| | | L'Orine et le Chasseur [PV Shawn Goldrun] |  |
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 | | Jeu 26 Nov 2015, 00:29 | |
| Aslynn était debout depuis très tôt ce matin là. La chaleur du soleil sur sa peau lui avait fait grand bien, même si elle c’était levée à l’aube. Bien qu’elle n’ait pas le don de vue, Aslynn vivait très bien dans la forêt enchanteresse. Malgré toutes les branches sur lesquelles elle s’était autrefois assommée ou encore égratignée, la belle orine ne désespérait pas. Avec le temps, elle avait parcouru la forêt merveilleuse de long en large et elle avait apprit à la connaître, elle savait donc quand se pencher, enjamber les troncs morts ou les grosses pierres. Elle avait aussi sa précieuse amie, Ellie, qui faisait office de ses yeux lorsqu’elle en avait besoin. Cependant, chaque jour, elle découvrait quelque chose de nouveau, quelque chose de plus dans cette forêt enchantée. Les arbres avaient une texture comme nulle autre. Au lieu d’être rêches et désagréables au toucher, ils étaient soyeux. Les fleurs riaient doucement lorsqu’elle les effleurait du bout des doigts. L’odeur d’allégresse de cet endroit était si agréable que l’orine avait décidée de rester en ce lieu si magique, qui stimulait si bien ses sens.
Au départ, en pénétrant cette forêt, elle ne croyait pas Ellie qui s’évertuait à lui dire que ce n’était pas de coussins ou de peluches qu’elle était entourée, mais bien d’arbres et de mousse qui faisait office d’herbe. L’orine n’avait pas prévue rester en ce lieu, au départ. En faite, elle comptait aller visiter tout le continent, afin de vivre comme sa mère aurait voulu qu’elle vive. Sa défunte mère lui manquait tant, elle y pensait chaque jour depuis plus de cent ans. Aslynn était vide, à l’intérieur. Elle cherchait désespérément un moyen de combler ce vide que la mort de sa mère lui avait laissé. Cependant, rien ne changeait cette situation de tristesse que la jeune orine ressentait constamment… Jusqu’au moment où elle découvert cette forêt. Cette œuvre de la nature avait un air si frais et pur que la belle se sentait renaître à chaque inspiration. C’était si envoûtant, si magique, cet endroit. Elle ne voulait plus se séparer de ce bien-être qu’elle avait ressenti en posant le pied dans cet endroit.
Aslynn était ainsi donc restée dans cette forêt, qu’elle découvrait depuis maintenant quelques mois. Sa vie dans la forêt était simple, si simple! Elle chérissait beaucoup cette vie, malgré qu’elle ne lui permette pas de réaliser sa destinée d’orine. Peut-être finirait-elle vieille-fille, se disait-elle en riant nerveusement. Ce destin lui donnait mal au cœur, puisque malgré sa condition elle voulait rencontrer un homme qui serait un jour capable de répondre à son énigme, et qui serait donc son maître. Elle ne connaissait pas encore cela, mais elle redoutait que ce fût fort probablement la plus belle expérience dans la vie d’une orine. D’ailleurs, une autre expérience qu’elle voulait vivre durant sa vie, était d’avoir un enfant. Elle savait très bien ce que cela impliquait, la mort, mais elle était prête à cela. Aslynn avait déjà cent-vingt-cinq ans d’existence dans la solitude totale. Elle voulait connaître l’amour d’un enfant, et d’un homme aussi, afin de vivre peut-être deux fois moins longtemps que sa vie jusqu’à maintenant mais au moins de les vivre plus heureuse que jamais, ces années si courtes.
Malgré son amour pour la forêt où elle habitait présentement, Aslynn savait bien qu’elle ne resterait pas là toute sa vie. Personne ne passait jamais dans cette forêt bien vaste et quelque peu perdante pour quelqu’un qui ne la connait pas bien. Par contre, elle c’était dite qu’elle allait prendre le temps de vivre un peu dans cet endroit, puisqu’elle était épuisée de tous ces voyages et de tout ce temps passé seule, à simplement tenter de faire devenir sa destinée une réalité.
