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 Event Juillet 2015 | Groupe VIII | Attrapons les Masques d'Or

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Mar 07 Juil 2015, 13:49



GROUPE VIII
Eerah – Ophalee – Maléna [Ethan] – Zeleph – Belle – Skiadram – Shi [Kohei]

La situation connue ; Le Continent Dévaste s'effondre un peu plus chaque jour. Les vagues se déchainent contre lui, ferment leurs mâchoires humides sur les côtes qu'elles dévorent et tentent d'engloutir. La population, inquiète, quitte la région ou au moins les rivages, préférant le cœur des terres malgré les secousses. Les mauvaises nouvelles s'accumulent et le Continent du Matin Calme se met à trembler, lui aussi. En proie à une peur sans nom, il est envahi par d'étranges hommes bariolés vêtus de couleurs et d'un masque d'or. Fanatiques sanguinaires, ils répandent la mort et parlent dans un dialecte que personne ne semble comprendre. Leurs motivations sont obscures. La plupart des monstrueuses statues retrouvées près dans les eaux peu profondes ont été amené à Drosera, les Alfars s'étant arrangés pour les récupérer, les acheter, les arracher. Prendre la mer n'a jamais été aussi dangereux. Le climat est désastreux. Les vents ne semblent jamais s'apaiser et la mer est perpétuellement en colère. Les monstres marins sont de plus en plus nombreux, sous la coupe de celui qu'on nomme le Kraken Noir. Les peuples tentent de se sortir de cette sombre période mais beaucoup semble en profiter pour régler de vieux comptes. Ainsi, les conflits se multiplient, aboutissant parfois à des guerres. Les Sorciers et les Sirènes sont entrés dans une lutte acharnée et il semble se passer des choses mystérieuses à la Cité Engloutie. Tout le monde s'interroge sur le sort des colons de l'Empereur Noir dont l’on n’a plus aucune nouvelle depuis trop longtemps. Ils seraient arrivés sur le nouveau Continent, celui dont le nom a été trouvé par des chercheurs aux Parchemins du Temps avant qu'ils ne se fassent attaquer par les hommes au masque d'or.


« Les Masques d’Or ne sont que des malfrats, des êtres perfides et mauvais qui tirent un plaisir malsain à engendrer tourments, maux et morts. Ils ont envahi le Continent du Matin Calme et les rares nouvelles qui nous en parviennent sont mauvaises. Oppresseurs fanatiques dont on ne comprend pas même le dialecte, ils taisent leur but, se bornant à semer des cadavres partout où ils passent. Peu à peu, ils essaient d’étendre leur emprise et des rumeurs murmurent que certains ont été aperçus dans nos Capitales, nos grandes Cités et nos villages. Ils nous envahissent. Ils veulent nous détruire. Anéantissons-les en premier. Mon nom est Sharm, et je désire partir à la chasse, débusquer les Masques d’Or et comprendre, avant de sévir. Hommes et femmes qui partagez mon souhait, rejoignez-moi à Varda avant la prochaine lune. Cette vermine infeste les Terres d’Emeraude et dupe les Grands Marcheurs des Orines, se parant d’intentions qu’ils ne peuvent réprimer. Ils sont soupçonnés d’avoir un repère non loin. Nous allons les trouver. » Les quelques mots avaient été envoyé grâce à la magie à travers les différents continents. Ils se gravaient sur la pierre et le papier dans l’espoir d’être lu, avant de disparaitre comme ils étaient venus pour éviter qu’un Masque d’Or ne lise la menace. Sharm espérait qu’elle serait entendue et qu’on viendrait lui prêter main forte. Seule, elle ne pouvait rien contre ces criminels. Tombée en embuscade au Parc quelques jours auparavant, elle avait réussi à s’échapper par la ruse et la puissance, sans parvenir à éviter un coup de faux qui lui avait lacéré le dos. Depuis, elle peinait à combattre convenablement mais restait un excellent soldat, doué dans la chasse et la filature. Sharm soupira. Lentement, elle se releva du lit qu’on lui avait mis à disposition dans une petite chaumière de Varda, pour se traîner jusqu’au vieux miroir. D’un geste délicat, elle écarta le tissu de son haut, dévoilant les bandes ensanglantées qui lui encerclait la taille. Elle les changea.

Protégée d’une fine armure de cuir et de lanière, Sharm faisait les cent pas autour de la petite place de Varda. Elle attendait les volontaires. Peu à peu, ils arrivaient. Ils n’étaient pas nombreux. Les Masques d’Or menaient une politique de terreur et beaucoup préférait prier pour être laissé en paix plutôt que de les affronter. Il fallait bien avouer que ceux qui s’étaient risqués à protester avaient connu un sort funeste. La Magicienne ne reculerait pas devant le Mal. Elle le combattrait. « J’ai suivi la piste des Masques d’Or le long de la Rivière Eternité. » murmura-t-elle à un nouvel arrivé qui lui avait posé quelques questions. « C’est près de son lit qu’on remarque le plus leur présence. Je serai prête à parier qu’ils ont un refuge, un quartier général, quelque chose, quelque part dans les parages. C’est notre destination. » - « L’inconnue, donc » répondit l’autre en riant. « J’ai une question. » continua-t-il en retrouvant son sérieux. « Est-ce que quelqu’un a déjà enlevé ce fichu masque de la tronche, du cadavre d’un de ses types ? » - « Pas que je sache. » - « Qu’est-ce qu’ils peuvent bien cacher ? » - « Je l’ignore mais je compte bien le découvrir. Ils sont sous les ordres de quelqu’un, d’une personne qui reste dans l’ombre et qui est peut-être un lien avec le ou les responsables de tous ses évènements. » - « Ça se trouve, ils sont directement sous le commandement de ces gens et si on les trouve … Qu’on les fait parler … » - « Oui, on peut avoir le fin mot de l’histoire. C’est ce que j’espère. »
 
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Jeu 09 Juil 2015, 09:49

Depuis des jours et des jours Kohei trainait dehors, ne revenait qu’à quelques rares occasion chez lui, mais jamais il ne sortait de Drosera. Sans doute allait-il voir Aëran ou passer du temps dans des tavernes… Shi n’en savait rien, et s’en fichait un peu. Elle fixait Art qui lisait dans son coin, tout ça parce qu’il n’avait rien de mieux à faire. Tout le monde s’ennuyait en réalité, et ça la fatiguait. La petite Fae aurait tellement aimé accompagner Kohei vraiment partout, mais elle n’aimait pas beaucoup une certaine personne qu’il fréquentait. Non pas qu’elle éprouvait de la haine envers cet autre Alfar, mais il la mettait facilement mal à l’aise. Lui et Kohei étaient semblables, mais il y avait tout de même quelque chose qui la dérangeait. Peut-être simplement parce que le blond au moins la voyait comme… une famille ? Alors qu’Aëran, plutôt comme une proie. Elle cessa de se laisser aller dans cette étrange réflexion. Rien que l’idée d’être autant mise mal à l’aise à cause de quelqu’un la frustrait. Elle se leva alors, préférant aller faire un tour. Drosera n’était pas vraiment son élément favori. Elle voulut aller voir Kuruunwë, leur Dragon, mais elle avait un mal fou à l’approcher, et le trouver aussi, c’était une toute autre histoire. La petite fille trainait dehors, le pas lent. Elle aurait pu bien voler, mais n’en avait pas le moral. Shi se sentait morose. Il ne se passait jamais rien dans sa vie, et elle en avait marre de toujours trainer chez elle.

Puis, quelque chose se passa. Quelque chose qui la sortit de ses pensées. Dans le chemin de terre qui se trouvait face à elle quelque chose d’étrange sembla y être gravé. Etait-ce là avant ? Elle n’en avait pas le moindre souvenir. Un message qu’elle lut avec toute la curiosité du monde. Un sourire s’esquissa sur ses lèvres. C’était comme si quelque chose allait se passer dans sa vie. Elle trépignait d’impatience. La Fae n’avait qu’une envie, répondre au message. Généralement, c’était Kohei qui recevait ce genre de trucs. Certainement pas elle. Et là, c’était le cas. Elle se sentit euphorique. Mais le ton du message l’était beaucoup moins. Shi le relu encore une fois, avec plus d’attention encore, bien plus sérieuse qu’il y a deux minutes. Shi éprouvait de l’empathie. Elle comprenait que quelque chose n’allait pas. Elle se retourna furtivement, et s’envola chez elle le plus rapidement possible. Son regard améthyste se mêlait à la fois de sérieux et d’excitation. Shi allait vraiment pouvoir se rendre utile, enfin, elle l’espérait.

« Art ! Art ! J’y vais ! Je reviens dans quelques jours ! Ne m’attendez pas toi et Kohei ! Je vous expliquerais en rentrant ! » Et elle s’en alla de nouveau, empoignant au passage, le plus rapidement possible, quelques vivres, laissant le fantôme bouche bée. Qu’elle était folle ! Shi était vraiment imprévisible par moment. Jamais de la vie elle n’avait fait ce coup. Pourquoi partait-elle ? « Mais attends ! Reviens ! » Cria-t-il en ouvrant la porte. Mais elle s’était déjà envolée loin. C’était purement et simplement incompréhensible. Shi qui avait l’air si déprimée depuis quelque temps se mettait d’un coup à hurler qu’elle partait à l’aventure ?

