Chika enfonça la porte de la maison de ses parents, il venait tout juste de revenir de l'auberge et il ne pensais qu'à une seul chose, écrire à Orchidée, car il avait vraiment aimé la soiré qu'ils avaient passé ensemble et il voulait la revoir, mais quand recevrait-elle la lettre ? Plus vite il l'envoyait, plus vite il la reverrait. Il s'assit donc à son bureau où il avait tant étudié avant de sortir un morceau de papier et un crayon. Enfaîte, il sortit beaucoup plus de morceau de papier, car il passa plus d'une heure, juste pour écrire son nom sur le dos de l'enveloppe, car il voulait être sur qu'elle le voit. Il passa ensuite à la rédaction de la lettre, mais quoi écrire ? Mais enfaîte, pour commence, il devait savoir où il allait lui donner rendez-vous. Il voulait un endroit calme où la revoir, où il pourrait se laisser aller et vraiment être lui même sans avoir une pression du à la foule, un endroit où ils pourraient faire ce qu'ils voulaient quand ils voulaient. Il sortit une carte du monde pour trouver un endroit où ils pourraient se voir et qui rassemblait toutes ses conditions. L'auberge était sûrement le dernier endroit où il voulait la revoir, car la foule l’empêchait d'être lui même. Il y avait le parc dans lequel il était passé pour aller à l'auberge par contre ? Mmmh, non, l'idée ne lui plaisait juste pas. L’edelweiss ? C'était un endroit où il y avait peu de personne et où il pourrait être lui même ? Non, il fessait sûrement trop froid pour elle. Il remarqua ensuite une tache jaune sur sa carte, près de l’edelweiss, bouton d'or ? Minute, c'est d'où elle avait dit venir, mais à quoi cette endroit ressemblais? Il haussa les épaules, peut importe à quoi cela ressemblait, il voulait la voir et en allant chez elle, il en serait sure. Maintenant que l'endroit était choisit, qu'est ce qu'il pourrait bien faire ? Il pourrait peut être faire quelque chose chez elle ? Non, c'était la deuxième fois qu'il la voyait, s'inviter ainsi, était pour sûre une mauvaise idée. C'est alors qu'il eu une idée, il y avait l'ancienne tente de ses parents qui dormait dans le grenier, pourquoi ne pas s'en servir ? Bien maintenant que tout était décidé, c'était le temps d'écrire.

«Ma chère petite fleur
Chère petite Fleur
Belle Orchidée, pardonne-moi l'éta
Ma
Chère Orchidée,

Pardonne-moi l'état de ce message, mais j'ai tellement chercher mes mots, que c'est malheureusement ma dernière feuille. Je voulais tellement trouver les mots, que ça fait plus de trois heure que j'essaie tant bien que mal d'écrit cette petite lettre pour pouvoir te revoir, car oui j'ai bien reçu ton message et je viens juste de quitter l'auberge.  Je meurs d'envie de te revoir, voila pourquoi, quand tu recevras cette lettre, je serais déjà à bouton d'or et je t'attendraist dans l'auberge du village comme à notre première rencontre, je ne dormirais pas là, faute de moyen, mais le soir, tu pourra me trouvé dans une tente à la sortie du village. Apporte toi des vêtements chaud, car j'ai déjà prévu une activité juste pour toi et moi qui je l'espère, fera pousser ton magnifique sourire.

Chika Chikara»

Quand il finit sa lettre, il fessait désormais complètement noir dehors. Il se dit alors qu'il attendrait au lendemain pour la poster, puis il partirait pour Bouton d'or. Malheureusement, la vie ne nous permet pas tous les jours de respecté nos plans. Le lendemain matin, avant que Chika puisse allez la posté, son père lui annonça que Draguial, allais bientôt faire une période d'adoption et il était partie sans avoir posté la lettre. Ce n'est que quand il revenu, quelques semaines plus tard, qu'il retrouva la lettre et sans prendre le temps de se reposé, de toute façon, vu se qu'il avait prévu, il se reposerait en présence d'orchidée. Il sortit un grand sac avant de mettre du linge à l’intérieur et ouvrit son armoire pour sortir le vêtement qu'il avait acheté en sortant de l'auberge pour le déposé délicatement dans le sac, puis il y mit quelques livres avant de monté chercher la tente. Il redescendit avec ses bagages sur le dos et sa lettre dans les mains avant de dire au revoir à ses parents et partir pour bouton d'or. En chemin il s’arrêta dans un bureau de poste pour confier sa lettre à un dragon messager. Ses dragons élevé spécialement pour leur vitesse et qui avait vite dépassé les pigeons pour leur fiabilité. Il donna un petit bec à la lettre avant que celle ci ne parte, puis il partit à toute vitesse pour bouton d'or, une fois qu'elle aurait été trouvé, il ne lui faudrait pas grand temps pour recevoir le message et il devait arriver avant elle.

