« Messieurs, bienvenu sur l’île du Zodiaque. »
Zéleph fixa le vieil homme qui se tenait en haut des massifs escaliers de pierres. Entouré de ses gardes en tenue de combat, il surplomber les six hommes qui se tenait là, dont l’ancien seigneur des deux rives. D’ailleurs le réprouvé ne voyait pas comment il était arrivé ici. Il était venu au temple des esprits, un beau matin, pour répondre à leurs appelle, mais quand il avait traversé la cascades d’eau, il c’était retrouver sur une plage, et quand il avait désiré faire demi-tour, il c’était retrouver face à l’océan. Forcer de continuer son chemin sur l’île, il avait monté de grands escaliers en pierres blanches, pour arriver dans la cour d’un temple traditionnel où ce tenait déjà quelques hommes, encadré d’autre qui portait le même uniforme unie. C’est à ce moment que le vieil homme apparut au haut des marches. Dans son costume rouge, un œil balafré, la rétine blanche, le visage marqué, il avait l’air d’avoir beaucoup combattu durant sa vie, et tous ici l’écouter avec grande attention.
« Vous connaissez les règles. Au cours des prochains jours, vous allez participez à une série de combats et d’épreuves. Votre Force, votre habilité et votre courage seront mis à l’épreuve. »
Zéleph comprit ce qui se passait, et il n’apprécia pas du tout le jeu au quel jouer les esprits. Est-ce que cet homme en était un d’ailleurs ? Etait-ce un genre de tournoie qu’organiser le temple des esprits pour mesuré la puissance, et l’évolution de leurs disciples ? En tous les cas il aurait bien voulu être prévenu avant d’être jeté de cette façon dans la gueule du loup.
« Votre publique est constituer des hommes les plus riches de toutes les terres du Yin et du Yang. Chacun d’eux a payé mile pièces d’or pour avoir le privilège d’être ici. Mais ils miseront encore plus sur votre performance. Alors ne les décevez pas. »
Le réprouvé comprit qu’il ne se trouvait réellement plu au temple, ils l’avaient envoyez, il ne savait comment, sur cette île. Ou sinon l’illusion était parfaite, trop parfaite peut être. Dans tous les cas si ce tournoi exister vraiment, il n’en avait jamais entendu parler, et pourtant il faisait partie de ce milieux depuis longtemps.
« Vous êtes les meilleurs, parmi les meilleurs. Nul autre que vous ne saurais surmonter les défis qui vous attendes. Néanmoins, il ne peut en rester qu’un. »
Zéleph commencer à comprendre, et apprécier de moins en moins d’avoir était envoyé ainsi, sans aucunes informations préalables. C’était une mauvaise blague, et le réprouvé n’apprécier pas ce genre d’humour.
« Un seul sera sacré champion ! »
Quelque voix s’élevèrent, les participant n’avaient pas l’air surprit, contrairement à lui, ils si attendaient tous plus ou moins, mais l’air contrarier qui se lisait sur certain visage le fit sourire.
« C’est de la folie. »
Le réprouvé ce tourna vers un grand homme, épaules très large, le visage fermer, cheveux mi-long, attacher en queue au-dessus de la tête, il avait l’air d’un guerrier ayant connue quelque batailles. A vrais dire tous les participants n’avait pas l’air bien jeune, et d’après ce que le réprouvé avait compris, ce n’était pas un tournoi pour enfant de cœurs, mais bien pour homme aguerrie.
« Vous êtes ici pour combattre ? »
« Pourquoi tu crois que je suis là ? »
Le réprouvé haussa les sourcilles, puis les ce détourna pour aller voir ailleurs si l’y était. Avec un homme aussi agréable, il ne valait mieux pas s’attendre a plus.
« Je disais cela par politesse. »
Et Zéleph s’éloigna, mais c’était sans compter sur l’homme qui le suivit, et posa sa main sur son épaule pour le stopper, ce que le réprouvé n’apprécia que modérément.
« Attend ! Tu es souverain. Je te reconnais. Tu es Zéleph, le seigneur des réprouvés. »
Zéleph n’était pas un homme qui se mettait facilement en avant, et c’était encore moins un homme qui jouer de sa position de souverain. La en l'occurrence, d'ancien souverain.

673 mots

Si on avait pu oublier ce détaille il en aurait était enchanter, mais puise qu’on en était aux confiances.
« J’était… et alors ? »
« Je suis Fu. Lee Fu. Un mercenaire. Tu as peut être déjà entendu parler de moi ? »
« Non. Je je regrette. » dit-il plus par politesse que par sincérité.
« J’ai gagné tous les tournois de combat des terres du Ying et du Yang, cinq ans d’affiler. Je ne savais pas que le seigneur des deux rives participer aussi à ce genre de rencontre. »
Zéleph soupira mais ne releva pas l’erreur.
« C’est la première fois. »
« Et tu commences par celui d’où l’on ne reviens pas vivant ? On dit du réprouvé Zéleph qu’il est d’un courage sans limite, mais moi j’appelle ça de la folie. »
« Alors dit que je suis fou, mais quand tu mourras, tu ne pourras le justifier par ma folie. »
L’homme se mit à rire, et Zéleph crue l’apprécier. En fin de compte il n’était pas si désagréable que cela.
« Je suis trop fière pour me faire tuer par un fou, j’espère que l’on dira que j’ai était tuer par un homme puissant, mais comme c’est moi, il sera dit que j’ai était vaincu par mal chance. »

Le ton était celui de la plaisanterie, et ce fut ainsi qu’il le pris, riant avec ce nouveau camarade, qui n’était pas de trop en vue de l’endroit mystérieux où les esprits l’ont envoyé. L’homme qui était un Alfar, s’excusa auprès de lui, pour aller ce préparé, et Zéleph décida d’en profiter pour ce renseigné sur ses autres adversaires. Il s’approcha d’un homme chauve, vêtu que d’un simple short, et d’une sorte de couronne en tissu sur la tête. Il se tenait droit comme un piquer et avait les yeux qui lancer des éclairs. A la vue de ses yeux rouge sang, et de sa peau aussi pâle que celle d’un mort, il en conclu qu’il était un vampire, mais encore aurait-il pu se tromper.
« Qui es-tu ? »
« Filas, fils de Lucius. Je suis ici pour venger la mort de mon père. »
« Il est mort pendant ce tournoi. »
« Oui, c’est Zang qui là tuer. Alors que mon père avait gagné, Zang aller gagner plus d’argent si c’était son poulain qui gagner le tournoi, il a donc tué mon père pour gagner plus. »
« Zang, est capable de faire ça ? »
« Je sais qui vous êtes. A votre place je ferais attention. Avec votre légende on va miser gros sur vous, et Zang aura une attention toute particulière à votre défaite si les mises son sur votre tête. »
L’homme le salua avant de partir. Le réprouvé eu juste le temps de le remercier avant qu’il ne disparaisse dans l’oubli. Apparemment ce vampire maitriser la magie des ombres, et si la magie était autorisée dans ce genre de concours, le réprouvé aller avoir un sacré handicap. Son plus gros souci à l’heur actuel était ce Zang. Le maitre du tournoi. Si ce que le vampire avait dit était vrai, alors il ne devait faire confiance à personne.
 « Tu as raison Zéleph, fit toi a ton instinct. »
Le réprouvé se redressa les yeux ronds. Quelqu’un venait de lui parlait, mais en ce tournant dans tous les coins il ne vit aucune femme, et il eut peur de savoir à qui appartenait ces mots.
« Calme toi, je suis là pour t’aider. »
 « Méli ?! Sortez de ma tête bon sang, je déteste ça ! »
[i] « Je ne peux pas me montré, je n’es même pas le droit de te parler. Les esprits t’on envoyez ici pour que tu prouves que tu es digne du serpent. »
« Et vous n’auriez pas pu le faire autrement ? »


