Nom : Boggins
Prénom : Hortanse
Surnom : Titi
Sexe : Féminin

Âge apparent : Quatre-vingt-sept ans
Ère de naissance : Renaissance du Dieu-Roi | Troisième partie
Race : Ange
Métier : X

Époux : Aucun
Enfants : Cornélius
Famille : Sœur de Bellada et Mertle

Niveau : I (Niveau I à partir de 14 points)

Armes :
- Un orbe magique
- Une paire d'aiguille à tricot

Spécialités :
- Agilité : 3
- Force : 5
- Charisme : 3
- Intelligence : 5 + 2 = 7
- Magie : 4 + 2 = 6

Pouvoirs :
- Le Sanctuaire d'Ahena
- Les Larmes des Cieux | « La Clarté Divine »
- L'Œuvre de Delix
- Changer la taille des objets
- Création de la Nature

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

Gain de niveau 4
- X

Gain de niveau 5
- X

Gain de niveau 6
- X

~ Quêtes

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Événements

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Intrigues
- X

~ Formes de magie
- La Magie de la Lumière
- La Magie du Souffle

~ Couronnes
- X

~ Doubles nationalités
- X

~ Patrimoine et réputation
- X

~ Autres
- Obsession |

Spoiler:

- Poison angélique : Il s'agit d'une petite aiguille qui apparaît à la demande. Lorsque l'Ange pique un Démon avec, celui-ci est paralysé plus ou moins longtemps en fonction de sa force. S'il est faible, il peut en mourir.
- Le livre des rumeurs : Il s'agit d'un petit livre qui répertorie toutes les rumeurs juteuses des Terres du Yin et du Yang. Il se met à jour tout seul régulièrement, à condition d'être dans un environnement magique.

Particularité : Marraine de Coline [PNJ] | Prétend être sourde pour ne pas être dérangée.

Physionomie : « Eh, la vieille, t’as quel âge au juste ? » « Pouah, mais ça fait bien longtemps que j’ai arrêté de compter voyons ! » Hortanse semblait aussi vieille que la terre elle-même. Les années l’avaient tassé, lui enlevant quelques centimètres : elle qui n’était déjà pas bien grande, cette constatation lui déplaisait au plus haut point. Pourtant, elle n’en restait pas moins énergique et pleine de vie. Toute sa vie durant, elle avait pratiqué de nombreux sports, son préféré restant les longues randonnées qui l’emmenaient camper dans les montagnes. Sans doute ce mode de vie sain, qu’elle essayait de garder -mais enfermée dans une cellule, ses randonnées lui donnaient des airs d’animal de cirque tournant en rond dans sa cage- lui permit-il de limiter les dégâts, et elle peut ainsi se réjouir de ne pas avoir d’arthrose. « Et toi, qu’est-ce que t’en pense ? » « Heiiin ? Quoi ? Mais j’entends rien ! » « Ha… T’entends rien, tu vois rien, tu sers à rien… Qu’est ce qu’on va faire de toi ? » Tout cela n’était qu’une mascarade. Si elle possédait effectivement une vue déplorable qui dépassait même celle de sa sœur, la forçant à porter de grosses lunettes rondes à la monture noire qui lui donnaient un air de chouette, son ouïe était parfaitement intacte. Elle prétendait simplement ne pas entendre correctement lorsque cela l’arrangeait, et qu’elle voulait qu’on la laisse tranquille. « Mais toi… Tu devais pas avoir de succès avant ! » Pour dire la vérité, elle aurait sans doute trouvé un très bon parti si elle s’y était intéressé un minimum. Les cheveux châtains, coupés en un carré court, avaient poussé, formant un petit nuage duveteux autour de son visage ridé. Ses épais sourcils donnaient une certaine profondeur à son regard bleu, mais là encore, la vieillesse avait changé les choses, blanchissant les uns et creusant les autres. Cependant, l’air malicieux planais toujours sur le visage de la vieille dame, parfois remplacé par un sourire penaud. Sa voix rauque crachait parfois ses poumons, résultats de ses longues années à fumer diverses substances. Ses vêtements trop larges avaient d’ailleurs pris ce mélange d’odeurs âcres, qu’elle essayait de cacher sous une fragrance de figue, sans grande réussite.

Psychologie : « Si je devais décrire Hortanse en quelques mots… Je dirais qu’elle était une vraie force de la nature. Aussi solide qu’une montagne, aussi paisible que la surface de l’eau, aussi douce qu’une brise ou aussi dangereuse qu’un incendie. » D’un calme quasiment inébranlable, Hortanse a toujours su faire preuve d’un sang froid à toute épreuve. Cette apparente tranquillité lui donna ainsi une figure de pilier, une personne de confiance sur qui l’on pouvait se reposer lorsque les évènements devenaient inquiétants. Sachant où est sa place, elle n’est pas du genre à tergiverser et fait ce qui doit être fait, même lorsque cela est compliqué. Femme sensible et inquiète du bien être des autres, elle n’hésite pas à se priver pour faire passer ses proches avant elle. Capable de tendresse, elle peut néanmoins se montrer mordante lorsque ses croyances sont ébranlées, stricte lorsque les limites de sa tolérance son testées. « C’était un vrai rayon de soleil… Elle pouvait réchauffer le cœur d’une simple parole, nous redonnait le sourire quand notre moral était au plus bas… » Capable d’une forte empathie, elle trouvait souvent les mots justes pour redonner espoir. Ses blagues étaient sans doute aussi mauvaises que celles auxquelles elle riait, mais ces boutades avaient le mérite de détendre l’atmosphère. Quelque peu loufoque, l’adage « le ridicule ne tue pas » lui collait à la peau, ignorant superbement ce que les autres pouvaient penser d’elle. Esprit fort et libre, elle n’en faisait qu’à sa tête et ne se préoccupait pas des histoires. Néanmoins, dans les dernières années de sa vie, elle prit de fâcheuses habitudes, la plus décriée concernant les substances qu’elle consommait dans l’intimité.

