Il faisait beau. Le soleil trôner dans un ciel bleu azur. Pas un seul nuage ne venait gâcher cette belle journée. Une légère brise c’était levé. Faisant frémir les feuilles des arbres C’était le genre de journée où personne ne voulait travailler. On préféré flâner, se promener ou simplement rester a l’ombre d’un grand arbre, protéger par sa puissance naturel. D’autre désirait profiter de se merveilleux temps pour travailler, finir se que hier ils n’avaient put faire, et en fin de journée, regardé le travail accomplit avec fierté. Zéleph y penser. Il se souvenait avec une certaine nostalgie qu’il avait connue ces deux sentiments. Il aimer sentir le soleil chauffer sa peau, la douceur du vent dans ses cheveux et la fraicheur de l’ombre des titans de la nature. Avait-il appris a respecter la nature a force d’être traiter comme un animal, enfermer et attacher comme un pauvre chien pendant plusieurs années ? Peut être, où peut être qu’il s’en fichait. Il y penser c’est tout. Après tout il fallait bien occuper ses penser vue la longue marche qu’il avait a faire jusqu’à Bouton d’or. Heureusement les routes n’avaient pas changer de puis qu’il était passer ici il y a des années. Le lac de la transparence. A l’époque de sa dernières visite ici, cela n’appartenant encore a personne. Il ne craignais pas de rencontré qui que se soit qui pourrait le reconnaitre sur se chemin. Qui pourrais se souvenir ? Il aimer cette idée. Être anonyme. Après tout il ne ressembler plus a se qu’il était. Simplement un voyageur comme les autres. Sans aucunes affaires cela dit, mais après tout c’était bien mieux de voyager légés.

Sur son chemin Zéleph eut le malheur de tombé sur une femme. Au début il passa sans faire attention, mais ignoré les appelles de cette dames ne surir pas. Il n’avait plu la capacité de dissuasion qu’il avait autre fois. Il ne ressemblait pas non plu a quelqu’un de sympathique, mais assez pour que cette vieille femme le rattrape l’air ahurie et désespéré. C’était ça, le désespoir certainement qui l’obligea a lui demander de l’aide, a lui et pas a un autre. « Je n’ai pas le temps. » maugréa-t-il, coupant froidement la femme qui expliqué tans bien que mal dans une panique non maitrisé quelque chose que le réprouvé avait a peine écouté. Il s’en ficher et ne voulait rien savoir. Refroidit, la dame se figea comme si elle s’attendait a tout sauf a ça. C’était certain, son histoire devaient être très triste, très intéressante, mais lui il en avait bien d’autre des histoires comme ça et pour le moment il voulait retourné chez lui après six foutu années d’enfermement. Reprenant son chemin, la femme fini par se remettre et continua de lui parler en le suivant, se qui était fort agacent. Le réprouvé n’entendit que des brides « mon mari », « vous comprenez », « je vous en pris », « il me manque », « c’est tout se que j’ai », mais se qui le fit se stoppé au bout de dix bonnes minutes fut cette simple phrase « n’avez vous donc jamais connue l’amour pour être si insensible ? ». Oui Zéleph marqua une pause, son poing se serra. L’amour ? Elle parler d’amour ? Elle ne savait pas de quoi elle parlait. On ne pouvait connaitre un amour comme le sien, un amour mortel. Il aurait pu perdre son sang froid, si en se retournant vers elle prés a la remettre a sa place, il n’avait pas vue ses larmes. Bordel, ça le rendait dingue. Il supposa qu’un peut de retard sur son trajet n’était pas un problème vue le temps déjà perdu dans sa cellule.

Soupirant, il leva les yeux au ciel assommer par cette foutu femme. « Qu’est-ce que je doit faire au juste? » Ravis elle lui expliqua qu’il n’y avait rien de plus simple. Ecumer le fond du lac. Zéleph crue halluciné, cela lui rappelait vaguement quelque chose. Une certaine rencontre avec un certain  seigneur démoniaque dont heureusement il avait oublier le nom, mais pas le temps passer dans les profondeur de se lac.
Alors voilas comment le réprouvé se retrouva au bord de l’eau a contemplé la surface et se demandant comment il avait pu accepté ça. Il avait était prit en traitre par ses sentiments. Il était devenu si faible, ça l’exaspéré. Seulement il n’avait pas envie de plonger dans cette eau, loin d’être a une température agréable. En plus il ne trouverai jamais ce bijoux, jamais ! Cette femme aller le tuer si il ne le faisait pas, et il aller mourir si il devait faire tout se lac en apnée. En y pensant il n’avait pas vraiment le choix.

Il ne manquer plus que ça au réprouvé. Deux mioches pour venir lui casser les pieds. Déjà qu’il n’avait aucune envie de rendre service a cette femme, car oui c’était un service non rémunéré, en plus avoir deux gamins sur le dos ce n’était pas réellement se qui aurait pu l’enchanté. Zéleph aimer les mioches, se n’était pas le problème, mais il avait un certain problème avec eux. Une tendance a n’avoir aucune patience. Un encore ça vas, mais deux ça devenait ingérable a son sens, sur tout qu’il n’en avait pas vue de puis six ans. A une époque il savait qu’il aurait était capable de les noyer pour s’en débarrasser, heureusement il semblait avoir murit. Ironie du sort, détoure façon il n’était plu capable de se débarrasser de quelqu’un, même d’enfant, simplement en claquant des doigts.

