-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Partagez
 

 Elle s'appelait Nemencla - Séléna

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité

avatar
Jeu 14 Jan 2016, 23:56

Le bon qu’il fit sous la surprise, le fit littéralement rencontré le planché dans un bruit sourd. C’était douloureux et il le fit savoir dans un long gémissement plaintif, étouffer par sa gorge enrouée de sommeille. Le front contre le sol, il marmonna différentes insultes en Zul’dov bien sentis. Le réprouvé s’aida d’une main pour se redresser et s’asseoir, frottant de l’autre son visage dans une tentative veine de se réveiller. On ne pouvait pas dire que son rêve avait était agréable de toute façon, mais il détestait se faire sortir du lit de cette façon. Enfaite il n’était pas le genre de personne à être de bon humeur le matin. L’était-il jamais d’ailleurs ? Quoi qu’il en soit, il leva ses yeux vers l’origine de son réveille. Quelle belle surprise, même s’il aurait pu s’y attendre. Sincèrement il ne fut pas extrêmement ravi de la voir. Il était de très mauvais poil. « Si j’étai rentré dans ta chambre tu serais au courant, crois moi. » dit-il froidement.

Le drap était tombé avec lui, recouvrant fort heureusement ses hanches nue. Ses yeux biens que plissé a cause de la forte lumière qui l’agresser lancer des éclaires a la jeune fille. Après c’était lui le mal éduquer ? Il en avait marre que tout le monde le prenne pour un rustre alors qu’on n’avait pas plus d’égard pour lui que pour un cafard. C’était trop demander de se réveiller en douceur ? Deux fois qu’elle entré dans sa chambre sans y être invité, deux fois qu’il se retrouver énervé. «Qu'est-ce que tu fait encore là ?! Sort d’ici. Personne ne t’a invité à entré. » L’ordre était sans équivoque. Dur et froid, il était peut être odieux, mais au moins il était sincère avec ses sentiments.

Une fois seul, il s’habilla non s’en continuer de marmonnés son mécontentement. Zéleph était un homme d’humeur facilement maussade, ça n’était un secret pour personne. Si il c’était écouter il lui aurait fait regretté. Seulement a cette instant, il força sa concentration sur son ventre qui crier famine. C’était plus prudent. Maintenant qu’il faisait jour, il n’avait pas envie que quelqu’un le surprenne entrain de torturé cette pauvre fille. Ça l’aurait mis dans une drôle de situation.  Une fois vêtus, il sorti de la chambre. Les cheveux dans un état déplorable qui dévoilé le sommeille agité qu’il avait eu, et le visage fermer a cause de son réveille chaotique, il traversa le salon sans un regard nul par. Il n’avait pas envie de parlé. Il fallait qu’il mange quelque chose et qu’il boive, du café avec du lait de bicornes de préférence. Oui, il avait ignoré royalement Séléna, et qu’elle le croit ou non c’était pour son bien. Son cou le tiré, ça l’avait démangé toute la nuit. Dehors il ne perdit pas un instant pour suivre la route jusqu’au centre du village. D’après le monde qu’il pouvait croiser et la hauteur du soleil dans le ciel il imagina qu’il n’était pas très tard dans la mâtiné. C’était parfait il n’y aurait pas trop de monde a l’endroit où l’on trouve la meilleure cuisine des terres du Yin et du Yang : la taverne de Bouton d’or. Il voulait un steak de cerfeuil avec des œufs et un café au lait de bicorne. L’urgence à se moment c’était qu’il sorte du nuage de sommeille dans le quel il était toujours. Derrière la prestance qu’il chercher à sauvegardé, le détaille de sa démarche un peut bancale était la preuve de son handicap.

Quand il fut enfin arriver au sain royaume de la gastronomie réprouvé, il commença a sourire en sentant les odeurs de nourritures délicieusement riches. Seulement, bien sur ça aurait était bien trop simple…  Il poussa la porte et les yeux qu’ils croisèrent le firent sans attendre reculer pour refermer la porte. « Bordel de chien ! » Une femme qui passa à coter de lui, gloussa avant de prendre un air choqué. Il la gratifia du plus sourire faux qu’il avait dans son sac. Le réprouvé fit demi tour en jurant qu’un jour il se vengerai des moqueries des Atheri. Si, si, un jour il trouverait un moyen, par se qu’il était certain qu’autant de malchance n’était pas un hasard. A l’intérieur il entendait les rires de ces camarades se foutant outrageusement de sa tête, avec des mots très peut élégant. Tans pis pour son repas, il n’avait aucune envie de les entendre se moquer de lui, pas se matin. Alors Zéleph fit le chemin inverse. Seulement bien sur il croisa la personne dans le monde qu’il avait le moins envie de voir… Il était sur les nerfs, il devait se calmer par se que sinon il ferait quelque chose de regrettable. Serrant les poings, il les desserra lentement, cherchant à détendre tout ses muscles contractés. Sans succès. Plus ça se rapprocher, plus il était tendu. S’ils vous plait, tuez moi. Maintenant !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Ven 15 Jan 2016, 23:26

