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 Chasse au Konchu (pv Séléna) /-18\

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Sam 06 Fév 2016, 16:49

Epuisant, il n’y avait pas d’autre mot pour décrire se voyage. Avec espoir Zéleph avait imaginer qu’ils se diriger vers le continent du matin calme, mais très vite il réalisa que ce n’était pas le cas. Leur destination avait été un tout autre continent. Bien que souvent il se ficher de la destination, cet fois il fini par demander à Scaldis vers où ils se dirigeaient. Les terres arides. Donc ils allaient faire une de ces missions stupides qui consisté à ramasser des œufs. Le réprouvé ne s’en réjouissait pas, par se que ce n’était pas très palpitant comme travail. Ça payait bien, même très bien, mais honnêtement il n’était pas devenu un Corvus Aeris pour l’argent. Cela dit il n’était pas totalement mécontent de leur destination, par se que ça ne serait pas si dangereux que ça pour Séléna. Il n’aurait cas la gardé sur son cheval, le temps qu’un d’eux repère les signes d’un nid et le tour serait jouer. La pauvre devait déjà subir le voyage avec eux, si elle devait se retrouver avec une tête d’animal entre les mains elle aller certainement s’évanouir.

Pendant leur route le groupe ne s’arrêter que très rarement. Seulement pour reposé les chevaux, dormir un peut et manger. Cruella avait d’ailleurs plusieurs fois fait des demandes insistantes pour avoir du sang frais, et quoi de mieux qu’une vierge pour ça ? Zéleph n’avait pas du tout apprécié. Il détestait les vampires avec une telle ferveur que très honnêtement il serait capable de la frapper, même si c’était une femme. Elle sembla l’avoir compris, n’approchant pas de la jeune fille, comme si une distance de sécurité avait été créer autour d’elle. Zéleph en était satisfait. Il faisait toujours attention a se que Séléna ne soit jamais seule et toujours dans son champ de vision. Tarnis était le seul à pouvoir l’approcher sans être gratifier d’un regard noir et d’un grognement haineux. Scaldis, l’orisha aux cheveux flamboyant en avait rit, le traitant de « chien enrager », Atax avait bien évidement sauté sur l’occasion pour en rajouté « sa maitresse la bien dresser on dirait. » et les moqueries ne firent qu’empiré. Seulement Zéleph s’en ficher ne réagissant pas la plupart du temps, satisfait qu’ils n’osent pas l’approché malgré leurs plaisanteries idiotes.  S’il ressemblait à un chien de garde il en était très comptant. Elle était à lui et le premier qui posé sa main sur elle devrait la perdre. Le réprouvé commencer a bien les connaître et il savait comme ils étaient vicieux et pervers, ils étaient sur tout dénuer de toute compassions se qui les rendaient dangereux. Oui ils étaient sympathiques, il les apprécier beaucoup et avait confiance en eux, ils faisaient tous parti de la même « famille » en quelque sorte, mais Zéleph n’ignorait pas leurs face sombre. Séléna n’était pour eux qu’un jouet que le réprouvé avait décidé d’emporté avec lui pour s’amuser, elle n’avait aucune valeur pour eux et penser que c’était la même chose pour l’ancien roi. De se fait ils n’hésiteraient pas lui faire du mal s’ils le pouvaient. Zéleph le lisait dans leurs yeux et ça l’écœuré. Etrangement quand il s’imaginer lui faire du mal ça lui plaisait, mais quand c’était quelqu’un d’autre il ressentait une colère bouillonnante.

Scaldis ralentit l’allure, se qui fit s’arrêter les autres. Il sauta de sa monture. « On vas passer la nuit ici, demain on partira tôt pour arriver à destination. » Chacun su se qu’il avait à faire. Cruella et Tarnis s’occuper du feu ainsi que de la nourriture, les deux frères Alfar Atax et Thèo montaient les tantes, Scaldis se mit à calculer l’itinéraire pour le lendemain. Zéleph fit descendre Séléna du cheval, puis attacha la monture à un arbre. « Nous allons chercher de l’eau. » Ce serait le dernier point d’eau avant longtemps, autant en profité. Le réprouvé avait repéré une petite rivière plus loin. Attrapant toute les gourdes qu’il pu, ils les mirent dans un sac et sans rien ajouté quitta le camp pour le point d’eau. En passant à coter de la jeune fille, il lui prit la main. Il avait commencé à prendre cette habitude pour s’assuré qu’elle le suivait toujours. Son visage était neutre, sa main ferme sur la sienne, il préférait ne pas la regarder en marchant. Il ne voulait pas qu’elle comprenne que cette démarche n’était pas seulement une manœuvre pour ne pas la perdre, ça lui plaisait. Sa main était petite et délicate dans la sienne, sa peau douce contrastait délicieusement avec la sienne. Zéleph croulé sous la frustration de puis plusieurs jours. De puis leurs départs en réalité. Chaque nuit qu’il passait ensemble, il s’efforcé de ne plu la touché. Chaque fois qu’elle s’endormait sur sa monture, il puisé dans toute ses forces pour ne pas laissait son esprit divagué. C’était dur, très dur. Plus le temps avancer, puis ses sentiments le trahissaient. S’il était parti avec la ferme intention de se moquer de tout ça, de cordialement cracher sur les plans stupides de Mitsuko, il n’y arrivait plu. Séléna avait pris possession de son esprit lubrique et il passait son temps à l’imaginer dans toute sorte de positions qui n’avait rien de morale.  Bien sur il savait que c’était du au manque, comme un droguer, il avait besoin de sa dose. Après tout est-ce que ça n’avait pas était le deal, au tout début ? Avant que tout n’explose et ne le détruise. Il avait remplacé ses obsessions, ses besoins par sa femme. Sa l’avait sauvé, mais aussi condamné. Condamné et soumis. Il ne pouvait pas vivre comme ça, dans l’attente, dans l’incertitude. Puise qu’il ne pouvait pas s’échapper, il trouverait un moyen pour récupéré se qui était à lui.

« Nous y somme. Tu devrais en profiter pour te laver. » Ça faisait plusieurs jours de voyages, et aucun où ils n’avaient pu avoir une quelconque hygiène. Il savait très bien que pour elle cela devait être très désagréable. Ne pas se laver ne devait pas faire parti de ses habitudes. La laissant devant le plan d’eau, il s’éloigna un peut, mais pas trop pour gardé un œil sur elle. Elle pourrait se cacher derrière les réseaux, et même s’il ne pourrait pas la voir, il pourrait toujours s’assuré de sa présence. Le réprouvé remplit les gourdes une par une, avant de les ranger, puis lui même il se déshabilla pour se plonger dans l’eau. Passant une main dans ses cheveux trempés, il soupira d’aise. L’eau était fraiche, mais ça lui fit du bien. Ses idées se remirent en place de cette façon, ça n’était pas plus mal. Il commença a frotté sa peau, profitant du calme de se moment, tout laissant une oreille attentive à se que faisait Séléna.
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Sam 06 Fév 2016, 21:18

Séléna sourit quand elle sut qu'elle pourrait se laver. Le voyage la fatiguait énormément et elle n'avait pas l'habitude d'une vie si rudimentaire. Elle faisait de son mieux pour ne rien dire, pour ne pas se plaindre, mais elle regrettait parfois les bains du Manoir et les matelas confortables. Pourtant, elle était relativement heureuse, ayant l'impression de jouer au chat et à la souris avec ceux qui avaient dû, sans aucun doute, se rendre compte de sa disparition. Ça l'excitait dans un sens. Elle se mordit la lèvre inférieure, rougissant légèrement. Elle savait que c'était mal, une véritable folie, et ça la faisait culpabiliser. De même, depuis qu'ils étaient partis, Shizuo avait pris ses distances avec elle et elle ne savait comment interpréter ça. D'un côté, elle était moins anxieuse, plus sereine quant à ses réactions, mais de l'autre, il lui arrivait de souhaiter qu'il la violente un peu, qu'il la touche ou que savait-elle encore, bien plus souvent qu'elle n'oserait l'avouer. Elle aimait quand il lui prenait la main, même si elle se doutait que c'était uniquement pour ne pas la perdre. Il lui semblait être le vilain petit canard de la bande. Elle ne savait rien faire et n'était pas très utile. Elle ne les ralentissait pas non plus cependant, veillant à ne pas traîner et à faire de son mieux. Elle craignait Cruella de plus en plus d'ailleurs mais n'avait pas abandonné l'idée selon laquelle l'une des ses canines viendrait compléter sa collection d'objets. Séléna se promenait donc toujours avec un caillou plutôt gros dans sa poche, prête à se défendre au cas où la Vampire l'attaquerait. Elle y avait déjà réfléchi. Un coup de pierre sur la bouche pour la stopper et obtenir, par la même occasion, la précieuse dent. Bon, là était la théorie, en pratique, elle n'était même pas sûre d'avoir assez de force et de précision pour viser correctement. De toute façon, elle était presque certaine que Cruella n'oserait pas l'attaquer tant que Shizuo resterait près d'elle.

Plutôt confiante, elle s'avança vers l'eau, laissant l'homme partir à ses occupations. Ça lui ferait du bien de se baigner. Elle était tellement tendue à cause des voyages à cheval qu'elle ne rêvait plus que de ça, se sentir portée par l'eau et fermer les yeux pour sentir toutes les parties de son corps se relaxer les unes après les autres, lentement. Elle attrapa son haut, l'enlevant doucement. Elle ne voulait pas aller trop vite. Elle voulait apprécier le moment à sa juste valeur. Pliant le tissu sur le sol, elle retira le bas, le posant par dessus le premier. Nue, elle détacha ses cheveux, lançant sa barrette sur le tout. Séléna trempa l'un de ses pieds dans l'eau. Elle était fraîche mais ça irait. Elle entra dans le liquide jusqu'à la taille et en inspirant, elle se laissa tomber en arrière, s'immergeant un moment avant de revenir à la surface. Elle rit, commençant à jouer avec le courant jusqu'à ce qu'elle s'aperçoive qu'elle n'était plus la seule à faire retentir sa voix. Une tête était apparue juste en face d'elle, celle d'une femme à la chevelure brune qui, visiblement, avait envie de s'amuser. « Bonsoir... » fit-elle d'une voix envoûtante et basse. Surprise, Séléna voulut cacher le haut de son corps dans l'eau mais la Sirène la retint, l'enlaçant pour l'empêcher de bouger. « Tu tu tu, ça ne sert à rien voyons. J'ai une très bonne vision, même sous l'eau. Je t'observe depuis tout à l'heure, tu sais ? ». « Je euh... ». « Oh comme c'est mignon. Un petit chaton qui rougit jusqu'aux oreilles. ». La jeune femme ne savait plus quoi faire. Elle était bien plus habituée à la présence de femmes dans son entourage que d'hommes, mais la situation était tellement... « Sais-tu ce que mon peuple fait aux petits chatons qui se baladent un peu trop près de l'eau ? » chuchota la brune. Curieusement, Séléna ne voulait pas vraiment savoir. Figée, contrainte, elle se demanda si le mieux à faire ne serait pas de crier. Le problème c'est qu'elle était totalement nue. Si cela se trouvait, cette femme ne faisait que jouer avec elle et se lasserait bien vite. « Il les caresse ? » répondit-elle dans un murmure. « Ainsi tu veux que je te caresse ? » fit la femme, de plus en plus amusée. « N... non... ». C'était étrange mais malgré la beauté manifeste de son interlocutrice, Séléna commençait à trouver qu'elle avait des dents bien pointues et aiguisés.

