"..."
Joshuas ne trouvait pas ses mots lorsqu'il pénétra dans le quartier commerçant de la ville. Tout semblait prendre des proportions démentielles, à commencer par la porte. Elle était immense, tellement imposante qu'on aurait dit impossible à ouvrir sans faire appel à un bataillon entier d'humains bien bâtis, et pourtant elle n'en était pas intimidante. Des vignes grimpaient le long du bois, fleurissant de ci de là habillant la porte d'une robe végétale des plus impressionnantes.

Derrière ces portes non gardées, la rue débordait de vie. Chaque marchand, qu'il vende des fruits, des poissons ou des bijoux, des vêtements, annonçait bruyamment les affaires du jour. La rue commerçante était vivante et beaucoup de gens s'y pressait, essayant de tirer parti au maximum des objets qu'ils avaient à troquer.

Depuis une semaine que l'Orishas voyageait, il avait accumulait pas mal d'herbes aux vertus plus ou moins médicinales et de peaux d'animaux, allant du lapin au loup en passant par la biche. Josh cherchait des boutiques bien particulières dans cet univers tout à fait singulier. Tout d'abord il avait épuisé ses vivres, il faudrait donc qu'il échange ses peaux contre de la nourriture, si possible de la viande séchée. Le repas ne serait pas excellent sur la route, mais au moins ces vivres avaient le mérite de se conserver longtemps. L'Orishas aurait adorer prendre du poisson ou des fruits frais, les melons avaient l'air particulièrement délicieux en cette saison, mais il savait qu'il ne resterait pas longtemps ici.

Josh était en mission, comme depuis près de huit ans. Depuis qu'il s'était débarrassé des chaines de la forge, il parcourait le monde pour retrouver ses soeurs. Leur traque l'avait amené ici, et il espérait bien y trouver des indices pour poursuivre sa route. Il resterait ici deux jours au plus. L'Orishas repéra un stand qui pourrait lui fournir ce qu'il espérait en échange de ses peaux.

Après de nombreuses négociations, Josh reparti avec son baluchon vide de peau, et rempli de vivre, pour une dizaine de jour d'après le poids sur son épaule. Il cherchait à présent un pharmacie où il pourrait échanger ses herbes contre des bandages. Il avait épuisé ses réserves en même temps que cette meute de loup l'avait pris pour une proie facile, ce qui lui avait permis de récolter quelques morsures mais aussi quelques peaux à échanger contre des vivres.

Joshuas marchait à travers la foule, essayant de rejoindre une aire plus déserte d'où il pourrait se repérer, afin trouver son chemin dans la rue commerçante et localiser une pharmacie. C'est alors qu'il remarqua un attroupement de personne d'une nature qu'il lui échappait encore. Ce n'était visiblement pas un étal, personne ne se serait rassemblait de manière aussi désordonnée si ça avait été le cas. Ce rassemblement était d'une toute autre nature, bien trop bruyant pour que ça soit une foule écoutant un barde raconter des exploits de guerre. La curiosité l'emporta, et l'idée que des informations regardant sa quête pourrait fuiter fuirent que Joshuas s'approcha de la masse désordonnée et bruyante.

De nombreuse voix lui parvenaient, la foule semblait interpeller un homme au milieu. Joshuas n'arrivait pas à le voir cependant, la foule était trop dense.

"- C'est impossible !"

"- Si c'est arrivé il y a au moins deux jours, pourquoi on ne l'entend qu'aujourd'hui ?"

"- C'était où ?"

"- Que ce passe-t-il ?"

La foule grossissait, et avec elle la confusion. Joshuas commençait à perdre patience. A cause de ce rassemblement, il était impossible de comprendre quoi que ce soit à cette histoire. C'est alors que l'homme au milieu haussa le ton :

"- S'il vous plaît, quelqu'un peut nous venir en aide ?"

Le silence ne dura que quelques instants. La foule avait l'air d'avoir finalement saisi quelque chose à l'histoire de l'homme. Des murmures grandissant en frustration et en complaintes avaient remplacés les questionnements :

"- C'est un mendiant"

"- Il nous a attiré ici pour qu'on lui donne de l'argent"

"- Allons nous en"

La foule se dissipa rapidement, laissant l'homme seul. Une poignée de personne seulement était encore là pour écouter son histoire. La plupart avait déjà la main à leur bourse près à aider ce malheureux. Joshuas pu enfin discerner le physique de l'homme.