L’aider a sauté ? Non, il n’avait besoin de personne pour être suicidaire. Il était simplement déjà fatiguer rien qu’en pensant a touché le fond du lac, si c’était possible … Posant son regard rouge sang sur la petite fille, puis sur le garçon il réalisa que ni l’un ni l’autre ne pouvait être mage. Ils ne s’amuseraient pas a vouloir le voir profané un endroit sacré pour leurs peuple. A part si c’était deux marmots en manque de jeu. Cela dit ça ne devait pas être loin de ça. Pour venir l’abordé lui, un homme ressemblant a un monstre, c’était qu’ou ils n’avaient notion du danger, ou ils mourraient d’ennui. Cela dit avec des enfants Zéleph était au moins sur qu’on ne le reconnaitrait pas, ils devaient tout ignoré de se monde et c’était un point pour lui. Alors le réprouvé imagina pouvoir peut être se servir des deux gamins plutôt que devoir encore plonger dans les eux glacer du lac de la transparence.

Il prit alors sur lui et éleva sa voix a accent prononcé. « Dites moi les enfants, vous connaissez cette femme là bas ? » Levant la tête il fit un signe vers la dame en deuil qui le fixer plein d’espoir. « Elle a perdus quelque chose de très précieux. Son mari. Et elle voudrai que je retrouve quelque chose qui lui appartenait, qui serait dans le lac. » Ce n’était pas son habitude d’être sociable, mais là encore il n’avait pas le choix. Il devait se débarrasser de cette promesse pour pouvoir rapidement reprendre son chemin et retourné là où était sa place, chez les sien, au sein de son peuple. « Vous êtes là de puis longtemps ? Vous n’avez rien vue qui ressemblerait a un bijoux ? Une broche ? » Si par le plus grand des hasard deux mioches fouinard comme eux avaient vue ou trouver quelque chose en rapport avec se qu’il chercher cela aurait était plus que formidable. Autant tenté sa chance, même si de son air blasé, Zéleph savait très bien qu’il n’y avait aucune chance pour que ces deux gamins est vue où ramasser quelque chose qui puisse ressemblé de pré ou de loin a une broche a l’effigie du dragon Suris. Qui ne tenté rien ne pouvait rien avoir n’est-ce pas ? Ces deux gamins pouvaient bien être sa solution a son problème.

Zéleph était un peut perdu, il comprenait la moitiés de se que ces gosses raconter. Bon ou méchant ? Juste pour une pauvre broche ? C’était plus amusant qu’autre chose, et le réprouvé se retint de rire. Il n’avait nullement besoin de deux gosses qui ne savent même pas nager. Alors pourquoi le garçon qu’il refuser leur aide puise qu’ils ne pouvaient rien pour lui ? Non, vraiment, le réprouvé ne comprenait rien a cette mascarade. En effet il n’avait pas de temps a perdre, pas de temps pour réfléchir a tout ça et comprendre quoi que se soit. Il voulait au plus vite trouvé ce bijoux et rentré a Bouton d’or. le chemin était encore très long d’ici, bien cinq a six jours de marches. Son regard fixa l’eau. Il n’avait pas peur des magiciens, il s’en fichait bien. Quand on avait vécu les pires atrocité comme lui, on ne pouvait craindre les représailles de race comme celle-ci. Zéleph ignoré se que ces deux gamins avaient monté comme plan contre lui, mais il n’avait ni argent, ni nourriture. Rien d’intéressant. Tans pis, il semblait qu’il était seul dans cette histoire.

Ayant retiré ses vêtements, a l’exception de son pantalon. Il aurait préférait nagé vêtu pour dire la vérité, histoire de ne pas mourir totalement de froid, mais la fourrure mouillé c’était aussi bon a jeté et pas réellement léger une fois humide. En y réfléchissant, avoir des habit sec en sortant serait une bénédiction pour se sécher.

Quoi qu’il en soit il devait aller dans se lac. la seconde fois dans une vie, et toujours dans le même but. Chercher quelque chose qui n’était pas a lui. Un pied, puis l’autre, ils entait un frisson l’envahir. L’eau n’était pas juste froide, elle était glacial. Zéleph continua quand même d’avancer, doucement, pas à pas. Il fallait qu’il s’habitue a cette température, tans pis, il n’avait pas le choix. Plongent ses mains, il eu le courage de mettre de l’eau sur sa nuque, histoire d’éviter une mort stupide. Une fois l’eau arrivé a son bassin, il commencer a être loin du bord et réalisa que le lac sombré presque juste après en grande profondeur. Il fallait qu’il plonge, qu’il s’adapte au froid rapidement car sinon jamais il n’aurait le coeur de s’y décidé. Avant me^me d’avoir fini le décompte dans son esprit, il se jeta la tête la première dans l’eau. Elle était clair, assez limpide pour y voir facilement, mais pas a plus de vingt mètres a la ronde. Zéleph ne pensait déjà plus aux enfants, tout dans le lac attire son regard. C’était a la fois beau et effrayent.

Des poisson, beaucoup de poissons, des algues, de la roche, de la boue, de l’ombre, de la lumière. Rien n’inspiré confiance et pourtant tout était calme et paisible. Remontant a la surface, Zéleph se rendit compte qu’il c’était encore éloigner du bord et il n’avait plu du tout pied. Jamais il ne pourrait aller dans les fond profond du lac. Il fallait qu’il trouve cette broche là où il pouvait défendre sinon il aller devoir trouver une autre façon de si prendre et pêcher n’avait jamais était quelque chose qui l’apprécier. Le réprouvé commença alors a nager a la surface, la tête dans l’eau pour sondé es fond visible. Beaucoup de choses briller. Des armes, des pierres, beaucoup de cailloux, quelque bijoux, mais quand il plonger pour s’en approcher, se n’était pas des broches. peut être n’était-il pas assez loin ? Peut-être n’était-ce pas le bonne endroit ? Il ne pouvait pas le deviner et ça seule option était encore de continuer à chercher.