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Sam 06 Fév 2016, 23:18

/// Attention situation (un peut je peut faire mieux) violante ///
« N’oublie pas ton devoir. » Zéleph soupira. Allonger, il flotté sur le dos pour se détendre, mais a se rappelle il retomba dans la réalité. Il aurait dû savoir que la chute serait douloureuse. Ouvrant les yeux il allait se diriger vers la berge. Jetant un regard nonchalant vers les roseaux qui faisait barrière entre lui et Séléna, quelque chose lui paru étrange. Bien que l’obscurité se soit peut à peut installer le soleil était encore assez haut pour qu’il y vois clairement. Il ne l’entendait plu. Elle ne bougeait plus. Etait-elle parti ? Un rapide coup d’œil sur la berge lui indiçât qu’elle était toujours là, ses vêtements entasser dans l’herbe. Sin instinct l’alerta d’un danger. Inconsciemment l’angoisse le fit tressaillir et il fit les quelques pas qui le séparé des plantes. Passant au travers son regard se posa sur une drôle de scène. Zéleph écarquilla les yeux, laissant son trouble apparaître. Rapidement son étourdissement se dissipa, ses yeux prenant une teinte inquiétante et ses poings se serrant jusqu’à sentir ses ongles rentrés dans ses paumes. La seconde d’après il avait bondis sur la sirène. Sa main enserrant sa gorge avec assez de force pour lui rendre la respiration impossible. Il ne tuer jamais les femmes, sauf quand il y était forcé, mais pour puise que celle-ci était à moitié poisson, il n’aurait aucun scrupule. « Je ne supporte pas que l’on touche à mes affaires. » sifflât-il entre ses dents, la fureur faisant tremblé le rauque de sa voix. On pouvait lire de la cruauté dans ses yeux quand il attrapa les cheveux de la brune, et aider de la pression sur son cou, lui arracha la tête. Le corps tomba lourdement pour se mettre a flotté dans l’eau, et suivre lentement le courant. La satisfaction qu’il ressentit, en posant son regard sur les yeux sans vie de la sirène, le détendit. Le réprouvé était pourtant toujours aussi furieux. Furieux contre cette femme, furieux contre lui qui c’était laissait distraite, furieux contre Séléna.

Se retournant pour lui faire face, il posa son regard dur sur elle. La mâchoire séré, il la jaugea sévèrement. Son corps hurlait de rage et sa nudité ne fit rien pour arranger les choses. Jetant la tête devant elle, il grogna. « Elle te plaisait ? » Il n’était pas jaloux, il n’y avait pas de quoi. Il ne comprenait pas pourquoi elle n’avait pas crié, ou c’était débattu. C’est ce qu’elle faisait avec lui pourtant, non ? La tête fut jetée plus loin, sans aucun respect pour la défunte, quand Zéleph vint près de Séléna. Lui attrapa fermement le visage par la mâchoire, de façon a lui faire subtilement mal, il la força à se redresser. Son regard brulant de colère avec une once de dégout se plongea dans le sien. « Je n’autorise pas qu’un monstre pareil te touche. Enfaite, je n’autorise personne à te salir de leurs mains. »  de sa main libre, il lui attrapa le poignet, et le coinça dans son dos, lui tordant le bras au passage. Ils étaient maintenant l’un contre l’autre. Elle forcé d’être cambré sous lui, lui la dominant totalement. Il adora cette sensation et pris plaisir à s’en délecter. Son visage sans émotions se faisant trahir par un petit sourire malveillant. « Je ne plaisante pas, princesse. Tu m’appartiens. » Il fini sa phrase sur un ton cassant qui ne laissait aucun doute quand à sa pensé.

Comprenant qu’il était peut-être un peut trop cruelle d’un seul coup, il desserra légèrement ses prises pour soulager sa douleur. Il venait de décapiter quelqu’un devant elle et de lui jeté sa tête. Se qui autrefois aurait était un trophée, devait être pour la naïve Séléna abominable. Bien qu’il lui faisait imaginer, ça n’était pas sa faute à elle si cette femme s’était attaquer a lui. C’était lui le fautif. Il avait laissé son attention ailleurs, et sa sécurité lui avait échapper. Seulement, même furieux contre lui, il déversait sa colère sur elle. « Tu fait tout pour me désobéir. A partir de maintenant je me baignerais avec toi. » Lui lâchant le visage, il la tira hors de l’eau, puis lui jeta ses vêtements en lui jetant un froid. « Habille-toi. » Lui même se dirigea vers ses vêtements, mais cette fois il ne fit pas l’erreur de se détourné d’elle et garda son regard sur son corps. Son propre corps se tendis. En s’approchant il sentait toute sa colère bouillonnée en lui. C’était son désir qui se muet en quelque chose de beaucoup plus violant. La sirène l’avait poussé au bords de ses limites. Un peut plus, et la lumière quitterait totalement son esprit. Quand il fut près d’elle, il glissa ses doigts dans ses cheveux encore humides, les agrippant fermement pour l’empêcher de s’éloigner de lui. « Ça t’amuse de séduire n’est-ce pas ? Exhibe encore ton corps à quelqu’un d’autre que moi, et tu le regretteras. C’est compris ? » Zéleph garda son regard appuyé dans le sien, tirant légèrement sur ses cheveux en arrière pour lui relever la tête. Ses yeux la détaillèrent sévèrement. Même avec la peur, ou la soumission elle gardé cette impérialité, cette insolence qui excité un peut plus sa fureur.

Si elle savait se qu’il avait dans la tête. Il ne lui donnerait pas le choix. Etalé dans l’herbe, les jambes écartées, il lui aurait montré à qui de droit elle appartenait. Qui était le seule à avoir le pouvoir de la touché, et comme les autres lui inspiré le dégout. Cette sirène n’aurait eu aucune chance si elle l’avait voulu. Elle n’avait cas eu cas crier, l’appeler, mais elle ne l’avait pas fait. Il l’avait trouvé dans ses bras, peut importe qu’elle soi consentante ou non, d’une façon ou d‘une autre elle c’était laissait faire et c’était intolérable. « Allumeuse. » Lâchant brusquement la prise qu’il avait sur sa blondeur, il se détourna un instant pour attraper le sac remplit de gourdes et le lança sur son dos. Puis il passa à coter d’elle sans un regard, avant de se stopper à quelque pas et de lui tendre la main, pour l’incité à la prendre. Il s’occuperait d’elle plu tard, pour le moment ils devaient retourner au camp. La nourriture devait être prête a présent et il devait se calmer un peut, avant d’à nouveau succombé a ses besoins sanglant.

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Dim 07 Fév 2016, 00:54

« Ça tombe bien... » murmura doucement la Sirène, en approchant ses lèvres de l'oreille de la jeune femme. « … parce que, en réalité, mon peuple attire les petits chatons au fond des abysses pour les manger tout crus. ». Séléna bougea la mâchoire mais aucun son n'en sortit. Pétrifiée devant le fond du dialogue, elle n'en restait pas moins hypnotisée par la brune. Elle n'arrivait ni à bouger, ni à crier, ni à articuler le moindre mot. Et puis il se passa quelque chose d'affreux, quelque chose qu'elle ne comprit pas au début. Restant dans un état de stupéfaction un long moment, son corps sembla revenir à lui seulement quand la tête de l'Ondine atterrit à côté d'elle. Portant l'une de ses mains à ses lèvres, ses yeux cherchaient un sens à tout ceci, sens qu'elle ne trouva pas. Qu'est ce que ? Plaisait ? Mais qu'est ce qu'il racontait ? Elle ne comprenait rien. Tout ce qu'elle savait c'est qu'il était fou de rage et qu'elle ne pouvait pas détourner le regard de ses yeux rouges. Elle n'avait rien fait... A moins que si ? Qu'avait-elle donc bien pu faire qu'il lui déplaisait autant ? Il... il avait tué quelqu'un... « Ah ! » fit-elle en réponse à ses gestes brusques. Il lui faisait mal. Il l'effrayait. Elle aurait sans doute été gênée par leur nudité commune si elle n'avait pas été tant occupée à se demander s'il n'allait pas la tuer purement et simplement. En même temps, elle analysait ses dires. Il ne voulait pas qu'on la touche... Elle ne savait que faire avec ça. Elle n'arrivait pas à savoir s'il s'agissait là d'une bonne chose ou non. Et puis... toucher ? Que voulait-il dire par là ? Soumise à ses volontés elle avait du mal à saisir toutes les subtilités de la chose. Était-il furieux parce que la femme avait voulu la dévorer ou était-il furieux parce que... elle l'avait enlacé ? Ça n'avait aucun sens. Tremblante de la tête aux pieds, elle se laissa traîner en dehors de l'eau, faisant de son mieux pour cacher ce qu'elle pouvait, ses cheveux aidant considérablement à la tâche naturellement. Elle ne voulait pas qu'il la voit. Aussi, elle obtempéra plutôt rapidement à son ordre, enfilant son pantalon avec hâte après avoir pivoté pour lui tourner le dos. Ce n'était pas très prudent mais tant pis. Une fois le soucis de la chair mit de côté, son esprit recommença à réfléchir sur toute cette histoire. Malheureusement, ce n'était pas terminé. Quand elle le vit arriver, elle voulut fuir mais, comme s'il avait prévu son geste, il lui agrippa les cheveux. « Non... ». Plaçant ses mains sur la sienne, elle souhaita se défaire de sa prise mais n'arriva à rien de très concluant. Il était trop fort pour qu'elle puisse faire quoi que ce soit. Il ne lui donnait aucune chance. La Sirène non plus ne lui en avait pas donné dans le fond, mais elle l'avait laissé un peu espérer en jouant avec elle, en usant de sa voix sensuelle et d'autres artifices pour la maintenir en place. Lui ne jouait pas, il plaçait directement la situation de façon à ce qu'elle n'ait aucun doute sur ses intentions. Séduire ? Les mots résonnaient dans l'esprit de Séléna. Elle ignorait même jusqu'aux bases de la séduction. On lui aurait demandé de séduire quelqu'un qu'elle n'aurait su ni que dire, ni que faire. Son esprit de contradiction s'éveilla l'espace d'un instant et elle s'entendit presque lui cracher au visage qu'il était responsable de sa nudité puisque c'était lui qui lui avait dit de se laver. Seulement, elle n'en fit rien, se contentant de le regarder, entre peur et stupeur, entre désir de vengeance et désir de fuite. Il fallait absolument qu'elle trouve un moyen de contrer sa force. Elle ne savait pas quoi, elle ne savait pas comment mais ça lui paraissait vital. Son cœur battait la chamade et quand il la lâcha, elle redouta un troisième assaut de sa part. Allumeuse... elle n'avait aucune idée de ce que cela voulait dire. Elle pouvait deviner plus ou moins. Elle se doutait que c'était péjoratif mais le reste lui était inconnu.