« Mais c'est que... » fit Séléna comme pour se défendre de son acte inconsidéré. Les yeux à présent rivés sur l'homme, elle prit grand soin de ne pas regarder autre chose que son visage. Il avait l'air furieux. Elle n'avait pas réfléchit en entrant dans sa chambre mais... cette épée n'était tout de même pas apparu comme par enchantement ! Reculant légèrement, elle ne se fit pas prier quand il lui demanda de sortir, ramassant le chat tout en veillant à bien fermer la porte derrière elle. Debout, immobile, elle finit par soupirer, lâchant l'animal avant de se diriger vers la cuisine. Le chaton la suivit sans se faire prier. Séléna sortit une bouteille de lait, conservée dans de la glace qu'un homme venait tous les après-midi créer de nouveau. La plupart des glaçons avaient diminué de moitié mais le froid était toujours présent. Elle fit couler le liquide dans une petite coupelle. « Voilà, tu peux boire ça si tu veux. ». La jeune femme regarda le chat qui, visiblement, n'avait pas envie de boire ce qu'elle lui avait donné. Son geste lui donna néanmoins une idée : peut-être que si elle préparait le petit déjeuner pour Shizuo, il serait de meilleure humeur ? Le problème majeur c'est qu'elle n'avait aucune idée de la marche à suivre pour faire à manger à quelqu'un. Fouillant un peu ici et là, elle trouva quelques ingrédients qui lui paraissaient pouvoir se marier plus ou moins bien. Commençant son ouvrage, elle mit les œufs dans un saladier et remua avec une cuillère en bois, se disant après coup qu'enlever les coquilles aurait été une bonne idée. L'animal leva les yeux au ciel avant de se métamorphoser sans bruit. Arrivant derrière Séléna, Mitsuko la frappa d'un mouvement sec derrière la nuque, faisant s'effondrer la Rehla immédiatement. La rattrapant avant qu'elle ne touche le sol, elle la porta jusqu'au salon, la posant délicatement sur le canapé. « Tu me remercieras. ». La Déesse avait beaucoup de difficulté à se voir si naïve et faible. C'était une véritable torture. D'un autre côté, si Séléna existait, c'était grâce à elle et elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même du résultat de son expérience. La jeune femme n'avait pas rencontré Ismérie, son âme n'avait pas été noircie. Elle était vierge de tous les ennuis qu'une vie pouvait apporter, trop gentille pour son propre bien. Doucement, l'Æther posa ses doigts sur les lèvres de Séléna. Une faible lueur noirâtre en sortit. Il était hors de question qu'elle laisse son rival se jouer d'elle de la sorte. Les effets calmeraient les ardeurs de Zéleph. Qu'il n'essaye pas de l'embrasser ou de la toucher car son énergie serait aspirée sans ménagement. Mitsuko soupira, fixant le petit bout de femme qui semblait dormir, totalement apaisée. Ça ne l'enchantait pas d'avoir recours à ce genre de méthodes mais plus loin son époux serait d'elle, mieux ça vaudrait. Elle n'avait aucune idée de ce que l'Æther voulait faire en liant ces deux là, mais il lui semblait évident qu'il n'en ressortirait rien de bon, ni pour l'un, ni pour l'autre, ni pour elle. Elle avait imaginé assez facilement qu'il se servirait de Zéleph pour tuer Séléna, d'une manière ou d'une autre. Cela aurait été un comble mais, n'en sachant plus, elle préférait éviter d'agir aveuglément.

Quelques minutes plus tard, Séléna se réveilla douloureusement. L'arrière de sa tête lui faisait mal et elle n'avait aucun souvenir d'être allée se reposer dans le salon. Elle se rappelait juste de sa tentative de faire à manger. Regardant autour d'elle, elle finit par remarquer que le chaton s'était mis dans un fauteuil, près de la cheminée. Peut-être qu'elle pourrait demander à Shizuo de l'allumer ce soir ? S'il restait avec elle bien sûr... D'ailleurs, où était-il ? Elle s'avança vers sa chambre, toquant. Il n'était pas là. Il avait dû sortir pendant qu'elle dormait. C'était étrange tout de même... entre ça et l'épée... Elle devait retrouver l'homme, ne serait-ce que pour s'excuser.

Séléna finit par sortir de la maison, croisant un Réprouvé qui allait vers le centre du village avec un panier rempli de bouteilles. Il la regarda un moment avant de venir l'aborder. Il ne parlait pas très bien le langage commun mais la jeune femme put comprendre quelques petites choses. Il savait qui elle était et voulait discuter. « Euh... C'est à dire que je cherche quelqu'un... je n'ai pas vraiment le temps alors... ». Il parut un peu déçu mais finit par lui tendre l'une de ses bouteilles, la débouchant tout en lui faisant signe de la boire. Elle ne comprit pas très bien la suite mais il finit par un clin d’œil et un signe de la main, s'éloignant. Séléna regarda le cadeau, se disant qu'elle allait goûter ça sur le chemin. Le problème c'est qu'elle n'avait aucune idée de l'endroit où était Shizuo. Portant le contenant à ses lèvres, elle but une gorgée du liquide. C'était vraiment bon, fruité et sucré. Ce qu'elle ignorait c'est que l'homme en question était connu pour fabriquer des boissons alcoolisées qu'il appelait « Faal Aak ». On ne sentait pas l'alcool, juste le sucre et les fruits. Un vrai piège. Levant les yeux de la bouteille, Séléna se mit à sourire en apercevant l'individu qu'elle cherchait au loin. Il n'avait pas l'air d'être de meilleure humeur mais tant pis. Se plantant devant lui, elle le regarda un instant avant d'entamer la conversation. « Je suis vraiment désolée d'être rentrée dans votre chambre tout à l'heure. Je ne pensais pas que vous dormiez encore en réalité. C'est que... Il y a quelque chose d'étrange qui s'est produit et je pensais vraiment que vous aviez pénétré dans la mienne. Je voulais vous faire un petit déjeuner pour me faire pardonner mais ça n'a pas vraiment été une réussite. Du coup, je ne sais pas quoi faire pour effacer ma faute. D'ailleurs, est-ce que vous pourriez me montrer comment allumer la cheminée ? ». Elle fit une pause avant d'ajouter. « S'il vous plaît. ». Elle se forçait à rester neutre, la plus neutre possible, comme si ce qu'il s'était produit hier n'existait pas, comme s'il était juste un individu comme les autres à qui elle parlait de la pluie et du beau temps.

