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 [Quête S] Le don de la déesse.

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Ven 01 Mar 2013, 23:41

[Quête S] Le don de la déesse.  Heiwaj10
« Comment s’appelle-t-il ? » « Polochon. » « Et lui ? » Montra l’enfant de son doigt. « Taki. » La tête blonde ce retourna vers l’homme aux yeux sombre et lui sourit, un sourire qui brisa le cœur du roi. « Ce sont de drôle de bête que vous avez là Monsieur Zéleph. » Posa son imposante main sur la tête du bambin, l’homme se contenta de sourire doucement. Les enfants étaient des créatures fragiles et sacré aux yeux du réprouvé. On pouvait faire du mal à un adulte, mais jamais à un enfant, c’était le pire des crimes. Etait-ce à cause du mal qu’on lui avait fait dans son enfance, ou bien par moral qu’il suivait cette règle inaliénable ? Un peu des deux. L’innocence était si belle et si faible. Quelque par le réprouvé ce prenait pour le gardien de cette beauté. Ça lui faisait du bien de croire qu’il pouvait être bon. C’était rassurant. « Jose dit que vous avez déjà chassé des dragons. C’est vrai, vous êtes chasseurs de dragons ? » Les étoiles dans les yeux d’or de cette enfant alors qu’il le regarder le faisait tressaillir. Oui, il n’y avait pas plus pur et honnête que le regard d’un enfant. Les gosses de mentait pas sur leur sentiments, ils n’en ressentaient pas le besoin, pas avant que les adultes leurs face du mal et leurs apprenne qu’ils ne peuvent vivre ainsi : à découvert. « Oui, j’ai tué un dragon une fois. » « Il était aussi petit que Polochon ? » s’amusa un autre garçon en regardant la petite créature mordiller l’une des pattes de Taki pour l’empêcher de fuir ses câlins. Zéleph souri, ce perdant malgré lui dans ce lointain souvenir. Sa première rencontre avec Aaron. « Non, il était gigantesque. » Ajustait-il sa réponse de ce détaille qui parut si indispensable aux enfants, soudainement ébahit par l’information. Zéleph avait vaincu un dragon gigantesque. Pourtant le plus important n’était pas ça, mais ce petit elfe qu’il avait trouvé ce jour-là. L’avait-il déjà rencontré avant ? Ses souvenirs étaient flous, il ne savait plu. Pourtant il revoyait son regard, il ressentait la colère et la lassitude qu’il avait ressentie à cette époque. Ce jour-là, il avait bien faillit le tuer, juste par ce qu’il se trouver excéder qu’il le suive dans ce désert. « Où est-ce que c’était ? » « Aux Terres arides. » « Il y a des dragons là-bas ? » Zéleph sourit au petit démon qui parut prendre note de ce fait. « Il y en as par tout, il suffit qu’ils se montre. » Le roi douté que ces enfants sortirait un jour de la cité, alors il les laisser rêver à un monde extérieur plus beau que ce quartier emplit de misère et de saleté.

Oui aussi étonnant que cela puisse paraitre, Zéleph prenait par fois de son temps pour rendre visite aux orphelin vivant là, tout simplement parce qu’ils étaient à coter du Circus et qu’un jour il les avaient vue jouant dans la rue, trainant dans la boue, mais riant malgré tout. Cette force enfantine il l’avait oublié. Arriver à croire encore dans en ce monde alors que tout vous abandonne, alors que vous naissez et grandissez dans la douleur et le mal. Il y avait une inexplicable lueur en eux, quelque chose que l’on perd avec le temps, qui marque se passage inévitable à l’âge adulte. Cela faisait longtemps que Zéleph devait venir apporter l’argent de Mitsuko pour eux, l’argent gagner à Noël. Il aurait pu laisser quelqu’un d’autre s’en charger, peut-être même sa déesse – elle aurait était ravis d’avoir une ribambelle de chérubin venir l’embrasser – mais il avait désirait le faire lui-même. L’endroit était en ruine, les murs n’isolaient ni le bruit, ni le froid, l’humidité laisser libre vie a la moisissure sur les plafonds par fois éventré à cause des fuites d’eau gelé. Le pire était peut être les courant d’air glacé qui venait sournoisement ce glisser dans la nuque vous paralysant. La première fois qu’il était venu Zéleph avait fait la liste de toutes ces horreurs dans sa tête, la misère s’encrant dans son esprit. Il avait alors prit partit de venir ici pendant son temps libre et de réparait humblement ce qu’il pouvait réparer. Les gens gérant l’orphelinat n’étaient pas bien méchant, mais ils n’étaient pas nombreux et vieux. Alors c’était un soulagement pour eux de voir le roi venir par fois bouché les trous, réparé les fenêtres et occuper les enfants. Il était comme un nouveau souffle pour la maison, comme un peu d’air frais et revigorant pour des enfants qui ne respiré que la cendre fétide d’une vie triste et résolu. Alors cela ne lui prenait qu’un jour par mois, ce n’était rien. Il aurait voulu faire plus, bien plus, et quand dans ses yeux la maitresse des lieux poser sa main flétrie par le temps, et enfoncer ses yeux délavé, Zéleph voyait sur ce vieux visage une gratitude immense qui lui donner un haut-le-cœur. Etait-ce dons cela la charité ? Pauvre de lui, homme de malheurs, jouissant de la mort et de sa torture, voilà qu’il venait ce repentir auprès de vieux et d’enfants. Triste sort. Triste vie.

« Dite Monsieur Zéleph, c’est votre femme qui vous pousse à venir ? » « Personne ne me force. » « On dit que c’est une déesse et qu’elle est capable de tout accomplir. » « Et vous êtes l’ange qui viens accomplir sa voie. » « Vous venez nous sauver. » « Vous êtes un don du ciel. » « Un don de la déesse. » C’était beaucoup de pression, beaucoup d’attente de la part de ces petites créatures, et Zéleph n’osa pas les contre dire. Il était leurs espoir, ils voyaient en lui quelque chose de bon, un modèle, l’accomplissement d’une vie dure qui aurait payé vers un futur plein de lumière. Peut-être devrait-il dire à Mitsuko qu’elle devrait venir les voir un jour, ces enfants avaient besoin de quelqu’un. Elle trouverait ici des âmes égaré qu’elle se devait d’aidé. Ces gosses n’avaient plus que cela pour vivre, l’espoir de survivre. « Hein, Monsieur Zéleph, que vous êtes un don ? » Le roi acquiesça gentiment, faisant sourire son publique, assit par terre devant lui depuis quelques heures déjà, et ne ce lassant pourtant pas de regarder cette imposant homme, humblement assit sur un minuscule tabouret, les bras poser sur ses genoux. « Moi je l’ai vue un jour Madame Zéleph. » « Arrête de mentir Ondine ! Tu ne sors jamais du quartier, Mamy nous l’as interdit ! Comment tu aurait pu la voir ? » « Mais je te dis que je l’ai vue Jose ! » Jose ce redressa, croisant les bras sur son torse gonflé, méprisant, défiant la jeune fille qui en fit de même, posant ses mains sur ses hanches. A pas même quinze ans ces deux-là passer leurs temps a ce chamailler, cela donner de la vie à cette endroit lugubre. « Même qu’elle est blonde et qu’elle est super belle ! » « Plus belle que toi c’est sûr. » Railla le garçon sous le regard noir d’Ondine, qui ne lâcha pourtant pas prise. Ce retournant vers Zéleph, elle s’adoucie, baissant la voix un peu honteuse de crier devant celui qui l’impressionnait tant. Il était intimidant cette homme que l’on d’écrivait si affreux, alors qu’avec eux il était si gentil. « Il y avait un garçon avec elle. » baissant les yeux sur ses mains qu’elle commencé à torturé, elle sourit un peut, puis brisa à nouveau le silence d’une petite voix. « Il était mignon. » laissa-t-elle délibérément entendre, derrière elle, Jose ce renfrogna, ce mettant à grogner, pestant contre Ondine qui était sorti du Quartier alors que c’était interdit. Devant la petite scène qui venait de se dérouler les autres rester sans voix, ne sachant ni pourquoi Jose était si en colère – le savait-il lui-même ? – ni pourquoi Ondine paraissait soudain vouloir se faire aussi discrète qu’une sourit dans un trou. Pourtant si Jose savait l'age de Faust il ne serrait pas si vexer. Ce fut le petit Damian, la tête blonde aux yeux d’or qui réagit en fixant intensément Zéleph, ce posant une question qui lui bruler les lèvres. « C’est votre fils ? » Le réprouvé retint un rire devant le regard inquiet des enfants, comme si soudain Faust leur volé leurs « sauveur », cela l’attendrie. « Oui, tout comme vous. » Comme si il venait de dire un mot magique les enfants se mirent tous à parler en même temps, chuchotant entre eux, une vague de bonheurs venait de les prendre, un soulagement peut être, rassuré de l’avoir lui à défaut d’avoir de vrais parents.

Ondine ce leva et s’approcha de lui pendant cette effervescence. Elle le prit dans ses bras et ce colla a lui en fermant les yeux. A quinze ans, elle était la plus grande ici avec Jose, les deux ainés, et elle savait, elle comprenait avec cette intelligence féminine que rien n’obliger le roi à venir ce perdre ici, à venir les aidé. C’était un merci, donner dans une simple étreinte, et Zéleph ne bougea pas, surprit et prit de court. Peut-être y avait-il trop d’émotion pour qu’il comprenne tout l’amour qu’il y avait dans ce simple geste, l’amour d’un enfant, le plus précieux et fragile cadeaux, bien que tenace, qui soit. Le roi croisa le regard de Jose qui lui souriait. Pas jaloux, le garçon était content de voir son idole protéger ce qu’il avait de plus chère ici : ses frères et sœur, sa famille. Oui, ici Zéleph était un Dieu parmi les hommes, un héros pour ces enfants âgé de cinq à quinze ans.

Pendant que les plus petits jouaient avec Taki et Polochon, Zéleph aidé les plus grands a réparé les meubles, mais le plus urgent : remplacer les carreaux cassés. Retirant le verre casser, Ondine porté la nouvelle vitre, et expliquer d’un aire hautain et résolu que si Jose n’arrêter pas de jouer a la balle dans la maison, les fenêtres continuerait d’être brisé. Le garçon s’énervait et crier après elle qu’elle n’avait cas ce taire, car cette fenêtre c’était elle qui l’avait brisé jetant un livre sur lui qu’il avait dû esquiver, car elle avait voulu le tuer, disait-il. S’en suivit une dispute qui fit sourire Zéleph, qui ne les stoppa pas dans leur folle lancée. Finissant de remplacer le verre, le roi les quitta en pleine dispute, hors de la pièce, la vieille s’occupant de l’orphelinat, appeler affectueusement par les enfants « mamy », lui sourit, tendant de ses vielle mains tremblante un miteux bol remplit d’un café noire et surement trop amère que prit le roi, plein de gratitude de cette délicate attention. Il n’y avait que les miséreux pour être aussi dévouer. Il n’y avait qu’en connaissant le malheur qu’on comprenait le prix d’un geste, aussi faible soit-il. « Ils sont fait l’un pour l’autre. » Le réprouvé ria doucement en jetant un coup d’œil au couple, Ondine ce jetant sur Jose pour le frapper, et lui bien plus grand et fort faisant son possible pour la contrôler. « Nous devons vous remerciez sir, pour tout le bonheur que vous apporté à ces enfants. Je sais que vous n’avez pas le temps pour eux, il se passe des choses dehors, je lis le journal vous savez. » « Je vous en prie, n’y pensez pas. La guerre ne viendra jamais ici, j’y veillerais. Et si tel était le cas, alors je protégerais ces enfants moi-même si il le faut. » La grand-mère souri mollement, comme si elle savait que tout espoir était perdu. Vidé d’énergie, elle n’avait plu l’âge pour s’occuper de si vif esprits. Zéleph savait que cette femme ne désirait plu que mourir dans son lit. Si Ondine et Jose pouvait désarmer vivre seul et s’occuper des plus jeunes, les tout petit âgé d’à peine cinq ou huit ans avait encore besoin d’elle. Buvant son café par politesse, le roi croisa le regard de la gérante, embué d’émoi. Oui, elle était épuisée, usé, au plus profond de sa moelle elle n’en pouvait plu. « Merci. » Sa main tomba du bras du roi, avant qu’elle ne le quitte, s’aidant difficilement de sa solide, bien qu’abimer par les jeux des enfants, canne. Avait-elle besoin de le dire ? Ils avaient besoin de lui ici. Il se sentait utile au près d’eux. C’était inévitable.