Séléna resta un moment sans bouger, regardant d'abord la main qu'il lui tendit puis la rivière. Si elle se dépêchait, elle pourrait courir, traverser l'eau et s'enfuir. Il ne la poursuivrait sans doute pas, surtout qu'il portait les gourdes. D'un autre côté s'il réussissait à l'intercepter, elle passerait sans doute un mauvais moment. Il était déjà énervé, si elle ravivait encore plus sa colère, elle ne savait pas ce que cela pouvait donner. Il venait de tuer une femme... Les yeux de la blonde se posèrent d'ailleurs sur le corps de la Sirène qui disparaissait au loin, porté par le courant. Et si elle réussissait à s'enfuir, que se passerait-il ? Elle essayait de maîtriser ses tremblements tout en réfléchissant. Son poignet était douloureux et sa mâchoire lui faisait mal. Si elle réussissait à traverser la rivière, elle se retrouverait seule, dans un endroit qu'elle ne connaissait pas, sans rien pour subsister. Si elle marchait longtemps, elle tomberait sans doute sur des individus mais elle  n'était pas sûre qu'ils soient bien intentionnés. Et puis, il devait y avoir des bêtes féroces aussi... Partir serait une folie mais lui prendre la main revenait à peu près à la même chose. Il la soumettait par la force, elle devait trouver un moyen de lui faire comprendre qu'elle n'était pas aussi faible qu'il le pensait, même si ce n'était pas vrai. Elle était tellement faible en réalité mais son instinct de survie lui dictait que pour effrayer une bête féroce, la meilleure solution consistait à grogner plus fort qu'elle. Elle inspira et expira lentement avant de s'avancer un peu en direction de Shizuo. Son idée relevait de la folie, elle-aussi, mais tant pis. Elle ne voyait pas ce qu'il pourrait lui faire de plus. Séléna passa devant lui, effleurant sa main tendue avec la sienne au passage sans la prendre. Après l'avoir dépassé de quelques pas, elle s'arrêta, sans le regarder. Lentement, elle tendit sa propre main en sa direction, l'imitant. Elle attendit qu'il la prenne. Elle ne savait pas trop ce qu'il allait se passer mais, de toute façon, c'était la meilleure solution. Fuir maintenant aurait été une bêtise.

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Dim 07 Fév 2016, 02:39

Il s’impatienta. L’irritation commença à se faire sentir. Qu’attendait-elle au juste ?  Il n’allait pas rester la main tendue comme un idiot pendant des heurs. Déjà qu’il avait la courtoisie de lui offrir sa main, la moindre des choses c’était de l’accepter. De plus ça lui couté énormément d’ainsi se soumettre a de telle futilités. Oui ça lui plaisait, mais ce n’était pas pour autant que sa fierté n’était pas bafouée. Alors pour l’effort dont il faisait preuve, la décence voulait qu’elle l’accepte. Sur le point de grogner une insulte bien senti et venir lui prendre la main avec violence il se ravisa. Zéleph se rendit compte que Séléna tremblait. Elle avait peur. Il la terrifier. Ses sentiments étaient déchirés entre le contentement et l’amertume. Ça lui plaisait, et en même temps il ne le désirait pas ainsi. Il voulait être crains, pas détesté. Alors un instant il perdit confiance et un éclair d’angoisse le traversa. Il douta qu’elle ne prenne jamais sa main par elle même. Il douta qu’elle ne face jamais rien que sous la contrainte et la peur. Bien sur il voulait la dominer, mais il voulait être dominé aussi. Séléna, si elle le désirait devrait apprendre à le voir jonglés avec des sautes d’humeur spectaculaire. C’était son fardeau et elle, plus que n’importe qui d’autre, aurait le pouvoir de le rendre sanguinaire et puis la minute suivante doux comme un agneau. Seulement pour cela il faudrait du temps, mais sur tout son approbation. Le réprouvé pouvait l’incité à devenir la femme dont il rêver, celle qui lui manqué, mais il ne pouvait pas la forcer, cela n’aurait aucun sens. Il était sur le point de capituler, quand à sa surprise, elle avança vers lui. Elle ne fit qu’effleuré sa main, mais cela suffit pour lui rendre toute confiance. Pire, elle l’acheva en lui tendant a son tour la main. Pour la première fois de puis le début de se voyage elle prenait une initiative. Elle l’invité d’elle même a la proximité, a l’intimité avec lui. Zéleph en fut gonflé de fierté. Fier par ce que même terrifier, même certainement écœuré, elle l’invité lui, la bête sanguinaire ç lui prendre la main.  Elle retourné la situation, prenant le contrôle. Même si c’était maladroit et mal-assuré, il en était ravi.

Ses doigts vinrent s’entrelacer avec les siens, et il les serra avec douceur. Son regard ne quittant pas un seul instant les siens a ce geste lent et calculer. Tendrement il caressa son pouce du sien en se rapprochant d’elle.  L’émoi avait fait s’évaporé une partie de sa colère. Pour autant, une fureur tenace persisté encore, mais il décida de ne pas s’y soumettre pour le moment. Sous le crépuscule, il prit soin de se délecté de sa beauté. Ses yeux brillant de questions et d’incertitude, son visage rougie et encore humide, ses cheveux trempé collant à son front. De sa main libre, il remit les mèches entravent son front, pour lui découvrir le visage et pleinement en profité. Quelle beauté. Zéleph le réalisé, elle semblait plus vivante que Mitsuko. Mortelle, tout simplement. Il était en adoration devant elle. Ce n’était encore qu’une enfant candide et lui, un barbare lubrique. Il allait lui faire tellement de mal. Elle ne l’aimerait jamais. Ça n’était pas plus mal imagina-t-il. Quelque par, au moins, l’un d’entre eux seraient épargner. « Séléna. » Il venait de murmuré, brisant le silence pesant qui c’était installer. Comme pour dire un secret il c’était rapprocher d’elle encore. Ses doigts caressant toujours son visage, sans jamais se lasser des courbes qu’il connaissait déjà par cœur. « Tu ne me rend pas les choses faciles. » le soupire qui lui échappa, laissa transparaitre toute son désarroi. Sa main posée sur sa joue, son pouce égaré sur sa bouche, il brula d’envie à cette instant. Douces, charnus, roses. Zéleph ressentait un désir non cacher pour ce petit bout de paradis. Les embrasser, lécher, mordre, sucer, il voulait tout leur faire subir pour que cette jolie couleur délicate se transforme en un rouge flamboyant de plaisir, que sa chair soi gonflé de désir et lui crie « encore ». Se penchant, il se contenta de laissait trainer sa bouche dans son cou, puis d’embrasser son oreille. « Si tu veux quelque chose demande le moi. J’imagine que même si je dois te punir, tu as aussi bien agi et tu à droit à une récompense pour ça. » Il suçota tendrement son lobe avant de légèrement le titiller de ses dents. « Je veux que tu comprennes, Séléna, que tu peux avoir se que tu veux de moi, si tu agis correctement. » lui offrant un dernier baissait sur la mâchoire il se recula pour la regardé. A force d’apprentissage, elle comprendrai, les choses se ferait avec le temps, il en était persuadé. « Et si quelque chose te tracasse, alors dit le moi. Je veux savoir tout se que tu as dans la tête. » son murmure se perdit dans le début de nuit qui commencer.

Jugeant qu’il était temps de partir, il l’incita a le suivre vers le camp. Tout le monde était assis autour du feu a manger et boire. Les tentes étaient toutes installer. Zéleph posa le sac remplit de gourde qui commencer a ankylosé son épaule. Puis il s’assit près du feu et prépara deux bol de ragout pour lui et Séléna. Le repas ne se fit pas dans le silence, comme d’habitude chacun allait de ses petites histoires et de moqueries. Zéleph de caractère taciturne ne répondait que quand cela l’exigé vraiment. Il semblait ennuyé par la discutions. Comme c’était commun personne ne s’en soucia. Son regard plonger dans le feu il mangea de façon machinal, ses pensés toujours un peut perturbé par la colère. Il se demandé si il pourrait dormir dans cette état.

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Dim 07 Fév 2016, 22:16

Séléna sentit les doigts de Shizuo dans sa main et elle ne put s'empêcher d'esquisser un petit sourire. Elle avait réussi à dompter le tigre. Elle n'en avait conscience qu'à moitié, la peur continuant de la tirailler. Seulement, après quelques secondes, elle sut qu'il ne lui ferait plus rien de violent. Il semblait être totalement différent, un autre homme. Il la touchait avec douceur, réveillant en elle des sensations qu'elle ne cessait d'éprouver à ses côtés quand il n'essayait pas de la violenter. Non, ce n'était pas tout à fait exact... parfois il avait des gestes brusques qui l'électrisaient également, quand il jouait. Elle avait une drôle d'impression. Il la regardait étrangement et elle se sentait la cible de quelques pensées qu'elle n'arrivait pas à comprendre. A quoi pensait-il soudainement ? Ses yeux semblaient vouloir la posséder mais ils étaient différents de ceux qu'il avait posé sur elle un peu plus tôt. Il y avait cette émotion... La jeune femme frissonna lorsqu'il se pencha pour atteindre son cou. « Je... ». Elle devait arrêter d'essayer de parler lorsqu'elle se sentait troublée car ça ne donnait jamais rien de concluant. A chaque fois, sa voix se perdait dans les limbes de ses sensations. Ce courant qui passait dans tout son corps, partant du point de contact de ses lèvres sur sa peau, elle ne savait comment le nommer mais elle n'y échappait jamais. Elle retint un gémissement quand il atteint son lobe, l'écoutant à moitié. C'était si... enveloppant. Elle avait l'impression que sa raison prenait la fuite. Les joues rosées, elle se laissa guider vers le campement, incapable de réfléchir à quoi que ce soit.