Le voyage par l’edelweiss commençais à devenir une routine pour lui, deux jours et il l'avait traverser, par contre on ne pouvait pas en dire autant de Bouton d'or. Il avançais vers ce qu'il pensais être la ville principale, montant sa tente le soir venu et la repliant le matin, mais il finit par arriver. Quand il arriva enfin à cette endroit qu'il avait vu sur sa carte, il alla directement à l'auberge, s'assit et prenait quelque chose juste pour dire qu'on ne le mettais pas à la porte puis quand arriva le coucher de soleil, il sortait du village et montait sa tente toujours au même endroit avant de la replier le matin et de retourné s'asseoir à la même auberge, le plus près de sa place du premier jour possible et attendait Orchidée avec impatience.

Bouton d’or ! Cette ville me faisait tellement rêver. Cette ville n’était pas si loin de mon village caché, le village où ma mère n’était plus de ce monde. Je ne pouvais pas rentrer au village, je n’avais pas encore trouvé mon maitre. Cette quête était bien plus compliquée que je ne le pensais et cela m’inquiétait véritablement. Je me demandais comment ma mère avait-elle pu trouver son maitre avant de me mettre au monde ? Je me grattais le menton doucement pour trouver une explication. Bouton d’or me faisait penser au fait, qu’un jour, je pourrais retourner dans mon village. Une tristesse s’empara de moi. Ce n’était pas si loin que cela… Mais si je devais retourner au village, sans que j’aie trouvé un maitre, je serais mal vue et je pourrais sombrer dans la folie. La folie. Vaut mieux pas que j’y pense car j’ai peur de cette pensée, de cette chose qui pourrait me faire devenir une autre personne. Je secouais la tête dans tous les sens pour oublier cette pensée néfaste pour moi. Puis, je respirais un bon coup avant de continuer de marcher dans cette ville. J’avais besoin de me faire de l’argent, mais je ne savais pas comment. Je n’étais bonne qu’à danser devant des personnes, car la danse était quelque chose d’important pour moi, ce que ma mère m’avait légué, une sorte d’héritage. Je souris et je pense que je deviendrais une grande danseuse, un jour ou l’autre, nous verrons bien. J’étais encore bien jeune et j’avais la vie devant moi et j’avais des buts à atteindre. Devenir une grande Orine et un exemple pour les autres Orines plus jeunes.  

Diana m’interrompt dans mes rêveries en me disant que j’avais reçu une lettre de la part d’une certain Chika Chikara. Oh ? Il m’avait envoyé une lettre pour moi ? Diana me tendit la lettre en me regardant. Je ne pus m’empêcher de rougir à l’idée de cette lettre. Je ne comprenais pas trop ce qu’il se passait dans ma tête car mon cœur n’arrêtait pas de battre  comme une folle. Je respirais et je pris la lettre doucement pour commencer à l’ouvrir et à la lire. Il me disait qu’il m’avait bien reçu mon mot lors de notre dernière rencontre à l’auberge. Cette lettre me donna un certain réconfort et je pus voir qu’il était déjà à Bouton d’or. Oh ? Etait-ce le destin ? Je regardais la date de la lettre et je me disais que cela faisait plus d’un mois qu’il avait envoyé cette courrier et que je venais juste de la recevoir. Bon, je pense qu’il va falloir faire quelque chose avec le courrier. Donc, je devais le rejoindre dans l’auberge, mais laquelle ? Il en avait tellement… je commençais à parcourir pour trouver des auberges. La première auberge où j’entrais, était vide et il n’y avait personne. Je passais à la suivante et là, il y avait un peu plus de monde, mais je ne vis pas la tête de Chika. Je soufflais et je repris mon expédition pour le trouver. 