Histoire : « Et toi, d’où est ce que tu viens ? » « Oh, d’ici où d’ailleurs, qu’elle importance ? » Hortanse n’a pas toujours été ange. Née au sein de la famille Boggins, elle connut une enfance plutôt calme, protégée des tourments dans les campagnes magiciennes. Adolescente turbulente, elle rejeta tous ses prétendants : nullement intéressée par l’idée de se marier et de fonder une famille, elle prétextait que son gros nez l’empêcherait d’embrasser correctement ses conquêtes. Alors que Mertle était envoyée dans un temple, que Bellada s’en allait avec son mari, Hortanse se dévoua corps et âme à la ferme que possédaient leurs parents. Ce n’était pas grand-chose, à peine un petit lopin de terre, avec une petite exploitation de vigne. Ce n’était pas luxueux, mais cela leur permettait de subsister. Finalement, la réalité rattrapa la magicienne. La guerre faisait rage, et s’ils étaient miraculeusement épargnés -bien que les temps soient durs- le reste du monde n’avait pas cette chance. La magicienne décida de s’enrôler dans l’armée. Elle n’était pas assez puissante pour combattre mais elle maîtrisait suffisamment sa magie des pentacles pour effectuer des sorts de soins. Elle fut donc désignée comme infirmière sur le front, présente pour rabibocher les soldats pas trop mal en point qui pouvaient encore être sauvés. Ces années furent les plus terribles de sa vie, mais développèrent sa force de caractère. Le plus dure, sans parler des cadavres et du sang qu’elle voyait en continu, était de voir les orphelins laissés derrières. Lorsque Sympan fut enfin déclaré vainqueur, Hortanse prit la décision d’adopter un enfant rendu orphelin par les ravages de ce déferlement de haine. Ils connurent quelques années tranquilles, avant qu’Hortanse ne meurt en essayant de secourir Cornélius d'un brigand qui s'était introduit chez eux. L'homme, en plus de leur dérober des biens, avait essayé de s'en prendre à l'enfant. Hortanse, réagissant comme une mère, s'était interposée. Grave erreur.
Lorsqu'elle se réveilla, elle était prise en otage, retenue captive par les démons.

Nom : Ward
Prénom : Gilbel
Surnom : Gilou. Ses petits-enfants l'appellent "Papi à Barbe Longue"

Sexe : Masculin
Âge apparent : Quatre-vingt-neuf ans.
Ère de naissance : Ère de la renaissance du Dieu-Roi | Deuxième partie.
Race : Magicien
Métier : X

Épouse : Bellada Ward
Enfants : Ronald, Coline, Maya, Rufus, Gilbert, Aurore, Alizée
Famille : Frère de Bénédicte, Josiane, Ambroise, Justin, Mariette, Marcellène, Mélusia, Alain, Cyrielle, Louisette, Bertin, Philidor, Zéphyrine, Vendelin et Albert

Niveau : I (Niveau I à partir de 23 point)

Armes :
- Une baguette magique
- Un filet à papillon

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 4 + 1 = 5
- Charisme : 4
- Intelligence : 5
- Magie : 2 +1 = 3

Pouvoirs :
- Umbra in Lucem | Benedictio
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles
- Eternité
- Rendre son corps élastique

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

Gain de niveau 4
- X

Gain de niveau 5
- X

Gain de niveau 6
- X

~ Quêtes

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Événements

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Intrigues
- X

~ Formes de magie
- La Magie de la Lumière
- La Magie Bleue

~ Couronnes
- X

~ Doubles nationalités
- X

~ Patrimoine et réputation
- Une part de l'exploitation économique de Vin

~ Autres
- Des pantoufles licornes qui ont le pouvoir de faire apparaître un masseur pour détendre son petit corps;
- Une amulette qui vous protégera des insectes les plus agaçants;
- Le livre des rumeurs : Il s'agit d'un petit livre qui répertorie toutes les rumeurs juteuses des Terres du Yin et du Yang. Il se met à jour tout seul régulièrement, à condition d'être dans un environnement magique.