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Ven 01 Mar 2013, 23:43

Regardant cette fragile silhouette disparaitre au fond du couloir, sous les bruit grinçant du plancher, Zéleph sentit son pantalon ce faire tirer, et quand il baissa les yeux pour voir le responsable, il croisa le regard de Damian. Pas même huit ans, ce gamin lui fessait penser à lui. Il lui ressemblait étrangement et au fond de ce regard jaune il y avait une profonde tristesse, une solitude qui lui transpercer l’âme et le faisait ce sentir minuscule face à lui. Il ne lui dit rien, tenant toujours son pantalon. Zéleph comprit alors la question silencieuse de l’enfant. Il chercher juste un peu de compagnie, de chaleurs, tout comme lui. Ce baissant, accroupit, le roi le prit contre lui d’un bras et le souleva pour le porté dans ses bras, tout simplement. Naturellement Damien serra le cou du réprouvé, posant sa tête sur son épaule et fermant les yeux, ce sentant en sécurité auprès de son héros. Ce sentant aimer et légitime. Quand on a ni père ni mère, abandonner de sur crois, la sensation d’être une erreur ronge l’âme, ronge le cœur. Ces enfants avaient besoin d’un modèle, un être égaré comme eux, laissé pour mort. Il leur avait conté son histoire, oubliant intentionnellement les moments les plus durs, mais dans les grandes lignes ils savaient. Ils savaient comme il était seul, comme il avait perdu sa mère et comme son père l’avait rejeté. Ils savaient comment de l’enfant abandonner dans la forêt il était devenu cette homme puissant, ce roi adoré et craint, ce mari aimer. La plus part des tournures de son histoire était des mensonges, mais il ne leurs avaient pas dite, juste laisser sous-entendre, eux en faisait ce qu’ils voulaient, comme cette histoire de « don de la déesse », si ils voulaient le croire il les laisser ce raconter leurs contes d’enfants. C’était leurs rêves, leurs espoirs. Cela leurs faisait du bien d’imaginer qu’il était un grand roi, qu’il avait une famille qui l’aimer. Cela leurs donner l’espoir qu’eux aussi pouvaient être aimé, pouvait devenir grand, fort et puissant. Ils fabuler, exercer leurs imaginations sur des combats, des quêtes qu’il aurait faites, sur la beauté de sa femme, sur l’intelligence de ses enfants, sur sa force herculéenne capable de déplacer l’Edelweiss Enneigé.

« Elle était comment votre maman ? » Zéleph ce stoppa dans sa marche, baissant légèrement les yeux sur Damien, qui ne semblé avoir bougé. Posant son bol sur une table bancale, le roi serra plus fort l’enfant sans savoir quoi répondre. « Elle était belle. » Le gosse ce redressa et fixa le roi de ses yeux inquisiteur. Il y avait une soif de savoir, de comprendre dans ce bonhomme qui faisait peur au roi. Oui, il était déstabiliser, parler de sa mère, c’était douloureux, ça le serrait toujours, comme il lui serait toujours impossible de parler d’Aaron. Damian posa sa petite canote sur la joue du réprouvé, paraissant comprendre son trouble et partager avec lui sa peine. Il souffla alors, comme un secret. « Dit moi papa… s’il te plait. » Perdu dans le regard du gamin, il perdit pied, l’émotion le submergeant. Puis, il se mit à sourire et entra dans une pièce. Là il s’assit sur un vieux fauteuil, dans un nuage de poussière. La salle était vide, à peine éclairé, les fenêtres sans carreaux barricadé de planche pour empêcher le froid hivernal de passer. Bien assit sur ses genou, la tête blonde, resta à le regarder patiemment, près à boire ses paroles. « C’était un ange, enveloppé d’une douce lueur de tendresse, elle paraissait être tombé du paradis, égaré dans un monde sombre qu’elle illuminé de sa simple présence. » Sous la voix apaisante du roi Damien, posa sa tête sur son torse et ce lova contre le robuste roi, ce sentant tout simplement intouchable entre les solide bras du réprouvé. Il ferma les yeux, bercé par l’insondable rêve d’une femme douce et aimante lui ouvrant ses bras pour l’accueillir. « Ses yeux était claire, aussi bleu qu’un ciel sans nuage, illuminer par le soleil un soir d’été. Son sourire, c’était comme des morceaux d’étoiles venant directement touché ton cœur. Sa voix, comme le chant d’un oiseau au petit matin, si doux, caressant on âme. Elle était lumineuse et bienveillante. Elle avait toujours un mot ou un geste pour les autres, et ne juger jamais, ne se fâcher jamais, pas même quand je faisais de grosses bêtise. » « Elle était gentille. » Zéleph acquiesça, les yeux perdu dans le vague, un sourire figer aux coins des lèvres. Il se sentait vide face à ce souvenir. Un bonheur passer, volé a un enfant qui en avait cruellement besoin. C’était douloureux, et pourtant ce rappeler le soulager de sa peine. « Elle était magnifique, une beauté inébranlable pas seulement de son corps, mais de son esprit aussi. Elle n’en voulait jamais à personne, comme lasse de voir la haine ce cacher au fond des âmes. Elle trouver la violence futile, bien que nécessaire pour survivre. » Elle n’aurait pas aimer ce que tu es devenu, Shizuo. S’avoua-t-il a lui-même. Baissant les yeux, il sera plus fort le bambin dans ses bras qui s’accrocha à sa chemise salit de la crasse de l’endroit. Lucie avait aimé un monstre, il ne savait ni pourquoi ni comment, mais il savait qu’elle l’avait aimé plus que lui, plus que ces démons hanté par l’esprit de son père. Au fond celui qui l’avait maltraité n’était pas son vrai père, il n’était que l’enveloppe charnelle de celui qui était à l’origine de tout. Tout ça c’était du passer, mais oublier était bien trop dure pour lui. « Tu crois que ma maman m’a aimé ? » « Je crois que toute les mères aimes leurs enfants, Damian. Certaine ne savent simplement pas comment s'y prendre, on ne peut pas leur en vouloir pour ça. » Ce redressant le garçon plongea son regard plein de larmes dans celui de Zéleph, le prenant de court. Depuis quand pleurait-il ? Il y avait tant de compassion dans ses yeux, et de malheurs, que le réprouvé s’en voulu de s’être laisser aller dans ses penser. Si petit, et si empathique, ce n’était pas une vie pour un môme de plaindre un adulte. « Moi j’en veux à personne. C’est grâce à ta maman qu’on t’a nous. C’est grâce à elle que j’ai un papa. » Ça lui serra le cœur. Cette douleur était épouvantable, et il ne put rien dire à moins de sombrer dans l’émoi.

Prenant la tête du gamin, il le sera à nouveau contre lui, lui intiment de ne plus rien dire, cherchant juste un peu d’air dans la fumer. Il était beau de voir un enfant chercher toute les raison de vivre encore, d’être heureux. S’il devait être cette raison alors soit, il aurait au moins fait une chose d’utile dans sa vie. Combien de temps restèrent-ils juste là ? Juste dans ce fauteuil, Zéleph caressant sa tête blonde. Assez pour que le réprouvé pense Damien endormit. Le petit ouvrit pourtant à nouveau la bouche, brisant ce doux silence. « Elle viendra un jour ? » Il ne comprit pas, il eut même pendant un instant la penser qu’il lui parlait de sa mère. « Qui ? » Damian le soulagea alors, répondant comme une évidence. « Ta déesse. » Zéleph soupira, que dire ? Il n’avait pas réellement envie qu’elle vienne ici, qu’elle sache, pourtant les enfants étaient inquiet et curieux de la connaitre. Après tout elle avait donné beaucoup plus que les autres, mais ils ne l’avaient toujours pas vue. Oui, ils avaient étaient très inquiet quand Zéleph était revenu marier, comme jaloux, la peur qu’on leur vole leur héros. Cette femme était plein de mystère, on leurs en avait parlé, des rumeurs, des bruits couraient à travers la ville, mais eux, les enfants, n’en comprenaient jamais le sens et attendaient plonger dans l’incertitude. « Ma déesse. » soupira le roi, comme pour chercher la réponse, en vain. Il était vrais qu’elle avait promis d’aider l’orphelinat, mais il ne lui en voulait pas de n’être jamais venu, il avait bien pris soin de ne jamais rien lui rappeler de son devoir en vers ces enfants. Il ne pensait pas non plus qu’elle avait oublié, Mitsuko n’oublier jamais ce genre de chose, pas qu’il sache en tout cas. Elle était occupée, tout comme lui, et pourtant il paraissait inévitable de devoir venir aider ces pauvres âmes. « Elle viendra. » fini-t-il par soufflé, comme une promesse faire au vent, courant d’air passent encore pour lui glacé le sang. Damian parut soudain pensif. Il ce défi des bras de celui qu’il voulait être son père adoptif et courra hors de la pièce, laissant là un homme perdu dans ses pensé. Quand il revint, ayant traversé la maison de ses petites jambes, il tendit fièrement un parchemin et une plume. « Jure-le ! » Zéleph posa ses yeux sur le gamin, surprit. « Jure qu’elle viendra ! » Comme il ne répondait pas, Damien s’assit par terre, posa soigneusement la vieille feuille froisser et se mit à écrire.

« Chère Déesse de Monsieur Zéleph papa.
J’ai jamai écri de lettre avan, mais jespère que ça vous fera venir jusqua nous. Nous c’est les enfants de l’orphelina a Sceptelinost. A noel papa nous a promi que tou irai mieu pour nous. »
« Qu’est-ce que tu fais ? » Damian leva les yeux vers Zéleph l’aire profondément choquer « bah je l’invite. » dit-il comme une évidence faisant sourire le roi qui l’observa ce concentré à nouveau sur ses écrit qu’il dicté a haute voix pour s’aidé. « Il nous a dit qu’une belle déesse viendrai nous voire. Je sai que vous etes occupez et qu’on est pas les seuls à avoir besoin de vous. Papa aussi il a besoin de vous, mais nous on ne vous voi jamai, alor que lui il vous a tout le temps. » « Non mais qui t’as dit ça ? » Damian comme sortit de son monde regarda surprit le réprouvé, puis baissa les yeux gêner. « C’est Jose qui le dit, c’est ta femme alors… » Zéleph soupira devant le mal être soudain du garçon comme prit en faute, puni, après tout un enfant pouvait écrire ce qui lui plaisait quel importance si cela le rendait fière et heureux ? « Continue. » La tête blonde ne se fit pas prié, ce pincent à nouveau la lèvre dans une moue de concentration intense. Il barra pourtant la phrase précédente « Papa aussi a besoin de vous, mais nous on ne vous voi jamai, alor que lui il vous a tout le temps. Grasse a vou on mange mieux et on a des couvertur pour tou le monde. Mamy dit qu’on poura même réparé les murs et le plafond bientôt si papa nou aide. » « Arrête d’écrire papa tu veux ? » « Pourquoi ? » Le réprouvé ce renfrogna, elle pouvait ce faire des idées, elle en était capable, mais comment lui faire comprendre. « C’est pas grave, continue c’est très bien. » « Vou savez papa, c’est pas mon papa, mais j’aurai voulu qu’il le soi comme Ondine et Jose et tout les autre. Vou fachez pas Madame Zéleph on veu pas vou le volé, juste en avoir un peu nou aussi par ce que si il partai on serrai seul. Mamy est vieille, elle a du mal, et Ondine et Jose ils ce dispute tou le temps, même si ils son grand, on est trop pour eux, alors papa il vien s’occuper de nous. Par foi y a des gens dehors, méchant, faut pas leur parlé Mamy elle dit, et papa il leur a mit une sacré raclé la dernière fois. C’était pas beau a voir. Y reviendron plu, mais si il partait bah les méchant ils reviendrait et même Jose il serait pas assez fort. Monsieur Zéleph c’est un bon papa, mais on voudrai vou voir aussi. Je veux voir si vous êtes aussi belle que la maman de Monsieur Zéleph, a l’intérieur aussi. Une déesse, c’est beau comme un ange moi je dit. Comme l’ange a papa. Alor vous allez venir hein ? » Damian ce stoppa soudainement l’air embêter. « Ca ne vas pas ? » « Comment on dit pour finir ? » Zéleph haussa les épaules. « Quelque chose comme : Je vous embrasse, dans l’espoir de vous rencontrer ou affectueusement, puis ton nom. » Le garçon grimaça trouvant ce mot trop difficile. Ce penchant à nouveau il écrivit alors. « Dans l’espoir de vous embrasé afectusement ;
Damian. »
(voir la lettre - ici -)