Il était fatigué, sans doute d'un voyage périlleux lors duquel il avait du puiser dans ses réserves physiques. Ses yeux sombres étaient bordés de cernes. Son visage avait quelque chose de rudes. De lourds sourcils reposaient sur ses yeux fatigués, ils étaient bien fournis, signe que l'élégance et la beauté était la dernière préoccupation de l'individu. Ce sentiment était renforcé par sa barbe mal entretenu et ses vêtements qui consistaient en une chemise et un pantalon de lin dont on n'aurait su dire la couleur d'origine tellement ils étaient usés. L'homme était pied nu, ses ongles noircis par la crasse, les pieds abîmés d'un voyage long et rude. Il avait vraiment l'air d'un mendiant et c'est ce physique qui avait repoussé la foule. On pouvait cependant lire sur son visage un sentiment d'urgence. De plus s'il avait vraiment était mendiant, il aurait été plus facile pour lui de poser son vieux chapeau de paille devant lui pour espérer récolter quelques bonnes grâces.

L'homme, à l'allure de paysan, s'agenouilla devant les quelques personnes qui restaient :

"-  Je vous en pris, écoutez moi. Je ne veux pas de votre argent. Mon petit village a été la proie de brigand il y a de ça deux jours. Je cherche juste à récupérer ce qui nous appartient. Ils ont pris toutes nos richesses, ont frappés et ligotés nos hommes pendant qu'ils pillaient leurs maisons et violentaient leurs femmes. Ils ont même enlevé la fille de notre chef de village, pour s'assurer de notre silence. Cependant nous ne voulons pas nous taire ou nous laisser manipuler par ces salauds. S'il-vous-plaît, quelqu'un, aidaient nous. "

Joshuas en avait entendu assez pour comprendre que l'homme ne mentait pas. Que ce n'était pas de l'or qu'il voulait, il souhaitait juste retrouver ce qui lui appartenait. Il le soupçonnait même d'être le père de l'enfant kidnappé. D'après son apparence à lui il avait dans les 45 ans, sa fille devrait donc être dans la vingtaine, il était possible qu'elle ait été kidnappée à cause de sa grande beauté pour être revendu comme catin. L'Orishas n'hésita plus, l'idée de priver les gens de leurs biens et de les esclavager lui était insupportable. Sa mâchoire se crispa, faisant ressortir les muscles de ses joues. Un gout de fer dans la bouche, il s'avança vers l'homme :

" Je vais .... " commença-t-il.

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« Vous voulez quelque chose Mademoiselle ? » - « Oui, je vous achèterais bien des fruits et des légumes pour mon voyage. » - « Oh vous partez loin d’ici ? » - « Ah madame, je dois me rendre sur le continent naturel, dans les terres d’Emeraude, pour une mission particulière … » - « Ah, je comprends bien et bah, je vous souhaite un très voyage, Mademoiselle ! » Elle me tendit les fruits et les légumes que j’avais demandé, dans un petit sac fait en paille. Je le mis dans mon sac à dos pour qu’ils soient à l’abri du vent et de la chaleur de cette ville. Cela faisait à peine quelques jours que j’étais ici, et je me sentais très bien dans cette ville où le monde bougeait à toute heure, à n’importe quelle heure de la journée, même le soir. Mais il ne fallait pas faire trop de bêtise, car la milice était très présente dans la rue commerçante, surtout pour éviter que des voleurs ne viennent prendre les marchandises venant d’autres commerçants. C’était assez fréquent de rencontrer ce genre de problème dans une ville où l’expansion de l’économie était florissante.

Des gens venaient échanger des informations, de la nourriture, des armes. Je savais que mon amie, Kailyn, tenait une boutique de tatouage dans le coin, mais je ne savais pas où elle était précisément dans cette rue commerçante. De plus, je n’avais pas trop le temps d’y aller, j’étais pressée par une mission venant du groupe des voyageurs. Je devais repartir immédiatement, car le voyage me prenait deux à trois jours de vol. Oui, j’avais décidé d’y aller en me transformation en aigle royale. Je devais prendre l’habitude de me transformer et de pouvoir rester sous ma forme animale pendant quelques jours au moins. Je réussissais à rester trois ou quatre heures consécutif dans la forme animale, mais cela me demandait beaucoup de concentration et de magie aussi. Je faisais un petit tour dans le rue, pour regarder les nouvelles armures de combat faite par le forgeron, mais rien n’était que meilleure que la forge de Takias, mon ancienne reine des élémentals, qui était porté disparu aujourd’hui. Même, Kevnes le nouveau roi ne savait rien de ce qu’elle était devenue depuis presque six mois maintenant.

Franchement, cela me faisait mal au cœur de savoir que personne ne savait quelque chose sur la disparition de cette femme sublime et puissante. Elle était mon amie et je m’inquiétais ce qu’elle était devenue depuis. J’allais sortir de la ville pensant à Takias, mais quelque chose me retenait l’attention. Des personnes chuchotaient des mots, des phrases concernant un vieil homme qui quémandait de l’aide. Ces personnes disaient qu’il cherchait de l’aide car des personnes malveillantes avaient attaqué son village, leur femme violés, et la fille du village kidnappé par eux. Déjà que je n’aimais pas les voleurs, mais les personnes de ce genre me donnaient envie de le tuer et de leur vider leur sang de leur corps. Parfois, je pouvais être très violente et je n’avais pas peur de me blesser gravement. Je n’avais peur de rien ni de personne, donc, il fallait faire attention à mes attaques.