Quelques heures après, je pus trouver la bonne auberge. Diana resta dehors, elle n’aimait pas les auberges car il y avait trop de monde à son gout. J’entrais doucement pour ne pas me faire repérer immédiatement par le jeune homme. Chika était au bar en train de siroter quelque chose que tu devais être bon. Je m’approchais doucement derrière lui et je ne pus m’empêcher de lui faire une surprise. Je posais ma main sur son épaule droite et je pris la parole doucement avec une voix très calme : « Bonjour Chika. Cela faisait bien longtemps que nous ne sommes pas vus. J’espère que tu vas bien en ce jour ! » Je lui souris tendrement et je vins m’asseoir à côté de lui au bar. L’aubergiste vint me voir et me demanda ce que je voulais, je lui dit que je n’avais pas encore mangé depuis que j’étais ici : « Je voudrais une bonne soupe s’il vous plait, monsieur. » - « Une soupe pour la Demoiselle ». Je lui souris tendrement et quelques minutes plus tard, ma soupe fut prête. Chika n’avait pas encore décroché un seul mot : «  Tu vas bien au moins ? Tu es tout pâle ? »

Lentement la lumière entra dans les yeux qui s’ouvraient sous cette tente au beau mieux d'un champ. Un coq des fermes des environs annonçait le lever du jour. Chika roula pour se retrouver sur le dos, les bras en croix, le regard perdu sur le plafond, il soupira. Ce coq il l'aurait bien fait rôtir. La dernière fois qu'il avait mangé de la viande remontait un peu, il avait économisé le plus possible, comme ça quand Orchidée finirais par le rejoindre, il pourrait se privé de rien tout les deux, mais pour commencer, allait-elle venir? Il était arrivé depuis un mois environ et toujours aucune nouvelle, non il ne devait pas hésiter, c'était le courrier qui était en retard c'est tout. Oui, elle allait arriver d'un jour à l'autre,  peut être même aujourd'hui. Un sourire fini par apparaître sur son visage qui avait un peu perdu espoir, mais bon aujourd'hui c'était le jour qu'il attendait, il le sentait dans ses tripes. Il soupira de joie avant d'ouvrir les yeux. Il roula à nouveau pour se retrouver sur le ventre et de se lever. Il s'habilla modestement avant d'ouvrir la tente et de sortir. Il s'étira sous les rayons du soleil levant avant de tourner la tête vers une petite parcelle de terre meuble. Il avait installé celle-ci, car il c’était découvert une nouvelle capacité. Il avait passé quelques jours sans mangé, bien sûr il avait essayé de chassé, mais impossible d’attrapé quelque chose à ce mettre sous la dent. Il avait donc laissé tomber l’idée et c’est tirailler par la faim qu’il c’était couché. Il avait du rêvé de nourriture, car le lendemain, il c’était réveillé et une courge spaghetti avait poussé juste à coté de la tente. Affamé, il s’était lancé vers le ruisseau et avait prit de l’eau dans un des plat qu’il avait apporté pour la faire bouillir sur un feu qu’il venait juste d’allumer avec un briquet. Il avait préparé cette courge en vitesse sans même ce demander d’où elle venait. C’est une fois arrivé à l’auberge qu’il s’était posé la question. Quand il arriva à son emplacement où il plantait sa tente, il remarqua des empruntes de lapin qui avaient mangés les restes qu’il avait échappés. Il aurait donc un appât pour ses pièges s’il réussissait à en faire apparaître d’autre. La nuit d’après le même scénario se répéta et c’est à ça qu’il occupait son temps libre quand il était à son camps, mais après une semaine, il avait réussit à les faire apparaître sur demande. Donc, comme à son habitude maintenant, il fit poussé une courge avant de la préparé et de la mangé, puis il démonta sa tente pour aller en direction de la ville.

Il était assez heureux, il était convaincu que c’était le grand jour, aujourd’hui elle arriverait. Il marchait tranquillement, son sac sur ses épaules, sifflant gentiment, il était encore tôt et quand il entra dans l’auberge, seul l’aubergiste l’attendait, le reste du monde devait encore dormir. Il enleva son sac et le déposa au sol avant de s’assoir au bar. Il fouilla ensuite dans son sac pour en sortir un livre, un qu’il avait déjà lu depuis qu’il était là, mais pas grave, ça restait une bonne histoire. L’aubergiste avait prit l’habitude de le voir et lui avait même demandé pourquoi il venait chaque jour pour ne presque rien prendre, alors Chika lui avait expliqué et celui-ci c’était montré plus compréhensif que ce qu’il aurait pensé, aujourd’hui, il ne fessait même plus attention à lui. Quelques heures passèrent et quand Chika fini par déposé son livre et que l’aubergiste eu un peu de temps libre, celui-ci s’approcha de lui.

