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 | Les fêtes Ygdraëennes |

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Mitsu
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Mitsu
Lun 11 Nov 2019, 17:30

| Les fêtes Ygdraëennes | Spring10
Crédit : Spring by Mako Yi
Texte par Ezechyel
L'Yndris

Renaissance du Printemps. Avènement du Printemps. Équinoxe d'Estella. Toutes ces appellations, bien que différentes, servent toutes, en réalité, à désigner une seule et même célébration. L'Yndris, de son nom officiel, est à la fois une cérémonie organisée par les Erëla qu'une fête à proprement parler se déroulant exclusivement sur les territoires ygdraëens et færiques. Le rituel et les festivités, indissociables l’un de l’autre, signent conjointement le retour tant attendu de la saison printanière sur l’ensemble des Terres de Sympan. Pourtant, malgré le rôle crucial qu’il joue dans le renouvellement de la Nature, l’Équinoxe d’Estella ne fut guère épargné de son lot de tragédies au cours de l’Histoire. Effectivement, à l'époque qui précéda l'invasion des Ridere durant l'Ère de la Renaissance du Dieu-Roi, le Printemps refusa inexplicablement de renaître, condamnant ainsi une génération entière de Fæs à subir un destin funeste. Il faut comprendre que, sans l'intervention des Erëla, la Nature serait incapable de revivre par ses propres moyens. Le sol infertile de l'hiver – ou des saisons équivalentes – serait contraint à le rester, dépérissant progressivement jusqu'à la désolation et la désertification complète de l'environnement.

Par ailleurs, les Ygdraë ne sont pas responsables de la Renaissance du Printemps sur les territoires humains, compte tenu de la présence du Ma'Ahid qui entrave leur Magie. Ce sont donc les Déesses Phœbe et Méli qui s'occupent d'accomplir le rituel à travers les différents Royaumes, de même qu'au sein des lieux secrets et non-découverts. Concernant ces derniers, il est dit que dès qu'une nouvelle terre se fait coloniser par un peuple connu, les divinités délégueraient l'avènement de l'Yndris aux Ygdraë afin que ceux-ci puissent perpétuer leur tradition millénaire. Cependant, si les Erëla refusent de faire revivre le Printemps sur un territoire quelconque, toutes les Magies affiliées de près ou de loin à la création de la Nature, bien que toujours fonctionnelles, perdraient néanmoins de leur efficacité. En effet, les végétaux naissant de ces pouvoirs finiraient forcément par disparaître ou par mourir au bout de quelques jours seulement et ce, quelle que soit la puissance de celui qui les utilise, l'infertilité des sols étant, dans tous les cas, inévitable sur le court terme. Quoi qu'il en soit, depuis l'Ère de la Conciliation, les Fæs et les Ygdraë s'assurent d'effectuer le rituel à l'abri de tous regards indiscrets afin de préserver la cérémonie de la malice des étrangers.

Ainsi, l'Yndris est non seulement une fête importante pour la société elfique, mais également pour chaque être vivant qui peuple les Terres de Sympan. À Melohorë, les festivités se déroulent durant plusieurs périodes au cours de l'année, lorsque le jour et la nuit sont de durée égale. Par le passé, la gestion des célébrations était laissée entre les mains de la Famille Émeraude, mais les pratiques changèrent drastiquement à l'aube de l'Ère de la Conciliation. Désormais, ce sont les Cyraliel et les Enelyë qui ont la mainmise sur la planification de la fête. Cependant, si les Elfes appartenant à ces deux clans détiennent l'exclusivité sur les préparatifs de l'Yndris, il s'agit bel et bien du rôle des Erëla d'accomplir le rituel grâce à leur spécialisation de la Magie de Natura, la Jeunesse d'Estella. En outre, c'est également lors de ces grandes célébrations que les Ildra se voient répartir entre les cinq branches ygdraëennes par les Cyraliel. Ces derniers invitent les Elfes concernés à participer aux festivités au risque de les bannir parmi les Isäth dans le cas contraire. Les Enelyë, quant à eux, testent une seconde fois les Löth pour écarter tous les doutes concernant leur statut de réincarnation d'Yggdrasil.