Alors que j’avais entendu ces paroles, Crystal, mon aigle royal, vint sur mon épaule et Emndel, mon loup blanc, vint auprès de moi. Mes deux compagnons avaient compris que je ne partirais pas d’ici avant d’avoir aidé ce vieil homme. Il était fatiguée, il était pied nue, il était maigri, t je me demandais combien de temps il était ici au juste. Des personnes disaient plus de deux jours dans les rues commerçantes. L’homme ne voulait pas d’argent, mais juste des personnes pour l’aider dans la vengeance de son village : « Je vais vous aider, monsieur… » Je me retournais vers la droite, car une autre personne voulait l’aider dans cette quête de vengeance. C’était un jeune homme de vingt-cinq ans peut être, je ne savais pas trop … Par contre, ce que je savais, c’était qu’il était un Orisha. Je pouvais facilement reconnaitre un Orisha, avec leurs yeux, un signe distinctif de leur race. Le jeune homme avait un œil rouge et l’autre bleu. C’était la première fois que je voyais ces couleurs dans leurs yeux… « Qui es-tu ? »

nombre de mots:

Joshuas qui passait par là décida de prendre la requête du pauvre homme. Il savait bien qu'il n'avait rien à y gagner de sa part. Il était difficilement concevable que cet homme possède quelques richesses, ou bien quelques informations sur sa famille, ou par extension sur des gens susceptibles de l'orienter. Ce qui l'intéressait plus en revanche c'était les richesses qui étaient passées aux mains des brigands. Il était possible, probable, qu'ils n'en soient pas à leur coup d'essai avec le village du pauvre bougre.

"Je vais vous aider."

Joshuas avait fait deux pas en avant, pour attirer l'attention de l'homme. Mais ce dernier ne l'avait pas encore remarqué. Son regard était rivé sur la jeune femme qui se tenait devant lui. L'Orishas la regarda a son tour, alors qu'elle s'apprêtait à prendre la parole :

" Je vais vous aider, monsieur… "

Joshuas aussi bien que l'homme était bouche bée. L'homme car quelqu'un allait enfin accéder à sa requête, Joshuas car il avait rarement assisté au spectacle qui se déroulait devant lui. Il n'avait jamais été à exclure qu'une autre personne que lui souhaite prendre cette requête. Mais l'Orishas ne l'avait pourtant pas envisagé. La femme lui lança un regard qui sortit Joshuas de sa torpeur.

" Qui es-tu ? "

Cette question simple, directe pris l'Orishas totalement au dépourvu.

" Euh... je... je."

Joshuas avala bruyamment sa salive. Il ne savait pas s'il devait mentir ou pas. Il regarda la femme en face de lui des pieds à la tête. C'était une femme très belle, à la poitrine généreuse malgré son corps assez fin. Mais Joshuas ne se laissa par aller à la sous-estimer. Avant tout car surson épaule gisait un oiseau imposant que Joshuas estimait être un aigle, pour ce qu'il connaissait de la faune de ces animaux, et qu'à côté d'elle un énorme loup blanc le fixait de ses yeux bleus. Mais aussi car elle avait l'air d'une aventurier aguerrie. Des chevaux courts, pratique pour les longs combats, encadraient son visage. Ses yeux marrons semblaient avoir vu plus de choses qu'une existence humaine n'en saurait. Il ne savait pas à quelle race il avait à faire, mais il était intimidé. Joshuas respira a fond pour reprendre de la contenance et repris :

" Je m'appelle Josh. Je suis un Orishas. "

Le fait qu'il soit un Orishas, Joshuas n'en doutait pas que cela saute aux yeux. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il était pour le moins intimidé par cette femme en face de lui. Un reflet étrange courait sur son armure. Il n'arrivait pas à en distinguer la texture, mais c'était sans nul doute quelque chose de précieux. Malgré lui, ses sourcils se fronçaient au fur et à mesure que sa curiosité pour la jeune femme augmentait. Il décidait qu'il serait mieux pour l'instant de se préoccuper d'abord du pauvre paysan qui attendait toujours, entre eux deux.

"Je vais vous aider. Sans vouloir me vanter, retrouver des gens, des choses est ma spécialité. Je vais débusquer ses brigands en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. La garde n'aura plus qu'à faire le reste. "

Lorsqu'il prononça le mot "garde", il vit que son interlocuteur se renfermait.

