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 Second, become free // Mission 4.2 //

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Mar 16 Fév 2016, 02:15

Second, become free // Mission 4.2 //  941150entete42

Au galop durant les trois quarts du chemin, son cheval avait mal vécu le voyage de puis le Hédas. Alors une fois arrivé à Bouton d’Or, Zéleph pris le temps de nourrir et soigné sa monture. La pauvre bête. C’est que, pris dans ses pensés, le réprouvé n’avait pas fait attention au traitement qu’il donner au fidèle animal. Il lui tapa affectueusement le museau. « Il te faudra un nom peut être un jour. » C’était une idée comme une autre. De temps en temps il y pensé, et puis d’autre il se disait que c’était inutile. Un cheval n’aller pas en faire grand chose d’un nom. Laissant là, la bête, il se dirigea à son tour vers sa destination. Il n’avait pas chevauché à travers deux continent pour prendre son temps. Il avait des courbatures, quelques crampes dans les jambes, mais ça ne l’empêcher pas de marché.

Par habitude, en traversant la rue, il salua de léger signe de tête les villageois qui s’incliné. Il passa devant sa statue, lui jetant un regard détacher. Quelque part il trouvé cette homme représenté ici ridicule. Heureusement tout le monde pouvait changer, et évolué. Quand il approcha de la maison du seigneur des deux rives, il se retrouva confronté à deux gardes. Ils semblaient perdus entre l’idée de lui interdire l’entré et celui de le laisser faire. Malgré tout ils décidèrent de lui coincer l’accès et pour ça, Zéleph les trouva plutôt intelligent. Après tout Dovakhiin il l’été peut-être pour toujours, mais souverain non. Se qui malgré se qu’en pensé beaucoup de réprouvé, ne lui offrait aucun autre droit que le respect éternel, une place dans un musé, une statue et quelques lignes dans un grimoire. « Silus Dovakhiin, hin ni ebra. » Zéleph esquissa un sourire en voyant l’air embarrasser du guerrier. Très honnêtement il était rare de voir se genre de combattant faire cette tête. « Io ni Dovakhiin. » Répondit-il simplement avant de continuer. « Skarr Dust. » Jetant un regard a son collègue, visiblement incertain de se qui était entrain de se passer. Peut être surprit du calme avec le quel s’adresser à lui l’ancien souverain ou le fait qu’il demande au lieu d’entré sans en avoir le droit. Après une seconde de flottement, le garde décida de lui ouvrir la porte. Ce n’était pas tout a fait se que Zéleph avait demander, mais au moins il été invité à l’intérieur.

En posant le pied dans la maison, il soupira. Il n’ignoré pas où il se trouvé. Ça santé le danger par tout pour lui. Il craignait un peut de croiser Erza. Elle devait le détester maintenant, n’avait peut-être pas tord, se qu’il s’avait c’était que si il pouvais lui évité sa présence il le faisait avec plaisir. Voilas au moins une chose qu’il pouvait faire pour elle. Cela dit il aurait bien vu son fils, mais il savait qu’entre se qu’il voulait et se que le destin avez a lui offrir il pouvait toujours prier, jamais ça n’arriverait. Zéleph était là pour une raison précise et simple, il ne devait pas se détourner de son objectif. Avancent dans la pièce, le réprouvé s’approcha d’une petite commode. Maintenant qu’il été dedans rien ne l’empêcher de se servir un petit verre. Trouvant une bouteille d’alcool quelconque, fort de préférence, il s’en prit un verre. Une fois servit il fit un peut le tour de la pièce, jeta un regard ici et là sans réellement se soucier de se qu’il regardé, par se qu’en réalité il en avait profondément rien à faire. Il ne chercher rien, il voulait passer le temps en attendant que l’un des gardes soit aller chercher Dust.

Assit dans un fauteuil, Zéleph fini par se concentré sur le liquide doré qui tourné dans son verre. Il c’été rouler une cigarette et fumer calmement en sirotant la liqueur. Le réprouvé savait déjà se qu’il aller dire au souverain. Il savait aussi qu’il ne lui refuserait pas. Malgré ça, il ne pouvait s’empêcher de se préparer a toute éventualité, ça l’étonnerait que Dust le laisse partir comme ça. Ce serait stupide et ça ne ressemblerait pas au Dovakhiin. Cela lui tardé de ne plu avoir à penser à son peuple en aucune façon. De se détacher d’eux enfin et pour toujours. Il avait un autre chemin à prendre. Rien ne devait le ralentir, les dés avaient déjà été lancer. Ses yeux glissèrent sur sa main tenant son verre, jusqu’à sa marque réanimée. Oui, certaine chose devait être faite. Celle là été la seconde, il verré plus tard pour le reste de la liste. En attendant, la porte d’entré c’était ouverte. Ses yeux rouges se levèrent lentement.
778 mots

Trad :
- Pardonnez seigneur, vous ne pouvez entré.
- Je ne suis pas un seigneur.
- Appel Dust.

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Mar 16 Fév 2016, 03:03

Düst leva la main pour empêcher l'homme qui était venu le prévenir d'user sa salive pour rien. Il savait déjà. « Éloignez Erza. » lui dit-il simplement. « Babababababa !! » commenta Azaël dans les bras du Roi. Parfois, l'homme avait l'impression qu'il allait briser l'enfant. Une si petite chose... Il ne grandissait pas vite mais, sa magie, elle, était grande. Le garde acquiesça. Il ne savait pas encore comment il allait s'y prendre mais il aurait tout le temps de trouver un plan en route. Il pourrait inventer une histoire rocambolesque pour essayer de l'éloigner un peu. La rumeur de la présence de Sorciers sur les Terres d’Émeraude la détournerait sans doute du désir de rentrer chez elle. Le Seigneur des Deux Rives soupira une fois qu'il fut seul. Il commençait à être allergique à cette famille. Son visage portait toujours les traces du combat qui s'était déroulé au Conseil des Chefs entre le Dædalus, Erza et lui. Il ne pensait pas un jour voir Eerah sortir de ses gonds mais, à vrai dire, il jugeait qu'il avait mérité de recevoir son poing en plein visage, dans un sens. Il ne lui en portait guère rancune, pas spécialement, du moins, autant qu'il le pouvait. Si ça avait été tout... Mais non, il fallait que les choses soient encore plus compliquées. Parce que, bien entendu, Mitsuko venait juste de repartir. Elle était venue voir son fils et lui avait murmuré, en se collant presque à lui, que son mari était en route. Il la soupçonnait de vouloir le faire tuer. Il était clair qu'elle avait voulu que Zéleph puisse sentir son parfum sur lui, un air de dire « Tu vois, lui, il est Roi. ». Düst était intelligent et très patient, mais il commençait à sentir que le Démon à l'intérieur de lui avait envie de se défouler. Il avait pris la place de l'ancien Dovakhiin et, comme si cela ne suffisait pas, il s'occupait également de ses enfants, sans avoir le privilège de profiter de sa femme. En plus de cela, depuis que Séléna avait disparu sur ses terres, il avait un ancien souverain à dos également. Oh Sindis ne s'était pas montré très menaçant, il en avait ri, tout en lui précisant que si, lui, savait où était la jeune femme, ce n'était pas le cas de tout le monde au Manoir et qu'il devait s'attendre à voir débarquer quelques enquêteurs dans les jours à venir.

Il entra donc dans la maison, Azaël toujours dans ses bras. Le bébé fit apparaître ses ailes qui commencèrent à battre frénétiquement sans pourtant le faire s'envoler. « Bababababa !! ». Il se mit à rire quand il vit que Düst suivait le protocole, ne marchant que sur les carreaux blancs et non sur les noirs. Si le Roi avait mis un pied sur un carreau noir, Azaël aurait piqué une crise terrible. Voilà comment l'on pouvait esclavager un Souverain. C'est donc en suivant cet ordre là que l'homme arriva en face de Zéleph, prenant d'abord le temps de s'installer sans faire pleurer le bébé avant de le fixer, créant un courant d'air avec la paume de sa main pour éloigner la fumée de la cigarette du bambin. Sincèrement, il n'était pas loin de penser que cette famille le tuerait. Il préférait rester à bonne distance du Réprouvé à cause des flagrances qui planaient sur lui. Il se pinça l'arrête du nez puis, après une lente inspiration, il finit par saluer l'homme qui se tenait en face de lui d'un signe de la tête. Par où devait-il commencer ? Lui parler de sa femme était une mauvaise idée. « J'ai amené votre fils, je me suis dit que ça pourrait vous être agréable. ». Il allait aussi éviter de lui dire qu'il avait l'intention d'épouser sa fille, même si c'était pour de faux. Parce que la vérité c'est que tout le monde ici pensait que le bébé était le leur. Tout était parti d'un quiproquo mais Erza avait grommelé que, de toute façon, il valait mieux que ce soit cette vérité là qui soit connue que la vraie. En attendant, Düst ne laisserait pas Zéleph l'approcher tant qu'il fumerait. Le Souverain pencha alors soudain la tête sur le côté, essayant de voir si elle était là. Il se doutait que l'homme l'avait amené avec lui, mais si elle était absente alors, où était-elle ? Ça lui semblait également un sujet épineux, comme tout ce qui touchait de près ou de loin les Taiji. Il finit donc par demander calmement : « Pourquoi êtes-vous là ? ».

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Mar 16 Fév 2016, 04:46


Son fils. Honnêtement, de puis que Dust été rentré dans la pièce, il n’avait plu d’yeux que pour lui. Azaël. Il écrasa sa cigarette sur le fauteuil, se foutant bien d’abimer un meuble qui ne lui appartenait pas. Se redressant, le réprouvé se ravisa quand il voulu se lever pour le prendre des bras du souverain. Non, il n’en était pas capable. Pas que ça lui était impossible, mais il savait qu’il lui ferait du mal. Il faisait souffrir tout ses enfants, qu’il le veuille ou non et malgré tout ses efforts. Alors avec une douleur non dissimuler il s’abstint pour se contenter de le regardé. Il semblé en bonne santé, peut être même heureux. Avec toute ces particularités, Zéleph était soulager de le savoir entre les mains d’un homme certainement plus capable que lui de géré ça. Il l’avait observé se plier aux besoins exigent de la petite créature. Dust été bienveillant et patient. C’était un homme bien, contrairement à lui. « J’ai toujours pensé que la moindre des choses que je pouvais pour toi, c’était de m’éloigner d’ici. » Il ne détacha jamais son regard de son garçon. Par fois il se demander comment une telle soufrance pouvait s’intensifier un peut plus chaque fois. « Quand j’été souverain je me souviens avoir entendu parlé de toi. Quelqu’un qui porté mon intérêt pour son intégrité et son calme. » Zéleph bu son verre cul sec, et le posa sur la petite table basse à coter de lui. « J’ai toujours respecté ceux qui on se que je n’ai pas. Il me paraît plu sain, que de les enviés. » Un sourire qui se fini en grimace passa un instant sur son visage. Ça n’était pas tout à fait vrais. Il y avait bien une chose sûre la quel il ne transiger pas.

