Comment est-ce qu'une personne qui a toujours avancé grâce à la vengeance peut du jour au lendemain tout oublier, savoir que son but est si prés, mais en même temps si loin ? J'étais anéantie, je ne savais pas vraiment ce que je devais faire, je me contenantais de l'écoute. Mon cerveau essayant le mieux possible d'assimilée ce qu'il avait à m'apprendre, mais ce n’était pas évident.
Est-ce qu'il pouvait réellement comprendre ? Ce que l'on ignore ne peut pas nous faire de tord, donc, en ignorant que mon père n'était pas réellement mort, j'aurais quand même été plus heureuse, mais la, j'étais totalement perdue.
Quand il essaya de se justifier, je ne pouvais que ressentir encore plus d'amertume, oui il se serais peut etre fait tuée et alors? Au moins il n'aurait plus pu nuire à personne, plus jamais je n'aurais vu sa tronche et puis elle était malade, mais pas encore mourante. C'était cet humain qui en avait profité. Mais ce qui me soulageait, c'était peut être le fait de savoir qu'il avait peut être souffert aussi à la disparition de ma mère, au moins je n'avais pas été la seule à avoir mal sur le moment.
Mais ses explications ne me suffisait pas, je n'étais pas encore capable de me dire qu'il avait fait ça par respect pour elle, je ne savais pas encore le comprendre et je n'étais pas encore capable de me demander quelle serait ma réaction si j’étais capable d'aimée réellement un homme. Enfin, en même temps, je ne contais pas vraiment tombée dans ce piège rosé.
Je le sentais montée, mais je ne voulais pas lui montrée, même si l'homme que j'avais en face de moi semblait être quelqu'un d'autre, un homme qui aurait pu me donner une éducation joyeuse, un homme qui aurais sans doute été un bon père, mais maintenant. Il n'était pour moi qu'un homme que j'avais envie de tuer et que je ne pouvais pas. Pourquoi est-ce qu'il fallait que le destin m'eût donné autant de mal ?
Il avait beau me dire que c'était ça qu'avais voulu ma mère, je n'étais pas capable de le supportée, je ne voulais pas croire qu'elle avait été capable de faire ça. Et puis j'avais tans de question, que je ne voulais pas posée à lui, mais à elle, mais je ne pouvais pas malheureusement. Je voulais pourtant arriver à comprendre, je voulais enfin savoir pourquoi tout ça avait dû ce passé. Mais ce n'était pas possible.
Quant à me trouvée une nouvelle objective ? Je ne savais pas et je le regardais alors partir sans même réagir sur ce qu'il venait de m'apprendre. Il c'était alors arrêté à quelque mettre, me demandant seulement de prendre soin de moi maintenant.
Il me tournait le dos et je voyais mille et une façon d'en profitée, mais mon corps de réagissais pas, j'étais comme paralysée par ces nouvelles qui m'avais anéantie. Kiata s’était approchée de moi, prudente, comme si elle craignait que ma rage éclate d'un instant à l'autre, mais non.
À la place, mes jambes fléchir et ces larmes que j'avais retenues en moi se mirent à sortir, ne pouvant rien faire pour les retenir d'avantage. J'avais mal comme jamais, j'avais l'impression de n'être plus rien, qu'une fille sans avenir. Mais pourtant, qu'est ce que je pouvais encore faire, qu'elle objectif pouvais je encore essayer d'atteindre, pour qu'il me soit enlevé une nouvelle fois. Fidèle amie, elle se taisait, devant comprendre que rien ne pourrait me soulager. Je ne savais même pas si je serais capable de me relever après une telle épreuve. Devant le sentir, elle décida de prendre la parole.

*Gaia, ce que tu à appris est extrêmement douloureux et cruel. Oui, il aurait peut-être mieux valu qu'il la ferme, mais il n’a pas totalement tort en disant que rester dans le mensonge n'était pas bon. Tu aurais fini par le savoir tôt ou tard.*
Sans doute, mais j'aurais tellement voulu pouvoir venger ma mère...
Conte tu réellement respecter le premier part du marchée ?
-Non, mais...
-Devient plus forte et tu pourras te venger, mais il ne faut plus que ça sois ton but, d'accord.

Elle avait raison, je ne devais pas me laisser aller. Et j'avais déjà un nouveau but en tête, essayant les larmes, me jurant que plus jamais elle ne coulerait, surtout pas pour lui, je me remis en chemin, ma vie devait continuée, je devais devenir plus forte et je contais bien y arriver.