1041 mots

Désolée du coup j'ai mis plus de temps que prévu à répondre T.T
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Sam 16 Jan 2016, 20:00

« Très bien. » dit-il, résigné. Cette fille parlé trop, beaucoup trop. S’ils ne c’étaient pas trouvé au plein milieux de la route il l’aurait embrassé, juste pour la faire taire une bonne fois pour toute.  C’était une bonne solution, ça marché toujours. Enfin… presque. Puise qu’il ne pouvait visiblement pas l’évité, il imagina que dans l’hypothèse où il faisait se qu’elle voulait elle le laisserait en paix, juste le temps qu’il se détende. Par se que là c’était tout à fait l’inverse. Une fois dans la maison il se dirigea vers la cheminé. Elle savoir comment allumer un feu, lui un peut de calme. Avec un peut de chance elle se mettrait dans un fauteuil à lire un bouquin et ne lui adresserait plu la parole pendant quelques heurs, comme toute les filles de son genre. Le pouvoir des livres sur la gente féminine était impressionnant. Pas qu’il ne le comprenait pas, contrairement a se que beaucoup de gens imaginer Zéleph avait beaucoup lu. Des livres de stratégie militaire pour la plupart, mais très utiles dans certaines situations. Bref, mettant de coté ses préjugés, il se mit à mettre du bois dans la cheminé histoire d’allumer un feu correct. D’ailleurs il ne resté pas beaucoup de buche, il faudrait peut-être en racheter… Attendez. Mais a quoi pensait-il au juste ? Ce n’était pas sa maison, qu’est ce qu’il en avait à faire qu’il y est encore du bois ou non. Stupide. Zéleph fini de soufflé sur les braises puis se leva pour admiré les flammes qui dansait maintenant joyeusement sous ses yeux. Voilas une bonne chose de faite. « Sa majesté est servis. Si sa majesté à besoin d‘autre chose elle trouvera son animal domestique dans la cuisine. » Fit il sarcastique, ne cachant rien de son amertume.

Glissant un regard glacial sur elle, il se dirigea vers une porte de façon tout à fait incertaine. Après tout il ne savait pas du tout où se trouvé la cuisine. Quand il ouvrit la porte il laissa échapper un profond soupire. Ça c’était visiblement la salle d’eau. Bien qu’il a besoin de se rafraichir, il se laverait plus tard, là il y avait plus urgent. Il ne supporté pas avoir faim. Ferment la porte, ne laissant rien paraître de son embarras, il ouvrit une deuxième porte et cette fois eu le soulagement de tombé sur se qu’il chercher. Le réprouvé, commença alors à observer la pièce, histoire de trouver se dont il avait besoin pour rapidement en finir avec le grondement dans son ventre. Quel ne fut pas sa surprise quand il vu sur le plan de travail un drôle de désordre. S’approchant il regarda de plus près. Ses sourcilles se soulevèrent. C’est vrai, Séléna lui avait dit un truc du genre. Un petit déjeuné qui n’avait pas était une réussite. En prenant la cuillère en bois pour touillé et regardé les œufs gout coquille, il se demandé comment on pouvait avoir l’air aussi intelligente et être à se point stupide. Ça lui rappelait vaguement quelqu’un. Une bande d’assisté. Avec le prix que couté un œuf, sérieusement ça ne valait pas la peine de ruiné de la nourriture. Il était bête, il oublier que l’argent ne devait pas être un souci pour elle. Voilas, il était de nouveau furieux. Jetant le contenu du saladier, il se mit lui même à faire une omelette. Il trouva tout se dont il avait besoin pour se faire un repas correct. Une fois terminé, concentré sur son petit déjeuné il oublia un instant à colère.

