Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez
 

 Rallier les repentis à la cause [quêtes spéciales event]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité

avatar
Ven 08 Avr 2016, 16:47

Naksatra cracha par terre.  Il était en rogne et partagé entre deux pensées. La première était de faire ce qu’il avait toujours fait et de ce toujours pensé. La seconde était d’obéir. L’Ange Déchu revint dans ses souvenirs. Il était dans Avalon, dans la Grande Bibliothèque, en train de lire un ouvrage sur les différentes façons de créer des remèdes à base de plantes. Au moment où il abordait un chapitre particulièrement  intéressant sur le Dahlia noir et ses propriétés, il fut interrompue par des gardes de la citée qui lui demandèrent de cesser ses activités sur le champ et de les suivre jusqu’au poste de commandement. Pourquoi ? Il  demanda. On ne lui donna aucunes autres informations, sauf qu’il devait impérativement se rendre avec eux à l’endroit attendu. Il poussa un soupir et leur demanda une minute le temps qu’il range le livre qu’il était en train de lire juste avant d’être interrompu. Il rangea donc l’ouvrage et prit ses armes qu’il avait ôtées  pour étudier. Lorsqu’ils sortirent de la Grande Bibliothèque, le soleil agressa Naksatra et ses deux yeux. Il avait oublié à quel point il faisait une chaleur insoutenable dehors. A l’intérieur, l’air frai et le légers courant permettait d’avoir un climat idéal pour les livres. Ils allèrent donc en direction de la porte Est, là où se situait le siège de la garde d’Avalon. Quand il arriva sur place. On lui demanda d’attendre quelque instant afin. Il se calla debout, le dos contre un mur de pierres et les bras croisés. Regardant par une fenêtre il admira la vue qu’offrait la porte Est. Les Gardes révérèrent accompagnés de cinq autres déchus mais ces derniers n’étaient pas en armure, ils ressemblaient plus à des gens comme lui. Dus communs, mais habitués à se battre. Ils rentrèrent dans un bureau ou ils virent un officier de la garde, affairé avec de la paperasse derrière son bureau. Lorsqu’il remarqua la présence des personnes dont il avait demandé la venue.

« - Messieurs. Je vais faire vite. Comme vous le savez les tensions entre les adorateurs de Sympan et des Aetheri sont de plus en plus violentes. Inutile de vous dire que nous autres Déchus, nous avons étais placés par notre roi, comme partisans de l’Aether Originel. Mais pour bon nombre d’entre nous, nous prions Kinath, qui s’est rangé du côté du créateur.

- Tout ça s’est bien beau, mais que voulez-vous de nous ? On n’est au courant de la politique actuelle. Personnellement, je n’ai pas besoin d’un cours de rattrapage.

- Patiente encore un peu. Le cours de rattrapage comme tu dis, n’est pas finit. Comme je le disais, les pro-Sympan et les pro-Aetheri sont à deux doigts de se déclarer une guerre eux aussi. Façons de parler. Mais on ne peut pas se permettre que de telles choses arrivent, car je me permets de vous signaler que les Démons se font de plus en plus arrogants. Et les problèmes internes ne doivent pas éclater au sein des races. Hors, voilà le problème que nous avons en ce moment : un conflit déjà présent dans nos rangs. Deuxième cours d’histoire maintenant : Les Déchus repentis, sont des Anges damnés qui souhaitent redevenir ou même ! Devenir des Anges ! Libre à eux de faire ce qu’ils veulent, mais en attendant d’avoir des ailes blanches, ils prient, et ils prient les Aetheri des anges. Ils ne font ça que de leurs journées. A force, ils se sont attirés les foudres des autres occupants de la citée d’Avalon. En tas que déchus, nous nous devons de laisser n’importe qui prier les figures qu’il veut.

- Et nous sommes ici parce que … ?

- VOUS, êtes ici car on n’a besoin des repentis qui représentent une partie de notre race, même si leurs but final est de gagner les ailes blanches, de servir les sept vertus, grand bien leurs fasse,  ce sont quand même des déchus. Et de nos jours, contre l’avancée démoniaque, on n’a besoin de tous les hommes disponibles. Ce qui, oui, inclut les Repentis. Mais si on les rejette, comment les convaincre de se battre avec nous ?

- Mais il s’agit de démons. Que ce soit des anges ou des … déchus repentants qui souhaitent devenir des anges, c’est dans leurs cordes ?