" La garde ne peut rien pour m'aider, il serait mieux pour moi de trouver quelqu'un qui peut aussi se débarrasser des brigands. Je ne doute pas que vous puissiez les retrouver, mais si vous revenez chercher la garde, ils auront le temps de s'enfuir en emportant nos richesses et la jeune fille. S'il-vous plait, ne pouvez-vous pas faire autrement ?"

Le visage de l'Orishas se tourna vers le sol lorsqu'il apprit la nouvelle. Il comprenait le point de vue du paysan, et au fond de lui il devait avouer qu'il avait raison. Mais Joshuas n'était pas très qualifié lorsqu'il fallait se battre. Il n'avait jamais possédé d'arme. Bien sûr son père lui avait appris à chasser quand il était jeune, il traquait les animaux, et souvent, ensemble avec son père ils finissaient par tuer la bête d'un lancer de javelot rudimentaire, un simple bâton taillé. Mais contre des hommes, c'était loin de suffire. Joshuas savait que sa facilité à retrouver le groupe ne ferait que le conduire au campement. Mais ça ne l'en ferait pas revenir, ni lui, ni la jeune femme.

[HRP : le code couleur pour le paysan si tu veux #006600][/b]

J’étais dans la rue commerçante pour m’acheter de provisions avant de partir dans les terres d’émeraude pour une mission pour le compte des voyageurs. Mais j’avais un imprévu de dernières minutes puisque je voulais aider un vieil homme qui semblait avoir un gros problème avec son village. Ce dernier nous disait que des brigands avaient tué leur homme, violenter leur femme et enlever la fille de leur chef. Ce petit village avait réellement de gros problèmes avec ces bandits et en plus, il ne pouvait pas les combattre puisqu’il n’y avait plus personne pour les retenir. Je devais aider cet homme à retrouver son village et sa vie qu’il avait avant ce drame. Alors que j’allais proposer mon aide, un autre homme proposa son aide au vieil homme. En le regardant, il s’agissait d’un jeune homme qui avait la couleur des yeux différents, tout de suite, je pensais un Orisha et je ne m’étais pas trompée sur la race de cette personne. Ce jeune homme s’appelait Josh, c’était un drôle de nom qui était aussi très court. Mais je n’avais pas le droit de me moquer, car mon nom était aussi bizarre et personne ne possédait le même que le mien dans ce monde. Josh voulait réellement aider cette personne et proposa de retrouver la fille disparu avec les femmes, mais que les gardes de cette ville pourront s’occuper du reste. « Les gardes ? Tu plaisantes ? »

Le vieil homme avait eu la même réaction que moi, la garde ne pouvait pas se débarrasser des bandits, ils ne feront rien pour aider ces pauvres gens qui crèvent de la famine, des femmes qui disparaissent et encore d'autres choses épouvantables. Enfin, bref, le jeune homme ne savait pas comment marchait encore le système dans ce monde, mais il devait apprendre pour comprendre. Je me retournais vers le vieil homme qui avait vraiment besoin d'aide pour son village: "Je vous comprendre mon bon monsieur, les gardes sont faibles et inutiles et leur aide est mauvaise pour vous. Vous savez quoi, je vais m'occuper d'eux personnellement. Il me faudrait juste me dire où se trouve les bandits et nous libérons les femmes et les enfants, nous leur volerons leur récoltes et autres aliments de base. Vous en pensez quoi ? " L'homme réfléchissait sérieusement à mon offre qui était vraiment très alléchante pour lui et son village. " Mais qui me dit que vous êtes puissante pour pouvoir battre ses hommes qui ont des centaines d'armes sur eux ?" Je lui souris et je me baissais vraiment son oreille pour lui murmurer le fait que j'étais l'ancienne esprit élémentaire de la glace durant le trône de Takias. Je n'avais pas envie de le jeune Orisha entende cela. " Ah d'accord, je comprends mieux alors ! C'est d'accord, j'accepte votre offre. Mais que voulez vous en échange ? " – " Oh rien du tout pour moi, je suis là pour vous aider !" L'homme se leva doucement et décida que nous devions partir immédiatement pour combattre ces bandits. Il marchait lentement mais avec des pas surs. Puis, je me retournais vers le jeune Orisha pour savoir ce qu'il allait faire maintenant: " Tu viens ou non ? Cela t'aiderait à découvrir le monde, sous un autre aspect dont tu n'as peut –être pas encore vu de tes yeux. Et le combat pourrait te renforcer ton corps. A toi de voir ce que tu veux réellement !" Je le laissais sur ces paroles et je continuais de marcher avec le vieil homme. Il me disait que ce n'était pas très loin d'ici, à une heure de marche à pied. Je n'aimais pas les bandits, mais alors pas du tout. Emndel et Crystal me suivirent de près et entourèrent le vieil homme en cas de problème encore une fois.

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