650 mots

« Nous avons décidez qu’il était mieux que tu sois ‘mit à l’épreuve’ dans un endroit extérieur au temple. Puis, nous avons quelque chose a réglés avec Mr. Zang. »
« Il n’est pas claire. »
« Tu peux parler. Enfin, a par tuer les participants dans le but d’amasser plus d’argent, il fait en sorte que des disciples du temples s’inscrive, et il vole leurs armes pour son usage personnel. Seulement les armes son unique, et leurs liens avec leurs maitres est indestructible. Il arrive à ce servir du pouvoir des armes, mais il ne les contrôlera jamais. Seulement nous voulons qu’il rende les armes et arrête de puiser leurs énergies. Cela est trop instable pour un homme comme lui, il finira par créer une catastrophe. »
« Vous êtes des Aetheri, vous pourriez vous en chargez-vous-mêmes ! »
« Nous n’avons pas le droit de sortir du temple. Même si certain ne se gêne pas pour le faire, c’est vrais, mais cela ce fiche pas mal de notre problème. »
« Je suppose que je n’ai pas le choix. »
« C’est en effet ça. »

Zéleph soupira. Il n’était pas assez occuper comme cela, il fallait en plus qu’il aide le temple des esprits. Bien sûr il avait juré serment et prêté allégeance, qu’il serait un protecteur du temple, mais il n’avait pas pensé qu’il serrait appeler tous les quatre matins. Le réprouvé avait profité du début du tournoi pour faire un peu de reconnaissance. L’île n’était pas très grande, assez pour le temple et toute les arènes, ainsi que les terrains d’entrainement et les courses de défis, mais il n’y avait pas d’habitant, ni rien d’autre. Il n’exister ici que le temple et ses bâtiments. Faisant le tour, il assista à quelques entrainements des disciples de Zang. Il avait une vraie école ici, et les jeunes qui combattaient étaient réellement douer. A croire qu’il créer une armée d’élite. Au détour d’un petit chemin de terre qui longer la plage, il se fit attraper par le colle de ses vêtements, puis plaquer contre un rocher. Il aller répliquer, pour se défendre quand il se rendit compte que c’était une femme.
« Y a-t-il aussi des femmes dans ce tournoi ? »
La jeune femme aux cheveux bruns, lui sourit de toutes ses dents, avant de lui remettre son colle correctement, comme pour s’excuser gentiment de sa brutalité passer.
« Non, moi je suis ici en tant que spectatrice. »
Le sourire qui suivit cette phrase était beaucoup plus charmeur, et son regard en disait long sur ses intentions, seulement Zéleph avait autre chose à faire que de s’occuper d’une femme a cette instant.
« Je vous admires beaucoup, vous savez. Cela fait longtemps que je suis vos exploits. Vous êtes un homme... Beau. » Elle fit glisser ses longes mains sur son torse. « Et fort » ses doigts descendirent de plus en plus vers on ventre, longent ses muscles.
Réalisant ce qui était en train de ce passé, le réprouvé la poussa pour ce dégager de cette impasse. Elle l’aguicher, et puis quoi encore. Il n’était pas né de la dernière pluie, et il savait très bien ce que cela signifier. Elle lui fit un petit sourire déçu, avant de ce rapproché à nouveau, féline. Le réprouvé n’était pas sensible à son charme. Il en était tout à fait indifférent, mais elle parut ne pas le comprendre, prenant surement son aire désintéresser pour de la désinvolture naturel.
« Je m’appelle Nina, et je serais très heureuse d’aidé mon réprouvé, pendant ce tournoi. »
Elle laissa glisser sa main sur sa joue, en passant a coter de lui, et partit en riant, d'un rire qu’il trouva passablement agacent. Elle se disait réprouvé et en parlait la langue, mais Zéleph n’était pas dupe. Avec ses deux ailes rachitiques et son aire carnassière, elle avait bien plus l’air d’un démon que d’autre chose.


661 mots

Et Zéleph n’avait aucune confiance en cette race, particulièrement par ce cas titre personnel il n’avait jamais pu constater autre chose que de la fourberie, chez eux.
 « Tu as raison, c’est une démone. Méfie-toi d’elle. Les femmes ne peuvent participer à ce tournoi, mais ça ne les empêches pas d’être le poison de l’homme. » venant de l’esprit de la nature, cela ne pouvait être que vrais, et Zéleph se retourna pour regarder Nina disparaitre dans la jungle, ses hanches ce balancent au rythme de sa marche, calme et terriblement calculer.
« J’ai déjà mon propre poison. »
Méli parut rire dans ses penser, mais il n’y fit pas attention. Il supposer que tous les esprits le savait, comme à peu près toute les terres à présent. C’était bien aussi pour cela qu’il devait faire attention à ce qu’il faisait, mais il n’avait pas peur de ce qui pourrait arriver. Il n’avait rien à craindre pour la simple et bonne raison qu’il ce désintéresser de toute les autres femmes a par celle qu’il voulait vraiment, et qui, par sa persévérance, était à présent à lui. De plus, ici, il avait bien d’autres chats à fouetter, que de ce posé des questions existentielles sur ses rapports avec les femmes.

Continuant sa marche il arriva sur la plage. Les pieds dans le sable, il soupira d’aise. Il adoré l’océan, l’eau, le calme des vague, la chaleur du soleil, la brulure des grains de sable sur sa peau, l’odeur de sel que lui renvoyer le vent. Il ne savait d’où lui venait cette amour pour l’air marin, mais tout petit déjà, il aimer ce perdre à marcher le long des océans. C’est en longeant l’eau qu’il vit un gros homme, qui n’était pas en uniforme et donc ne faisait pas partit des hommes de Zang. Gros, vêtu, d’une sorte de débardeur, d’un vieux pantalon, et couvert de tatouage, il était plongé dans ses penser. Comme il y avait un petit bateau à coter de lui, le réprouvé se demanda simplement si il n’était pas échouer, et ce croyez perdu sur une île déserte. Ce fut par pur gentillesse que le réprouvé s’approcha de lui.
« Tu vas te battre ? »
Le gros ce retourna vers lui, l‘air surprit avant de ce renfrogner.
« Qu’est-ce que ça peut te faire ? »
Aussi aimable que Fu, le premier participant avec qui Zéleph avait parlé. Ce fut bien par ce qu’il avait déjà eu une petite expérience avec ce genre d’homme que le réprouvé prit sur lui de continuer la conversation malgré tout.
« Juste comme ça. »
« C’est pas assez évidant nan ? Chien de réprouvés, vous ne savez vraiment rien faire d’autre que parasiter le monde. »
Le réprouvé ce crispa. Il ne c’était pas attendu a ce qu’on l’insulte de si bon matin. Sur tout que cela faisait longtemps qu’il n’avait pas croisé quelqu’un capable de l’insulte, ou en tout cas qui était encore assez fou pour le faire.
« Pardon ? »
« Ça ne me dérangera pas d’écraser ta salle tête de moineau sur l’un des murs de l’arène, mais je préfère en finir maintenant, ça serra toujours un chien de moins à abattre. »
Le gros lui envoya une droite qui aurait bien pu lui détruire la mâchoire si le réprouvé n’avait pas esquivé, puis coincer le bras sous le sien pour le bloquer, lui envoyant son pied dans la tête. L’homme recula, et Zéleph se mit en position de combat. Il voulait ce battre et bien soit. Il lui avait donner plus d’une raison pour le tuer, la première étant qu’il n’apprécier pas le manque de respect fait a son peuple, et la seconde étant qu’il l’avait attaquer de front et en premier.
« C’est un génie Zéleph. Un génie. Tue le avant qu’il ne se serve de sa magie. »