Fière de lui, le petit garçon posa sa plume et ce leva précipitamment pour tendre sa jolie lettre pleine de rature, de faute et de tache d’encre au roi qui la prit délicatement plus par ce qu’il avait peur de déchiré ce papier abimer que par respect du travaille fournit. Parcourant la lettres des yeux, il sourit gentiment a cette déclaration difficile à lire tant l’écriture était grossière, mais ici ce n’était pas simple d’apprendre à écrire. Un combat de plus pour ces enfants. Tendant la main vers le bonhomme Zéleph demanda « Je peux ? » Damian comprit, ramassa la plume et la lui donna. Le réprouvé ajouta alors « Ps : Il n’a que huit ans, ne lui en veux pas pour ses maladroites envies protocolaires, d’invité une divinité à boire le thé. Je ne leur promets rien, mais tu parais les fasciner. » Zéleph souri à Damian qui parut rassuré de ce rajout, persuader que si c’était lui la déesse ne pourrait refuser « Pss : Et moi aussi je caresse l’espoir de t’embrasé affectueusement… » Cela fit rire le petit garçon, bien qu’il se sentait gêner de comprendre que ce qu’il avait écrit était un peu étrange, mais il était fière de sa lettre pleine de sincérité, emplit de la naturelle spontanéité d’un gosse. Le roi aurait pu lui faire reprendre ses écrit, rattraper ses rature et ses fautes, mais il jugea que c’était bien plus franc, bien plus vrais ainsi et il était sûr que cela amuserait sa femme.

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Ven 01 Mar 2013, 23:43

La lettre envoyé, bien que Zéleph aurait pu la donner en main propre, Damian refusa en disant qu’une invitation digne de ce nom s’envoyé et non ne se donner. Le gamin quitta le roi, pour aller jouer avec le dragon et le poussin comme ses camarades. Le réprouvé retrouva alors Jose qui fumer dehors. « Tu ne devrais pas. » Il ronchonna, ne se retournant pas vers son modèle. « Vous êtes bien placer pour me dire ça. » Zéleph ne dit rien, s’arrêtant à coter de lui, sortant son propre tabac pour ce roulé une cigarette à son tour. « C’est vrais » admit-il finalement, l’allumant grâce à une allumette qui finit sa vie à moitié bruler sur les paver de la rue. Baisant le regard sur le garçon lui arrivant déjà aux épaule à son âge, il remarqua sa joue rougie de marque de doigts, qu’il tenté de cacher avec ses cheveux, la tête basse. « Qu’est-ce qui c’est passer ? » « Elle m’a giflé. » répondit-il honteux, « comme à chaque fois. ». Zéleph ne put s’empêcher de rire. Jose lui frappa alors l’épaule, il ne sentit aucun mal bien sûr, et cela redoubla son amusement. « Ça n’a rien de drôle ! » aboyât-il au roi, soudainement furieux contre lui, son idole qui se moquer de lui, c’était un comble. Ca faisait mal. Il baissa à nouveau la tête, tirant sur sa cigarette avec lassitude. Zéleph stoppa soudainement son rire, posant une main bienveillante sur l’épaule du gamin. « Elle fond toujours ça. A croire que pour elles, il n’y a que ça qui puise nous atteindre. » Jose soupira. « C’est par ce qu’elle ne veut pas que je fume. » « Elle a peur pour toi. » « Je ne lui est rien demandé ! » répondit-il abrupte en ce redressant, plongent un regard noir dans celui inébranlable du roi. « C’est pour ça. » Il sourit devant l’incompréhension nouvelle du garçon. « Qu’elle te frappe, c’est pour ça. La peur. Les femmes aimes tout contrôler, et nous somme indomptable, ça les rendes anxieuse, sa les énerves qu’on les pousse à bout. Ne te m’éprend pas, c’est le signe qu’elle tient à toi. » Jose ce renfrogna, ce tournant vers la rue. Zéleph leva lui aussi les yeux, plongent sa main dans sa poche alors que l’autre retiré la cendre de sa cigarette. « Tu préférerais peut être qu’elle s’en fiche. » A ses coter le jeune homme ce tassa un peu plus sur lui-même, écrasant avec agacement son mégot avant de plonger ses poing dans les poches de son pantalon troué. « Qu’elle te tourne le dos, par s’inquiéter d’un autre et te laisse vivre ta vie ? » Fixant ses pieds Jose ronchonna. « Non… » « Alors laisse là faire. Tu te sentiras bien bête quand elle cessera d’être sur ton dos à te dire quoi faire. Tu regretteras ces moments où vous étiez si proches et où pendant quelques minutes tu paraissais être le centre de son attention, où pour quelques secondes tu te sens important à ses yeux. » Zéleph jeta sa cigarette à peine entamer dans le caniveau, puis il frappa gentiment le dos de Jose en raillant. « Tu l’aime. » Le réprouvé ce retourna pour rentrer tandis que le gosse le suivait soudainement prit de rouge entre rage et honte, le dénie pardi ! « N’importe quoi ! Ça n’a rien à voir ! » Le roi ce retourna a peine pour lui sourire, sachant très bien ce qu’il en était et c’était bien amusant comme ça. Alors du fond du couloir comme Jose ce sentait écraser par la supériorité du réprouvé et que c’était oppressent pour un gamin comme lui de se faire avoir ainsi il lenca innocemment. « Toi aussi ! » Zéleph ce stoppa ne comprenant pas très bien sur le coup. Jose souri a son tour sentant qu’il reprenait le dessus. « Tu l’aime ta déesse. » Pendant un instant le réprouvé ce sentit transpercer de vérité, nue face à l’univers. Et si c’était le cas ? Doucement il se retourna. Jose, face à cet homme se sentait misérable, étouffant sous sa puissance, terrifier par sa force. Le seigneur des deux rives était si impressionnant, sa présence même était écrasante, et il le redouté autant qu’il le vénéré. « Est-ce un mal d’aimer sa femme ? » Finissant d’être déstabiliser Jose ne parut pas comprendre, lui qui prenait soin de ne jamais en parler, il avait dupé les enfants mais pas Ondine et Jose assez grand pour comprendre et voir que quelque chose clocher dans cette histoire. « N… non » Bafouilla-t-il. Zéleph parut satisfait, ce retourna et continua son chemin, laissant seul le garçon qui ne comprenait plu grand-chose. Il savait pourtant une chose : il n’était pas amoureux d’Ondine, c’était n’importe quoi, elle était insupportable et ce croyait supérieur à lui.

« Tu es comme un père pour nous tu sais. » Zéleph sur sauta presque en entrant dans la pièce, ce retournant vers Ondine adosser au mur, un livre serré contre sa poitrine de jeune fille. Elle devenait une femme, ça n’aller pas arranger les problèmes de vandalisme ici, mais pouvait-on lui reprocher ? Le roi imagina qu’elle avait écouté la discussion, peut-être était-elle un peut blesser des mots de Jose. Elle était plus intelligente que lui, plus mature, c’était de son âge. Jose ce voulait grand et fort mais il n’était encore qu’un enfant et ne s’en rendait pas compte, Ondine derrière son caractère enflammer et fort laisser paraitre cette raison propre aux enfants des rues. Leurs vies étaient dur, cela leurs apprenaient la souffrance a des âges où ne devait subsister que de l’insouciance. « Je sais. » Ondine souri doucement, tristement. Il y avait tant de mal dans leurs yeux clairs à ses enfants, que cela lui tordait le cœur à chaque fois. Ils ne le tutoyaient que quand ils ressentaient ce besoin de ce rapproché de lui, cette intimité si particulière entre des orphelins et un maitre criminel. Une drôle de famille. Ondine quitta le mur et rangea le livre qu’elle tenait à la main dans l’étagère. « Ça fait deux ans que tu viens nous voir. J’ai toujours crue que chaque visite était la dernière. J’ai toujours eu peur de m’attacher à toi. Pourtant. » S’appuyant à la bibliothèque, elle soupira ne pouvant nier l’évidence. « Tu es toujours revenu. » Le roi ce glissa dans son dos et attrapa la petite qu’il serra contre lui. Elle posa ses mains sur les robuste bras de son gardien. « Je suis désoler, Jose ma toujours interdit de te le dire, et je m’en veux d’avoir douté, mais j’ai était trop de fois déçu pour espérer encore. » Les sanglots étouffés le firent resserrer sa prise. Elle se tourna face à lui et plongea son visage dans son torse, s’accrochant a sa chemise. Être ici lui avait au moins apprit la compassion et la patience. Il savait prendre les gens dans ses bras et les réconforté, il l’avait toujours su mais jamais osé. Il tenait cela de sa mère surement. Au moins avec eux, avec ses enfants il était bien prêt à donner un peu de lui pour peu de bonheurs. « Ne pleure pas Ondine, tu à bien fait, je ne t’en veux pas pour ça. Aujourd’hui il n’y a pas de mal, oublie, ça met égale. » Doucement elle ce calma contre lui, puis se hissant sur la pointe des pieds et s’appuyant sur son torse elle lui embrassa la joue avant de retomber sur ses talons et de s’essuyé les joue en souriant. « Tu n’es pas aussi affreux que tu veux le faire croire aux gens. » « Je tue facilement. » Ondine souri surprenant le roi. « Mais nous, tu nous protège. Ça met égale tout le mal que tu à fait ou que tu feras, avec nous tu es bon et ça nous suffit. » Dit-elle en s’échappent de ses bras. « Et puis si ça fait peur aux rats dehors… » Lança-t-elle joyeuse en continuant de ranger les étagères, faisant référence aux bandits venant avant les agresser, leurs voler le peu de chose qu’ils posséder, parfois juste par plaisir, vandalisant un orphelinat remplit d’enfant et de vieux sans défense. Quel plaisir y avait-il à cela ? Personne ne pouvait expliquer certaine folies des hommes. Zéleph avait stoppé cela, c’était tout ce qu’il fallait en retenir. Les enfants vivant dans la peur avant, pouvait aujourd’hui courir même dans les rues sans craindre personne, car tout le monde savait que si un enfant était touché Zéleph, roi des réprouvés torturerait lui-même celui qui avait osé enfreindre ses lois. Ils étaient tous des enfants de Zéleph ici, chaque habitant bon ou mauvais avait fini par le savoir.