Le voyage était vraiment éprouvant. Simplement parce qu’il avait été assez long. Le tout avait dû lui prendre au moins une journée entière, et traverser toute la forêt des murmures n’avait jamais été aussi éreintant. Mais elle y était. Elle était enfin arrivée à la Rivière Éternité. Un lieu où elle n’avait dès lors jamais mis les pieds. Et ce qu’elle devait faire d’après les dire de la personne qui l’avait contactée, c’était partir pour Varda, sans doute un village non loin des lieux. Shi allait sans doute aider cette fameuse personne. Elle allait l’aider à combattre ces gens qui nuisaient à la population. Son regard se figea. Cette histoire allait peut-être être dangereuse. Et elle avait eu la chance que Kohei ne fût pas là pour la retenir. Ce n’était pas comme Art, qui perdu comme il était l’avait quand même laissée partir. Mais tout de même… Shi prêtait confiance à un texte écrit sur un chemin de terre. Pourquoi ? Parce qu’elle avait le sentiment qu’il s’agissait d’un réel appel à l’aide, à l’instar des quelques peu nombreux messages que Kohei avait reçu de la sorte ? Sans doute. Et le seul moyen d’en être sûre, c’était de tester, de se rendre sur les lieux. Instinctivement, et sur le coup, Shi n’avait pas pu s’empêcher de se lancer dans cette aventure sans savoir si elle faisait bien, ni sans savoir si elle allait être utile, avec sa faible condition physique.
Elle arriva dans les lieux.
788 mots

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Jeu 09 Juil 2015, 12:41



D
e récents évènements vinrent secouer Ophalee, en route vers le village natal de Tolreen au fin fond de la forêt du Rocher au Clair de Lune. La route serpentait entre chênes et pins. Une odeur sucré se dégageait  dans l’air grâce à la sève des arbres chauffés durant la journée . L’atmosphère légère qui planait à ce moment était presque trop reposante pour la bélua, qui soucieuse de l’avenir de son fils Hénar, réfléchissait. A tel point qu’elle fit rire le Magicien, attiré par sa mine sérieuse et pensive. Elle manqua de trébucher sur une racine sortant à peine du sol. La fatigue de la journée s’abattait sur les épaules des deux compagnons. Visiblement, Ophalee était trop occupée pour utiliser ses dernières forces intelligemment. Ils firent une pause, pas loin du fameux village. Désormais le vent apportait un lot d’odeurs de vie humaine. Ils étaient proche mais l’attitude d’Ophalee avait fini par inquiéter son maître Chasseur. Tolreen prit une petite branche morte qu’il fit semblant d’étudier, attendant qu’elle parle. Mais les mots que se gardaient précieusement la bélua ne vinrent pas, à tel point qu’il lui fallut poser les bonnes questions au risque qu’elle les détourne. Si Ophalee n’était pas très bavarde et encore moins dans ces moments-là, elle restait une personne secrète et inconnue pour Tolreen.

L
e Magicien finit par entendre ce qu’il voulait. Ophalee était perplexe par rapport à son enfant vivant sur le continent du Matin calme. Il ignorait jusque-là qu’elle avait un enfant et ne parut pourtant pas choquer de l’apprendre. Il fit rapidement le lien entre la position de son enfant et les mauvaises nouvelles parvenues de ce même continent. « Je souhaiterai y aller Tolreen. C’est important. J’attendais de t’en parler avant de partir. » - « Tu sais tout aussi bien que moi que ce n’est pas possible, Ophalee, les marins n’arrivent plus à mettre à l’eau leur bâteau. Ceux qui ont réussi voient leur navire fracassé à force de choc à la poupe et les plus chanceux d’entre eux, nous n’en entendons plus parlé. Les nouvelles circulent vite au carrefour d’un village. » La tête lourde d’Ophalee tomba sur ses genoux. La fatigue accumulée la rendait vulnérable aux sentiments. Bien qu’il constata un visage triste et rongé par la peur, Tolreen ne la vit pas pleurer. « Nous ferions mieux si nous allions chez ma sœur. Qu’en dis-tu ? » Les deux se levèrent, l’un fatigué et l’autre hantée. Tolreen savait qu’il arriverait à réfléchir une fois rentré à la maison et si l’imagination ne manquait pas, il essayerait de trouver une solution. Qu’Ophalee se jette à la mer était un suicide et si elle voulait emprunter la voie des airs, la monture risquait de se fatiguer.

U
ne fois à l’abri de l’environnement et du climat, douillettement installé dans son fauteuil fétiche, Tolreen se mit à réfléchir tandis qu’Ophalee piquait un somme à même le sol. Tard dans la nuit, il sentit dans son vêtement propre un objet vibré de magie. Il en sortit une lettre manuscrite adressée aux Ohms courageux et prêts à combattre des Masques d’Or. Réveillée par la tranquillité bien trop maîtrisée de Tolreen, Ophalee se leva et eut le temps de lire quelques lignes. En elle naquit un ardent désir d’aider car la possibilité de rejoindre son fils était nulle. C’est avec surprise que Tolreen remarqua Ophalee perchée sur son épaule. Ils parlèrent de la lettre jusqu’au petit matin. Une fois que l’Amant de la lune eut le temps de réchauffer le sol, Ophalee partit avec les informations dont elle avait besoin pour rejoindre Varda et la fameuse Sharm, auteur du manuscrit instantané. « Que Phoebe t'accompagne dans ton périple. » cita Tolreen d'une prière béluaque.

T
u’hum, le draque ayant la capacité de fouiner le sol telle une taupe, répondit présent au petit Matin. Il fut scellé et son envol imparfait suffit à les lever au-dessus du sol, à quelques dizaines de mètres seulement de la terre. « Droit vers Varda Frère. » Elle glissa une main sur la naissance de la nuque écaillée du jeune dragon et le guida mentalement. Le lien fort qui les unissait tous deux permettait à la bélua d’indiquer précisément une route qu’Ophalee connaissait. Le chemin était long même sans arrêt jusqu’à Varda. Bien que les hauteurs n’effrayaient plus la bélua comme autrefois, il fallut faire plusieurs haltes au cours du voyage. La jeune femme finit de longer à pied la Rivière dans les Terres d’Emeraudes. Tu’hum, aussi à l’aise à terre que dans les airs, se dandinait derrière elle, son regard mordoré scrutant les alentours alors que sa Sœur telle qu’il la percevait les menait. Ils atteignirent finalement Varda après deux jours de vol et une journée au sol. « Tu ne viens pas avec moi. Tes écailles sont encore celles d'un enfant, tu serais en danger. » Visiblement réceptif aux mots de sa Soeur, le Dragon quitta le chemin et s'enfonça dans les couleurs vives de la forêt. Si Ophalee avait perdu foi en sa Déesse, elle pria au nom de la forêt, que celle-ci ne devienne pas leur Tombes d'Emeraude.



Mots = 850


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Ven 10 Juil 2015, 23:54



Plus de bois lui avait-il dit. Plus encore. Cela ne semblait jamais s’arrêter. Voilas deux jours que le réprouvé couper du bois sans relâche pour fournir un paysan qui se réapprovisionner pour l’hiver. Zéleph ne savait plu pourquoi il avait accepter. Il était épuiser. A chaque coup de hache il se disait que c’était la dernière buche qu’il couper de sa vie, mais voilas que vingt autres suivaient. Il espère seulement que sa paye serait a la hauteur car lui aussi avait besoin de bois et de vivre certainement plus encore. Qu’importe, il avait se travaille et Zéleph, homme d’honneur et de parole finirait quand on lui aurait dit qu’il avait terminer, pas avant. Il n’y avait pas a discuter. Après encore un voyage avec sa jument jusqu’a la grange où le paysan stocké ses stères, Zéleph trouver qu’il en avait bien assez. Il commencer a y avoir un amas considérable de buches dans sa grange, si bien qu’il se demander comment il aller faire rentré ses bêtes pour le protéger du froid. Avec dix stères il commencer a en prendre de la place et avoir assez de bois pour faire le plus grand feu jamais vue sur leur terres. S’en était presque ridicule. Puis, il fallait le signaler. Bientôt cette homme n’aurait plu assez d’arbre dans son verger pour s’approvisionner, il aller bientôt devoir aller couper chez le voisin qui serait certainement ravis de cette nouvelle. Les gens commencer a paniquer pour leur futures, mais un réprouvés au lieux de fuir faisait en sorte qu’il ne manque de rien. Quitte a mourir autant le faire calfeutré chez soi qu’à fuir comme un fou vers on ne sais où. Se n’était pas forcément une mentalité qui était celle de Zéleph, mais il ne juger pas. Après tout chacun faisait bien se qu’il voulait de sa vie. Lui ne s’inquiéter pas de la sienne et ne s’encombré pas de celle des autres pour autant.

Attachant son cheval sans nom, il se remit a faire un nouveau stères. Quand aux deuxième coup de hache la buche se fendit en deux, il remarcha quelque chose de tout a fait surprenant. Le bois blanc, trancher a vif en pleine jeunesse commencer a se brunir fortement a certain endroit. Comme si quelque chose se gravé dans le bois, brulant les fibres végétal. Plient les yeux, Zéleph se pencha pour mieux voir et en effet quelque chose était entrain de s’écrire sur sa buche. Pris au dépourvus le réprouvé lu le récit qu’on lui mettait sous les yeux. Se n’était pas souvent que l’on voyait se genre de message venir a soit de cette façon. Magique, forcement, quelque chose n’était pas naturelle là de dans. Un piège peut être. Non, Zéleph n’y pensa pas une seule seconde. C’était un appel a la chasse à l’homme, ou à qu’importe se que ces créatures étaient sous leurs masque. Le message s’effaça au bout d’une minutes ou deux, laissant bien comprendre au réprouvé qu’il avait réagir maintenant ou jamais. Levant son regard vers son cheval il calcula la distance de Bouton d’Or jusqu’à Verda. C’était une longue distance a parcourir. Sa jument était fatiguer, lui épuiser par sa dur labeur. Etait-ce bien raisonnable ? Il serait toujours plus utile ici que la bas, si attaque il y avait.