- Tu me semble bien joyeux aujourd’hui, il aurait du nouveau?

- Non, j’ai juste le pressentiment que quelque chose de joyeux va se produire aujourd’hui, j’ai tellement hâte de la revoir. Je me doutais bien que ca prendrait du temps, car elle ne semblait pas être une personne qui aimait rester en place, mais je dois avouer que je ne m’attendais pas à plus d’un mois.

- En tout cas, je peux dire que tu es quelqu’un de tenace, je n’ai pas vu beaucoup de personne attendre aussi longtemps une personne qu’il n’avait vue que pour une soirée.

L’aubergiste partie quelque temps avant de revenir avec un verre contenant un étrange liquide inconnu de Chika.

- Tiens boit, ce n’est pas l’eau que tu prends d’habitude, mais ca devrait avoir un bien meilleur goût.

Chika le regarda un peu confus avant de tendre la main et approché le verre de lui et de le renifler.

- Euh merci, mais c’est quoi?

- Une petite recette maison qui devrait réchauffer ton intérieur.

Il le regarda encore plus suspicieux, mais fini par le porté à ses lèvres.

-Mmmh, pas mauvais.

- Bien, dit le moi si tu en veux d’autre.

L’aubergiste s’éloigna un peu pour servir d’autres clients laissant Chika seul avec le mystérieux breuvage. Chika était perdu dans ses pensés, il avait perdu se réflexe de regardé la porte à chaque fois qu’il l’attendait ouvrir, ce qui fit qu’il ne vit pas la charmante demoiselle qu’il attendait depuis si longtemps ouvrit la porte. Quand il sentie la main sur son épaule, il figea, mais lorsque sa voix résonna à ses oreilles, il resta sans voix. Quand finalement, il retrouva la voix après des minutes de réflexion sur ce qu’il allait dire, il prononça des bruits ressemblant à des mots, mais qui ne voulais rien dire avant de rougir de sorte que son visage soit plus rouge qu’une tomate. Il se retourna lentement vers elle avec un petit sourire timide, il ne voulait pas lui faire le même coup que la dernière fois.

- Depuis que tu es là, je ne pourrais allez mieux, pardonne-moi mon long silence, je ne savais pas quoi dire.

Maintenant, il ne savait plus quoi faire, tout les scénarios qu’il avait imaginé, venait de partir en fumer avec sa réaction, il était si content de la revoir, que pouvait-il faire? Il fini par se levé et se rapprocher d’elle pour lentement passé ses bras autour de ses épaules et la serré contre lui. Son cœur battais à toute vitesse, cette démonstration d’affection était le seul moyen auquel il avait pensé pour exprimé sa joie de la revoir, ne sachant pas par contre si elle aimait vraiment ses démonstrations d’affection en public, il la relâcha assez vite. Pour aller s’assoir à nouveau à sa place et la regardé avec les joues rouges et un grand sourire.

- Je suis si content de te revoir, tu ma tellement manqué que j’en perds mes mots. J’espère juste que tu vas apprécier passé du temps en ma compagnie.

Alors que j’étais arrivée au point de rendez-vous, j’étais excitée comme une puce, comme si j’allais recevoir un cadeau d’une valeur inestimable. Impossible de me calmer ou bien de penser à autre chose, à qu’à ce rendez-vous. J’avais rencontré Chika aussi dans une taverne alors que je me reposais d’un long voyage, nous avions discuté, rit et dansé au cours d’une soirée. Aujourd’hui, cela allait être autre chose, un nouveau cap dans notre relation. Enfin, c’est ce que je pensais fortement. En tant qu’Orine, je me demandais si c’était le bon, si ce serait enfin mon maitre dans ce monde. Je croisais les doigts en espérant qu’il allait répondre à mon énigme que j’avais préparé depuis des années maintenant et que j’avais fabriqué moi-même sans l’aide de ma mère ou de qui que ce soit. Je ne l’avais dit à personne autour de moi, concernant mon énigme. Je souris et j’étais entrée dans la taverne et je vis mon ami au bar en train de boire ou de manger quelque chose. Je m’étais installée auprès de lui pour lui parler et pour manger quelque chose de bon en même temps. Cela faisait quelques minutes que j’étais là auprès de lui, et il n’avait pas encore parlé…Avait-il un problème contre moi ? Ou bien était-il malade pour le coup ? Je penchais la tête sur le côté pour comprendre ce qu’il se passait dans sa petite tête.