- Peut-être. En tous cas j’ai besoin de votre aide. Un groupe de déchus ont capturés assez grand nombres de repentis. Au début on n’a rien dit, avec la guerre ont n’avait plus urgents à faire, mais … Rapidement on n’a eu besoin de toutes personnes disponibles et aussi, on n’en n’a certains qui craignaient que des indignations s’élèvent ou que les Anges interviennent.

- Vous voulez qu’on les retrouve ?

- Les retrouver. Les ramener. Et leur demander de se calmer ou alors de s’éloigner quand ils prient. »


Mots : 790
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 17 Avr 2016, 02:59

La recherche des déchus prisonniers commença dans la citée d'Avalon. Le groupe du déchu de la colère se sépara en plusieurs duo afin d'interroger le plus de personnes possible sur l'endroit où se trouverai les repentis retenus captifs. Naksatra faisait équipe avec un homme sinistre, anciennement chasseur de métier, répondant au nom de Nagall. Ce dernier avait été soupçonné d'avoir commis un meurtre particulièrement sanglant avec la participation d'un sorcier. Le mage noir avait eu le temps de s'enfuir mais pas Nagall. Ce dernier alors qu’il tentait de s’échapper, fût rattrapé par la garde d’Avalon qui avait été prévenue plus tôt par une personne anonyme. Le déchu capturé, il fut emmené dans l’endroit le plus terrible de la société  Avalonienne : Le Goulot de la Murène. Une sombre prison où tous les prisonniers étaient libres de mouvement, mais où aussi ils étaient libres de mourir. Le déchu meurtrier fut ramené à la surface car la garde avaient besoin d’homme extérieur à l’armée d’Avalon. Cette dernière était divisée sur trop de fronts pour consacrer des ressources humaines à la recherche de déchus repentis et des personnes comme Naksatra ou Nagall, des hommes savant se battre. Et puis, les connaissances de pisteur du sombre déchu ne seraient pas de trop.

Le duo ainsi que deux autres groupes se partagèrent les quartiers simples d’Avalon. Lui et Nagall commenceraient par la porte Ouest puis montèrent jusqu’à la porte Nord, le second groupe ferai exactement la même chose en débutant par la porte Est. Le troisième et dernier groupe s’occuperai de la zone nord, cette dernière étant beaucoup plus éloignée de la citée, elle nécessitait des recherches un peu plus poussées. Cela faisait un moment qu’il ne s’était pas rendu vers l’ouest, la dernière fois remontait à des années, à l’époque où sa mère était encore vivante. Cette dernière avait acheté ses poissons directement auprès des pécheurs eux-mêmes, prétextant que cela était plus frais, mais la véritable raison avait été qu’en fait, elle avait bénéficié de réductions. Le pourquoi du comment … Jamais son fils ne le sut vraiment, quand il lui avait posé la question, il ne s’était pris que des réponses insatisfaisantes ou bien des silences. Ils arrivèrent donc sur les docks. Les problèmes qui parsemaient le monde, n’empêchaient pas les marchands avides de se remplir les poches d’or et d’échanger ressources et matériaux avec les Avaloniens. Nagall lui fit part d’informations qu’il avait eu pendant son temps passé en prison, en effet ce dernier n’avait pas eu grand-chose à faire que parler avec les autres détenus. Et l’un d’eux était dans le temps un membre d’une petite secte composait de déchus est un peu en mage de la société. Espérant que son compère puisse avoir des renseignements utiles afin de finir le plus vite que possible, Naksatra hocha la tête et lui dit que pour sa part, il allait demander aux pécheurs et autres marchands déchus, quelles étaient les rumeurs du moment, et essayer d’avoir des informations sur les repentis tenus captifs.

Le jeune ange déchu se promena donc sur les pontons, regardant les pécheurs qui s’évertuaient à décharger les filets de différents poissons pêchés en mer dans les abords de la Rivière Eternité. Un vieux bonhomme aux cheveux blancs  et qui semblait éreinté par une journée en bateau, était assis sur un tabouret usé avec une grande machette. A ses pieds, Naksatra aperçut de la poiscaille puantes et encore frétillante. Il décida de l’aborder, un briscard comme lui devait être courant des ragots circulant en ce moment.

« - Bonjour Monsieur.  La pèche a était bonne ?

- Me fais pas ch*er gamin. Suis occupé, ça ne se voit pas ? Retourne voir les jupons de ta mère.