« Ça n’as pas dû être simple de passer après moi. Ça n’est jamais simple de conquérir un peuple, celui-ci encore moins. Ils vivent dans la crainte de revivre leurs jours de rejet. Leur fierté est fragile. Ils leurs faut un modèle puissant, pour le quel il n’on pas peur de se battre. Pas forcément fort, mais indulgent. Un bon souverain est un souverain qui écoute son peuple, voilas une chose que je n’ai jamais réellement su faire, et c’est pour ça que je suis heureux que tu soi là où tu es maintenant. » Il leva enfin son regard sur Dust. « C’est pour ça que je peux partir sans regret. » Il avait confiance et dans son regard il y avait tout le respect qu’il porté à son confrère. Zéleph n’abandonner pas son peuple, il se retiré simplement. Par se qu’il savait qu’entre les mains de Dust stout irai bien. Il ferait de son mieux pour prendre les meilleures décisions, et que tout les dirigeants de leurs races l’aideraient dans cette optique, lui les écouterait certainement. « Nôtre peuple n’as plu besoin de moi. Il est temps que je fasse ce que je sois faire de puis longtemps. Je reviendrai s’il le faut, mais je suis épuisé de se combat. Un autre m’attend et j’ai peur qu’il soit bien plus difficile. » Tout était toujours plus compliquer. Il avait apparemment une destiné tracé. Il devait juste trouver le moyen de voir sa mère pour qu’enfin elle lui explique, mais comme tout Aether qui se respect elle semblé prendre un malin plaisir à le faire tourné en bourrique. Quoi qu’il en soit, il devait s’affranchir de tout pour pouvoir atteindre le point de non retour qui bousculerai enfin les choses. Ça il le savait. Ça on le lui avait dit. Les choses devaient avancer. Les Dieux bientôt feraient la guerre, les races se soulèveraient. Lui, il ne ferait parti d’aucun d’eux. Il avait quelque chose à accomplir avant.

Son regard descendit à nouveau sur le bébé. Cette petite chose. « On dirait qu’il t’apprécie. » remarqua-t-il. Il n’y avait aucun reproche dans ses paroles, c’était tout l’inverse. Il y avait seulement du regret. Que des regrets. Pourquoi lui n’avait-il jamais eu le droit d’élever ses enfants ? Pourquoi était-ce toujours les autres ? A quoi cela servait d’avoir épousé une déesse de la justice pour toujours subir ce genre d’injustices ? Zéleph n’était même plus en colère, il avait dépassé se stade. Il était simplement fatigué et blasé. Posant son coude sur l’accoudoir et son menton dans sa paume, il continua de regarder Azaël bouger en badinant. « Pour ça aussi je te sui reconnaissant. Pour lui… Pour elle. » Il le dit pausèrent et même si tout le monde pensé qu’il s’en ficher ça n’était pas le cas. Même s’il ne disait rien, préférait se taire et prendre les choses de façon détacher. Il n’était pas sourd et certaines choses se disaient. Dust devait, comme lui dans un autre temps, subir les jeux stupide d’une famille tout autant stupide. Il en était navré, mais reconnaissant. Erza, il ne la connaissait pas très bien, mais de se qu’il en avait vu elle devait être difficilement supportable. Et toute ces rumeurs qui circulé et faisaient parler le bon peuple. C’était plus drôle qu’autre chose mais ça devait être pesant. D’ailleurs quel était donc cette trace sur le visage du souverain ? C’était-il battu ? Pour un réprouvé c’était normal, pour Dust moins à son sens. Quoi qu’il en soit, il ne désiré absolument pas parlé de tout ça. Qu’il sache se qu’il pense sur le sujet lui suffisait. « Enfin… Puise que je ne veux pas partir comme ça pour disparaître dans la nature tel un lâche, je suis là, près à te prouvé ma reconnaissance et te demandé mon émancipation. » On pouvait remarquer l’effort par se que très sincèrement jamais Zéleph n’avait reconnu la domination d’un quelconque souverain, même lors se qu’il ne fut pas encore roi. C’était la vraie preuve du respect qu’il porté à Dust. « Que propose tu ? » 


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Mar 16 Fév 2016, 23:10

Düst finit par s'appuyer sur l'accoudoir du fauteuil, écoutant ce que Zéleph avait à dire. Il s'interdit d'esquisser un sourire quand il le vit hésiter face à Azaël. Certains hommes avaient une histoire compliquée et bien que la légende de l'ancien Roi le précède, il n'en demeurait pas moins un Réprouvé. L'attachement, le bonheur familial et la confiance n'était pas des bonheurs que la majorité de son peuple pouvait s'octroyer. Lui-même se considérait comme chanceux parce que sa mère l'avait aimé. Il s'était marié une première fois, bien que son épouse ait refusé le mariage Réprouvé, avait eu des enfants et bien que la femme qui avait fait battre son cœur soit à présent morte, il avait pu goûter à des siècles délicieux. Il avait réussi à ne pas la battre, à ne pas trop s'emporter, bien qu'il l'ait effrayé plusieurs fois. Il s'apprêtait à présent à se remarier aux yeux de tous, même s'il doutait de mener à terme ce projet. Le fait est qu'il n'aimait pas être considéré comme le père d'Azaël sans être marié à sa supposée mère mais la femme en question en aimait un autre, ce qui rendait les choses plus compliquées. Mais qu'importe. Il avait bien vécu et continuait à le faire, étant strict avec lui-même et le côté sombre qui l'habitait. Zéleph lui semblait bien plus impulsif, incontrôlable, sans pourtant être dénué d'intelligence. En y réfléchissant, peut-être qu'il pourrait lui demander quelque chose, en effet. Düst ne retenait pas son peuple, à vrai dire. Chacun était libre de refuser de lui porter allégeance mais une fois détaché de sa protection, les Réprouvés, souvent se perdaient et finissaient par mourir. Les terres rattachées à sa royauté étaient des terres de protection et d'asile ou le Seigneur des Deux Rives ne laissait entrer nul ennemi. Parfois, il y avait quelques exceptions mais un seul écart et c'était la mort assurée. Il était bon, certes, mais il n'était pas fou. « Je vois. » fit-il en donnant son doigt à Azaël pour qu'il puisse l'attraper s'il le souhaitait. « Je vais envoyer Erza à Avalon. » commença-t-il. Il était hors de question que les deux soient au même endroit au même moment et se croisent. Düst s'était toujours interrogé à savoir lequel des deux était le plus fort mais, à vrai dire, il avait aucune envie d'obtenir la réponse sur ses terres. Qu'ils s'affrontent chez les Sorciers, s'ils le souhaitaient, mais pas ici. « Toi », il avait abandonné l'idée de vouvoyez l'homme. Ils étaient pareil, sa fille et lui, ils n'employaient le vous avec personne, « Tu vas rester là quelques temps. Le peuple t'apprécie et beaucoup de légendes tournent autour de tes actions. On redoute une attaque de Démons. L'Impératrice Démoniaque a laissé son trône vaquant et l'anarchie règne à présent sur la race qui se retrouve sans monarque. Ils sont incontrôlables et, de ce que l'on m'en rapporte, ils pourraient bien tenter d'essayer d'éliminer leurs ennemis prochainement. Inutile de préciser que nous sommes sur leur liste. Mes hommes sont forts mais les temps sont critiques. Personne ne sait ce qu'il se passera d'ici peu et l'humeur est morose. ». Une guerre des Dieux, une attaque de Démons, il y avait de quoi s'inquiéter. « Ta présence leur redonnera des forces. De plus, il y a beaucoup de rumeurs qui courent sur notre mésentente et j'aimerai que cela cesse car c'est ridicule. ». Il en comprenait les fondements, cependant, il n'avait rien contre l'homme, même si les débuts de son règne avaient été compliqués. Cela dit, ils l'auraient été pour tout à chacun. Zéleph se désistait et Düst assurait sa suite, et cela ne concernait pas que la royauté. Ça lui allait, même si celui qui était le plus à blâmer possédait toujours le cœur de ceux que Düst chérissait. La fatalité sans doute. Il hésita de nouveau à lui dire que Mitsuko était venue mais abandonna une énième fois. Il savait que Illithya était là, la grand-mère d'Azaël. Il sentait sa présence derrière le mur. Elle les écoutait et ne s'en cachait pas spécialement. « Bien, je vais sortir pour régler quelques détails. ». A savoir, faire évacuer Erza et regrouper les hommes. « Dès que tu es prêt, viens me rejoindre. ». Il se leva et posa le bébé sur le fauteuil avant de tourner les talons. Parfois, il fallait forcer un peu le destin. Une fois à la porte, il murmura. « Tu n'auras qu'à le confier à la femme qui se trouve dans cette maison. ».

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Mer 17 Fév 2016, 00:10


« Dust ? Non, attend ! » Trop tard la porte se ferma derrière le seigneur des deux rives, laissant Zéleph debout le bras levé dans le vide. Il le baissa se sentant soudain ridicule. Il baisa les yeux sur l’enfant, avalant difficilement. Le roi avait bien parlé d’une femme, mais il ne comprenait pas trop de l’idée. Y avait-il une nounou quelque part qu’il n’avait pas vu avant ? Enfaite, Zéleph aurait souhaité arrêté Dust avant qu’il ne renvoi Erza. Ça n’était pas utile et il se santé coupable. Peut importe leur relation, ou plutôt leur absence de relation. Il ne devait pas être la cause de son éloignement. Elle été chez elle ici, elle avait le droit d’y resté. En plus qu’un ce qu’un réprouvé pouvait bien faire à Avalon ? Plu médiocre que les anges, il y avait bien les déchus. Aucun honneur, lâche et traitre.

