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 | Le mariage |

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Mitsu
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◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Sam 07 Déc 2019, 19:46

| Le mariage | 10529210
Textes - Mancinia
Nikâh nin Hashri

Au sein du peuple Humain, l'amour n'est pas le fondement de l'union, mais un principe qui vient en se mariant. Ainsi, le Nikâh, comme on le nomme, n'en est pas moins un acte sacré, incarnant en premier lieu l'union de deux familles, apaise les tensions, garantit la paix et est source d'une descendance prospère. Les Aetheri dominants de cette célébration sont Dubheasa, l'Aether de la Prudence et des Serments et Isahora, l'Aether de l'Amour et des Mariages.

Fiançailles

Si une femme souhaite s'unir à un homme, c'est elle qui apporte une dot. Si un homme souhaite s'unir à une femme, c'est lui qui apporte un douaire. Ces biens restent à disposition des deux fiancés, pour qu'ils puissent débuter au mieux leur vie ensemble, se mettre à l'abri du besoin et est un gage que la famille puisse faire un mariage avantageux. Ces cadeaux peuvent prendre la forme d'argent, de bijoux, de terres ou de troupeaux. Dans l'éventualité d'une rupture des fiançailles, chacun est en droit de récupérer ses biens, ou équivalents si certains ont été usés.

Si l'union est choisie, l'homme ou la femme demande à son partenaire de s'unir sous le regard des Aetheri, célébrant ainsi leurs fiançailles, nommées Erūsīn. Dans le cas d'une union arrangée, dans les familles les plus riches, il est de coutume que l'intéressé et un de ses parents se rendent dans la demeure de sa promise pour discuter amicalement des futures épousailles. Cela n'implique aucun engagement et s'il ne fonctionne pas, comme cela arrive régulièrement, il n'y a pas de rancune entre les familles. Si cet engagement est une réussite, il se déroulera alors une soirée où l'annonce sera faite officiellement : une cérémonie de fiançailles, ou Nikâh Erūsīn.

Dans le cadre des familles plus modestes, voire pauvres, il n'est pas nécessaire de tenir de tels engagements. Il est simplement de coutume que l'intéressé demande son partenaire en mariage, sans qu'un accord ne soit nécessaire.

Dans les deux cas, selon la richesse de la famille, on se contentera d'une fête intime ou d'une immense célébration, c'est ici que le fiancé offre réellement son engagement. Lors de cette cérémonie, on prévoit de déguster du thé avec des douceurs.

Chez les Humains, c'est le collier qui incarne une promesse de mariage. On nomme cela le Qirān. Une fois noué, personne ne peut le défaire. Si ce n'est la personne qui aura demandé la main de l'autre, lors du mariage et lorsque l'anneau est mis à son doigt, scellant définitivement leur union. Les traditions pour le défaire sont variées. Il peut être enlevé simplement, démontrant alors que l'un fait confiance à l'autre pour lui tourner le dos, mais peut-être également rompu avec la lame d'un couteau, tout un symbole pour les couples guerriers. Si le collier est abîmé ou tombe en raison d'un choc, l'union sera maudite et même, souvent, annulée, pour ne pas s'attirer les colères des Aetheri. Si un tiers l'arrache du cou d'un promis ou d'une promise, l'on dit que ce dernier sera maudit par Dubheasa qui se détournera de lui et il faudra procéder à nouveau à une demande officielle pour ne pas déplaire aux Dieux.

Cérémonie de Mariage

La cérémonie des épousailles est riche d'anciennes coutumes, souvent en raison de l'ancienne vie nomade d'une grande partie du peuple. Tous les mariages, sans exception, se font à la clarté des flambeaux. Coutume devenue usuelle depuis l'établissement dans le Désert, où il fait plus froid la nuit et où l'on célèbre souvent l'union en soirée et en extérieur. Certains Royaumes pratiquent le mariage plus tôt.

La robe de mariage peut être de n'importe quelle couleur, selon le choix de la mariée de ce qu'elle souhaite mettre en avant, mais les trois couleurs dominantes restent le rouge, le violet et le bleu. Le rouge incarne l'amour, la bonne santé et la bonne vie. C'est la couleur de la passion, de la romance et du désir, démontrant une nature vibrante et romantique. Le violet incarne une ode au passé, il évoque les mariages élaborés avec des épouses délicates, représentation même de la féminité et de la pureté. Le bleu est associé à la couleur de l'eau et de la mer. Elle représente le calme et la tranquillité, transmettant ainsi la stabilité et la fidélité.