Par se qu’il n’était pas un homme méchant, bien que c’était encore a prouvé, il sorti dans le salon et déposa sur la table une deuxième assiette pour miss-je-suis-bien-éduqué-sauf-avec-toi. S’asseyant à son tour, il regarda sa son plat copieusement garnie avec les yeux d’un homme amoureux, salivant de façon exagéré. Coupent une boucher qui semblait physiquement impossible de faire rentré dans sa bouche, il l’apporta a ses lèvres, imaginant déjà le soulagement de ses crampes a l’estomacs quand la porte s’ouvrit si fort qu’il en lâcha sa cuillère. « Wah c’est ici que tu te cache ? De puis quand tu as une maison toi ? Je croyais que tu avais abandonner l’idée d’en construire une de puis… de puis quand déjà ? » « De puis qu’il faits à crise "ne me parlez pas j’ai le cœur brisé. ". » « Ah oui c’est vrai, pauvre chéri, ça doit être tellement dur d’être toi. » Si Zéleph n’avait pas encore cédé à la colère, c’était par se qu’il était tellement furieux que son corps en était simplement bloqué. Ses mains s’agripper à la table, avec tellement de force qu’il sentait le bois craqué sous ses doigts. C’était bien simple, après l’avoir vu dans la taverne, Cruella, Atax et Tarnis l’avaient suivi. Certainement pour le torturé. Grace au ciel Scald et Théo avait du trouvé cette idée stupide et être resté manger tranquillement. Il semblé que c’était les deux seul qui avait un cerveau qui fonctionnait de façon normal. Cruella et Atax avaient tout les deux trouvaient une nouvelle activité très excitante pour leur vie de couple : rendre dingue Zéleph à la moindre occasion. Et Tarnis … Tarnis n’était qu’un pauvre Magicien naïf et stupide qui prenait le réprouvé pour son meilleur ami, alors dés qu’il pouvait lui coller au bottes il le faisait. « Tu ne mange pas ? » Tarnis c’était assit à coter de lui. Le fixant un instant il ne pouvait cacher son excitation, et ne voyant aucune réaction de Zéleph il décida que c’était suffisant comme réponse. Il lui prit alors son assiette pour commencé à s’empiffré.

« Oh, mais qui voilas. » Les yeux de Zéleph se levèrent horrifier sur Cruella qui s‘approcher dangereusement de Séléna. Ni une, ni deux, le réprouvé se leva et se mit sur le chemin du vampire, la fusillant du regard. « Tu la touche et je t’arrache la tête. C’est compris ? » La femme lui rit au nez visiblement très peut impressionner par le réprouvé. « Tien donc ? Tu sais, je pourrais te la rendre quand j’en aurait fini. » Elle posa ses yeux sur la jeune fille, un sourire mauvais afficher sur ses lèvres. « Je ne te garantit pas pour son état… » « Je ne plaisante pas Cruella. » Visiblement dessue, elle soupira avant de frapper l’épaule du réprouvé pour montré son ennui. « Tes pas marrent ! Tu ne prête jamais tes jouets avec nous ! Oh mais attend… » Les longs doigts manucurés du vampire montèrent sur son cou, caressant la peau encore a vif. « C’est encore frais. Ça sent bon. » Le réprouvé ne pu réprimer son frisson. Le ton avec le quel la spécialiste parlait le dégoutait. Le problème c’est qu’en se concentrant sur Cruella il en avait oublié Atax, qui lui c’était dangereusement rapproché de Séléna. « Tu es mignonne toi. » L’alfar lui offrit un sourire carnassier, lui dévoilant ses dents taillées en pointes. Zéléph se tourna vers lui, mais cette fois il n’eu pas le temps de faire quoi que se soit, Atax avait déjà pris le visage de Séléna dans sa main pour la dévisagé de son regard pervers. Ils faisaient la paire ces deux là, et Zéleph ne su pourquoi il mais il ressentit un fort sentiment d’angoisse. Séléna se ferait manger en deux secondes par ces abrutis. Ils n’étaient pas vraiment méchant, mais quand ils avaient une idées en tête rien ne pouvait les stoppé.  « Qu’est ce que vous faites ici ? » Zéleph espérait pouvoir les concentré sur autre choses, mais a son grand malheur c’est Tarnis la bouche pleine qui lui répondit. « Les animaux morts… ils viennent tous d’ici… donc on est remonté à la source. » Ah oui, il en avait complétement oublier pourquoi il étaient venu dans les environs avec eux. Zéleph se rapprocha d’Atax, lui retirant brusquement la main du visage de Séléna. De quel droit la touchait-il ? Oui c’était un comble qu’il pense ça, quoi qu’il en soit le regard qu’il lui jeta était sans équivoque. Ne touche pas, c’est à moi. Le chasseur paru lire dans ses pensé car il lui souri narquoisement. « Venez, laissons le avec… cette chose.. » Cruella paru déçu, mais sorti sans faire d’histoire. Tarnis fini de boire cul sec son verre de lait avant de courir derrière la vampire. Avant de fermer la porte Atax jeta un dernier regard au réprouvé. « Rejoins nous dés que tu en a fini. » Cette fois il était sérieux. Zéleph ne pouvait pas se permettre de disparaître ainsi, aussi longtemps. Il avait des obligations.  L’alfar disparu derrière la porte, et le réprouvé soupira soulager, avant de regardé son assiette dévasté par l’ouragan Tarnis. Avec une certaine culpabilité, il posa sa main sur la tête de Séléna demandant avec une compassion sincère. « Tout vas bien, princesse ? » Seulement avec se geste il ressenti une drôle de sensation. Comme une faiblesse dans le bras. Il retira alors tout de suite sa main, ne se sentant pas très bien, mais faisant de son mieux pour ne pas le montré.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Sam 16 Jan 2016, 23:22

