Le Deal du moment : -45%
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go ...
Voir le deal
1099.99 €

Partagez
 

 [IX] Exercise de survie. [Solo]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité

avatar
Sam 26 Jan 2019, 21:31



Catégorie de quête : IX Apprentissage.
Partenaire(s) : Solo
Intrigue/Objectif :Ca fait maintenant pas mal de temps que Kayla se trouve dans la capitale, mais le temps commence à lui semblée long. Elle aime suivre les cours, mais elle s’impatiente de passée aux exercice pratique.
C’est alors qu’enfin, on lui annonce qu’avec trois autres Eblaë elle va devoir passée environs trente-six heures à l’extérieur.
Trois objectifs seront évalués. Le premier est celui d’arriver à trouver un endroit sur et correcte pour passée la nuit. Ensuite, il leur faudra arriver trouver de quoi se nourrir et boire pendant le reste de la journée et celle du lendemain. Et enfin, exercice d’orientation ou ils leurs faudra retrouver le chemin de la capitale.
Il va donc falloir qu’ils arrivent à se mettre d’accord sur la marche à suivre et cela sous l’œil attentif de Ciryon qui est là pour veillez sur eux, mais aussi de les évaluer.

Exercice de survie.


Je regardais les sacs qui se trouvais devant moi avec une certaine appréhension. Il me semblait assez remplis et à la fois trop… Mais surtout, je ne pouvais m’empêcher de me demander ce à quoi ils allaient servir. On avait l’impression qu’ils ne contenaient pas tous la même chose, mais ça ne nous aidait pas à savoir ce qu’ils y avaient à l’intérieur.
Je regardais autour de moi et personne ne semblait réellement savoir ce qu’ils contenaient et surtout pourquoi est ce qu’ont étaient ici à attendre que les instructeurs se décide à arriver. Ce n’était pas leur genre d’arriver en retard, ce qui ne nous aidait pas à rester tranquille. Surtout qu’ils ne nous avaient pas dit grand-chose deux jours avant.

Nous venions de finir un cours physique ou nous avions dû parcourir un parcoure défini, ce dernier bien que pas réellement compliquer à premier vue, c’était révéler particulièrement épuisant par les divers obstacles visibles, ou cacher. Autant dire qu’il y avait eu un peu de casse, sans pour autant être réellement catastrophique. Bon en même temps ça faisait quelques temps maintenant qu’ils nous faisaient le coup. Parcoure de cours disait-il, sauf qu’il ne disait jamais qu’au-delà d’un tournant ou que derrière une haie il pouvait y avoir un petit creux ou beaucoup se tordais la cheville. Du coup, pour les plus anciens en tout cas, nous avions appris à faire attention à ce qu’ils nous disaient et rester prudent sur les parcours annoncer. Mais bien évidement, pour certain ce n’était pas encore totalement acquis ou alors ils ne s’imaginaient pas qu’il pouvait y avoir un piège deux fois de manière rapprocher… Et je faisais partie de ceux-là…
C’est donc avec une fille qui était en train de soignée mon genou ou le sang coulait presqu’à flot que j’avais regarder les dégâts chez les autres élèves et surtout que j’avais fini par remarquer que l’instructeur se tenait droit, comme s’il attendait quelque chose. Bon, je fini par comprendre qu’il attendait que tous soient revenu, ou en tout cas que l’ont soit en état d’écoutée ce qu’il avait à nous dire. «Bon, maintenant que tout le monde est là, je vais pouvoir dire mes observations dans un premier temps, puis vous annoncer le programme dans les prochains jours. Pour commencer, il faut vraiment que vous apprenez à regarder ou vous mettez les pieds. Une fois hors de ces terres, il n’y aura personne qui vous dira comment vous diriger ou vous préviendra que vous risquez de vous faire avoir par un piège naturel ou non d’ailleurs. De plus, à moins que vous ne possédiez vous-même des connaissances à ce niveau-là, vous n’aurez personne non plus pour soigner vos petits bobos. » Son regard passa sévèrement d’un Ygdraë à l’autre, c’était toujours pareil pour lui, du moment ou on n’étaient pas mourant, nous n’avions que des petits bobos et ce même si nous avions une fracture ouverte accompagnée d’un gros problème crânien… «Bon, avec ce que je viens de voir je me demande si on ne devraient pas reporter, mais je crains d’être le seul à être de cet avis. Demain, vous n’aurez aucun cours. Mais je ne veux voir aucun d’entre vous faire les idiots en ville. Vous resterez chez vous, à vous reposer. Et je vous conseille sérieusement de vous coucher tôt demain. Ainsi que de prendre un déjeuner, plus que conséquent. Vous en serez plus après-demain mais soyez là aux aurores. Bon, vous pouvez y aller.» Sans un mot de plus, il nous congédias. Certain c’était approcher de lui pour avoir quelques informations supplémentaires, mais personne n’en su davantage. Nous étions alors tous rentrée chez nous l’esprit assez embrouiller. Même si une journée de repos après celle-ci ne pouvais me faire que du bien, je ne doutais pas de m’écraser dans mon lit et y trouver le sommeil rapidement.
Le lendemain, mis à part pour aller faire deux trois achats pour le souper, je restai tranquillement chez moi comme cela nous avait été demander. D’ailleurs, j’avais bien fait, car quelques instructeurs se baladait en ville et réprimandait chaque élève qu’il surprenait à pavoiser. J’en ai même un qui m’était tomber dessus, mais quand je lui expliquai le pourquoi, il regarda juste que j’avais bien pris de quoi me faire un repas et me laissa repartir en me sommant de me dépêcher.
Mais tout cela avait grandement attiser ma curiosité.