648 mots

Un génie ?, Mais il ne savait pas tuer les génies. Si il se souvenait qu’un jour Mitsuko lui avait dit que pour tuer un génie il fallait briser leur réceptacle.
« Son pendentif ! C’est son pendentif ! »
Si méli n’avait pas était là pour le lui dire, Zéleph ne l’aurait jamais crue. C’était si évidant. Agilement le réprouvé évita un coup du gros, et il profita de son déséquilibre, puis il en profita pour lui donner un coup dans les mollets, faisant tomber l’homme, lourdement sur le dos. Rapidement, Zéleph lui prit son collier, et le lui arracha. Le génie cira en ce relevant pour tenter de le récupéré, mais le réprouvé le brisa entre ses doigts. Cette fois il ne pourrait pas nier. Il avait belle et bien tuer un génie, mais il l’avait bien mérité, ce n’était que de la légitime défense et de toute façon dans ce genre de tournoie, c’était marche ou crèves. Zéleph se retourna et repartie vers le temple, trouvant que s’éloigner n’était pas une bonne idée, surtout si c’était pour ne croiser que des embûches.

Le premier jour de ce tournoi était consacré à prendre ses marques, à prendre des repères et s’imprégner de l’endroit, mais le réprouvé avait compris, que c’était aussi le jour de juger ses adversaires, de voir leurs point fort et leurs point faible. Pour d’autre c’était aussi de commencer les complots, et les petite manigance, et c’était bien pour éviter cela que le réprouvé avait décidé de rester dans la cour du temple, dans l’espoir qu’ici personne ne viendrait s’intéresser a lui. Assit sur un muret, il regarder les gens passer, jusqu’à ce qu’un homme, particulièrement maigre par rapport à tous ces hommes, viennes s’assoir a ses coter et lui tende la main.
« Natsukishi. J’ai entendu dire que tu t’étais déjà débarrasser d’un de nos concourant. »
Zéleph serra sa main, n’étant pas pour autant confiance, il valait mieux le faire croire. Le réprouvé aller justifier son cas, quand l’homme trapu leva les mains pour le faire taire.
« Oh mais je ne te juge pas. Après tout, tous les coups son permit ici, disons que tu as un point d’avance sur nous tous. De toute façon nous étions six au début, il est arrivé en retard, je crois que c’est par ce qu’il savait que tu étais là. C’était lui ou toi, alors, il n’y a aucun mal à l’avoir éliminer. »
Le réprouvé ne savait plu trop quoi penser. Il se méfier de tout le monde ici, mais par rapport aux dangers de ce tournoi, tous les participant n’était pas des bêtes sanguinaire assoiffé de sang et de victoires. Ils avaient tous une raison particulière pour être ici, tout autre que celle de tuer.
« Tu dois te demander, pourquoi un elfe participe à ce genre de tournoie ? »
Un elfe ? Il n’avait même pas remarqué, mais à présent, qu’il voyait très bien ses oreilles pointu, la question s’imposa en effet, au réprouver.
« J’aime les challenge. De plus avec la récompense, je pourrais aidée ma famille, c’est un grand honneur pour moi de pouvoir les aidées. »
Il y avait tant de sincérité chez cet homme, que le réprouvé ressentit une forme d’empathie. Il aurait voulu lui dire de fuir, de quitter les lieux avant qu’il ne  se fasse tuer. Un homme aussi bon ne mériter pas de mourir ici, mais il ne pouvait pas. En tant qu’homme, en tant que guerrier, il savait tous les déshonneurs que cela était de se faire refuser un combat. C’était pire que la mort. Zéleph posa une main sur l’épaule de Natsukishi, et il lui offrit un petit sourire.
« Je serais fière de me battre contre toi. Ta cause est juste. Nous devrions tous en avoir une aussi belle. »
L’elfe haussa soudainement les épaules, les yeux perdu dans le vague, comme dans ses penser. La tristesse qui se lisait à présent sur son visage était palpable, et le réprouvé ne comprit pas tout de suite.
« Je ne sais pas si elle est noble, mais au moins je mourrais en homme. »


693 mots

Zéleph comprit que cela cacher quelque chose. Chaque participant venu ici avait ses lourds secrets et ses propres démons qui les hanter. Natsukishi ne devait pas être la de plein grès, et le réprouvé maudit sa famille, qui devait être bien mauvaise pour envoyer leurs fils à l’abattoir. Le réprouvé avait envie de le prendre sous son aile, mais il n’en avait pas le droit, ici c’était chacun pour soi, et les Dieux pour tous.
 « Je suis navré Zéleph, nous ne pouvons rien pour lui. En temps qu’esprits du temple, nous ne pouvons intervenir dans le destin. »
Il soupira, mais sourit tout de même à Natsukishi, qui le quitta pour aller s’entrainer. Il aurait dû faire de même, mais le réprouvé resta assit sur son muré, une bonne heure encore, plonger dans ses pensées. Il allait devoir ce concentré et faire preuve de ruse. Peut-être était-ce cela son principal défaut, il était bon stratège, mais n’avait aucune qualité de sagesse ou d’intelligence particulière. Son point fort était au moins de connaitre son point faible, et il savait en jouer. Faire croire qu’il était bête et que l’on pouvait ce servir de lui était un atout, car il n’était peut-être pas d’une grande intelligence, mais ce n’était pas un idiot complet non plu, comme certain bienpensant, ce l’imaginer. Zéleph était confiant sur l’issus des combats, il se savait très bon et fort, la seul chose qu’il redouter était les épreuves de magie, si il y en avait du moins, car avec un peu de chance la magie serrait interdite. Après tout il ne connaissait rien des règles de ce jeu. Contrairement aux autres qui partaient avec cet avantage, le réprouvé n’était au courant de rien, si ce n’est que la mort était un maitre mot pour le vainqueur.