Zéleph soupira en se passant une main dans ses cheveux déjà en désordre. Ils étaient un peut trop long et retombèrent sur ses yeux. Peut être devrait-il pensé à les coupé. Qu’importe. Il osa enfin s’approcher d’Azaël. « Hey bonhomme. » Le réprouvé essaya de sourire, mais il eu du mal, ne sachant pas quoi faire.  Il n’ignoré pas les particularités du petit et il ne voulait pas perturber son équilibre, seulement il ne connaissait rien des règles à suivre et ça lui faisait peur. Le réprouvé avait déjà été si maladroit, avec ses ainés, qui eux étaient adultes et n’avait pas de perturbation magique. Alors avec un gamin dans son genre il risquait fort de faire une erreur. Le réprouvé se contenta de le fixer, figer. Tout se qu’il aurait voulut c’était le prendre dans ses bras, lui parlé, essayé de le faire sourire. Seulement, tout se qu’il fut capable de faire c’était de rester là à se blâmer pour toute ses erreurs. Il avait passé sa vie à se plonger dans des combats impossibles, il avait côtoyé la mort et la souffrance jusqu’à perdre tout espoir. Penser que le seul but c’été de survivre, qu’importe se que l’on peut perdre. Qu’il n’y avait aucune raison valable à souffrir autant pour si peu de bonheur. Il été partie de si loin pour devenir quelqu’un de grand, et cette personne qu’il voulait devenir était encore plus minable que l’orphelin pleurnicheur et faible qu’il fut un jour.

Il aurait aimé être fière de dire qu’il était le père de cette petite chose, mais au final il mentirait. Par se qu’il n’était pas un père. On ne lui en avait pas donner le droit. Ils avaient son sang, sa chair, mais pas de père. Il était tellement désolé. Tellement triste. Brisé. Le réprouvé s’accroupie devant le fauteuil en douceur, prenant toute les précautions sachant que se simple geste pourrait déclencher une réaction fâcheuse. Il prit la main d’Azaël entre ses doigts. Elle était si ridiculement petite dans la sienne, c’était fascinant. Zéleph savait qu’il n’avait pas le droit de demander à ses enfants de le pardonner. Il n’avait pas non plu le droit de faire parti de leur vie, car tôt ou tard ils seraient déçus. Tôt ou tard ils finissaient par le détesté. Jamais il n’avait voulu ça. Il aurait souhaité être le père qu’il n’avait pas pu avoir. Il aurait souhaité simplement les voir grandir. Cela avait était impossible pour Neros, trop tard pour Erza et impensable pour Azaël. Zéleph avait longtemps décidé de se noyé dans le dénie, préférant ne pas écouté cette souffrance affreuse qui lui serrer le cœur quand il penser à eux. Préfèrent jeter toute la faute sur Mitsuko, plutôt que de voir qu’il été lui aussi responsable de certaines choses. Même si sa rancœur contre elle était tenace, son dégout pour lui même l’était également.  Il était lâche et minable, par se que chacun l’un après l’autre ils les avaient abandonnés. Au moins, Azaël n’aurait pas à subir d’abandon, par se qu’il ne ferait pas l’erreur de lui promettre quoi que se soit. Son fils été un enfant spécial. S’il avait besoin de lui, il le saurait, c’était toute la différence avec les autres.

Zéleph se santé observé de puis un moment, et il savait que c’était le cas. Comme Dust l’avait mentionné, quelqu’un d‘autre était ici. « Qui êtes vous ? » Le réprouvé se retourna pour enfin voir qui été cette présence. Ses sourcils se froncèrent soudain. Il avait une impression étrange. Cette femme était, sublime, mais plus que cela son aura lui semblait familière tout en lui étant étrangère. Puise que Dust était près à lui confier son fils, Zéleph n’u aucune crainte, ni méfiance. Après tout il avait confiance en les jugements du roi, et si le souverain avait confiance en cette personne, alors il devait en faire de même. Pour autant, il ne s’écarta pas de devant son fils. C’était son instinct, qu’il le veuille ou non, il ne pouvait contrôlé se genre de chose.

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Jeu 25 Fév 2016, 19:30

Illithya sourit lorsqu'elle entendit Düst mentionner sa présence. Elle avança doucement jusqu'à l'embrasure de la porte et s'arrêta là, observant le Réprouvé en silence d'un air curieux. Ainsi donc était-ce lui ? Doucement, elle ajusta le châle qu'elle portait sur ses épaules. Azaël semblait sage et son père restait devant lui, empêchant qu'une catastrophe se produise. La Magicienne ne répondit pas tout de suite à la question de l'homme mais elle entra dans la pièce lentement, ses pas ne produisant pas le moindre son. « Je suis heureuse de vous rencontrer. » fit-elle à mi mots. La jeune femme, qui en réalité avait plusieurs siècles derrière elle, sourit de nouveau. Ses contacts avec sa fille étaient diffus et, quelque part, elle s'en voulait toujours de l'avoir laissé partir trop tôt. S'arrêtant contre le dossier du fauteuil où se trouvait l'enfant, elle se mit à observer Zéleph. « Quand ma fille était petite, elle était vraiment... gentille. ». Ses yeux se déplacèrent doucement pour fixer un point, comme si elle pouvait, de la sorte, mieux se remémorer le passé. « Elle avait cette malice dans les yeux et était curieuse de tout. Elle croyait tout ce qu'on lui disait, même ce qui semblait trop fantastique pour être cru. Elle se plaisait à voir le monde avec des si. Et puis, lorsqu'il est arrivé, tout a changé. Le passé de notre famille devait rattraper l'une de nous, et ce fut elle qui dut porter le fardeau sur ses épaules. Le mal est quelque chose de terrible. ». Elle comprenait pourtant ô combien il était facile de se laisser attirer dans ses filets. « Son père et moi l'avons laissé partir mais je savais que nous ne pourrions pas lutter. Je ne l'ai pour ainsi dire plus jamais revu si ce n'est quelques apparitions soudaines, de quelques secondes, où j'ai cru apercevoir son reflet. ». Elle ne savait pas réellement pourquoi elle lui racontait cela. Peut-être parce qu'il était sans doute dans le même cas qu'elle ? « Mais peut-être n'est ce là que le délire d'une mère attristée de ne pas avoir su être à la hauteur ? ». Illithya regarda Azaël. « Il ne faut pas attendre d'être prêt pour s'occuper de ceux que l'on aime car... personne ne l'est jamais. Personne n'est parfait et je sais d'expérience que même les Ætheri ne le sont pas. ». Elle sourit. « J'essaye de me rattraper avec mes petits enfants, nous le dirons comme cela. ». Elle fit descendre l'un de ses doigts pour effleurer la joue du bébé. « Je m'appelle Mitsuko mais l'on préfère m'appeler par mon deuxième prénom afin d'éviter la confusion. Vous pouvez donc me nommer Illithya. ».

Elle se décolla du fauteuil pour marcher dans la pièce puis, après un petit silence, elle changea de sujet. « Ainsi donc vous partez ? Je serai curieuse de savoir ce qui vous a fait prendre une telle décision, celle de vous détourner des vôtres. Seulement, avant, j'aimerai savoir où est... ». Comment devait-elle la nommer ? Séléna, cela ne voulait rien dire à ses yeux. Il était évident qu'un tel nom n'était qu'une abomination. Séléna était Mitsuko. « C'est idiot je sais mais... Il semble que vous soyez le seul à avoir le privilège d'obtenir l'attention de ma fille... J'aurai aimé la rencontrer avant qu'elle ne parte de Bouton d'Or avec vous, ce morceau d'elle... ». Illithya baissa doucement les yeux, réfléchissant. « Écoutez, je sais que vous ne devez pas avoir le temps mais... ça se reproduira, forcément. Le mal... il finira par revenir la hanter, d'une manière ou d'une autre. J'aimerai pouvoir la préparer à cette éventualité. Jamais, par le passé, je n'ai eu le courage de le faire avec votre femme et elle... il était trop tard ensuite. Je sais ô combien nous sommes curieuses de génération en génération, ô combien nous aimons le danger et... la puissance. ». Elle s'approcha de lui, prenant sa main. « Je ne sais pas comment vous avez fait pour obtenir un lien de cette importance... ». Elle passa ses doigts sur la marque de son mariage. « … mais je suis certaine que si ma fille vous a épousé, c'est qu'elle croit en vous. ». Peut-être même l'aimait-elle. Illithya n'en savait rien. Cet homme était une énigme pour elle. La Magicienne avait toujours pensé qu'aucun homme ne pourrait jamais se tenir très longtemps auprès de Mitsuko, sous peine de devenir fou. Pourtant, le Réprouvé lui semblait ancré dans la réalité. Elle le lâcha. « Allez-y, je m'occupe de lui. Et puis, si jamais un jour vous voulez venir ici, je serai ravie de vous revoir. Azaël aussi. ».

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Ven 26 Fév 2016, 16:02


Le front froncer, perplexe et méfiant, Zéleph fixa la femme inconnue s’avancer. Son regard resté fixe, cherchant à lire quelque chose en elle. Il comprit vite de quoi il s’agissait, mais cela ne le rendit pas plus placide. Enfaite, se fut tout le contraire. Sa mâchoire se crispa, au son du nom de sa femme, ses yeux s’assombrir. Elle été sa mère ? Il n’avait jamais pensé rencontré l’un de ses parents un jour. L’idée même ne lui avait jamais traversé l’esprit. Il reconnaissait pourtant bien le trait de famille. Seulement, ce ne fut pas pour autant qu’il apprécier cette rencontre. Cela lui été même d’une indifférence profonde. Les choses été plus simple ainsi. Il avait appris à se détacher. C’était la meilleure façon de ne plu souffrir inutilement. Etait-elle entrain de se plaindre, au près de lui, du sort de sa fille ? Cherchait-elle la culpabilité ? Le pardon ? Ou bien simplement discuté. Zéleph l’ignoré, il imagina que ce fut un mélange de tout cela. Pensait-elle qu’il ignoré l’histoire de celle pour qui sa vie n’avait plu aucune valeur sans elle ? Aucun sens, ni couleur. Elle savait tout de lui, il savait tout d’elle. Cela avait fait partie des épreuves. Apprendre à se confier. Se comprendre, avant d’apprendre à aimer. Seulement, tout ça ne le concerné plu. Il avait passé, se qui lui semblait être une vie à essayé de l’aidé, a rassemblé les morceaux pour elle et tenté de le recollé. Il avait crue lui être redevable. Parce qu’elle l’avait aimé. Il avait crue qu’il lui devait ça, parce qu’il se sentait coupable. Coupable qu’elle, le seul soleil de sa vie, veuille bien lui offrir sa lumière. Zéleph le savait, il n’avait jamais mérité quelque chose d’aussi précieux. D’aussi fragile et beau que ce qu’elle lui avait donner. Il l’avait aimé, avec son âme, son cœur et son corps. Chaque partie de lui. Chaque cellules porté son nom.