L’albinos jura avant de planter sa hache dans le sol et de monté sa jument. C’était trop tard, sa décision était prise. Ici personne n’aurait besoin de lui. Il y avait bien assez de personne compétente pour protéger son peuple. Il ne craignez plu cela. SI il avait reçu se message alors qu’il travailler c’était que quelque part le destin l’avait voulu ainsi. Qu’il y crois ou pas. Qu’il maudisse ceux qui en décidé ainsi ou non, Zéleph ne pouvait fermer les yeux devant se genres d’actes. Trop de massacres, trop de victimes innocente, de sang répandu. L’ancien roi, hanté par ses mauvais choix, par les guerres et les morts ne pouvait fermer les yeux devant cette appel. Il n’était plu l’homme qu’il était, mais il était loin d’être aussi inutile et impuissant qu’il c’était persuadé être. Un homme de plus dans une bataille c’était se qui pouvait faire la différence.

Alors quitte a harasser sa monture. Il devait parcourir plus de cent lieux en un temps au plus vites. Il ignoré si il pouvait arriver a temps, mais après tout il ne pouvait savoir qu’avant d’avoir essayé. Zéleph ne voulait plu avoir de regret dans sa vie, plu jamais, et pour cela la seule façon de faire était encore d’aller jusqu’au bout des choses. « Weii boyeo ! Weii ! » Le cheval aller a toute allure sur le chemin de terre, mais il avait a traverser toute les terres d’émeraudes, c’était un effort difficile qu’il demander a sa jument et il ne la ménager pas.

803 mots.
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Dim 12 Juil 2015, 02:06



Les quelques jours de repos que la rouquine c'était offert dans cette petite auberge que le séisme avait épargné furent purement bénéfique pour sa santé, tant physique que mentale. Elle n'aimait pas la souffrance et les événements qui avaient eu lieu dans la cité d'Aeden en était gorgée. Destruction, mort, tristesse, peur et douleur. La cité ressemblait à un champs de ruine et son effigie principale n'était plus qu'un amas de débris où elle avait failli y périr. Secouant la tête pour chasser les images qui lui revenait en tête, Maléna se redressait dans son lit, laissant le drap glisser pour se poser sur ses cuisses. S'étirant les bras, cambrant le dos tout en baillant, le temps était venu de se lever et commencer une nouvelle journée. Quittant l'édredon, vêtue seulement d'une fine culotte, elle se brossa les cheveux pour en faire une queue de cheval avant d'attraper ses vêtements qui avaient sécher toute la nuit après les avoir laver la veille.

Dès son arrivée à cet endroit, elle avait fait envoyer une missive par pigeon à Nériona dans l'espoir que quelqu'un la reçoive et transmette sa requête. L'élémentale avait appris que la navigation était devenue un véritable danger que plus personne n'osait affronter. D'habitude elle aurait demandé à Edward si son équipage était disponible mais dans les circonstances, c'est Tempête qu'elle demanda à son cousin. À plusieurs occasions la rouquine avait monté sur le pégase tigré pour ses déplacements et il était le moyen le plus sûr de rejoindre le continent naturel. Chaque matin après avoir prit un bon repas préparé par les bons soins de l'aubergiste, elle allait dehors pour marcher dans les environs et attendre son moyen de transport. Maléna poussa un soupir de soulagement en le voyant atterrir à ses côtés, se précipitant sur l'animal pour enlacer son cou.
- Je suis tellement heureuse de te voir, je croyais bien être coincée ici pour des lunes !

Elle entra en courant dans l'auberge pour se rendre à sa chambre et attraper le peu d'effet personnel lui appartenant, réglant la note au tenancier avec la promesse de revenir faire un tour. Quittant sans attendre les lieux pour entame le périple de retour vers le continent naturel. La fraicheur de la brise dans ses cheveux, regardant le paysage qui défile sous ses pieds. Spectacle parfois beau, parfois horrible suite aux séismes mais aussi l'atrocité de tout ses navires réduit à l'état d'épaves flottantes, mer de débris et de chair. Maléna préféra regarder droit devant plutôt qu'en contrebas pour le reste du voyage jusqu'à une des sections de la plage de sable fin.

La rouquine se mit à marcher lentement jusqu'à prendre place sur un tronc d'arbre abattu où elle fixa une pierre plate devant elle. Se frottant les yeux pour être sûre qu'elle ne rêve pas, un message se gravait tout seul, elle le récita à voix basse puis lorsqu'elle en prononça les derniers mots tout disparu comme si rien n'était arrivé. Tempête fut requis une nouvelle fois pour qu'elle se rende à Varda et prendre connaissance de l'appel envoyé par cette missive. Une fois à bon port, elle glissa une missive à l'intention d'Ethan sous la selle et son destrier retourna à la maison sans plus attendre.

L'élémentale observait ce lieu qu'elle n'avait jamais visité mais dont elle connaissait l'emplacement pour avoir étudier les cartes du monde qui l'entoure. Curieuse de nature, Maléna n'avait pu s'empêcher de laisser passer ce message aux allures magique sans réagir, se retrouvant maintenant à Vardas, cité indiquée pour le rendez-vous. N'ayant aucune information sur la personne qui avait envoyée cet appel, combien avait pu le voir avant qu'il ne disparaisse. Qui sont ces masques d'or qui sèment la terreur. Tout autant de question dont elle souhaitait obtenir lumière avant de se lancer à l'assaut. Trouvant un endroit tranquille pour s'asseoir, elle observait les gens de la place, y voyant une inquiétude dans leur visage. «On dirait bien que ces masques d'or sèment la terreur.»

La rouquine se leva et poursuivit son chemin jusqu'à atteindre une petite place où une fille vêtue d'une fine armure de cuir faisait les cent pas. L'élémentale s'avançait lentement tout en jouant avec une petite boule de feu bleu entre ses doigts. S'adressant à Sharm sans savoir qui elle est, optant pour une question vague par sécurité.
- C'est ici le rendez-vous ?
726 mots
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Lun 13 Juil 2015, 16:18


« Tu es quelqu’un d’obstiné, Belle. Pourquoi t’infliges-tu cela ? Tu ne peux rien faire. Tu n’es pas un soldat. » Victoire, les bras croisés, tâchait de résonner son amie. Décidée et déterminée, la jolie Déchue ne l’écoutait pas. « Je ne vais pas attendre et observer un monde qui s’effondre. » murmura-t-elle en engouffrant quelques affaires dans un sac en toile. « Le Dædalus voulait que l’on quitte Avalon pour les Îles. » - « Tu étais partie. Tu es revenue. » - « Je n’allais pas t’abandonner, toi, petite sotte, inconsciente, insouciante et bornée. » - « Grâce et Arabella sont-elles en sécurité ? » - « Je le crois. » Belle hocha la tête. « Bien. » - « Laisse-moi venir avec toi. » - « C’est trop dangereux. » - « C’est pour ça que je souhaite t’accompagner. » - « Vicky … » Embarrassée, elle se frottait les joues et la gorge. « Tu es trop instable. » - « Pardon ? » - « Dès que tes yeux se posent sur un beau spécimen, tu ne peux pas t’en empêcher. » - « Je sais me contrôler. » - « Tu as ramené une douzaine de soldats après l’attaque contre le Cartel. » - « Je tenais simplement à leur exprimer ma gratitude. » - « Certains n’étaient même pas au Temple. » - « Il fallait bien leur remonter le moral. » Belle sourit. « Je préfère me rendre seule à Varda. » Victoire se balança sur ses pieds. « En réalité, ce n’était pas une question et je crains que rien ne pourra me contraindre à demeurer ici. » - « En es-tu certaine ? » - « Des menaces ? J’ai hâte de voir ça. Tu ne sais pas donner d’ordre, Belle. Tu n’aimes pas contrôler la vie des autres. » Elle se mordit la lèvre inférieure, agacée. « J’ai une condition. » Victoire sourit, consciente de son triomphe prochain. « Tout ce que tu veux, ma jolie. » Belle fit glisser ses yeux d’améthyste sur la tenue de Victoire, qui se baladait depuis plusieurs jours en lingerie. « Habille-toi. » - « Mais c’est adorable comme … » - « Dépêche-toi. » Dans un soupir, elle se dirigea dans sa chambre. « Je n’ai rien dit. Que ma Dame est autoritaire ! Que fait-on de la liberté de … » Elle continua à se plaindre et à marmonner mais obtempéra. Belle la contempla un instant s’éloigner avant de reporter son attention sur le vieux livre qu’elle feuillait auparavant. Elle effleura les pages blanches, songeant aux mots qui s’étaient gravés sur le parchemin pour s’envoler l’instant d’après. « Les Masques d’Or. » répéta-t-elle tout bas. Elle frissonna. Ces gens l’effrayaient.

Varda était un petit village qui longeait la Rivière Eternité, sur les rives en face de Stenfek. Belle connaissait bien la région et elle n’eut aucun mal à trouver le point de rendez-vous. Doucement, elle se posa dans les herbes grasses près du bourg ; ses ailes invisibles. « Tu perds des plumes. » souffla-t-elle à son amie dont le plumage, lui, était à la vue de tous. « Le voyage m’a épuisé. Je me reposerai bien dans une auberge. » Elle regarda passer un jeune homme. « Je suis certaine qu’il … » - « Vicky. » L’intéressée leva les yeux au ciel. « D’accord. Plus tard. » - « Vicky ! » Belle haussa le ton. « D’accord, ça va ! Je me concentre. » Belle épousseta ses vêtements avant d’approcher d’un pas fragile et indécis de la dénommée Sharm, Victoire sur ses talons. Mal à l’aise, la jeune femme n’arrêtait pas de bouger les doigts. Elle n’était pas certaine de pouvoir se rendre utile mais restait persuadée qu’elle aurait encore plus mal vécu le fait de rester à l’écart. Elle avait besoin d’agir, de servir une cause. « Excusez-moi. » bafouilla-t-elle à la personne qu’elle avait bousculée. « Quelle empotée. On dirait une gamine perdue. Ressaisis-toi. » maugréa Victoire. Belle avait des allures de petite poupée, enfermée dans une tenue de cuir et de lanière. Elle détonnait dans le décor. « Tu as voulu être là, on y est. Maintenant … » - « Tais-toi. » lâcha-t-elle entre les dents, irritée par les remontrances et les reproches. D’un œil inquiet, elle se mit à scruter les alentours. Ils étaient nombreux à avoir répondu à l’appel de Sharm. Malgré la foule, Belle se sentait terriblement seule. Victoire s’approcha d’elle, frôlant sa main de la sienne, comme pour la rassurer. « Je suis sûre qu’on va … bien s’amuser. » - « Je ne suis pas sûre que l’on soit là pour ça. » - « Arrête d’être tellement … Toi. Détend-toi un peu. J’espère que tu as pensé à prendre tes armes, au moins. » - « Tout de même. » Elle avait hésité. Pendant un instant, elle avait cru être partie sans.  