Une fois arrivée, elle s'assit, fixant le feu tout en mangeant lentement ce que Shizuo lui avait donné. Quelque chose qui la tracassait ? Devait-elle réellement lui parler de ce qu'elle avait fait lorsqu'il dormait ? Elle avait peur qu'il réagisse mal. Et puis, elle ne savait pas vraiment ce qu'il lui avait pris. Il avait décapité  une femme... En y repensant, elle trouva la scène totalement irréaliste. Séléna avait du mal à s'avouer que tout ceci s'était réellement déroulé. Elle porta doucement l'une de ses mains à son cou. Arracher la tête de quelqu'un devait être si difficile... Pourtant, c'est ce qu'il avait réalisé, avec une violence extrême, dans un état de rage prononcé. Elle baissa doucement les yeux sur sa poitrine. Son haut était trempé. Elle l'avait enfilé avec une telle vitesse, sans même prendre la peine de chasser l'eau de ses cheveux, et ces derniers avaient dégouliné le long du tissu. Elle avait légèrement froid, même avec le feu, et elle remarqua que l'on voyait la pointe de ses seins à travers le vêtement. Se recroquevillant un peu, elle continua de manger en silence, prenant conscience qu'elle avait oublié sa pince sur la berge. Tant pis. Elle était curieuse, à propos de la femme de Shizuo, mais elle n'osait pas l'interroger à ce sujet. Peut-être pourrait-elle questionner l'un des membres du groupe lorsqu'elle en aurait l'occasion ? Le Réprouvé ne la quittait pas réellement des yeux mais elle était sûre qu'elle trouverait sans doute un moment. En attendant, elle devait penser à tout ce qu'il s'était passé, aux mots qu'il avait employé lorsqu'il était en colère, à ceux qu'il avait murmuré une fois calmé. Il y avait des choses qu'elle n'avait pas compris et... A vrai dire, elle hésitait. Elle ne souhaitait pas qu'il se renfrogne. D'un autre côté, il fallait bien qu'elle lui parle un jour ou l'autre. Finalement, elle se rapprocha un peu plus de Shizuo. Après tout, il lui avait dit que si elle voulait quelque chose, elle n'avait qu'à lui demander alors... « J'aimerai savoir... qu'est ce que c'est une allumeuse ? ». Elle murmurait pour éviter que les autres l'entendent. Elle était quand même heureuse qu'ils soient là pour une fois, parce qu'elle voyait mal le Réprouvé s'emporter devant eux. Peut-être avait-elle tort mais elle se sentait plus rassurée comme ça. « Et puis... Je ne sais pas séduire. Je... je suis sans doute fautive pour cette... femme mais je ne comprends pas. Je n'ai rien fait et... ». Peut-être que revenir sur les événements n'était pas la plus brillante idée qui lui avait traversé l'esprit. Cela dit, en articulant ces quelques phrases, elle venait d'entrevoir un bon moyen de placer ce qui la tracassait mine de rien. « Est-ce que être une allumeuse c'est comme... embrasser quelqu'un qui est en train de dormir ? Je veux dire... j'ai compris que c'était mal d'être une allumeuse alors... Est-ce que vous pensez qu'embrasser une personne endormie c'est la même chose ? ». Elle se redressa un peu tout en fixant le feu. C'était étrange, elle avait une drôle de sensation. C'était comme si les mots avaient du mal à sortir, comme si la culpabilité l'étreignait et qu'elle avait du mal à enterrer la hache de guerre. Elle lui en voulait et elle s'en voulait un peu, sans vraiment savoir pourquoi. Il n'avait pas pu s'emporter ainsi sans qu'elle ne soit un peu en tort. Et puis, il y avait ces sensations qui la tourmentaient aussi. Elle se demandait si elle devait en discuter avec lui ou non. « Des fois je me sens étrange... quand je suis avec vous je veux dire. Ça me fait un peu mal, comme un picotement... mais ce n'est pas désagréable... c'est dur à décrire. Des fois j'ai froid et puis ensuite j'ai chaud et... hum... on dirait de la fièvre... ». C'était ça ! Séléna écarquilla doucement les yeux. « Si cela se trouve je suis malade ! ». C'était tellement logique ! Une forme de maladie qui revenait par cycles, de temps à autre. Parce que, en y réfléchissant, les sensations parfois ne la quittait pas, même lorsqu'il n'était plus à côté d'elle. « Ça expliquerait pourquoi ça me le fait parfois quand je suis seule... ». Elle réfléchissait plus à haute voix qu'elle ne lui parlait à lui. « Il faut que je vois un médecin... ».

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Dim 07 Fév 2016, 23:38

Cruella leva furtivement les yeux. Zéleph capta son regard, elle lui souriait narquoisement. Monstre de femme, elle écouté les conversations la garce. Elle détourna le regard, et le réprouvé en profita pour se tourner vers Séléna. Il savait se que le vampire pensé. Cette fille n’était qu’une enfant perdue. Elle ignorait tout de la vie et n’avait rien à faire avec une bande comme la leur. Attrapant un bout de viande avec ses doigts il le fourra entre ses lèvres, avant de nettoyé sa main a l’aide de sa langue, sans se soucier qu’il est eu l’air vulgaire. Une fois fini, il bu un peu au bol. Puis, s’essuyant la bouche, assuré qu’elle était vide il commença. « Une allumeuse, princesse, c’est une femme qui sais déclarer l’incendie chez un homme, ou une femme, et attisé le feu. Enfaite, qu’elle en a conscience ou non, une séductrice reste une séductrice à partir du moment où elle inspire le désir a quelqu’un. La particularité d’une allumeuse, c’est qu’elle séduit juste pour le plaisir de voir quelqu’un avoir envie d’elle. Elle frustre ses proies, c’est son plaisir. Elle joue avec leurs envies. Un peut comme des promesses en l’air si tu veux. » Il vida son bol comme pour mettre un point final a sa litanie, puis se resservit du bouillon. Le réprouvé, était étrangement sérieux en parlant à la jeune fille. Complétement détacher, sachant que son petit cours, bien que visiblement utile, était stupide. « Certaine allumeuse son détestable, d’autre fascinante. Les pires allumeuses sont celles qui ne contrôle pas leur pouvoir de séduction, si bien qu’elles finissent par avoir des problèmes. Un peut comme toi tout à l’heur. Celles qui maitrises l’art de la séduction peuvent au contraire prendre un ascendant certain sur n’importe qui, et même asservir sans difficulté d’un seul regard. » Son bol de nouveau vide, il le jeta dans la pile de vaisselle. Il faudrait aller la nettoyer demain avant de partir. « Honnêtement être une allumeuse c’est pour les putains, pour attiré les clients. » finit-il calmement, comme si cette phrase était anodine .

Posant à nouveau son regard sur la jeune demoiselle, il lui sembla la voir frémir, et vu la façon dont elle sembla vouloir cacher le tremblement c’était du au froid. Il la jaugea un peut et soupira. Elle était presque en boule à force de vouloir se serrer. S’étirant, il attrapa derrière lui une couverture et l’enroula autour d’elle. Par instinct il l’attira à lui et l’emprisonna entre ses bras et ses jambes. Personne ne sembla s’en soucier. Dans cette posture confortable et ainsi contre lui, elle ne risquerait plu d’avoir froid. Il posa son menton sur l’épaule de Séléna, son front contre sa tempe. « Tu pause des questions étranges, et tu ne me dis même pas que tu as froid. Idiote. » Il n’avait fait que murmuré, il n’était pas fâché contre elle, au contraire elle arrivé à l’attendrir. Tournant la tête, il laissa son regard se perdre dans le feu, que Théo ravivait de temps en temps. « Embrasser quelqu’un dans son sommeille, par définition, ça n’est pas l’allumer puise qu’il n’en a pas conscience. Puis, si on embrasse quelqu’un pour qu’il ne le sache pas c’est que c’est une envie personnelle. Une allumeuse, se qu’elle veut c’est que l’autre est envie d’elle, pas forcement l'inverse. Tu comprends ? » Il lui jeta un rapide coup d’œil avant de regardé a nouveau le feu. Elle sentait toujours bon. Ça devait être cette huile, il l’avait vu s’en mettre. Elle semblait beaucoup prendre soin d’elle.  « Je suppose que c’est un peut compliquer. Embrasser quelqu’un c’est un acte charnel qui se partage de toute façon. Si tu embrasse quelqu’un dans son sommeille c’est que tu l’aime ou que tu le désir et que tu ne veux pas qu’il le sache. C’est triste je trouve… Etre embrasser c’est se que je préfère. On peut faire l'amour à quelqu'un simplement comme ça.» Zéleph cacha son sourire quand il alla cueillir l’oreille de Séléna dans l’humidité de ses cheveux. « La prochaine fois que tu m’embrasse, fait le quand je suis éveillé. » Il n’était pas toujours le plus fin, mais elle l’avait caché si maladroitement que même lui pouvait comprendre. Comme si soudaine elle se posé cette question en particulier sans arrière penser. Cette fois il ne cacha pas son petit rire. Alors comme ça elle l’avait embrassé ? Il était flatté. Peut être qu’il ne la dégouté pas finalement. Peut être avait-il bien interprété les signes. Il en était même certain maintenant qu’elle lui parlé de son étrange maladie.

Son ricanement mourut quand il se redressa. Zéleph n’avait aucune envie de la mettre mal à l’aise devant ses camarades. Ça c’était son privilège à lui seule. Pour le rassuré, il lui embrassa la tête avant d’y posé son menton et de la serré plus fort contre lui. « Tu n’est pas malade Séléna. Ou peut être que si. » Il rit un peut en se reculant pour la regardé. Sachant qu’il la perdrait que plus avec ses énigmes, il continua. « Tu a des bouffé de chaleur. C’est ce qui arrive quand on est attiré par quelqu’un. » De puis la première nuit dans l’auberge il l’avait vue, mais elle, bien sur restait une enfant et ne savait rien de tout ça. Sincèrement personne n’avait eu, ne serait-ce qu’une discutions à propos de ça, avec elle ? « Il y a des choses sur les quel tu semble peu instruite. » Le réprouvé fit la moue, boudant légèrement. C’était mignon toute cette candeur, mais trop frustrant pour lui. « Ces picotements, ces bouffé de chaleurs, elles ne son pas du qu’au désirs charnel. C’est aussi lier à tes sentiments. L’angoisse, le plaisir, l’appréhension, la crainte, la fierté, l’apaisement, et tout se qui se bouscule en toi, c’est normal. Il faut simplement apprendre à les comprendre et à les gérés. » Un ronflement lui fit stoppé ses taquineries. Scaldis c’était endormit comme un pauvre sur le sol devant le feu. Cela fit rire tout le monde. L’orisha aurait des courbatures demain s’il resté là, alors Tarnis et Théo s’occupèrent de le couché. C’est ainsi que tout le monde décida qu’il était temps d’aller chacun dans sa tente. Partagent la sienne avec Séléna, il attendit qu’elle s’installe avant de rentrer a sous tour sous la toile beige. Il retira ses vêtements à l’exception de son caleçon, ce qu’il faisait par concession, de puis que Séléna dormait avec lui. Se glissant sous une couverture, il soupira d’aise, soulager que cette journée prenne fin. « Maintenant, à par si tu veux m’embrasser… bonne nuit, princesse. »