En cette journée chaude, Aslynn devait faire ces quelques petites tâches habituelles. Elle commençait sa journée d’un bon pied en passant sous une petite chute d’eau qui était non loin de l’arbre où elle préférait dormir. L’eau n’était pas très chaude, mais l’orine avait développé une résistance aux températures inhabituelles pour les autres humains. Cela la rafraîchissait beaucoup et la réveillait bien. Elle allait ensuite cueillir quelques petits fruits afin de s’en nourrir, et donnait la tâche de chasser à sa compagnonne Ellie. Bien que cette dernière soit un Luk Himii, une race très vulnérable en nature, Ellie adorait la chasse et elle y excellait, lorsqu’il s’agissait de petits animaux. La petite ourse lui rapportait toujours un petit lièvre ou encore un oiseau. Aslynn les préparait et les mangeait donc. Elle chassait une fois par jour seulement, parfois moins lorsque ces provisions étaient pleins. L’après-midi, l’orine allait faire un peu d’exercice : elle courrait parmi les arbres moelleux et elle grimpait parfois à des centaines de mètres. Il ne lui servait qu’à bouger un peu, puisqu’elle ne pouvait pas admirer la vue d’en haut. Par contre, elle sentait la fraîcheur de l’air, puisque plus elle montait haut plus il faisait froid.
Après cet exercice, l’orine faisait souvent une petite sieste, souvent simplement au sol. Elle avait parfois le mal des hauteurs qui lui prenait la tête, lorsqu’elle restait en haut d’un arbre trop longtemps. Cela lui faisait un effet de pression au niveau des tempes. Le sol, lorsqu’elle l’atteignait de nouveau, lui semblait si accueillant qu’elle s’y étendait pour quelques minutes. Lorsqu’elle se réveillait, il était l’heure de pêcher. Il y avait un étang non-loin qui abritait des centaines de poissons. Elle était bien chanceuse d’avoir découvert cet endroit, qui était bien plus reculé dans la forêt. Elle pêchait donc deux poissons, un pour elle et un pour Ellie, ou simplement un lorsqu’il était bien gros et bien gras. Ellie était une très bonne juge pour cela, d’ailleurs. La petite avait toujours les yeux plus grands que la panse! Après le souper, la belle allait prendre un bon bain chaud pour se nettoyer de ses activités de la journée et elle allait dormir après avoir passé quelques heures à jouer avec sa compagne. Les deux filles se racontaient des histoires de tous genres, parfois horrifiantes, parfois très drôles et d’autres fois tout simplement tendres. C’étaient deux meilleures amies, et elles passaient beaucoup de bon temps ensemble. Lors de ses discussions, Ellie décrivait souvent beaucoup de choses qu’Aslynn n’aurait jamais la chance de voir par elle-même. Cela fascinait l’orine, qui tentait parfois de représenter ce que la petite ourse lui décrivait en faisant des dessins sur des parchemins qu’elle allait acheter en ville une fois par mois. Étonnamment, la jeune femme à la longue vie avait un certain talent pour faire des dessins uniques et particulièrement réussi dans certains cas. Elle avait une imagination qui était débordante.