Le roi quitta Ondine, sortant par une autre porte pour gagner la chambre à coter où les tous petits faisaient leur sieste. En entrant, il entendit Jose suivre derrière lui, fermant à peine la porte il s’amusa à regarder le jeune homme tenir sa casquette entre ses mains et s’excuser auprès d’Ondine. Malheureusement cela parut être encore trop maladroit pour qu’elle ne se mette pas bientôt à fulminer et quand la claque résonna, le roi ce retourna vers les gosses qui dormaient ce demandant si cela ne les avaient pas réveillé, mais entre nous, même un éléphant dans la pièce n’aurait pu venir à bout du sommeille de ces petits bout. Reposant son attention sur Jose celui-ci se frotter la joue l’air totalement perdu. Le roi n’avait rien entendu de la discussion, mais le pauvre garçon paraissait réellement ne plus rien comprendre. Les incomprises rester toujours les femmes d’après elles, et à voir c’était vrais. Ondine avait pourtant la main leste, ce qui ne devait pas aidé. Une vrais fille qui ne se laisser jamais marcher sur les pieds, Jose avait intérêt à devenir un homme robuste et costaux, la tête visé sur les épaules pour survivre à un tel tempérament. Le garçon le vit et s’approcha de lui, chuchotant près des enfants « Elle ne m’a même pas répondu, elle m’a juste giflé. C’est pas la preuve qu’elle est folle ça ? » « Qu’est-ce que tu lui as dit. » « Que je n’aurais pas dû dire qu’elle était… hideuse. » Avoua-t-il un peu honteux. Zéleph retint un rire moqueur, c’était difficile de ne pas s’en amuser. « Tu la trouve hideuse ? » « Non ! Bien sûr que non ! » Répondit-il avec virulence comme pour se défendre des fait, scandaliser que le réprouvé puise le penser. « Alors ? » « Alors c’est ce que j’ai dit ! » Secouant la tête bien désoler pour lui, l’air de ne plus rien pouvoir pour ce pauvre garçon, Zéleph parut bon d’apprendre à Jose ce qui n’aller pas et qu’il était visiblement incapable de voir. « Tu l’a peut être mal formulé. » « Mais j’ai retiré mes paroles. » « Ce n’est pas par ce que tu retires que tu ne le pense pas idiot. Ne serrai-ce pas plus simple de lui dire que tu la trouve plutôt jolie ? » Jose parut terrifier devant cette éventualité. « Vous êtes malade ! Je préfère qu’elle me gifle encore plutôt que de lui dire qu’elle est belle, tien ! »

On entendit un fracas derrière la porte, comme des livres s’effondrant au sol. Poussant la porte, Zéleph et Jose virent Ondine quitter la salle, laissant là le résultat de sa peine. Il parut évidant qu’elle avait entendu, et pas le meilleur passage. « Je crois qu’elle n’a pas apprécié. » Jose croisa les bras sur son torse. « Et quoi ? Je ne vais pas y retourné, qu’elle croit ce qu’elle veut de toute façon. » Zéleph soupira. « Tu te souviens de ce que je tes dit la dernière fois ? » « Ne la laisse jamais sortir seule. » « Pourquoi ça ? » « Ce sont des monstre dehors. » « Et tu crois qu’elle est partie où là ? » continuât-il doucement ce demandant quand il aller enfin comprendre. Jose grogna « fait chier ! » Le garçon quitta le roi en trombe emportant avec lui son sabre en bois, offert par Zéleph qui refuser de lui confier un vrai sabre dans un endroit avec tant d’enfant.

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Ven 01 Mar 2013, 23:43

Le vent commencé à se lever, dans le gouffre où ce trouvé la vielle, il était fréquent que le vent de l’océan vienne s’immiscer entre les rocher et venir frapper la cité de son fouet. A ce moment-là, tous les habitant rentré chez eux et ce barricadé en attendant le prochain calme. Mamy commencé à être inquiète, ni Ondine, ni Jose n’avait refait surface depuis leurs disputes et elle n’aimait pas cela. Tendant un thé brulant à Zéleph qui clouer de nouvelle planche aux murs pour le soutenir et installer une meilleure isolation, elle soupira. « Un jour ils me tuerons. » Posant ses outils en prenant la tasse, le réprouvé secoua la tête. « Ne dite pas ça, ils vont rentrer. » Elle leva les mains au ciel comme si cela ne justifier rien. Tombant dans un vieux fauteuil, là où ses os ce sentaient encore le mieux elle leva les yeux vers le grand homme, robuste malgré son siècle de vie. « Aujourd’hui, mais demain ? Je m’en veux si vous saviez, mais je suis vieille, je ne peux plus supporter la jeunesse. Lia et Reine sont à peine plus jeune que mois. Nos vieux os ne sont pas faits pour ça, mais ils ne leur reste plus que nous. » C’était à n’en pas douté extrêmement dur pour elle. On voulait voir dans ses traits marquer le temps d’une vie entière consacré aux enfants. Celle qui portait le nom de « Mamy » ayant effacé son vrai nom avait voué son existence aux orphelins de cette maison. C’était un incroyable don de soi, une gentillesse infinie. Une femme se battant pour le bonheur de quelque bambin laissé pour compte. Zéleph avait beaucoup de respect pour elle, comme pour ces deux camarade, des sœurs, amie de toujours ayant vécues toute les trois ce fardeaux de n’être que des enfants de la rue, livré a elles même. « Ils vous aimes. » Elle sourit doucement, gentiment. « Oh, je le sais. Ils sont adorable avec moi, ne font pas de bêtises cars ils savent que cela nous ferait trop de peine et que ce serrait profiter de notre faiblesse. Ce sont tous des enfants intelligent et vif, je n’ai pas peur de leur futur, mais si je quitte ce monde Reine et Lia mouron après moi et ils n’auront nulle part où aller. Ils seront vendu, ou à la rue. » Le réprouvé prit place sur un tabouret, face à elle, sirotant son thé, ce sentant impuissant. Il ne pouvait pas s’occuper d’eux, il avait un peuple a géré, une ville à gouverné, des employé à nourrir et il trouver encore le temps de venir ici un jour par mois minimum. Avec l’argent de Mitsuko il pourrait au moins rétablir les lieux, avec son aides il pourrait recréer l’orphelinat d’entant, mais une fois les gérantes disparut qui serait là pour protéger ces marmots ? Zéleph posa son thé, puis prit les mains tremblante de la dame dans les sienne, robuste, encore jeune et vive. « Tenez le temps qu’Ondine et Jose soit adulte. Ils ce calmeront, ils s’occuperont de leurs frères et sœurs. Soyez en sure. » Elle serra doucement ses mains, souriant tristement malgré elle, le futur était des plus incertain pour elle, comme pour ses amies. « Ils sont si jeune. Ondine est intelligente et forte, mais elle est ambitieuse avant nous le droit de freiner ses rêves ? Jose est un garçon merveilleux, il a un cœur d’or, mais il est trop impulsif, cela le courra a sa perte si il n’apprend pas à se taire. L’arrogante jeunesse. Il suffit de croire que nous somme invincible pour tout perdre. » Le roi ce redressa, jetant un regard inquiet au voler claquant la fenêtre avec violence. La tempête faisait rage. Mamy avait raison, mais ils étaient encore jeunes, tout pouvait changer. « Je serais là pour veiller sur eux. Je vous l’ai juré la première fois que j’ai franchi cette porte et je ne peux trahir cette promesse. » Elle lui prit à nouveau la main lui serrant avec le plus de force qu’elle le pu, plongent son regard fatiguer dans le sien, si vif. Il y avait une si grande gratitude dans ce regard a moitié aveugle, qu’il en fut bouleverser. « Je croyais les homme comme vous disparut. Les hommes d’honneur son si rare de nos jours. » Zéleph était flatté, mais ne trouva rien à dire, préfèrent continuer de boire le cadeau de son hôte. Par fois le silence était la meilleure réponse à donner.

« Shizuo ! Reviens ici ! » Le réprouvé ce crispa soudain, jeta un regard surprit au couloir, ou passa à toute alors une tête tornade brune. Derrière lui, la vienne Reine cherché à le rattraper. Mamy souri alors malgré elle. « Ai-je dit qu’ils ne faisaient aucune bêtises ? » Zéleph se leva en répondant à son sourire. « Je vais voir. » Sortant de la pièce, il vit la veille femme se tenir au mur, la main sur le cœur essoufflé. S’approchant le roi posa une main compatissante sur le dos de reine qui leva un regard suppliant. « Il vas… trop vite… » S’égosilla-t-elle. Derrière eux le gamin danser, narguant la vielle femme. Zéleph le vit du coin de l’œil et cacha un sourire Tu vas voir toi. » A peine s’eu-t-il retourner que le garçon était déjà partit en courant, mais voilà, il ce cogna au double du roi. Cela le fit trembler de peur. L’observant le réprouvé imagina qu’il n’avait pas six ans, c’était un tout petit môme qui chercher juste à jouer et ne voyait pas vraiment le mal dans ses bêtises. C’était eux que les dames avaient le plus de mal a géré, eux qui prenaient le plus d’énergie, d’attention, et de temps. L’attrapant dans ses bras, l’emprisonnant contre lui, le garçon ne p rien faire malgré ses cris et ses petit poings tapant les bras du colosse. « Où tu comptes aller comme ça ? » Nue comme un vers le chérubin ne répondit pas continua de gigoté en vain. Reine arriva jusqu’à eux et soupira soulager quand Zéleph lui rendit le garçon, enfin calmer. « Je suis désoler, après la sieste il est impossible de lui faire prendre un bain, l’eau est glacer vous comprenez, les enfants n’ont pas envie. Seulement au risque d’attraper une pneumonie, nous préférons ça aux maladies fétides qui courent les rues sales de Sceptelinost. » L’eau voilà autre chose qu’il aller devoir arranger très vite. « Avec les petits sur tout, ils joue par terres et traines des choses. » Zéleph acquiesça le comprenant bien. Le garçon nommer Shizuo le fixer, renfrogner, contrarier d’avoir était ainsi battue par le roi. Le réprouvé avait beau être venu souvent ici, chercher à connaitre tous les enfants, les plus petits lui étaient encore difficile à approcher, il avait peur de briser leurs os par un seul geste, c’était effrayant quand on réaliser quel force gigantesque il avait et comme ces êtes étaient des allumettes entre ses doigts, pour lui. Le garçon fut emmener au bain, Zéleph entendit juste Reine dire « Si tu n’es pas sage, tu auras encore à faire à Monsieur Zéleph, fait attention. » avant de disparaitre dans le virage, faisant ricaner le roi. Drôle de remontrance.

D’une pièce sortit une petite fille, vêtu d’une jolie robe en dépit des trous et des rattrapages maladroit ici et là. Elle lui tendit timidement un bout de parchemin. Il y avait marqué « héros. », sous l’écrit on pouvait voir un bonhomme aux cheveux noirs et aux yeux bleus brandir un glaive contre un dragon rouge. Il y avait un poussin, puis un tout petit dragon sur ses épaules. Derrière lui ce tenait les enfants avec chacun de leurs nom, puis les trois femmes s’occupant d’eau. Il était donc le mur de protection entre eux et le dragon, entre eux et le monde extérieur. Zéleph posa sa main sur la tête de la petite fille « Merci Nina, il est très beau. » Il s’accroupie et elle déposa un baiser sur la joue du roi avant de s’enfuir dans un rire gêner, les se joue couverte de tache de rousseur rouge pivoine. Il était réellement difficile de ne pas s’attacher à ces enfants, ou de ne pas être attendrie par leur âme pure et leur détresse. Tout ici paraissait être injuste, leurs histoire, leurs vie, leurs sort. Il paraissait cruel au réprouvé de les laisser ce débrouiller seul, de vivre à coté sans se soucier d’eux. Il en était incapable. Ce n’était pas pour se sentir mieux, pour expier ses faute ou faire croire quoi que ce soit, même pas pour ce persuader qu’il était un homme bon. Oh il savait que c’était faut, que ces enfants croyaient en un monstre véritable, mais ils n’avaient que lui, et il ne pouvait s’empêcher de venir les voir. Il ne pouvait s’empêcher de se sentir concerné.