L'homme porte une chemise blanche, ainsi qu'une veste ample et un pantalon correspondant au choix de sa fiancée. Les compagnons ayant une carrière militaire peuvent se marier en portant leur tenue officielle. Au cours de la cérémonie, chacun des invités se voit donner d'un assortiment de sept herbes et épices pour se prémunir contre le mauvais sort : des graines de pavot, du riz sauvage, de l'angelica [une plante], du sel, des graines de nigelle, du thé noir et de l'encens qui sont offertes par les mariés et mélangés dans un sachet qui se glisse facilement dans une poche ou se noue autour du cou.

Au coucher du soleil, les fiancés sont chacun dans leur demeure. C'est la personne qui a demander en mariage qui part en premier vers le temple et accueille ses invités en attendant ensuite devant l'autel. Il est rejoint par son promis, qui remontera l'allée, seul. Il est de coutume que les gens crient et célèbrent le mariage à son passage. Les deux époux sont agenouillés devant la Prêtresse d'Isahora, lors de l'annonce des Sacrements. Un Tooreh, aussi appelé Tissu de l'Amabilité, est ainsi étendu au-dessus de la tête du couple tout au long de la cérémonie par les personnes les plus proches de l'entourage des mariés. Son nom vient du fait qu'un ami commun frotte deux cônes de sucre au-dessus des têtes des mariés et retomberont sur le blanc et presque transparent, symbolisant plus de douceur et de bonheur de l'amour naissant. De l'encens brûle dans des endroits précis pour chasser les mauvais esprits. Lorsque les Sacrements sont terminés, il y a l'échange des anneaux, la brisure de l'engagement et les époux unis peuvent s'embrasser. L'homme devient Hatan, soit époux et la femme, Hatana, soit épouse.

Les nouveaux mariés se redressent et, main dans la main, remontent l'allée sous une pluie de pétales issue des Roses du Désert. Ils se dirigent ensuite vers le lieu où se tiendra le repas de noces, dit Ahuzzatu, en guidant leurs invités. Avant même de s'asseoir, ils entourent le couple qui effectuera alors le Matale, la Première Danse. En effet, les Shire Mâdary, danses traditionnelles, ainsi que la musique, sont au coeur même du Nikâh. Il n'est pas rare d'engager des danseurs pour animer les différentes étapes du banquet. Il est très mal vu que la musique ou les danses s'arrêtent, les mariés s'adonnent également à cette pratique avec engouement. Le Matale ouvre donc officiellement la soirée. Une table de mariage est dressée devant les mariés, tout en était orientée vers l'est, qui est la direction du lever du Soleil. Outre de l'eau de rose utilisé pour parfumé l'air, de nombreux éléments symboliques sont présents pour porter chance et apporter le bonheur au couple. On y retrouve notamment :

- un miroir représentant la lumière, symbolisant la luminosité dans la relation
- les torches, qui représentent l'énergie, symbolisant la clarté dans la vie du couple
- des pièces d'or, qui représentent la richesse, symbolisant la prospérité financière
- de l'encens est mis sur des charbons ardents dans un brasero, ce qui éloigne le mauvais sort

D'autres éléments symboliques traditionnels peuvent être présents, selon les coutumes de l'un ou de l'autre, s'ils sont issus de races différentes.

Au début de l'Ahuzzatu, les nouveaux époux doivent se partager du miel en trempant leur petit doigt dedans simultanément, symbolisant la douceur de la vie de couple, avant de le placer dans la bouche de leur conjoint. Il sera accompagner d'un morceau de pain recouvert d'un oeuf. Le pain est le symbole de la prospérité sur son foyer et l'oeuf symbolise la fertilité du couple. Le repas se déroule ensuite selon les préférences des mariés. On y retrouvera obligatoirement une galette avec des inscriptions faites avec du safran, de la cannelle, des graines de nigelle ou des paillettes de sable. Elle peut être accompagnée de feta et d'herbes fraîches. Elle symbolise l'abondance et la prospérité pour leurs invités. Un moyen de les remercier d'avoir fait le déplacement.

Les mariés et invités réalisent également une danse du couteau - nommé Yataeh - les caractéristiques en sont que les danseurs disposent d'un certain nombre de mouvements dont ils se servent pour s'exprimer. Leurs mains peuvent alors bouger de manière précise, avec l'objet qui passe de main en main, avant de l'utiliser pour couper le gâteau, qui marque le début de fin de la cérémonie. Au milieu de la nuit, alors que les invités sont encore là, il est de coutume que les époux pratiquent la Première Chevauchée, le Syanr, qui se résume en général à prendre un dromadaire ou un cheval, selon le Royaume et à partir ensemble s'aérer l'esprit en présence des Aetheri, avant de procéder à leur Zāǧa, autrement dit, l'union charnelle.