Le réprouvé n’avait pas cillé, malgré les douloureuses pensés qui lui torturés l’esprit, il continua de fixer Illithya, impassible. En quoi ses choix personnel la concernait-elle ? Elle n’été personne pour lui. Il n’aimait pas la façon dont cette femme essayée de façon détourné d’en apprendre plus sur lui. Il été méfiant. Il ne faisait confiance à personne, et sur tout pas quand celle-ci porté le nom de Taiji. Tous des menteurs, manipulateurs et hypocrite. Sa femme la première. Peut être devrait-il arrêté de l’appelle ainsi. Peut-être leurs âmes étaient-elles liées pour l’éternité, même dans la mort, mais elle l’avait abandonné, alors il imaginer qu’elle ne se considéré plu comme tel. Une douleur forte dans la poitrine lui coupa le souffle un instant. C’était imperceptible, mais se fut le cas, car malgré tout, il ne pouvait se détacher de ses sentiments. Cette nanoseconde d’inattention permit à Illithya de passer outre ses défenses et lui prendre la main. Il la laissa faire avec perplexité. Elle cherchait à lui passer un message. Comme s’il devait être son devoir de protégé Séléna d’un futur aussi sombre que celui de Mitsuko. Seulement, s’il avait appris quelque chose c’était bien de ne rien faire. Tans de fois il c’était mit en danger. Tans de fois il avait subit l’agonie et l’horreur pour ses beaux yeux verts. Pourquoi ? Pour être humilié et rejeté. Illithya ne comprenait pas, elle ne pouvait pas comprendre. C’était trop dur. Il ignoré par quel miracle il avait survécu à cette douleur. Etait-il seulement vivant ? Non, il n’était plu que l’ombre d’un homme qui avait vécu jadis, comme dans un autre temps. « Non. » Il ne retira pas sa main malgré la froideur de se mot. Non, Mitsuko n’avait jamais crue en lui. Non, il ne la protègerait plu. Non. Tout simplement parce qu’elle ne l’aimait plu. Il s’en été persuadé et ça ne pouvait être autrement. Il ignoré pourquoi la marque c’était à nouveau éveiller. Se qu’il savait, c’était que Séléna ne serait jamais qu’un os à ronger. Tout ça, c’était du gâchis. Une vie entière, pour rien. « J’aimait vôtre fille, Illithya. Je l’aime plus que ma vie. Elle est le centre de mon univers. Bien qu’elle le cache, elle est trop fragile et précieuse pour se monde. Peut-être… est-ce la raison pour laquelle elle ma laisser. Parce que les sentiments son une faiblesse et que je sais comment l’aimer. Je sais comment la regardé, comment la touché, pour qu’elle ne vois plu que moi. Tout ce que j’ai fait, même mes erreurs, c’été pour elle. Et parce qu’elle n’a pas compris. Parce qu’elle refuse de comprendre, elle ma abandonner. La vrais force c’est celle que je lui ai donner. C’est ma faute. Je le sais et je suis puni pour ça. Séléna est peut être une partie d’elle. Seulement je ne l’aimerait jamais de la même façon. Si je l’aime, ce n’est pas pour se qu’elle est, c’est pour sa projection. Quelqu’un qui n’existe plu pour moi. »

Ses yeux descendirent sur sa marque. Elle chauffé légèrement sous ses mots. Comme pour le conforté, ou l’avertir. Il ne savait pas, il avait oublié les signes. Cela faisait si longtemps qu’elle été endormis. « Séléna ira bien. Si elle fait parti de Mitsuko, alors elle ira bien. » Il l’avait vu morte, il avait ressenti sa perte, une douleur si pure qu’elle été indescriptible. Les yeux rouge sang du réprouvé se plongèrent dans ceux de la jeune femme devant lui. Imperturbable, même nue devant ses vérités, il resté dur et froid. Parce que la cruauté de sa réalité été sans couleur, amer et violente. Il n’y avait pas de sentiment à mettre là de dans. A quoi bon mentir ?  Le temps c’été déjà dispersé, la douleur serait éternel. « Si vous devait craindre le mal, alors craignez moi. Parce que je ne la protégerais plu. Je ne ferrais plu semblant. Elle n’a plu rien à attendre de moi, et je ne me plierai plus à elle. Mitsuko à choisi son chemin, je prends le mien. Qu’elle m’envoi Séléna ou non pour me hanté n’y change rien. Elle me connaît, elle sait qui je suis. Elle me la envoyé en connaissant les risques. Oui, elle aime le pouvoir, le danger et la perte de contrôle. Mais elle préfère se créer un jouet pour assouvir ses penchant, et se préservé d’elle même, que de se risquer à perdre pied à nouveau. C’est lâche et pitoyable, mais ça lui ressemble bien. Alors non, Séléna n’est pas en sécurité avec moi. Oui, vôtre fille croit en moi. Elle veut jouer à des jeux pervers. Qu’elle ose l’avouer ou non, elle n’a aucun secret pour moi. Elle est corrompue par ses désirs, des désirs que j’ai créés. Ce n’est pas le mal qui à trouvé vôtre fille. » Il n’accusé personne, il disait simplement les choses tel qu’elles été. Illithya désiré savoir, eh bien elle aller être servis, car il n’y avait pas plus honnêtes et loyale que lui en vers la réalité. Quel soit douloureuse ou non, qu’importe puise que c’était vrais.  « Vôtre fille à le mal en elle, de puis toujours. Parce qu’elle est insoumise, elle aime l’immoralité pour se défaire des règles que vous lui avait instruite. Elle n’a jamais été sage, elle n’a jamais été gentille et douce ou bien élever. Elle est vicieuse, obscène et se complait dans la débauche. Je ne parle pas de plaisir charnel, je ne parle pas de vulgarité, je parle de sang et de douleur. Se qui lui plait chez moi, ce n’est pas la puissance, qu’elle se l’avoue ou non, c’est que j’ai su la confronté à sa réalité. Luxuriante d’intensité, de révolte ardente et de passion. Oui, elle a eu peur de sombré encore, de perdre le contrôle d’elle même et de se noyé dans l’obscurité. Seulement, voyez son incapacité a s’en détacher. Elle ne peu se résoudre à me perdre, parce que ce qu’elle aime c’est se qu’elle à trouvé auprès de moi. Elle aime la femme qu’elle vois à travers moi. Je laisserait Séléna se noyé dans l’immoralité, si tel doit être le cas. Je laisserait Mitsuko la regardé et profité du spectacle si cela l’amuse. Mais je ne lui donnerait plu le plaisir d’avoir un droit sur mon cœur. » Ses mots se faisaient plus dur, plus rauque sans qu’il ne puisse les contrôlé. Il été soudain envahir par la haine et les regrets.

« Qu’elle se confronte à nouveau à qui elle est, ça met égale. Je ne lui offrirais plu la satisfaction de lui appartenir, puise qu’elle ne m’appartient plu. Séléna vas certainement souffrir, et ça met égale. Je suis peut-être un monstre pour vous, mais vous ignorez totalement le mal que ma fait vôtre fille. Elle ne mérite plu ma compassion. J’ai été faible, trop tendre et attentif au moindre de ses chagrins. Je n’ai pas mérité se qui met arrivé. Qu’elle se complaise dans le mensonge si elle veut, mois je lis clair dans son jeu. Je ne m’agenouillerais plu devant elle, elle à perdu se privilège. J’ai sacrifier mon honneur et ma dignité pour elle. Je suis en route pour les retrouvés, et je ne la laisserais pas une nouvelle fois m’humilier. » Il n'était pas Jun. Il ne désiré pas la détruire par jalousie ou vengeance. Elle été sa vie, elle été tout pour lui. Il l'aimerai jusqu'à son dernier souffle et au dela si c'était possible. Seulement, jamais plu il ne la laisserait l'amadouer à nouveau et faire de lui cette sorte de loque. La puissance, il n'en avait rien a faire, il parlé d'amour propre et de dignité. Il été simplement question de ça.

Il baissa ses yeux sur son fils. Le fruit du danger. La faute été partager. Pour tout se qui été arrivé. Zéleph n’été pas stupide, mais son cœur été devenu froid et noir. Il n’était pas question de pouvoir, il n’été pas question d’amour ou de haine, il été question de peur. Mitsuko avait toujours eu peur, de lui et de se qu’il été capable de lui faire. Qu’elle l’avoue ou non, il été encore question de ça aujourd’hui. Il été en colère qu’elle préfère se mentir a elle même que d’être honnête pour une fois dans son existence. C’était une garce, et par tout les Dieux, qu’il l’aimait même quand elle le dégouté. Le réprouvé souri légèrement à Azaël. Trois enfants. Trois enfants qui devaient subir ça. Pour l’Aether de la justice c’était un comble. Il n’y avait aucune justice dans tout ça. Se détournant totalement d’Illithya, il s’accroupi a nouveau près de son fils. Le seul qui voulait encore le voir, le seul qui été encore trop jeune pour lui défendre de l’approché ou avoir envie de lui cracher au visage. « On se révéra, Azaël. » Dit-il avec douceur avant de se relevé. Il jeta un dernier regard à Illithya et dans un léger signe de tête la salua avant de se diriger vers la porte. « J’espère ne pas vous avoir écœuré de ma personne, je fait souvent cette effet là au gens. Quoi qu’il en soit… a bientôt, Illithya. » Il passa la porte, se confrontant au soleil éclatant des terres d’émeraude. Il se sentit étrangement soulager, comme si avoir déballé toutes ses vérité le libéré d’un poids.