« Ne me touche pas ! » Que ce passait-il encore ? De l’autre coter de la porte d’entrée on pouvait entendre des cris, dans soudain sous le vent la porte s’ouvrit et claqua contre le mur, réveillant toute la maison si cela n’était pas déjà fait. Ondine entra et fonça droit devant elle, le regard lancent des éclaire. Passant devant Zéleph sans un regard celui-ci se retourna vers Jose qui paraissait dépité en fermant la porte, puis levant les yeux sur son model il soupira, fatiguer. « Elle refusait toujours de rentré malgré la tempête, alors je l’ai porté de force. » « Tu as bien fait. » Jose paraissait du même avis et pourtant les épaules basse on aurait dû qu’il avait survécu à un ouragan, quoi qu’au fond c’était pratiquement ça, couplé à une tornade du doux nom de Ondine. « Sortir sous cette tempête. Parfois elle peut vraiment être idiote. » Un livre fusa dans le couloir du haut des escaliers au fond, la jeune fille les mains sur les hanches, les cheveux en bataille, cria « Je ne suis pas encore sourde ! » Elle avait quelque chose de terrifiant. Remontant les escaliers elle disparut, laissant là un Zéleph qui n’avait pas tout comprit et un Jose qui paraissait vouloir se pendre et en finir le plus vite possible avec cette journée éreintante. « Je crois qu’elle t’en veux encore. » Soupirant le garçon ce passa une main dans les cheveux en s’adossant au mur épuiser. « J’abandonne, elle refuse d’écouter, à quoi bon ? » Zéleph haussa les épaules, il avait beau lui donner des conseille, ce n’était pas par ce qu’il était marié qu’il en savait quelque choses, oh non, si il savait. « Qu’est-ce que j’en sais. Elles prennent un malin plaisir à nous culpabiliser et nous faire des reproches. Oui, les femmes sont sans scrupules Jose, fait toi a cette idée. » Pour seule réponse le jeune homme soupira passant devant le roi et répondit simplement. « Je vais me coucher », laissant au réprouvé l’intime conviction qu’Ondine avait gagné le combat par KO. Pliant soigneusement le dessin que lui avait fait Nina, Zéleph le mit dans sa poche, puis retourna auprès de mamy toujours dans son fauteuil, à moitié somnolente. « Ils sont rentré. » « J’ai entendu. » ce moqua-t-elle gentiment, Zéleph souri reprenant son thé maintenant refroidit. « Qui n’aurait pas entendu ? » Puis il laissa Mamy ce repose, elle en avait bien besoin. Busant son thé d’un trait sec, il prit ses outils et changea de pièce. Ce n’était pas les occupations qui manquer ici. Loin de là.

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Ven 01 Mar 2013, 23:44

« Vous allez passer toute la journée avec nous ? » « Oui Roxane, pourquoi ? » La petite fille fixa ses chaussure dans l’espoir peut être d’arriver à voir ses orteils à travers le cuire. « C’est gênant de vous dire ça. » Lâchant le clou et le marteau qu’il avait dans la main, Zéleph se pencha sur la gamine, ce demandant bien ce qu’elle avait de si gênant a lui dire pour être soudainement si mal à l’aise devant lui. « Aujourd’hui j’ai dix ans » Zéleph lui sourit. « Je sais. » Levant les yeux la petite fille ce mordit la lèvre tanguant d’un pied à l’autre ne sachant pas comment continuer, de plus en plus gêner devant le réprouvé qui n’attendait qu’une chose : qu’elle finisse par lui dire ce qui n’aller pas. « Je sais que vous m’avez acheté un cadeau, je vous ai entendu le dire à Mamy, mais … je ne veux pas. » C’était dit avec beaucoup de douceur et un peu de honte, comme si elle n’arrivait pas à ce l’avouer elle-même. Le roi était tout de même surprit, ces enfants n’avaient jamais rien pour eux, et quand Mamy lui avait dit que Roxane avait dix ans, il avait demandé à deux prostituer d’aller acheter un cadeau pour la petite fille. Lui n’étant pas doué pour ça, pensait que deux femmes serraient faire plaisir à une petite demoiselle, mais voilà que toute cette attention était rejeté. Zéleph s’inquiéta alors, y avait-il eu un problème entre les enfants, avait-elle peur qu’on se dispute pour cela ? « Tu sais Roxane si c’est pour épargner la jalousie des autres, c’est très noble de ta part et je suis très fière que tu prennes ainsi soin de tes amis, mais crois-moi, tu n’as pas à te privé pour eux. J’ai offert des cadeaux a d’autre avant toi, aujourd’hui c’est ton anniversaire, c’est ta journée, tu as le droit d’en profiter. » Roxane baissa à nouveau les yeux sur le plancher, apparemment Zéleph n’avait pas réussi à la persuadé qu’elle avait le droit d’être heureuse. La brunette finie par secouer la tête. « C’est pas ça. » soufflât-elle finalement, enfoncent un peu plus l’homme dans le l’incertitude. Ouvrant c’est bras, le roi l’accueillit contre lui, ce disant qu’ainsi il serait plus simple pour elle de ce confier, si elle avait confiance et oublier sa timidité. « Alors dit moi, qu’est-ce qui ne vas pas Roxy ? » Il posa sa main sur les sienne, pour la faire arrêter de ce torturé ses petit doigts. Elle leva ses yeux marron sur lui, un peu triste. « Yumi, elle ne parle plu. Elle a eu dix ans elle aussi, il y a un mois, mais vous n’étiez pas là. J’aimerais lui donner mon cadeau, mais je ne veux pas que vous soyez fâché contre moi Monsieur Zéleph. Ca me rendrait triste. » Soulager, et amuser, bien qu’il cacha cela pour qu’elle ne ce vexe pas de sa gentille moquerie, il lui embrassa les cheveux. Ces enfants étaient d’une grande attention les uns envers les autres, il était heureux d’y avoir participé, il était heureux de constater que c’était eux qui le rendait meilleurs depuis qu’ils les avaient rencontré. « Moi aussi. » Elle ce crispa inquiète, levant un regard implorant vers lui, qui lui sourit pour la rassuré. « Je serais triste que tu gardes ta poupée pour toi toute seule, alors qu’elle est assez jolie pour Yumi et toi. » Roxane parut soulager, son visage s’illuminant d’un grand sourire, elle déposa un bruyant baiser sur la joue du roi avant de s’envoler de ses bras quittant la pièce en courant et criant des « Yumi ! Yumi ! On va avoir une poupée ! » Il se rendit alors compte qu’il avait gâché la surprise, mais ça en valait la peine au fond.

« Vous feriez un drôle de père. » Sursautant, il se retrouva face à Lia, la dernière femme qui s’occuper des enfants ici, la plus jeune, mais aussi la plus handicaper. « Je ne vous avez pas vue. » « Drôle de chose à dire à une non voyante, Monsieur Zéleph. » ria-t-elle. Cette femme était étonnamment pleine de vie et imposer un certain respect au roi. Vivre toute sa vie dans le noire et trouver encore la force de voué chaque instant aux autres, c’était une preuve de force incroyable. Oui, face à ces trois femmes Zéleph ce trouver bien médiocre, bien misérable. « Excusez-moi. » de sa canne, elle lui tapa la tête. Comment arrivait-elle à faire ça, cela l’étonnait toujours autant. Ce frottant le front il aperçut son aire fâché. « Ne vous excusez pas pour la joie que vous apporté dans cette maison, jeune homme ! » Ce faire réprimandé comme un enfant lui faisait toujours bizarre, mais il ne disait mot, après tout elles étaient bien toutes les trois les seule personne qui lui imposer assez de respect pour qu’il se laisse faire. Le calme retombant, Lia s’appuya sur sa canne. « Les enfants disent que votre femme vas venir. » Il haussa les épaules ne sachant si cela était vrai, mais fit l’effort de parler malgré tout, ce souvenant qu’elle ne pouvait le voir. « Je ne sais pas. J’imagine. » La vieille femme, ce retourna, s’aidant de sa canne, elle chercha un siège et en trouva bientôt un où elle s’assit tâtonnant un peu partout pour être sûr de ses geste, puis une fois bien en place, elle posa sa canne sur ses genoux, jouant distraitement avec. « Cela leur ferait plaisir. » Zéleph acquiesça, ce remettant au travaille, réparant le lit qu’Ondine lui avait confié. « Pourquoi Yumi ne parle plus ? » « Oh vous ne vous souvenez pas, elle n’a jamais était bien bavarde. Nous ne savon pas ce qu’elle a vécu avant de venir ici, elle était très renfermer. C’est le jour au retour du marché avec Jose, Ondine et son frère Yuri qu’elle n’a plu ouvert la bouche. Quoi que l’on face, elle ne dit pas un mot. Yuri passer son temps à la pincer ou la chatouiller, mais elle a fini par ce fâché et c’est détourné de lui. » Zéleph se retourna surprit, ne se rappelant effectivement, de rien. « Même son jumeaux ? » Lia soupira tristement, caressant sa canne, perdu dans ses pensé. « Jose nous a dit que durant le retour elle a était attraper par un homme et que Yuri est resté paralysé. C’est par ce qu’Ondine à crier que Jose les a vue et la ramener. Je pense que cela a fait remonter de mauvais souvenir aux enfants, Yuri d’une façon inconsciente, tandis que Yumi, elle, à revécu son passer. » Tapant le clou qui rentra dans le bois comme dans du beurre, Zéleph reposa le meuble au sol, comme neuf. Il ce souvenait maintenant, après ça il avait retrouver cette homme et c'était occuper de son cas. « Voulez-vous que je lui parle ? » « Oh c’est inutile. Tant qu’elle se sentira en sécurité ici, tout ira bien. Cela lui passera. Roxane ne lui laisse pas une minute à elle. » Il ricana. « J’ai cru comprendre, elles s’entende vraiment bien. » « Deux vrais sœur, c’est Yuri qui est jaloux. Il passe son temps derrière Jose. Je pense qu’il s’en veut d’être resté paralyser alors que sa sœur ce faisait enlever. » « Il n’a que dix ans, personne ne lui en veux pour ça. » « Mais les angoisse son tenace, sur tout à cette âge. »

Le roi souri tristement, avant de passer au lit suivant. Il avait beaucoup de travaille à chaque fois qu’il venait, mais cela aller plutôt vite, ou au contraire, une petite bricole devenait par fois un vrais cauchemar. Ne maitrisant pas toujours sa force, il lui arriver de briser plus de meuble que d’en réparer, ce qui avait le don de l’agacer passablement, et de faire rire les enfants. « Je pourrais vous acheter de nouveau meubles, de nouveau tapis et vous les faire livrer, ça irait plus vite. » fini-t-il par dire excédé. « Oui, mais cela rassure les enfants de savoir que c’est vous qui avait réparé ci et ça. Ils aiment vous voir travailler, ça leurs fait du bien, et puis ça vous apprend à être humble Ô sa grande majesté. » ria-t-elle, laissant le réprouvé lever les yeux au ciel, un petit sourire amuser trônant sur ses lèvres. « Vous avez raison je ne risque pas de prendre la grosse tête ici, entre les cris, les pleurs, le vomi, et les problèmes existentiel de nos deux jeunes amoureux. » « Ne leurs dite pas ça ! Vous risqueriez de faire s’effondré la maison. » continuât-elle de rire, le faisant ricané à son tour. « Ce n’est pas simple pour vous. » « Oh, si mes sœurs son fatiguer moi je trouve au contraire que c’est énergisant. Toute cette vie, cette jeunesse, un souffle d’air pur. Mamy n’en peut plus, elle a passé trop de temps à faire cela, quand à Reine, ma chère sœur… elle a perdu trop d’enfants et de mari pour accusé encore chaque peine, à chaque enfant malade. » Lia pointa sa canne vers Zéleph, lui rentrant le bout dans le ventre, l’air des plu sérieuse. « Bientôt il ne restera que moi, mais comment une aveugle carcasse comme moi peut protéger ces enfants ? On ne vous demande rien Monsieur, jamais, vous faite sans qu’on ne vous le demande, mais je vous en prie… Ne les abandonner pas. Pas maintenant qu’ils ont confiance en vous, qu’ils vous aiment. » Le roi baissa les épaules, s’approchant d'elle, il se pencha doucement et embrassa la joue de la grand-mère, qui sourit tristement, le laissant partir, sortir de la pièce, la gorge noué. Dans le couloir il du éviter cinq tout petit courant à en perdre haleine riant en chahutant, l’un d’eux trébucha, mais cela ne part nullement faire chuté sa joie, car il repartit de plus belle avec surement la ferme intention de gagner la course malgré l’avance de ses camarades. Des enfants par tout, jouant dans tous les coins, parfois apprenant à lire et écrire, dessinant, ce prenant pour de grand guerrier ou de belle princesse, attendant le jour de leur gloire. Ils vivaient, survivaient tous dans une joie éphémère, mais ils se battaient à chaque instant pour qu’elle subsiste et il était certain que Zéleph n’abandonnerait pas des êtres lui donnant une leçon de vie si rude. Levant les yeux sur les escaliers, il était temps de réparé les marche avant que quelqu’un ne se tue une jambe à travers le plancher. Il se serrait sentit bien coupable de ne pas avoir fait ça avant, seulement à peine eut-il gagné les marches que les marmots revinrent a la charge passant autour de lui comme des tornades le bousculant. Ils étaient heureux et ne trouva rien à leur dire, ce fut Reine qui fâcher du bruit pendant la leçon de lecture au plus grand les réprimanda à l’embrasure d’une porte. Zéleph sourit simplement, ce concentrant sur les marches en très mauvaise état. Il était réellement homme à tout faire ici, mais ça ne le gêner pas, il préférait réparer des marches usé par le temps que d’être assit sur un trône a écouté les gens ce plaindre qu’il devait faire quelque chose pour eux. Il en avait déjà assez fait, mais il y en avait toujours un pour venir ce plaindre et c’était usant, alors autant ce rendre vraiment utile que de tenté de se donner raison face à des oreilles fermer à toute logique.