Un toussotement me dit sortir de mes pensée, l’instructeur était enfin arrivé… Enfin, je devrais plutôt dire les… Ils étaient un petit nombre, souvent quand c’était ainsi, c’est que nous allions travailler en groupe, mais je me demandais toujours pourquoi.   «Bon, je voie que vous semblez, en tout cas pour la plupart assez reposer, c’est bien. Aujourd’hui, ou plutôt devrais-je dire les prochaine trente-six heures, vous allez partir par groupe de quatre avec un d’entre nous. Mais attention, nous allons vous lâcher en plein milieu de la forêt, certes pas dans des endroits dangereux, mais le but n’est pas de vous confronter au danger. Cet exercice va se dérouler en trois étapes. La première, comme je vous l’ai dit, on va vous lâcher quelques parts dans la forêt, votre premier objectif sera de trouver un endroit ou vous pourriez passer la nuit en toute sécurité. Bien qu’il n’y ait aucun réel danger, je vous demanderais d’agir et de réfléchir comme si vous étiez en terrain inconnu et hostile.
Deuxième étape, vous installer et trouver de quoi vous nourrir, ainsi que boire. Il y a de quoi vous sustentée dans les sacs, mais il n’y a pas grand-chose dans un premier temps et dans un second, si vous revenez sans avoir toucher à ce qu’ils contiennent, l’exercice n’en sera que plus réussi. Puis vous devez bien évidement passée la nuit dans l’endroit que vous aurez choisi. Enfin, la dernière étape sera de retrouver votre chemin et revenir à la capitale. Deux conditions pour la troisième étape, vous devez être rentrée avant vingt heure. Ensuite, afin que tout le monde parte sur un pied d’égalité, vous devez partir quand celui qui vous accompagnera vous le dira. Oh et a propos de lui, il vous accompagne et vous donnera des conseils. Vous pouvez lui en demandez autant que vous voulez cela n’aura pas d’incidence sur votre réussite. Mais en aucun cas, il vous donnera de réponse claire et précise. Il est là pour éviter que vous ne vous perdiez où aller dans les endroits trop dangereux pour votre niveau. Et surtout vous ramener si vous n’êtes pas capable de rentrée dans les temps. Voilà j’ai tout dis, je vais maintenant vous donnez le nom de ceux qui seront avec vous, en commençant par l’instructeur, quand vous entendez votre nom, diriger vous vers lui.»


Génial, une journée survie en forêt. Ça faisait longtemps que j’attendais d’en faire une, les plus âgées nous en avaient déjà parler, mais sans nous donner réellement des détails. Tous ce qu’ils nous avaient dit, c’est que d’une part on auraient cet exercice seulement quand plusieurs de nos instructeurs nous jugerais près, mais surtout que ça variait d’une fois à l’autre. Pour certain l’exercice n’avais pas durée aussi longtemps qu’ici, pour d’autre au contraire, ils étaient partis pendant quarante-huit heures. Ce serais pour mieux s’adapter à ce qu’ont attendaient de nous. On nous avait dit aussi, qu’une fois le premier exercice de survie passée, on en aurait d’autre, plus personnaliser avec notre groupe, pour comblée les lacunes que nous montrerons pendant le premier. Ce qui en soit n’était pas plus bête. Et bien sûr, ils nous avaient prévenu de prendre cet exercice avec le plus grand sérieux, certain l’avait fait à la j’en foutre, ils l’auraient amèrement regrettée les jours suivant.

Finalement, j’entendis mon nom, j’étais avec Ciryon, un Ygdraë d’un certain âge qui n’était certes pas un super combattant, mais ses connaissances n’étaient plus à prouver. Je fus rapidement rejoins par Nerwen, Valar et Daeron. Je ne les connaissais pas réellement, je savais juste qu’ils étaient arrivés plus au moins en même temps que moi. Par compte, niveau capacitée… Bon, vu sa musculature, Valar devait aimer le combat, mais les autres bonnes questions. «Bon, maintenant que vous êtes là tous les quatre, est ce que vous avez des questions avant que nous partions ?» Pour le moment, tout le monde fis non de la tête. «Bien, je suppose que vous en aurez plus une fois que vous serez au vif du sujet. Comme on vous la dit, je ne suis là que pour m’assurer que tout aille bien, non sans vous prodiguer quelques conseils si cela viendra à se révéler utile. Je sais qu’il à dit que venir m’en demander ne jouera pas sur la réussite, mais je vais me permette de nuancer un peu ses propos. Si vous venez après deux minutes devant un soucis et que je voie que vous ne vous êtes pas fouler, alors ma réponse sera plus que vaseuse. Au contraire, si je voie que vous avez réellement essayer de tout faire pour trouver une solution et que malgré cela vous n’y arrivez pas, ma réponse, bien que toujours non directe, sera alors bien plus claire et vous mettra plus facilement sur le chemin de la réponse. Est-ce que je me suis bien fait comprendre ?» De nouveau de simple hochement de tête positif cette fois. Il nous demanda alors de nous dépêcher d’aller chercher nos sacs. Visiblement, on allait partir à tour de rôle, car c’est certain Ygdraë qui savait manier la téléportation qui allait nous enmener à l’endroit qui avait été désignée plus tôt. Ce qui effectivement allait permettre à ce que nous ne puissions pas revenir simplement sur notre chemin.

En attendant notre tour, je regardais ce que contenait nos sacs, en tout cas celui qui m’était destinée. J’avais celui qui contenait une partie de la nourriture, Valar avait lui de quoi monter le camp, Nerwen de quoi soignée si on venait à avoir des soucis et enfin Daeron avec de quoi retrouver notre chemin, ce n’était certes pas une carte claire et précise avec un : vous êtes ici. En plein milieux, mais c’était toujours assez pratique.

Mais alors que je regardais les autres élèves, je pensais à quelques choses. «Dite, si on croisent un autre groupe, est ce qu’on peut se regrouper ou nous devons absolument rester rien que nous quatre ? Enfin cinq ?» «Pour cela, ce sera à vous de voir en fonction de la situation, vous devrez pesée le pour et le contre. Vont-ils vous faire avancer, ou au contraire vous ralentir ? on t ils des compétences intéressantes pour complétée votre groupe, ou au contraire allons-nous avoir des sortes de doublon ? A vous de bien analyser la situation. Ce n’est certes pas une cours, mais plus vous serez rentrée vite, plus l’exercice sera considérée comme réussi.»
Il me donna l’impression d’avoir voulu rajouter quelques choses, mais finalement il resta silencieux pendant que nous terminions de rangers nos affaires.
Finalement, il nous fit signe de venir avec lui et on s’approcha d’une femme qui venait de réapparaitre un peu plus loin. Visiblement on allait pouvoir démarrée à notre tour. La jeune femme, demanda notre numéro de groupe que Ciryon donna, puis elle regarda sur une carte, sans que nous puissions y voir quoi que ce soit bien évidement. Enfin, elle nous demande de nous rapprocher les uns des autres et surtout de bien nous tenir la main, nous prévenant qu’il pouvait arriver des choses terribles si on venait à se perdre pendant la téléportation. J’avoue que je frissonnai un peu en me demandant comment c’était possible. Mais je n’eu pas le temps d’en demander davantage qu’une étrange sensation quelque peu désagréable me pris au ventre. Et finalement, on se retrouva enfin en plein milieu de la forêt, mais effectivement ou… Bonne question.
Codé par Heaven sur Epicode



1956 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 28 Jan 2019, 01:24



Catégorie de quête : IX Apprentissage.
Partenaire(s) : Solo
Intrigue/Objectif :Ca fait maintenant pas mal de temps que Kayla se trouve dans la capitale, mais le temps commence à lui semblée long. Elle aime suivre les cours, mais elle s’impatiente de passée aux exercice pratique.
C’est alors qu’enfin, on lui annonce qu’avec trois autres Eblaë elle va devoir passée environs trente-six heures à l’extérieur.
Trois objectifs seront évalués. Le premier est celui d’arriver à trouver un endroit sur et correcte pour passée la nuit. Ensuite, il leur faudra arriver trouver de quoi se nourrir et boire pendant le reste de la journée et celle du lendemain. Et enfin, exercice d’orientation ou ils leurs faudra retrouver le chemin de la capitale.
Il va donc falloir qu’ils arrivent à se mettre d’accord sur la marche à suivre et cela sous l’œil attentif de Ciryon qui est là pour veillez sur eux, mais aussi de les évaluer.