825 mots - Belle rejoint Varda, en compagnie de son compagnon Victoire. Elle bouscule quelqu'un et s'excuse.
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Eerah
Æther des Bergers et des Wëltpuffs

Æther des Bergers et des Wëltpuffs
◈ Parchemins usagés : 3537
◈ YinYanisé(e) le : 20/07/2013
Eerah
Mar 14 Juil 2015, 13:13


De bon cœur, Eerah trinqua avec la nouvelle Prœliant ; une jeune Paresseuse au regard argenté, et aux cernes profondes, preuves de son application à combattre sa nature profonde au profit du plus grand nombre. Parmis ceux qui partageaient son péché, ceux capables de ce genre d’exploit se comptaient sur les doigts d’une main. Il lui sourit avant de porter la coupe à ses lèvres. En bout de table, Logan lui faisait de discrets signes de congratulations, fier de sa protégée. Une nouvelle fois, la Cérémonie du Chemin se déroulait pour le mieux, plongeant les Quartiers des Sommets dans l’euphorie la plus totale. On chantait, battait du tambour et buvait à n’en avoir plus soif. Entre deux amuse-gueules, certains ne pouvaient s’empêcher de songer au trouble qui éreintait les Terres du Yin et du Yang, en y puisant une raison supplémentaire de s’enivrer. Demain serait de nouveau dédié aux angoisses et aux rumeurs, en attendant, la fête devait continuer. Comme à son habitude, Eerah buvait peu. De quoi célébrer dignement l’accession à un nouvel échelon de la Déchue assise en face de lui ; mais pas plus. Lui, tristement, ne pouvait pas se permettre d’arrêter de penser à tout ce qui menaçait son peuple et sa cité. Partout, d’Æden à Avalon, on entendait parler de statues vivantes, d’hommes aux visages masqués, et de nombreuses autres choses plus sombres encore. Une fois de plus, ils allaient traverser une ère de maléfices et de trahison. Il en avait déjà vécu tant ; sorciers, anges, dieux, qui pouvait se targuer de savoir qui s’en prenait au monde cette fois-ci ? Ils étaient destinés à s’en sortir, comme à chaque fois, mais combien de Déchus devraient tomber avant qu’un être un peu plus fou que les autres trouve la solution à ce chaos ? Depuis quelques jours, de mystérieux messages apparaissaient à qui voulait bien les voir, leur demandant de se présenter à Varda, un hameau perdu en amont de la Rivière Éternité. Rapidement, tout le monde avait été prié de garder son calme et de demeurer à Avalon, ou de se rendre aux Îles Suspendues, là où ils seraient le plus en sécurité. Par les temps qui couraient, c’était suicide que de se rendre aveuglément là où un mystérieux inconnu vous sommait d’aller. Et pourtant, c’est exactement ce qu’il allait faire, dès l’aube. Malgré lui, la missive avait réveillé un sentiment qu’il n’avait plus eu le luxe d’éprouver depuis longtemps : la curiosité. Il ne voulait pas que quiconque prenne le risque pour lui-même, et se savait capable de quelques tours s’il devait s’échapper d’une embuscade, c’était là la raison de son initiative. Ses paupières clignèrent, les yeux fixés sur un point du vide. Il commençait d’ores et déjà à se faire tard, et pourtant la Cérémonie débutait à peine.

Avalon se remettait difficilement des festivités de la veille lorsque le Dædalus prit son envol en direction du Sud. La voie des airs semblait toute indiquée ; remonter la rivière en bateau, en passant par les grottes sous le plateau n’était jamais une bonne idée, du moins pas sans une escorte armée. En règle générale, plusieurs escouades de gardes y étaient postées pour prévenir la moindre attaque, mais avec les évènements, ils avaient été affectés à la Capitale ou étaient partis en garnison dans une des deux autres cités. Sans un bruit, le Déchu filait dans les airs, équipé de pied en cap. Depuis qu’il était arrivé au trône, le département de la recherche et du développement magique s’était vu tripler le budget qui lui était alloué. C’était grâce à eux qu’on avait pu élaborer les Épaulières en Æthril, les Hïmbaut, et de nombreux autres artefacts aussi bien dédiés à la guerre qu’au commerce ou à un usage ménager. Une certaine caste n’y était pas pour rien non plus, cela faisait partie des accords récents qu’il avait ratifié, au prix de quelques partisans... Pour le bien du plus grand nombre. Perdu dans ses pensées, il s’engagea sans ralentir dans le tunnel qui ouvrait le passage sur le réseau troglodyte sous le Plateau. Les cavités qui s’y trouvaient étaient immense, de quoi laisser passer deux frégates de front, sans qu’elles aient à craindre de frotter les parois de granit. Leste, Eerah pivotait fermement, battant des ailes à un rythme lent, posé. En une vingtaine de minutes, il eut traversé le Plateau, pour déboucher non loin de Libertas. De là, c’était une partie de plaisir jusqu’à Varda, il n’avait qu’à survoler la rivière en suivant son lit ; il ralentit nettement l’allure, économisant ses forces pour ce qui l’attendait là-bas.


Résumé :


Event Juillet 2015 | Groupe VIII | Attrapons les Masques d'Or GqzDWY

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Mar 14 Juil 2015, 21:29



GROUPE VIII
Eerah – Ophalee – Maléna [Ethan] – Zeleph – Belle – Skiadram – Shi [Kohei]

Sous de vieilles tentures colorées, plusieurs volontaires s’étaient réunis autour de la jolie Sharm, à scruter la carte qu’elle maintenait déroulée sur l’antique table de bois et de rouille. « Nous sommes ici. » murmura-t-elle en pointant du doigt un morceau du parchemin. Elle laissa glisser sa main plus bas, tout en suivant le tracé de la rivière. « D’après les rumeurs, les Masques d’Or sont particulièrement présents dans cette zone. S’ils ont un repère ou un abri, il est probable qu’il soit par là. » Elle rêvassa un instant avant d’ajouter : « Cependant, rien ne le certifie mais j’ai envie de croire aux histoires. Les Masques d’Or sèment une terreur réelle, un carnage qui fait frémir et ils sont vêtus d’une façon assez peu discrète et reconnaissable. Les Terres d’Emeraude sont aux Orines. La Vénus, pour protéger les siennes, a érigé des colosses de bois, de terre et de feu. Ces créatures aux yeux jaunes sont nommées les Marcheurs ou les Grands Protecteurs. Ils s’infiltrent dans les esprits et chassent les porteurs de sombres pensées. Ils sont entraînés à détecter les mauvaises intentions à l’égard du peuple des Orines mais ne résistent jamais au besoin de conduire hors des frontières les êtres trop maléfiques. Il est devenu commun de les voir rôder, attirés par les maléfices de ces fanatiques mais … j’ignore comment ils s’y sont pris pour les duper car les Marcheurs ne les sanctionnent pas. » Elle se redressa, lâchant la carte qui se replia d’elle-même. « Si nous parvenons à démontrer aux Grands Protecteurs que leurs intentions sont lugubres, ils rejoindront notre cause. Cette aide serait la bienvenue. Néanmoins … » Elle croisa les bras, la tête penchée sur le côté. « Il ne faut pas se débarrasser purement et simplement de cette vermine. Elle pourrait revenir, plus forte, plus nombreuse. Nous ne savons rien de leur effectif, de leur présence à travers les continents. Nous devons les interroger, comprendre, et leur enlever ce fichu masque. Ils ont tué trop de gens pour se cacher. Ils doivent être punis, répondre de leur acte et pas de manière anonyme. » Sharm glissa ses mains dans ses cheveux noirs, pensive, hésitante. « J’ai beaucoup réfléchi au stratagème que nous devrions employer. La tactique a été sujette à débat mais je reste persuadée que nous devons rester ensemble. Les Masques d’Or sont d’une puissance étonnante et malgré le chaos qu’ils instaurent, ils sont très organisés, peut-être même hiérarchisés. Ils sont intuitifs en ce qui concerne l’art de donner la mort le plus efficacement possible. Restons groupés pour avoir une chance de réussir. » Aussi, de s’en sortir. « Sharm ! On en a repéré un. » L’intéressée remballa ses affaires à une vitesse impressionnante, rejoignant en quelques enjambées l’éclaireur. « Où ? » demanda-t-elle d’un ton brut. « En contre-bas de la Rivière Eternité. » - « Combien sont-ils ? » - « Trois, pour l’instant. Il n’y en avait qu’un puis il a été rejoint par un autre, puis un autre. Ils marchent en direction des Cascades Cristallines. » - « En route ! » Les battements de son cœur s’accéléraient. La bataille commençait, silencieuse ou grondante.

