« Peut-être est-ce ce que je souhaite au fond? »

Zéleph posa son regard sur elle. Elle se tourna vers lui. Vraiment ? Ils étaient si proche. Jamais si proche peut être. La main fine de la déesse sur sa joue rugueuse. Elle ne pourrait l’empêcher de garder ce sourire triomphant qui trôné sur son visage. Elle ne comprenait pas ? Elle avait déjà perdu. Il ferma les yeux. La victoire était délicieuse. Son corps contre le sien, la sensation particulière de sa serviette sur son torse. Tu n’as pas idée.

« Ou alors est ce toi qui le souhaite? Hum? »

Non vraiment pas. Il laissa ses bras ce placer sur les bord du bain, dans une total décontraction.

« Tu es mon plus grand fantasme, tu le sais bien. » susurrât-il doucement.

Cette situation. Ce moment. Elle repousser toujours les frontière plu loin, elle n’avait aucun contrôle sur lui et il adoré ça. Les yeux clos il apprécia la torture de Mitsuko à sa juste valeur. Elle devrait arrêter avec ses cheveux, c’était dangereux.

« A force de jouer, tu vas finir par te brûler tu sais... »

Et toi, mon cœur, tu risques de perdre… Un sourire. La bouche de la dame ce colla a son oreille et il ne cacha pas le frisson qui le parcourra.

« Merci pour ce massage exquis... »

Un léger grognement. Ce fut sa seul réaction lors ce qu’il sentit les dents de Mitsuko attraper son lobe avec délicatesse. Aguicheuse. Elle ce recula. Il rouvrit les yeux. Elle était sortie de l’eau et il ne bougea pas. La regardant comme un homme pouvait regarder un spectacle érotique. Face à lui, il l’écouta attentivement, n’ayant pas grand-chose d’autre à faire que ce soumettre à ses mots.

« Très bien, je vais m'occuper de résoudre ce léger problème. Cependant, tu vas venir avec moi, et tu vas aussi me prêter des vêtements parce que je doute que rendre justice avec un kimono en soie soit très recommandé. En plus, ça nous fera une petite balade puisque visiblement, les bains font tourner la tête au très grand et puissant roi des réprouvés et maître de ces lieux... »

Sans réaction. Il sortit de l’eau, attrapant au passage une serviette pour ce séchez les cheveux bien trop humide à cause de la vapeur ambiante. Passant à coter de la déesse, l’ignorant royalement, il frappa à la porte. Elle s’ouvrit sur la même jeune femme qui les avait servis la première fois, tout aussi rouge et tétaniser. Calme toi je ne vais pas te manger.

« Madame voudrait des vêtements, propre, si possible. »

La serveuse ce plia à sa demande et partit dans un « tout de suite » timidement dit. Zéleph ferma la porte ce tournant vers Mitsuko. Il avait envie de rire, mais il ce retint. Elle aller surement être furieuse, mais c’était elle qui l’avait voulu.

« Je t’attends à l’entré… beauté. » souffla-t-il.

Il se moquer, toujours, à chaque seconde, d’elle, et elle aller vite comprendre pourquoi. Sortant à son tour il traversa les bains sans faire attention aux multiples regards. Il se changea dans sa chambre. Avant d’aller attendre Mitsuko a l’entré. Les seuls vêtements qu’ils avaient ici étaient pour les prostituer. Des tenu très osé, voir trop osé pour avoir assez d’assurance et de confiance en soit pour sortir dans la rue avec. Lors ce que Mitsuko verrait l’ensemble érotique elle le maudirait surement et il en était ravi. Allumant une cigarette il s’adossa a un pilier du bâtiment, saluant vaguement les gens qui entré par là.

Les bras croisé dans son kimono, trop lâche. Une cigarette coincée entre ses lèvres pincées. Il ne l’entendit même pas arriver. Sa cigarette lui fut enlevée. Posant son regard sur la voleuse.