- Hé calmez-vous le vieux ! Je vous ai juste gentiment demandé si vous avez été assez chanceux pour avoir une bonne récolte. A moins que la vieillesse ne vous fasse déjà défauts et que c’est votre petit-fils. Vous devriez peut-être raccroché ? Votre carcasse est aussi puante que le tas de poissons devant nos yeux.»

Le vieux se leva d’un coup, renversant son tabouret. Les insultes de Naksatra envers sa personne semblaient avoir porté leurs fruits. Il agitait sa machette en direction du visage du déchu arrogant. Naksatra soupira. A la base, il devait chercher des informations sur le lieu ou pouvait potentiellement se trouver les déchus retenus prisonniers, mais ce vieux l’avez cherché. Il avait sympathique avec lui et il se fessait pourrir, il avait juste fait de même avec lui. Au moment où le déchu de la colère souriait et riait devant l’ancêtre : Il reçût un coup à la tête venu de nulle part et tout devint noir.


Mots : 781
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 17 Avr 2016, 21:37

« - Pssst. Hé ! Psssst. Réveilles-toi.

- Laisse le, bougre d’imbécile. S’il a était amené ici, c’est pour une bonne raison. Aller. Ne t’en occupe pas.

- Mais regarde le, il se réveille. »

Le premier réflexe qu’eut l’ange déchu, se fut de mettre une main sur l’arrière de son crâne, mais au moment où il relevait sa main il remarqua que ses mains étaient attachées par des menottes. L’origine de la douleur. La dernière dont il se souvenait … C’était la vision du vieux pécheur en colère des docks le menaçant de sa machette. Puis … Un coup et plus rien. Il ouvra les yeux et vit l’endroit où il était. Une sorte de prison, les parois étaient roches et des barreaux de métal bloquait le passage ver ce qu’il semblait être un souterrain. Il remarqua l’absence de quelque chose, ses équipements n’étaient plus avec lui, ce qui n’améliora pas son humeur massacrante déjà grandissante. Qui l’avait assommait ? Pourquoi ? Ou était-il et depuis combien de temps ? Nagall avait-il remarqué l’absence du jeune déchu ? Pour le moment, il devait sortir d’ici, et le plus vite possible. Il aperçut la présence de chaines de fer à ses pieds, ces dernières l’empêchaient d’atteindre la porte de sa cellule. Il décida de s’assoir en tailleur et attendit que toute sa force mentale et physique lui revienne. Les deux voix qu’il avait cru entendre pendant son inconscience refirent leurs apparitions sonores. L’une était grave, appartenant à un homme. Et la deuxième était une petite voix fluette, une femme ou alors une fillette. Elles chuchotèrent à son adresse.

« - Eh ! C’est bon ? T’es réveillé ?

- Mais laisse le je t’ai dit ! En plus y’a l’autre qui a fini sa ronde. »

En effet, un homme arriva. D’allure tout à fait normal, quoique légèrement bedonnant. Il portait des habits typiquement portés par les fermiers. Il avait une touffe blonde sur la tête qui lui tombait sur les yeux, il était constamment obligé d’y passer sa main, afin de pouvoir y voir quelque chose. Tout comme son ventre, son visage était bouffi. Ajoutant à cela, son nez et ses pommettes étaient rouges. Naksatra l'observa attentivement, sa façon de marcher en disait long sur état. Il était probablement ivre. Il décida de l'interpeller :

«- Toi là ! Ou suis-je ? Et ôtes moi ses chaines ! Je ne supporte pas l'idée d'être attaché.

- HEINNN ? Tu veux quoi ? Spèce de blanc-bec. Tu ne vaux pas mieux que les traites à coté. S'etes des misérables qui pourrissent notre société. Tu vas rester là ! Jusqu'à ce que le boss en sache plus sur toi.

- Et c'est qui votre chef ? Un alcoolique accro à la bouteille comme toi ?

- OHHH mais je vais te corriger mon gars tu vas voir petit c*n »

L’homme prit un trousseau de clé accroché à sa taille et essaya tant bien que mal de trouver la clé de la cellule. Naksatra tenta de se défaire de ses liens qui le retenaient captifs de ses membres. Mais il n’y arriva pas, et il ne pouvait pas compter sur sa force, pour le moment. L’homme ivre le passa à tabac. Le déchu ne pouvait pas se défendre. Un coup de pied dans les cotes le fit plier sur lui-même et s’affaissa sur le sol. Du sang coulait de son visage et rentrait dans sa bouche. Le tortionnaire partit en ricanant et en attrapant une bouteille sur une table à l’extérieur de la cellule. Naksatra cracha le sang qu’il avalé, se maudissant d’être aussi faible. Alors qu’il forçait sur ses coudes pour se relevé, il vit le sang par terre, son sang s’agitait.