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Ven 01 Mar 2013, 23:44

Le rire les filles emplir la pièce, malgré le visage fixe et vide d’émotion de Yumi, tout le monde paraissait heureux, et Roxane chantonner en regardant la poupée offerte pour son anniversaire. Yuri s’amusant à lui trouver des noms horrible, pour embêter la petite Roxy, et peut être faire réagir sa sœur, sans succès. « Elle est vraiment belle. » Ondine ce pencha au-dessus de Yumi pour voir le visage en porcelaine du jouet qu’on présentait à la muette, mais cela ne changea pas grand-chose, si ce n’est qu’enfin, Yumi attrapa l’objet dans ses mains pour la regardé. « Je m’en veux vous savez. » Zéleph se tourna vers Jose qui fixer Yumi, la culpabilité figer sur son jeune visage. « J’étais en colère contre Ondine par ce qu’elle avait donné ce qui rester de notre argent des course a une vieille femme, c’était idiot, c’était un geste noble. On avait asse à manger et pas besoin de plus. Si je n’avais pas cherché Ondine, Yumi n’aurait pas était agresser par ce type. » Le réprouvé secoua la tête, reposant son attention sur les enfants regardant la poupée avec émerveillement. « Nous sommes toujours responsable de notre propre procès. » Jose fronça les sourcils levant les yeux vers le roi. « Je ne comprends pas. » Reine a coter sourit doucement. « Il veut dire que, ce n’est pas de ta faute, tu te reproche assez le malheur de Yumi alors que tu n’es pas responsable. Tu te punie Jose, pourtant tu l’à sauver. Sans toi, cet homme l’aurait emmené. Sans toi, Zéleph ne l’aurait pas retrouvé. » Jose leva brusquement les yeux. « Vous l’avez trouvez ? » Zéleph acquiesça simplement. « Vous l’avez tué ? » « Jose ! » Reine lui frappa l’épaule, le regard plein de remontrance. Le réprouvé baissa alors le regard sur eux, l’expression de son visage ne laissant rien paraitre de bon ou mauvais, simplement neutre et calme. « Il ne fera plus de mal. » C’était assez énigmatique pour que l’on devine, et qu’en même temps on ne soit pas sûr. En réalité il ce souvenait a peine de cette homme, un vieux pirate aux lubies dégoutante. Il devait encore pendre au bout de la corde que Zéleph avait accroché quelque part en ville, avec un écrit tendu à son cou "les enfants c’est sacré, les touché, c’est le regretté". Une bonne chose de faite celons lui. Jose le tira hors de la fête, hors de l’effervescence. Il le fixa très sérieusement, et le roi savait déjà ce qu’il aller lui demander. « Apprenez moi maintenant, je suis assez grand. » Croisant ses bras sur son torse, Zéleph refusa. « C’est hors de question. » « Mais vous aviez-dit que... ! » « Non ! On me là interdit. » Coupa-t-il catégorique. « Et vous allez obéir a ces vieille ? Vous êtes le roi des réprouvés et vous allez baisser le nez devant trois vieilles ?! » dit-il excédé, d’un air arrogant prenant presque de haut le réprouvé qui en fut passablement irrité. Il lui frappa alors la tête, juste assez fort pour que la douleur soit supportable. « Respecte la parole de tes ainé misérable larve ! N’oublie pas ce que je tes dit la dernière fois que tu as levé le museau. Je peux t’écraser sans peine Jose, ne me prend pas de haut, et ne manque jamais de respect à Mamy, Reine ou Lia, elles sont ta famille. Si elles ne veulent pas que je t’apprenne le maniement des sabres alors je ne le ferais pas. Je suis responsable de toi, comme tu es responsable de tes frères et sœurs, ne l’oublie pas. » Ce rebellant, fulminant de rage, le jeune homme aboya contre lui, ne pouvant tenir sa jeune envie de violence, de révolution. « Justement ! Si je ne sais pas me battre ! Si je ne suis pas assez fort, comment je peux les défendre ? Comment je peux leurs faire croire qu’ils sont en sécurité alors que je ne sais rien ?! » Zéleph soupira. Il comprenait a rage, il avait eu la même à son âge, cette sensation d‘impuissance, mais lui à quinze ans il avait déjà une arme et s’en servait, parfois d’une très mauvaise manière.

Le tirant dans une salle a part, loin des bruits et des enfants, le roi ferma la porte derrière lui et posa son regard sur le garçon. Jose était grand, blond, les yeux brun. Il paraissait robuste, bien qu’un peu maigre à cause du manque de nourriture, et bien trop fatiguer pour son âge. Il paraissait plus vieux que ses quinze ans apparents. Zéleph pouvait lui faire confiance, mais il était jeune et intrépide, et au milieu d’enfant si jeune le garçon pouvait vite ce faire dépasser, il le savait. C’était un bélua ce qui faisait de lui un garçon déjà bien capable, même si il ne c’était encore transformer que de rare fois. « Je ne te donnerait pas d’arme. » Zéleph était catégorique, Jose acquiesça simplement, à la fois exciter et anxieux, il voulait savoir ce qui se tramait dans la tête du roi, mais ce n’était pas bien compliquer. « Je ne t’en donnerais une que lors ce que tu la mériteras. » Il acquiesça à nouveau. « Le combat demande de la discipline, beaucoup de concentration, est-ce que tu t’en crois capable ? » « Oui. » « Tu vas devoir te plier à mes règles. » « Je sais. » « Ça prendra du temps, et se serra très dur. » « Je sais. » Ce grattant le menton, Zéleph fini par soupirer, voyant la profonde détermination du jeune homme il capitula. « Bien, c’est d’accord. En attendant tu viendras toujours me chercher au Circus, vous ne craignez rien tant que je suis là, ne chercher pas à vous défendre seuls, si il y a un problème envoi-moi plusieurs de tes frères. » « Oui, je sais. Mamy nous le dit tout le temps. » Le réprouvé le savait et en était soulager, mais il paraissait vital de toujours leurs rappeler, car si ils ne venaient pas à lui, il ne pouvait savoir si ils étaient en danger, bien que plus personne n’attaquer l’orphelinat depuis longtemps déjà. Depuis qu’il avait fait comprendre qu’il protéger personnellement cet endroit. Qui dans cette ville serrait assez fou pour imaginer pouvoir s’en sortir vivant en affrontant le seigneur des deux rives.

« Prend ton sabre. » Jose ne t’arda pas, il monta les escaliers, traversant la maison, il prit le sabre en bois posé sur son lit et redescendit, pour rejoindre Zéleph qui était déjà dans la petite court intérieur. Un espace médiocre, petit, enfermer entre quatre mur, mais au moins un endroit sauf pour que les plus petits puissent malgré tout jouer dehors sans être dans la rue, et donc potentiellement en danger. Ce positionnant face à lui, le jeune homme fixa celui qui serrait dorénavant son maitre d’arme. « Bien. » Zéleph détacha ses sabres de sa taille. Il avait toujours trois katana du coter gauche de la hanche. Jose l’observa les enlever, puis les poser délicatement contre le mur. Ils étaient magnifiques, leurs lames devait briller, étincelante. En prenant un entre ses mains, Zéleph le sortit de son fourreau et Jose ressentit l’excitation monté en lui, le souffle coupé devant la beauté et la pureté de la lame. C’était la première fois que le roi montré ses trésor et que le garçon voyait un sabre d’aussi près, et d’une tel qualité. Pourtant, le roi posa la lame, le rangent à nouveau dans son fourreau. Zéleph s’assit alors sur les quelque marches derrière lui, laissant l’enfant dans l’incompréhension la plus total. « On ne se battra pas aujourd’hui. Il va d’abord falloir que tu deviennes plus fort avant que je t’enseigne quoi que ce soit. Puis, je tes offert ce sabre il y a un an, et il a pas mal servit à ce que je vois, alors montre-moi ce que tu sais déjà, et nous improviseront. » Jose était dessus mais il ne dit rien, montrant docilement ce qu’il savait à Zéleph, humblement et un peut gêner de montré ses piètre compétence a un maitre du combat, reconnue par son talents et sa puissance sûr toute les terres du Yin et du Yang.

« Bien, nous avons fini. » Jose s’effondra par terre, le souffle couper, trempé de sueur, avec cette sensation d’épuisement tel qu’il penser que chacun de ses membres n’auraient plu jamais assez d’énergie pour le porté un jour. Zéleph l’avait torturé, martyrisé. Il avait dû faire des centaines d’exercice en une après-midi, il n’en pouvait plu. Crachant ses poumons, prêt à abandonner plusieurs fois, le roi l’avait menacé de ne pas continuer à lui enseigner si il n’arrêter pas de chouiné. Jose avait crue mourir, vomissant ses tripes. En réalité même si Zéleph avait un fond de tyran, il avait cherché à le pousser à bous, tester ses limites, voir où il pouvait aller et il était plutôt satisfait du résultat. Sur tout du faite que Jose persévérait, a plusieurs reprise il avait crue qu’il abandonnerait et il ne lui en aurait pas voulu, trouvant cela bien légitime, il n’aurait pas mis sa menace à exécution, trouvant qu’il en avait déjà assez fait. Jose ne recula pourtant pas, il avait fallu qu’il dise lui-même que s’en était fini, sinon il aurait très bien put le perdre, et dès le premier jour cela aurait fait de lui un piètre professeur. En rentrant, s’allumant une cigarette, il croisa Ondine, un verre de thé à la main. La regardant passer, il là vit dehors s’accroupir près du corps échoué de Jose. « Tien, bois ça, ça te fera du bien. » Le garçon ne bougea pas, posant son regard sur la jeune fille. Ne voulant pourtant pas paraitre faible face à elle, il trouva la force de se redresser, cachant une grimace de douleur, chacun de ses muscles devenant insupportable quand il tiré dessus. « Merci » dit-il, prenant le verre, qu’il ne put pourtant pas boire, le souffle bien trop couper, le ventre serré. Ondine prise d’une tendresse maternelle passa sa main dans les cheveux blonds, humide, de Jose, inquiète. « Il aurait pu te tuer. » Gonflant soudainement le torse, fière, Jose sourit. « Mais non… je vais bien. » Elle soupira voyant que ce n’était pas vrais, mais ne répondit rien.

Zéleph se retourna, quittant la scène pour croiser Damian, tenant la main du petit Shizuo. « On a tout regardé ! » « J’ai vue, oui ». En effet durant l’après-midi, les enfants étaient venus assister à l’épreuve de force du pauvre Jose qui s’en souviendra longtemps encore. Shizuo tendant les bras vers lui, Zéleph le prix d’un côté, puis Damian de l’autre avant d’aller dans la petite cuisine, les poser sur la table. Mamy était là. « Je dois rentrer chez moi, maintenant. » Elle ne dit rien, un peu contrarié qu’il est fini par dire oui à Jose. Les enfants quand a eu l’embrassèrent un à un avant qu’il ne parte. Dans l’embrasure de la porte Damian était encore là, lui souriant. « Dis, elle sera là Madame Zéleph la prochaine fois, hein dis papa ? » Le roi ne lui répondit pas, se contentent de lui ébouriffer les cheveux, avant de sortir, la tempête c’était calmé depuis un moment déjà et les enfants aux fenêtres lui faisaient signe avant que Reine inquiète que le vent se lève à nouveau ne les fasse rentré.