« Je suis trop chère pour toi malheureusement... »

Zéleph leva un sourcil, laissant son regard descendre sur le corps déguiser de la femme. Il n’était pas surprit que sa lui aye si bien. Mitsuko en prostituer. Il n’aurait jamais rien pu rêver de mieux. Les visiteurs non plu d’ailleurs vue les sifflements et les regards.

« Si tu le dit… chaton. » murmurât-il.

Il lui fit son plus beau sourire. Ça te plairais trop.C’était grisent. Elle pourrait faire la fière autant de temps qu’elle le voudrait, pour le moment il avait l’avantage. Mitsuko ce mit en marche et il la laissa prendre de l’avance ce délectant de la vue imprenable que donner le cuir sur ses reins. Dans son sourire il croisa le regard moqueur d’Adam qui tenait la salle. Il n’imaginer même pas comme il s’amuser. Sortant à son tour il vit la déesse monter son compagnon et il passa à coter d’elle, simplement.

« Tu n’auras pas besoin de ça, mon petit chat. »

Te ton sérieux qu’il employa contrasté totalement avec ses moqueries. Il tendit la main comme pour l’aider à descendre, mais ce ravisa au dernier moment, montrant en réalité la cité des pirates qui s’étendait devant eux.

« C’est ici. »

Tu ne le regrettera pas. Il se mit en marche avec un air si calme, qu’il était impossible de savoir quel sentiment de plaisir il ressentait. Elle aller devoir traverser la ville la plus peuplé de crapules et d’homme en chaleurs de ces terres dans une tenue qu’il aurait qualifié de : affriolante, pour être gentil. Ou peut être que si … Mitsuko attiré tous les chiens en chaleurs de Sceptelinôst. Si il n’avait pas était là, certain aurait déjà pris le risque de l’attaquer. Bien qu’il n’ait aucun doute quant à l’auto défense de la déesse, eux ne le savait pas. Elle n’était qu’un vulgaire bout de viande à leurs yeux. Un sacré bout de viande, certes. Un beau gigot, bien juteux. Zéleph ricana dans sa barbe avant d’arriver enfin devant la petite ruelle qui l’intéresser. Il était temps de dissipé la foule. Ce retournant le roi des réprouvés fit comprendre qu’il valait mieux partir avant qu’ils ne finissent par l’énerver avec leurs phrases passer d’usage et insultante, bien que pour le dernier cas, il s'en fichait pas mal.

« Oh aller Zéleph, partage un peu ! »
« De la viande fraiche ! De la viande fraiche ! »
« Dégagez ! » sifflat-il.

Ni une, ni deux. Les pauvres hommes maudire le roi qui se retourna vers Mitsuko sans faire aucune référence à ce qui venait de se passer. Elle avait bien remplit son rôle. Frustré ces hommes aller tous venir chez lui. Une magnifique pancarte a publicité. Bon petit chat. Il s’avança dans l’allée si peut éclairer.

« Les hommes que tu cherches son tapis dans une sorte de grotte au fond de cette ruelle. »

Ces idiots avaient le culot de vivre dans la même cité que lui et de ne même pas s’enfuir après avoir massacré une femme et des gosses. Le genre de chose qui faisait bouillir le sang de Zéleph. A ce moment pourtant il n’était pas en colère. Il savait que cela serrait du passer dans à peine quelque minutes. Il alluma une nouvelle cigarette, fallait-il encore qu’elle sache où ce cacher son paquet pour le stopper un jour, il la fixa.

« Donne leur une bonne correction, vilaine. »

Il donna un coup de dents tel un félin, amusé. Une vrais justicière. Dans un autre monde on aurait très bien pu la confondre avec une célèbre héroïne, mais ici elle ne ressembler cas un drag queen.