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Mer 02 Mar 2016, 05:17

Illithya resta un instant à regarder la porte. Elle n'avait aucune idée de la façon dont elle devait réagir aux mots de cet homme. D'un côté, il connaissait mieux sa fille qu'elle, de l'autre, elle n'était sans doute pas prête à accepter que cette dernière soit telle qu'il la décrivait. Elle savait que le mal était terrible, elle qui était la seule femme bénéfique de sa lignée, mais tout de même. Dans le cœur de la Magicienne, tout était de la faute d'Aria. Pas uniquement, sans doute exagérait-elle. Elle s'en voulait cruellement d'avoir laissé sa fille partir, d'avoir laissé ce maudit Génie lui rendre visite. Elle soupira. Elle n'avait pas le cœur à sourire mais, au moins, il ne lui avait pas dit adieu. Il reviendrait. Peut-être sa vision des choses aurait changé à ce moment là ? Peut-être pourraient-ils discuter un peu plus ? « Il n'a pas tort. ». La Magicienne se figea. Elle n'osait pas regarder de peur de s'apercevoir qu'elle rêvait encore. « Je ne viens pas pour avoir une longue conversation avec vous. Réfléchissez à ce qu'il a dit, vous saurez trouver seule une part de vérité, celle qui vous conviendra le mieux. Je ne suis plus votre petite fille et l'admettre sera déjà un progrès considérable. ». « Je le sais. » fit la blonde aux yeux bleus en se retournant, légèrement crispée. « Mais j'avais cru que lorsque l'humanité vous avez... ». « Le bien m'ennuie, mère. Il me fait devenir ce que je me refuse d'être. Séléna est morte et fait à présent partie du peuple angélique. Souhaitez-vous prendre des paris avec moi ? Allons, parions ensembles. Cette fois, Naram-Sin ne sera pas là pour noircir son cœur et, pourtant, je vous garantis qu'elle ne mettra guère longtemps à comprendre que la naïveté et la gentillesse ne sont qu'angoisses et déceptions. Zéleph pense qu'elle va souffrir mais qu'il ne parte pas si sûr de lui. ». La Magicienne refusait d'entrer dans le débat. Elle ne voulait ni parier ni écouter ceci plus longtemps. « Pourquoi êtes-vous là ? ». Mitsuko sourit, se redressant doucement dans la chaise sur laquelle était assise, regardant un instant Azaël. « J'ai pris une décision qui pourrait... me coûter très cher. La mort, je ne pense pas mais lorsque l'on est Æther, l'on sait pertinemment qu'il y a mille moyens plus terribles que la mort pour punir quelqu'un. Si ma décision est la mauvaise, il ne fait aucun doute que la punition sera à la hauteur de mes prétentions. Comme Zéleph l'a dit, il ne viendra pas me sauver. ». Azaël sourit. « J'ai choisi délibérément un camp que j'estime perdant d'avance, je ne le nierai pas. Pour moi, nul ne peut lutter contre le Créateur. L'homme qui vient de sortir m'a décrite comme insoumise et il s'agit bien de cela. Sympan est puissant, il ne fait aucun doute. Pourtant, je préfère l'affronter car j'ai toujours voulu me mesurer à plus puissant que moi. Ça ne changera pas. ». La Magicienne ne disait rien. « Alors je veux simplement m'assurer que vous veillerez sur mes enfants et que, si les Ætheri perdent la guerre qui se profile à l'horizon, vous lui donniez ceci. ». Elle fit apparaître une boîte à musique. « Il a dit qu'il reviendrait. Vous lui confierez à ce moment là. ». Elle attendit que sa mère acquiesce, sourit, puis disparut en laissant l'objet sur la table basse.

Dehors, Düst attendait Zéleph. Il avait réuni quelques hommes afin d'expliquer à tout le monde la situation. Quand il le vit arriver, il lui fit signe d'avancer. Les Réprouvés semblaient à la fois troublés et honorés. Voir les deux hommes ensembles était quelque chose d'intéressant, mais vraiment étrange. « Ils sont les plus puissants guerriers de Bouton d'Or. ». « A l'exception de... ». Le regard de Düst fit taire l'homme. Ce n'était pas le moment de parler d'elle. Il ne connaissait pas tellement les relations entre le père et la fille mais quand il parlait avec la jeune femme, il voyait bien que ça la tourmentait. Parfois elle était peinée de ne pas avoir une relation avec lui, d'autres fois elle avait juste envie de lui faire manger son sabre. Quoi qu'il en soit, le Roi avait l'impression de lui servir bien plus de père de substitution que d'époux. Vu le comportement de l'ancien Seigneur des Deux Rives avec Azaël, il n'osait imaginer ce qu'il se passerait avec Erza mais il était pratiquement sûr qu'il la retrouverait ivre morte quelques heures plus tard. « Hum. Comme vous le savez tous, les Démons menacent nos terres. Ce n'est pas la première fois et ça ne sera pas la dernière. Seulement, la plupart des hommes n'ont pas le moral depuis les apparitions de celui que l'on nomme Delta. Le futur s'annonce sombre et bien que j'ai confiance en vous tous pour mener les troupes, j'ai demandé à Zéleph de venir vous diriger. Considérez le à présent comme votre supérieur. Obéissez lui comme vous m'obéirez. ». Düst ne resterait pas à Bouton d'Or. Stenfek était tout autant menacée. Il tourna les talons après un bref signe de la tête. Une fois à la hauteur du Réprouvé, il le regarda. « Je compte sur toi pour les réduire en cendre s'ils osent approcher. ». Puis, il se dirigea vers la maison qu'il avait quitté plus tôt afin devoir avec Illithya quelques détails. Il doutait qu'elle souhaite que Zéleph vive là mais il pouvait toujours demander. La maison était plutôt grande. Il n'était pas non plus certain que l'homme accepte la proposition. Quoi qu'il en soit, il ferait le nécessaire pour trouver un logement décent pour l'ancien Roi.

Dehors, comme une piqûre de rappel, l'épée que Séléna avait trouvé dans son lit fendit l'air, se plantant à un millimètre de la chaussure du Réprouvé. Un peu plus loin, un chaton blanc était assis sur un petit muret. Il était hors de question que les Démons détruisent ce village, il lui était trop cher.

1003 mots

Désolée pour le retard mon lapin xD Du coup euh... On fait comme tu veux. En fait je ne sais pas si tu as déjà écrit ta mission de 1800 mots ou pas mais je me dis... ben écoute, soit tu finis tout en solo, soit je peux rester ici le temps que Zéleph entraîne les hommes (avec Mitsu bWAHAHAHA), soit on peut faire la guerre ici... Enfin, comme tu veux. T'façon faut trouver un truc pour continuer ton test o/ Comme tu préfères <3
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Mer 13 Juil 2016, 20:35


Les jours son passer. Bouton d’or c’est rétabli après l’attaque. Zéleph reparti pour le Hédas, laissant derrière lui le souvenir d’avoir été un jour le seigneur d’un peuple entier. Laissant une vie entière. Il n’avait aucun regret. Jamais il n’avait pensé survivre si longtemps. S’il devait être honnêtes, il y a quelques années il n’était encore qu’un vagabond peureux et faible.  Peut être, parfois était-il nostalgique. Nostalgique d’un temps où aucune responsabilité ne pesé sur ses épaules. Puis il se rappelait la faim, puis le froid. La difficulté d’une vie dur et rude. Non, il n’était nullement nostalgique, mais cela ne l’empêcha pas de sourire doucement. Tout était derrière lui, maintenant il pouvait essayer d’avoir une vie correcte, sans rien avoir à devoir à personne. Bien sur il lui restait des problèmes a réglés, beaucoup de problèmes, mais au moins il pouvait ce libéré des obligations de son peuple et ça c’était énorme pour lui. Enfin libre.

Assit au bar de la taverne du Hedas Zéleph regardé légèrement absent les enfants jouer autour des tables. Leurs parents corbeaux riant ensemble, jouant avec eux, buvant. Femmes, hommes, toutes races, tout âges. Il était bien ici, parce qu’il n’y avait pas de jugement, pas de différence. Il aurait souhaité vivre ici de puis toujours. Il aurait voulu être un corbeau bien avant. Seulement avant il avait était tout autre chose et ça n’était pas plus mal. Cela avait fait de lui ce qu’il était aujourd’hui. Mais qu’était-il aujourd’hui ? Nissa lui servit une nouvelle bière, lui offrant un clin d’œil en riant avant d’aller servir un autre corbeau. Prenant une gorger il esquissa un sourire. Oui, il était bien ici. Les gens le considéré sans l’idolâtré sans raison et c’était bon pour une fois, d’être juste apprécier à sa juste valeur. Il n’avait pas besoin d’être roi, d’être un héros ou un dieu pour être heureux. Il n’avait pas besoin de gloire ou d’or. Il voulait simplement vivre paisiblement au milieux de gens comme lui. Vivre et non plu survivre. Rien ne pouvait dire qu’il y arriverait. Non enfaite tout était plutôt contre cette idée. La douleur incessante, cette souffrance profonde qui le torturai chaque jour ne s’effacerait jamais, mais il voulait croire qu’il arriverait à la faire taire et à vivre avec.

Levant les yeux il croisa à nouveau le joli regard de Nissa, qui tout en essuyant ses verres, lui offrait son sourire enjôleur. « La fille qui te cherchait ce matin Zéleph, elle a fini par te trouvé ? » Le réprouvé se redressa légèrement. « Vue ta tête j’imagine que non. » Ricana la jeune humaine. Elle passa à un autre verre, continuant de parlé distraitement au réprouvé, qui écouté avec attention. « Elle était plutôt charmante. Elle avait l’air déterminer. Un beau brin de fille. Pas plus vieille que moi. » Elle se mit à rire. « Enfin, je suis humaine donc j’imagine que je ne peux pas dire ça en parlant d’une réprouvé. » Cette fois Zéleph piqua complétement. « Une réprouvé ? » « Oui, enfin je pense. Quand je lui ai dit que tu n’étais pas rentré de ta chasse aujourd’hui elle à dit quelque chose dans une langue, que je jurerais être du Zul’dov. » Il se redressa complétement intéresser. Pourquoi un réprouvé viendrait le chercher ? Ça ne pouvait pas être Erza, elle ne voulait plu entendre parler de lui, ce qui lui paraissait normal. Puis si ça avait était sa fille, quand il était rentré de sa chasse il aurait trouvé la taverne sans dessus dessous, il n’en douté pas une seule seconde. « Peut-tu me la décrire ? » « Oui, elle était brune, ou… châtain foncé. De toute façon elle avait des cheveux magnifiques si tu veux mon avis. » « Nissa… » « Pardon, pardon, mais c’est important pour une femme tu sais. Bref ! Elle était assez grande, plus que moi en tout cas. Elle était fine, mais forte, elle transpiré la force. Ses yeux étaient verts. Elle avait un air très fermer, mais elle dégager quelque chose de … d’intense. Honnêtement, elle avait la prestance d’une reine, pourtant elle était habiller de vêtements de peut de qualité. » Cela ne disait rien du tout au chasseur. « Elle à dit ce qu’elle voulait ? » « Non, mais elle avait l’air très déçu que tu ne soi pas là. » C’était étrange. Très étrange. « Merci Nissa. »

Zéleph aller se lever pour partir, déposant ce qu’il devait pour les boissons sur le bois du bar. Avant qu’il ne parte, Nissa le stoppa une nouvelle fois. « Attend ! Elle avait un tatouage aussi, sur le bras. Une sorte de tatouage avec des formes étranges. Le genre de tatouage de guerre que vous faites dans vôtre peuple. » Il acquiesça simplement, souri a l’humaine et sorti de la taverne. Il ce demandé bien qui pouvait le chercher jusqu’ici, mais il ne s’inquiéta pas plus que ça, imaginant que ça ne devait pas être aussi important que ça.