Particularité : Vit à Haute-Terre | Est passionné par les insectes

Physionomie : « Mais où sont passées mes lunettes ? » Généralement, la réponse qui suivait était « sur ta tête, Papi à Barbe Longue ». Gilbel passait autant de temps à chercher les lunettes en demi-lune qui lui permettaient de voir correctement que de temps à les utiliser. Cet accessoire était pourtant indispensable pour qu’il puisse éviter de se cogner de partout. Mais il n’avait jamais supporté de sentir quelque chose sur son nez, de voir en périphérie la monture enfer qui soutenait ses verres. Voilà la raison pour laquelle il les posait dès qu’il le pouvait. Pour plaisanter, il disait également que cela empêchait les gens d’admirer ses magnifiques yeux gris, qui changeaient de couleur au fil des saisons, deux personnes ne parvenant jamais à se mettre d’accord sur leur couleur. Une lueur rieuse et complice y luit en permanence. « Tu penses que je devrais prendre rendez-vous chez le barbier ? » « Si tu veux éviter que ta barbe traine sur le sol, c’est une idée avisée mon bichon. » Effectivement, Gilbel possède une longue barbe blanchie par les années. Autrefois rousse, les poils de son menton se sont décolorés et il arrêta de les raser quotidiennement, la laissant pousser. Quant à ses cheveux, le même sort leur a été réservé : de rouquins à blancs et de courts à longs ils sont passés. Bellada s’amuse souvent à lui passer ses lotions dans les cheveux et la barbe, lui assurant qu’elle couperait le tout s’ils devenaient un jour trop rugueux à son gout. « C’est drôle, ce que je m’embarrassais à l’époque. Aujourd’hui, je pourrais sortir en sous-vêtement que cela m’importerait peu. » Dans sa jeunesse, il ne sortait jamais sans son costume ou son armure, s’assurant que tout était parfaitement à sa place. Aujourd’hui néanmoins, l’âge le décomplexant sans doute quelque peu, il préfère se promener en toge, plus légère et agréable que ses costumes et tenues de combats d’autrefois.

Psychologie : « Papi, tu nous racontes une histoire ? » « Une histoire ? Mais c’est à votre grand-mère qu’il faudra demander ça. » « Oh allez, s’il te plait Papi ! » « Bon si vous insistez, d’accord… » Contrairement à son épouse, Gilbel est quelqu’un de calme et de posé. Sans être timide ou renfrogné, il n’est pas bavard et préfère écouter les gens parler, quoi qu’il ne puisse s’empêcher de donner son avis sur un peu tout et n’importe quoi, même ce qui ne le concerne pas toujours. De plus, il possède une imagination assez fertile et, s’il ne possède pas le talent de Bellada pour raconter les histoires, il parvient à tisser les trames des aventures de personnages tous droits sortis de sa caboche. Ses petits-enfants aiment lorsque le couple travaille de concert : Gilbel imaginant le scénario, Bellada utilisant sa verve pour conter ce que l’esprit du vieillard aura créé. « Papi, qu’est-ce que c’est ça ? » « Ça mon fiston, c’est un Attacus atlas ! C’est un papillon nocturne et (…) » Gilbel pourrait parler des heures sur ses petits amis. Grand passionné des insectes, il les collectionne et a fabriqué dans son bureau un refuge pour tous ceux qu’il trouve. Peu partagent son gout pour ces « bestioles », mais cela ne le dérange pas. On le trouve parfois étrange mais l’’âge lui a appris à ne plus se soucier de ce que l’on pouvait penser sur ses passions. « Papi, tu veux un peu de gâteau ? » « Oh bien sûr ma crapouille. » Gilbel, s’il avait été né dans la culture déchue, aurait sans doute été étreint par la Gourmandise. Bon mangeur, il aime gouter à tout et n’est pas difficile. Bon vivant, il aime profiter des petits plaisirs de la vie et cela passe part la dégustation de vins. Le magicien ne saurait comment vivre sans. « Les enfants calmez-vous, vous êtes trop bruyants ! » Le vieil homme aimait rouspéter, mais au fond de lui, il aimait encore plus sentir sa demeure animée, savoir que des gens étaient là, autour de lui. Comme ayant peur de l’abandon, il déteste ne pas être occupé et apprécie de rejoindre ses camarades sur les terres de Caelum.

Histoire : « Papi, papa il nous a raconté que quand tu étais jeune, toi aussi tu vivais à Cael ! » Gilbel est effectivement originaire de la capitale, où il grandit entouré de ses quinze frères et sœurs. La demeure familiale avait toujours été animée et il était parfois compliqué de se faire une place dans la maison Ward, entre l’un qui hurlait, les autres qui se crêpaient le chignon, et leurs parents qui couraient de partout pour éviter que les uns n’étranglent les autres. Gilbel était sans doute le plus sage de tous, peut-être parce qu’il était également celui qui possédait le caractère le plus tranquille de la fratrie et donc s’entendait avec tous. Il parvenait à composer avec le caractère excentrique de certaines sœurs, le tempérament bagarreur des garçons et la timidité des derniers. Il eut une enfance plutôt tranquille, quoi que l’ombre de la guerre planât sur les terres magiciennes. La vie étant parfois compliqué pour une famille aussi nombreuse, les bouches à nourrir ne faisant que s’additionner, une partie des enfants fut envoyée dans la campagne, pour vivre avec leurs oncles et leurs tantes. C’est ainsi que le magicien fit la rencontre de la plus belle des femmes : Bellada. En un instant, son cœur ne lui appartint plus jamais. Les efforts furent durs, mais s’il y avait un moment où il devait faire preuve d’entêtement, il s’agissait bien de celui-ci. Il continua donc à la voir, chaque jour pendant plusieurs mois, jusqu’à ce que finalement, ils se marient et ne déménagent ensemble près du lac de la transparence. A l’époque, encore insouciant et plein de fougue, il se porta volontaire pour partir au combat. Bien évidemment, les atrocités dont il fut le témoin n’avaient rien à voir avec les contes, les récits héroïques de son enfance. Tout n’était que rage et barbarie. Lorsqu’enfin Sympan gagna, il dépensa ses dernières économies pour s’offrir une jolie maison, loin de tout ce qu’il avait connu. Les années passèrent mais jamais il ne s’en remit totalement. Parfois, la nuit, il se réveillait en sursaut, encore persuadé d’être en guerre. Ceci, il n’en parla jamais à sa femme. Sa douce et tendre qui, elle, n’avait jamais connu ces horreurs. Il souhaitait pardessus tout la préserver, et ne pas l’inquiéter.