Fumant tranquillement une cigarette pour se détendre, Zéleph observait l’un des cours de combat qui ce dérouler dans l’enceinte du temple. Des mouvements d’un art martial que le réprouvé ne connaissait pas très bien. Il les regarder faire leurs mouvements, perfectionnant leurs technique dans une parfaite synchronisation. Cette harmonie était reposante. C’était paradoxale vue ce qu’ils apprenaient, et pourtant c’était d’un calme apaisant. Zéleph les regarda un bon moment, avant que la cour se termine, et il fut interpeller par le maitre des lieux lui-même.
« Le seigneur des deux rives en personne. C’est un honneur de vous compter parmi les concourant de mon tournoie. »
Le ton mielleux de Zang ne plut pas au réprouvé, mais il ne dit rien, et le regarda ce courbé devant lui, indifférent a ce genre de comédie, qui pour lui venait plus du théâtre que du réel respect.
« J’espère que votre séjour vous plaira, si tenter que vous vaincrai les autres participant. »
« Je ne les craint pas. »
« Hu, je m’en doute. Le réprouvé des réprouvés n’est pas homme à ce faire impressionné. »
Le sourire malin de ce vieil homme ne plut pas plus que le reste au réprouvé. Cet homme était décidément un belle enfoiré et Zéleph ne se gêner pas pour le penser. Voilà qu’il venait lui lécher les bottes tout en lui faisant comprendre qu’il n’était ici qu’un concurrent comme les autres. Soit, il le savait déjà.
« Vous ne vous entrainer pas. Peut-être est-te vous trop confient. Les autres s’entrainent déjà avec beaucoup de vigueur. »
« Dison que je leur laisse un avantage. »
« Noble avec ça… Bien, bien. Je vous souhaite bonne chance Zéleph, mais sachez qu’ici, votre déesse ne pourra rien pour vous. »
Le ricanement de cet homme était tellement aigue qu’il en érailler ses tympans. Le réprouvé le regarda partir, ne pouvant s‘empêcher d’avoir un air mauvais, le regard poser sur lui. Il c’était apparemment renseigner sur lui, et le réprouvé n’aimer pas cette idée. Il était le plus connue, le plus important de ses participants en tant que réprouvé, il était donc naturellement sa cible, son meilleurs produit.

663 mots

« Ne te laisse pas détourner ou impressionner. C’est son but. Te déstabiliser. »
Zéleph acquiesça silencieusement, perdant de vue Ang quand il entra dans le temple. Il attendrait les combats pour lui montrer qu’il n’était pas là pour rigoler. Cet homme n’était pas clair et il était bien certain que Zéleph ne le laisserait pas se moquer de lui ou d’un autre.
 « Demain, les premières épreuves commenceront, j’espère que tu es près. »
Une nouvelle voix, ce n’était plu Méli, non elle était bien trop masculine pour que ce soit l’esprit de la nature. Il ne reconnut pas cette voix, il n’avait jamais croisé que des esprits féminins, jamais d’homme.
«  Je suis Hans, je vais t’aider pour les combats. »
« Je n’ai besoin de personne pour me battre ! »
« Ne sois pas buté, tu ne sais pas ce qui t’attend. Je ne suis pas obliger de t’aider, mais tout comme Méli, je veux que Zang paye, alors suis mes instruction. »
Zéleph ronchonna. Un autre esprit qui ce mêler de ses affaires. Il commencé à en avoir marre qu’ils viennent s’immiscer dans son cerveau, c’était quelque chose qu’il détester particulièrement. Entendre des voix lui parlait, c’était comme devenir fou, et ce genre de chose n’était pas ce qu’il apprécier le plus.

Le soir chaque participant avait une chambre attitré, voir une cellule car a par une paillasse et une fenêtre à barrots, il n’y avait pas grand-chose. Petit, et sale, Zéleph trouver Zang bien culoté de leur offrir moins que le minimum de confort alors qu’il leur avait bien signifié combien de pièces d’or il circuler ici. Il supposer que les chambres de luxes était attitré aux riches donateurs, mais tout de même, ils étaient traités comme des esclaves et il avait du mal à l’admettre. Ce qu’il y avait de positif était encore les bains, les sources d’eaux chaudes extérieures qui servaient de bain pour tous les participants. Bien sûr cela était en commun, mais entre hommes il n’y avait pas de tabou. Zéleph profita de cette eau benne pour aller ce relaxé dans l’eau chaude. Il était de coutume, de prendre le bain nu, entre homme. Alors sans le moindre bout de tissu, ni aucune pudeur le réprouvé partit ce plonger dans l’eau des sources, pour ce perdre dans leurs nuage de fumer, et leurs chaleur étouffante. Y étant peut être allé un peu tard il ne croisa personne, que les deux dernier participant qu’il n’avait encore plu croiser de puis le discoure d’arriver de Zang. Ces deux-là le regarder de l’autre coter des sources, l’air mauvais, méfiant. Zéleph décida de ne pas s’en soucier et de se laisser aller à la relaxation. Les bras étendu sur les bords, les jambes posé au fond, il ferma les yeux et laissa sa tête basculer en arrière, trouvant ce moment parfait. La dernière fois qu’il c’était sentit aussi bien, il était avec …
 «  Nous n’avons pas besoin de le savoir, Zéleph. »
Le réprouvé grogna, voilà qu’il n’avait même plu le droit de ce relaxer en paix et de penser a des choses agréable sans que les esprits du temple ne lui tombe dessus.
« Vous n’êtes pas forcer de rester là non plus »
« Bien sûr que si, si tu as besoin de nous, nous sommes toujours là. »
« Mais je n’ai besoin ni de vous, ni de personne. Laissez-moi, bon sang ! »
« Navrés seigneurs des deux rives, nous nous sommes tous deux mis d’accord sur un point. Nous ne pouvons te laisser, car si nous n’étions pas là tu te laisserais dériver et oublierait l’essentiel. »
Zéleph rouvrit les yeux en soupirant, passablement agacé. Il avait l’impression d’être un gosse avec ses parents sur le dos.
« Ce n’est pas par ce que vous n’avez pas de vie sexuelle que je n’ai pas le droit d’en avoir une ! »
« Tu te souviens de ce que je tes dit ? Les femmes sont le poison de l’homme, en particulier cella pour toi. »
« Elle parasite ton esprit, et tu dois garder les idées claire pour les prochains jours. »

700 mots

Deux vrais rabats joie. Ils c’étaient bien trouver en définitive, et ça lui taper sur les nerfs. Lui qui était venu se détendre, repartit passablement énerver. Demain, il pourrait au moins s’en prendre à un ou deux hommes pour passer ses nerfs et évacuer cette colère. D’ici que le tournoie commence par des combats, car rien n’était moins sûr. Si il devait faire des défis, il aller être bien déçu, car a cette instant, ce qu’il voulait c’était casser du crane contre de la pierre, et faire couler le sang a flot. Zéleph était un être excessif, aimant par-dessus tout en faire trop, surtout quand il s’agissait de se défouler. Pour lui, on en faisait jamais assez, et jamais trop. Autant en profiter.