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Lun 08 Fév 2016, 01:19

Séléna écoutait ce que Shizuo disait. C'était étrange mais elle ne se reconnaissait absolument pas dans le terme d'allumeuse. En y réfléchissant, peut-être avait-il dit ça uniquement sous le coup de la colère ? Des promesses en l'air... elle ne voulait pas en faire. Cela dit, quand il parla de prendre l'ascendance, son esprit écouta attentivement. Pouvait-on se servir de son corps pour soumettre autrui ? C'était certain. La Sirène l'avait fait avec elle. Elle l'avait trouvé belle, c'était vrai, mais plus que tout, elle avait cette voix qui l'avait totalement envoûté. La jeune femme était certaine que la magie était entrée en jeu mais peut-être qu'elle avait tort... peut-être était-ce là le pouvoir fascinant des séductrices ? Quant à Zéleph, il se servait également de son corps pour la soumettre. Parfois il l'embrassait, furtivement, sans continuer son geste, comme si tout était normal. Mais elle sentait ces sensations... Non, ça n'avait rien à voir. Ce qu'il faisait, il le faisait pour jouer, pour s'amuser. Il n'avait aucunement envie d'éveiller le désir en elle... le désir... c'était bien flou dans son esprit. Elle se demandait ce qu'elle était pour lui. Une sorte d'animal domestique ? C'est ce que semblaient penser les autres en tout cas. Contre lui, elle se dit que peu importait. Sans doute n'aurait-elle jamais de statut fixe. Elle ne trouvait pas une dénomination correcte à leur relation dans toute la théorie qu'on lui avait appris. Il n'était ni son époux, ni un prétendant, ni un ami de la famille, ni un étranger. Il était juste... qu'était-il ? Elle soupira, soupir qui se termina en gémissement malgré elle. Sa bouche contre son oreille l'avait fait frémir et elle se sentait de nouveau toute chose. Quelques chuchotements plus tard et son visage était devenu cramoisi, à moitié caché par ses cheveux. Il savait. Comment avait-il compris ? En y réfléchissant, elle n'avait pas été si fine que ça. Elle ne répondit rien, se disant que laisser le doute planer serait sans doute le meilleur choix à faire. Il ricanait. Il se moquait. Au moins, il ne l'avait pas mal pris. Quant à son acte, il n'était que pur folie. Peut-être le regrettait-elle un peu à présent mais il lui avait paru si nécessaire à ce moment là... c'était comme... quelque chose d'inéluctable. Elle écarquilla les yeux. A quoi jouait-il encore ? Elle se mordit la lèvre inférieure. Était-elle malade ou non ? Elle ne savait comment réagir, légèrement embêtée et la suite n'arrangea pas les choses. Quand il parla du désir, celui-là même que faisaient naître les allumeuses, elle se mit à réfléchir. Était-ce à cause de lui ? Elle préféra ne prendre en considération que ce qu'il raconta ensuite. Oui, d'autres émotions... Bien sûr qu'il était en cause. Il l'avait effrayé, violenté, il avait été doux... toutes ces choses, elle n'en avait pas l'habitude. En réalité, elle n'avait pas l'habitude qu'on s'intéresse à elle tout court, hormis dans le champ de son éducation. Shizuo était le premier homme qui l'approchait, qui franchissait les limites interdites par le protocole. Une fois qu'elle serait habituée, peut-être ne ressentirait-elle plus toutes ces émotions et tous ces picotements...

Le ronflement fit taire ses voix intérieures. Elle se leva pour imiter les autres. Il devait être tard.

Une fois dans la tente, elle enleva son haut trempé, l'étalant comme elle pouvait. Elle en enfila un nouveau, blanc, choisissant le pantalon qui allait avec. Elle n'avait pas pris de pyjama mais les vêtements qu'elle avait emprunté à Düst étaient confortables. Indiquant à Shizuo que c'était bon, elle se glissa sous la couverture. D'habitude, elle fermait les yeux jusqu'à ce qu'il soit lui aussi couvert mais, cette fois, elle ne sut pas pourquoi, elle l'observa. Il dormait nu en temps normal mais depuis le début du voyage, il conservait ses sous-vêtements. Elle lui en était reconnaissante, bien que le reste de son corps éveille chez elle une gêne manifeste. Elle cacha une bonne partie de son visage pour éviter qu'il la voit rougir. A y penser, il était complètement  nu à la rivière... nu et contre elle. Séléna n'avait rien vu alors, trop choquée par ses actes mais maintenant qu'elle y pensait, elle se sentait affreusement troublée. La dernière phrase qu'il prononça n'arrangea rien. Il avait cette facilité à semer la zizanie dans son esprit. Elle ne savait pas trop... Avait-elle envie de l'embrasser ? Elle tourna son regard vers lui et sentit de nouveau quelques picotements la saisir. Sa respiration semblait être en suspension, comme si le temps soudain s'arrêtait, juste avant qu'un événement important se produise. Elle était folle. Elle se redressa soudain, de façon à placer son visage au dessus du sien. Proche de ses lèvres, elle s'arrêta à quelques centimètres, réduisant progressivement la distance, sa respiration plus profonde. Elle ne faisait pas exprès d'aller si lentement. Si son mouvement initial avait été plutôt vif, aussi vif qu'elle le pouvait, à présent, elle hésitait. Oh elle en avait envie mais... Tout ceci était de la faute du Réprouvé. Son cœur battait si fort qu'elle aurait juré pouvoir l'entendre. Un peu perdue, comprenant que son comportement ne rimait à rien, elle se recula, retournant à sa place, sur le dos, les yeux fixés sur le plafond. Elle devait dire quelque chose. Inspirant elle finit par articuler. « Ça, c'est le comportement d'une allumeuse, c'est ça ? ». Séléna se tourna sur le côté, pour qu'il ne puisse la voir, chuchotant un petit « Bonne nuit » à peine audible.

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Lun 08 Fév 2016, 17:34

« Pas si vite, princesse. » Le réprouvé attrapa le bras de Séléna pour la tiré vers lui, l’obligent à s’allonger sur le dos. Il la domina rapidement de son corps. Ses mains bloquant les siennes au dessus de sa tête. Elle pensé réellement s’en sortir ainsi ? La provocation avait toujours un prix, sûr tout avec lui, elle devrait l’apprendre. Oui, elle avait correctement compris comment l’allumer, mais se qui lui échapper encore c’était les répercutions d’un tel agissement. On ne lancer pas un feu sans savoir l’éteindre, ou alors c’était l’incendie assuré. « Ne joue pas avec mes nerfs, si tu ne sais pas jouer correctement avec moi. » Sa voix n’était qu’un grognement, entre désir et agacement, ses yeux ne quittant plu les lèvres de la jeune femme. Il la dévoré des yeux, son regard jetant des flemmes. Ils étaient seuls dans cette tente, il pouvait tout lui faire, personne n’interviendrait. Elle ignorait les règles de se jeu, et elle jouait quand même. Etait-il capable de la préservé ? Quand avait-il à faire après tout. Il avait le droit de la blesser, c’était son privilège. « Il est peut-être temps que tu comprennes certaines choses. » Annihilant l’écart qu’il y avait entre eu, il écrasa sa bouche de la sienne. S’en suivit un combat intérieur pour ne pas la dévoré vive. Pas tout de suite. Sans lui laisser le choix il joua avec les lèvres de Séléna. Les goutant avec un plaisir qu’il ne pouvait dissimuler. Entre douceur et ardeur Zéleph perdit la tête à son contacte. Aspirant sa lèvre inférieure entre les siennes, il la suçota tranquillement, la mordillant de temps en temps. Il se permit d’ouvrir les yeux pour l’observé. Elle était à lui, elle ne pourrait pas lui résister et elle aller le comprendre. Chaque touché, chaque caresse était électrisante. Le réprouvé prenait soin de la gouté, de profité de cette douceur infinie qui lui manqué tans. Il ferait en sorte qu’elle le réclame, qu’elle ne puisse plu se passer de lui, de ses mains, de sa bouche. Quand il senti qu’il avait tout pouvoir, il fit entré sa langue en jeu. Malicieuse, joueuse, elle serait celle que Séléna quémanderait quand elle aurait appris tout se qu’elle savait faire. Après avoir malmener ses lèvres, il les lécha tendrement, comme un chat soignerait ses blessures, il lapé pour apaisé ses douleurs. C’était si bon, il savait qu’il ne pourrait pas s’arrêté, qu’il était près à câliné son petit coin de paradis toute la nuit. Sa langue se glissa entre les lèvres maintenant gonflé de sa victime. Zéleph voulait qu’elle s’offre a lui, et si elle ne le faisait pas, il le prendrait de force. Elle avait épuiser toute sa patience. Lui qui n’en avait aucune c’était montré bien trop clément avec elle ces dernier temps, il était temps de remettre les choses en place. Il brisa la barrière, entrant dans sa bouche et conquis les lieux sans difficultés. Ses doigts c’étaient emmêler aux siens, leur corps se collant un peut plus dans se combat. Sa langue vin caresser la sienne. Il la taquina pendant un moment. L’effleurant, sans jamais réellement la toucher. Puis, décidant qu’il en avait assez de lui apprendre à se languir, il s’écrasa brutalement contre elle. Rude et intense, il grogna dans sa bouche, enivré par les sensations qui le submergé. Dans cette univers il n’y avait rien de meilleur que de la gouté. Il pris tout se qu’il considéré a lui, voulant la pousser au bord du précipice. Il savait se qu’elle aimait alors même qu’elle l’ignoré. Il la faisait se découvrir. Bientôt Séléna ne serait plu que liquide contre lui et il jubilait de le savoir.

Après se qui semblait être une éternité, et qui fut pourtant trop cour pour lui, il fini par La libéré de sa bouche. Non sans regret et sans y laisser quelque baiser. Il était simplement trop dur pour lui de la quitter. Ses yeux la dévisagèrent et il eut encore plus de mal à calmer sa respiration. Elle était tout simplement magnifique. Il en fut presque surpris. Comme s’il l’avait oublié, ou découvrait à nouveau les merveilles de se monde. C’était semblable et pourtant totalement nouveau. Il crue entendre son cœur se briser quand il réalisa qu’il venait purement et simplement de tombé à nouveau pour elle. Qui pouvait être assez fort pour résisté à pareil perfection ? Les joues aussi rouges que les lèvres, gonflé de ses tortures indécentes. Son regard embué, ses pupilles dilatés, la respirations laborieuse. Qu’elle le veuille ou non, il était la clé de sa chute dans la luxure. Qu’elle le veuille ou non, elle adoré qu’il l’adore. Il contempla le trouble et le plaisir qu’il suscité chez elle avec une fierté non dissimuler. Cette créature serait la sienne, et comme autre fois cela lui rendrait le peut d’estime qu’il avait de lui. « Tu en veux encore, n’est ce pas ? » Qu’elle lui réponde non ne changer rien, par se que son corps le faisait pour elle. Ils étaient faits pour s’emboité l’un et l’autre, ça avait toujours était comme ça. Il lui offrit son sourire de vainqueur, mais son regard lui, était celui de l’adoration. Une idée lui était venu, et il était temps de lui soumettre. « Sai-tu qui m’a envoyé a toi ? » Ses murmures n’étaient presque pas audibles dans le chaos de leurs respirations lourdes. « La déesse. » Ça n’était pas un mensonge, c’était pratiquement vrais. Scaldis lui avait dit qu’elle semblait fanatique, quand elle était revenue trempé de la tête au pied à Bouton d’or c’était pour se lavé de ses pêchés. Puise qu’elle était si pieuse, il ferait de leur relation quelque chose contre la quelle elle ne pouvait rien. Ses lèvres fusionnèrent à nouveau avec les siennes, et entre deux baiser il continua. « Sai-tu pourquoi ? » Se redressant, il plongea ses yeux dans les siens. Il n’attendait pas de réponses, mais pris son temps pour donner la sienne, se délectant de la situation. « Puise que tu ignore tans de chose, c’est à moi de t’instruire. » Zéleph laissa trainer sa bouche, sur sa joue, puis son menton et descendit sur sa gorge. « Voilas pourquoi elle a déposé une épée dans ta chambre. » Il traça un chemin le long de son cou avec sa langue jusqu’à son oreille. Sa peau le rendait fou. Il se faisait plus insistant, plus sensuelle dans ses gestes. Il voulait l’amener à faiblir pour qu’elle se rende. « C’était se qui était gravé. » Il mordit son oreille sans prendre aucune précaution pour ne pas lui faire mal. « Tu es à moi, et moi à toi. Il serait dommage de la décevoir. » Se petit jeu l’amusa beaucoup, par se qu’il ne mentait pas, il ne faisait que plier la vérité a sa guise. Elle n’avait pas à savoir la vérité tout de suite, elle ne le croirait certainement pas.