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Mer 13 Juil 2016, 21:09


Quand il sorti dans la cour, il fut pratiquement fauché par les chiens des traqueurs qui visiblement s’étaient libéré de leur enclos. Tammy, le jeune garçon prédisposé à les gardé, les suivant en courant et criant. En passant a coté de lui, le garçon le salua d’un signe de la main presser. « Désoler M’sieur Zéleph ! » Le réprouvé ricana, ce passant naturellement une main dans les cheveux. Le pauvre Tammy va avoir de sacret problème s’il ne rentre pas tout de suite les chiens, du moins avant que les maitres traqueurs ne se rendent compte du carnage. Trop tard. Du coin de l’œil Zéleph aperçu Théodoron furieux. Même muet, Zéleph entendait l’alfar hurlé de fureur contre Tammy. Ricanant, du malheur qui n’était pas le sien, il reprit sa marche, simplement pour se promener et fumer un peut. N’avait-il pas fait un pas, que quelqu’un lui rentra dedans, troublant sa promenade une fois de plus. « Ouff ! Je suis désolé. » de justesse, le réprouvé réussit a ne pas tombé, le choque fut puissant. S’assurant de sa stabilité, il leva les yeux sur la raison du choque.

Une jeune femme, grande, brune, le fixer des ses yeux verts. Exactement comme Nissa avait décrit la fille qui l’avait cherché le matin même. Elle semblait troublée, voir même incapable de faire un geste. Cela rendit Zéleph légèrement mal à l’aise. Il décida au bout de quelque seconde de silence gênant de ce raclé la gorge. « Oui ? » Apparemment le son de la voix du réprouvé éveilla la demoiselle de sa trance. Elle recula d’un pas, baissant les yeux, ce frottant la nuque l’air réellement embarrasser, dansant d’un pied sur l’autre, cherchant ses mots. « Je… J’ai… » Zéleph n’allait pas attendre toute une vie que cette fille ce décide a lui dire ce qu’elle lui voulait. Il n’avait ni la candeur, ni la patience d’attendre. Il la contourna alors, pour continuer son chemin. Ce redressant surprise, la jeune fille, ce mit à le suivre. Apparemment elle avait repris son calme, mais était toujours nerveuse, car ils marchèrent l’un a coté de l’autre pendant plusieurs minutes sans qu’aucun mot ne soi échanger. Cela ne dérangea pas Zéleph, et au final ce silence fut confortable pour elle aussi.

Après un moment a marché, le réprouvé s’assit sur un petit muré, ses yeux se posant sur Tammy qui essayé encore, au loin, de géré les chiens lâchés, mais cette fois avec l’aides des corbeaux. La mystérieuse fille fit de même. Au bout d‘un certain temps, elle eu le courage de parlé. « J’aimerai devenir un corbeau. » Un temps de silence sans réponse de la part du chasseur. Alors elle continua. « Je me demandé si… vous voudriez être mon mentor. » Sa voix était calme. Si elle était nerveuse, elle ne le laisser pas paraître. C’était une preuve de contrôle de soi intéressant. Zéleph savait qu’a présent en temps que corbeau, il devait comme les autres accepter de prendre un apprenti. Seulement il avait le droit d’accepté qui il voulait et de refuser également de la même façon qui il voulait. Il ne c’était pas déranger d’ailleurs de puis quelque jour. Personne ne lui avait tapé dans l’œil et souvent il savait que les futurs apprentis ne chercher pas de mentor longtemps. « Je ne prend personne. » dit il simplement, avant de ce lever et de quitter le muret pour retourné dans le bâtiment.

La jeune fille, le suivit un instant avant de s’arrêter. Le réprouvé esquissa un sourire. Aucun n’avait ce quelque chose qui faisait qu’il pouvait devenir son apprenti. Il ne cherchait pas de garçon ou de fille exceptionnel, il désirait simplement trouver une personne qui aurait l’enthousiasme, mais sur tout les tripes pour devenir meilleur qu’importe l’épreuve à enduré.

Ce soir la quand il rentra dans la taverne pour manger, il fut surpris d’apercevoir la jeune fille assise a une table qui manger tranquillement. Zéleph fronça légèrement les sourcils, ce demandant ce qu’elle faisait encore là. Peut être avait elle trouvé quelqu’un d’autre. Il s’assit a une table avec ses vieux camarade, Nissa vin rapidement le servir. « Alors tu as vue la fille ? Beau brin de femme ! Qu’est-ce qu’elle te voulait ? » « Etre mon apprenti. » « Ah oui ? Et alors ? » Nissa avait l’air très intéresser par la réponse, Zéleph haussa juste les épaules pour lui signaler qu’il ne l’avait pas accepté. L’humaine croisa simplement les bras sur sa poitrine. Son regard réprobateur força Zéleph à se justifier, même s’il ne su pourquoi. « Elle a du trouvé quelqu’un d’autre si elle est ici. » L’humaine fit signe que non de la tête, et pointa le tableau des corbeaux. « Personne aujourd’hui n’a mit son nom en temps qu’apprenti. Cette fille n’a personne. » Récupérant son plateau vide, elle lança par dessue son épaule en partant. « Elle doit vraiment vouloir que ça soit toi. »
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Mer 13 Juil 2016, 23:41


« Encore-là ? » « Oui. »  La jeune fille s’assit au bar et Nissa lui servir un repas en lui souriant. Zéleph en fasse, regarda cette gamine manger en silence. Elle ne posa pas à un seul moment es yeux sur lui, alors il fini son assiette. Lui non plu ne disant mot, écoutant seulement Nissa chanté distraitement en servant le reste de sa clientèle a plume. La mâtiné passa lentement. Zéleph accompagna Atax pour dépecé des bêtes, le tanneur avait besoin des peaux et Cruella voulait récupérer les organes. La fille le suivit tout le temps. Sans jamais dire quoi que ce soit. Elle était discrète, elle ne l’embêté nullement alors il ne releva à aucun moment. Atax ricana un peut, puis très vite l’oublia lui aussi. Zéleph ce dit qu’elle finirait bien par abandonner. Cas un moment ou un autre elle partirait. Seulement elle était là tout le temps. Par fois il oublier sa présence, mais au bout de deux jours il commença à se dire que peut être, elle en avait plus dans le ventre qu’il le pensait. Les jours se transformèrent en semaines. Jamais aucun mot ne fut prononcé entre elle et lui. Elle commencer à rendre les corbeaux nerveux à être ici sans être une apprentie. Personne ne comprenait pourquoi Zéleph n’accepté pas ou pourquoi elle n’abandonner pas. Il semblait que ce soit devenu un combat de nerf.

Un jour alors que le réprouvé rentré d’une chasse, où bien évidement la fille ne pouvait l’accompagner, il pleuvait des cordes. D’habitude, et on pouvait parler d’habitude après plusieurs semaines, elle l’attendait assise devant la porte du Hédas en aiguisant son couteau. Seulement, cette fois il ne la vit pas. Il se surprit à la chercher du regard, à s’inquiéter. Il demanda à Hyst le gardien, à Nissa et même à Greg le forgeron et ses fils. Personne ne l’avait vue, pourtant elle était devenu un visage familier maintenant. Zéleph soupira une fois devant sa bière, a labris dans la taverne. Il n’arrivait pas à se détendre. Il n’arrêter pas de se demander où elle pouvait être passer, et il s’inquiéta même qu’elle soi reparti chez elle. Il se souvins alors qu’il avait dit à Théodoron qu’il pensait revenir par la porte arrière s’il avait une grosse cargaison, car elle était plus proche du porche. Sans attendre il se leva et courra presque jusqu’à dehors, sous le regard perdu des autres corbeaux.

Marchant jusqu'à la porte arrière, il la vit. Debout dans la boue et sous la pluie. Elle tremblé de froid, mais tenait sa position. Droite et fière. Cette fille n’était pas commune. Elle n’était pas comme les autres. Zéleph esquissa un sourire en s’approchant, passant la jeune fille au nom toujours inconnu sous le parapluie qu’il tenait. Elle leva son regard vers lui surprise, puis lui souri doucement. Il répondit simplement d’un petit hochement de tête. L’un comme l’autre n’était pas très bavard et ça lui allait, car de manière surprenante ils se comprenaient. Elle lui ressemblait beaucoup, c’était surprenant. Ils restaient dans le froid encore quelque minute. Juste ainsi, sous la pluie, a regardé le chemin quitter le Hédas. Après un moment ainsi, ils rentrèrent ensemble à la taverne. Ils burent un lait chaud offert par Nissa, non sans un sourire et un clin d’œil a l’attention de Zéleph. Ils m’engèrent, ne ressentant toujours pas le besoin de parlé. Quand soudain, proche d’elle ainsi, le réprouvé remarqua quelque chose d’étrange. « Tu n’est pas réprouvé. » C’était un constat, pas un reproche et la jeune fille se contenta d’acquiescer. Le regard de Zéleph resta sur elle, insistant la poussant a développé. « Ma mère était humaine. » Au passer ? Elle a donc perdu sa mère. Même si étrangement il ne pouvait plu en dire autant, Zéleph comprenait. Il supposa que son père avait du l’éduqué, et donc cela expliquer qu’elle parle Zul’dov, bien qu’il ne l’a pas entendu dire un seul mot dans sa langue, mais effectivement il avait pu voir ses tatouages et ils étaient tous d’influence réprouvé. Alors il acquiesça et ce remit à manger.