Il prit une serviette et ce sécha avant de rentré dans sa cellule. Fermant la porte à clef, n’ayant aucune confiance en les autres ici, il s’allongea sur la paillasse dur et froide de la pièce, pour tenter de trouver le sommeil. Demain commencerait ce tournoi et il aller enfin comprendre ce qui l’attendait. Rien de bien réjouissant certes, du sang, des morts, et avec un peu de chance aucune blessures. Zéleph était certain de gagner ce tournoi, c’était bien aussi pour cela que les esprits l’avaient envoyez là. Pour cela et bien plus, mais ça il n’en avait aucune idée encore, car ce tournoi et cette quêtes n’était qu’un prétexte pour les esprits. Ils avaient en réalité tous parié sur la réussite du réprouvé, mais ce qu’ils chercher aller bien plus loin que la simple tangence sur Zang et la victoire du réprouvé. Ca il ne pourrait le comprendre cas la fin de ses épreuves.

« Première épreuve éliminatoire. »
« Eliminatoire ? »
Zéleh était dans une sorte de cage. Une grande cage, dans laquelle ce trouver au sol quatre cercle en ferre, munie de barreaux, et vue la chaleur qui en émaner il ne serait pas étonner que du feu en sorte. Au centre, il y avait comme une cheminé, ou un grill. Monter de pierre, elle était également couverte de barrots, rougie par la chaleur. C’était une sorte de plaque chauffante et Zéleph n’aurait pas était étonner d’y voir une grande marmite bouillonner. On lui avait dit avant d’entré que tous les coups était permit et plus les morts étaient violente, plus il gagnerait de point. On lui avait retiré ses vêtement et interdit de portait des armes. La magie était également interdite, ainsi tous les hommes de toutes les races pouvaient participer, même les humains. Enfaite cela resté tout à fait injuste pour les humains, car Zéleph avait, même sans utiliser la magie, de l’énergie utilisé inconsciemment faisant bruler la magie en lui. Sa force, et sa vitesse n’avaient rien de naturel et il n’y pouvait rien. La tenue qu’on lui avait donnée, ne comportait aucun haut. Il était torse nue, pieds et mains nue. N’était couvert que ses hanches, avec une sorte de bermuda en vieux tissu rouge. En d’autre terme, rien ne lui permettait de cacher aucune arme que ce soit, ou objet magique. Il portait pourtant toujours autour du coup son arme du temple, en pendentif et bien qu’il soupçonner Zang de savoir ce que c’était on lui avait laissé ses bijoux, tout comme ses boucles d’oreille ou ses bagues.

550 mots

Enfermer dans cette cage, ses adversaires n’était pas d’autres participant, c’était des élèves de l’école et le réprouvé commença à comprendre. Zang ne créer pas une armer, il entrainer ici les adversaires du concours pour permettre au six participant de montré de quoi ils étaient capables. Les premières épreuves, appeler « sélections » consisterait alors à tuer les élèves de Zang sans se faire tuer, ou blesser. Zéleph commencé à voir le vrais visage du vieil homme. Un monstre ne voyant que l’argent, et n’ayant aucun respect pour la vie. Il détester ce genre de personne. On pourrait dire qu’il lui ressembler car ce qu’l faisait au Circus Brothel n’en était pas loin, mais contrairement à Zang, Zéleph avait un profond respect pour la vie et il ne tuer pas pour le simple plaisir de tuer, il avait toujours une bonne raison de le faire. Bien sur ce n’était pas plus digne, et il n’en avait pas plus le droit, mais quelque part il y avait plus d’humanité en Zéleph, qu’en Zang.

L’épreuve commença avec trois hommes, fin et agiles qui ce jetèrent sur le réprouvé sans attendre. Le premier ne fit pas attention et lors ce que le feu sortit du sol il se fit purement et simplement bruler vif. Les deux autres s’en était déjà pris a Zéleph qui les esquive. Il en attrapa un par le colle et décida que puise qu’il fallait faire des points, il n’aurait aucun scrupule à le faire. En l’empoignant, il lui aplatit la tête sur la plaque brulante du centre, et lui brula le visage. Acte barbare qui fit s’évanouir de douleur l’homme et reculer d’horreur l’autre. Seulement il ne pouvait bien reculer longtemps. Le réprouvé l’attrapa, et le jeta dans un des feu qui ce déclencha à nouveau. Aucun scrupule. Personne ne c’était attendu a ce que le réprouvé des réprouvés n’ai aucune peur d’en finir de cette façon, mais ce qu’ils ne savaient pas c’était que Zéleph n’avait aucune limite et s’en fichait.

Il y eu une seconde vague, cette fois il y avait cinq hommes, dont deux qui avaient l’air plus costaud et mieux entrainer. Ce fut d’ailleurs les plus dur a neutralisé car ils résister face à la plaque, mais il leur burla les mains et le visage comme aux autres. Il n’en avait rien à faire et même leurs cris de douleur et leurs visages ravager par le feu ne le faisait détourner les yeux de son abominable torture. Zéleph était capable du meilleurs comme du pire et ici, ce serrait du pire, sans concessions, ni regret. Il y eu une dernière manche, avec dix hommes contre lui cette fois. Ce fut plus dur, plus fatiguant sur tout de tous les éviter, mais les uns après les autres furent neutraliser, certain même par inadvertance ce jeter eux même dans les feu qui ce déclencher aléatoirement du sol. Très vites il y eu des tas de cadavres autour de Zéleph, qui resta le seul debout, couvert du seul sang de ses adversaires.
« Par le sang et le feu, Zéleph sort vainqueur ! »

A la suite de cette épreuve éliminatoire, Zéleph fut amener sur une sorte de parcoure. Un long chemin qui se perdait dans la jungle, entre la flore et les roches. Il dut passer une grille et quand il passa la porte celle-ci ce referma derrière lui, comme pour lui signifier que la seul issu était de continuer. L’ancien roi ne se fit pas mauvais jouer et se mit à trottiner, entrant dans le jeu, puise qu’il en était ainsi. Le chemin était étroitement coincer entre les rocher tailler pour laisser la place de passer. Très vite il dû monter des escaliers, puis en haut il commença à voir des obstacles. Ce mettant à courir, le réprouvé, sauta les muré de pierre, deux qui se trouver espacer, puis deux autres beaucoup plus près l’un de l’autre, l’obligent à jauger ses sauts.

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Zéleph comprit que les parcoures étaient penser pour devenir de plus en plus dur et soutenu. Il continua pour se retrouver face à un mur en bois. Courant, il fit un bond, puis prit appuis sur le mur, tout en s’accrochant en haut et ce issant avec la pulsion du pied. Il arriva en haut et continua le chemin, toujours en courant, car il avait compris que le temps avait également un rôle dans cette épreuve de parcoure.

Obstacles, après obstacles, il dut grimper plusieurs rocher coupant, et il ne put rien faire quand sa main ripa sur la paroi trop lisse de la pierre qui lui coupa entailla la paume de la main. Etouffant n gémissement, il sauta le rocher pour aller plus vite et reprit la course. Courir, pas après pas. Sauter, plonger, éviter. Des obstacles ce mirent à apparaitre au fur et à mesure. Des muré en bambous, dont les pointe devant aurait pu lui trouver la peau tant ils aller vite, apparaisse sans prévenir devant lui et il devait avoir assez de reflexe pour les éviter, ou sauter au-dessus. C’était à la fois un jeu de vitesse et d’agilité.