Puis, l’homme rougit intensément ce qui me fit rire. Il était mignon lorsqu’il était comme cela. C’était la première fois que je le voyais comme cela, dans cette expression qui lui allait très bien. Puis, il s’excusa de son long silence car il ne savait pas quoi me dire : « Je suis bien contente que tu reparles maintenant, et cela me fait plaisir de te revoir après tant de mois de séparation. » A peine fini ma phrase, l’homme me prit par les épaules et me serra dans ses bras. Il était un peu plus grand que moi et je pouvais entendre son cœur battre à toute vitesse. Je ressentais quelque chose de bizarre, c’était la première fois que je ressens un sentiment comme celui que j’avais en moi. Puis, il reprit la parole avec ces joues toutes rouges en me disant qu’il m’avait manqué et qu’il était content de me revoir aujourd’hui pour passer du temps avec lui. « Oh ? Moi aussi, je suis bien contente de te revoir. Allez dis-moi ce que tu as fait depuis la dernière fois qu’on s’est venu à l’auberge dans le continent du matin calme. Moi, j’ai rencontré beaucoup de personnes depuis que je suis partie de l’auberge. J’ai visité beaucoup de grandes villes comme Earudien, et j’ai même voyagé sur un bateau. Je me suis drôlement amusée ce jour-là. J’ai beaucoup voyagé pour nourrir ma soif de connaissance de ce monde, mais aussi pour me trouver une personne avec qui je pourrais être toute ma vie… Je ne peux rien te dire pour l’instant, il s’agit d’un grand secret de ma race… J’espère que tu pourras patienter un peu avant que je ne te dise tout la vérité sur mon passé et sur qui je suis réellement. »

Je m’assis bien confortablement sur la chaise en mangeant rapidement mon plat qui refroidissaient. Je laissais quelques minutes de silence entre nous, pour qu’il puisse digérer ce que je lui venais de lui dire. Il avait dû avoir un choc lorsque je lui avais dit que je n’étais pas celle qu’il croyait. Puis, je décidais de reprendre la parole avec une voix calme et douce pour lui expliquer la suite de mon histoire : « Si tu veux tout savoir sur ma race et sur mon passé, sur moi, tu vas devoir répondre à une énigme que j’ai créé exprès pour ce jour… Es-tu prêt à entendre mon énigme ? Si tu réussis à me donner une bonne réponse, enfin la réponse que je souhaite avoir, je pourrais tout te révéler, mais c’est la seule condition que tu dois réaliser avant tout. » Je lui souris et je le regardais droit dans les yeux, en espérant qu’il avait bien compris ce que je lui avais dit. Un jour, ma mère m’avait dit qu’elle avait posé plusieurs fois l’énigme à des hommes différents, et que seul mon père m’avait bien répondu. La réponse à l’énigme devait correspondre à ce que je voulais entendre. Et j’espérais que Chika allait bien me répondre, si je devrais me séparer de lui.

Elle est là, elle était finalement arrivé, après un mois d’attente, de stress et d’hésitation si elle allait venir, elle était finalement là. La voir près de lui le rendait si heureux, qu’un sourire avait immédiatement apparue sur son visage, le fait de lui avoir donné un câlin ne fessait pas partie d’un des milliers de scénarios qu’il avait imaginé, mais le bonheur que cela lui avait procuré, il avait de la difficulté à se l’expliqué, mais il adorait cette sensation. Il s’était imaginé plusieurs scénarios certains ou il était chevaleresque, d’autre ou planait un peu plus de romance, mais un scénario où elle le surprenait, il n’y avait pas pensé. Ce devait être l’une des raisons pourquoi il avait réagit de cette façon, la surprise l’avait fait rougir, mais surtout le contact avec elle, sa peau était toujours aussi douce et il n’était pas habituer à cette douceur qui la caractérisait si bien. Il ne pouvait se retenir de la regarder en souriant, il l’avait attendu si longtemps, peut être que c’était cela qui fessait qu’aujourd’hui il était si heureux de la voir, mais en même temps, la dernière fois qu’ils s’étaient vus, elle lui avait permis de se relaxer, d’être calme même au milieu de la foule, il voulait vivre cette sensation à nouveau, dansez avec elle à nouveau. Il aurait pus se lever et l’inviter à dansez avant de partir pour passez du temps uniquement avec elle, mais quand il voulu lui demandé, elle commença à parlez et il se tut pour écouté sa douce voix.