Nom : X
Prénom : Connor;
Surnom : Hip.

Sexe : Masculin.
Âge apparent : Onze ans.
Ère de naissance : La Conciliation
Race : Lyrienn
Élément : Yüngül [Lumière] | Pyx [Terre]
Métier : X

Apparences : Enfant | Adolescent | Adulte | Vieillard
Thème : Up is down - Pirates of the Caribbean

Niveau : I (Niveau I à 212 point de rp)

Armes :
- Un bâton
- Un lance-pierre

Spécialités :
- Agilité : 8
- Force : 3 + 1 = 4
- Charisme : 3
- Intelligence : 5
- Magie : 1

Pouvoirs :
- Qyndily Mantris Yüngül
- Qyndily Aenör Yüngül
- Pyx Nazaret
- Shängë
- Ftem’krr

Spoiler:

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

Gain de niveau 4
- X

Gain de niveau 5
- X

Gain de niveau 6
- X

~ Quêtes

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Événements

POUVOIRS
- Cornes de Bicorne : Une fois par lune, le personnage peut demander à n'importe qui de l'embrasser. Si cette personne ne le fait pas, deux cornes de Bicorne poussent sur sa tête.

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Intrigues
- X

~ Formes de magie
- La Magie de Jade
- La Magie Elémentaire

~ Couronnes
- X

~ Doubles nationalités
- X

~ Patrimoine et réputation
- X

~ Autres
- X

Particularité : Élève à Basphel [Etain] | Mantris Yüngül [Lumière]

Physionomie : Il est difficile d’attribuer une physionomie fixe à Connor puisque son corps est en constante évolution, changeant au fil des heures, des minutes. Au début de la journée, il possède la forme d’un nourrisson puis grandit jusqu’à ressembler à un petit garçon lorsqu’il se réveille. En fin de matinée, il ressemble déjà à un adolescent et ne tarde pas à mûrir jusqu’à devenir un adulte. En fin de journée, des courbatures liées à son corps vieillissant commencent à se faire ressentir. Ces modifications physiques s’accompagnent également d’apparitions de cicatrices sur tout son corps, qui ne semblent jamais se trouver au même endroit. Seule l’une d’entre elle, sur son avant-bras droit, semble immuable et ne change jamais de place peu importe l’âge de son enveloppe charnelle.
Malgré cette étrange anomalie, le Lyrienn possède des traits caractéristiques qui le rendent identifiable. Le premier est sa chevelure dorée, plutôt fine et mi-longue. Étrangement, sa crinière ne pousse pas éternellement et s’arrête lorsqu’il atteint la puberté, bien que son éclat palisse avec les heures. Le second indice est son regard bleu où brille une lueur créatrice, comme s’il cherchait en permanence à créer de ses mains. On y lit l’intelligence et il n’est pas difficile de deviner en l’observant qu’il est en perpétuelle réflexion. Enfin, la dernière preuve irréfutable de son identité est un tatouage en forme de croissant de lune, sur ses côtes gauches.
Se vêtir est une tâche particulièrement difficile pour le jeune garçon, puisque sa taille et sa morphologie ne se stabilise jamais. Il est donc récurent de l’apercevoir avec des vêtements bien trop larges ou bien trop petits pour lui. Cet inconvénient étant déjà bien assez entravant en lui-même, le blond se contente généralement de s’habiller avec ce qui lui parait être le plus confortable, sans se soucier le moins du monde de leur assortiment.

Psychologie : Connor possède une personnalité éclatante et lumineuse. Sa particularité physique intrigant souvent les personnes autour de lui, il est habitué à subir les regards curieux et ne se sent désormais plus intimidé lorsqu’il devient le centre de l’attention. Il n’apprécie pas forcément cela mais s’en accommode et a depuis longtemps arrêté de se soucier de l’opinion des autres à moins qu’il ne décide que tel ou tel avis ait de la valeur. Chaleureux et aimable, le garçon est d’un naturel sociable et aime être entouré. En réalité, il craint la solitude plus qu’autre chose et cherche toujours à s’entourer. Peut-être est-ce pour cela qu’il s’adapte aussi bien aux personnes qui l’entourent, comme pour s’assurer qu’il trouvera toujours quelqu’un avec qui rester. Plutôt insouciant, il n’aime pas les conflits et a tendance à les éviter, essayant toujours de trouver un terrain d’entente pour contenter tous les partis. Néanmoins, si dispute il doit y avoir, il préférera toujours user de mots et de sourires plutôt que de violences et de ses poings. Curieux, cela peut en énerver plus d’un puisqu’il se montre souvent indiscret. Ce n’est pas pour mettre mal à l’aise, mais Connor a un besoin maladif de comprendre jusqu’au bout des choses. Il pose ainsi beaucoup de questions. Et ce trait de caractère s’applique également aux objets et monuments qui l’entourent. Très agile de ses mains, il aime construire et créer tout ce qui lui passe par la tête. Mais avant d’arriver à ce processus, il doit démonter pour pouvoir décortiquer les mécanismes et pouvoir s’en imprégner. Hyperactif, il lui est très difficile de se poser sans rien faire et rester assis est pour lui très compliqué ce qui explique ses difficultés scolaires. Il se débrouille néanmoins très bien en travaux pratiques. Pour remédier à ce souci, il se promène souvent avec une cordelette sur laquelle il s’entraine à faire des nœuds plus ou moins complexes, ce qui lui permet de s’occuper tout en écoutant ses professeurs. Personne organisé, il déteste le désordre et peu parfois avoir du mal à réagir face aux surprises et aux imprévus.