Il se risqua à la libérée de ses prises sur ses mains, en profitant pour caresser ses bras, jusqu’à attrapé son haut entre ses mains. « Tu es brulante, tu devrais te découvrir. » Déchirant le vêtement, il l’arracha sans aucun tact. Ricanant légèrement dans son cou quand il sentit sa peau contre la sienne. La serrant contre lui, il se redressa, puis la fit rouler au dessus de lui. Zéleph ne désirait pas qu’elle se sente forcé, il voulait qu’elle comprenne qu’elle pouvait le contrôler si elle le souhaité, et il prié pour qu’elle réalise comme il en avait besoin. Doucement il prit ses mains et les amena à son torse. « Elle ma offert à toi. » Il se garda bien de lui dire qu’elle l’avait aussi offert a elle. Il voulait qu’elle est la sensation d’être celle qui avait le pouvoir. Celle qui gouverné l’autre si elle accepté la couronne. Il fit passer ses doigts sur son cou, là où elle avait gravé sa lettre à la place du « M » de celle qui le posséder avant. Bien que quelque par c’était toujours là même a qui il appartenait. Histoire compliqué. Il l’incita ensuite à descendre sur son torse, son ventre, qu’elle sente ses muscles se contracté à chacun de ses passages. Zéleph n’avait jamais était aussi sensible avec une autre femme qu’avec la créature de ses rêves. Elle avait tout pouvoir sur lui. « Prend se qui est à toi. » Il la fit suivre les reliefs de ses abdos, frissonnant sous ses doigts. Il ferma les yeux dans un grognement, qui ressembla plus à un ronronnement. C’était si bon et il n’avait aucune honte a lui offrir son contentement. C’était bien la seule a qui il s’offrait ainsi, la seule à être capable de faire roulé ses gémissements dans sa gorge. Enfin, elle ou l’autre, il n’y avait pas d’amalgame. A ses yeux elle resté sa femme. De se fait elle avait le droit de le voir s’abandonner a elle. C’était son privilège a elle, le rendre fou d’elle. « S’il te plait. » il l’avait soufflé dans un aveu de reddition. C’était la preuve de sa faiblesse. Se mordant la lèvre pour s’empêcher de dire autre chose de regrettable, il fit remonté ses mains sur ses pectoraux. Là il stoppa sa paume contre son cœur qui battait assez fort pour déchirer sa cage thoracique. Zéleph avait toujours eu un faible pour les mains baladeuses de Mitsuko, pour sa façon de touché son torse et son dos, observant avec fascination ses muscles se tendre sous son passage. La façon dont elle les dévorés des yeux quand ils se bandaient pendant l’amour. Cela le rendait si fort, si fière. Il n’y avait rien de meilleur que sentir qu’il était l’unique maitre de son cœur, devant le quel elle restait en contemplation. Son regard lui manqué, cette sensation de triomphe, il voulait plus que tout la retrouver. Avec un peut de chance il arriverait à faire naitre la même admiration chez Séléna. Il voulait être son bout de viande. Le guerrier avec qui elle voulait livré bataille pour savoir qui des deux étaient celui qui dominerait l’autre. Long serait le chemin, mais ses espoirs étaient grand. « Ecoute ton instinct. Laisse ton esprit se submergé par les besoins de ton corps. Crois moi, tu n’aimera pas que je soi sage quand tu m’aura apprivoisé. »

Plus de 1700 mots ! Okay cette fois je crois que c'est un record xD mais j'ai rien pu faire pour me controlé... et ça vas aller en s'empirant moi je te le dit !
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Mar 09 Fév 2016, 04:24

Il sembla à Séléna que son cœur venait de rater un battement. Quand elle entendit la voix de Shizuo, elle sut qu'elle n'allait pas s'en sortir aussi facilement. C'était presque inéluctable. Attirée à lui, elle ne chercha pas à lutter tout de suite, sachant au fond d'elle que c'était impossible. Elle aurait aimé s'enfuir à vrai dire mais l'ouverture de la tente était inaccessible d'où elle se trouvait, surtout lorsqu'il se plaça sur elle. Légèrement apeurée, elle le regarda, s'apercevant qu'il n'était pas en colère. C'était... autre chose. Elle se mordit la lèvre inférieure, certaine d'avoir fait une grosse bêtise. Elle essaya de dégager ses poignets, comme si, soudain, il lui apparaissait vital de réussir à la tâche. C'était peine perdue, elle le savait très bien mais... « Hum ! » fit-elle quand il rejoignit ses lèvres, entre la surprise et l'opposition. Seulement, elle dut bien avouer que le contact l'électrisa. Elle souhaitait lui résister mais son corps, lui, était bien loin de vouloir obéir à son esprit.  Elle ne savait comment faire, que faire surtout. Perdue, sa bouche suivait pourtant le mouvement, désireuse. La jeune femme sentait comme des vagues la parcourir toute entière, comme de délicieuses vibrations qui engourdissaient son esprit. Pourtant elle n'avait jamais été aussi sensible. Il n'avait pas le droit de faire ça, c'était de la torture. Elle n'osait fermer les yeux, de peur de se perdre pour de bon, et quand elle croisa son regard elle eut l'impression d'être à lui. Ça la grisa. Elle ne voulait pas l'avouer mais elle aimait qu'il soit ferme, qu'il la contrôle, elle aimait le sentir contre elle, elle aimait son regard. Rouge, de telles pensées entraient en totale contradiction avec tous ses principes. L'homme charmant, l'homme respectueux, l'homme pieux, les marques de politesse, le contact minimum, la courtoisie, tout ceci semblait bien fade par rapport à ce que Shizuo lui proposait. C'était excitant. Sa raison criait au scandale, son corps le réclamait. Elle ne comprenait rien, ayant quitté depuis longtemps les sentiers battus. Pourtant, c'était plutôt instinctif. Elle sentait quelque chose vibrer en elle, une envie, un désir. Elle en voulait plus, comme si sentir sa langue sur ses lèvres n'était pas assez. Elle était maudite, elle serait punie, peut-être pas par les employés du Manoir, mais par les Dieux eux-mêmes. Pourtant, les Ætheri lui semblaient bien loin. Quand elle sentit la langue du Réprouvé en elle, elle se cambra, gémissant sous la douceur qu'elle ressentait contre sa propre langue. Il l'effleurait, il jouait et ça la rendait totalement instable. Sans doute l'aurait-il fait languir plus encore qu'elle serait venue cueillir ce qu'elle convoitait. La force de sa respiration soulevait sa poitrine, elle avait chaud. Son bassin semblait attirer vers celui de l'homme. Ça ne lui ressemblait pas. Tant de sensations qu'elle ne pouvait contrôler. Elle avait l'impression de tomber dans le péché et de se complaire dedans. Mais lorsqu'il s'éloigna de sa bouche, elle se remit à douter, perdue dans un monde charnel qui ne lui avait jamais appartenu. Elle avait l'impression que ses lèvres avaient gonflé, que ses seins étaient plus lourds. Elle voulait qu'il la touche mais c'était interdit. Il ne devait pas... il ne devrait même pas l'embrasser. « Je... ». Oh oui, elle en voulait encore mais elle ne pouvait pas le dire. Il fallait qu'elle arrête tout ceci, qu'elle lui dise non, qu'elle le convainque de cesser. Elle fit non de la tête à la deuxième question, essayant de se concentrer sur ce qu'il disait. La Déesse ? Non... c'était impossible. Il mentait. La Déesse n'aurait jamais permis une chose pareille. Pourtant il semblait sûr de lui. Peut-être y avait-il des choses qu'elle ignorait ? Des éléments qu'on avait omis de lui expliquer dans l'enfance ? L'instruire ? Elle gémit au contact de sa langue dans son cou, fermant presque les yeux tandis que sa tête se penchait en arrière. « Hum ! » fit-elle, emportée par le contact des dents du Réprouvé sur son oreille. Il ne cessait de la surprendre et elle ne sut où placer sa morsure. Entre douleur et plaisir, il n'y avait qu'une frontière mince.

Les mains libres, elle pensa une seconde s'échapper mais n'en fit rien. Elle était brûlante de désir et quand il lui fit remarquer, elle comprit la suite logique. Elle voulut l'en empêcher mais elle n'avait aucune emprise sur lui. Sentant sa poitrine se coller contre son torse, elle ne put s'empêcher de penser qu'elle n'était pas la seule dans cet état. Il était aussi chaud qu'elle, voire plus. Quand elle se retrouva à moitié nue, sur lui, elle se mordit la lèvre inférieure. La sortie de la tente était plus accessible dans cette position. Pourtant, elle fut prise de fascination pour le parcours qu'il lui fit prendre. Son cou, son torse, ses abdominaux... Plus que ce qu'elle touchait, c'était les réactions de l'homme à ses gestes qui attirait son attention. Pouvait-elle, rien qu'en le caressant, être la source de son plaisir ? Séléna commençait à comprendre que s'il pouvait la dominer, la faire gémir, elle pouvait également lui rendre la pareille. Son cœur battait si fort. Était-elle à l'origine de son état ? Avait-elle un tel pouvoir ? Lentement, elle déplaça l'une de ses mains de son cœur, caressant sa peau en suivant le contour des tatouages qui parcouraient son torse. Depuis qu'elle était enfant, elle savait qu'il en avait, et maintenant qu'elle les avait sous les yeux, maintenant qu'elle pouvait les toucher, elle en ressentait un plaisir immense. Légèrement tremblante, elle se pencha vers lui, de façon à ce que leurs deux corps se frôlent. Ses cheveux se répandirent sur la peau de l'homme. Elle embrassa son torse, son bassin bougeant malgré elle tout contre lui. Ce qu'elle sentait au creux de ses cuisses était si inexplicable et intense... comme si elle ne pouvait s'empêcher d'être attirée inéluctablement par l'homme, comme si elle voulait mettre à mal toute la distance qui les séparait, et bien plus encore. Elle remonta doucement sa bouche dans son cou avant de se coller complètement à lui, réduisant la distance entre ses seins et son torse. Elle voulait le toucher, elle voulait le sentir mais elle n'avait strictement aucune expérience. Malgré son désir, elle avait peur, même si son propre corps semblait lui dicter le comportement adéquat. L'une de ses mains remonta dans les cheveux du Réprouvé, cheveux qu'elle fit passer entre ses doigts. Elle se hissa un peu plus, son avant bras se posant à côté du visage de Shizuo. Elle se mit à le regarder un moment, se mordant la lèvre inférieure avant de rejoindre sa bouche. Elle faisait tout avec une extrême lenteur, comme si elle cherchait à l'étudier, comme si elle attendait de voir s'il aimait ça. Peu à peu, sa raison revint la hanter. Et si elle faisait tout de travers ? Et si elle ne savait pas faire ? En y pensant, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle devait accomplir ensuite. Tout ce qu'elle savait c'est que ce genre de choses, normalement, se faisaient après le mariage. On lui avait dit le strict minimum, à savoir que son mari saurait faire, qu'elle n'aurait qu'à se coucher, attendre qu'il s'exécute, que ce serait sans doute douloureux mais qu'elle finirait par aimer, peut-être. Elle ne ressentait aucune souffrance actuellement... est-ce que c'était normal ? Elle décolla ses lèvres de celles de l'homme, le fixant, fébrile. « Je... Je ne sais pas ce qu'il faut faire... » avoua-t-elle. Elle eut une réponse, mais provenant d'une autre tente. « Tu as qu'à mettre sa #¤*@ dans ta bouche ! ». « Mais tais toi, ça commençait à devenir intéressant... » fit une voix plus basse mais tout de même audible. Séléna se redressa, portant ses bras à sa poitrine pour se cacher. « Je... j'ai oublié ma barrette à la rivière... » bafouilla-t-elle en se relevant, attrapant le haut mouillé qu'elle avait étalé là, avant de s'enfuir. Une fois dehors, elle regarda autour d'elle, s'éloignant un peu tout en remarquant que son entre jambe était humide. La rivière... c'était par là... non ? Elle se sentait tellement honteuse qu'elle préférait focaliser son attention sur sa pince. Elle enfila le haut froid, s'enfonçant un peu dans la nuit. Elle irait chercher ce qu'elle avait oublié, attendrait un peu et reviendrait quand elle serait sûre qu'il dormait. Il lui fallait quelque chose de concret auquel se raccrocher sinon elle allait finir par pleurer.