Ainsi, Aslynn vivait heureuse, dans la forêt. Elle avait sa petite routine et elle ne s’en lassait pas jusqu’à maintenant, alors pourquoi cesser de vivre ainsi? |
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| | Mar 01 Déc 2015, 02:17 | |
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- Shawn voyage généralement en groupe, mais parfois il apprécie la solitude. Plus précisément n'avoir aucun ses compagnons dans les parages, chacun d'eux est assez particulier et difficile à supporter sur une longue période. Pour y remédié celui-ci décide d'allers seul pendant quelque jour dans un endroit sans population, juste la nature et le silence pour y apprécier le moindre bruit que peut faire le vent sur les feuillages des arbres. Il y a maintenant une journée entière que le brun vadrouille sans objectif précis dans la forêt, il admire le paysage qui parfois laisse de petit surprise comme des arbres entre-mêlée dans leur racine, cela donne une forme particulièrement amusante, on pourrait croire que certain chercher à s'enlacer l'un contre l'autre, parfois on pourrait même croire qu'il cherche à ce battre pour savoir qui va venir sur le territoire de l'autre. Malheureusement leur pousse est très lente, quand celle-ci n'aura évoluer que centimètre la vie de Shawn n'en sera plus présente pour en voir le résultat.
Les réserves de nourriture et d'eau commence à atteindre un taux critique l'obligeant à chasser pour s'en procuré, l'eau est assez simple il y a quelque coin d'eau dans la région et des petits ruisseaux pour alimenté la gourde à tout instant. L'arc dans les mains, une flèche dans l'encoche et avancer en cherchant une proie, cela semble assez simple mais dans un endroit pareil il est difficile d'y voir grand chose, les racines émane du sol laissant des abris naturelles assez grande pour une personnage ou de petit trou pour que les plus petits puisse s'y faufiler. Ce fut un petit bruit, très leger qu'attire l'attention de Shawn, il prit un simple caillou sur le sol pour le jeter dans la direction du bruit. A peine celui-ci avait éraflé la végétation d'un lapin fait un bond pour s'enfuir, le brun vise aussitôt mais celui-ci ce déplace en utilisant les racines comme couverture, bien obliger de lui courir après sur quelque mètre pour l'avoir de nouveau en joue celui-ci avait disparu déjà dans la faune local. Shawn n'était pas déçu, après tout il n'est pas rare de pas avoir son gibier dès la première proie en vue. Le brun continue alors d'allers de l'avant, cherchant encore un animal pour son repas. Et ce fut quelque mètre plus loin qu'il pouvait déjà en voir une nouvelle, pourtant il s’agissait encore d'un lapin, coïncidence ? Shawn l'avait cru sur le moment, pourtant celui-ci ne bouge pas fixant le jeune homme, il brandit à nouveau son arme mais trop tard celui-ci s'enfuit encore. Il continua donc encore, et le même lapin ce tient sur ses pattes arrières en fixant le brun.
- Tu te moque de moi ? Dit-t-il en parlant au lapin.
Shawn s'approche cette fois-ci dans utiliser son arc et l'animal ne bouge pas, il attend tranquillement que son chasseur l'approche. Puis sur le dernier mètre celui-ci recule de la même distance puis fixe à nouveau le jeune homme. Le lapin était en train de jouer avec les nerfs du brun pas de doute. Dès qu'il touche a son arc celui-ci détalle ce réfugié mais quand il l'approche à main nue il laisse presque un mètre, comme si celui-ci disait ''Attrape-moi si tu peu''. Shawn n'aime pas trop qu'un simple lapin le sous-estime, il ce laisse prendre au jeu par obligation sinon celui-ci pourrait disparaître définitivement dans son champs de vision. La course commence très vite, le lapin s'enfuit assez vite mais il nargue le jeune homme en laissant celui-ci le rattraper volontairement, la lutte s'étend sur plus de cent mètre, puis ils atteignent des buissons assez grand, le lapin lui traverse très facilement mais Shawn fonce dans le tas ne cherchant pas à comprendre, une fois de l'autre coter la lumière éblouie le jeune homme, il ne pouvait que voir le lapin au sol continuer à courir, aussitôt il reprend la chasse couvrant son visage d'une main pour y voir plus claire. Mais sans prévenir le lapin fit un depuis tour tellement rapidement et imprévisible que Shawn ne pu le suivre continuant sa course tout droit. Cherchant à voir l'origine de la fuite de l'animal il retire sa main essayant déjà de ralentir l'allure de sa course. Trop tard, une silhouette ce dessine devant lui et trop tard pour faire machine arrière, la seul solution fut d'éviter l’obstacle. Shawn fit un bond au-dessus de celle-ci, il était parfait, sauf qu'une fois à la réception celui-ci glisse et s'écrase dans l'eau. Le brun n'avait pas vu derrière la forme d'ombre devant lui une source d'eau, la zone d'atterrissage fut donc dans l'eau et les galets était trop glissant pour qu'il puisse adhéré à ses chaussures. La tête dans l'eau il ressort complètement tremper, son regard ce fixe sur la personnage qu'il vient d'esquivé de justesse. Il s’agissait d'une belle femme, des courbes plutôt agréable à regarder, un visage magnifique et des yeux capables de perturber n'importe quels hommes. En regardant de plus attentivement elle était tremper et d'après le sol ce fut la bombe de Shawn qu'était responsable.