« Loué soit l’Architecte. Gloire à l’Architecte. » psalmodiait l’un des Masques d’Or, mains jointes et tête basse. Il répétait inlassablement les mêmes mots, sans que cela semble déranger les autres. Ils étaient six, à présent. Ils avançaient en silence, derrière celui qui marmonnait les prières. L’Architecte. Ce nom revenait souvent entre les lèvres des Masques d’Or. Du moins, il était possible de l’entendre lorsqu’ils s’exprimaient en langage commun et la chose était rare. D’ailleurs, les paroles changèrent et devinrent incompréhensible. Il parlait un dialecte inconnu, que même les Elfes les plus sages ne parvenaient à déchiffrer. « S’ils allaient chez les Faes ? » s’inquiéta quelqu’un. « Nous devons agir. Ils sont peu. Nous pouvons les avoir. » Sharm hocha la tête, agacée. « Non. Ils doivent nous conduire dans leur quartier général. » - « Ils approchent des Cascades ! Ce sont des meurtriers. Ils tuent sans raison et je doute qu’ils épargnent les Faes. » - « Ils passeront sûrement sans faire d’histoire. Regardez, ils sont quasiment muets et leurs armes sont encore accrochées à leur ceinture. » - « On ne peut pas prendre ce risque. » - « Il le faut ! » - « Tu n’aimes pas beaucoup les Faes, n’est-ce pas ? » - «  Quoi ? Non ce n’est pas ça. Nous avons un objectif. Nous ne pouvons pas … » - « Notre but est de sauver des vies, de quelques manières que ce soit. » - « Il ne faut pas ! Ne … » Les gens avaient peur, c’était naturel. Certains prirent alors la décision d’oublier les instructions de Sharm. Qui était-elle, après tout ? Elle n’avait pas d’ordre à leur donner. Ils étaient là parce qu’ils l’avaient bien voulu. Ils étaient libres, et en hommes libres, ils choisirent d’attaquer les six Masques d’Or, persuadés que ce serait facile. Les membres de la Secte tournèrent la tête, intrigués par les bruits. Calmes, sereins, ils sortirent leur armes, prêts à riposter, à éliminer les gêneurs. Une autre demi-douzaine de Masques arrivèrent en trombe.

Mots : + 875

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Mer 15 Juil 2015, 11:36



L’animal était a bout. Son cavalier pouvait entendre son souffle s’emballer, et son galop ralentir. Elle ne s’arrêta pourtant pas, continuant a persévéré sous ses encouragement. La jument du réprouve était une brave bête, a n’en pas douté. Il aller la tuer a se rythme là, alors Zéleph préféra ralentir l’allure quand il entra dans la régions de la rivière d’Eternité. Il suivait les routes de terres qui l’amenèrent a longer le cour d’eau. Il avait du se tromper d’embranchement au niveau du centre des pleines, là où les routes s’effaces et se perde a cause de Maelith. Seul deux grande route étaient indiquer. Ethernoir et Stenfek. L’albinos avait choisi la dernière étant la ville la plus proche de Verda, l’endroit d’où provenait l’appelle. C’est ainsi qu’il se retrouva au bord de l’eau, ne traversant pas le pont qui le mènerait du mauvais coter des rives. Il remonta la rivière, a contre courant, indicateur de l’endroit où il devait aller. Sa jument était épuiser, il ne la faisait plu accéléré. SI il était trop tard tans pis, il aurait fait de son mieux. Rapidement Zéleph vit des hommes, le visage couvert, le soleil faisant briller leur visage. Ils étaient loin de lui, très loin mais se détaille lui fit comprendre qui ils étaient. Nombreux, semblant calme, ils avancer tranquillement dans sa direction. Le réprouvé avait le temps de les observé et de bien réfléchir a la question. Se serait de la folie que de se mettre en travers de leurs route. Ils étaient plus d’une dizaine et l’on raconté  a Bouton d’or qu’ils étaient redoutable. Zéleph ne pouvait que croire un peuple de guerrier, son propre peuple.

Le réprouvé aller faire un détour, espéré qu’il n’était pas trop tard a Verda, que rien ne s’y était passer. Les Masques d’or n’avait aucune trace de sang sur leurs vêtements, donc il n’y avait aucune raison de s’inquiéter, mais on ne pouvait jamais perte totalement sur. Seulement au moment où le Zéleph commença a se détourner pour fuir dans les bois et se cacher des hommes, il vit derrières eux courir des hommes armés et bien décidé a se battre. En regardant la scène qui suivit l’ancien roi réalisa que ce groupe aller tout droit vers la mort. Ils étaient disperser, n’avait aucune chef et ne semblait même pas savoir combattre. Cette mascarade aller tous les conduire a une mort certaine, un massacre. Se fut tellement ridicule que certain Masques d’ors continuèrent d’avancer comme si rien n’arriver. Le reste de leurs groupe lui, maitriser avec facilité leur assaillant. « Dreell ! » Le juron que Zéleph s’étouffa dans sa gorge alors qu’il battit la bride pour galopé a nouveau a toute puissance vers la mêlée. Le réprouvé passa au milieux du groupe de Masque d’or qui contèrent leur chemin sans semblé le voir. C’était étonnant, mais il ne s’arrêta pas a cette interrogation. Il n’avait pas le temps, ces gens aller mourrir si personne ne les faisaient fuir. Car Zéleph n’était plu assez puissant pour prendre sur lui se combat. Il fallait voir les choses tel qu’elles étaient. Les Masques d’ors étaient supérieurement aguerris et puissant. Entrant dans la bataille a toute allure, l’ancien souverain fit l’erreur d’essayé d’attaquer un Masques d’Ors occuper a transpercer de son arme le corps d’un homme. Pas assez rapide, ou moins que son ennemie, le réprouvé se pris un coup d’estoque, qui si son cheval ne s’était pas cabré, lui aurait traverser le ventre. Zéleph tomba de sa jument qui fuit après cela. Etourdit, grimacent sous la douleur, le réprouvé se redressa rapidement avant de prendre un nouveau coup. Il ramassa précipitamment l’épée du mort dont le corps était encore chaud, et se leva sur ses jambes en position de défense. Il réalisa que le Masque d’or c’était déjà détourné de lui, ne semblant pas intéresser par le combat. Zéleph comprit pourquoi il n’était pas encore couvert de sang, après tout, le temps qu’il se relève il aurait eu largement le temps d’en finir.

Observent les combat, le réprouvé compris que les Masques d’Ors n’attaquer jamais, il se défendait. Leurs contres attaques étaient redoutable, et leurs assaillant gauche dans leurs techniques. Trop de précipitation, de rage et de peur aussi. Zéleph n’avait pas le temps d’analysé plus en détaille la façon dont les Masques d’ors se battaient, il fallait qu’il aides ceux qui étaient en difficulté. Arme a la main, il ce lança alors près d’une femme dont la hache venaient de cédé sous les coups acharné de l’homme masquer. La poussant brutalement, le réprouvé renvoya le coup puissant d’épée du Masque d’Or, le faisant chanceler en arrière, ne s’attendant certainement pas a rencontré une telle résistance. Tenant son épée a deux mains, le réprouvé se focalisa sur l’ennemie et pour le faire reculer il commença a l’attaquer en tournoyant. C’était plus de l’intimidation qu’un désire de tuer, mais c’était une bonne solution pour détourné son attention. La femme c’étaient enfuit, c’était au moins ça, mais quand le Masque d’or reprit la maitrise de la situation, Zéleph su qu’il n’avait peut être pas assez bien calculé son plan. Sur tout qu’avec son spectacle il avait attiré un autre d’entre eux. « Deux contre un. C’est du propre ! Je suis sur que votre mère serait ravis d’entendre ça.» Quand il du sauter sur le coter pour éviter un coup de lance, puis esquiver a l’aide de son épée un second coup le réprouvé comprit qu’ils ne plaisanté pas. Faisant tourné son arme dans sa main, Zéleph se mit en déplacement. Sa posture étaient basses, ses jambes mobiles. Il était près a prendre sa au sérieux puise que visiblement son plan n’avait pas fonctionner. « Visiblement oui. »

942 mots.
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Mer 15 Juil 2015, 13:39



O
phalee arriva dans le grand village quelques minutes après avoir renvoyé Tu’hum de sa fonction de monture. Elle vit que sur la place principale se tenait un petit groupe alimenté au fur et à mesure par des arrivants. La bélua suivit d’ailleurs le mouvement en rejoignant le centre. Elle entendit plusieurs fois le nom de la fameuse interlocutrice qu’elle devait aider et la vit d’ailleurs faire les cent pas avant qu’elle ne se ressaisisse et explique la situation aux arrivants. Elle se présenta à Sharm, comme toute personne avenante et se posa à côté d’autres membres. Des guerriers aguerris, des savants futés et des personnes venus de tout coin se rassemblaient ici-même. Ophalee se confondit dans la petite masse de personnes où tous suivaient avec plus ou moins d’attention le discours de Sharm. Alors qu’Ophalee écoutait sagement les paroles de la femme, elle fut surprise par des mots déplacés à son égard. Elle décida de mettre son capuchon pour assombrir son visage alors que des moqueries fusaient dans son dos. Les plaies de la large cicatrice sur son faciès se muaient encore en croûte. Son seul œil valide continua de suivre le déplacement des doigts de Sharm sur la carte tout en faisant abstraction des gens mal éduqués sur son côté. D’ores et déjà son esprit réfléchissait à une méthode d’attaque. Bientôt, le groupe fut bousculé par des nouvelles : il n’en fallut pas beaucoup pour pousser tout le monde à l’assaut des Masques d’Or. « Piège, il faut des Pièges. »