Exercice de survie.


Je regardais autour de moi, comme si j’espérais remarquer quelque chose qui me dirais où je suis. Malheureusement, j’avais certes passée pas mal de temps dans la forêt entourant la capitale, je n’avais jamais réellement pu m’enfoncer plus loin. Je me demandais si Laël pourrais m’entendre d’ici. Mais bon, il ne savait même pas que j’étais dans la forêt. Mais qui sait, avec un peu de chance on pourrait peut-être se croisée. Mais est ce que je pourrais utiliser sa connaissance de la nature pour trouver ce que nous voulions ? Bah, pour le moment, ce n’était pas la peine que je réfléchisse à cela, il n’était pas là. Je demanderais à Ciryon si l’occasion venait à se présentée.

Mais alors que j’essayais de repérer ces petits détails, j’entendais derrière moi quelqu’un commencer à élever la voix. Tournant la tête, je remarquais que Valar se tenais droit devant Daeron, ce dernier lui essayait tant bien que mal de le surpasser, mais Valar avait une belle carrure et enfin Nerwen elle regardait les deux hommes se criés dessus, sans réellement savoir quoi faire visiblement.
Je tendis alors l’oreille pour savoir la raison de ce comportement, flûte quoi, on venait à peine de commencer. S’il commençait déjà à avoir des tensions, on n’était pas près d’arriver à faire quoi que ce soit.
Rapidement, je compris que Valar voulait se nommer chef de notre groupe, il estimait que c’était à lui de donner les ordres car il était le plus âgée. Et le plus imbu de lui-même pensais je, mais cette réflexion je la gardais pour moi-même. Seulement Daeron lui estimait que l’âge ne faisais pas tout, que soi-disant il savait qu’en cours théorique, Valar n’était pas spécialement douée, même si reconnaissais sa force aux entrainements martiaux. Mais visiblement aucun ne voulais lâcher l’affaire et j’avais la désagréable sensation que ça n’allait pas s’arranger tout seul. «Vous compter brasser du vent encore longtemps ? C’est bien beau de vouloir être le chef, mais est-ce que vous vous êtes seulement demander si on avaient réellement besoin d’en avoir un ?» «Toute expédition a besoin d’un chef ! Et je suis le…» «Le plus apte à crier le plus fort au point que tu risquerais d’attirer tous les ennemis possible dans les environs.» Valar voulu répliquer, mais je pense qu’il ne trouva rien d’autre à dire à ma réplique, ce qui me permit de continuer sans être déranger. «Je ne suis pas d’accord, toute expédition n’as pas réellement besoin d’un chef, pour la simple et bonne raison que l’avis de chacun est important. Nous ne sommes que quatre, je ne crois pas qu’un groupe si petit aille réellement besoin de quelqu’un pour le diriger. Dans un groupe plus important je te l’accord, mais n’oublie pas, ce n’est pas par ce que tu n’es pas le chef, que tu ne peux pas donner ton avis. Un avis, pas un ordre.» «Elle n’a pas tort, en plus je crois que nous avons été former pour arriver à nous compléter les uns des autres. Donc quelques parts, nous sommes tous chef, à notre manière et surtout dans nos domaines.» «D’ailleurs, il serait peut être bon de savoir en quoi on peut se compléter justement. Pour ma part, je pense que je serais surtout utile pour le dernier exercice, je ne suis pas expert, mais j’arrive à bien me débrouiller pour retrouver mon chemin. Je ne suis jamais partit d’aussi loin, mais il faut un début à tout.»
Nerwen elle semblait assez douée pour tout ce qui était soin, je ne parlais pas de nous soigner grâce à la magie, cela nous savions tous plus ou moins le faire, mais elle s’y connaissait en anti poison/venin et en plus elle s’y connaissait en plante et du coup elle serait mieux nous aider à trouver celle qui nous serais utile. Valar, mis à part le fait de criée bien évidement, semblait tout désignée pour assurée notre défense, il était bon combattant et de ce qu’il nous disait, il se débrouillait point de vue stratégie, ce qui n’était pas un mal. Personnellement je réfléchis un peu. «Je vais surtout vous êtes utile pour le premier exercice et un peu le seconde je pense. Je suis assez observatrice, du coup je pourrais peut être nous trouver quelque chose de pas trop mal.»

Une fois qu’ont aillent eux fini de mettre tout au point, il fallait encore réfléchir de comment nous allions procéder, c’est alors que Daeron proposa, si on pouvait, de chercher l’abris en direction de la capitale. En y réfléchissant, c’est vrai qu’il n’avait pas dit que nous devions absolument commencer à le chercher demain matin. On jeta un coup d’œil vers Ciryon qui nous écoutait, pour voir s’il allait emmètre une objection, mais ce ne fus pas le cas.
Daeron commença alors à nous expliquer comment il comptait commencer à nous diriger dans la forêt. Pour être honnête, je n’avais pas réellement tout suivi, pas que cela ne m’intéressait pas au contraire, mais il parlait vite et sans se soucier de savoir si on arrivait à suivre quelque chose, du coup c’était un peu compliquer pour moi et à mon avis pour les autres.
Mais à la fin de son explication, il nous expliqua qu’il ne pourrait de toute manier réellement nous guider qu’une fois la nuit passée. Visiblement il comptait utiliser les étoiles. C’est vrai que maintenant qu’il le disait, si on regardait le ciel, on pouvait voir certaine constellation, celle-ci était alors capable de nous montrer le bon chemin.
Mais ça nous faisait quelqu’un en moins pour essayer de trouver un abri sur pour la nuit, il ne pouvait pas s’occuper de trouver la route et en même temps de regarder s’il y avait quelque chose qui pouvait convenir. Mais on décida que ça n’avait pas d’importance, nous étions quatre, du coup nous avions cas chercher pour lui, ce qui était à mon sens tout à fait possible. Et puis de toute manière, il n’était pas aveugle, même s’il voyait quelque chose sur le chemin qui n’indiquait pas la bonne direction, mais celui d’un abri, il nous préviendrait.