Séléna admirait Shizuo faire. Debout, pas trop éloignée mais pas trop proche de lui pour ne pas le gêner, elle le regardait allumer le feu, prenant note de la façon dont il procédait. Elle était certaine de pouvoir le faire aussi la prochaine fois, bien qu'elle doute que les bûches soient très coopératives. Le bois pesait lourd, trop lourd souvent pour ses bras. Elle se frotta l'arrière de la tête, remarquant qu'elle avait une bosse. C'était légèrement douloureux, mais sa cuisse lui faisait mal aussi. Elle ignorait toujours ce qu'il s'était passé dans la cuisine mais peut-être valait-il mieux qu'elle l'oublie. Elle se demandait si ce n'était pas de la faute de l'homme. Peut-être qu'il lui avait fait quelque chose et avait effacé ses souvenirs ensuite ? Ou alors elle était tombée, il l'avait ramassé et posé sur le canapé ? Son incompréhension lui laissait un goût étrange dans la bouche. En tout cas, le chaton semblait se porter comme un charme, allongé sur l'un des fauteuils, endormi paisiblement. Le feu lui plairait sans doute. « M... merci. » fit-elle un peu troublée par son ton. Visiblement, il ne s'était toujours pas remis de son réveil brutal. La jeune femme le suivit du regard, muette comme une carpe. Quand elle vit qu'il se trompait de porte, elle ne chercha pas à le sauver et dut s'empêcher de rire afin qu'il ne s'en trouve pas plus froissé. Entortillant l'une de ses mèches de cheveux autour de son doigt, elle se surprit à sourire, immobile, bien après qu'il soit parti. Rougissant soudain, elle se dit qu'elle ferait mieux de penser à autre chose. C'était stupide. Elle était certaine qu'elle réagissait ainsi juste parce qu'elle voulait, enfant, qu'il soit son amoureux. Elle n'avait toujours pas fait son deuil. Caressant doucement le petit chat blanc, elle marcha jusqu'à une armoire dont elle sortit deux verres, servant la boisson qu'on lui avait donné. Elle s'assit dans le canapé, sirotant le liquide. C'était vraiment excellent, dommage qu'elle ne puisse pas vraiment communiquer avec les locaux. Elle repensa à l'épée mais se dit que ce n'était pas le moment d'en parler. Shizuo la prendrait sans doute pour une folle et, de toute façon, il ne semblait pas de bonne humeur.

Quand il revint, elle regarda l'assiette qu'il posa devant elle, se demandant véritablement si elle avait le droit d'y toucher. C'est que... il semblait si froid à son égard qu'elle se demandait s'il ne faisait pas ça juste pour la narguer. Elle finit quand même par attraper les couverts, goûtant l'omelette. « J'ai se... ». La clarté de sa voix fut totalement annihilé par le bruit de la porte et celle d'un autre individu. Séléna se demandait ce qu'il se passait. Elle n'attendait pas de la visite si tôt. Écoutant ce qu'il se disait, elle comprit bien vite qu'on s'adressait au Réprouvé. Les oreilles du chaton se redressèrent également, à l'affût. Fixant l'homme qui mangeait l'omelette de Shizuo, Séléna allait intervenir pour le mettre à la porte mais elle fut arrêtée dans sa bonne résolution par une voix qu'elle connaissait, du moins, dont elle se rappelait bien plus que celles des autres. Inquiète, la jeune femme fut bien heureuse quand le Réprouvé s'interposa. Elle se souvenait de cette Vampire... Elle lui avait déjà fait le coup dans la jungle à Tælora. « Ah ! » sursauta-t-elle en entendant la voix d'un homme trop proche d'elle. Plus anxieuse que jamais, elle se raccrochait à son assiette comme à une bouée de sauvetage. « M...merci... » murmura-t-elle en essayant de rester digne malgré tout. Soutenant son regard du mieux qu'elle pouvait, elle cherchait une solution dans sa tête, solution qui ne venait pas. Elle pensait peut-être attraper son verre et lui lancer le liquide dessus pour qu'il la lâche mais il était un peu loin et elle ne pouvait pas bouger à cause de la pression qu'il exerçait sur son visage. Encore une fois, Shizuo intervint et le groupe finit par sortir.

« Euh... oui, je pense... » fit la jeune femme sans remarquer le trouble chez l'homme. Elle ne savait pas vraiment comment réagir et finit par prendre son verre pour le boire en entier afin de calmer son anxiété. « Si vous voulez, nous pouvons partager mon omelette... Enfin, vu que cet homme a mangé la votre... ». Elle avait tellement de questions qu'elle ne savait pas vraiment par où commencer. Dans un sens, elle était soulagée qu'ils soient sortis, de l'autre, si les amis de Shizuo était ainsi, ça reflétait aussi ce qu'il était. Il l'avait défendu mais elle avait surtout l'impression que c'était parce qu'il ne souhaitait pas... partager, comme avait dit la Vampire. Peut-être voulait-il être le seul à la torturer ? « Je vous avais servi un verre aussi. Tout à l'heure, quand je suis sortie pour venir vous voir, un homme m'a accosté et m'a donné une boisson. C'est très bon. ». Elle déplaça le verre encore plein vers l'homme avant de s'en resservir un. « Je pense que c'est du jus de raisin... avec des oranges sans doute... ». Elle ne trouvait pas le goût exact mais c'était excellent. Après un petit silence, elle demanda : « Vous allez devoir partir, n'est ce pas ? ». Elle n'en avait pas envie. Elle but une gorgée puis se leva pour lui faire face, si proche qu'elle dut se reculer un peu, le rouge lui montant aux joues. « Emmenez moi avec vous... ». Séléna ne savait pas trop ce qu'il lui prenait mais elle se sentait un peu plus confiante. « Je... Ce n'est pas grave s'ils sont là. En plus je dois obtenir une dent de Vampire pour ma liste alors, si celle-ci m'embête trop, je n'aurai plus besoin de trouver une victime... ». Elle sourit, sachant très bien qu'elle ne réussirait sans doute pas à subtiliser une dent si facilement. Mais elle voulait vraiment rester avec lui. « En plus ils ont parlé d'animaux morts... je trouve ça triste. J'aimerai vous aider. Comme ça on sera quitte pour ce matin... ». Elle ne savait pas ce qu'elle avait mais elle se sentait un peu engourdie. Tout était plus facile, plus clair dans sa tête sur ses envies.