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Ven 01 Mar 2013, 23:44

Les rues était toujours humide ici. Il n’y avait jamais de grand soleil. Tout était sombre, la cité entouré que de ses rochés noire comme l’ébène. Oui, si ce n’était pas les gens, c’était leur environnement. La cité pirate portait bien son nom, caché loin du monde extérieur, remplit du mal des hommes, vivant par la souffrance et pour la souffrance. Personne ne pourrait jamais lui reprocher d’avoir créé le Circus Brothel ici, personne car au final le Circus était la représentation de l’essence même de Sceptelinost. On frappa à sa porte, signant son dernier papier il leva les yeux sur Adam qui entra un plateau à la main. « Tu sais frappé maintenant ? » Le sorcier ne releva pas posant la nourriture sur le coin de son bureau non sans piocher de ses doigts dans l’assiette avant de s’assoir sur le fauteuil en face. Ne disant toujours rien, Zéleph ce reconcentra sur les parchemins devant lui. Les comptes du Circus était bien compliquer, trop de chiffres, mais à voir la généreuse somme qui était leurs bénéfice, le souverain ce plaisait à s’en occuper. Etre riche ne l’intéresser pas, il avait bien assez d’argent pour lui pour les siècles à venir, mais savoir que le coffre du Circus était tout aussi remplit que le sien était grisant. Après tout il avait construit cet endroit avec presque rien refusant de mettre plus d’argent que nécessaire dans la réalisation de son caprice. Voir à quel point cela avait était rentable lui faisait du bien. C’était son hobby, son bébé, le monde qu’il c’était construit. Son empire. Ferment son livre de compte, le réprouvé leva les yeux vers Adam, mangent tranquillement sa pomme comme si tout était normal dans le faite qu’il squatte ainsi le bureau de son patron. « Elle est a-t-on gout ? » « Plutôt oui. » Zéleph souri amuser avant de se lever, rangent son livre dans un coffre cacher. « Moins que la fille qui viens te voir. » Il se retourna vers son ami, ne sachant pas où il voulait en venir. Légèrement contrarié qu’on vienne encore le déranger a une heure pareille. « Qui ? » D’un air désinvolte, Adam fixa sa pomme cherchant le coter où il aurait encore la plus grosse boucher, la plus juteuse. « Umh, une certaine Ondine… » Zéleph s’inquiéta, sentant la colère le prendre au cou devant le désintérêt du sorcier. « Et tu la fait attendre ? » Sortant précipitamment de la pièce, le mangeur regarda son patron quitter la pièce l’air passablement énervé, sans comprendre ce qui ce passer. Traversant le couloir pour se retrouver dans la salle central du Circus, il vit belle et bien Ondine, tenir contre elle un gamin, lui cachant la tête dans sa poitrine, l’œil effrayait de voir tant de corps nue ce trémousser autour d’elle, la fumer du tabac et l’odeur d’alcool agressant son corps pur de jeune fille. S’approchant d’elle, il la prit par les épaules pour l’emmener loin d‘ici. Elle parut surprise, voulant se défaire de lui avant de croiser son regard et ce rendre compte qu’il venait la sauver. La faisant rentré dans une chambre, heureusement vide et encore non souiller de la journée, Zéleph prit soin de fermer à clef derrière lui. En colère, mais sur tout inquiet il fixa Ondine sans comprendre ce qu’elle faisait ici, si loin de l’orphelinat, sans Jose. « Il c’est passer quelque chose ? Où est Jose ? » La rouquine secoua la tête, laissant le petit ce défaire de ses bras, ayant entendu la voix de Zéleph, il était rassuré, et ce mit tout de suite a tendre les bras. Le roi reconnue Shizuo, ce gamin le troublé toujours un peu de par son affection, son attirance pour lui, et son nom bien sûr. Le prenant, il soupira en sentant ses petit bras ce fermer autour de son large cou. « Il s’est enfuit sans qu’on ne le voit. Comme je l’ai trouvé près d’ici je ne voulais pas refaire le chemin… à cette heure si… » Elle eut un tremblement. La nuit était en effet déjà bien avancer et dans cette partie de la cité il ne valait mieux pas sortir sans prendre le risque de le regretter, qui plus est quand on est une femme, et encore plus une jeune fille de quinze ans.

Il comprenait, il n’était pas fâcher, bien que très contrarier qu’elle soit rentré ici à son âge. Il était certain qu’il devait revoir les entrés. Ses mercenaires laisser réellement tout le monde entré, ou ne faisaient sérieusement pas attention. « Je vais vous raccompagnez. » Ondine parut effrayait a cette idée, secouant vivement la tête avant de supplier, a vois basse, comme pour cacher son anxiété. « Vous n’êtes pas forcez. » Ne comprenant pas, Zéleph se leva ne voyant pas où était le problème, et de toute façons ils ne pouvaient pas rester ici, c’était impossible. Seulement dans son mouvement, il sentit son manteau être tiré et il se retourna vers la jeune fille. « S’il te plait. » Cette fois le réprouvé ne pouvait pas ce dérobé, il voyait bien que ça n’aller pas, mais il aurait voulu passer à autre chose, il aurait voulu dormir lui aussi, retourné chez lui. Le voyage était long et il ne se permettait plu de dormir au Circus, Mitsuko trouverait bien le moyen de le lui reprocher un jour. Reprenant place sur le lit, à coter d’ondine, il tenait toujours contre lui le gamin, qui paraissait apaiser, presque endormit, le nez enfouit dans son torse, les mains lâche sur le colle de son manteau. Posant son regard sur la sirène, le réprouvé parut attendre qu’elle se dévoile, et elle le comprit bien fixant ses mains. « J’aimerai rester avec toi. » Le réprouvé ne répondit rien à ça, il savait que ces gosses derrières leurs sourire et leurs joie apparente étaient déchiré de par leurs vie complétement détruite. De son bras libre il la prit contre lui, l’entourant de cette force qui paraissait les rassuré, les faire ce sentir en sécurité. Ce lovant contre cet homme qu’elle aurait voulu être son père adoptif, elle souffla tristement. « Je sais que c’est impossible pour vous. Cette vie ici. Vous êtes loin d’être un homme fait pour être père, votre style de vie, votre travaille… je voulais juste… » Elle renifla brouillement contre lui, essuyant ses yeux d’une main lasse, légèrement tremblante sous l’émotion. « Je voulais juste vous voir, encore. » Zéleph déposa un baiser dans ses cheveux noué. Il l’avait su dès le début, la fuite de Shizuo n’était qu’un prétexte, la vérité devait être qu’elle l’avait pris avec elle pour venir ici. Ondine n’obéissait pas aux restrictions d’éloignement. Elle passait son temps à ce dérobé et visité la ville, c’était bien pour cela que Jose voulait savoir ce battre, pour le jour où il devrait la sauver et que Zéleph serrait trop loin pour le faire lui-même.

« Il est tard tu sais. » le temps c’était écouler, Ondine calmer, Shizuo dormait à point fermer l’air heureux, et lui n’avait pas bougé gardant ces orphelins contre luis ans rien dire, toujours plonger dans un profond silence, peut-être plus percutant que les mots. Il était là pour eux, c’était le plus qu’il pouvait faire, il était là et le serrait toujours, il l’avait promis. Peut-être trouverait-il un moyen un jour pour l’être plus encore, pour qu’ils ne craignent plu de le voir disparaitre. Quoi qu’il en soit en attendant l’orphelinat allé être restauré, il le ferait lui-même puisque les gérantes ne voulaient d’aucun autre homme dans la bâtisse. Cela prendrait du temps, mais il le ferait, même si il devait prendre du temps sur son travail que ce soit sur son règne de sa race ou celle de son empire. « On peut dormir ici ? S’il vous plait. » Levant les yeux vers lui, il croisa son regard et ne sut comment dire non. Elle aller ce faire punir pour avoir fui, il devrait appuyer ses mensonges et n’apprécier pas le faire, respectant bien trop l’autorité et l’inquiétude des trois vieilles femmes prenant soins d’eux. « Il faut que je rentre chez moi. » Ce justifia-t-il, mais ne voulant pas entendre raison, la demoiselle serra un peu plus le roi contre elle. Ne se battant plu, elle se laissa faire quand il se leva. Sortant de la chambre, Zéleph tomba nez à nez avec Adam qui le chercher par tout depuis un moment déjà. D’abord surprit de le voir avec une fille, et un enfant dans les bras, il ne put rien dire, laissant le roi partir, traversant le Circus pour sortir dans la rue et prendre le chemin de l’orphelinat, Ondine sous le bras. C’était amusant de voir les rats s’écarté de leurs chemins, oppresser par l’aura du réprouvé, effrayait par son écrasante prestance. Sans lui ondine ce serait déjà faire dévoré, Shizuo enlever. En plein milieux de la nuit, il valait mieux savoir où aller et savoir ce battre pour sortir dans cette ville, sans craindre que le pire arrive. La vermine gouverné dans le noire, c’était bien cela qui inquiéter le plus Zéleph, sur la sécurité des enfants. Rentrant enfin dans le bâtiment, ce fut Reine qui ouvrit. Ondine prit le petit dans ses bras et s’enfuit, baissant les yeux devant le regard réprobateur mais soulager de la veille femme. Dans l’embrasure de la porte, elle soupira en regardant le roi. « Merci de les avoir ramené. Ne lui en voulez pas, je vous en prie. » C’était amusant quelque part, car il aller lui dire la même chose, mais il se contenta de sourire puisque apparemment tout était compris. La saluant simplement d’un coup de tête, il se refusa à entré ne voulant pas réveiller les enfants et les excités une fois de plus. La porte ce ferma derrière lui et il repartit calmement vers le Circus, pourtant il n’entra pas dans l’organisation, regardant le porche plus qu’explicite sur ce qui attendait le spectateur dans cette étrange cabaret. « C’est une fille de l’orphelinat ? » Le réprouvé ne baissa pas les yeux sur Adam qui le rejoignait, acquiesçant simplement. « Le garçon aussi. » continua le sorcier, plus pour lui que pour savoir. « C’est son fils n’est-ce pas… » Le ton désoler de son ami, fit soupiré le roi qui ferma les yeux sous ce fait qu’il connaissait depuis longtemps, mais ne voulait admettre. Ondine n’avait pas quinze ans et avait déjà un fils de six ans, cela laissé imaginer la vie qu’elle avait eu. « Il s’appelle Shizuoka... Shizuo. » Adam le regarda étrangement, le monde était étrange, on ne pouvait pas dire le contraire. Etant un des rares hommes à savoir qui était Zéleph, il ne dit rien, comprenant l’attachement certain du réprouvé pour ces âmes perdu. « Tu te souviens de notre rencontre ? » Fixant le porche à son tour le sorcier ricana. « Un garde te poursuivait pour avoir volé le sac d’une pauvre femme. » Le réprouvé souri. « Et tu à sauter d’un toit sur ses épaules pour le faire tomber. » « Tu étais un piètre voleur. » « Et toi piètre menteur, quand ils nous as attrapé tu a dit quoi déjà ? » « Que je réparé les tuiles pour cette dame qui avait refusé de nous payer. » Zéleph se mit à rire ce souvenant de la raclé qu’ils avaient pris ce jour-là. « Nous avions treize ans, qui nous auraient crue ? » Le réprouvé souri, calmant son rire en baissant les yeux sur le sorcier. « Tu as était ma première famille. » Adam souri lui aussi à ce vieux souvenir. « Il ne reste que nous, les autres sont morts. » finit-il tristement, perdu dans ses penser. Zéleph sortit son tabac pour ce rouler une cigarette, la mélancolie le submergent. « Je pense qu'ils auraient aimé ce temple du crime, Aïnis aurait adoré danser en petite tenu. Ça ne l’aurait pas beaucoup changé de ses diversions foireuses. » Il se mit à rire au souvenir de la demoiselle, n’ayant pas froid aux yeux, elle avait toujours su comment détourné l’attention des gardes et des petits bourgeois. « Zéphyr et Hermès auraient aimé voir le vin coulé à flot. » « Zéphyr aurait perdu tout son argent aux jeux. » « Et Hermès dans les femmes. » Ils se mirent a rirent seuls au milieu de la rue vide de toute passage, bisant le froid glacial de la nuit. Il était peu probable qu’ils retrouvent encore ce calme ensemble. Oui, ils étaient de vieux amis, mais si eux avaient survécu aux temps où a la prison, les autres c’étaient laisser sombré et avait quitté ce monde.