L
a réflexion mûrie de la bélua n’était que le fruit des paroles de Sharm, qui souhaitait faire comparaître devant ses pairs un des Masques d’Or, dénué de son fameux masque. Néanmoins, ce plan nécessitait une vigueur et une rapidité de mise en place : n’étant pas loin, les Masques d’Or pouvaient à tout moment s’enfuir dans des directions insoupçonnées. Comme un bétail ou une créature munie d’une intelligence quelconque, il fallait conduire ces charlatans dans un endroit précis, qu’un au moins puisse se faire capturer. Avant de partir du village, Ophalee alla se renseigner auprès des Pêcheurs pour obtenir du fil de pêche solide et quelques filets adaptés à la chasse au Silure, poisson d’eau douce capable de peser jusqu’à deux-cent cinquante kilos. Le tenant du magasin eut tôt fait de lui donner le matériel sans frais car la bélua promit de le ramener au plus tôt. Mentir n’était pas le fort de cette femme mais le pêcheur soucieux du bien de son village ne posa pas plus de question. Ophalee avait pris avec elle quelque nécessaire de chasse, comme des couteaux ou du fil beaucoup moins résistant que le fil de pêche qu’elle avait désormais en sa possession. « Piéger est ma spécialité. Quelqu’un veut-il bien m’aider ? »

E
lle suivit de près le petit groupe et attendit de voir les fameux Masques d’Or avant de disparaître dans la forêt d’Emeraude, emportant avec elle un volontaire ayant répondu à son appel à l’aide plus tôt. Ils arrivèrent près de la Rivière d’Eternité. Ophalee voyait que c’était un coin de passage visité puisqu’il y avait encore des pas fraîchement marqués au sol. Elle choisit son endroit un peu plus écarté de la Rivière, pensant que les Masques d’Or ne courraient pas le risque de se laisser prendre au piège entre l’eau et l’adversaire. Naturellement, ils iraient plutôt dans la forêt pour perdre leur adversaire. Croyant bien faire, Ophalee indiqua ce qu’il fallait faire « Il faut créer un entonnoir de végétations pour que l’œil fasse penser au cerveau que la seule issue possible est le bout de l’entonnoir. » Bien sûr, Ophalee avait pensé à tout. « Tiens, du fil. Accroche les entre les arbres, ici et là. Je ferais de même de l’autre côté. » La bélua passa une bobine de fil et un couteau à son collègue et dut grimper un peu dans les arbres pour que les végétations paraissent naturellement hautes. Elle en profita pour creuser le sol derrière cette barrière végétale car si quelques-uns parvenaient à la passer, malgré le fil de pêche, ils tomberaient et feraient comprendre inconsciemment aux autres fuyants que le chemin n’est pas le bon à emprunter.
Elle ramassa et coupa plusieurs branches, quitte à déplacer ou à déraciner des jeunes pousses. Ophalee songea que sa méthode ne plairait pas à tout le monde, mais si Sharm voulait capturer une de ces créatures vivantes, c’était ce qu’il fallait faire. Le filet tiendrait pour deux personnes maximum.

U
ne fois le mur végétal accompli, elle précisa à son acolyte « Il faut désormais poser le filet au fond de l’entonnoir. Je l’ai déjà attaché, peux-tu aller chercher de quoi le couvrir ? » Ce filet incroyablement bien travailler pour la capture du Silure, faisait en sorte que l’animal ne puisse plus s’échapper. Même avec une arme, un individu capturé aurait du mal à s’en défaire rapidement. La bélua grimpa dans l’arbre, s’aidant de la forme courbée pour monter jusqu’à une branche haute et solide. Elle y planta une espèce de poulie actionnée par plusieurs fils de pêche quand un individu passerait par-là. Le bruit des combats s’intensifiaient de l’autre côté de la forêt ce qui précipita les manœuvres d’Ophalee. Pour que ce mécanisme fonctionne, il faudrait quelqu’un prêt à couper d’un coup net les fils de pêche restant. « Au cas où cela ne marcherait pas, il faudra les écarter des autres sentiers pour en ramener au moins Un dans l’entonnoir. Je ne peux y aller car je veillerai au piège, peux-tu te poster sur un des deux côtés et te cacher ? » Ophalee alla près du mécanisme qu’il suffisait d’activer et s’assit au sol, en méditation. Elle ferma les yeux, se concentrant sur les pas, les bruits et le groupe au loin.

« Il faut en rabattre sur le sentier parcouru, faites en reculer, une surprise les attend… » Ce message fut envoyé à quelques membres du groupe qu'Ophalee avait plus tôt sondé.


Mots = 998 XD

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Jeu 16 Juil 2015, 13:04

Il y avait un rassemblement non loin de là où se trouvait Shi. Naturellement, elle s’y dirigea. L’appel qu’elle avait reçu avait dû toucher beaucoup d’autres personnes, et cela la rassurait en un sens. Une femme parlait tout en montrant une carte. Elle devait être cette fameuse Sharm. Shi eu une vague de stresse lorsque la personne qui livrait ses explications évoqua les masques d’or. La petite Fae ignorait totalement si elle pouvait ne serait-ce que faire le poids dans une bataille contre eux. Elle se savait frêle et faiblarde. Mais Shi restait néanmoins motivée à faire quelque chose pour aider. Savoir que ces êtres semaient la mort partout où ils allaient la frustrait. Et ils étaient tous là pour tenter de changer cela, et ça la rassurait amplement, bien qu’elle ressentît quelque peu la peur. Elle cessa de rêvasser. Il fallait bien écouter les explications de la Magicienne plutôt que de se perdre dans une réflexion inutile, bonne à simplement s’effrayer encore plus. Alors elle suivit les dires de Sharm avec une concentration notable, et se révolta intérieurement de la situation des Orines.

Elle sursauta à la remarque d’un nouvel arrivant. Il y en avait un non loin ? La petite fille joignit la Magicienne dans l’espoir d’entendre les quelques infos sur l’apparition de leurs ennemis, et suivit de près l’évolution du problème. Puis, au mot « Fae » son cœur s’emballa. C’est vrai… Ils ne se trouvaient non loin des cascades cristallines… le territoire de son peuple. « On ne peut pas… On ne peut pas laisser les Fae mourir c’est sûre, et je serais la première à le souhaiter. » Lança-t-elle les yeux figés par la détermination, « Mais on ne peut pas agir tête baissée sans réfléchir. Je ne veux pas voir les miens mourir, mais je veux encore moins que d’autres gens en plus ne meurent sous prétexte qu’on n’aura rien fait avancer dans les recherches et qu’on aura pris du retard pour pouvoir les arrêter définitivement. » Elle marqua une pause, la gorge nouée par sa décision difficile. « S’ils ne nous conduisent pas maintenant dans leur cachette, quand le feront-il ? » Ca paraissait évident. Mais le désir de certain de sauver les Fae était compréhensible. Et Shi qui aurait dû être des leurs se posa des questions. Pourquoi ne les accompagnaient-elle pas ? Rien qu’à l’idée de voir son peuple se faire décimer elle avait des nausées.

Tout d’un coup, elle regretta l’idée d’être au courant de tout cela. De savoir que ces masques d’or tuaient tant et tant de gens, et qu’il y avait une forte probabilité que les siens soient les prochains sur la liste. De l’aide, de l’aide ! C’était tout ce qu’elle voulait. Mais savoir que certains allaient tout de même aider les Faes la rassurait quelque peu tandis qu’elle suivrait Sharm. Shi aurait tant aimé les protéger ! Mais comment ? Son seul moyen à elle était de faire ce qui semblait le mieux et le plus réfléchi. A savoir, aider cette Magicienne qui semblait avoir mieux raisonné sur la question que quiconque. Naturellement, et peut-être même inconsciemment du coup, Shi lui avait donné sa confiance, et semblait bien plus à même de l’écouter et de la suivre. Tandis qu’elle s’éloignait de ces personnes prêtes à aider les Faes, elle se retourna, et murmura un petit « merci de penser aux miens… » qu’elle ne sut retenir.

Lorsqu’elle entendit les mots de la Magicienne, Shi retrouva une certaine motivation. Suivre le masques d’or qui psalmodiait. Voilà quelque chose qu’elle pouvait faire. Tout ce que voulait la Fae en cet instant, c’était se rendre utile, faire avancer les choses. Et pour ce faire, elle allait exécuter cette sorte de mission qu’on lui confiait. Shi tenta de se rendre invisible, dans l’espoir de mieux filer l’ennemi sans se faire remarquer, mais seulement son bras devenait translucide. Avec toute la concentration du monde, elle était incapable de plus. Alors elle lâcha l’affaire, et se mit à prendre beaucoup de hauteur, tout en espérant encore voir l’ennemi, et le suivre depuis les airs où elle se sentait tant en sécurité.

Et tout en prenant ces hauteurs, la petite Fae observait l’étendue des lieux, et comptait les masques d’or présents. Ils étaient une douzaine. En observant les combats qui s’étaient engagés, elle se rendit compte à quel point ces êtres étaient puissants, et à quel point elle ne pouvait rien faire dans une telle bataille à part soigner les blessures des autres. Même un type qu’elle voyait au loin, et qui avait l’air fort semblait être dans une mauvaise posture. Et encore, détourner son attention de sa filature était impensable. Si elle perdait le fanatique de vu, elle s’en mordrait les doigts, d’autant plus qu’il continuait d’avancer encore et encore. Les masques d’or étaient encore plus nombreux que tantôt, et la petite Fae prit peur que leur nombre ne cesse d’augmenter. Son cœur s’emballa alors qu’elle suivait son ennemi. Elle avait peur de s’éloigner des autres, peur de se faire remarquer. C’était normal. Et puis… Shi n’avait jamais rien fait d’aussi dangereux. Certes, il lui été arrivé bien des histoires, et notamment à cause de Kohei, mais se lancer d’elle-même dans une telle entreprise, jamais elle ne l’avait fait.
877 mots

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Dim 19 Juil 2015, 20:43



Écoutant avec attention les propos de Sharm, la rouquine sut qu'elle avait atteint le bon endroit et que la situation était loin d'être la plus idéale. La présence des Masques d'Or avait été confirmé par un éclaireur et le nombre de ceux-ci doublait littéralement à chaque information supplémentaire. Dilemme entre l'usage de la discrétion et la force, débat perpétuel dans toute situation de ce genre. L'idée de trouver le quartier général permettait de porter un coup plus dur au groupe tandis que s'occuper de la douzaine d'adversaire reflétait surtout un risque de ne rien apprendre, de blessures voir de morts avec pour seul gain hypothétique la protection des Faes. Oui ils allaient dans cette direction mais leurs intentions ne sont pas connues.