Une goutte tomba au sol. Le regard sombre. Il suivit la silhouette qui disparut dans les ténèbres. C’est qu’elle mort en plus. Mieux que l’alcool, la drogue, le sexe, l’excitation de voir dans les yeux de Mitsuko qu’il l’avait vaincu. Elle avait fini par succombé, incapable de cacher son vrai visage. Un démon, un monstre, une femme. Son petit monologue l’avait prouvé. Affaiblit elle avait besoin de le remettre a sa place pour se rendre un peu d’honneur. Suis-je si méchant ? Il rit tirant sur sa cigarette. Oui, il était un très vilain petit garçon qui faisait des bêtises pour attirer l’attention sur lui. Si elle savait comme il n’avait pas peur d’elle. Zéleph avait un petit côté suicidaire non négligeable. Il prit ses aises contre un mur, fumant calmement, en attendant que la déesse ne daigne revenir. Il ne voulait pas savoir ce qu’elle faisait. Après tout s’il l’avait envoyé, elle, c’était bien pour ne pas se salir. Le seul sang qu’il aurait sur lui ce soir ce serait le sien. D’ailleurs il referma les marques qu’il avait à présent sur la joue. Tout cela sonné comme un déjà-vu. Vampire, Ombre ou déesse elle ne changerait jamais qu’elle joue ou non, pour lui elle garderait a jamais la même image. Traitraisse. Des bruits de pas précipité résonnèrent soudain dans la rue. Levant les yeux le réprouvé tomba sur un homme qui s’étala lamentablement. Elle a osé. Le pauvre individu était couvert de sang. Visiblement pas le sien. Il leva un regard terrifié. Ses yeux sortait presque de son crâne.

« Zé… Zéleph ?! »

A ton avis, abrutie.

« J’ai rien fait ! Je te jure, c’est pas … c’est pas moi ! »

Est-ce qu’elle trouvait qu’il ne faisait pas assez de sport pour lui envoyer un petit cadeau ? Il était impossible qu’elle est raté son coup, qu’un d’eux ait pu fuir. L’attrapant par le col de ses vêtement pour le soulever, celui-ci s’accrocha a son bras tremblant de tout son être. Il va ce mettre à chialer.

« NON ! Non je t’en prie attend ! Mi… Mitsuko elle m’a dit un truc pour toi ! »

Elle ce serre de cochons pour envoyer ses messages maintenant ? Le secouant un peu pour le faire parler car il avait l’aire de faire une crise cardiaque, Zéleph s’impatienta.

« Elle a dit que tu devrais lui apporté de quoi s’habiller pour te faire pardo... pardonner. »

Mitsuko était une femme très mauvaise, elle avait mentit a cette homme, car sous la colère le seigneur des deux rire serra trop fort le coup de cette homme. Raaah saleté de femme ! Il ce brisa sous ses doigts comme celui d’un bébé. Lâchant le corps inerte qui n’était qu’autre qu’un poids mort a présent, Zéleph écrasa la fin de sa cigarette puis ce dirigea vers le fond de la ruelle. Entrant dans le carnage, le regard du réprouvé ce posa un peu partout. A peine surprit par ce qu’il voyait.

« Hum, tu aurais pu faire le ménage. »

Il était complétement décontracter ce qui n’aller pas franchement avec la situation. Son regard se posa à peine sur la déesse. Le boulot était fait, c’était tout ce qu’il lui avait demandé, il avait assez perdu de temps comme ça. Retirant son manteau il le jeta sur la jeune femme, sans plus de cérémonie. Est-ce qu’elle en mérité de toute façon ? Œil pour œil, dent pour dent. Elle avait commencé la première, il ne s’arrêterait jamais.

« Tien. » souffla-t-il, dédaigneux.

Sans attendre il sortit. Il la traitait comme ce qu’elle était pour lui, une femme fausse qui n’avait pour seul intérêt que sa divinité. Il fallait quand même avoir un sacré orgueil et bien mal placer pour avoir le désir de devenir un dieu. Son regard se posa sur le corps qu’il avait laissé dans la rue. Il était nu. Il avait déjà était piller. Cette ville était vraiment le pire endroit qu’on puisse trouver. Il sourit. C’était chez lui. Il entendit des bruits derrière lui.