Sur le chemin, je sentis qu’ont étaient tous quelque peu anxieux, mais en même temps, il y avait une certaine excitation reconnaissable pour tous. On allait enfin passée une nuit dehors, enfin tout ce que nous avions appris dans les livres allait nous être utile, enfin de la pratique. On en profita alors pour faire un peu plus connaissance. Bien qu’en restant concentrée bien évidement. C’est avec étonnement, mais plaisir que l’on remarqua que Ciryon se prêtait à la conversation. Mais après tout, c’était vrai qu’il n’était pas obligé de se taire.

Pendant que nous marchions, nous avions trouver quelque endroit intéressant à premier vue, mais rapidement ou moins d’ailleurs, il c’était avérée que ce n’était pas vraiment une bonne idée.
Un des premiers, ne semblait pas avoir de point d’eau à des kilomètre à la ronde. Si nous voulions éviter de prendre la gourde à notre disposition, c’était quelque chose que nous allions devoir prendre en compte. Pour le moment, on avait d’ailleurs réussi à trouver de petit ruisseau, mais rien pour nous abriter aux alentour. Le suivant, on avait repéré une grotte non loin d’un court d’eau qui semblait en prime rempli de poisson, problème… Qui dit grotte et poisson, voulait aussi dire ours visiblement, nous étions en train d’examiner la zone quand Ciryon nous guida vers les indices indiquant sa présence et on se dépêcha de faire demi-tour. Une des suivantes ne nous permettais pas de tenir tous les cinq à l’abris, on pouvait s’y mettre qu’a deux et encore, Valar y aurait dormi seul aux vues de sa carrure.

Finalement, je me demandais si c’était vraiment une bonne idée de chercher quelque chose de pratiquement tout fait. Nous avions cherché cela par facilitée je l’avoue, mais nous voulions gagnée du temps. Mais force de constater que nous en avions surtout perdu au final. Je demandais à Daeron combien de temps il nous faudrait encore avant la tomber de la nuit, vu qu’il s’y connaissait en orientation, j’espérais qu’il serait nous aider sur ce genre d’information. «Je dirais deux bonnes heures encore, peut être trois si on continuent pendant le crépuscule. Ça commence à faire juste, il faut qu’on se dépêche à trouver quelque chose maintenant.» «Je suis d’accord. C’est d’ailleurs à ça que j’étais en train de réfléchir. Sur le chemin, il y a environ trente minutes, j’ai repéré une falaise qui formait un certain angle, quelques arbres aux alentours aussi. Ce n’est certes pas l’abris que nous avions espéré trouver, mais si on se dépêche de l’atteindre, on pourra faire quelque chose avec le matériel naturel qui nous entoure, on va devoir se faire notre propre abri. » « Mais cela ne risque t il pas de nous prendre trop de temps ?» «C’est pour cela qu’il faut que l’on se dépêchent.»
On discuta alors encore pendant un moment du pour et du contre l’endroit que j’avais remarquer et finalement on réussi à se mettre d’accord, l’endroit nous allait à tous, mais il y avait beaucoup à faire et peu de chance que l’on aille fini avant le tomber de la nuit. Raison de plus pour accélérer la cadence.

Sur le chemin, j’avais demandé à Valar et Daeron s’il voulait bien portée quelque lianes et branches divers que j’avais remarqué, tout en leur demandant de regarder s’ils trouvaient des choses utiles aussi. Si nous trouvions des choses sur le chemin, ce serais ça en moins que nous devrions retourner chercher une fois que nous serions arrivées.
Une fois sur place, on réfléchit tous ensemble, mais tout le monde voulait commencer par quelque chose de diffèrent. Daeron nous disait que nous avions besoin dans un premier temps de la base de la structure, Nerwen elle disait que nous avions besoin d’aller chercher de quoi faire un feu et Valar lui voulait commencer directement le deuxième exercice, c’est-à-dire trouver de quoi nous nourrir. «Ca ne sers à rien de réfléchir ainsi, ça nous même à rien… Il faut que l’on se posent et qu’ont arrivent à ce mettre d’accord… » Je jetais un nouveau coup d’œil vers Ciryon, non pas pour y déceler quelque chose cette fois, mais plutôt car j’étais en train d’hésiter à lui demander conseil… Je ne crois pas être la seul à être prise de ce fameux doute, mais surtout, je ne crois pas être la seul qui aimerais arriver à nous en sortir sans lui avoir demander quoi que ce soit. «Il ne sers à rien d’aller chercher de quoi manger si on ne peut pas s’installer autour d’un bon feu pour se réchauffer…» On regardaient tous Valar avec une certaine surprise, lui qui avait défendu son idée bec et ongle il y a quelques instants à peine, renonçais pour admettre que Nerwen n’avait pas tord quand à l’idée de commencer par un bon feu de camp. «Bon, si on est d’accord sur ça, Daeron veut tu bien aller avec elle pour chercher de quoi faire le feu ? Avec Valar, on va commencer à construire l’abris.» «Eh, je croyais que nous n’avions pas besoin de chef.» Je fus, je l’avoue piquer au vif, mais plus par ce qu’il l’avait dit en plaisantant et que je ne m’y attendais pas.
«Je ne voulais pas… C’est juste que… Enfin, il vaut mieux que nous nous partagions les tâches non… A quoi ça servirais qu’ont soient quatre pour aller chercher du bois.» « Aller, je te charrie, bon on le montent cet abris.»

Les autres partirent alors de leur cotée, pendant que nous, nous commencions par rassemblée ce qu’ont avaient besoin. On essayait le mieux possible de respecter la nature qui nous entourait. Valar ramassait tout ce qui était mort, branche, feuille arracher ou lierre. Personnellement, j’utilisais plutôt Natura pour consolider ce qu’ont avaient déjà fait. On avait presque fini quand les deux autres finirent par nous rejoindre enfin avec visiblement assez de bois pour nous aider à entretenir le feu toute la nuit.
Ils nous aidèrent alors à finir ce que nous faisons. Quand la question du sur quoi nous allions dormir se posa. C’est alors que Nerwen nous annonça qu’elle avait trouver de la mousse en cherchant le bois, on pouvait l’utiliser pour s’en faire un matelas. Personnellement, j’avais croisée un arbre avec d’assez grande feuille pour qu’ont puissent s’en servir comme petite couverture, certes ce n’était pas l’idéal, mais les nuits était douce pour le moment et en plus avec le feu et le fait que l’on serait tous les quatre, ca devrais aller.
On partit alors chercher ce qui nous manquait et on installa le tout, c’est non sans une certaine satisfaction que l’ont regardaient ce qu’ont avaient fait. Et on avait même réussi à le faire juste au moment ou le crépuscule pointait le bout de son nez, ce qui était pour moi un miracle vu les débats incessant que nous avions eu précédemment.
Codé par Heaven sur Epicode