1011 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 17 Jan 2016, 00:20

Remit de ses émotions, bien que perplexe, il imagina que son moment de faiblesse était du au manque de sucre dans son sang. C’était que pendant son enfermement il n’avait pas toujours manger à sa faim et avait certainement développé certaine carence. N’y pensant plus, il regarda le liquide dans son verre. Pour être tout a fait honnête rien cas l’odeur et la couleur il eu une petite idée de se que c’était. Le portant à ses lèvres il en bue quelque gorgé. Oui, il le savait. La boisson pour les femmes. Quand il releva ses yeux vers la jeune fille, il réalisa qu’elle avait dû en boire déjà un verre. Ses pupilles étaient légèrement dilatés, son teint rosé et sa vision dans l’espace légèrement erroné. Le réprouvé soupira, exaspère par lui même. Enfaite c’était étrange car il était irrité de ne plu l’être. A regardé Séléna, cette mignonne petite chose, il s’attendrissait. Bien sur il ne pouvait pas faire semblant de ne pas avoir ressentit un fort sentiment d’angoisse et de colère à voir les deux vautours tourné autour d’elle, l’ayant manifestement choisi comme leur prochain repas. Ce besoin de la prendre contre lui pour leur signifier qu’elle était SON repas. Quelle idée, c’était stupide, mais il valait mieux se l’avouer plutôt que de laisser ça grossir dans un coin jusqu’à se que ça explose. C’était déjà arriver une fois et ça avait était une catastrophe. Au moins comme ça il pourrait contrôler l’étendu des dégâts. Du moins il l’espéré.

Le réprouvé bue une nouvelle gorgé de cette boisson agréable, mais pas assez forte a son gout, avant de posé son verre sur la table. Il prit ensuite celui de Séléna d’entre ses mains pour le posé à coté du sien. « Bien princesse, tout vos désires serons des ordres. » Il était au moins rassuré d’une chose, elle avait manger, ça épongerait un peut les effets de l’alcool. Cela dit même si ça l’amuser beaucoup, il ne voulait pas la voir ivre et donc il voulait qu’elle cesse de boire dés maintenant. « Seulement il va falloir suivre quelques règles. » Enfaite il c’était considérablement adoucie par se qu’il jubilait. Elle ne voulait plu le quitter. Il avait réussi, toute les raisons étaient bonnes pour elle pour qu’il soi toujours a ses coté. Il se sentait fière quelque par. C’était peut-être stupide, mais ça lui faisait plaisir. Par se qu’honnêtement a sa place, vue les menaces de ses camarades, il n’aurait eu aucune envie de s’approché plus d’eux. Peut être avait-elle plus confidence en lui qu’il ne l’avait crue. « Pour commencer, on n’accepte pas les boissons d’un inconnu. » Il lui lança un regard qu’il voulait autoritaire et réalisa encore une fois que sa naïveté était apparemment supérieur à son intelligence. Peut être c’était-il trompé, peut être n’était elle pas aussi brillante qu’il le pensé. Encore un préjuger dont il aurait dû se méfier. « Ensuite on reste toujours à coté de moi, que je puisse toujours avoir un œil sur vous. » Il leva la main pour caresser sa joue dans un sourire. « Se son mes amis, mais ils n’on pas idée de se que tu… » seulement lors se que sa peau rentra en contacte avec la sienne il fut incapable de finir sa phrase. La sensation revint, plus forte cette fois. Enfaite ce fut comme si ses jambes ne pouvaient plu le porté. Retirant sa main comme s’il avait était bruler, il la fixa perplexe. Qu’avait-elle fait ? Il se sentit offensé, blesser même. Bien sur il était un monstre, mais c’était une raison pour se venger de lui de cette façon ? Ou alors…

Rapidement il attrapa la bouteille avec la quel elle l’avait servi. Il aller tuer l’enfant de salop qui avait fait ça. Non, ça ne pouvait pas être un sortilège. C’était diriger vers lui. Atax n’avait pas était touché alors même qu’il avait posé sa main sur elle. Reposant lentement la bouteille sur la table, il ne laissa plu paraître aucun trouble sur son visage. Sa voix se pausant, neutre et son visage sans expression, il fixa le bois de la table. « Séléna. » Il appuya bien sur son prénom, ne jouant plu, il était très sérieux, blesser en réalité. « A tu fait quelque chose ? Quelque chose pour que je ne te touche plu ? » Il faisait très attention a ses paroles, détachant presque chaque syllabe pour être sur qu’elle comprenne bien. C’était improbable. Elle désirait ne pas le quitter, mais utilisé de la magie pour le repousser. Traitrise et mensonge, les deux choses qui le l’écœuré le plus au monde. Etait-elle elle aussi partisante de se genre d’acte repoussant ? Lui il se moqué peut-être d’elle, mais il ne mentait pas, ni ne trahissait. Après tout, s’il faisait quoi que se soit pour un autre c’était sans en connaître les termes, donc il n’avait sincèrement rien a se reproché n’est ce pas ? Ou peut être qu’ils avaient fini par l’intoxiqué lui aussi avec leurs jeux stupides. « Tu… tu n’avais pas à faire ça. Je ne te ferais pas de mal, je te l’ai dit. Seulement maintenant comment je fais pour te protéger s’il t’arrive quoi que se soit ? » Oui, c’était encore une idée sacrément stupide ça. Si Zéleph devait écarté Séléna d’un danger, il tomberait dans les pommes et puis quoi ? Elle crierait pour le réveiller et le temps qu’il ouvre les yeux elle serait par terre la gorge ouverte… « Tu veux m’aidé ? » Finit-il par dire plus durement, ce redressant enfin pour posé son regard sur elle. « Arrête d’être idiote. » C’était dur et froids, le reflet exacte de son cœur blesser qui se braqué.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 17 Jan 2016, 01:17