Histoire : "Ca va mon garçon ?" Connor leva la tête jusqu'à apercevoir le visage de l'homme. Un visage rassurant, quand bien même il lui était inconnu. Lentement, l'enfant acquiesça. Il se sentait étrange. Comme s'il venait de se réveiller d'une sieste qui aurait trop duré. Comme s'il ne parvenait pas encore tout à faire à s'extirper des bras d'Harabella. L'esprit encore embrumé, il commença à regarder autour de lui. "Est ce que tu te souviens de... de quelque chose ? N'importe quoi ?" Le lyrienn ouvrit la bouche pour répondre. Bien sûr, qu'il avait des souvenirs, quelle question ! Pourtant, lorsqu'il voulut parler, ce fut le vide total dans son esprit. Non, il ne parvenait pas à se souvenir de quoi que ce soit. Il était incapable de dire quoi que ce soit. Sa bouche se fendit dans un rire nerveux. "Je... Je ne sais pas." murmura-t-il à l'homme. Il sentit l'anxiété grimper en lui. "Ca va, ce n'est rien. Ne te fais pas de souci." le rassura-t-on. Il avait la bouche pâteuse. Connor ouvrit de nouveau la bouche, et cette fois-ci, il parvint à parler. "Je... Je me sens... étrange... Y'a comme... un vide... ici." Le blond indiqua sa poitrine. Il n'aurait pas été étonné d'y trouver un trou béant, mais ses doigts palpèrent sa chaire sous la chemise de coton. Aucun trou. "C'est comme si... Comme si j'avais perdu quelque chose." "Oui, tu n'es pas le premier à me dire ça." confia le garde. Connor sentit néanmoins son anxiété grandir. Instinctivement, il tourna la tête et commença à chercher quelque chose du regard. La vue des autres enfants sembla l'apaiser un peu. "Tu sais comment tu t'appelles ?" Le plus jeune reporta son attention sur son gardien. "Connor." répondit-il simplement, sans véritablement comprendre d'où cette certitude lui venait.

Nom : Papalogupous
Prénom : Thénolius
Surnom : Théo

Sexe : Masculin
Âge apparent : Début de la trentaine.
Ère de naissance : la Conciliation
Race : Magicien
Métier : X

Épouse : La Princesse Égarée.
Enfants : Aucun.
Famille : Inconnue.

Niveau : I (Niveau I à 118 point de rp)
Thème : Harry Potter Music & Ambience | Hagrid's Hut

Armes :
- Baguette magique
- Une épée en bois

Spécialités :
- Agilité : 6
- Force : 6
- Charisme : 5
- Intelligence : 2
- Magie : 2 + 1 = 3

Pouvoirs :
- Umbra in Lucem | Benedictio
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles
- Éternité
- Richesse à vie

Niveau II : X
Niveau III : X
Niveau IV : X
Niveau V : X
Niveau VI : X

~ Quêtes

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Événements

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Intrigues
- X

~ Formes de magie
- La Magie de la Lumière
- La Magie Bleue

~ Couronnes
- X

~ Doubles nationalités
- X

~ Patrimoine et réputation
- X

~ Autres
- Le livre des rumeurs : Il s'agit d'un petit livre qui répertorie toutes les rumeurs juteuses des Terres du Yin et du Yang. Il se met à jour tout seul régulièrement, à condition d'être dans un environnement magique.

Particularité : Clone de Gilbel | Persuadé d’être un personnage de conte | S'est réveillé dans un château abandonné.

Physionomie : « Attention à ma moustache, je voue prie. » Thénolius ne possède pas encore la longue barbe qui caractérise Gilbel mais ses lèvres fines sont déjà surmontées d'une très jolie moustache brune, dont la forme en guidon est censé donner un air sérieux au personnage. Au dessus de cette pilosité, un nez aquilin qui ne supporte pas encore de lunettes pour ses yeux couleur chocolats. Ceux-ci sont surmontés d'épais sourcils foncés, d'une teinte plus sombre que sa chevelure bouclée encadrant son visage carré. « Ne prenez pas peur, je suis là pour vous secourir ! » Voilà un refrain qu'il scande à tout bout de champ, le sourire aux lèvres et l'arme au bout des doigts. Pourtant, ce n'est pas avec ces maigres biscoteaux et sa petite taille qu'il sera capable de venir à bout des méchants bandits ou des vilaine crapules. Cela n'empêche cependant pas cette étrange capacité qu'il a à inspirer la confiance et à instaurer un climat de sécurité. Sa démarche chaloupée, comme s'il ne parvenait jamais vraiment à trouver l'équilibre, lui donne également un air amusant. « Si vous avez froid, je peux vous prêter ma cape ! » Et il serait idiot de refuser un présent aussi généreux. Les tenues du prince sont d'une grande qualité, comme confectionnée par les meilleurs couturier. Les tissus sont de bonne facture et les coutures élégantes. Des broderies montrant ses initiales sont d'ailleurs présentes sur tous ses vêtements. Il est très rare de le voir vêtu de couleurs sombres, et le brave préfère davantage se pavaner dans des couleurs vives et festives, sa couleur préférée restant l'ocre et le rouge.