A la fin du repart, Zéleph ce tourna simplement vers elle. « Ton nom ? » Calmement, elle leva les yeux et lui répondis de la même façon. « Ethen. » Sans rien ajouté, Zéleph ce dirigea vers le tableau des corbeaux, puis ajouta le nom de Ethen avec le sien, avant de ce détourné et de sortir de la taverne sous le regard médusé des autres, et sur tout celui de la principal intéresser. Elle sourit alors, avant de se lever à son tour et d’aller demander un lit libre dans les dortoirs. Jusqu’ici elle avait dormi avec les chevaux ou les chiens dehors, maintenant elle pourrait enfin dormir dans un vrai lit. Son dos allait lui dire merci, et elle en était presque plus heureuse que d’avoir enfin réussit à faire craqué son, maintenant, mentor.
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Jeu 14 Juil 2016, 00:10


Le jour suivant Zéleph ne su quoi faire de son apprentie. Maintenant il était mentor et il n’aimait pas cette idée. Etre responsable de quelqu’un d’autre que lui, de l’avenir de quelqu’un d’autre, ça lui parut une très mauvaise idée. Seulement, il était trop tard. Il était aussi trop fier pour admettre qu’il ne se sentait pas à l’aise avec l’idée. Il était Zéleph Stark, une fille humaine de surcroit, ne pouvait pas l’effrayait. Seulement ça n’était pas elle le problème, c’était l’idée qu’elle dégager. Pour son plu grand plaisir, elle était calme et taciturne, autant dans son propre univers que lui dans le sien. Ça ne faisait pas des repas agités, ni des activités ennuyantes, c’était juste paisible.

Ethen passait beaucoup de temps a médité. Il s’en rendait compte maintenant. Pendant qu’elle faisait cela, il s’allonger dans l’herbe, a coté d’elle et médité a sa façon, dormant tranquillement. Chacun respecter le rythme de vie de l’autre. C’était assez étrange, car Zéleph n’avait pas l’habitude d’être tout le temps avec quelqu’un, mais c’était son nouveau devoir. Il imagina un emploi du temps. Le matin serait pour la théorie, l’après midi pour la pratique. Il n’avait pas à la former chaque jour, Ethen c’étant inscrit a plusieurs cours que délivrais le Hédas pour ses apprentis. Seulement, tout les soir, lorsque le soleil commencer a se couché jusqu’à ce qu’il disparaisse, il l’entrainait au combat avant d’aller manger.

Au début sa stature était correcte mais pas parfaite, elle tenait bien ses armes, mais manquer d’assurance dans ses coups et sur tout d’anticipation. Pourtant on sentait qu’elle savait se battre, pas a un niveau où elle survivrait si on la laissait chasser seul, ou si on la lancer dans une bataille, mais elle avait des bases et sur tout un fort mental. Ce n’était pas un fardeau de lui apprendre, contrairement à ce qu’il avait crue. On ne pouvait pas dire que c’était un plaisir non plu, mais du moins ça ne le gêner pas, parce qu’Ethen était une bonne élève. Elle ne rechigner jamais, et si elle se mettait en colère ce n’était jamais contre lui c’était contre elle même. Ca c’était signe d’une bonne frustration, d’un bonne esprit. Le problème d’Ethen c’était son besoin de ce surpasser et de ne jamais abandonner. Dans le fond c’était une bonne chose, mais a force elle finissait pas ce blesser. Au bout de la trentième mise a terre, le nez en sang et certainement une cote cassée, car Zéleph n’y allait pas de mains morte avec elle, il décida qu’il était temps d’arrêter. Même si elle rechigna, il lui ordonna de ce reposé pendant au moins trois jours, et lui interdit de faire aucune activité physique. Elle était humaine, il ne devait pas l’oublier. Elle pouvait devenir très forte, mais en attendant si elle cicatrisé mal ça serait vrais problème.

Après être passer chez le soigneur et s’être fait soigner, elle alla directement s’écrouler dans son lit. Zéleph la suivit du regard quand elle monta les escaliers, s’assurant qu’elle ne retourné pas s’entrainer seule pendant la nuit, comme il savait qu’elle le faisait parfois. « Tu te soucie d’elle. » Le réprouvé se tourna vers Scaldis qui ce diriger vers la taverne et c’était arrêté en chemin quand il avait vue Zéleph. Pour toute réponse le chasseur haussa les épaules avant d’essayé d’échapper a toute discussions gênante et de se diriger vers la taverne. Pas de chance l’orisha ne l’entendait pas de cette oreille et le suivit, l’attrapant sous le bras en ricanant. « Avoue-le, il n’y a pas de honte a ça. On s’attache tous ont nos apprentis, et puis ils deviennent nos camarades. » Ils prirent place a une table avant d’être servit par Nissa. « Cette gamine, elle a du potentiel. Tu as le droit de d’inquiéter pour elle, elle mérite que l’on s’intéresse. Je suis contant que tu es fini par craqué. Elle a passé trois semaines à dormir dans le froid dehors et a attendre sans dire un mot. Elle est impressionnante si tu veux mon avis. Tu devrais être fière d’être son mentor, plutôt que faire cette tête. De plus je l’ai vu à l’œuvre, elle se débrouille bien, et dans toute les matières de l’école. Honnêtement, je ne sais pas pourquoi elle te voulait toi comme maitre. Tu es l’un de nos plus jeunes corbeaux. Avec un potentiel pareil elle aurait dû choisir des corbeaux plus vieux, peut être même des maitres. »

Scaldis avait raison, même si Zéleph ne voulait pas l’admettre. Ethen était une gamine d’exception et il était surprenant qu’elle l’ais choisi lui plutôt qu’un autre, avec autant de ferveur. Il espéré être a la hauteur, mais il ne pouvait pas avoué ses craintes a quiconque de peur que l’on se moque de lui. Il était Zéleph, craindre de ne pas y arriver ça n’était pas dans sa nature, et pourtant …
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Jeu 14 Juil 2016, 00:39


Plus le temps avancer et plus il se rendait compte que la crainte qu’il avait était bien plus profonde et encré qu’il ne l’avait crue. Elle reflété quelque chose de plus fort que simplement l’échec d’être un mauvais mentor. La vérité c’était que cela reflété la peur du mauvais père qu’il avait était. Ethenlui faisait confiance pour sa formation. Une formation qui l’aiderait a resté en vie. Ça n’était pas n’importe quoi, on parlait d’un future très proche et de quelque chose qui pourrait lui couter la vie. S’il échoué ça n’était pas son existence qui était mise en jeux, mais celle de son apprentie. Il était terrifié par l’idée d’être un mauvais mentor, comme il était un mauvais père. Oui, peut être c’était-il pris d’affection pour Ethen durant ces derniers jours. Peut être, qu’il avait peut qu’elle soi déçu. Il avait peur qu’elle aussi comprenne qu’il n’était pas celui qu’elle pensé et qu’elle lui tourne le dos.

C’était stupide, parce qu’au fond, elle n’était qu’une étrangère. Elle n’était pas sa fille ou même quelqu’un de vraiment proche. C’était juste une fille qui devenait adulte et qu’il devait aider a rentré dans ce monde, ce monde si dangereux et délusoire. Soudain une forte douleur le lança sur le coter du crane, et quand il rouvrit les yeux en ce tenant la tête, il vit Ethen le fixer. Elle souriait a moitié, mais il lisait aussi l’appréhension dan ses yeux et il rit. Oui, il ce mit a rire simplement. Il c’était laisser distraire et elle l’avait frappé. Fort, assez pour réellement lui faire mal et maintenant elle s’en voulait, mais elle était aussi fière, ça se voyait et lui aussi ressenti de la fierté. « On dirait que tu progresse. » « Oui, on dirait. » Elle lui sourit et il la regarda ranger les affaires d’entrainement. Elle avait ce sourire calme et retenu. Nissa avait raison, quelque chose en Ethen donnait une impression impériale. Elle avait un fort charisme, elle était adroite et intelligente. Pourquoi était-elle ici chez les corbeaux ? Au final Zéleph ne c’était jamais posé la question, et soudain la curiosité le prix.

Cette fin d’après midi là, il lui apprit a dépecé un cerf chasser dans la mâtiné. Il fallait commencer par les animaux avant de s’attaquer a des gibier plus gros et dangereux. C’était une base, et Ethen débrouillé déjà très bien ne chasse des animaux et en dépeçage. Le soir, une fois attablé a la taverne, Zéleph laissa la question qui lui bruler temps les lèvres lui échapper. Ethen leva un regard surprit sur lui, comme si elle ne c’était jamais attendu a ce que quelqu’un lui pose un jour cette question. Ou peut être que ce qui la choqué autant était le fait que ce soit lui particulièrement qui engager la conversation ? La réponse n’en fut pas moins décevante. Elle retrouva son visage impassible, et avant de reprendre une boucher de son ragout, dit simplement. « Mon père est un corbeau. »

Cette phrase le hanta toute la nuit. Il n’arriva pas à trouver le sommeille cette nuit là, et cela n’eu rien a voir avec le ronflement de Tarnis.  Zéleph ne demanda jamais de qui Ethan parlait. Il avait peur de la réponse. Si son père était un corbeau, elle aurait certainement souhaité être son apprenti. Peut être était-il mort ? Non cette fois elle avait parlait au présent, pour sa mère elle avait parlé au passer. Ce genre de nuance faisaient toute la différence. Son père était en vie. Son père était un réprouvé. Seulement ça n’était pas son père qui lui avait appris a parlé Zul’dov, ça n’était pas non plu son père qui l’avait éduqué. Son père était ici. Là mais pas vraiment car personne n’avait jamais vu cette fille avant qu’elle ne vienne pour lui.

