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 [Quête] - A la recherche d'une révélation

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Ven 01 Oct 2021, 10:27


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Intrigue/Objectif || Apprentissage : Primrose débute son chemin vers la connaissance à travers les divers cours imposés, malheureusement, elle va vite comprendre que son apprentissage va être très fastidieux. Sa bonne volonté ne sera sans doute pas suffisante et toute aide n’est pas non plus nécessairement bonne à prendre.


A la recherche d'une révélation


« Rose. Le cours est terminé. » Je relevais la tête vers celui qui m’avait adressé la parole et ne fut pas surprise de voir un grand blond aux iris argenter placer à côté de ma table. « Je sais. » marmonnais-je en regroupant mes notes et en rangeant mes affaires de manière nonchalante. Dans un soupir, je passais ma sacoche autour de mon cou et suivis instinctivement l’ange qui sortit de la pièce. Mikhail était d’une patience incroyable, d’un tempérament flegmatique à toute épreuve, il prenait toujours la peine de m’attendre. C’était l’une de ses nombreuses qualités que j’appréciais le plus chez lui, sa patience mais aussi son esprit fascinant. Ce n’était pas pour rien qu’il était l’élève dont j’étais le plus proche, surtout que notre rapprochement c’était fait naturellement. Depuis, rare étaient les occasions où nous étions séparées car même en dehors des cours obligatoires nous nous retrouvions pour étudier ensemble et entre chaque changement de classe, nous ne manquions pas d’échanger nos idées et de bavarder de tout et de rien. Excepté à cet instant où j’étais perdu dans mes pensées, muette comme une tombe, le regard probablement sombre. « Tout va bien ? Tu sembles distraite. » - « J’ai trouvé ce cours ennuyeux, c’est tout. » répondis-je sèchement, en énonçant ce mensonge. J’avais parfaitement conscience que c’était inutile de lui mentir, parce qu’il savait malgré moi la vérité : que je détestais les mathématiques et qu’elle me le rendait bien. Encore une fois, j’étais sorti de ce cours dans l’incompréhension la plus totale, j’avais beau prendre des notes, écrire scrupuleusement chaque notion abordée, rien n’y faisait, j’étais incapable de reproduire et de réussir les exercices donnés. En prime, j’héritais systématiquement d’une migraine. Maudit chiffre ! « Si ce n’est que ça. » Finit-il par conclure, un sourire en coin. « Hum hum. » Je ne pouvais m’empêcher de soupirer, tandis que nous marchions silencieusement vers la prochaine salle. J’étais contrariée. Agacée. J’avais envie de mordre quelque chose. Puis, lors d’une énième respiration un peu trop forte, je me rendis compte de mon enfantillage. C’était idiot et inutile. Je ne devais pas laisser mes émotions prendre le dessus ainsi. Rien n’était encore perdu. Tout était une question de persévérance et puis, il fallait me reconcentrer pour le prochain cours. D’ailleurs… « On a quoi comme cours maintenant ? » - « Pratique de la Magie. » Pitié, achevée moi.