Elle commença par lui dire qu’elle aussi était contente de le revoir, ce qui ne fit qu’agrandir son sourire, mais il ne dit rien pour l’instant. Il n’avait pas vraiment fait beaucoup de chose, mais il avait fait de grande chose qu’il mourrait d’envie de lui parler, mais avant, il voulait entendre ce qu’elle avait fait, alors il ne l’interrompit pas, il ne fit que lui sourire. Mais elle fini par dire une phrase qui lui donna un pincement au cœur, elle cherchait quelqu’un pour partagé sa vie? L’avait-elle trouvé? Il mourrait d’envie de lui demandé, mais pourquoi cela l’affectait autant? Il la connaissait depuis si peu de temps, alors pourquoi? Non il ne devait pas lui demandé maintenant, mais la phrase qu’elle ajouta ensuite le surpris, un secret de sa race? Il ne la connaissait pas beaucoup, mais elle lui avait mentie? En même temps, c’était comprenable, justement il était un inconnu à ce moment là et même si elle lui avait mentie, sa race et son passé n’avait pas d’importance pour lui, ce qui comptait, c’était la personnalité et l’instant présent. Il l’écouta ensuite ce justifié, il soupira avant de lui sourire. Il ria légèrement à la voir toute impatiente de lancé son énigme.

- Bien, une énigme que tu as faite spécialement pour ce jour? C’est cela qui me permettras d’en apprendre plus sur toi? Ça tombe bien, étant petit j’aimais bien les énigmes, je les aime toujours, c’est juste que je les pratique moins souvent, alors oui je lui répondrais avec joie.

Vu l’excitation qu’elle semblait avoir pour dire son énigme, Il mit par contre son doigt sur ses lèvres comme pour l’invité au silence. Quand il sentie la douceur de ses lèvres, il ne pus se retenir de rougir et sans ce rendre compte, il c’était avancer son visage était désormais près du sien, revenant à la réalité, il détourna légèrement la tête pour aller placer sa bouche près de son oreille.

- Mais si cela concerne des secrets, il faudrait attendre d’être seul, car une auberge a souvent des oreilles tendu pour écouté toute les conversations. ensuite ce serait à mon tour de te raconté ce que j’ai fait pendant que nous étions séparé d’accord?

Il s’éloigna un peu d’elle encore rouge des actions qu’il venait de faire et pris son sac a dos avant de glissé les sangles sur ses épaules. Il sortie un peu d’argent et la mit sur le comptoir en la montrant au tavernier pour qu’il le sache, puis quand celui-ci lui fit un signe de la main, il se retourna vers Orchidée.

- Alors ma douce fleur, on n’y va?

Il lui tendit la main, sans remarqué comment il l’avait appelé, c’était un surnom qu’il avait commencé à utilisé pendant qu’il l’attendait.

L’auberge était bondé de monde, et un peu trop de monde à mon goût. Je devais faire attention à ce que je lui disais sinon, cela pourrait mal tourner pour nous. Chika était bien là devant moi, et j’étais heureuse de le voir. Mon cœur se mit à battre plus vite et mes joues devinrent rouges comme une tomate. Je ne me sentais pas bien à force de le regarder. C’était la première fois que je me sentais comme elle, et je ne comprenais pas ce qu’il se passait en moi. Ma mère ne m’avait jamais décrit ces symptômes. Etais-je souffrante ? Avais-je attrapé une vilaine maladie ? Mon estomac se nouait en moi et il me donna un mal de ventre horrible. J’avais du mal à respirer et je transpirais beaucoup au niveau de mes doigts, qui s’enlaçaient tout le temps. Mon dieu ! Mais qu’est qu’il se passait au juste aujourd’hui ? Je sursautais soudainement, lorsque le jeune homme prit la parole avec une voix en douceur. Il me disait qu’il aimait beaucoup les énigmes et qu’il en était friand depuis qu’il était tout petit. Il accepta pour répondre à mon énigme, j’étais tellement heureuse et enchantée de la savoir qu’il serait partant pour jouer avec moi. Mais ce n’était pas une petite énigme de rien du tout, il y avait de grandes conséquences derrière tout cela. « Je t’en remercie de répondre à cette énigme, cela me fait très plaisir d’entendre cela ! »