Et là il fut pleinement conscient des choses. Elle était venue le voir lui et seulement lui. Elle avait demandé a Nissa des renseignements, elle avait attendu dans le froid, sous la pluie, des nuits durant, pour lui. Ce matin là, quand ils m’engèrent avec les autres, le silence entre eu n’était pas confortable comme a l’accoutume. Pour Zéleph il était insupportable. Heureusement, Cruella toujours aussi curieuse et sur tout s’intéressant enfin a Ethan alors qu’elle l’avait ignoré de puis dés semaine, imaginant que Zéleph finirait par l’abandonner, fit ce que lui était incapable de faire. Elle la questionna sur sa vie. Apparemment le vampire se disait que si Zéleph la trouvé assez intéressante pour la gardé jusqu’ici, il était peut-être temps de faire un effort. « Tu vivais où avant ? » « Bouton d’or, avec ma mère. » « Elle doit être malheureuse que tu soi partie. » « Non. Elle est morte. » « Oh… je suis navré. » Ethen ne répondit rien, ce contentant de continuer son repas. Cruella, bien que sans gêne, ressentit le besoin de ne plu lui posé de question, lancent un autre sujet de discutions, sur la saison des amours d’on ne savait qu’elle créature ressèment découverte a Taelora.
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Jeu 14 Juil 2016, 01:04


Il le savait maintenant. Il n’y avait aucun doute. Ethen était sa fille. Il avait beau ce le tourné dans tout les sens, les peuvent étaient accablantes. Son père était un réprouvé. Ça ne pouvait être que lui. Qu’elle âge avait-elle ? Il avait du mal a estimé. Il était réprouvé chez lui l’âge était quelque peut superflu à partir d’un certain temps on n’y fait attention. Pour un humain c’était important, c’était même plus important que l’or souvent. Le temps était un fléau chez les mortels. Dans ce sens là, au moins Zéleph pouvait dire qu’il était immortel, il ne mourrait pas a moins que quelqu’un ne lui plante une dague dans le cœur, ce qu’il ne ce souhaité pas. Ethen n’avait pas remarqué le changement dans le comportement du réprouvé. Ou si elle l’avait fait, elle ne le montré pas. Il lui en était reconnaissant si c’était le cas, car pour lui c’était embarrassant.

Pour être tout a fait honnête, il était un fait qu’avant d’épousé Mitsuko il avait beaucoup, beaucoup couché. Avec un nombre de femme qu’il ne pouvait pas calculer. Non pas, parce que le nombre était aussi incroyable que ça, non, c’était sur tout, eh bien, parce qu’il n’avait pas compté. Disons les choses. A une époque, Zéleph n’avait cas posé les yeux sur une femme pour qu’elle ce jette dans ces bras. Il vivait dans un bordel où l’alcool et la drogue couler a flot. Alors oui, il c’était déjà imaginer qu’il avait beaucoup d’enfants. Beaucoup plus qu’il ne l’imaginer et qui vivaient sans savoir qui il était et lui sans savoir qui ils étaient. Vue de cette façon ça ne paraissait pas si incroyable que Ethen soit sa fille. Manquer simplement son âge pour être certain de ses déductions, mais là encore comment être sur. Sur les terres du Yin et du Yang, le temps ne passait pas de la même façon par tout, alors là encore se serait une preuve un peu flou.

Zéleph pensait devenir fou, au point où il fini même par en parlé au Maitre Ashar. De bon conseille celui-ci l’incita simplement a posé directement la question à Ethen Elle était une bonne fille, lui avait-il dit, et que si c’était le cas elle lui dirait simplement la vérité et tout serait fini. Seulement voilas, non, parce que Zéleph n’était pas un bon père. Il en avait rêvé, avait essayé et a chaque fois se fut un lamentable échec. Ça risquer de gâcher la relation qu’ils avaient. Du moins le semblant de début de relation qui était déjà beaucoup plus fort que ce qu’il avait avec Erza. Par tout les Dieux, et si Erza l’apprenait ? Serait-elle furieuse contre lui qu’il noue des liens avec une fille qui n’était même pas du même sang que sa mère ? Et sa mère ? Non, au final, ça, ce n’était pas le plus grave, après tout, elle avait bien des enfants avec tout le monde alors pourquoi pas lui. Oui, pourquoi devait-il s’inquiéter de tout alors que les autres, eux, ne s’inquiéter jamais de ce qu’il pouvait bien penser ? En réalité la seule pour la quel il fut désolé fut bien Erza, tout ce qui était arrivé n’avait jamais était que de sa faute a lui et a personne d’autre. Il était honnête et reconnaissait ses tors. M’enfin, ses erreurs avec elle, ne devait pas se reproduire sur Ethen. Ethen avait aussi le droit d’essayé d’avoir un père et peut être qu’il était temps de changer les choses et de les rendre meilleurs.

Voilas, c’était sa chance, une chance qu’il ne devait pas laisser passer. Si Ethen était sa fille, il devait s’en assurer et faire ce qu’il fallait pour elle. Quand bien même il n’était pas obligé de lui demandé, il le savait, il en était persuadé et pout être tout a fait honnête avec lui même il en avait eu la sensation dés le premier jour. Il trouvé ça amusant. C’était la première fois qu’il ne craignait plu d’admettre ce genre de vérité qui avant l’aurait terrifié et plonger dans le dénie. Peut être que l’on appeler ça la maturité. Il était peut-être temps d’atteindre ce cap après presque deux siècle d’existence. Il croisa le regard vers de Ethen et lui sourit. Elle lui sourit en retour et reprit ses exercices. Non, ce n’était pas le même vert, elle était définitivement la fille d’une autre femme, une femme parmi tans d’autre, mais il n’était pas juste que Ethen subisse les erreurs qu’il avait pu commettre à cette époque. L’époque où il coucher avec des femmes au yeux vert a défaut d’avoir celle qu’il désirait vraiment. C’était si égoïste. Voilas comment ont fini avec autant d’enfants qu’on as amasser de cadavre.

Ethen s’arrêta un instant pour respiré et Zéleph en profita pour lui apporter de l’eau. Il n’y avait pas besoin de grand chose pour finir. Simplement ce genre de chose. Faire ce qu’elle attendait de lui. Etre son mentor, si c’était ça qu’elle voulait, il pouvait bien le lui offrir.
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Jeu 14 Juil 2016, 01:28


« Je ne t’en veux pas. » « Je sais. » Ils étaient assis au bord des remparts et regardé le couché de soleil. Dans le silence, Leksa avait fini par parlé. Cela faisait plusieurs jours que Zéleph avait comprit qu’il était son père. Elle pensait qu’il était bon qu’elle lui dise maintenant, qu’il l’avait assez bien pris pour qu’ils puissent en parler sans craindre qu’il ne la chasse et ne désire plus jamais la revoir. « Je ne veux rien. » « Je sais. » La voix de Zéleph était douce. Il était attendri par le désir soudain de Leksa de se justifier, de se défendre alors cas aucun moment il ne l’avait accusé de quoi que ce soit. Il savait. Il savait ce qu’elle désirait en venant ici. Simplement avoir quelqu’un. Trouver une personne a qui s’accrocher, parce que sa mère était morte et qu’elle était seule dans ce monde maintenant. Elle ne voulait pas d’argent, juste de la compagnie et quoi de mieux que trouvé son père ? Il lui apprenait un métier. Elle vivrait par ses propres moyens, dormirait et mangerait ici. Elle aurait un toit, une famille. Zéleph ne serait que là pour la guidé, en étant son mentor. Peut être que c’était ça être un père. En attendant, pour le moment il faisait juste ce qu’elle accepté qu’il fasse et il ne se posé pas plus de questions que ça.

« Elle n’était pas amoureuse de toi. Enfaite, elle à était marier, mais mon beau-père à disparut durant la guerre. Elle ne ma raconté comment vous vous êtes rencontré. Elle ma dis qui tu était et comme elle ne m’attendait pas. Pourtant quand je suis arrivée elle ma aimer et elle ma tous donner. On na pas était malheureux, mais on n’avait pas d’argent et bien que je refuse elle me donner toute la nourriture sans que je ne le réalise. Elle a fini par mourir de la faim. » Alors c’était la famine qui l’avait emporté ? Zéleph ressentit un profond dégout. Il savait ce que c’était que de souffrir de la faim, c’était affreux, ça n’avait pas de nom, pas d’explication. C’était juste terrible. « J’ai étais recueillit à l’orphelinat de Stenfeck pendant plusieurs années avant de retourné a Bouton d’or quand j’ai pu. Il y a trois mois maintenant. Quand vous êtes venu pour voir le roi, j’était là. J’était là quand les démons on attaquer, je me suis battu. » Zéleph ce tourna vers elle, surprit par cette révélation, et puis souris. Oui, bien sur, comment aurait-il pu en être autrement. « La rumeur de votre affranchissement c’est vite rependu. Le fait que vous soyez maintenant un Corvus Aeris aussi, alors je n’ai pas hésité. Rien ne me retenait là bas. Je n’ai plu de parent, je n’ai jamais vécu avec ma race, et je n’ai jamais rien eu a perdre, alors… » Elle haussa les épaules et il comprit, voilas comment elle était arrivée jusque ici. Doucement, désirant la réconforté, il posa une main sur son épaule et serra doucement dans un signe de compassion. Il était là. Il ne serait certainement pas le père qu’on pouvait souhaiter avoir, mais en tout cas il était là. Si elle compté resté chez les corbeaux, alors il serait toujours là, car lui, il ne compté pas bouger.

« Je suis heureux que tu soi venu. » « Moi aussi. » C’était simple entre eux, et il apprécier cela. Ils n’avaient pas besoin de beaucoup pour se comprendre. Peut avait était-ce tout les deux dans leur nature. Quoi qu’il en soi ils n’attendaient rien, l’un de l’autre tout en apportant quelque chose a chacun et ça c’était ce qui importait. Il avait une fille. Humaine. Eh bien, ça n’était pas la première, et il n’en était pas fâcher. Il imaginer que ça n’était certainement pas la seule, et qu’il finirait par croiser beaucoup de ses enfants qui devaient avoir atteint plus ou moins l’âge adulte aujourd’hui. Après tout cela faisait longtemps, même dans les lieux du Yin et du Yang où le temps passe le plus lentement.

Bientôt le soleil disparut complètement, et la fraicheur du soir laissa place au froid glacial de la nuit. Il était temps de rentré se chauffer, manger et aller ce coucher. Zéleph était heureux dépasser du temps avec Leksa, simplement ainsi. Cela lui permettait dépenser à autre chose, et de ne pas souffrir comme il le faisait le reste du temps. Oui, il aller essayer d’être un bon mentor a défaut d’être un bon père, au moins pour lui évité de faire les mêmes erreurs que lui dans la vie et tacher d’être plus heureux que d’être malheureuse et de ne pas faire comme lui. Ils descendirent des remparent et rentrèrent directement dans la taverne. C’était devenu une habitude maintenant pour Nissa de les voir rentré ensemble, et ça la faisait sourire, comme a chaque fois.
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