Psychologie : « Prenez garde, vil mécréant ! » Thénolius est un fidèle de Drejtësi, il déteste être témoin d'injustices. Il n'hésiteras pas à s'interposer dans des situations qui ne le regardent pourtant pas, mais où il jugera nécessaire de rétablir l'ordre naturel des choses, pour que la balance penche en faveur du bien commun. Il défend la veuve et l'orphelin, se mettant parfois en danger sans être capable de mesurer les risques inconsidérés qu'il prend. Certains le disent téméraire, d'autres préfèrent le terme d'idiots ou d'inconscient. « Les dames d'abord. » Le magicien est un homme galant, qui aime à faire passer les femmes en premier, à tenir la porte et à faire les premiers pas. Il possède également des manières, qui rappellent parfois davantage celles d'un paysan de la ferme que celles d'un héritier royal, mais qu'il imagine nobles et soutenues. « Quand à cette vilaine plaie, il faudra penser à la désinfecter, n'est ce pas ? » Tout comme un bon prince, le personnage est un homme avenant, généreux, qui pense au bien être et à la sécurité d'autrui avant de penser à lui. Pourtant, il peut parfois se montrer présomptueux et quelque peu trop chevaleresque pour que son discours soit prit au sérieux. « Vous avez dit une histoire ? Attendez, je vais chercher ma tisane, et mes oreilles sont toutes à vous ! » Voici bien une chose dont a hérité le clone : l'amour qu'éprouve Gilbel pour les histoires et légendes en tout genre. S'il n'est pas doué pour les imaginer ou les raconter, il ne peut s'empêcher de les écouter avec attention, se laissant transporter par les mots. Le problème qui en découle est qu'il confond parfois -souvent- la réalité avec les fantaisies qu'il a entendu, sans parvenir à différencier le vrai du faux. Quelque peu crédule, il est également une cible facile qui se laisse souvent embobiné.

Histoire : Il était une fois, dans une contrée lointaine et fort peu peuplée, un immense château qui surplombait la colline des oubliés. Cette colline était réputée maudite car il était dit que tous ceux qui oseraient s’y aventurer disparaîtraient et qu’ils s’effaceraient peu à peu de la mémoire de chacun, ne devenant plus que des fantômes invisibles, des noms de vies passées. Ainsi, les habitants du petit village au pied de cette colline refusaient catégoriquement de gravir le sentier remontant jusqu’au Château du Rien. Il était dit abandonné depuis des ères, inoccupé depuis que son précédent propriétaire s’en était allé après avoir maudit les malheureux qui oseraient s’approcher de son domaine en leur promettant une éternité d’errance.
Tout semblait normal, sur la colline des Oubliés : le Château était toujours aussi lugubre, la météo toujours aussi catastrophique, et rien ni personne n'était à déclarer à des kilomètres à la ronde. Tout était comme d'habitude. Enfin, si l'on omettait l'étrange apparition qui venait d'avoir lieu dans le grand salon du château ! Un homme à l'allure chevaleresque, dans une tenue de très bonne facture aux tons ocres et marrons, venait de se matérialiser depuis le néant, confortablement assis sur le canapé. Pendant quelques secondes, il observa les alentours. Rien n'interpella son regard, si ce n'est un vieux conte à la couverture abîmée qui reposait sur la table basse, devant lui : les milles aventures d’Odette l’égarée. Sur la première de couverture, une jeune femme en détresse et son preux chevalier prêt à la secourir ! Thénolius -car c'est comme ceci qu'il se présenterai par la suite- se leva de son sofa et, prit d'un élan soudain, il brandit l'épée en bois qui pendait à sa ceinture et jura d'aller sauver celle à qui appartenait son cœur ! Bien sûr, sur son chemin pour retrouver Odette, de nombreuses embûches le ralentirait et il serait le héro qui inspirerait de nombreuses légendes ! Le cœur plein d'espoir, le chevalier de salon chercha la sortie, empressé de pouvoir se mettre à l'aventure.

Nom : Taïji;
Prénom : Joséphine;
Surnom : Josie;
Sexe : Féminin;
Âge apparent : La vingtaine;
Ère de naissance : la Conciliation;
Race : Magicienne;
Métier : X

Parents : Jun Taïji et Neige;
Frères et Sœurs : Maggie; Ida; Sophia; Nathanïel, Coco, Gabin.
Autre : Nounou Bonbon

Niveau : I (Niveau I à partir de 187 point)

Arme :
- Une baguette magique;

Spécialités :
- Agilité : 4
- Force : 4
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 2

Pouvoirs :
- Umbra in Lucem | Benedictio
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles
- Éternité
- Faire rajeunir les gens

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

Gain de niveau 4
- X

Gain de niveau 5
- X

Gain de niveau 6
- X

~ Quêtes

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Événements

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Intrigues
- X

~ Formes de magie
- La Magie Bleue
- La Magie de la Lumière

~ Couronnes
- X

~ Doubles nationalités
- X

~ Patrimoine et réputation
- X

~ Autres
- Les Patins : Il s'agit de deux patins qui semblent tout à fait normaux. Seulement, lorsque l'individu les enfile, il se retrouve sur la glace d'un lac gelé qui a été aménagé en patinoire. L'endroit n'apparaît sur aucune carte. Aussi, la patinoire ne peut regrouper que les personnes qui possèdent ces patins spéciaux, personne d'autre. À côté du lac, il y a un petit stand à boissons chaudes qui en distribue par magie à qui s'en approche en fonction des goûts de chacun.