« - De quoi ? »

Il fronca les sourcils et se concentra tout en fixant le liquide rouge, ce dernier vola dans les airs à quelques centimètres de son visage. Il roula sur son dos et ferma les yeux. Tentant d’inspirer et d’expirer du mieux qu’il le pouvait. Il pensa à la forme d’une clé. Au bout de plusieurs minutes. Il entendit un petit cliquetis et ses chaines qui retenaient ses poignets, tombèrent sur le sol avec fracas. Le déchu de la Colère se massa les bras. Un homme de la cellule voisine lui fit signe de s’approcher

« - Petit ! Chuchota-t-il. Tu peux refaire ce que tu viens faire ? Avec nos entraves ? On doit absolument partir pour retrouver nos frères et repartir au temple du Pardon. Il n’y a que là-bas que l’on sera en sécurité.

- Vous êtes les repentis captifs ?

- C’est ça. Donc tu peux nous aider ? Je t’en prie.

- Ben ça tombe bien. C’est vous que je cherchais. La garde nous employé, moi et d’autres déchus, pour vous retrouver et ramener les personnes qui ont orchestrés tout  ce merdier.

-Ah que la grâce soit rendus …

- Mouais, je vous préviens d’avance, je n’ai pas de sympathie pour vous.  Et j’ai un message. On n’a ordre de vous libérer mais en échange, on n’aimerai beaucoup que vous vous mettiez à prier un peu à l’écart. Dans le Temple du Pardon par exemple.

- A ce que je vois peu de gens nous aimes parmi les déchus … Enfin. Je suis respecté parmi ceux qui veulent regagner ou gagner les ailes blanches. Je ferai entendre ma voix : Nous prierons à l’écart du commun, afin d’éviter de nouvelles tensions.

- Bien. Dis à tes hommes de se rapprocher, je vais tenter de réitérer ce que je viens de faire. Ce truc avec le sang là. »


Mots : 905
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 24 Avr 2016, 01:37

Grace à un don fraîchement découvert, Naksatra réussi à délivré de leurs chaines les prisonniers de l’autre côté des barreaux, il passa ensuite à la porte de sa propre cellule. Refaire l’exercice failli lui coûter un évanouissement, il devait arrêter d’utiliser ce pouvoir, du moins, dans son état. Lorsqu’il ouvrit la porte, cette dernière fit un vacarme assourdissant. Il resta un instant immobile et tremblant. Dix secondes. Quarante secondes. Deux minutes. Personne. Il lâcha un soupir. Il s’avança jusqu’à la cellule voisine où était enfermés le déchus repentis. L’homme avec qui il avait échangé tout à l’heure, le regarda de la tête au pied et lui fit part de son inquiétude

- ça ne me plait pas mais, tu devrais te reposer et ça devient urgent si je juge bien ton état.Heureusement pour toi, il se trouve qu’avec moi, on n’a une personne qui sait soigner les blessures.


- On peut rester et perdre du temps, je peux tenir, et puis il faut que je ramène ces raclures, ces chiens à la garde…

- Ah parce que maintenant, ce sont des chiens ? Pourtant, eux comme toi détestaient les gens comme moi.


- C’est une affaire personnelle maintenant. Et plus particulièrement avec  ce gros alcoolique.

- Soit. Je t’aurai bien béni de mes dieux à moi, les Aetheri, mais je pense que ça te ferait ni chaud ni froid. Je me dois cependant d’insister sur un point, laisse Freya s’occuper de tes côtes, si on doit sortir d’ici, il faut que tu sois en état de te défendre et de te battre. Une que cela sera fait, essayer de retrouver les clefs, pour l’instant n’utilisait plus ce pouvoir.

- Très bien. Allez-y.

La femme nommée Freya se rendit auprès de Naksatra et effectua les soins, elle passa ses mains au travers des barreaux et les mis juste à cotés de la plus grosse blessure. Une lueur blanche apparut et il ressentit une chaleur, une seconde après, il allait beaucoup mieux. La remerciant d’un hochement de tête, il respira profondément. Il chuchota en s’approchant des barreaux

-Je vais aller chercher les clefs, en chemin j’espère bien tomber sur mes armes et avec un peu de chance tout se passera bien. Ne m’en voulaient pas, mais j’ai l’impression que vous n’êtes pas tous des combattants et si je dois me battre, je souhaiterai que vous ne soyez pas dans mes pattes à ce moment-là.