En remontant le chemin Zéleph fini sur un vieux pont de bois, mais en courant il s’aperçu vite que de l’autre coter le pond c’était briser et tomber dans le vide. En dessous ce tenait une grande cascade, mais c’était si profond qu’il n’y avait aucune chance pour survivre à une telle chute. Courant à toute vitesse, le réprouvé prit appui et s’élança au dernier moment, au bord des planches, pour atterrir sur l’autre côté. Un pauvre élève de l’école apparemment en train de s’entrainer, était tombé juste à ce moment-là. Il c’était tenu au bord, surement avait-il glissé en sautant, et l’atterrissage du réprouvé l’avait fait tomber au fond du gouffre. Seulement Zéleph n’avait pas le temps de regretté quoi que ce soit, il reprit son chemin, plus vite encore si il l’u fallu.


C’est en arrivant près des falaises qu’il aperçut Lee Fu, le premier participant avec qui il avait parlé, pencher sur le corps de quelqu’un. Zéleph prit le temps de s’arrêter et de s’approcher de lui. L’homme a terre n’avait pas l’air d’être un élèves de l’école de Zang, il était bien trop richement habiller, mais ce n’était pas non lu un concurrent, alors que faisait-il ci.
« Il est mort ? »
« Oui. »
Fu ne c’était même pas retourner vers le réprouvé, fermant les yeux de cette inconnue, avant d’examiner son corps. En profitant pour soufflet un peut, Zéleph s’assit sur une pierre pas loin, le regardant faire.
« Qui est-ce ? »
« Je pense à l’un de nos admirateurs. »
« Que lui est-il arrivé ? »
« Je courais quand il est tombé devant moi. »
« On la pousser ? »
Zéleph regarda au-dessus, de là-haut il était certain que la chute était fatale, sur tout pour un homme qui n’était pas en possession de capacités assez élever pour résister a ce genre de choque.
« Non. »
L’Alfar, regardait les pupilles de l’homme, puis lui ouvrit la bouche, observant son visage, puis ses mains, et ses bras. Il avait l’air si calme que le réprouvé ne parut même pas surprit de la négation, attendant le verdict.
« On là drogué. »
« Tu es sur ? »
Fu ce redressa, pour se tourner vers le réprouvé.
« Contrairement aux vivants, les morts ne mentent jamais, et cette homme est des plus honnête. »
La façon dont parlait l’elfe noire était étrange, mais Zéleph comprit le message, bien qu’il veuille comprendre ce qui était arrivé. Fu sembla comprendre sans même qu’il ne lui dise car il continua.
« Zang a dû le droguer et l’amener là-haut. Sa chute serra considéré comme un suicide, car il n’a pas de marque de lutte et donc il n’a pas était pousser. »
« Pourquoi tuer l’un de ses donateurs ? »
« Par ce que Zang est un escroc. Il manigance toujours de façon à ce que les paris tournent de la façon la plus avantageuse, pour lui. »


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C’était logique, mais foutrement dérangent pour le réprouvé. Il avait beau être un criminel de bas étages par fois, l’escroquerie n’était pas quelque chose qu’il apprécier. Zéleph était un homme d’honneur, il était digne et traiter ses clients de la même façon, peu importe comment cela fini. Il y avait une part de noblesse dans son trafique, quoi qu’on en dise. Ce levant le réprouvé leva les yeux vers la suite du chemin.
« Zang ne s’en tirera pas ainsi. »
« Nous voilà d’accord sur ce point, mon frère. »

Deux épreuves en un jour, et un meurtre. Cela faisait une journée rondement mener. Le lendemain, Zéleph savait que commencer les réel défis et qu’il aller ce battre contre l’un des six candidats, voir peut être même deux, mais il n’en redouter aucun. Il était simplement navré de devoir ce battre contre l’elfe, l’Alfar ou encore le vampire. Après tout il les apprécier bien, mais le jeu était stricte et il n’y aurait qu’un seul champion. Depuis qu’il ne buvait plu Zéleph tenait étrangement à la vie. Etait-ce dû à Mitsuko, ou à Neros peut être, il n’était pas sur que ce soit ce genre de vie de famille qu’il apprécier et qui était assez fort pour le tenir en vie, mais il ‘y avait malgré tout quelque chose. Cela aurait était idiot de mourir avant de savoir quoi, n’est-ce pas ?

En se dirigent vers les bains, le réprouvé vit le jeune elfe s’entrainer contre un mannequin fait en rondins de bois. Le réprouvé s’arrêta quelque instant en le regardant. Il avait déjà réussi les épreuves éliminatoires, c’était une bonne chose. Il ce bâtait plutôt bien en définitive, malgré son corps menue, mais Zéleph voyait bien qu’il ne devait pas tenir longtemps face aux coups puissant. Il ne pouvait peut être pas le sauver, mais il pouvait bien l’aider pour ses futurs combats. Le réprouvé posa sa serviette et s’approcha du jeune homme.
« Tu devrais faire des mouvements plus ample, Natsukishi. »
L’elfe sursauta en se tournant vers lui, et de son air surprit, il finit par sourire soulager de voir le réprouvé arriver.
« Vous m’avez fait peur. »
« Excuse-moi. »
« Il parait qu’il y a eu un meurtre, je ne suis pas tranquille. »
« Tu as raison de te méfier. »
Natsu lui sourit gentiment, bien qu’un puisse intimider. Dans ses aires, il lui faisait penser à son fils. Peut-être était-ce de là que lui venait cet attendrissement.
« Vous me disiez ? »
« Je vais te montrer. »
Zéleph prit sa place devant le mannequin. Il prit appui d’une jambe, fit une rotation, puis lança a jambe, vers la tête du mannequin faisant éclater le bois sous la force du choque de son pied nue. Natsukishi recula, tant il fut surprit et applaudit l’action de son ami. Le réprouvé ne s’arrêta pas là, prenant de l’aider a amélioré ainsi quelque coup, de main, et mouvements de jambes. Cela lui serrait grandement utile, il en était certain, et puis, puise qu’il ne pouvait faire que cela pour lui et pour ce que cela lui couter le réprouvé n’aller pas le faire à moitié. Une fois fatiguer par la répétition de ses mouvements l’elfe souffla, couvert de sueur, le souffle court, exténuer.
« Merci, Grace à vous je gagnerais peut être. »
C’était dit avec entrain, mais Zéleph sentait la peur dans la voix du garçon. Il l’invita alors à prendre le bain avec lui, un peu de relaxation ne lui ferait aucun mal, avant les matchs du lendemain.

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Le troisième jour était celui qui sonnet le début de la réelle compétition. On sentait que l’air était palpable, la pression commencé à monter, l’ombre de la mort ce faisant voir à l’horizon, mais ce n’était pas le moment pour Zéleph d’y penser. La victoire était au bout pour lui, il n’avait aucun doute là-dessus. Après le déjeuner, cela commença par un défi plus dur que la veille. C’était également un parcoure d’obstacle, sauf que cette fois, le réprouvé était poursuivi par les élèves de l’école de Zang, et cela était armer et lui envoyer des couteaux, sabre ou même des flèches. Le réprouvé trouvé que cette balade de santé était bien moins amusante que la précédente. Heureusement il connaissait déjà le parcoure, ce qui lui permettait d’anticiper certain obstacle, comme les rocher où il c’était couper la dernière fois, ou encore les murs de bambous magique.