Particularité : Elle est une création de Jun Taiji et élue du Dieu Ësse'Aellun. Elle devra étendre son culte.

Rôle-Play : Joséphine était assise devant sa coiffeuse, admirant son reflet avec passion tandis qu'elle brossait sa chevelure enflammée. « Mmh ~ L'Amouuuuur... C'est d'un regard qu'on le découvre... » chantait-elle d'une voix douce et rêveuse. C'était toujours ainsi avec la magicienne. D'un naturel plutôt bavard, elle aimait beaucoup parler et aimait encore plus chanter. Il n'y avait pas un jour, que dis-je ! Une heure sans que ses frères et sœurs n'entendent sa voix s'élever dans la maison où ils vivaient tous. Elle exprimait ses états-d'âme à travers ses chansons, jonglant entre les mélodies enjouées et rythmées puis calmes et tristes. « C'est un cœur qui palpite et la tête pleine de rêves... » expliqua-t-elle à son reflet. Son petit minois parfaitement lisse fut traversé par un froncement de sourcils : tout en essayant de dompter ses boucles rebelles, sa brosse avait coincé l'une de ses dents dans un nœud résistant. Josie se tut un instant puis observa son reflet en soupirant. Elle força un coup sec pour dégager le peigne qu'elle reposa puis se poudra le nez. La rouquine avait un côté très coquet. Comprenez la bien, elle risquait de rencontrer l'homme de sa vie à tout instant, il était hors de question qu'elle fit mauvaise impression en se négligeant ! Alors elle mettait ses atouts en valeur. Certaines mauvaises langues prétendaient que l'Amour dont elle rêvait tant n'arriverait jamais car elle aimait trop son propre reflet. C'était méchant et surtout faux, cela blessait la jeune femme. Elle reconnaissait simplement son potentiel. Ses longues jambes effilées, sa taille de guêpe, son goût pour la mode, ses boucles incandescentes qui la laissaient rarement inaperçue et sa voix envoûtante... Malgré cela, elle possédait des complexes : des hanches trop larges, une poitrine pas assez développée, des tâches de rousseurs disgracieuses et un nez trop retroussé qui lui avait valu quelques moqueries dans son enfance.
Tandis que la coquette reprenait sa préparation en chantonnant, une tornade déboula dans la chambre, hurlant et courant tout en renversant quelques éléments du mobilier. « Gabin ! Fiche le camp de ma chambre ! » cria l'amoureuse d'un ton outré. Joséphine était ainsi : toujours dans l'effusion de sentiments. Explosion de joie ou de colère, elle était incapable de retenir ses émotions vacillantes. Le jumeau s'immobilisa, debout sur le matelas. Le garçon ressemblait fortement à sa moitié, le différenciant tout autant de leur parent. Il avait néanmoins hérité du charme de son père et de la grâce de la mère. Un sourire coquin et moqueur habillait son visage tout en regardant le bazar qu'il avait mis dans la chambre qu'il partageait autrefois avec la magicienne. « Oh ma douce Josie ! » s'écria-t-il d'une voix de ténor tout en sautant du lit pour se rapprocher de sa moitié qui s'était levée de sa chaise, furibonde. Il déposa un genou à terre et s'empara de l'une de ses mains. « Josie ma belle ! Pourquoi donc vouloir vous échapper à ma prise ! Je ne peux retenir les élans de mon cœur et vous avouer, ici et maintenant, mon amour éternel ! » continua-t-il d'une voix charmeuse, récitant les répliques de la célèbre pièce "La Belle et l'Ours". Si Josie dédiait sa vie à la chanson et la musique, Gabin la dévouait au théâtre et au spectacle. Malgré son air capricieux, Joséphine ne put retenir un sourire en récupérant ses doigts. « Qu'est ce que tu me veux ?! » dit-elle sur un ton faussement agacé tandis qu'elle sentait un rire lui chatouiller la gorge sous la comédie de son jumeau. « Nounou Bonbon t'a préparé ton casse-croûte pour que tu puisses aller à la chorale » informa-t-il tout en se dirigeant vers la sortie. « Eh ! Range ce que tu as fait tomber ! » mais la silhouette flamboyante était déjà repartie.