Déroulement

• La cérémonie | Présidée par les Erëla au sein, préférablement, d'un terrain vierge, la cérémonie se déroule en deux temps. Le jenwë eym kaelye firin (ou le départ des saisons mortes en langue commune) est caractérisé par des prières, des chants et des psalmodies pour dire proprement adieu à l'hiver – ou aux saisons qui s'y apparentent selon l'endroit où le rite est accompli. Une fois la séance du jenwë eym kaelye firin terminée, le rituel est clôturée par le cuiveä eis Yndris (l'éveil du Printemps) qui marque le moment durant lequel les Erëla, enfin prêts à faire revivre la belle saison, libère la Magie de Natura pour insuffler une nouvelle vie à la végétation. Évidemment, sur les territoires n'appartenant ni aux Ygdraë ni aux Fæs, le jenwë eym kaelye firin et le cuiveä eis Yndris s'opèrent en petit comité afin de ne pas attirer l'attention des étrangers. C'est pourquoi, sur les territoires sylvestres et færiques exclusivement, la performance des deux rites s'accompagne également de musique et de danses traditionnelles effectuées par de grands noms de la scène elfique et færique. À Melohorë, les Ygdraë font résonner un clocher, le Nessäh, pour annoncer le début officiel des célébrations. Le son de la cloche est amplifié par Magie afin qu'il puisse être entendu sur l'ensemble du territoire.  

• Spécificités à Melohorë | La fête, qui s'étale sur une semaine entière, est organisée par les Cyraliel et les Enelyë. Contrairement à la cérémonie, les festivités animant le territoire elfique ne sont pas soumises à de quelconques mesures de discrétion. Le plaisir, l'excès et l'ivresse s'emparent de l'ambiance et des esprits durant des jours et des jours, sans jamais qu’ils ne s'épuisent. Les Ygdraë profitent de l'occasion pour s'amuser, danser et chanter de tout leur soûl, alors que les couples et les amours passagers, transportés par l'enivrement de la fête, voient subitement leurs corps se rapprocher dans des étreintes charnelles et langoureuses. Pour leur part, les enfants font preuve de créativité afin d'inventer de nouveaux jeux ludiques sous la tutelle attentive de leurs parents qui leur enseignent les traditions millénaires de l'Yndris. Côté gastronomie, les mets les plus fins, exclusivement faits à base de fleurs, de fruits, de noix et de légumes, sont préparés et servis à tous les citadins de Melohorë sur les places publiques de chaque Cité et de chaque village du territoire. Même si la règle n'est applicable qu'aux Enök et aux étrangers, il est formellement interdit de consommer toute nourriture d'origine animale, incluant les produits laitiers, durant la période des festivités. En outre, l'Avènement du Printemps est mondialement connu pour sa richesse en termes de coutumes et de pratiques diverses. Parmi ces dernières, la plus populaire demeure sans conteste le don d'offrandes à Estella et à Phœbe. Ce rituel, qui est réputé comme étant un incontournable, consiste simplement à placer des couronnes de fleurs printanières, comme des tulipes, des jacinthes et des violettes, au pied des autels dédiés aux deux Ætheri concernées. Cela dit, il est important de s'assurer que les fleurs utilisées lors de la confection de ces couronnes soient fraîches. Celles-ci devront donc être cueillies en forêt avant de se faire assembler. Il existe aussi une variante de cette tradition où il suffit de remplacer les couronnes florales par des sacs remplis de semences. D'après les croyances des Elfes, en agrémentant le rite de quelques prières afin de rendre hommage aux Divinités de la Nature, les récoltes seraient garanties à l'abondance pour toute l'année.

Il est aussi de coutume de bâtir des autels près d'une source d'eau douce, comme un lac ou une rivière, à proximité d'un cerisier. Si les Déesses Estella et Phœbe sont, incontestablement, les divinités les plus vénérées lors des célébrations, il demeure essentiel de ne pas négliger les cultes et les prières dédiés aux autres Ætheri importants. Il s'agit de Jeriel, Cléophée, Edel, Ezechyel, Kennocha, Velouria, Isahora, Tharja et Isemli principalement. Les Ygdraë ont également l'habitude de se promener pieds nus afin de garder un contact encore plus intime avec la Nature. Par ailleurs, quelques rumeurs chuchotent que l'Yndris procurerait des effets merveilleux sur le Yi, une énergie que seuls les Elfes sont en mesure de contrôler. Il est souvent dit que, une fois délivré de la pénurie de l'hiver, le Yi gagnerait une puissance considérable suite à la performance de la cérémonie du Printemps. On prétend donc que le pouvoir Earudien serait amplifié durant la période des festivités, même si aucune recherche n'a été réalisée afin de confirmer ce fait. Quoi qu'il en soit, une autre tradition majeure est celle de la peinture de coquilles d'œufs vides. Que ce soit à l'aide de pinceaux ou de Magie, les Ygdraë affublent les œufs en question de couleurs vives et éclatantes, comme le vert, le jaune et le rose, afin de bien représenter la saison printanière. Symboles de la Renaissance et du Renouveau, les œufs sont intimement associés au culte de l'Æther des Saisons. De ce fait, briser un œuf est perçu comme un signe de malchance et d'infortune selon les croyances sylvestres. Les bébés animaux, en particulier les poussins, sont, quant à eux, également mis à l'honneur, puisqu'ils sont étroitement liés à la symbolique de Phœbe. C'est pourquoi s'en prendre à un animal est interprété comme étant une offense à l'encontre de la Déesse. Par conséquent, quiconque serait surpris à commettre un tel affront se verrait aussitôt condamner à subir les pires châtiments de l'Æther et de ses enfants.