Si mes notes n’étaient pas glorieuses en mathématiques elle l’était tout autant dans cette matière. J’essayais de m’imprégner d’onde positive ; « Tout ira bien. Cette fois, tu vas y arriver. ». Je me répétais cette petite phase en boucle dans mon esprit alors que nous prenions place. Si ça ne tenait qu’à moi je me serais planquée au fond de la classe, à l’abri des regards, mais mon camarade préférait systématiquement s’installer pile au centre de la pièce. Ni trop devant pour ne pas attirer l’attention, ni trop au fond pour ne pas louper des informations. « J’espère que l’on va de nouveau faire de la pratique aujourd’hui. » Pas moi. « Silence je vous prie. » Madame Bottey fit aussitôt son apparition, toujours aussi belle et radieuse. Si je n’aimais pas ce cours, ce n’était certainement pas à cause d’elle. Son enthousiasme était communicatif, rendant la théorie captivante : c’était fascinant d’essayer de comprendre les rouages de la magie, de mettre des noms sur les flux magiques qui incarnaient notre monde, leur donnaient un sens et une raison. Tout l’inverse de la pratique qui n’avait pas la moindre cohérence et qui semblait être dépourvue de logique. « La magie échappe totalement à la raison et se situe parfois dans le ressenti. » qu’elle nous a enseignées. Mouais. Dans mon cas à moi, elle me fuyait tout simplement. Même si j’avais une vague idée de mes dons innée, j’étais incapable de canaliser l'énergie magique qui vivait en moi. Aucun de mes pouvoirs ne se manifestait. Encore moins l’animal qui sommeillait en moi. Mon corps semblait les rejeter aussi bien l’un que l’autre, alors que mon esprit les réclamait tous deux avec toute la meilleure volonté du monde. « Bien. Reprenons où nous nous étions arrêtés la dernière fois… » Je pris une grande inspiration. « Je peux le faire. » De toute manière je n'avais pas vraiment le choix. D’une soudaine humeur taquine, je donnais un léger coup de coude à mon voisin de table pour lui répondre. « J’espère surtout que cette fois-ci, elle ne me choisira pas encore pour donner l’exemple. Ça devient une mauvaise habitude. » murmurais-je, le sourire au lèvre, visiblement pas assez discrètement. « Oh ! Primrose, merci de votre enthousiasme, je cherchais justement un volontaire. » Super. Je détestais ma vie.

Message I
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Mar 02 Nov 2021, 12:45


Comme toujours, une femme à la chevelure noire se baladait dans la bibliothèque. Elle était perpétuellement là, à errer entre les étagères, visiblement indécise sur ses prochaines proies. À force des spéculations auraient pu se créer, contant la légende d’un fantôme protégeant ce lieu ou mieux, l’esprit d’une étudiante qui serait morte parmi tous ces livres. Mais non. C’était juste moi, comme toujours. Au sein de l’école c’était sans aucun doute mon endroit préféré, il représentait mon refuge et la ruche de toute connaissance. J’aimais humer l'odeur du papier jauni et des nouvelles impressions qui se mélangeaient, entre celle de l'encre fraîche, du collagène en décomposition et de la poussière agglutinée sur des esprits trop brillants pour être compris ou pour susciter le moindre intérêt. Il y avait une pointe de mysticisme qui se dégageait de ses étagères croulantes d’œuvres littéraires. Elles étaient acculées sous le poids des chevaliers affrontant vents et marées, des mythes et légendes qui c’étaient créer au fil des ères, des aventures épiques noyer dans une romance, des idéologies qui s'opposaient sur des synapses de papier, avec d’autres thèses en suspens… Ils attendaient tous patiemment et méditaient silencieusement sur qui viendrait relancer leur horloge. Ici, c'était la valse des rêves jamais réalisés, la gigue fantasmagorique des auteurs qui nous observaient du haut de leur piédestal, des esprits qui erraient sur les flots sombres des marres littéraires. Mais tous ces récits n’étaient rien sans lecteur, rien de plus que des pavés couverts de poussière que je soulevais doucement, m’apprêtant à les juger de mon œil inculte et innocent. J’aurais aimé pouvoir tous ses lires, mais même en y consacrant ma vie entière, je doutais pouvoir y parvenir. Finalement je fus raisonnable et m’emparai de quelques essais parlant de Phoebe, de même que d’un livre racontant la légende d’Yaveäth et d’un autre écrit plus actuel concernant les constellations. Un sourire aux lèvres, je quittais le monde des écrits pour rejoindre les vivants, plutôt satisfaite de mes trouvailles.