Perdue dans ses réflexions, la rouquine n'entendit pas arriver Belle derrière elle qui l'a bouscula, la sortant de sa torpeur, posant un pied plus avant pour ne pas perdre l'équilibre avant de se tenir droite de nouveau. La fautive s'excusa aussitôt tandis que l'élémentale la regardait de la tête aux pieds. «Mignonne... » Souriante, elle répondit sans attendre.
- Pas de mal, l'ennemi sera sûrement plus rude que ça.
Maléna se prit note d'essayer d'engager la conversation plus tard si les circonstances le permettait mais pour l'heure c'était l'établissement du plan.

Mais avant même que décision soit prise de façon unanime, un groupe de craqué du cerveau foncèrent en hurlant sur les Masques d'Or. L'élémentale remarqua que ces derniers démontrait une technique de défense plutôt efficace, désarçonnant sans mal pour retourner les armes contre leurs porteurs trop téméraire qui ne s'avouait pas vaincus. Maléna ne pouvait rester de glace devant ce spectacle, son tempérament brûlant lui échauffant l'esprit aussitôt. Elle aurait bien préféré la filature jusqu'au repère mais c'était un classique au fait que les choses ne vont jamais comme prévues. S'assurant que son arbalète était bien fixé dans son dos, la rouquine se dirigea au pas de course vers l'adversaire pour défendre ceux qui à la base voulaient bien faire mais qui au final avaient plongé dans un sale pétrin.

Usant de sa meilleure arme, elle créa une petite boule de feu qu'elle fit éclater devant les yeux d'un Masque d'Or. Moment d'éblouissement dont elle profitait pour attraper par le bras celui qui allait passer un sale quart d'heure et l'attirer plus loin.
- Dégage !
Cria t'elle sans retenue au jeune homme qu'elle venait de sauver. Se retournant l'instant suivant pour mettre en joue avec son arbalète l'adversaire qui se remettait de l'éclat en visant directement les orifices du masque pour atteindre un oeil si nécessaire. Il avait beau être un coriace, il suffisait d'une dose de chance pour que le carreau passe pile dans l'orifice pour lui bousiller la vue. Se reculant de quelques pas, chaque mètre entre elle et lui ne pouvait être que bénéfique à sa santé.

Restant calme, tenant toujours en ligne de mire le Masque d'Or, elle regardait autour pour voir si tout se passait bien. Ici et là la lutte c'était engagée et la facilité ne semblait pas être au rendez-vous. Manque de tactique ? D'expérience ? De force ? Dur à déterminer sans connaissance plus approfondies de l'ennemi. Son attention s'arrêta sur un homme avec une épée à la main, posture basse et jambes bien ancrés en train de faire face à deux Masques d'Or. Duel imminent mais surtout inégal, du moins en apparence puisque deux contre un, c'est pas un principe d'égalité quand on sait comptait. Oui plusieurs facteurs pouvaient influencer mais la question n'était pas là. Maléna baissa son arme pour tirer dans la cuisse de sa cible, ainsi elle ne tuait pas, il pouvait encore parler et ne serait pas dur à suivre en cas de fuite. Affichant un sourire satisfait, elle remit l'arme dans son dos et se rendit vers Zeleph qu'elle avait remarqué. Arrivant derrière les deux masqués, elle prépara une boule de feu dans une main et présentait son arbalète dans l'autre.

Un sourire en coin, elle se mordillait la lèvre alors que diverses idées lui traversait l'esprit. Étant parvenue à s'approcher sans bruit, l'ennemi ne savait toujours pas qu'elle était là, juste derrière. Rapidement elle dû faire un choix, s'approchant un peu plus pour passer la main à proximité de leurs postérieurs et y mettre le feu avant de reculer de quelques pas pour les contourner. Lentement  l'odeur de brûlé se répandait tandis qu'elle venait se poster à côté de Zeleph pour constater la réaction, donnant un petit coup de coude à celui-ci tout en murmurant.
- Dans trois, deux, un ...

760 mots
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Mar 21 Juil 2015, 00:49


« Qui est l’Architecte ? » murmura l’Ange Déchue à l’oreille de son amie, troublée par les prières inquiétantes d’un homme au masque d’or. Victoire haussa les épaules. Elle n’en avait aucune idée. « C’est un nom qui revient … souvent. » répondit-elle simplement, perdue dans le souvenir des ragots, les mots lâchés avec nonchalance. « Personne n’en sait plus ? » Belle interrogeait du regard ceux dont elle parvenait à capter l’attention, curieuse et anxieuse. « Il n’y a pas eu d’investigation à son propos ? Il me parait … important, non ? » - « Je ne crois pas que l’on soit assuré de son existence. » - « Justement. » L’Architecte. Pour une raison qu’elle ignorait encore, ce nom la faisait frémir. L’Architecte. Il y avait quelque chose d’effrayant, de malsain dans ce titre. Elle craignait cette entité fabuleuse dont elle ne savait rien. Elle avait besoin d’en savoir plus. Embarrassée, elle voulut s’approcher de Sharm, sans comprendre la situation chaotique ; la peur dans le cœur des hommes.  « J’aimerai … » Coupée dans ses messes basses par le fracas des épées, elle releva les yeux sur les membres du groupe qui avaient filé vers les Masques d’Or. « Quoi ? » Que faisaient-ils ? Cela ne faisait pas partie du plan. « Quoi ? » répéta-t-elle un peu plus fort, ahurie. L’attaque n’était ni subtile ni réfléchie. Ce n’était pas vraiment une bonne idée, selon la jeune femme. « Quoi ? » soupira-t-elle une dernière fois, les joues crispées. Des Masques d’Or surgirent de l’obscurité, renforts aiguisés pour leurs frères bariolés. « Belle ! » s’écria Victoire, qui attrapa le poignet de l’intéressée. « Mieux vaut rester à l’écart. » - « Mais … » - «  Tu n’es pas un soldat, tu manies mal tes armes. Ne prends pas de risques inconsidérés. C’est à peine si je te laisse approcher des couteaux quand il faut couper trois carottes et un poireau alors ne compte pas sur moi pour te laisser mener bataille contre des experts meurtriers. » - « Ils vont se faire massacrer. » - « Super ! Comptes-tu rajouter ton nom à la liste des tombés pour l’honneur ? Accordes moi cela, s’il te plait. » - « Je peux aider. » - « Non, tu ne peux rien faire. » - « Victoire … Je t’apprécie beaucoup mais je crois que tu oublies trop souvent que tu n’es que ma servante. » Surprise, la jolie brune lâcha prise. Belle s’en alla rejoindre les autres. Les poings serrés, elle courrait. Qu’avait-elle osé dire ? Elle ne le pensait pas. Victoire était son amie. Le désir de se rendre utile l’avait poussé à prononcer des choses horribles, des paroles sans cesse dont l’unique but était de vaincre. Elle avait réussi. Le triomphe avait une saveur amère.

Belle avait trébuché sur ses propres pieds et, dans sa chute incontrôlée, s’effondra sur un Masque d’Or. C’était un mal pour un bien puisque celui-ci s’apprêtait à frapper quelqu’un. Dans le groupe, elle reconnut la jeune femme aux cheveux roux qu’elle avait bousculée un peu plus tôt. « Décidemment … » marmonna-t-elle en se relevant, le cœur battant. Victoire avait raison, elle n’était pas une guerrière. Elle n’avait rien à faire là. Pourtant, elle voulait porter secours, autant que possible. Les doigts tremblants, elle agrippa les petites friandises fumigènes qui reposaient dans les tréfonds de ses poches. D’un geste brusque, elle les abattit dans les herbes hautes, créant une épaisse fumée grisâtre qui causa la toux de quelques personnes alentours. « Aie. » On l’avait attrapée par les épaules, secouée comme un pommier. « Hey ! » Quelqu’un l’aide à se dégager. La Déchue chancela contre un grand Réprouvé blafard. La jeune femme piqua un fard, confuse et impressionnée par l’étranger. Il était imposant. Elle se serait presque sentie en sécurité, près de lui. « Désolée, je suis désolée … » Petite voix de souris. Belle devait être l’une des rares personnes à s’excuser en pleine lutte d’un dommage minime. D’un pas fragile, elle s’écarta de la cohue, des combattants et des Masques d’Or. Il était un peu tard pour la prudence et un ennemi l’avait prise en grippe. Elle se contenta de le repousser d’un mouvement agacé. Ses mains s’étaient posées sur la peau froide des bras de l’autre. C’est le moment que choisit le don de Précieux Toucher pour se réveiller. Dans un craquement, quelques morceaux de chair devinrent de diamant.

