux ^^ Merci pour toutes vos participations ! Je viens à présent pour donner les résultats et les gains, avec un petit peu de retard mais c’est comme ça !

A la première place, avec 12 votes : Aylivae. Voici ton gain :
- La pièce secrète. Cette petite pièce noire ressemble à l’une des figures d’un jeu d’échec, à ceci près qu’elle représente un serpent. A votre guise, vous pouvez invoquer le serpent, qui prendra vie à l’endroit où la pièce est laissée. Le serpent est capable de commettre des meurtres, de voler des objets ou d’espionner. Il peut venir en aide de diverses façons. Une fois sa besogne accomplie, il revient dans la poche de son propriétaire.

A la seconde place, avec 11 votes : Toble.
- Les anneaux de servitude. Il s’agit de deux bracelets, qui doivent être portés en même temps par une seule et unique personne. L’individu ne peut alors plus mentir au propriétaire des anneaux et doit le servir, durant une heure [pour les joueurs. Pour un PNJ serviteur, ça peut être définitif]. Passée cette durée, les anneaux tombent et peuvent être utilisés à nouveau, sur une autre personne.

A la troisième place, avec 10 votes : Eerah et Reddas.
- Pour Eerah : Le Carnet de Lady M. Il s’agit d’un petit carnet à la couverture abîmé et aux pages jaunies par le temps. Lorsque vous l’ouvrez, vous pouvez lire les pensées de l’individu le plus proche de vous, pendant quelques secondes, sans qu’il ne s’en rende compte.
- Pour Reddas : Le Balai Magique. Il s’agit d’un balai remarquablement élégant et finement ouvragé, qui permet de voyager à une vitesse impressionnante. Il est discret et peut changer de taille pour être transporter sans éveiller le moindre soupçon.

Pour tous les autres participants : Le Tableau Enchanté. Il s’agit d’une simple toile, représentant un individu ou un animal. Tout semble parfaitement normal mais ce tableau est un véritable gardien pour la salle dans laquelle il est placé. Il espionne la pièce et tout est rapporté sur un carnet, en possession du propriétaire du tableau

Comme d’habitude : vous rajoutez à vos fiches sans oublier le message récapitulatif !

A bientôt pour un nouveau concours !