Je lui souris tendrement et je me sentais immédiatement exciter. L’heure approchait dangereusement et j’avais du mal à me retenir de lui poser toute de suite la question pour qu’il me réponde. Il posa un doigt sur mes lèvres et je pus sentir la chaleur de sa main près de mon visage. C’était la première fois qu’un homme me touchait comme cela, et cela fut bizarre à vrai dire. Je ne savais pas comment il fallait que je réagisse… Je me contentais de ne rien dire pour l’instant, mais mon cœur s’accéléra encore et encore la vitesse de ses battements. Cela commençait à me faire peur, sur le fait que je ne puisse plus contrôler mon cœur et mon esprit. « Oui tu as raison, il faut que nous soyons seul pour que personne ne puisse entendre l’énigme ainsi que la réponse et les secrets de ma race. »

Puis, il paya pour nous deux avant d’aller dans une chambre dans l’auberge pour être plus calme et pour que nous puisons discuter tranquillement et autant de temps que nous le voulions. Il m’appela ma douce fleur, un surnom qui me fit rougir intensément et mon cœur battait de plus belle encore une fois. Je lui pris la main et je le suivis jusqu’à l’étage supérieur. Une fois arrivée dans une belle chambre, je décidais de lui parler à voix basse pour essayer que personne ne puisse nous écouter à travers les murs : « Chika. Je sais que tu me crois presser, mais j’ai tellement hâte de te poser mon énigme. Je suis désolée de te presser comme cela, mais j’ai besoin de savoir si tu seras ce que je veux que tu sois prochainement… » Je rougis à cette phrase, je ne pouvais pas en lui dire plus que cela ! « Es- tu prêt maintenant ? » Je lui souris tendrement, il devait se relaxer et se détendre au maximum :
« C'est mieux que dieux,
c'est pire que le diable.

Les riches en ont besoin,
les pauvres en ont.

Si on en mange,
on en meurt.  »

J’avais posé la même question à une dénommé Lilith, qui se prétendait d’être un homme, alors que c’était une femme à part entière. Elle avait bien répondu à ma question, mais le lien n’avait pas pu se créer, car elle n’était pas un homme. Et seuls les hommes pouvaient créer le lien avec moi et pas une femme. Chika était vraiment un homme, cela se voyait bien sur son visage. Je croisais les doigts pour qu’il puisse bien répondre à ma question. C’était vraiment important pour moi et mon futur.

Quel est se sentiment étrange? Il était si stressant en étant si calmant, un malaise et un rire, une inquiétude en même temps qu'un soulagement, ce rouge qui avait teint ses joues était une émotion si complexe, mais il ne put retenir son sourire, elle était si belle ainsi. Il la regarda avec un petit sourire et lui aussi un peu de rouge sur les joues qui n’avait toujours pas disparue, il était facile de voir qu’elle était stressé et même si lui aussi aurait du l’être, il fessait tout pour gardé son calme, car deux personnes dans cette état n’aurais servie à rien. Son petit sursaut quand il avait prit la parole l’avait fait que sourire d’avantage, elle était simplement mignonne et c’était surement ce qui lui permettait de gardé son calme, il avait le goût de la réconforter, de lui dire que tout irait bien, mais ce qui lui fessait peur, lui, c’est que faire preuve d’un peu trop de familiarité la fasse fuir et aucunement il ne voulait la voir partir.

- Pas besoin de me remercier, une énigme est très amusante et si cela me permet d’en apprendre plus sur toi, c’est encore mieux, c’est moi qui devrait te remercier, je suis bien en ta compagnie.

Bien, c’était vite dit, il se sentait bien certes, mais en même temps, son corps n’était pas serin. À l’extérieur, il semblait plus calme qu’elle, mais à l’intérieur, c’était l’incompréhension et l’hésitation qui régnaient. Quel était ce sentiment à la fin, quand elle souriait, il était soulagé, mais il mourrait d’envie de la prendre dans ses bras. Il avait peur qu’elle parte, il voulait rester avec elle. Quand elle lui dit qu’il avait raison, il lui sourit. En lui tendant la main, il avait pensé sortir de la taverne et partir tout de suite en forêt, mais il se ravisa. L’excitation présent dans la gestuel de Orchidée, lui fit croire qu’elle ne tiendrait pas si longtemps avant de crier haut et fort son énigme, ce que devait attendre certaine des oreilles déjà pendu dans leur direction. Il se ravisa alors et alla payer une chambre, une chambre simple et pas vraiment prévu dans ses finances, mais ce sentiment étrange qu’il ressentait, il lui semblait qu’il lui aurait acheté un château avec une pièce de cuivre si elle lui avait demandé. Il retourna vers elle avant de glissé délicatement sa main dans la sienne et de la tiré tranquillement vers cette chambre qu’il avait payé en recomptant dans sa tête l’argent qu’il lui restait, pas qu’il comptait les sous, mais il ne voulait pas qu’elle manque de rien. Il monta à l’étage, mais ce voyage avec la main dans la sienne, vers une chambre d’une taverne, le stressait, sa main devenait un peu humide, son visage était rouge tomate et il n’osait plus la regardé, plus il approchait de la chambre et plus orchidée pouvait sentir une douce pression sur sa main, comme pour la retenir, mais sans l’obligé à venir.