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Mer 22 Juil 2015, 00:45



GROUPE VIII
Eerah – Ophalee – Maléna [Ethan] – Zeleph – Belle – Shi [Kohei]

« Des imbéciles … Vous n’êtes qu’une bande d’imbéciles. » Les doigts de la jeune femme tremblaient. Furieuse, elle contenait son courroux et se bornait à murmurer quelques mots, lâchés avec hargne d’entre ses dents. « Regardez ce que vous avez fait. » continua-t-elle plus fort, en se relevant à l’aide de son épée, appuyée sur le manche. « Regardez ! » Le ton était sec. Elle s’était approchée des quelques membres du groupe qui avaient lancé l’attaque. « Ces hommes sont morts à cause de vous ! » Cette fois-ci, elle avait hurlé. Presque dissimulés par les herbes hautes et grasses, les cadavres des volontaires jonchaient les rives du fleuve. Ils étaient nombreux à avoir perdu la vie. Parmi les dépouilles, il n’y avait pas un Masque d’Or. Le combat avait été un véritable massacre. Les fanatiques bariolés étaient partis. Ils n’avaient fait que repousser les assaillants, éliminer ceux qui insistaient, de sorte à continuer leur chemin en courant. D’un revers de la main, elle essuya le mince filet de sang qui coulait le long de son menton. « Quel gâchis mais quel gâchis … » marmonna-t-elle, peinant à retenir sa rage. « Vous avez tout gâché. » Les Masques d’Or ne s’étaient même pas intéressés aux Cascades Cristallines. Les Faes ne durent même pas s’inquiéter pour leurs frontières. « Merci aux autres. Vous vous êtes très bien battus. » Articula-t-elle en passant une main sur ses joues. Elle baissa les yeux, jetant quelques coups d’œil aux corps inanimés et ensanglantés. « Souvenez-vous d’eux. » Sharm s’interrompit un instant, le regard vague et les lèvres frémissantes, le temps de réciter une prière pour les âmes tombées. « Allons-y. » Il n’y avait plus une seconde à perdre. Sharm craignait qu’ils n’aient déjà échoué. Elle se mit à courir, incitant les autres à la suivre. « Ophalee. » interpella-t-elle en apercevant la Bélua, après quelques minutes de course. « Est-ce que ça a fonctionné ? » demanda-t-elle, sourcils froncés. Elle était pleine d’espoir. Le piège était très ingénieux. « Je ne crois pas que les Masques d’Or soient passés dans le coin. » chuchota un autre, mal à l’aise. « Ils s’entêtent à longer la rivière, d’ordinaire. Il serait surprenant qu’ils s’éloignent à ce point de leur route, qu’ils s’enfoncent dans les forêts. » - « Pour s’enfuir, c’est possible ! » Protesta un autre. « Fuir ? Qui ? Nous ? Ils ne nous redoutent pas. Ils nous déciment comme des cafards. » Sharm soupira. « Laissons le piège en place. Il peut faire mouche à tout moment. Finn ? » Un Bélua du Totem du Moineau acquiesça. « Je resterai dans les parages, à surveiller. » - « Parfait. Où est la petite Fae ? Shi … Je crois. » - « Elle a suivi un Masque d’Or. » - « Dépêchons, en silence. » La Magicienne ne tenait pas à ce qu’ils commettent un nouveau faux-pas. Ils n’avaient plus droit à l’erreur.

A pas de loup, Sharm se glissa auprès de la jeune Fae. « Shi. C’est du bon travail. » Lui souffla-t-elle, sans quitter des yeux le Masque d’Or qui psalmodiait. Il s’éloignait d’un bon pas, suivi de près par plusieurs de ses compères qui le rejoignaient peu à peu. « Que dit-il ? » s’agaça quelqu’un. Il s’exprimait dans une langue incompréhensible. « Je l’ignore. » - « Ça parait important. » - « Dans leurs délires, oui. » - « C’est qui l’Architecte, au juste ? » s’enquit un autre, songeant au titre qu’ils avaient entendu un peu plus tôt. Il y eut un blanc. « Je l’ignore. » répéta Sharm, contrariée. « Finalement, on ne sait rien de ces types. » - « Pour l’instant. » La jeune femme était déterminée. « Ils sont flippants. » Les Masques d’Or s’étaient agenouillés en face de la Rivière Eternité, clamant des mots insensés en rythme tandis que celui qui psalmodiait avançait dans les eaux froides. Soudainement, ils se turent. La terre trembla, l’onde frissonna et un escalier aux marches tordues apparut lentement à côté d’un gros rocher. Il semblait conduire à une cavité souterraine, certainement sous la Rivière. Tous les Masques d’Or s’y engouffrèrent. « Vite. » bredouilla Sharm, partagée entre l’excitation et les appréhensions. Ils effleuraient une victoire du bout des doigts mais où allaient-ils atterrir ? Combien trouveraient-ils de Masques d’Or ? Où étaient-ils ? Pourquoi ? Cela faisait beaucoup de questions dont les réponses pourraient être enterrées en même temps que leur dépouille. Pourtant, c’était bien pour cet escalier et ses promesses qu’ils étaient là. Il fallait se presser car ils ne savaient pas combien de temps la structure resterait en place et mieux valait éviter qu’elle se referme sur eux. « Par Harabella, où sommes-nous ? » - « C’est merveilleux. » Un Temple aux mille et une couleurs achevait le long dédale de galeries sombres. « Ah oui, vous trouvez ? » Sharm voyait au-delà des splendeurs architecturales, voyait les rangées et les rangées de Masques d’Or, assis en ligne parfaite devant un autel obscur d’où se détachait une silhouette ténébreuse, voilée sous une immense cape beige. L’Architecte était penchée sur un Masque d’Or, allongé sur l’autel. Doucement, il leva la tête, avant d’esquisser un mouvement du bras.


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Mer 22 Juil 2015, 11:39



Son épaule lui faisait un mal de chien. Une douleur atroce c’étaient emparé de lui alors qu’une lance l’avait transpercer. Il fallait dire que tout c’était passer très vite. Une fille était arriver de nul part alors qu’il se battait avec deux masque d’or. Une élemental certainement vue sa technique de combat. Son idée n’auraient pas étaient si mauvaises si ces types n’étaient pas d’une puissance affligeante. S’en était pratiquement frustrant de our a quel points ils étaient fort et entrainer. Certainement très énerver du tour de la demoiselle ils se sont mit a redoublé de d’effort dans leur volonté de les mettre a terre. Seulement, plus il y avait e mort dans leurs camps, plus il y avait de Masque d’Or du leur. Alors même que Zéleph aller paré un coup d’épée de l’un deux, il sentit quelque chose transpercer sa chair de par et d’autre, jusqu’a voir le bout en acier sortir sous ses yeux. C’était moche d’attaquer par derrière, mais une chose était sur ces hommes, ou ces choses n’en avait absolument rien a faire de l’éthique.

Zéleph tomba un genoux a terre, sous la force de la lance qui se retiré de son corps. La douleur était vive, et le réprouvé sera les dents pour trouver la force de se relever. Il avait oublier se genre de souffrance, avant tout cela n’auraient pas étaient tout a fait la même affaires. A commencer peut être par cette plait ouverte qui se serrait refermer immédiatement. Soudain, une épaisse fumer se fit voir. Zéleph ne su qui avait envoyé cela, mais au fond de lui il espéré que les Masque d’or en profiteraient pour se dérobé et quitter le champs de bataille. Personne ne semblaient assez fort dans leurs groupes, ne serait-ce que pour en maitriser un, alors gagner une bataille se n’était même pas la peine. Alors qu’il essayer de se hisser sur ses jambes, reprenant contenance, une jeune femme lui tomba littéralement dans les bras. Le réprouvé laissa ses yeux s’écarquiller en voyant la personne. Son étonnement était immense et pour peut qu’il se trompe, on ne pouvait lui en vouloir. Cette jeune demoiselle semblait perdu au milieux de cette guerre. Qu’est-ce qu’une fragile dame comme elle faisaient ici ? Elle semblaient n’avoir rien, c’était une bonne chose. Aussi vite lui était-elle tomber dessus, qu’elle partit en se fondant d’excuse. Zéleph, en bon samaritain, aurait souhaité la suivre pour l’évacuer de cette folie, mais il n’en eu aucune occasion. L’épaule rudement blesser, ses mouvements étaient limité, son bras droit presque totalement inutilisable. Se fut alors bien plus difficile de se défendre après cela.

A son grand étonnement les masque d’or ne s’intéressèrent plu a lui. Comme si le fait qu’il soi blesser ne faisait plu de lui une menasse assez grande pour se préoccuper de son sort. Rapidement en suivant, tous fuir avant qu’une femme pique une crise phénoménal. Une spécialité de la gente féminine. Cela dit elle n’avait pas tort, mais Zéleph ignoré se qui étaient arriver avant qu’il ne tombe sur eux. Une grande folie que de s’être attaquer a ces hommes, c’était certain. Le fait est qu’à présent, le réprouvé n’était pas fière de sa situation. Arrachant un bout de chemise à un mort à coter, qui n’en aurait certainement plu besoin, il ce fit un bandage de fortune. Il écouter d’une voix distraite se qui se passer autour, essayant comme il pouvait de limité les dégât sur sa blessures. Les autres partir alors il les suivit, de toute façon lié tait là pour ça, blesser ou non. Sur le chemin quelqu’un vin l’aider. Un ange peut être, posant un peut de magie qui referma au moins la plait même si elle ne fut pas guéris. Zéleph remercia tacitement la personne avant de continuer a suivre en silence. Il pouvaient au moins bouger le bras, la douleur étaient vive, mais il n’y avait plu de risque d’aggraver la blessure.

Bientôt ils se retrouvèrent tous dans une sorte de temple, grâce a quelqu’un qui avaient suivit les Masque d’or. Ancien, a n’en pas douté. Leurs ennemis n’étaient pas là de puis longtemps assurément. Leur pratiques  semblaient mystérieuse et peut recommandable. Des hommes comme ça il fallait s’en méfier comme de la peste. Bien entendu, il ne faut pas longtemps pour que les Masque d’Or ne repèrent les intrus. L’homme sui étaient certainement leur chef disparut aussi vite, laissant derrière lui un nombre bien trop élever de ses soir près a les égorger. Zéleph dans un soupir sortit ses lames de ses gants. « Je ne voudrais pas être négatif, mais si quelqu’un vois une issu il faudrait peut être se décidé rapidement. » Et ce fut peut dire, car il n’y eu pas une seconde de repos après cela, les Masque d’Or certainement furieux qu’ils soi venu souiller leur sacrements se jetèrent sur eux, sanguinaire. Cette fois encore le réprouvé le savaient il ne s’en sortirait pas indemne, peut être pas du tout même, quand on faisait la retrospective.

835 mots.
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Event Juillet 2015 | Groupe VIII | Attrapons les Masques d'Or

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