Je balayais l’espace de travail du regard, les silhouettes studieuses accrochant mes iris sans pour autant qu’elles ne s’y fixent définitivement, puis je reconnue un murmure lié à une apparence qui m’était familière. Serrant mes trésors contre ma poitrine, je me dirigeais d’un pas décidé vers ce chuchotement. « … Tendres fantasmagories d'un monde meilleur, envoûtantes sirènes menant au naufrage. Les mots sont puissants, magiques, terriblement dangereux. Ils vous retournent l'esprit, le guident. Ils ont le pouvoir de faire des fantaisies une vérité. À la cour des maux, seul l'illogisme est roi. La litote servante en masque du diable, l'anaphore courtisane qui marque la cadence de ses sombres démences, l'antiphrase marquise qui contemple et qui se fout des autres, les antithèses princières qui s'entrechoquent et le zeugma impérial qui domine ce tortueux chemin. » - « Qu’est-ce que tu lis ? » J’ignorais le regard sombre que m’accordait la cruche qui était assise en face de Mikhail, visiblement peu ravie de mon intervention et de mon incrustation. « Une doctrine sur la littérature. » Mon sourire s’agrandit, lorsque délicatement je soulevais la couverture du livre pour pouvoir apercevoir son titre. « ‘La linguistique des contes’ ? Ce livre plairait beaucoup à Iseult. » Mais pas à moi. Je n'avais rien comprit à son charabia. « Sûrement. Et toi, qu’est-ce que tu as trouvé ? » Je déposais mes trouvailles sur la table, devant la chaise libre à ses côtés, avant de lui montrer celui qui trônait sur ma pile. « ‘Les influences de la lune’ ! » J’avais lu le titre avec beaucoup -trop- d’enthousiasme et fus donc terriblement déçu par sa réaction, qui ne fut autre que son fameux sourire en coin accompagné de son air suffisant qui était insupportable. « Comme si tu ne connaissais pas suffisamment les histoires de Phoebe. » Ma première réponse fut de lui montrer ma langue, avant de me raisonner et de justifier mon choix. « Ça ne parle pas que d’elle, mais aussi des autres lunes. » - « Mais bien sûr. » Un raclement de gorge s’interposa, cherchant à mettre un terme à notre conversation. « Dis, tu peux reprendre la lecture ? » Encore elle… « Elle n’est pas méchante. », qu’il disait. Si seulement ce n’était que ça le problème. En réalité, c’était bien pire que ça. Elle était agaçante. Tout simplement. Plus je l’observais au fil des jours, plus elle me semblait complétement inapte à survivre. Ou plutôt, à vivre sans Mikhail. Elle était toujours là, à lui faire les yeux doux en lui demandant des petites « faveurs », comme lui réexpliquer une leçon, l’aider à faire un exercice, lui demander de juger sa prestation de danse… Elle était donc si empotée que ça pour ne pas être indépendante ? Vivement qu’elle rencontre la sélection naturelle. D’ailleurs, maintenant que j’y pensais, je me rendais compte que bien que nous soyons dans le même département, je ne connaissais même pas son nom. « Ça ne te dérange pas que je lise à voix haute ? » - « Non non. Tu peux continuer à lui faire la lecture, elle semble en avoir besoin. » Une fois encore je fis mine de ne pas remarquer son expression froissée. Mes remarques ne lui plaisaient pas ? Tant mieux. Si cela pouvait me permettre de ne plus l’avoir dans les pattes… Je m’occuperais d’elle plus tard, pour le moment, je préférais me plonger dans l’univers des mots et de la connaissance, pour poursuivre ma soif de savoir.
Phoebe, à nous deux !