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Mar 09 Fév 2016, 13:56

HRP : J'ai mit un hide parce que la curiosité est un vilain défaut èwé BWAHAHA /sbaf

Voilas comment de tranquillement allonger confortablement dans une chaleur étouffante mais agréable, il se retrouvé dans le froid, les pieds nue dans l’herbe. Il maudissait avec une haine féroce ses camarades, tous plus stupide les un que les autres. Seulement il avait décider de ne pas perdre son temps à ça et c’était lancer à la poursuite de Séléna. Il n’eut pas de mal à la suivre. Vite à sa hauteur il l’entoura de la couverture qu’il avait emportée sachant qu’elle aller mourir de froid. Enfermer dans ses bras, il ne l’avait pas laisser s’échapper bien loin. Ses jambes étaient plus longues que les siennes, elle n’avait aucune chance. Cela dit, il ne voulait pas avoir l’air désespéré, même si au fond il l’était d’avoir un moment aussi parfait explosé en mile morceau. Zéleph ignoré se qu’elle pouvait bien penser, mais il l’imagina humilier et il refuser cette éventualité. Jamais il ne s’était attendu à se qu’elle se libère si vite. Ses yeux, ses mains, sa bouche. Elle lui avait embrasser le torse. D’elle même. Il avait du mal à réalisé que ça n’avait pas été un rêve. Même dans ses hésitations et sa maladresse elle avait eu cette sensualité qui l’avait électrisé. « Ne me fui pas, s’il te plait. » Cela le rendrait plus malheureux qu’il ne voulait le croire si c’était le cas. La tenant tout contre lui, son nez enfoui dans son cou il ne bouger pas. Son désir le plus chère a cette instant c’était de la préservé. Il était là, il la rassurerait. Se qu’elle venait de faire ce n’était pas mal, c’était lui qui avait mal agis. Le fait qu’ils ai du publique ne l’avait pas gêné, mais il avait oublié comme ses « amies » étaient des abrutis et comme Séléna était fragile. C’était injuste, lui quand ils les entendaient s’amuser il avait au moins le respect de ne faire semblent de dormir même si c’était impossible. Quand c’était lui, bien sur, plus personne ne suivait les règles. Tout cela ne compté pas pour Séléna. Elle devait se sentir honteuse, il le savait, il commencer à apprendre à la connaître. La vulgarité d’Atax n’aidé pas beaucoup. Elle avait le droit d’être choqué. Ils n’en étaient pas encore là.

Il resta un moment, juste comme ça sans bouger. Prenant soin de calmer les différents sentiments qui livraient bataille en lui. Il ressentait la fraicheur de la nuit, mais pas le froid et il espérait lui apporter sa chaleur. Zéleph était encore brulant de se qui était arrivé, il ne pouvait rien faire pour calmer ses ardeurs, pas après un si formidable retournement de situation. « Je suis désolé. » Il ne l’était jamais, ou alors il ne le disait jamais quand il le pensé. C’était dur pour lui d’exprimer se genre de mot, mais a cette instant il pensa que c’était utile, qu’elle avait besoin de savoir qu’il était sincère et qu’il n’avait pas voulu jouer avec elle. Du moins pas comme ça. Bien sur il savait qu’elle interpréterait mal les choses s’il ne se justifier pas, alors il se fit violence pour continuer. « Tu as été parfaite. C’est de ma faute. J’aurais dû me souvenir que le temps ne s’arrête pas quand je suis avec toi. » Se redressant il la fit rouler dans ses bras pour l’avoir face à lui. Posant son front contre le sien, profitant simplement de cette proximité. « Tu rend mes pensés si difficile. Par fois j’oublie qu’il y a d’autre chose qui existe a par toi. » Voilas, c’était ça façon à lui de s’excusé. Plus honnête que lui c’était difficile. Il ne pouvait mentir à ses yeux magnifiques. Si elle ignoré à quel point elle devenait précieuse pour lui, cette fois elle le comprendrait. Zéleph ignoré se que l’Aether qui l’avais envoyé a elle voulait, mais apparemment la situation ne le gêner pas car il n’intervenait plu. Comme s’il savait quelque chose que le réprouvé ignoré. Bien sur c’était forcément le cas pour un dieu.

Egarant une main sur la joue de Séléna, il se pencha lentement pour l’embrasser. Il lui donna le choix de se dérobé si elle le souhaité, même s’il savait que ça serait douloureux si c’était le cas. Tendrement, il caressa ses lèvres. Il ne pouvait pas s’en lasser, il désiré passer le reste de la nuit à sentir cette sensation d’irruption volcanique dans son ventre. Goutant doucement, calmement, se délectant de cette merveille, il la plaqua totalement contre lui, la forcent à lever la tête. Son chemisier était humide, il gémit en sentant la fraicheur. Il sentit à travers le tissu sa poitrine écraser contre son torse. Un grognement presque bestial lui vin quand il se rendit compte que ses tétons étaient durs à travers le tissu. Sans faire attention il lui mordit la lèvre, enivré par se contacte avant de se reculer légèrement. Après se qui venait d’arriver, la dernière chose qu’il voulait c’était la brusqué. « Je vais t’apprendre à faire l’amour Séléna. » Sa voix était basse et rauque, il essayait de maitriser son désir pour elle. Ça lui paraissait inhumain. « Tu vas commencer par apprendre à écouter ton corps. » Il lui sourit avant de lui voler un baiser. Un sourire sans moqueries, sans amusement, ni perversité. Un sourire sincère et rassurant. Il ne lui ferait pas de mal si elle ne l’y forcer pas. Elle avait été sage, c’était lui qui avait mal agis, elle mérité toute sa bienveillance pour ça. Ses mains commencèrent à se promener sur ses hanches, s’étaient plonger sous la couverture qui la protéger. Sous le tissu humide, il la serré fort contre lui, possessif. Son regard ne quitta pas le sien, alors qu’il continua. « Tu n’aura juste cas fermer les yeux et sentir le désir, le plaisir t’envahir. » Elle avait besoin d’entendre les choses. Il l’avait compris, lui qui n’aimait pas parler se plaisait à se jeu. Il y était bien forcé, s’il ne lui expliquer pas les choses elle interprété de façon stupide. Alors autant prendre les choses en mains avant qu’elle ne se fasse de fausses idée.



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Mar 09 Fév 2016, 17:44

C'est vilain de faire ça hu hu <3

Séléna se tendit quand elle entendit qu'il la suivait. Quelques secondes après, malgré le fait qu'elle ait accéléré le pas, elle était prisonnière de la couverture et de ses bras. Baissant les yeux, elle resta silencieuse. Elle ne savait que dire. Elle n'avait pas prévu qu'il viendrait. En y réfléchissant, les commentaires l'avaient un peu blessé. Elle avait peur, et ce, malgré les paroles de Shizuo. Elle avait peur qu'il se serve d'elle ou... En réalité, elle n'aurait su comment l'expliquer. Si elle se laissait sombrer dans son désir, puisqu'il s'agissait bien de ça, elle l'avait compris, que se passerait-il ensuite ? On lui avait toujours dit de se méfier des hommes. Devait-elle se méfier de lui ? Il lui semblait si sincère... faisait-il semblant ? Oh elle voulait tellement le croire et, à vrai dire, à chaque fois qu'il la serrait contre lui, elle se laissait un peu plus convaincre. Elle aimait lui appartenir, elle aimait qu'il lui murmure des paroles qui révélaient son intérêt pour elle. Plus que tout, elle adorait qu'il la touche mais elle jouait à un jeu dangereux. Elle le savait et le problème ne se trouvait pas réellement là. Le véritable soucis c'est que ça l'excitait. Au delà de la peur, au delà des doutes, elle aimait tenter le diable. La punition lui semblait inévitable, sauf si elle choisissait de le croire. S'il disait vrai pour la Déesse, alors il était un envoyé des Dieux et elle ne pourrait être blâmée. C'était si tentant de choisir la facilité, surtout lorsqu'il se penchait vers elle, lorsque ses lèvres effleuraient les siennes. Elle n'avait jamais éprouvé ça avant, pour personne. Le désir lui était complètement étranger. Elle n'avait jamais fantasmé, n'avait jamais ressenti la moindre sensation lors d'un frôlement. Mais lui... rien que sa présence éveillait son corps. Un simple murmure au creux de son oreille la faisait trembler. En y repensant, elle savait ce dont il était capable pour elle... Elle l'avait vu tuer quelqu'un et, même si cet acte continuait de la hanter, elle avait fini par comprendre que tout était de sa faute. Elle avait provoqué sa rage. Qu'aurait-elle fait si la situation inverse s'était produite ? Elle n'avait pas un tel pouvoir mais si elle l'avait eu, peut-être aurait-elle tué cette femme aussi. Elle n'en savait rien mais maintenant qu'ils étaient si proches l'un de l'autre, maintenant qu'il la tenait contre lui, maintenant qu'il lui avait assuré qu'il lui appartenait, elle n'était plus très sûre d'être en mesure d'être aussi sage que par le passé. Elle était effrayée, oui, mais à l'intérieur d'elle grondait un désir qui pourrait s'avérer ô combien destructeur. Elle l'écoutait, son envie revenant à la charge. Elle déglutit à ses mots. Faire l'amour... Elle s'en voulait d'être sortie de la tente mais... les autres ils... Elle ne pourrait jamais les regarder quand le jour se lèverait. Pourtant, à présent qu'ils n'étaient plus que deux, elle tendait à les oublier totalement.