Exemples de musiques jouées à Melohorë :
I | IIIIIIV

• Spécificités à Ynys Sailanen | Si la cérémonie suit les mêmes préceptes qu'à Melohorë, les habitants de Ynys Sailanen célèbrent l'Yndris d'une manière leur étant propre compte tenu de la présence des Fæs. La fête est donc agrémentée de Spectacles Féeriques dont la beauté, dit-on, serait si sublime qu'elle envoûterait tous ceux qui les contemplent. À l'instar de la terre-mère elfique, l'ivresse et l'excès sont au rendez-vous parmi les locaux. Les boissons alcoolisées, comme le Miruvor - une bière typiquement ygdraëene - coulent à flot dans les verres sans jamais s'arrêter. Curieusement, malgré la quantité aberrante d'alcool qui est servie à l'intérieur des tavernes, les débordements y sont peu fréquents. Quoi qu'il en soit, les chants, la musique et les danses s'enflamment à des rythmes frénétiques pour ravir les yeux et les oreilles des spectateurs et des artistes. Pour leur part, les Fæs, fidèles à elles-mêmes, répandent leurs Poussières Merveilleuses sur les plantes et les bourgeons afin d'embellir la nouvelle végétation. En outre, à Ynys Sailanen, les citoyens n'adressent pas leurs prières à Phœbe, mais à Méli, l'Æther de la Nature du panthéon færique. Ainsi, il est de coutume, durant les soirées et les grands banquets, de réciter des Contes de Fæs dans le but d'honorer la Déesse. Plusieurs rumeurs courent également sur le Jardin Secret en cette occasion de fête. En effet, il est dit que la Magie qui imprègne le lieu sacré soit si pure et merveilleuse qu'elle serait en mesure de soigner tous les maux de l'esprit, comme la dépression, la bipolarité et même la folie. Enfin, l'Équinoxe d'Estella fait également office de saison de reproduction pour les Illuminæ qui, depuis l'Ère de la Conciliation, ont pour tradition de donner naissance à de nouvelles Fæs en fécondant les fleurs que le rituel elfique a permis de faire renaître.

Exemples de musiques jouées à Ynys Sailanen :
I | II | III | IV

• Spécificités à Iyora | À l'instar d'Ynys Sailanen, les préceptes de la cérémonie demeurent en tous points identiques à ceux qui régissent les Terres de Melohorë. Cela étant dit, la spécificité d'Iyora réside essentiellement dans la célébration de la fête en elle-même, la plus grande différence étant l'organisation d'un concours par les habitants. Ce dernier a pour but de sélectionner cinq candidats qui recevront l'honneur de joindre la Olkëi Vanata (la Grande Procession) pour aller porter des offrandes composées de fleurs et de semences aux pieds des statues de Phœbe et d'Estella. Le concours en question, qui prend la forme d'une épreuve d'endurance, est divisé en trois paliers distincts : le premier consiste à courir un cinq kilomètres à travers la Jungle de Vinyarië afin d'atteindre le sommet de la Falaise des Grandes Eaux ; le second correspond à une épreuve de natation qui se déroule au sein du fleure de l'Olēsse, épreuve durant laquelle les compétiteurs devront affronter le courant impétueux de la rivière pour rallier les berges des Champs d'Æria ; et enfin, pour le troisième et dernier pallier, les participants se font attribuer une charrette remplie de trois sacs de quarante kilogrammes chacun qu'ils devront pousser jusqu'à la ligne d'arrivée, celle-ci étant généralement située à l'endroit où la cérémonie d'ouverture a eu lieu – c'est-à-dire au cœur des champs d'ambroisie. Afin d'assurer la gestion optimale de l'événement, les autorités organisent habituellement la compétition deux jours avant la Olkëi Vanata pour avoir le temps d'informer les cinq gagnants de la démarche à suivre une fois qu'ils arriveront devant les Sept Sentinelles.

Au sein des Cités, les habitants ornent leur maison de décoration de toutes sortes. Ils placent également des fleurs et des œufs fraîchement peints devant l'entrée de leur résidence. Les citoyens de la Citadelle ont, par ailleurs, l'habitude d'adresser quelques prières aux Ætheri Vertueux en plus de rendre hommage aux divinités du panthéon elfique. Concernant la danse et la musique, celles-ci offrent une combinaison harmonieuse entre le style traditionnel des Ygdraë et celui des Anges. Un grand orchestre, formés par les plus grands musiciens des deux peuples, égaye l'ambiance des villes en jouant des pièces aussi majestueuses qu'inoubliables. Cependant, pour tous les individus n'étant ni des Elfes ni des Fæs, il leur est formellement interdit de consommer toute nourriture d'origine animale. Cette règle, que la Citadelle Doka applique seulement à l'occasion de la Olkëi Vanata, est néanmoins maintenue pour la durée entière des festivités à Fahorë, la Cité Ygdraëenne.