Message II
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Jeu 04 Nov 2021, 09:47


Pour ma première année, j’avais décidé de participer à pratiquement tous les cours optionnels, à l’exception de la menuiserie et de l’enseignement du vol - la raison pour ce dernier étant évidente. La curiosité avait pris le dessus mais surtout, je ne savais pas dans quel domaine j’étais douée, ni celui qui me permettrait de me sentir 'épanouie'. Alors finalement cette convoitise me parut être une évidence. Pourtant, je devais bien le confesser, avec du recul ce n’était pas une idée judicieuse. Les cours optionnels me prenaient tout mon temps libre, dévorant mes heures d’études sur le cursus principal. Je me sentais perdue, éparpillée parmi tous ces domaines de connaissances. La sensation d’étouffer commençait à se faire ressentir, je me noyais sous toutes ces informations à assimiler et à connaître. Heureusement, j’avais un phare pour me repérer dans ce chaos intellectuel, en la personne Yseult, ma camarade de chambre. Elle aussi eut cette ingénieuse idée qui, tout comme moi, ne lui semblait plus être une brillante initiative . Mais à nous deux nous étions plus forte et motivée que jamais, car dans cette épreuve, nous nous soutenions mutuellement ; pour le meilleur et pour le pire. Mais surtout pour le pire, comme le prouver notre cours de cuisine qui était maudit. Enfin, ça, c’était si l’on croyait au racontar, notamment ceux d’Yseult. « Allez Yseult, l’appelais-je, le poil irisé, les œufs ne vont pas se casser tout seuls ! » - « Pff. »- « Comment ça ‘pff’ ? » me retenais-je de lui grogner dessus. Mon irritation se fit plus grande lorsque je la vis faire glisser le panier d’ingrédient sur notre plan de travail - qui était recouvert de farine - jusqu'à moi. C'était clairement un gage de protestation, signifiant que je devais m’en occuper moi-même. « Tu sais bien que je suis végétarienne. Totalement végétarienne. Pour moi, casser des œufs revient à commettre un meurtre. » - « Mais bien sûr… Pour quelqu’un de totalement végétarienne, tu ne te fais jamais prier pour manger les gâteaux que t’envoie ta sœur. J’imagine que l’on ne peut plus parler de meurtre une fois que les œufs ont été cuits et mélanger avec d’autres ingrédients, comme j’le fais actuellement ? » - « Oh je t’en prie, ça n’a rien à voir ! » Alors que je haussais un sourcil, elle rétorqua : « Elle confectionne des pâtisseries spécialement pour moi, sans le moindre ingrédients issu d’animaux. C’est pour ça que je ne mange que ses pâtisseries à elle. » Je hochais la tête d’un air de reproche, sachant pertinemment qu’elle me mentait. Son petit numéro ne m’amusait aucunement, surtout pas aujourd’hui. Pourtant je me résignais à abandonner ce combat qui était perdu d’avance. Autant rester concentré sur cette fichue recette immaculée de beurre fondu.  « Merci pour ton aide. » grognais-je tout de même. « Je n’y suis pour rien si ce cours me déteste ! » - « Bientôt, ce ne sera plus le seul. » J’utilisais ma frustration face à son attitude pour éliminer avec vigueur les grumeaux de notre pâte à gâteau. « Tu ne fais surtout plus aucun effort. Plus on assiste à ce cours, moins tu en fais, c’est à croire que… » - « Les filles, on attend un peu le dernier moment aujourd’hui, non ? » Le professeur nous désigna du menton le minuteur de notre four qui nous indiquait qu’il ne restait plus que vingt minutes. Je marmonnais quelque chose à propos des « grumeaux qui ne voulaient pas disparaitre. » mais qui cela intéresser ? Je me contentais donc de verser ma préparation dans le moule demandé et de l’enfourner avec précaution. Il était inutile de demander de l’aide à ma partenaire qui était trop occupée à inspecter méticuleusement ses ongles. Dans un soupire, je me résignais une fois encore, préférant discuter avec elle d’autre chose que de sa soudaine radicalisation extrémisme du végétarisme - sinon le temps d'attente aurait été beaucoup trop long.