- Bonjour, comment allez-vous ?
Le brun n'est pas très malin quand il s'agit d'une belle demoiselle devant lui, généralement dans ce genre de situation on s'excuse poliment, mais implacable de raisonner correctement voyant la jeune demoiselle tremper jusqu’à l'os laissant d'avantage de courbure apparaître. Le jeune homme détourne le regard laissant quelque coup d’œil rapide sans vraiment le faire exprès. Il récupéré finalement ses esprits puis ce lève dans l'eau pour finalement s'excusez convenablement.
- Excusez-moi pour cet incident, je n'avais pas vu quelque était au bord, je courais après un lapin.
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| | Ven 18 Déc 2015, 20:20 | |
| Aslynn était en train de faire sa sieste habituelle, lorsqu’Elie la réveilla doucement en disant qu’il se passait quelque chose, au loin. L’ouïe de sa petite compagne de vie était bien meilleure que la sienne, alors elle se leva lentement, et dès qu’elle descendit de l’arbre où elle était perchée elle se fit arroser par une belle éclaboussure digne d’une pierre bien lourde qui était tombée de haut dans un étang peu profond. Elie la prévenu que c’était la personne turbulente qu’elle avait entendue plus tôt. Aslynn se mit sur ses gardes, tentant de tordre ses vêtements qui devinrent inconfortables et froids à cause de cet arrosage gratuit. Elle songea à aller prendre un bon bain chaud plus tôt qu’à son habitude, cette journée là. La belle orine entendit alors les plates excuses du jeune homme qu’elle avait entendu se relever de l’étang où il était tombé. Elle ne savait pas ce qu’il regardait, mais son regard à elle, qui était aussi vide que celui d’une peluche, fixait en sa direction. En faite, ce qui la surprit, c’est que l’homme ne s’excusa pas tout de suite. Il la salua simplement et lui demanda comment elle allait. Cela la fit rire, le rire doux et envoûtant que seule une Orine pouvait émettre.
- Bonjour… Je vais bien, mais je suis trempée, vous voyez?, dit-elle en désignant ses habits qui lui collaient à la peau. Je crois que vous avez quelque chose à voir dans tout ça, monsieur!, dit-elle en souriant, amusée par cette première interaction. Enfin l’homme daigna de s’excuser, en disant piteusement «Excusez-moi pour cet incident, je n'avais pas vu quelque était au bord, je courais après un lapin». Aslynn et Elie ne purent s’empêcher d’éclater de rire, au point où des larmes montèrent aux yeux de la belle orine.
