Ses yeux s’ouvrir brusquement, ses rétines brulèrent au contacte violant des lueurs de bougies. Redresser dans son lit il resta figer, entre le cauchemar et le rêve, il ne savait plu. Couvert d’une fine pellicule de sueur Il était secoué de frissons, mais aussi des sueurs froides. Il suffoquer, en plein trouble. Il lui fallut un moment pour se rendre à l’évidence, il était belle et bien dans son lit. De longues mains vinrent ce glissé sur son torse alors qu’il sentait une poitrine dénudé ce collé à son dos. « Tous vas bien chéri ? » Un souffle dans son cou qui le fit revenir à la réalité. Il ne répondit pas, ses pensées étaient ailleurs. Il avait fait un rêve érotique si intense, si intense qu’il sentait entre ses cuisses le fruit de cette aventure. Zéleph avait du mal à comprendre et il était secoué de tant de trouble qu’il ne savait pas par où commencer. Il ce rappelait mieux de son rêve de comment il c’était endormit, cela n’avait aucun sens. Il sentit d’autre main glisser sur son corps, sur son ventre, dans ses cheveux. « Viens, on vas prendre soin de toi. » Attiré vers le matelas, il se laissa faire, allonger entre ce qui était deux magnifiques créatures tout à lui. Seulement son esprit était ailleurs. Cette femme. Elle l’avait bouleversé. Ce qui le troubler le plus n’était pas le rêve en lui-même, c’était sa fin. Comment connaissait-elle son nom ? Pourquoi lui avoir exprimé avec tant d’intensité qu’elle était la femme de tous ces fantasmes ? Pourquoi avoir tant insisté ? Elle lui avait parlé de rêve en rêve, c’était absolument impensable, et luis ‘en souvenait comme si ce n’était nullement un songe mais bien sa réalité. Elle était si scandaleusement sensuelle, existante, l’aguichant sans la moindre gêne et pourtant elle ressembler à une poupée en porcelaine, une créature inaccessible, intouchable. C’était peut-être ce mélange entre élégance et dépravation qui l’avait autant réchauffé. Tout avait était si intense, si incroyable. Il avait encore la sensation de ses mains sur son corps, de sa bouche contre la sienne et son souffle contre son visage. L’une de ses agréable partenaires ce mit au-dessus de lui en lui offrant un regard d’adoration et de pleine dévotion. Zéleph grogna en ce dégageant brusquement, il en avait assez. Sortant du lit, il emporta avec lui le drap autour de ses hanches sous les protestations des deux demoiselles le suppliant de revenir, amis il ne se retourna pas sortant de sa chambre pour se diriger vers celle d’Adam.

Il entra sans rien demander, comme il s‘en douté le sorcier dormait dans un lit vide. « Adam, j’ai fait un rêve complètement dingue ! » Pas sûr que le sorcier précis la plaisanterie. Il ouvrit les yeux sur son patron, première vision qui eut d’abord l’effet d’un choque avant qu’il s’asseye contre sa tête de lit et écoute ce que le réprouvé devait bien avoir à lui dire à une heure pareille, nue, et couvert de sueur. Pourtant l’air totalement perdu du roi le fit s’inquiéter légèrement. « J’ai rêvé que j’devais épouser une princesse, que le roi m’offrait pratiquement sa fille et sa femme pour finir par avoir la reine qui me saute dessus. » Adam ce redressa et ce retint de rire. Pourquoi Zéleph avait l‘air aussi perdu pour un simple rêve que n’importe quel homme pourrait faire ? « Tu as envie coucher avec la fille et la femme de quelqu’un, je ne vois pas où es le problème. » « Non, tu ne comprends pas. Ça avait l’aire vraie, je m’en souviens comme si c’était arrivé. Comme si j’avais vraiment baisé avec cette femme ! » Adam soupira en se levant et poussa gentiment le réprouvé hors de sa chambre. « Écoute, tu devrais arrêter de boire avant de coucher avec tes coups ça t’évitera de te perdre entre réalité et rêve. Tu as du t’envoyé tes deux joujoux dans un état second et tu as crue rêver c’est tout. » Zéleph resta sans savoir quoi répliquer à cette hypothèse. C’était peut-être tout simplement ça. Dans l’état où il était en entrant dans le lit avec elles ils avaient dû ce laissé porter par la drogue et la boisson. N’ajoutant rien il retourna a sa chambre où dans son lit les deux demoiselles c’étaient consoler entre elle, mais dès qu’il eut fermé les portes derrières lui, elles le réclamer déjà. Le réprouvé ce passa une main dans les cheveux imaginant que c’était le sorcier qui avait raison et il se laissa attiré dans les bras tendu de ces femmes sans savoir que quelques heures plus tard il s’endormirait avec quelque regrets.