Bien sûr il aurait très bien pu rebrousser chemin et foncer dans le tas, histoire de tous les neutraliser pour continuer sa promenade tranquillement sans pression, seulement cela lui était interdit, il devait foncer droit devant lui sans jeter u seul coup d’œil en arrière. De toute façon cela aurait était de la folie, car en faisant cela il se serrait blesser gravement à tous les coups et cela aurait était une erreur fatal pour la suite du tournoi. L’égratignure de sa main n’était pas bien grave pour la suite, mais une flèche planté en pleine épaule, ou un couteau dans le ventre, et il était certain que le prochain combat serrait le dernier de sa vie.

Zéleph du alors habillement jonglait entre rapidité, agilité et vigilance, devant à la fois faire attention à sa course et aux attaques incessante des hommes derrière lui. Ce qui était bien, c’était que les hommes de Zang avaient du mal à passer les gros obstacles, ce qui lui permettait de prendre une considérable avance et de soufflet un peut, rassuré qu’ils ne puissent pas le toucher d’aussi loin, bien qu’avec les flèches rien ne les empêcher de le faire. Heureusement, il en perdit quelques un au niveau de pond et par la suite à la falaise, lors ce qu’il fallut longer la cote, sur les petits chemins de bois suspendu, trop étroits pour être à plusieurs. Quand il arriva enfin à la fin, Zéleph en fut rudement soulager et il but d’une traite l’eau qu’on lui offrit.

Le réprouvé mangé avant sa prochaine épreuve. Assit seul à sa table il fut bientôt rejoint par le vampire, le seul qu’il avait vue sur cette île. Lui ne manger naturellement pas, il était donc là pour parler avec lui, et le réprouvé ce redressa pour l regarder ce pencher sur lui, comme pour lui faire une confidence.
« Vous savez contre qui vous combattez ? »
« Non. »
« C’est lui là » il lui montra un homme attablé plus loin, le fixant, l’air mauvais. « Willis, un Orisha. On ne sait rien de lui, il ne parle jamais. »
« Il est muet ? »
« C’est possible, personne ne là jamais entendu prononcer un seul mot. On raconte même cas la mort de sa sœur, il n’a rien dit, comme figer dans le marbre, il n’a aucune autre expression que celle de la haine. »
« Je ne pensais pas que les Orisha pouvait être ainsi. »
« Méfiez-vous, tous les hommes peuvent connaitre la colère, les anges eux même en son victime et même les dieux. C’est dans cela que ce rejoigne tous les hommes. »
« Je suppose que tu a raison Filas. La haine guide nos pas, plus que nous n’osons l’imaginer. »
« En tant que réprouvés vous devez bien le savoir. »

624 mots

Zéleph répondit par un petit rire assez évasif. Ca il le savait mieux qu’il était possible de l’imaginer. Il avait passé sa vie a ne respiré que par la haine, a ne vivre que pour la nourrir. Aujourd’hui c’était bien par ce qu’il n’avait plus rien à haire qu’il se retrouver calme et distant avec la vie.
« Méfiez-vous, c’est tout ce que je peux vous dire. Il est plus fort que ce qu’il n’y parait. »
« Mais je ne sous-estime jamais mes adversaire Filas, ne tant fait pas. »
Le vampire ce leva, puis le salua poliment.
« Je n’en doute pas. Bonne chance Zéleph. »
« Bonne chance Filas. »
Il disparut, et Zéleph rapporta son attention sur Willis, l’Orisha qui ne parlait jamais. Il le tuer toujours du regard, et le réprouvé eu un petit sourire. Il n’apprécier déjà pas beaucoup les admiratrices, alors les admirateurs, encore moins. Buvant son eau, et finissant son pain, le réprouvé ce leva. Il devait s’échauffer, et ce préparé à ce combat. Il allait voir ce que ce Willis cachait au juste.

Zéleph fit craquer sa nuque plusieurs fois avant d’ouvrir les yeux sur son adversaire. Ils étaient enfermés dans une sorte de cour, ronde, entouré de grillage, remonté de pointes. Il était sûr que si ils leurs prenaient l’envie de fuir, cela serait totalement impossible. Willis sautiller sur place, comme pour rester chaud, avant de démarrer le combat. La peau mate, les yeux d’une couleurs différente, le corps sculpté, il n’avait pas l’air commode et Zéleph pensait bien avoir à faire a un bon combattant, mais pas le meilleur malgré tout. Il avait beau ne pas parler, cela ne l’empêcher pas d’avoir l’air effrayant, trop peu pour l’effrayer lui, mais assez pour le publique libre qui les regarder autour. Des gens qui ne faisait pas partit des hommes riches de Zang, mais des élèves de son école pour la plus part, ou même des gens venu sur l’île exprès pour assister aux premier matches du tournoi.
« Que le combat, commence ! »
Le réprouvé ce mit en position attendant les attaque pour jauger son adversaire avant de créer une stratégie dans le but de le détruire, mais apparemment l’orisha était dans la même perception des choses que lui, ce qui était assez ennuyeux, car Zéleph n’avait aucune envie de venir le chercher. Ne rester alors plus qu’une chose affaire, une chose que Willis ne pourrait faire : le provoquer.
« Alors le muet ? Tu ne sais pas te battre ? Ou peut-être que tu en perd les mots ? »
Ce n’était pas une réplique très rechercher, mais juste assez pour faire rire le publique qui ce moquas allégrement de l’homme a sa place. La colère ne fit alors qu’un tour chez Willis qui se jeta sur luis ans attendre. Seulement, comme Zéleph si attendait, il était entrainer, et ses coups était très bien placer et d’une puissance doser. Le réprouvé devait alors arrêter les coups, ne pouvant les esquiver, et trop fort il n’avait pas le temps de répliquer assez vite, avant qu’un autre coup ne l’atteigne. Il c’était attendu à ce que Willis soit bon, mais peut-être pas à ce point et pour finir il regretta de ne pas avoir attaqué le premier, car l’Orisha faisait pleuvoir les coups sans qu’il ne puisse répliquer.

Zéleph attendit le bon moment, pour ce baiser, et dans un mouvement circulaire, taper son tibia contre ses mollets faisant tomber Willis au sol, cassant sa cadence de frappes qui devenait trop forte pour que le réprouvé trouve un moment pour frapper à son tour. Le réprouvé ce leva, puis prit Willis par le cou pour le lever et le frapper à la tête de trois coup de poings avant d‘en finir par un dans le ventre, juste dans le plexus. L’Orisha fut projeté en arrière, dans une toux qui lui faisait cracher ses poumons. La fatigue qu’il avait accumulé en le frappant ne l’aida pas à ce remettre de cette attaque, mais cela ne rester pas un avantage pour le réprouvé, car a devoir se protéger, le réprouvé c’était autant fatiguer que lui.