- Tout ce vacarme pour un simple lapin?, demanda-t-elle, encore rouge de son rire interminable. Monsieur, je ne sais pas si vous le savez, mais la chasse est une question de subtilité. Là, à en voir où vous en êtes, je dirais que c’est plutôt ce lapin qui vous chassais!, continua-t-elle encore un peu sous l’effet du rire. Elie hocha de sa petite tête et lui proposa de sa petite voix aigüe «Si vous voulez, monsieur, je peux vous apprendre ^^ Je chasse tous les jours, ici» dit-elle en lui montrant ses petites griffes et ses petites dents, qui pourtant étaient étonnamment efficaces pour attraper les proies en les tuant sur le coup, mais sans abîmer leur peau. Aslynn ajouta finalement :
- Ah, et j’oubliais ma politesse! Je me nomme Aslynn d’Enval, et voici ma compagne de vie Elie. Je m’en allais dans les sources chaudes qu’il y a à l’autre extrémité de la forêt, pour me réchauffer puisque je suis glacée à cause de cette éclaboussure, voulez-vous m’accompagner, monsieur sans nom? ^^, dit-elle avec une touche d’humeur, tournant les talons et commençant à marcher lentement avec sa petite Elie toujours sur son épaule. |
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| | Mer 13 Jan 2016, 11:43 | |
| Alors que le brun remarque enfin la tenue complètement tremper de la demoiselle laissant apparente les marques des vêtements sur ses courbes le brun détourne le regard cherchant à éviter de trop reluquer ce spectacle qui n'est pas déplaisent pour autant. Mais il fut complètement déconcentrer par quelque chose de petit et qui ce prononce avec une voix aiguë à souhait. L'effet surprise suite à l'origine de cette bestiole fut total, le brun tenta d'y réfléchir à deux fois avant de regarder à nouveau la peluche. Il essaya finalement de feindre sa surprise en continuant le dialogue.
- J'ai l'habitude d'avoir des cibles bien plus grosse, je n'ai pas encore pris l'habitude de petit cible mouvante. Dit-t-il pour expliqué sa maladresse. Je devrais peut-être me rendre utile après mon incompétence et mon petit accident avec vous.
Le jeune homme commence à chercher de gauche à droite et très rapidement des morceau de bois sec pour y tenir un feu assez grand pour y réchauffé la demoiselle et Shawn complètement tremper par son petit saut dans l'eau. Bien que le lapin ne soit pas quelque chose qui pourrait s'en vanter, le feu n'est plus vraiment un secret depuis le début de ses aventures, en faire un rapidement est devenu même une habitude pour lui, bien que parfois il n'est pas l'intelligence de ce servir de cette compétence pour d'autre situation qui le demande.
- Installez-vous près du feu, je n'aurais pas envie d'être responsable si vous tombez malade. Enfin, je ne pense pas ton ami puisse être malade.
Le brun avait clairement compris que le petit animal parlant n'était pas naturelle mais quelque chose de magique, bien surpris d'y voir que son anti-magie n'avait pas d'effet la-dessus, le brun par contre n'avait pas encore remarquer la cécité de la demoiselle, elle le remarquera surement quand celui-ci lui demande de s'installer non loin du feu, bien la chaleur devrait l'attirer il était assez maladroit pour lui de n'avoir toujours rien remarquer à ce stade-la.
Alors le brun s'installe au niveau du feu, le lapin de tout à l'heure semble être revenu nargué celui-ci. On pouvait voir son visage sortir d'un buisson, les oreilles bien dresser, malheureusement a la vue de la peluche celui-ci disparu aussitôt.
- Je suis moins terrifiant que toi on dirait. Dit-t-il en soufflant laissant ses mains ce réchauffé doucement contre le feu. Vous parlez de source d'eau chaude ? Maintenant nous somme un peu réchauffé pour le trajet je suppose que nous pouvons y allers. Mais il est très imprudent d'être ici seul, cette endroit est parfois le refuge de bandit ou de scélérat, leur nombre est parfois leur point fort, vous ne saviez pas ?
Le brun laisse la demoiselle prendre le chemin, il ne connait pas encore ce lieu, il est même très surpris de savoir que des sources d'eaux chaudes sont présente dans le secteur. |
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