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Ven 01 Mar 2013, 23:45

« Te souvient tu de ce que nous a dit Aïnis lors ce que nous nous somme quitté ? Où que nous soyons nous seront toujours ensemble. » « Par ce que nous somme une famille. » Fini-t-il pour le sorcier. Baisant les yeux sur sa cigarette, il en retira la cendre d’un coup sec avant de reprendre une longue bouffé, revoyant très bien le sourire de son amie ce jour-là. « C’est pour ça que j’ai accepté ce jour-là. Quand tu m’as proposé de me joindre à toi. Par ce que cette endroit c’est nous. » Adam sourit bercer par la nostalgie d’un temps qui paraissait oublier, trop ancien. Zéleph soupira et enfouit ses mains dans son pantalon, ne réagissant pas à la brise gelé venant s’engouffré dans son manteau largement ouvert sur son torse éternellement nue, comme si soudain, il avait perdu toute sensation. « Par fois j’imagine ce qu’aurait était notre vie avec eux. Zéphyr perpétuellement sou, vissé au bar, Hermès courant après toutes les filles de la maison amoureux de chacune d’elle, et Aïnis ce faisant séduire sans cesse et se plaignant du cœur trop bas des hommes. » « Elle aimer ça. Ce faire désirer en faisant mine qu’elle trouvé ça dégoutant. S’offusquant du moindre mot, du moindre regard. » Adam acquiesça vivement en riant légèrement. « Ma sœur avait toujours espoire que Zéphyr lève le nez de son verre et la regarde. » « Si il buvait c’était à cause d’elle. » « Ou de toi. » Le sorcier lui donna un coup de coude n’étant pas dupe du fait que le réprouvé avait bien du aidé quelque fois ce pauvre déchu dans sa chute. Le calme retomba. Les deux hommes toujours figer devant le Circus vidé à présent de toute sa clientèle, le jour aller ce levé, oui l’aube ne devait plus être loin. Mitsuko ne devait plu l’attendre, l’avait-elle fait un jour ? Il rentrerait quand même, il n’avait rien à prouver, mais refuser de vivre à nouveau au Circus. Ça lui faisait du mal de vivre là, lui rappelant sa déchéance. « Ah regarde-nous ! Pas encore de cheveux blancs des siècles de vie devant nous et voilà que nous sommes déjà nostalgique d’une vie passer ?. » Adam chercher toujours à sourire, mais ni arriver plu. Aïnis étaient sa sœur et quand elle avait disparu cela avait tué une part de lui. « Je ne peux pourtant m’empêcher d’y penser. » Le réprouvé baissa la tête, prenant une dernière bouffée de son tabac il laissa tomber le mégot, puis l’écrasa avec lassitude. Il comprenait le mal d’Adam, lui aussi soufrait de cette absence, il y aurait toujours un vide en lui, quoi qu’il arrive. « Hermès t’aurait botté le cul. » Ce redressant pour regarder Zéleph, surprit, Adam ne comprit pas. Le roi posa alors son regard sur lui et ricana. « Ne pleure dont pas les femmes, elle ne son faite que pour notre bonheurs. » cita-t-il de leur vieille ami. Un coureur de jupon qui n’avait aucun respect pour les femmes qu’il désirait. Un beau salop, il fallait l’avoué, mais un bon vivant, au moins il avait toujours su où il aller. « Il n’a pas dû l’emporté au paradis celui-là. Sais-tu comment il est mort ? » « A force de pincé des fesses, il a bien dû en trouvé une qui n'a pas apprécier. » « Oh c’est pratiquement ça, à une époque il avait presque un harem le bougre, mais elles ont fini par l’assassiné dans son sommeil. » Zéleph secoua la tête comme désespéré. « Les femmes sont vraiment sans scrupule. » Le sorcier éclata d’un rire franc, si fort qu’il résonna dans toute la rue et réveilla quelque clochard. Le réprouvé souri ce moquant gentiment du fou rire de son ami, avant de retomber dans ses pensé, maussade. « Et Zéphyr. Il a fini par ce faire éclater le foie et la rate a force de tanguer sur son navire. Il est passé par-dessus bord et a coulé au fond des océans. » Le sorcier soupira tristement, le déchu, marin dans l’âme avait tout perdu à cause de son amour sans borne pour le rhum. « Une semaine plus tard, Aïnis disparut. Je pense qu’elle ne l’a pas supporté… »

C’était triste à dire, triste comme vie, triste comme fin. « Nous avons étaient heureux le temps d’être ensemble. » assura Zéleph, ce qui fit doucement hausser les épaules du sorciers qui oublier l’importance de ces années, trouvant dommage de ne pas avoir cherché à les revoir, attendant juste que le temps face les choses. « Nous étions cinq, nous voilà deux. » Le temps était passé, la vie avait coulé, ce retourné vers le passer n’était ni bon, ni mauvais, mais si cela devait les rendre triste le réprouvé préfère ne plus y penser. Soudain il sentit la main de son ami dans son dos, le tapé amicalement. « Regarde toi majesté, tu es marié et tu te soucie plus que de raison de mômes voué à cette même vie de paria. » ce moqua-t-il. « Nous n’avons plus rien des enfants que nous étions autre fois. Tu es moins lunatique aujourd’hui et tu parais plus généreux qu’avant. » « La vie ma enseigné la bonté, n'est-ce pas? » demanda-t-il avec dérision. « Trop peu de bonheur, pour trop de souffrance. Je comprends l’énergie que tu donnes à ces bambins. Cela me rappelle juste notre vie de gosses. C’était bien… » Zéleph acquiesça simplement. « Oui, sur tous cellules. » Adam ce remit a rire de bon cœur, ce souvenant en effet de toute ces fois où ils avaient était envoyé au bagne pour avoir dupé ou volé de pauvres gens, mais à force ils s’y étaient fait et avaient toujours trouvé comment s’en échapper. A un certain âge rien ne parait pouvoir nous arrêter. Le sentiment d’être invincible faisant vibrer le sang dans les tempes sous l’excitation du moment. Ça avait était une vrais aventure, malheureusement Zéleph savait qu’entre sa vie et celle des orphelins d’ici, le monde avait changé. Ici il n’y avait rien pour eux, que de la peur et de l’ombre.

« Je dois y aller. » Aux premières lueurs du jour, il finit enfin par ce décidé qu’il était temps d’aller là-bas, dans les terres, au manoir. Il retrouverait son lit, ses draps propre changer chaque jour, un luxe qu’il n’avait jamais compris, mais qu’il ne juger pas. Adam s’occuperait du Circus pour le jour, lui devait penser à aller à Stenfek, s’occuper un peu de son peuple qui avait aussi besoin de lui. Trop de gens le demandé, trop de gens dépendait de sa volonté, et lui bien que solide paraissait ne pas savoir comment tout cela était arriver. « Embrasse ta femme pour moi. » railla Adam, qui se prit un coup dans les côtes, ce pliant sous la douleur vive qui le prit, ne trouvant plu ça drôle du tour. Non Zéleph ne riait pas quand on parlait de Mitsuko, c’était un sujet sensible, sur tout pour Adam qui lui avait fait bien trop de problèmes trop souvent a sen sujet, ne lui rendant jamais la tâche facile pour ce faire pardonner ou s’expliqué. « Voilà son baisé. » Le sorcier sourit malgré son souffle coupé admettant que tous les mots sanglant de la déesse aurait bien ressemblé à ça. Ce soignant pour faire passer la douleur, il finit par se redresser jetant un regard toujours plein de défie au roi. « Tu sais, je me demande vraiment ce qu’elle te trouve. » Cherchait-il réellement les coups ou juste à l’agacer ? Levant les sourcils le réprouvé le laissa continuer dans sa lancer. « C’est que tu sais … mascotte manque aux filles… » Chantonna-t-il simplement en le narguant. Zéleph se souvint alors et sentit la colère l’envahir, lui aussi ? Il l’avait donc vue sur ce foutu piano, nue comme à son premier jour ? Ca le rendait malade, sa femme dans sa fantaisie ne se rendait pas compte de la folie qu’elle engendrait autour d’elle, et de la fureur qu’elle déclencher chez lui. Prenant son ami par le col de ses vêtements, il le secoua, alors que celui-ci paraissait hilare devant sa rage. « Oublie ! » « Ah non ! Pas question! Tu es égoïste Zéleph, un peu de nue n’a jamais tué personne. Et puis regarde, toi tu te promènes moitié nue tout le jour et la nuit, alors s‘est bien légitime qu’elle laisse entrevoir ses atouts. » Justifiât-il dans une forme d’exemplaire logique. « Dommage pour toi elle n’à pas l’air d’avoir compris la subtilité des règles. » renchérit-il un grand sourire sur le visage, ce qui lui valut pour seule réponse, le poing de Zéleph sur le nez. Par terre, la sensation d’avoir perdu un œil, le sorcier rit malgré tout. Il était ainsi, il adoré pousser à bout les autres, ce moquer, cherchant chicane au premier venu, mais avec le réprouvé c’était si simple, ça aller si vite que ça en était presque plus drôle car cela devenait un challenge d’arriver à finir ses phrases sans déjà cracher ses poumons. Lui jetant un regard dédaigneux, le roi ce détourna du sorcier et ce dirigea vers les quais. Pourtant, bien que saignant abondamment du nez, Adam l’interpela encore. « Tu n’as jamais su partager mon frère. » « Et toi te taire. » C’était bien vrais et il ne releva pas laissant son patron, son ami, son roi le quitter et partir alors que déjà là cité commencer à s’éveiller à nouveau. Voilà le temps de commencer a préparé le Circus pour une nouvelle journée de vices. Chaque jours ce ressemblé et était pourtant diffèrent ici, la vie, la vrais ce résumé a cela pour eux : le sexe, le sang, l’ivresse et le jeu. Dans les rires et l’ombre. C’était une étrange vie mais au moins ils se sentaient vivant. Etait-ce pour ce repentir de sa vie d’assassin que Zéleph perdait son temps à s’occuper d’enfants ? Non, Adam savait que le réprouvé n’avait aucun regret sur les cadavres qu’il avait semé dans sa vie. Il était simplement trop généreux, paradoxalement à son éternel égoïsme, il ne pouvait s’empêcher de dire oui, et de donner tout de lui aux autres quittes a ce faire vidé, dépouiller. Une fois pris au piège, une fois attendrie par un mal, le réprouvé s’enlisait dans ses dons de lui. Il refuser qu’on s’accroche à lui, restait distant, mais son cœur était trop grand malgré tout le mal qu’il en disait, malgré le fait qu’il le pensait éteint, face aux yeux d’un enfant, il était bien peu de chose cette homme. Zéleph prie son envole pour l’intérieur du continent, pour gagner le manoir où il vivait depuis assez de temps pour oublier qu’il n’était pas chez lui. Au moins là-bas, personne n’osé venir le déranger, comme si une fois à l’intérieur de ces murs il devenait intouchable. C’était une bonne chose. Ou peut-être pas, mais ça l’empêcher de penser et ça, ça le sauvé. Par ce que quand il y réfléchissait, il revoyait toujours le visage de ces chérubins, qui pauvres diables, étaient si maigres, que même de face ils avaient toujours l’air de profile, et ça lui tordait le cœur.

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[Quête S] Le don de la déesse.

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