Au lendemain de leur cérémonie de mariage, les mariés se rendent chez leurs beaux-parents. Le marié offre un cadeau à la mère de son épouse et la mariée offre un cadeau au père de son mari. En général, ces derniers servent aux deux parents. Cette réunion est appelée Zifāf.

Préceptes

✭ Dans les Hautes Sphères, il n'est pas rare que des fiançailles soient fixées dès l'âge de sept ans. Les fiancés ne pouvant toutefois pas s'unir avant leur majorité. La promise doit également attester avoir ses menstrues, démontrant ainsi le fait qu'elle puisse avoir des enfants et faire prospérer la lignée. S'il n'est pas rare que les familles choisissent le conjoint de leur enfant, la liberté est permise dans certaines autres, mais l'influence de cette dernière reste très présente dans ces unions.

✭ Il n'est en aucun cas nécessaire d'obtenir l'approbation des parents dans une union, mais le choix doit être minutieusement fait. Les divorces sont interdits, car il s'agirait d'une rupture de serment et une insulte envers Dubheasa. Seul Muharkel l'autorise auprès de certains de ses grands soldats se soient illustrés au cours d'une célébration, le serment est ainsi rompu de manière solennelle.

✭ L'un ou l'autre époux n'a pas autorité sur l'autre. Ils se doivent mutuellement respect et fidélité, devant faire honneur à leur famille avant tout le reste. En cas de manquement, le nom de la lignée serait déshonoré.

✭ L'adultère n'est pas considérer comme un crime selon la loi, mais n'est pas bien considéré selon la classe sociale, ainsi que le partenaire. Celui-ci est aussi très codifié et peut paraître étrange aux autres peuples : la fidélité s'inclut même s'il y a des maîtresses ou des amants officiels. On peut aller voir ailleurs, mais on se doit d'aimer son conjoint et sa famille, les autres n'ont aucune importance et ne sont que des distractions. La femme et l'homme doivent approuver les amants de l'autre. Si l'un est caché, il n'y a plus fidélité.

✭ Les enfants portent en général le nom du parent ayant le titre le plus élevé, peu importe que ce soit un homme ou une femme. Un accord peut être fait entre les époux qui permettent aux enfants de porter le nom du père, celui de la mère, voire les deux. Si ces enfants sont nés d'une union autre qu'avec l'époux, par exemple, chez une maîtresse officielle, ou sont des enfants adoptés, ils porteront un autre nom qui sera rattaché à la Famille. Exemple : Mancinia Leenhardt a adoptée des enfants, ces derniers incarnent la branche Feriel de sa famille. Bien sûr, cela reste un choix du patriarche ou de la matriarche.

✭ De coutume, les relations charnelles entre les fiancés sont interdites. Les femmes doivent également rester vierges avant le mariage et la belle-famille peut demander l'attestation de cette virginité par un examen médical. Seulement, cette coutume vaut pour la Noblesse et tant à disparaître au fil des ans. Le bas peuple se livre à ses activités comme bon lui semble et ne s'attarde pas vraiment sur ce détail.

✭ Les mariages homosexuels sont reconnus, seul Muharkel les interdits, estimant qu'une union doit être féconde. Dans les autres Royaumes, reconnaissant la nature bisexuelle des Humains, tous espère souvent que des amantes ou des amants seront choisis pour que des enfants naissent.

✭ Il est très rare de ne pas avoir eu d'enfant avant la trentaine et est encore plus rare de n'en avoir qu'un seul. Les célibataires endurcis sont très mal vu. S'il n'y a aucune obligation juridique, la pression de l'opinion publique est très forte. Le célibat est ainsi entouré de mésestime et de blâme.

✭ Il est de coutume de planter une orchidée dans le futur domaine des époux et de préserver la plante pour s'attirer les faveurs de la Déesse Isahora.

Variantes selon les Royaumes

Qaixopia - Le cas s'applique ici.

Babelsba - Le cas s'applique ici.

Muharkel - il existe quelques changements en comparaison des autres, le Royaume n'interdit pas les relations homosexuelles, mais en interdit le mariage. Il autorise le divorce si l'homme ou la femme s'est illustré et souhaite s'affranchir de son partenaire actuel pour se remarier. Seuls les Grands peuvent avoir des amants ou des maîtresses de manière officielle, l'infidélité est crainte en raison de la nature assez fermée de l'île, qui craint de voir des personnes apparentés, même sans le savoir, se liver à l'acte charnel. Quant au mariage, il peut également avoir lieu en mer, ou sur un navire à quai. Dans ce cas, il est de coutume d'honorer Aylidis.