Nom : Ward
Prénom : Orlane
Sexe : Féminin
Âge apparent : La dizaine
Ère de naissance : Conciliation
Race : Magicienne
Métier : X

Parents :Renold et Peneloppe Ward;
Frère ; Aleran Ward;

Niveau : I (Niveau I à partir de 187 point)

Armes :
- Une baguette magique;
- Un lance-pierre

Spécialités :
- Agilité : 4
- Force : 4+ 1 = 5
- Charisme : 2
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Umbra in Lucem | Benedictio;
- La Valse Créatrice;
- La Magie des Pentacles;
- Éternité;
- Invocation de licorne;

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

Gain de niveau 4
- X

Gain de niveau 5
- X

Gain de niveau 6
- X

~ Quêtes

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Événements

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Intrigues
- X

~ Formes de magie
- La Magie Bleue
- La Magie de la Lumière

~ Couronnes
- X

~ Doubles nationalités
- X

~ Patrimoine et réputation
- X

~ Autres
- Pilou-Pilou : Il s'agit d'un pyjama combinaison en polaire. Il représente un pingouin. Lorsque son possesseur le porte, il n'a jamais froid et fait toujours de beaux rêves. Aussi, l'objet le protège durant la nuit en créant un bouclier autour de lui.

Particularité : De tous les petits-enfants de Bellada, c'est elle qui passe le plus de temps avec sa grand-mère.

Physionomie : « Les cheveux d'or et les joues rouges, comme ta grand-mère ! » répétait souvent Papa, lorsqu'il s'occupait d'Orlane. La comparaison faisait bien évidemment frémir de plaisir la petite Ward qui prenait exemple sur son aïeule. Ce n'était pas flagrant mais l'on pouvait surprendre des mimiques, des postures et des expressions empruntées à la grand-mère chez la petite magicienne. Ses cheveux blonds étaient souvent attachés en couettes, car c'est ainsi qu'aimait la voir Bellada. Même les épaisses lunettes d'Orlane, qui protégeaient ses yeux bleus-verts, rappelaient celles de la bibliothécaire. « Mais heureusement, tes vêtements à toi sont bien plus jolis ! » Il est vrai que les toilettes de la petite Ward étaient plus récentes, semblant moins démodées que les vieilles robes de coton, mais elles n'en étaient pas moins neuves. En effet, à son grand damne, la blondinette était forcée d'enfiler les vieilles robes et les vieux souliers portés par ses aînées ou ses cousines. Pour remédier à cela, Orlane a demandé à sa mamie de lui apprendre à coudre mais il y a encore du travail avant que l'artiste puisse porter ses propres créations.

Psychologie : « Alors, tu aimes ? » « Non, pas vraiment. » avait répondu Orlane, imperturbable. La fillette était d'une honnêteté tranchante, parfois douloureuse, toujours dénuée de mauvaise intention. Peut-être était-ce dû à son jeune âge, peut-être répondait-elle avant de réfléchir -quoi que ce trait de caractère ne lui ressembla pas : elle était plutôt posée et pensait chacun des mots qu'elle prononçait. Mais, là encore, son avis avait vite tendance à changer, bouleversé par ses états d'âme et l'évolution rapide qui caractérise les élèves en plein apprentissage. « Mais ne t'en fais pas. Tu feras mieux la prochaine fois. » avait-elle enchaînée, un sourire aux lèvres. Tranchante, peut-être, mais elle pouvait également se montrer douce, attentionnée. Tout comme sa grand-mère, la blondinette est animée d'une profonde bonté. Toujours un mot gentil, un petit encouragement ici, un compliment par là. « Il faudra me faire regoûter, pour que je puisse en juger par moi-même. » En revanche, la magicienne, contrairement à son aïeule, ne se fiait qu'à ce qu'elle voyait ou expérimentait de ses propres yeux. Encore naïve de par son âge, son esprit critique tend néanmoins à se développer de plus en plus, et elle ne se fit qu'à ce qu'elle peut vérifier.

Histoire : « Est ce que... Est ce que tu crois que Aleran m'en veut ? » avait demandé Orlane en ajoutant le sucre dans son saladier. Bellada posa son regard ébahit sur la petite tête blonde de la cuisinière en herbe. « Aleran ? Mais pourquoi t'en voudrait-il, voyons ? » avait demandé, une fêlure dans la voix, la grand-mère. Elle savait que ce petit poussin, aussi détachée et indépendante qu'elle pouvait sembler, se souciait en fait ce que pouvaient penser son entourage. Cette question, posée sur le ton d'une simple discussion, était en réalité beaucoup plus lourde que ne le montrait la fillette. Cette dernière haussa vaguement les épaules avant de replacer ses lunettes en haut de l’arrête nasale. « Maman le déteste. Je ne suis pas sûre de comprendre pourquoi. Je lui ai posé la question, une fois, mais elle s'est drôlement énervée. » Perchée sur un tabouret pour atteindre la hauteur du comptoir avec aisance, elle s'empara du fouet et commença à mélanger les ingrédients secs entre eux. « Papa l'aime, mais pas autant que moi ou que les autres... Pourtant, Aleran, c'est mon grand-frère. Tu me le répètes tout le temps... Du coup... Je ne peux m'empêcher de me dire qu'il doit être un peu jaloux. » dit-elle pour expliquer le fond de sa pensée. « Moi, à sa place, je le serais sans doute. » ajouta-t-elle, imperturbable. « Les autres, ils vont à l'école ou jouer avec leurs copains. Mais moi, je viens tout le temps ici. C'est un peu comme si j'essayais de lui piquer la seule personne qui l'aime très fort. » Comme pour expliciter sa pensée, la petite remonta son regard sur la silhouette tendue de sa grand-mère, qui s'était immobilisée, concentrant toute son attention sur ce petit être au cœur troublé. « Alors, même si ce n'est pas mon but, je comprendrais s'il m'en voulait. »