Séléna sourit. Il allait l'amener. « Vous ne trouvez pas ça bon ? » demanda-t-elle quand il lui conseilla de ne pas accepter les boissons des inconnus. Elle ne comprenait pas pourquoi. C'est à dire qu'elle ne vivait pas dans le vrai monde, le monde où on pouvait chercher à lui nuire. Oh bien sûr, Shizuo lui avait fait peur mais il savait se tenir à présent. Quant à ses amis, quelque part, elle se disait que c'était sans doute pareil. Ils voulaient l'impressionner sans doute. Ça marchait plutôt bien pour tout avouer mais la jeune femme n'avait jamais connu de vrais douleurs. Elle n'avait même jamais fait face à la mort. Oh, bien sûr, quand elle était petite, plusieurs de ses animaux étaient morts et elle avait eu des gros chagrins, mais ce n'était rien comparé à ce que Mitsuko, elle, avait déjà vécu à son âge. La naïveté de Séléna venait de là. Elle avait beau connaître la théorie sur certains peuples, sur certains faits, elle n'avait rien vécu. Elle sourit, se disant que, de toute façon, elle n'avait pas l'intention de s'éloigner de lui. Elle aurait voulu avoir la fin de la phrase mais il s'interrompit. Elle le fixa, légèrement inquiète. Qu'avait-il ? Elle ne comprenait plus rien à son comportement. Certes, ça ne changeait pas vraiment de d'habitude mais elle le trouvait bien préoccupé. Quand il posa la question, elle ne comprit pas. Comment ça ? Qu'avait-elle fait ? Elle n'avait rien fait, de quoi l'accusait-il ? La suite ne lui plut pas et elle fronça les sourcils devant les mots de l'homme.

« Je n'ai rien fait ! » cria-t-elle quand il eut finis. Elle essayait de réfléchir mais c'était difficile tant elle sentait la colère s’immiscer en elle. Elle détestait être accusée à tord et le fait qu'il le fasse fit naître au creux de sa poitrine une sorte de rage, bouillante. Son cœur battait plus vite et elle finit par le fusiller du regard. « Je n'ai rien fait. » répéta-t-elle plus bas, plus sèchement. Elle en avait presque envie de pleurer tant ce qu'elle ressentait était hors de contrôle. Elle aurait aimé lui tordre le cou pour lui faire comprendre que c'était lui qui était idiot de croire qu'elle pourrait faire en sorte de l'éloigner d'elle. Et puis, elle n'avait jamais réussi à utiliser une quelconque once de magie. Comment s'y serait-elle prise ? Heureusement, il l'impressionnait trop pour qu'elle lui dise ses quatre vérités. Elle aurait forcément articuler quelque chose de méchant qu'elle aurait regretté par la suite parce qu'inexact. Puis, elle se rappela des événements de ce matin. Là encore, elle avait voulu lui en parler mais c'est lui qui avait fait son mal luné. « Si vous m'aviez écouté, on n'en serait pas là ! » fit-elle en faisant la moue. Plus calme parce qu'elle commençait à comprendre les raisons de la réaction de l'homme, bien qu'elle le déteste toujours de la penser coupable, elle se mit à réfléchir à une façon d'introduire tout ce qui était arrivé ce matin. « En fait je... je ne suis pas certaine que ça ait un rapport mais depuis mon réveil, il se passe des choses étranges... ». Elle se rassit, prenant de nouveau son verre. Elle ne voyait, de toute façon, pas pourquoi elle devrait refuser une boisson si bonne d'un Réprouvé qui avait voulu lui faire un cadeau. Shizuo était vraiment bizarre des fois. Elle en but une nouvelle gorgée, le sucre ayant au moins l'avantage de la soulager un peu plus de sa colère. Elle soupira. « Ce matin, il y avait ce chaton sur mon lit. ». Elle désigna le fauteuil dans lequel se trouvait le chat. « J'ai laissé ma fenêtre ouverte cette nuit alors je pense qu'il est rentré par là. Mais il y avait cette épée aussi avec vos initiales dessus. ZSS. Ce sont bien vos initiales non ? Il y avait autre chose de gravé mais je n'ai pas compris, ce n'était pas en langage commun. Alors, furieuse contre vous, je suis descendue pour savoir pourquoi vous étiez entré dans ma chambre. Sauf que... vous avez nié. ». A vrai dire, elle n'était toujours pas convaincue. Peut-être qu'il était effectivement rentré dans sa chambre... Mais pourquoi mentir ? Il avait assumé tout ce qu'il avait fait jusqu'ici alors... « Et puis, ensuite... je suis allée à la cuisine pour faire votre petit déjeuner mais je me suis réveillée sur le canapé du salon... Et vous n'étiez plus là. ». Là encore, elle n'était pas sûre qu'il n'y était pour rien. Elle devait en être certaine. « Si c'est vous, ce n'est pas drôle. » fit-elle avec un ton un peu autoritaire, comme si elle n'avait aucune envie de rire. « Je sais que vous aimez me torturer et... enfin... je suis consciente que rester à côté de vous n'est pas le meilleur moyen de ne pas l'être mais je trouve la situation étrange et encore moins drôle que vos... actes passés. J'ai une bosse derrière la tête... ». Peut-être qu'il l'avait juste trouvé par terre et l'avait amené au salon ? Peut-être n'y était-il pour rien à propos de la bosse mais elle voulait savoir. Elle était allée jusqu'à se demander si elle n'avait pas inventé tout ça. Et si jamais il voulait voir l'épée et qu'elle n'était plus sur son lit ? « Peut-être vaut-il mieux que nous rejoignons vos amis, non ? ».