2135 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 28 Jan 2019, 05:22



Catégorie de quête : IX Apprentissage.
Partenaire(s) : Solo
Intrigue/Objectif :Ca fait maintenant pas mal de temps que Kayla se trouve dans la capitale, mais le temps commence à lui semblée long. Elle aime suivre les cours, mais elle s’impatiente de passée aux exercice pratique.
C’est alors qu’enfin, on lui annonce qu’avec trois autres Eblaë elle va devoir passée environs trente-six heures à l’extérieur.
Trois objectifs seront évalués. Le premier est celui d’arriver à trouver un endroit sur et correcte pour passée la nuit. Ensuite, il leur faudra arriver trouver de quoi se nourrir et boire pendant le reste de la journée et celle du lendemain. Et enfin, exercice d’orientation ou ils leurs faudra retrouver le chemin de la capitale.
Il va donc falloir qu’ils arrivent à se mettre d’accord sur la marche à suivre et cela sous l’œil attentif de Ciryon qui est là pour veillez sur eux, mais aussi de les évaluer.

Exercice de survie.


Maintenant que nous avions un abri digne de ce nom, nous devions encore nous arranger pour arriver à nous nourrir pendant la soirée et la nuit. Heureusement, cette fois ci il y avait un ruisseau un peu plus conséquent qui n’était pas vraiment loin de nous. Certes nous devrons marcher quelques minutes, mais au moins nous aurions de l’eau bien fraiche.
La nourriture par compte, force de constater que personne n’avait réellement fait attention pendant que nous cherchions le reste. On avait trouvé quelques fruits, mais si peu que nous les avions mangers en continuant nos recherches.
Mais un problème se posa alors, est ce que nous devions tous partir à la recherche de nourriture au risque de laisser nos affaires seul ici, ou au contraire, laisser quelqu’un ici, mais ca diminuait le nombre de personne qui partait à la recherche de vivre, mais en plus, ca voulait dire que soit tout le monde, soit une personne, allait se retrouver toute seul pendant ses recherches et avec la nuit tombante, ce n’était pas vraiment une bonne idée. «Je crois qu’il vaut mieux que quelqu’un reste ici. Mais effectivement, après se pose la question, est ce qu’ont va à trois chercher la nourriture et l’eau, ou est ce qu’on se séparent, maintenant, le ruisseau n’est pas vraiment loin.» «C’est vrai qu’ont pourraient partir à deux pour la nourriture, la dernier personne elle n’aura qu’à aller chercher l’eau, ce n’est pas vraiment une mauvaise idée. Le chemin est connu en plus, donc la personne qui ira ne risquera pas de se perdre dans la nuit s’il venait à ne pas rentrer à temps. Mais pour la nourriture, il vaut mieux qu’ils soient deux, un qui pourrait en plus monter la garde quand l’autre s’occupera de récolter ce que nous aurons trouvé.» «Repart avec Nerwen dans ce cas, tu es le moins susceptible de te perdre. Moi je vais aller chercher l’eau. Valar, ça te dérangerait de monter la garde ? Après tout, on gagne des points si on n’utilise pas notre matériel, mais ce n’est pas dit qu’ont ne peut pas utiliser celui des autres non plus. Ce ne serais pas juste, mais on ne sait jamais. Et je crois que tu es le plus à même de le faire. »
Tous semblaient d’accord avec ce que j’avais proposé. On rassembla alors nos affaires, heureusement on avait d’utiliser certain truc sans être pénaliser et les gourdes en faisais partie, enfin les vides qu’ont soient bien d’accord. Je vidais alors un sac dans un coin et je les rangeais toute à l’intérieure, puis je partis en direction du ruisseau.

J’avançais alors prudemment parmi les arbres, appréciant leur couleur nocturne. Je l’avais déjà vue de loin, mais ce n’était pas la même chose pour moi. En plus, le son de la forêt était grandement différé. Ce n’était pas une forêt dangereuse d’accord, donc il n’y avait pas des bruits de prédateur à tous les arbres, enfin y en avait, mais pas beaucoup. Mais rossignol, merle, mésange et autres. Laissait place au hibou et chouette. Même le vent me semblait siffler différemment.
Malheureusement, je ne pouvais pas encore me permette de rêvasser de la sorte, car justement, tous ces signes montraient bien que la nuit était en train de tomber et je ne devais pas trainer à retourner jusqu’à l’abris que nous avions fait, si non je risquais d’avoir moins de chance à retrouver mon chemin dans la nuit.
Une fois au ruisseau, je remarquais que d’autre animaux s’y trouvait en train de s’abreuvée. Je cherchais alors un endroit ou je pourrais me mettre sans les déranger et je commençais à remplir les gourdes de tout le monde.

Soudainement, un bruit derrière moi me fit sursautée, tendant l’oreille, j’entendis un grognement. Que j’avais été stupide, il y avait certes d’autre point d’eau, mais j’avais vu tous les animaux qui étaient présent, fatalement cela allait attirée les prédateurs. Je tournais alors la tête pour essayer de voir de quoi il s’agissait, mais je ne remarquais rien dans un premier temps. Je pouvais tenter de me dépêcher de retourner au camp, mais à mes yeux c’était risquer qu’il se lance à ma poursuite et de l’enmener vers les autres.
Je me mordis légèrement la lèvre, quelques parts on avaient mal jouer notre coup. Ciryon était là pour nous aider et nous protéger, mais il avait dû choisir avec qui partir ou rester. Son choix c’était portée sur Valar finalement, cela m’avait surpris, mais je n’avais aucun droit de contester sa décision de toute façon. Oh et puis qu’est-ce que je racontais ? c’était juste un imprévu rien de plus. Le but était de voir si on était capable de se débrouiller loin du confort de nos demeures et les prédateurs faisait totalement partie du genre de soucis que je pourrais croisée à l’avenir, de plus il n’était certainement pas spécialement dangereux comparée à ceux que je pourrais rencontrée à l’extérieur de nos terres.
Je regardais alors rapidement autour de moi, je devais absolument trouver quelque chose pour arriver à me sortir de là, il devait bien y avoir une solution. J’étais certes partie avec mes armes, on avait eu l’autorisation de les prendre, même si je pense qu’ils croyaient qu’ont n’aurais pas à s’en servir. Mais je n’étais tellement pas douée pour le combat au corps à corps que je n’étais pas certaine que ce soit une bonne idée.
Finalement, mon regard se posa sur une branche qui n’était pas réellement haute et surtout pas trop loin de moi. Je mis rapidement mon sac sur mon dos et courus vers elle, au même moment au j’entendis bouffer dans les feuillages derrière moi, quand j’arriva à me hisser sur la branche, je pu remarquer l’animal sortir de sa cachette. C’était un petit prédateur, ressemblant en quelque sorte à un loup mais plus petit et d’une couleur vert foncé. Mais surtout, je remarquais que je n’étais pas sa proie, en même temps maintenant que je le voyais, j’étais bien trop grande pour lui. Mais ma réaction venait de lui faire perdre son repas. «Désolée.» Même s’il ne pouvait pas me comprendre, je ne pouvais m’empêcher de lui dire. Je n’aimais pas m’immiscer dans la chaine alimentaire. J’aimais les lapins et autre proie facile pour ce genre d’animaux, mais c’était ainsi que les choses allaient, il fallait tuer pour survivre malheureusement.