Ma préparation avait enfin fini de cuir. J’ouvris donc le four pour découvrir un plat frémissant empli de pain de maïs moelleux, croustillant et fumant extrêmement bon. L’odeur était même parvenu à attirer l’attention d’Yseult, qui sembla enfin s’intéresser à 'notre' projet. Pour autant ma mission n’était pas encore accomplie. J’appréhendais toujours le démoulage... une fois sur deux le gâteau n’y survivait pas : entre la fois où le pied de mon muffin préféra rester accroché au fond de mon moule et celle où mon gâteau rond se scinda en deux croissants de lune… Définitivement, je redoutais ce moment. De toutes mes forces je priais une quelconque Divinité de la pâtisserie de me porter chance et cette fois-ci, mes prières fut entendue, puisque mon gâteau survécut. « Tu veux bien m’aider à le décorer ou tu vas m’dire que tu as rejoint une secte qui lutte contre la maltraitance des fruits ? » – « Très drôle. » Avec nonchalance, elle déposa quelques myrtilles, groseilles et autres baies sur le dessus de notre cake, juste avant que le professeur ne passât pour nous juger. Ce n’était pas exceptionnel, étrangement à cause de quelque trace de grumeaux, mais j’avais réussi la recette, c’était tout ce qui importer.

Par gourmandise je me découpais des tranches pour savourer le fruit de mon dur labeur. Quel ne fut pas ma surprise de voir Yseult en prendre une part et de croquer dedans à pleine dent.  « Tu te moques de moi ?! » Face à ma remarque que j’avais pratiquement criée, elle s’étouffa à moitié, perdu entre recracher au creux de ses mains son méfait ou d’avaler sa boucher. Je la toisais d’un air supérieur et ouvris la bouche, prête pour sérieusement la sermonner. Cependant, elle prie les devant. « Mais il sentait tellement booon ! Ce n’est tout de même pas de ma faute si tu es douée au point de me faire transgresser à mes principes. » - « 'Tes principes' ? Bah voyons, tu n’voulais juste pas te salir les ongles ! » - « Là, tu me vexes. » - « Je trouve surtout qu'en ce moment rien n'est de ta faute. » Ses yeux ne voulant pas m'affronter, elle préféra tourner son visage vers le vide en déposant délicatement son menton entre ses mains, les coudes adossés sur la table. « Ne le prends pas personnellement Primy… Je suis désolée, c’est vrai que je ne fais plus aucun effort en ce moment, enfin elle l'admettait ! C'est juste... Je n’aime vraiment pas ce cours. Il n'y a rien à faire. Je n’ai aucune motivation ou inspiration, dès que je lis les recettes, mon cerveau s'éteint. Contrairement à ma sœur, la cuisine ce n’est pas fait pour moi,... Aucune chance que je reprenne cette option l’année prochaine, tu peux me croire. » - « J’aurais préféré que tu sois honnête et que tu me le dises dès le début. J’ai horreur que l’on me mente ! Même des petits prétextes comme ça et puis, je ne te demande pas de te donner corps et âme, seulement que tu m'aides un peu. On gagnerait du temps et surtout, on aurait de meilleures notes. Je n'ai pas envie de perdre des points parce que je me retrouve toute seule à faire un travail pour deux. » - « Je sais, pardon. Mais promis, je vais faire des efforts. » Pour se faire pardonner et m’adoucir un peu, elle m’embrassa sur la joue. « Mais c'est juste pour toi. » - « Oui, oui. Rien que pour moi, mais surtout pour la notation. Avoue que tu a mordu dans un morceau de grumeau. » Son rire cristallin retentit. « C'est vrai que ce n'était pas le meilleur gâteau qu'il m'est été donnée de goûter. Mais tu sais quoi ? Ce n'est pas grave, car tu n'en reste pas moins la meilleure ma Pry-Pry. Merci de me supporter dans cette matière, je te revoudrais ça. » - « Comme si j’avais besoin de ton aide. » Elle me tira gentiment la joue, ce qui étrangement, me redonna le sourire. J’étais incapable de lui en vouloir.


Message III
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