« S’ayez, madame c’est décidé ? »

C’est pas trop tôt. Il se retourna et la regarda avec un sourire en coin. Son manteau était un peu trop grand peut être, mais cela lui donner un genre non négligeable.

C’était comme un coup dans le ventre. Quelque chose qui lui coupa le souffle. Une souffrance de plus. Une traitrise. Shizuo … Ce nom était une douleurs atroce. Il baissa les yeux pour la première fois depuis trop longtemps. Mitsuko n’aurait jamais pu lui faire plus mal cas cette instant. La vérité, c’était qu’il l’admiré, qu’il l’apprécier bien plus qu’il ne pouvait se l’avouer. Seulement il était impossible de le montré. S’attacher à une personne c’était risquer de la perdre. Il ne voulait pas vivre ça une autre fois. S’il souffrait encore à ce point il ne résisterait pas. Personne ne pourrait résister à ça. Serrant les poings, il ferma les yeux. Elle n’avait pas le droit de se servir de sa mère. Tu ne pourras jamais comprendre. Sa mère était l’être le plus pur qu’il n’est jamais croiser. Un ange au plus profond d’elle-même. Il avait un respect inépuisable en vers elle. Ce qu’il n’avait jamais eu pour aucune autre femme. Mitsuko paraissait s’excuser, et il eut envie de la croire, mais c’était impossible. Elle lui avait avoué d’elle-même qu’elle aimer tromper les gens. Revêtir l’aspect d’un ange pour jouer avec ses proies. C’est toi qui l’as chercher. Était-ce une raison ?

« Et maintenant que je ne contrôle plus rien, je ne suis plus qu'une femme qui trouve ce que tu lui as infligé tout à l'heure humiliant. Alors penses être dans tes droits si tu veux, penses que tu as gagné... Mais au final, tu gagnes quoi hormis la certitude que tu resteras seul et que tes sentiments seront préservés, que tu seras préservé d'une probable souffrance ? »

Je n’ai pas le choix. Il se sentait comme un enfant réprimandé pour avoir fait une bêtise et ce n’était franchement pas le genre de situation qu’il apprécier. Aucun argument ne lui vin à l’esprit pour se défendre, ou même ce persuadé qu’elle avait tort. Levant les yeux il fixa son dos. C’était comme ce faire piétiné par un cheval. Une douleur humiliante.

« J'ai vécu ainsi toute ma vie, et tu finiras comme moi si tu continues. Enfin, fais ce que tu veux. Je n'aurai jamais dû croire un seul instant pouvoir avoir une place honorable dans ton cœur. J'aurai dû choisir Emile, les choses n'auraient pas tourné ainsi. »

Insulte suprême. Il ne put la retenir lors ce qu’elle le quitta. M*rde Le coup partit tout seul. Dans le mur. Il n’u aucune douleur et pourtant c’était ce qu’il aurait voulu. Il avait bien su qu’un jour tout ça lui retomberait dessus. Douche froide. C’est injuste. ce n’était pas lui le méchant et pourtant il en avait tous les aspects. C’était cette vie de chien. Cette vie que le destin s’acharné a déchiré. Sa le tué de savoir au fond de lui que Mitsuko avait raison. Il n’avait pas voulu ça, jamais, il ne le contrôler pas. C’était sa carapace, son mur de protection. La seule barrière entre lui et le monde extérieur. Ca l’es aussi pour elle. Marchant. Il prit le chemin du retour. Ce fut dans plonger dans ses pensées qu’il la vit. Recroqueviller. Seule. On aurait dit une petite fille. Alors je l’ai vraiment blesser ? Il réalisa à quel point il avait était con. Trop tard. Ce qui était fait, était fait, on ne pouvait jamais revenir sur le passer. Il le savait bien trop. Pourtant il prit le plus grand des courages dont il n’avait jamais fait preuve, pour aller s’assoir à côté d’elle. Je suis désoler. Incapable, voilà ce qu’il était. Sous ses grands airs, il n’était qu’un gamin en manque d’affection. Elle avait raison, elle avait toujours eu raison. Il était perdu depuis que sa mère lui avait lâché la main et lors ce qu’il avait retrouvé une main capable de l’aimer malgré ce qu’il était, il avait à nouveau tout perdu.