Je descendis alors de mon arbre et fus surprise de voir Ciryon qui ne semblait pas réellement inquiet, est ce qu’il venait de voir ce qu’il c’était passer ? Dans tous les cas, il ne me dit rien, me faisant simplement signe qu’il était largement temps que je retourne auprès des autres et je le suivis.
Une fois sur place, je remarquais qu’il était aussi présent devant le feu et je tournai la tête juste au moment de voir son double disparaitre… La capacitée de se dédoublée, assez pratique et finalement largement logique pour quelqu’un devant surveiller un groupe entier…
Nerwen et Daeron était de retour eux aussi, ils avaient trouvé certaines baies, des champignons et même des plantes comestibles d’apres Nerwen. Pourtant il y en avait certaine je n’étais pas certaine que ca ce mange même en soupe, alors crue… «Ne te fie pas à ce que tu voie Kayla, c’est très bon et surtout extrêmement bénéfique. Je ne m’attendais pas à tomber là-dessus, mais en fait cet racine vas nous permettre de mieux nous reposer et de regagner efficacement notre énergie. Tu ne la connaissais pas ?» Il est vrai que j’avais quelque connaissance dans les plantes, grâce à ma mère et a ma passion, mais elle était d’un autre niveau. «Non, pas celle-là malheureusement, mais admet qu’elle ne donne vraiment pas envie.» Mais bon, comme on disaient, il ne fallait pas se fier au apparence.
On passa alors une partie de la soirée à écouter Nerwen qui nous expliquait ce qu’elle avait trouvé, visiblement elle n’avait pas pris les choses au hasard car pratiquement toute les plantes lui étaient connue pour des effet bénéfique et elle passa son temps à nous les expliquer. J’avais écouté avec autant d’attention que je pouvais, mais j’étais quelques peu somnolente. En même temps, nous avions marcher toute la journée. Je comprenais pourquoi ils avaient été stricte sur le repos du jours avant et heureusement d’ailleurs. Je me demandais d’ailleurs comment s’en sortait ceux qui n’avait pas réellement écoutée la consigner.

Mais alors que nous nous préparions à aller nous coucher, enfin mis à part Daeron qui prenait le premier tour de garde pour pouvoir examiner les étoiles pour le lendemain, on entendit de nouveau un bruit dans les fourrer, mais alors qu’ont étaient en train de saisir nos armes, on remarqua que c’était un autre groupe d’Ygdraë. «On ne vous veux pas de mal, juste on se demandaient si vous n’aviez pas de la nourriture en trop… Non seulement on ne trouve rien, mais en plus on à eu un soucis qui à fait que nous n’avons plus nos sacs…» on se regardaient tous et en même temps on regardaient ce qu’il restait de nos provision… On avait encore certes, mais c’était pour le lendemain matin. «Je suis désolée, mais nous n’avons que de quoi déjeuner demain matin, nous n’avons pas voulu prendre à outrance.» «Maintenant, je peux vous indiquer la direction à prendre pour que vous trouviez le nécessaire.» Les jeunes Ygdraë semblait réfléchir sérieusement à sa proposition, seulement, je remarquais qu’ils n’étaient que trois. Je ne sais pas réellement pourquoi cela ma alertée, était ce car j’étais presque certaine d’en avoir vu quatre à un moment ? Je retournai alors près des sacs pendant qu’ils discutaient et je fis bien car essayant de se faufiler discrètement, le dernier essaya de s’emparer de nos sacs. Ma hallebarde se planta alors dans le sol, entre sa main et l’anse de mon sac. «C’est donc à sa que vous vous rabaisser ? voler ?» «Nerwen, fini vite de leur dire ou se trouve les choses que tu à trouver. Apres vous avez intérêt à dégager rapidement, on aiment pas les voleurs…»
Une fois le renseignement prit, ils partirent rapidement. Ils avaient tenté de se justifier, disant qu’ils étaient épuisés et qu’ils avaient faim. Je voulais bien croire que leurs sacs avaient eu des soucis, mais de la à voler les nôtres alors qu’ont leur indiquait ou trouver de la nourriture… «Quand vous voyagerez, vous rencontre quelques fois des personnes qui comme eux et surtout à plus grande ampleur n’auront à leur yeux pas le choix de leurs acte. Par exemple et je pars dans un extrême, si j’étais un être maléfique, je pourrais prendre Nerwen en otage et demande à Valar de tuer tout le monde ici présent. Le feras tu ou non, je ne veux pas connaitre la réponse. Mais si ça venait à arriver, il faut voir la cause derrière l’acte avant de juger, même si une sanction restera de mise.»
C’est un peu perplexe que j’alla me coucher. Comment est-ce qu’ont pouvaient juger quelque chose comme cela ? Bon d’accord il avait pris un extrême, mais quand même. Mais j’avais bien compris que s’il nous avait parler de ça, ce n’étais pas pour définir comment il devrait être juger, mais plutôt pour nous faire comprendre que des fois voire les raisons derrière les actes et les prendre en compte était quelque chose d’important. Bon après, je supposais que nous devions voir avec ce qui était valable à nos yeux aussi, car nous n’avons pas tous la même perception des choses.

Finalement, je réussi à trouver le sommeil, plus d’épuisement qu’autre chose une fois l’adrénaline de cette visite nocturne retombée. Et honnêtement, je ne m’attendais pas à ce que l’abris que nous avions fait me semble aussi confortable, mais bon la fatigue devait jouer aussi.
Codé par Heaven sur Epicode



1950 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 28 Jan 2019, 07:01



Catégorie de quête : IX Apprentissage.
Partenaire(s) : Solo
Intrigue/Objectif :Ca fait maintenant pas mal de temps que Kayla se trouve dans la capitale, mais le temps commence à lui semblée long. Elle aime suivre les cours, mais elle s’impatiente de passée aux exercice pratique.
C’est alors qu’enfin, on lui annonce qu’avec trois autres Eblaë elle va devoir passée environs trente-six heures à l’extérieur.
Trois objectifs seront évalués. Le premier est celui d’arriver à trouver un endroit sur et correcte pour passée la nuit. Ensuite, il leur faudra arriver trouver de quoi se nourrir et boire pendant le reste de la journée et celle du lendemain. Et enfin, exercice d’orientation ou ils leurs faudra retrouver le chemin de la capitale.
Il va donc falloir qu’ils arrivent à se mettre d’accord sur la marche à suivre et cela sous l’œil attentif de Ciryon qui est là pour veillez sur eux, mais aussi de les évaluer.