Quand il fini par arriver dans la chambre, il lâcha la main de la douce orchidée pour prendre une clé qu’il aurait bien put prendre de son autre main, mais celle-ci tremblait tellement, qu’il du utilisé son autre main pour stabilisé la première. Il fini par ouvrit la porte et se glissa à l’intérieur avant de tenir la porte ouverte pour la jeune femme, puis une fois qu’elle fut passé, il referma la porte et la verrouilla. Il déposa son sac à dos avant de venir s’assoir sur l’unique lit de la pièce. Même s’il n’avait demandé qu’une chambre simple, celle-ci ne manquait pas de luxure, une petite salle de bain, une table de nuit de chaque coté du lit et l’unique lit assez grand pour deux personnes au centre de la pièce, il mit la main sur son menton, avait-il fait une erreur dans ses choix de mots? Le tavernier avait-il seulement comprit qu’il voulait une chambre avec un seul lit? Oui ce posé des questions dans un moment pareil était plus tôt étrange, surtout pour des questions comme celle-ci, mais cela le relaxait. Il était plongé dans ses pensés quand elle commença à lui parler, mais comme si sa voix était le chant d’une sirène, il retourna la tête, oubliant toutes ses questions et ses peurs, car le moment de l’énigme était arrivé et ne voulait pas en manqué une partie.

- Non je ne te crois pas presser et cela ne me dérange pas, dit-il en souriant. Je comprends que cette énigme est pour toi très spécial et que c’est une sorte de test de confiance au quel j’ai hâte moi aussi de participé.

Le fait qu’elle ajoute qu’elle voulait qu’il soit quelque chose le surpris un peu, que devait-il devenir? Il haussa les épaules, peut être qu’elle n’avait simplement pas assez confiance en lui pour lui accorder son amitié et que justement cette énigme lui en donnerais la permission selon sa race, mais penser qu’il serait simplement ami, il ignorait pourquoi, mais cela causait un petit vide dans son cœur. Elle lui demanda ensuite s’il était prêt, il lui fit un énorme sourire, se leva et se rapprocha d’elle pour finir par lui prendre gentiment les mains essayant d’être réconfortant, même si cela ne la ferait que rougir d’avantage, il trouvait que le rouge lui allais bien.

- Je suis tout ouïe.

Une fois son énigme entendu, Chika relâcha ses mains et retourna s’assoir sur le lit. Il attrapa son propre menton avec sa main et sembla se plongé dans une réflexion intense. Pour commencer, il fallait mieux analyser phrase par phrase, pour ne pas oublier un détail et aussi, il savait qu’il devait éviter d’aller dans le trop complexe, car une énigme comme celle-ci était souvent plus simple qu’on le pensait. Pour commencer, Qu’est ce qui mieux qu’un dieu et pire que le diable? Première étape, déterminé ce que voulait dire dieu et le diable dans cette phrase, le diable c’était assez simple, celui-ci représentait le mal, le mal absolu même, alors est ce que dieu pouvait signifier le bien? Pour l’instant, il valait mieux mettre cette phrase de coté. Alors les riches en n’ont de besoin et les pauvres en n’ont? Vite comme cela, il ne voyait pas ce qu’il pouvait manquer au riche, sinon les pauvres, souvent avait leur famille, mais sinon, ils n’avaient souvent rien… ce dernier mot l’accrocha, ce pouvait t’il que ce soit cela la réponse? Car même pour la dernière partie cela pouvait faire du sens. Il se releva avec un petit sourire.

- Je crois que j’ai trouvé. Qu’est ce qui est mieux qu’un dieu, donc de la gentillesse absolue pour les peuple qui les vénère et qu’est ce qui est pire que le mal absolue pour le diable c’est rien. Les riches ne manquent de rien et les pauvres n’ont rien. Pour finir si on mange rien l’ont meurt. Alors la réponse c’est rien c’est ça?