« Je suis … désoler. » murmura-t-il.

Pour tout, ça. Ca propre vie, les gens qui compté sur lui, ceux qui étaient mort par sa faute, ceux qui était mort par ce qu’ils avaient eu l’idée absurde de l’aimer… pour elle. Peut-être qu’il c’était tromper. Malgré tout il ne put faire disparaitre ce doute au fond de lui. Jouait-elle encore ? Non, elle avait l’air si fragile. Impossible. Regardant ses mains posées sur ses jambes il avait du mal à trouver ses mots. Jamais il n’avait fait cela. Non jamais. Etait-ce Shizuo ou Zéleph qui était ici à présent ? Lui-même était perdu entre deux vies, entre deux mondes, mais aucun n’était réellement le sien.

« J’ai peur. Peur de l’emprise que tu peux avoir sur moi. Peur de l’emprise que toutes les femmes pourraient avoir sur moi. L’impression que dès que je me rapproche d’une personne, quelque chose ou quelqu’un s’amuse à me le retiré. Je ne suis pas superficiel, j’ai pourtant la sensation que si je laisse quelqu’un m’aimer il lui arrivera quelque chose. Ca a toujours était ainsi … »

Toujours … Il ne parlait pas spécialement d’elle. Il parlait de tout le monde. Il préférait la colère et la haine pour délivrer ses sentiments, que l’inverse. La penser profonde qu’il était une source de malheurs perpétuel était encré dans son esprit. La destruction. Tout finissait par voler en éclat autour de lui, un jour ou l’autre. Ce n’était qu’une question de temps. C’était la peur qui c’était engouffré en lui avec les années. Qui lui avait fait fuir la réalité chez choses. Croire quand soumettant Zéleph a sa force et en ce recluant dans le Circus il ne pourrait plus jamais souffrir. Seulement tous les jours, à chaque seconde c’était là, quelque part. Insupportable torture. Condamné à une souffrance éternel avant même avoir commis son premier crime. Le réprouvé fini par poser son regard sur la déesse, un sourire triste sur le visage.

« Je n’aurais pas dû profiter de la situation. Dire que je ne voulais pas te blesser serrait mentir, mais je regrette d’être parvenu à mes fins et d’en avoir eu envie. C’était injuste et cruel. Tu mérites beaucoup plus, beaucoup mieux… »

Que moi. Il ne savait pas si elle avait le droit de couper les ponts avec un fidèle. Il aurait peut-être était mieux pour elle que ce soit le cas. Zéleph se sentait mal. C’était bien la première fois qu’on le mettait face à ses actes et qu’on lui ouvrait les yeux. Ca faisait étrangement mal. Plu aucun sentiment de plaisir ou de triomphe ne rester en lui. Tout cela avait était tellement factice. Ephémère. Comme tout lors ce qu’il s’agissait de lui. Assit là a coter d’elle il avait le sentiment infime qu’être un peu moins seul. Pouvait-elle vraiment le comprendre ? Pourtant.

« Tu as une famille Mitsuko. Des hommes qui ont dû t’aimer. Des fils qui le doivent également. Toi tu as quelque chose. »

Lui n’avait rien. Rien qu’un poussin et une entreprise qui aurait dû être sa famille, mais qui ne le serait jamais à causes de la prison qu’il c’était construite et dans la quel il vivait. Sombre et malheureux. Pour toujours.