Exercice de survie.


Le lendemain, Valar nous réveilla aux aurores. Ciryon ne nous avaient pas encore donner le signal du départ, du coup on prit notre temps pour déjeuner à notre aise. On rangeait aussi le bordel que nous avions fait. Certes tout était fait en matière naturel, mais ce n’était pas une raison de tout laisser ainsi, surtout qu’au pieds des falaises, je sol étais assez rocheux, certes certaine chose arrivait à pousser, mais il valait mieux étendre ce que nous avions utiliser un peu plus loin. Je partis avec Nerwen ensuite pour aller rechercher de l’eau pour le voyage et quelques vivre et quand on revient le soleil venait à peine d’être complétement levée. C’est ce moment là qu’il choisi pour nous annoncer qu’ont allaient pouvoir se mettre en route.

On partit alors vers le sud d’après Daeron. Il semblait assez sur de ce qu’il avait fait. Mais il avait été prudent, pour lui il allait pouvoir nous enmener à proximité de la ville, mais ce n’était pas dit qu’il arrive à nous enmener jusque-là bas. Valar lui avait alors passée le bras par-dessus l’épaule et lui avait dit qu’il avait intérêt à nous ramener à bon port s’il ne voulait pas qu’il l’aide à le faire par les airs. Ce à quoi Daeron avait répondu qu’il pouvait essayer, mais bien que fort son manque de précision l’enverrait sans doute dans l’arbre non loin. On c’était tous mis à rire devant ses réponses, même Valar. Nous n’avions passé que vingt-quatre heures finalement ensemble, mais cela nous avait permis de mieux nous connaitre. On c’était certes croiser auparavant, mais on c’était arrêter à des salutations de politesse, rien de plus. Après tout pourquoi faire ? nous avions tous nos amis, voir famille. Je me demandais d’ailleurs si ce n’étais pas un autre but de cet exercice… Apres tout pourquoi pas, bientôt c’est ainsi que nous voyagerons, avec seulement quelques personnes et un Braskä, autant apprendre à vivre dans ce genre de situation à un moment ou un autre non ?

«Daeron, tu penses qu’ont en auraient pour combien de temps avant d’être non loin de la capitale ?» «Si on continue à ce rythme et qu’on se contente d’une pause dans l’après-midi pour se restaurée, je dirais qu’ont devraient arriver un peu avant cinq heure. Mais bon c’est seulement si je ne me suis pas trompé. Le ciel était un peu nuageux hier soir, donc j’ai fait de mon mieux mais…» «C’est déjà pas mal, personnellement je crois que j’aurais été incapable de nous conduire jusqu’ici.» Elle n’avait pas tort. Et de toute manier ce n’était pas pour juger ce qu’il avait fait que je lui avais demander cela, mais je me disais qu’une fois assez près de la capitale pour lui, on pourrait tenter de grimper aux arbres pour voir si on ne repérait pas le toit de la citée. Ce n’était pas certain que ça marche, notre citée étant construite en harmonie avec la nature nous entourant, mais je remarquais peut-être un certain nombre de fumée, indiquant les feus de cheminée, surtout que ce ne serais pas loin de l’heure des repas. Mais bon pour cela il fallait que l’ont arrivé à proximité.

Mais alors que l’ont marchait, je repensais à une question qui m’avait traversé l’esprit hier. Je ne l’avais pas posée, car je trouvais cela inutile, mais en fait si on s’approchait du village ce serais diffèrent, il avait dû rester là-bas après tout. Espérons juste qu’il ne serait pas trop planqué en voyant toutes les personnes dans la forêt se diriger vers le même point. « Excusez-moi, mais si d’une manière ou d’une autre, on à… Quelqu’un qui pourrait nous aider à retrouver notre chemin une fois à proximité de la ville, pouvons-nous en profiter. Je ne parle pas forcément d’un habitant, même si cela reste une possibilité.» «Allons misse Dalwig, avez-vous entendu quelques chose qui allait contre ce que vous me demander ? De plus, le but de cet exercice est de vous mettre dans une situation le plus réel possible, tout en gardant une certaine sécurité bien évidement. Demanderez-vous un quelconque accord avant d’aller poser votre question à un passant ? N’y voyez-vous pas là un problème potentiel ?» Je réfléchis quelques instant avant de répondre, je n’arrivais pas à voir ou était le problème au début, mais finalement c’était évident. Si on prenait le risque de trop réfléchir à quoi faire, la personne susceptible de m’aider pourrait être partie.

On continua à discuter pendant que nous mangions un peu. Les environs commençaient à parler à certain d’entre nous, mais ca restait malgré tout assez vague. Mais on voyait cela d’un bon signe. Daeron avait vraiment fait du bon travail pour nous ramener jusqu’ici, il était vraiment doué pour arriver à se guider dans des endroits inconnus, il avait utilisé les étoiles, ses connaissances sur certaines plantes pour savoir si oui ou non elle poussait à proximité de la ville et surtout il c’était aussi aider des différents animaux que l’ont avaient croisée. Et force de constater que depuis quelques temps, nous n’avions vu que des herbivores ou des oiseaux, ce qui voulait dire qu’il ne devait pas avoir beaucoup de prédateur dans les environs et justement, les Ënok et Braskä s’arrangeais pour pas qu’ils en aillent trop près de la ville, même s’ils nous avaient dit une fois que de toute manier ils préféraient se tenir éloignée de toute civilisation, sauf si la faim les tenaillait de trop.

Je grimpai alors à un arbre comme je pouvais, je me débrouillais, mais je faillis chuter quelques fois, j’espérais vraiment que si je faisais une chute, je ne la ferais pas trop loin du sol.
Mais comme je le craignais, je ne remarquais pas réellement la ville, je n’étais même pas certaine d’arriver à voir les fumées. Mais peut-être était-ce car j’étais encore beaucoup trop loin. Soupirant, je descendis vers le sol et une fois à proximité je les préviens. On continua alors la route, espérant que nous étions toujours sur le bon chemin.
Mais plus nous avancions, plus on avait l’impression de reconnaitre cet endroit et finalement, une voix se fit entendre dans ma tête. «Et ben petite, je me demandais ou tu étais passé…» «Laël ! tu es près de nous là ? Si oui, est ce que tu sais nous guider vers la ville s’il te plait, en prenant le chemin le plus cours possible.» Il ne me répondit pas tout de suite, je compris qu’il était en train de réfléchir et finalement il m’indiqua une direction. Je préviens alors rapidement les autres et on se mis en route.
Pendant encore de longues minutes on suivit les instructions de Laël, nous faisant passée des fois par des chemins facilement praticable si on était un cerf, mais plus compliquer pour nous simple bipède. Mais finalement, la ville était en vue. Heureux, on accéléra le pas pendant que je le remerciai et enfin ont fini par rejoindre l’instructeur qui notait notre arriver.