Grimvarr - Le mariage ne se pratique pas.

Haute-Terre - Les habitants de Haute-Terre se marient selon les préceptes Magiciens.

Cérémonie de Mariage entre un Humain et son Ange Gardien

Au fil des siècles, les Anges et les Humains ont développés un lien profond et sans commune mesure, celui qui lie les Gardiens et leurs Protégés. Ce lien peut être si profond et si fort que les deux concernés finissent par nourrir des sentiments amoureux l'un envers l'autre et il n'est donc pas rare de voir des unions se célébrer entre les deux races. Les Anges apprécient en général que la coutume de leur mariage soit dominante, mais au fil du temps, les deux rituels ont finis par fusionner, donnant naissance à une nouvelle cérémonie de mariage : Asopọ Mimọ, comme appelée chez les Anges - littéralement Liaison Sacrée - ou le Nikâh al Syanr - L'Union est un Voyage - chez les Humains, si bien que c'est désormais cette célébration qui est utilisée lorsque les deux races s'unissent.

✭ La cérémonie de fiançailles se déroule selon les préférences, soit en suivant la coutume humaine, soit celle angélique. Il n'est donc pas rare de voir un Humain avec un anneau, ou un Ange avec un collier dont il ne se défait pas en fonction de qui aura fait le premier pas. On sait d'avance que l'amour est sincère et que rien ne saurait l'entacher et, de ce fait, les deux peuples peuvent se retrouver pour fêter l'union.

✭ Les Cérémonies de l'Ìwẹnumọ et du Ja fun Igbeyawo sont respectées.

✭ Les deux époux se marient en blanc et portent tous deux une couronne de lauriers dans un métal mettant en avant leur statut au sein de leur hiérarchie.

✭ La femme n'est pas voilée, les Humaines n'apprécient pas cacher ce qu'elles sont. Elles favorisent seulement un voile qui recouvre leurs cheveux pour les protéger.

✭ Le témoin de l'Ange sera un Humain. Le témoin de l'Humain sera un Ange.

✭ Les torches sont présentes en nombre et de l'encens est brûlé en quantité.

✭ L'assortiment des herbes est respecté pour chaque invité, ainsi que la présence du Tooreh.

✭ Selon le compagnon qui à demander la main de l'autre et si les préceptes Humains ont été respectés lors des fiançailles, le collier est brisé une fois que la bague est mise au doigt.

✭ L'adultère est proscrit, mais à l'inverse de tous les autres mariages où le Sorapo est utilisé, le lien qui uni les Gardiens est leur Protégés est si fort que l'un ou l'autre ressent la trahison, tant le lien qui les unis est trouble. Par ailleurs, il s'agit d'une réelle marque de confiance que de ne pas l'imposer. L'Ange étant une créature fidèle de nature, il attend la même considération de la part de son partenaire. Les Humains ne cachent que rarement leur attirance pour d'autres, ce qui empêche les tromperies. Dans l'éventualité de l'irrespect de cet accord tacite, l'union peut être brisée par un rituel réalisé par les Prêtresses d'Isahora, la personne responsable de la brisure de son serment est maudit par Isahora, pour avoir trahi son amour et Dubheasa, pour avoir trahi son serment. Souvent, le coupable se retrouve incapable de retrouver l'amour, d'être heureux, voire d'enfanter.

✭ De coutume, les relations charnelles sont interdites avant l'union.

✭ Les enfants portent en général le nom du parent ayant le titre le plus élevé, peu importe que ce soit un homme ou une femme. Beaucoup d'Anges ont encore du mal avec ce fait, où les transmissions de nom se font en général du père vers les enfants.

✭ Il est de coutume de planter une orchidée dans le futur domaine des époux et de préserver la plante pour s'attirer les faveurs de la Déesse Isahora.

✭ Dans l'éventualité où un Humain et Ange, qui ne sont pas liés par le Lien des Gardiens, désirent se marier, ils doivent réalisés la cérémonie du Sorapo, mais ces mariages sont plus rares.

✭ Une variante existe sous le nom de Commuae : au bout d'une année de vie commune, un couple est considéré comme marié. Durant cette période, la femme ou l'homme ne peut rester trois nuits de suite sans venir dormir sous le même toit que son compagnon. S'ils restent absents du domicile autant de temps, on considère qu'il y a abandon. Le mariage est frappé de nullité. Cette pratique n'est pas reconnue par les Anges, uniquement par les Humains. Elle est rarement utilisée, voire désuète, mais elle s'est pratiquée à une époque et il n'est pas rare d'en entendre parler.

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