Exemples de musiques jouées à Iyora :
I | II | III | IV

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Mitsu
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◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Lun 09 Mar 2020, 21:58

| Les fêtes Ygdraëennes | Come_d10
Crédit : Come dance with me by Christina Kraus
Texte par Ezechyel
Isahari | Saint-Valentin


L'amour occupe non seulement une place fondamentale dans la société elfique, mais il est d'autant plus important de savoir l'entretenir comme il se doit. Baptisée ainsi en hommage à l'Æther de l'Amour et du Mariage, Isahora, l'Isahari est née, dans les traditions sylvestres, d'une volonté indéfectible de célébrer l'amour sous toutes ses formes. Que ce soit l'amour perçu au sens commun du terme ou l'amour platonique et familial, l'Isahari ne fait aucune distinction entre les porteurs et les receveurs du sentiment affectif. Chacun est libre de profiter de cette célébration du désir et de la fraternité comme il l'entend, couples hétérosexuels et homosexuels confondus sans aucune discrimination. Seule la sincérité de l'amour compte aux yeux du peuple des forêts.

Déroulement


L'Isahari se célèbre durant la première nuit de l'Yndris. Le jour, les couples fêtent le retour du Printemps en s'enivrant à l'excès, mais dès que l'Œil céleste de Phœbe s'élève dans le ciel, l'ambiance s'allège au profit d'une intimité plus douce et romantique. Les amis, la famille ou encore les amours passagers se dévoilent à leur prochain, et la fête peut enfin être célébrée. Il est de coutume, pour les jeunes amoureux, d'inviter la personne qu'ils chérissent le plus à exécuter une danse typiquement ygdraëenne : l'Essheä. Au cours de celle-ci, la personne qui a engagé la chorégraphie guide les pas de son partenaire à travers la forêt. Durant la danse, celui qui conduit les mouvements libère également la magie de Natura afin de façonner l'œuvre de son choix en manipulant la végétation, œuvre qui révélera le véritable amour qu'il ressent à l'égard de son partenaire. Si la sculpture en question est libre de représenter la forme ou la chose que son artiste désire, on peut noter quelques constances dans la symbolique de certaines créations, symboliques propres à l'art floral. Ainsi, la rose est souvent associée à un aveu d'amour véritable ; l'iris, à une loyauté indéfectible ; l'hortensia, à la gratitude ; le camélia, à l'amour de la famille ; et le magnolia, à l'amitié sincère et profonde. Dans tous les cas, à la fin de cette valse agrémentée de Magie, le danseur offrira sa création à son partenaire qui, à son tour, devra réaliser l'Essheä afin de répondre aux sentiments de l'autre.

• Spécificités pour les couples mariés | Pour les couples mariés, l'Isahari représente aussi une occasion pour renouveler leurs vœux de mariage. Ainsi, avant même d'effectuer leur danse, les deux époux devront rendre compte des sentiments qu'ils éprouvent vis-à-vis de leur relation. Si, par exemple, l'un d'entre eux désire avoir des enfants, alors ce sera le moment de le dire, de même s'il ressent quelques insatisfactions quant à la disponibilité ou à l'engagement de sa moitié dans le couple. Ces aveux font en quelque sorte office de résolutions que les mariés s'engagent à respecter pour l'année à venir. Une fois cela fait, le couple réalise l'Essheä conjointement, sans que quiconque n'ait besoin de guider les pas de l'autre. Ensemble, les époux façonnent l'œuvre qui, selon eux, représente le mieux leur union et concluent leur performance en s'embrassant sur les lèvres.

• Spécificités avec les arbres funestes | On dit couramment, dans le folklore elfique, que l'amour est éternel, pourvu que la personne amoureuse continue d'éprouver des sentiments à l'égard de son âme-sœur. Même la Mort ne saurait parvenir à éteindre les feux ardents d'un tel dévouement. C'est pourquoi, durant l'Isahari, les Ygdraë les plus puissants acceptent, à la demande de leurs congénères, de transformer les arbres funestes en individus. Ainsi, les Elfes dont le partenaire s'est éteint en se métamorphosant en végétal peuvent de nouveau danser avec lui pour la durée entière des festivités. En règle générale, les couples concernés ne bâtissent rien à l'aide du pouvoir Natura. Ils se contentent simplement d'effectuer l'Essheä sous l'œil bienveillant de la Lune avant de s'embrasser à la fin de leur performance. Les défunts retournent par la suite au cœur de la forêt pour y reprendre leur forme végétale.

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