On regardait autour de nous. On n’était pas les premiers, mais il n’y avait pas encore tant de groupe que cela. De plus, on nous indiqua un bâtiment ou on pourrait aller manger correctement et un véritable festin nous attendait. On déposa alors nos sacs à l’endroit prévu et on s’y dirigea.
On profita de cela et on regardait les groupes arrivés les uns après les autres. On se racontaient notre journée et notre nuit aussi. On sen rendais alors compte que nous avions tous utiliser des techniques diverses et varier, mais que l’important était qu’elles avaient été efficace. Finalement, deux groupes arrivèrent en même temps que l’instructeur, une fois vingt heure passée d’ailleurs. Ont reconnu alors ceux qui avait tenté de nous voler nos sacs.
Pendant que nous terminions de manger, on remarqua que tout les accompagnants avaient été à un moment ou un autre pres de l’instructeur principale, sans doute pour transmettre leur rapport et finalement, ce dernier se leva et demanda notre attention.
«Bien, tout le monde est rentrée et vos accompagnant vienne de finir de m’expliquer comment vous vous étiez débrouiller ces derniers trente-six heure. Comment dire… Si pour certain je pourrais les laisser recommencer à sortir dans la forêt avec mon d’appréhension qu’il arrive une catastrophe, pour d’autre au contraire j’aurais peur de les laisser dans le jardin de ma grand-mère !» Son ton était dur comme à son habitude. Je me demandais quel genre d’action avait peut déclencher en lui ce genre de penser. Car bon il y allait fort quand même. Et puis, il n’y avait que deux groupes qui n’avait pas réussi, sur la dizaine qu’ont étaient, je trouvais que ce n’étais pas si mal. «Alors première chose, certains groupe on déclencher un conflit assez rapidement, pour des raisons divers et varier. Si je désapprouve ce genre de comportement, j’apprécie cependant que certain membre du groupe aille réussi à les calmer rapidement. Même si j’apprécie d’avantage ceux qui n’en ont pas eux. Ensuite, d’une manier général vous avez pratiquement tous réussi à mettre un ordre de priorité, de plus vous avez aussi facilement compris que nous avions fait des groupes homogènes ou vous aviez tous un rôle à jouer. C’est-à-dire, guide, gardien, organisation ou encore douée pour trouver ce qui était utile dans le forêt.» Il continua pendant un bon moment. Moi qui ne rêvais que de retrouver mon lit, on se retrouvaient à devoir écouter et surtout à prendre des notes si on ne voulait pas avoir de soucis. Il expliqua aussi qu’il était content que certain avait réussi à trouver des abris rapidement et que d’autre avait réussi à en crée des plus que convenable. Mais à un moment, il commença à expliquer, sans citée bien évidement ce qui était arriver à ceux qui avait tenté de nous voler. «Sachez que je désapprouve ce genre de méthode, encore plus quand on arrivent à se faire prendre. Malgré cela, je veux que vous sachiez qu’il arrivera peut-être un jour ou vous n’auriez pas le choix. Mais dans ce cas, je vous demanderais de ne prendre que ce que vous avez besoin pour éviter qu’eux se retrouve sans rien par la suite, il est compliqué de parler de respect quand on doit se resignée à cela, mais avoir une certaine retenue est aussi important et surtout, réfléchissez toujours, est ce qu’ils en ont plus besoin que moi ou non ? Et bien sûr, ça ne compte que pour les choses utiles à votre survies et en derniers recours, pas simplement car vous trouvez ça plus facile que d’aller les chercher vous-même.»
Bien évidemment, il parlait du fait que je n’avais pas été assez prudente quand j’avais été chercher l’eau, que savoir que le prédateur serait certainement là aussi aurai du être une évidence et surtout que monter dans un arbre n’était pas réellement une idée judicieuse s’il s’agissait d’un animal capable de grimper, voler ou alors de personne mal intentionnée ou je serais alors une cible facile pour eux.
J’avais l’impression qu’il n’allait jamais finir de parler et finalement il nous expliqua que demain, seulement les cours du matin étaient annulées, nouvelle qui fut accueillie par des protestation vaine. Il nous expliqua aussi que pour la plupart d’entre nous, on aurait rapidement d’autre exercice de ce genre. En fait, j’avais remarqué que dans notre groupe, nous n’étions plus très loin de devoir subir le regard, je me demandais si ça n’avait pas un rapport.
Quand il nous lâcha enfin, on se leva tous rapidement, comprenant que nous ne pourrions pas dormir jusqu’au milieu de l’après-midi, on voulait tous la même chose, alors nous reposer enfin. Je dis alors au revoir à mes compagnons et on se promis de se réunir bientôt, des liens c’était former entre nous et on n’allait pas les rompre sous prétexte que l’exercice était fini. De plus, il y avait fort à parier que lors de nos prochains exercices du genre, on serait encore ensemble. A moins qu’il jugeait qu’ont seraient plus en raccord avec d’autre ? c’était possible aussi après tout…

Quand j’arrivais enfin dans la chambre, je me dépêchai de me rafraichir et m’effondrée sur mon lit, bien que je trouvais le sommeil rapidement, je ne pu m’empêcher avant de penser à tout ce que nous avions fait et appris pendant ces derniers heures. On n’était peut-être pas encore totalement prés à vivre à l’extérieur, mais on avait réussi, on avait montré qu’ont avaient bien intégrée les bases et ça même si on avait encore des progrès à faire. Et puis… J’avais enfin passer une nuit hors du confort d’une chambre, dans la nature avec les contraintes que ça impliquait et cela, j’en étais très heureuse.
Codé par Heaven sur Epicode



2002 mots
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas
 

[IX] Exercise de survie. [Solo]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» [EVENT solo Partie IV - solo] Rétablir un semblant de vie
» [Q] - Ẹṣọ Kọọ | Solo
» [Q] La fin | Solo
» La lame de feu [Solo]
» La réconciliation | Solo
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le pouvoir du Yin et du Yang :: Zone RP - Océan :: Continent Mystérieux - Nord :: Terres de Melohorë-