693 mots

Le réprouvé, digne combattant, attendit que Willis ce relève et soit bien sur ses deux pieds pour attaquer à nouveau. Foncent après lui, il lui asséna plusieurs coup de poing avant de le frapper sur pied sur la tête, mais Willis réussit à les amortir malgré la douleur de son ventre. Non pas freiner dans sa manœuvre, Zéleph renouvela son assaut, changent de technique et de coup. Cette fois son coup de genou partit directement dans le menton de Willis faisant gicler un filet de sang sur le sol de marbre blanc. Sous les acclamations Zéleph se sentait puissant et il apprécia ce moment. Il apprécier également le challenge que cela était de combattre Willis, car quand il attaqua à nouveau, l’Orisha réussit à le prendre à contrepied et à le frapper en plein visage, lui coupent la lèvre contre ses dents. En ce reculant Zéleph ce toucha la bouche, puis regarda sa main ensanglanter et il sourit malgré la douleur. Oui, le réprouvé aimer ce battre, et encore plus quand cela était difficile.

Willis avait des techniques de combat que Zéleph ne connaissait pas. Lors ce qu’il lui attrapa le bras pour lui tordre derrière le dos, le faire tomber et lui faire une prise au sol, Zéleph fut déstabiliser. On ne lui avait encore jamais fait cela. Le tenant au sol, les deux jambes sur son torse, le bras entre, tiré par ses bras, il avait la sensation horrible qu’il aller lui arracher, et c’était affreusement douloureux. Seulement au prix d’un effort qui puisa dans toute ses ressources, le réprouvé réussit a ce dégager, frappent Willis a la tête, de son poing aveugle, et il lui cassa le nez. Cela lui permit de ce lever retrouvant son bras, encore endolorie par la torture.

Zéleph n’attendit pas cette fois. A peine lever l’orisha, fut frapper, dans le torse a quatre reprise, avant que ce ne soit le plat du pied du réprouvé, qui le frappa à nouveau en plein plexus, le projetant le bord de l’arène. Le réprouvé le prit par les cheveux et lui frappa la tête, deux, trois, quatre fois contre les barreaux, le sang compensent a couler contre le fer. Lors ce que les yeux de Willis roulèrent dans leurs orbites pour qu’il finisse par perdre connaissance, Zéleph le lâcha enfin et fut déclaré vainqueur, une fois le décès prononcé.

 « Beau combat »
« Un peu barbare à mon gout. »
« Allez en discuter ailleurs. »
Zéleph grogna en ce lavant le visage avec de l’eau des sources d’eau chaude. Lui qui avait cru que Hans et Méli le laisser tranquille et qu’ils ne reviendraient pas ce voyait déçu de les entendre a nouveaux, au bout d’une journée de calme.
 « Désoler de te décevoir Zéleph, mais nous ne pouvons te quitter. Nous sommes toujours là, quoi que tu face. »
« J’en suis ravis. »
Il supposa que c’était fichu pour un bain tranquille, pour ce relaxé après sa journée épuisante. Il avait vaincu Willis, il rester encore les autres candidats, du moins ce qu’il avait v car a ce qu’il avait compris ils étaient plus que six, mais lui faisait partit d’une certaine poule.
 «  Ne t’en fait pas pour ça, tu n’as pas à t’en soucier. »
« Mais je ne m’en soucis pas ! »
« Alors arrête d’y penser. »
« Sortez de ma tête bon sang ! »


573 mots

Ils commençaient à l’agacer profondément, voire plus, à l’angoisser a force d’être tout le temps a là à épier ses pensées. Il n’avait même plus le droit de penser en paix, c’était un comble. Ce glissent dans l’eau brulante il soupira d’aise, voilà au moins une chose qui aller lui permettre de ce relaxer un peut, malgré la présence indécente des deux esprits, dans le sien.
«  Vous n’avez pas des disciples à hanter ? »
« Avant nous devions te prévenir d’être prudent. »
«  Au bout de la dixième fois, je pense avoir compris. »
« Avec toi rien n’est moins sûr. Tu es comme un enfant, plus on te dit non, et plus tu le feras. »
« Il faut dire que vous faites tout pour m’énervé, alors pourquoi je vous écouterez. »
« Tu as raison, reste têtue, te le payera un jour. »
Zéleph ronchonna, avant de laissa sa tête couler dans l’eau, pour en sortir dans un soupire.
« Laissez-moi maintenant. »
« Bien, mais tache de ne pas oublier. »
« Mais oui, mais oui… »
Le réprouvé s’endormit dans les eaux calmes et brulantes de l’île du Zodiaque.

Le quatrième jour fut le plus long. Non pas à cause des épreuves, mais bien pour autre chose. Comme son épreuve était à la plage le réprouvé s’y dirigea après avoir mangé. Une fois les pieds dans le sable, face à l’océan, le réprouvé apprécia l’odeur si particulière que lui renvoyait les vents marins. Etrangement il n’y avait pas d’arène ici, mais il supposa que l’épreuve serrait ouverte.
« Bonjour beau brun. »
Zéleph ce crispa. Comme si il avait eu besoin de cela. En ce tournant il vit Nina s’approcher de lui, avec un regard qui en disait long sur ses intentions. Dire qu’on lui avait dit que contrairement aux hommes, les femmes savaient quand il fallait abandonner, car elle voyait quand il y avait intérêt et quand il n’y en avait pas. Pour Zéleph il n’y en avait clairement pas, mais à voir comment elle ce colla a lui, elle n’en avait rien à faire.
« Je vous ai fait du thé. Une décoction spécial qui vous fera oublier la fatigue des jours passé. »
Lui mettant la tasse sous le nez, le réprouvé trouva qu’il sentait bon ma menthe et il le prit. A cet instant il se dit que si il le buvait elle le laisserait tranquille.
 « Ne fait pas ça. »
Bien sûr c’était sans compter sur le retour de ses deux consciences qui voulait apparemment tout contrôler, jusqu’à même ce qu’il mettait dans sa bouche. Nina sentit peut être le doute chez Zéleph et elle poussa la tasse brulante vers les lèvres du réprouvé, la voix suave.
« Buvez et je vous laisserez en paix. »
Voilà qui était une proposition alléchante, qu’il ne pouvait refuser. « Zéleph souvient toi. La prudence ! » Mais il n’avait que faire de la prudence, ce n’était qu’une tasse de thé offerte par une groupie un peu trop collante et une fois qu’il lui aurait fait plaisir elle le laisserait finir ce qu’il avait commencé en paix, c’est-à-dire gagner ce tournoi. Sous le sourire victorieux de Nina, Zéleph but cul sec le thé, sans ce douté que c’était bien plus que cela. Quand il eu fini, jusqu’à la dernière goutte elle lui reprit la tasse, puis, se issa sur la pointe des pieds et l’embrassa a la commissure des lèvres.
« Adieu, beau brun. »
Zéleph ne comprit pas sur le coup, mais a peine fut elle partit qu’il commença à ce sentir mal. Une douleur lancinante dans le ventre. Comme si ce thé était en train de ronger ses entrailles, remplacer par de l’acide.
 »Nous t’avons prévenu. »
« Vous auriez pu être plus claire ! »

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