Naksatra commença à monter des escaliers en bois, qu’il avait remarqué quelques temps plutôt. Seulement armé de ses propres poings, il monta marche après marche. Il arriva ensuite à ce qu’il semblait être le rez-de-chaussée d’un bazar ou d’une brocante. Il y avait un peu de tout : Des herbes d’un côté, des lanières de cuir d’un autre. Sur certains murs étaient accrochées des outils et des petits couteaux de chasse. Personnes. Le Déchu se dirigea vers le comptoir, il vérifia si le trousseau de clefs étaient là. Rien. Il voulut regarder les alentours pour trouver quelque chose mais il ne trouva rien. Soudainement, il entendit quelqu’un frappait à la porte de la boutique. Des coups répétés et violent. Ensuite, ce fut le tour du plafond de craquer, une personne marchait à pas lourd.

- Eh m*rde chuchota-t-il.

Il s’agenouilla et alla jusqu’au comptoir. Il eut assez de temps pour attraper un couteau et se planquer et la personne à l’étage ouvrit la porte.

- Alors ? Tu les as toujours sous contrôle ?

- Salut Metos et oui pas de soucis. Mais y’a Jichiro qui m’a ramené un gêneur, un mec bizarre avec une épée bien trop étrange et rare, il l’a surement volé, j’ai ramené ses affaires à l’étage. Tu veux ses armes ou lui ?

- Va pour lui.

Il devait agir et rapidement. Si les deux descendaient et qu’ils ne le voyaient pas, ils pouvaient très bien s’en prendre aux déchus au sous-sol. Il se faufila silencieusement derrière les deux hommes et reconnut de dos celui qui l’avait tabassé juste avant mais, le premier, il ne savait pas de qui il s’agissait. Alors qu’ils entamèrent la descente dans l’escalier, Naksatra s’approcha de l’homme le plus en retrait et lui planta le coup dans la nuque. Il tomba en avant et de ce fait écrasa le premier homme en bas de l’escalier. Il remarqua qu’il avait les clefs sur lui, il les ramassa et se jeta sur le type avant qu’il n’est eu le temps de se relever. Les déchus enfermaient dans la cellule passèrent leurs bras au travers des barreaux afin de retenir l’homme.


- Fait dodo crevard ! jura Naksatra.

- Merci. J’ai récupéré les clefs je vous ouvre, attendaient quelques secondes.  Et voilà, je vous recommande si vous le pouvez de sortir et de partir tout de suite au Temple du Pardon, vous y serez en sécurité. Moi je vais partir de mon côté avec ce type pour l’emmener à la garde.

- Merci petit et bonne chance.

- Je m’en remets à Kintah.

Naksatra s’assura que l’homme était bien inconscient et fila au premier étage de la bâtisse afin de récupérer ses armes. Sur un bureau il vit une lettre rédigé par un certain Metos, l’homme assommé en bas. Il rangea la lettre dans une poche et repartit chercher l’homme dont il était question. Le voyage jusqu’au poste de garde ne fut pas sans facilité, car le Déchu de la Colère voulait ne pas être vu. Néanmoins, au bout d’une bonne matinée, il arriva enfin à destination. Il fut accueilli par l’officier qui l’avait chargé lui et d’autres de retrouver la trace des déchus repentis. Le prisonnier fut emmené pour être interroger. Naksatra donna à l’officier la lettre qu’il avait trouvé, et ils découvrirent que Metos n’étais qu’un des dirigeants de l’opération, mais il y avait des informations potentielles sur les lieux ou pouvaient se trouver les autres déchus retenus captifs.

-Au faite, j’ai reçu un message pour toi, ceux que tu as libérés te remercient encore un fois de ce que tu as fait pour eux et ils disent qu’ils feront ce qu’ils ont promis de faire, de se tenir à l’écart de la population pendant quelques temps.

- Bien, vous pouvez maintenant vous concentrer pleinement sur la guerre en cours maintenant.


mots : 1029
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas
 

Rallier les repentis à la cause [quêtes spéciales event]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» | Déclarations de quêtes |
» | Système de quêtes |
» | Les gains associés aux quêtes |
» Quêtes: "Les épreuves de l'Amitié" [PV: Saari]
» | Porte II - Sujet principal et quêtes annexes |
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le pouvoir du Yin et du Yang :: Zone RP - Océan :: Continent Naturel - Ouest :: Côtes de Maübee :: Avalon-