Séléna avait envie de le toucher mais elle n'en fit rien, laissant l'homme la caresser tout en suivant son conseil. Elle ferma les yeux, sachant très bien que c'était une bêtise. Sa vision occultée, elle n'avait plus aucun moyen de savoir à l'avance vers quelle partie de son corps ses lèvres se rendaient. Sa bouche... son oreille... son cou... elle devait le deviner, ce qui créait un suspens insupportable. Elle avait des pressentiments parfois, qui la faisaient frisonner. Elle pouvait se tromper en essayant de déceler son prochain mouvement, ce qui la surprenait et la rendait encore plus sensible. Le pire... c'était ses paroles. Elle l'écoutait et, petit à petit, elle se mit à imaginer tout ce qu'il décrivait. Il y avait tant de choses qu'elle ne connaissait pas, des gestes qu'elle n'avait jamais essayé. Pourtant, en l'entendant les évoquer, elle ne put s'empêcher d'en frémir. Au début, elle ne bougeait pas, le laissant maître de ses actes mais, bientôt, elle eut envie de participer. La jeune femme voulait le toucher, elle voulait répondre à ses baisers. Ça devenait tellement pressant dans son esprit, comme une obligation. Elle manquait d'air, sa respiration étant totalement archaïque. Elle voulait qu'il fasse ce qu'il lui décrivait, elle voulait le supplier, le quémander. Parfois, elle gémissait, parce que son imagination était trop abondante, parce que ses lèvres nourrissaient son plaisir. Elle se sentait comme absente du monde réel. Il n'y avait que lui, son torse contre sa poitrine, ses lèvres contre sa peau, ses mains parcourant son dos. Quand il ne l'embrassait pas, elle se mordait la lèvre inférieure, tremblant légèrement. Elle était bien trop sensible. Quoi qu'il en dise, il n'avait guère besoin de s'aventurer plus loin avec ses doigts, elle était déjà parfaitement sensible au son de sa voix et à ses baisers. Elle l'avait remarqué en sortant de la tente, elle s'était interrogée sur la nature de cette humidité, s'inquiétant peut-être un peu... mais il l'avait mentionné. C'était normal. « Shizuo... » murmura-t-elle tout bas, dans un souffle. Sa voix baissa encore en volume alors qu'elle se mettait sur la pointe des pieds pour que ses lèvres se rapprochent de son oreille. « Je suis déjà humide jusqu'à l'embarras... ». Et c'était vrai. Elle trouvait ce phénomène si étrange. Elle n'en comprenait pas l'utilité même si elle savait à présent qu'il n'était que le reflet de son désir, de son plaisir, tout comme les picotements qu'elle sentait dans son bas ventre. Elle lui attrapa le lobe, le mordillant doucement avant de lui donner son consentement. « Je veux bien apprendre puisque la Déesse vous envoie... ». A vrai dire, elle l'aurait souhaité même si elle ne l'avait pas envoyé. Cela dit elle préférait que les choses se placent ainsi, elle préférait se dire qu'elle n'était pas en tort, qu'elle faisait ce que les Dieux voulaient. Elle hésita un instant avant de faufiler ses mains hors de la couverture pour venir les poser dans son dos. « Seulement... ». Elle se mit à rougir, faisant tout son possible pour rester coller à lui pour qu'il ne la voit pas. « Je veux aussi que vous... me suppliez... ». Elle n'y pouvait rien, quand il lui avait fait parcourir son torse, elle avait aimé l'entendre grogner de satisfaction. Elle voulait être reine de son plaisir, l'apprivoiser, le faire sien. Il était à elle lui avait-il dit, mais même sans cela, elle avait envie de faire en sorte qu'il ne regarde aucune femme hormis elle, qu'il ne se tente pas dans les bras d'une autre parce qu'il saurait, de toute façon, qu'il n'aurait jamais autant de plaisir ailleurs. Elle finit par se décoller un peu de lui, le fixant un instant. Elle serait sans doute moins hardie dans les jours à venir mais, si proche de lui, elle perdait totalement pied. Peut-être était-elle possessive en réalité, avec lui et lui seul.

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Mar 09 Fév 2016, 19:06

Quoi ? Un rire lui échappa, d’abord un petit ricanent, puis un vrais rire. Il se redressa en secouant la tête pour calmer les secousses. Séléna venait-elle de lui demandé de le supplier ? Très bien, il fallait qu’il se calme. La minutes qui venait de passer était la plus belle de sa vie. Elle venait de lui dire qu’elle était humide et désiré qu’il la supplie. Comment se faisait-il qu’une petite fille sans expérience arrivé à le déstabilisé ainsi ? C’était incroyable. Elle venait purement et simplement de le vaincre. Zéleph ne pu rien faire contre le sourire qu’il arboré. D’une oreille à l’autre. Cela faisait une éternité qu’il n’avait pas ressentit ça. Son visage presque douloureux, comme s’il éveillé des muscles qu’il avait oubliés. Ça n’était pas permit d’être aussi audacieuse et timide à la fois. « Tu n’imagine pas l’effet que tu as sur moi. » Déposant un baiser sur son front, il lui prit la couverture. S’éloignant d’elle, il plaça la couverture près d’un arbre. Attrapant la jeune fille, il la fit s’asseoir, appuyé contre le tronc. Il s’agenouilla devant elle, entre ses jambes. Zéleph, l’embrassa a nouveau, incapable de se passer de ses lèvres plus d’une minute, comme s’il était en apnée et elle son oxygène. L’enlacent, il la plaça sous lui contre le tronc. Assise a califourchon sur lui, elle était à sa hauteur et c’était tout se dont il avait envie. « Avant toute chose ma beauté. Avant que je ne vienne à te supplier et si c’est vraiment se que tu veux, tu vas devoir apprendre à me dominer. » Après tout il n’allait pas mettre de coter sa fierté juste par se qu’elle lui avait demandé, elle ne le connaissait pas encore. Rien n’était aussi simple. Si elle voulait qu’il rampe à ses pieds, il fallait qu’elle en soi digne. Il fallait qu’elle soi devienne cette femme impérieuse et libéré qui le faisait vibré. Une vraie maitresse de la luxure. Séléné en était encore loin. Il aurait préféré lui montré d’abord tout se qu’il avait à lui offrir, mais puise qu’elle voulait commencer par ça, il se plierait à sa volonté. Premier signe d’obéissance, mais elle n’en avait peut-être pas conscience. « Apprendre se que moi je veux, pour t’en servir contre moi. » Oui, c’était peut être stupide de lui donner les cartes de son pouvoir sur lui, mais c’était se qui le rendait le plus fou. Qu’elle joue avec ses nerfs, jusqu’à se qu’il soi fou et devienne une brute assoiffé d’elle. Elle n’était pas encore assez forte pour ça, alors il n’avait pas peur de savoir se contrôlé.

Ses lèvres joignant les siennes, il attrapa ses mains pour les posé sur son torse. « Voilas ton terrain de jeu. Tu as tout les droits ici, ça t’appartiens. » Il fit glisser ses doigts sur son ventre, ne pouvant réprimer un frisson violant avant de sourire. « Je vais te laisser découvrir mes zones sensible, ça sera bien plus amusant. » Mordant son menton, il lui jeta un regard plein de désir, avant de lui lâcher les mains pour la laisser à sa guise découvrir son corps. Il appréhendait avec impatience.  Ses propres mains vinrent se poser sagement sur les hanches de Séléna, se contenant de la gardé serré contre lui, la laissant se concentré sur sa tâche. « Tu peu me morde, me griffer, me lécher, être douce ou violente. N'ai pas peur et fait se qui te plais. » Enfaite il avait un faible pour la douleur, mais il douté qu’elle soi capable de lui faire mal, elle semblait trop naïve pour ça. Quoi qu’elle avait de quoi apprendre avec lui. Sa bouche dans son oreille, il continua son petit cours. « Si tu veux me rendre fou tu n’as cas être nue. Ta poitrine, c’est une œuvre d’art. Je peux me damner pour elle. » Dans la pénombre de la tente il n’avait pas réellement eu l’occasion de la voir, mais il l’avait senti et rien que se souvenir de ses tétons durs le fit gémir. « Tes jambes, tes fesses, ton intimité… » il ferma les yeux pour essayé de reprendre le fil de ses pensé. Ça devenait un exercice très dur pour lui. « Tes tellement … la perfection. » Il c’était rattrapé au dernier moment, il ne voulait pas être crue, pas maintenant. Il avait peur qu’elle soi effrayé, c’était idiot par se qu’après tout se qu’il lui avait fait subir ça ressemblait à du détaille, mais il voulait rester prudent. Soudain, il agrippa l’arbre derrière Séléna, cherchant à mettre ses mains par tout ailleurs que sur elle pour s’assuré de ne pas faire de bêtise. « Tu me rend si dur, j’ai si mal. » Le réprouvé grogna dans une plainte, pressant soudain son membre dresser dans son caleçon contre elle. Elle voulait le dominer, voilas se qu’elle devait dompter. « C’est ça que tu dois provoquer chez moi, si tu veux que je te supplie. La frustration, la douleur, le besoin de toi jusqu’à vouloir mourir tellement je te veux. » Instinctivement il se pressa plus fort dans un long gémissement.

C’était insensé, il était entrain de se torturé lui même, par se qu’il savait qu’il se laissait excité alors qu’il ne pourrait se soulager comme il le voudrait. Il voyer ça comme une sorte d’investissement. « Sentir tes doigts sur mon membre, que tu me caresse, que tu le prennes dans ta bouche, que tu joue avec jusqu’à me faire faiblir. » Il ne revenait pas vraiment d’en arrivé à une tel situation. Seulement il ne pouvait pas non plus s’empêcher d’adoré ça. « Mais se que je préfère, c’est t’entendre dire se que tu veux. T’entendre parler de ton humidité, ça, ça me fait perdre la tête. Que tu me dises se que tu attends, et comme tu aime ça. » Zéleph lui mordit l’oreille, légèrement fébrile. « J’aimerais que tu soi indécente, provocante, dépravé. » son soupire se perdit dans un grognement au fond de sa gorge. Il avait fermé les yeux, sa respiration était difficile, lui brulant les poumons. Il se tenait fermement à l’arbre, enfoncent ses doigts dans l’écorce qui se mit à craquer. Elle et se qu’il disait combiner, c’était comme s’il aidé son bourreau a l’écartelé. « Quand tu sauras prendre l’avantage sur moi. Quand tu sauras comment me dominer, alors je plierai genoux devant toi et te supplierait de me laissé te prendre. »

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Mar 09 Fév 2016, 23:57

Hum... peut-être que je vais mettre sous spoiler en vrai... :o

huhu:
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Sam 13 Fév 2016, 14:01

Puise qu'on y est ...:
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Chasse au Konchu (pv Séléna) /-18\

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