903 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 17 Jan 2016, 13:03

Zéleph ne pouvait rien faire pour calmer sa colère. Ses yeux c’étaient posé sur le chat. Il ne l’avait même pas remarqué celui là. Il réfléchit un instant sur se que Séléna lui avait dit. Une épée avec ses initiales ? Il n’en avait aucune de se genre. Quelqu’un l’avait frappé ? Non ça n’était pas lui, pour la simple et bonne raison qu’il n’oserait jamais faire ça. Il était peut-être brutal et beaucoup plus violant qu’il ne le voudrait, mais il était incapable de faire une tel chose. Le réprouvé grogna, retirant une nouvelle fois le verre des mains de Séléna. « Je suis sérieux, pas d’alcool pour toi. » Plus qu’avant, car il avait besoin de toute sa tête pour comprendre se qui était arrivé. Quelqu’un était rentré ici, sous son nez s’il comprenait bien. Elle ne suivait pas les règles, il aurait du la punir pour ça, mais il ne pouvait pas et se fut une frustration qu’il ne pouvait pas cacher. Tans pis, il avait bien d’autre moyen de la tourmenté. « Je ne sais pas qui es rentré ici, mais crois moi il va le regretter. En attendant vas chercher cette épée, je t’attends dehors. » Trancha-t-il finalement. C'était un ordre non discutable. Il était curieux de savoir se qu’était cette arme à son nom et se qui était gravé dessus. Attendant que Séléna disparaisse, il se tourna vers l’animal qui le fixer.

Avec l’expérience Zéleph était capable de comprendre qu’on n’était jamais trop prudent. Les bélua étaient des créatures pouvant se fondre n’importe où grâce à leur pouvoir de métamorphose, et ça ne pouvait pas être une coïncidence. De toute façon Zéleph ne croyait pas en se genre de chose. Tout était décidé quelque par, peut importe ses choix, la finalité était toujours écrite à l’avance. Après tout il l’avait tellement vécu que personne ne pouvait le persuader du contraire. S’approchant du chat, il l’attrapa par la peau du cou. Il le souleva pour l’observé. Il n’y avait pas réellement de moyen de savoir s’il avait raison ou non, ou alors cela lui était inconnu. Il tenta de lire dans les yeux du chat une intelligence quelconque, mais les félins avaient la particularité de faire illusions, alors il ne pouvait pas non plu être certain de se qu’il voyait ou croyait voir. « Si ça ne tenait cas moi, tu serais déjà dans le feu. » C’était une menace effective, parce que s’il ne savait pas que Séléna se rendrait compte de l’absence de l’animal et de l’odeur, il l’aurait déjà fait. Après tout autant tout de suite écarté les dangers possibles. En plus les chats étaient sa hantise, les félins avaient cette adoration pour lui qu’il ne s’expliqué pas. C’était extrêmement agacent. Quoi que celui là ne c’était pas mit à être collant et ronronné de façon exagéré. Voilas qui ne faisait qu’appuyé ses doutes.

Puise qu’il n’avait aucune preuve tangible, il préféra ne pas se mettre lui même dans une situation fâcheuse. Sortant de la maison, il jeta l’animal par terre, de façon très peut amical. « Vas tans avant que je ne te torde le cou. » Les yeux verts de cette animal lui donner froid dans le dos. Il ne l’aimer pas. « Tu fait le ménage ? » Zéleph leva les yeux vers l’homme qui s’approché de lui. Scaldis, le seul de son équipe qui semblait être le plus sain d’esprit. Si on pouvait imaginer qu’un Orisha puise être sain d’esprit. « Je me débarrasse de la vermine. » « On m’a envoyé te chercher, apparemment tu tes trouvé un… passe temps ? » Le réprouvé esquissa un sourire, c’était donc comme ça qu’ils voyaient. « Aller viens, on est tombé sur un dilemme et vue ton… voyons voir… influence ? Excuse-moi, je rit, mais ce n’est pas contre toi. J’ai juste du mal à t’imaginer souverain. Quoi qu’il en soit, ça serait bien que tu nous aides, on ne comprend rien à se que dise les paysans et ils ne veulent pas entendre raison. Je crois que l’on va déclarer une guerre civile si ça continue… Sur tout si on laisse notre couple préféré réglé ça tout seul. » Malheureusement Scaldis avait raison. Les laisser seul tout les deux se promener en liberté, cherchant une nouvelle victime pour leurs jeux pervers n’était pas une bonne idée. Heureusement Théo pouvait contenir son frère et Tarnis ferait assez l’imbécile pour leur donner autre chose à s’occuper mais il valait mieux ne pas trainer. S’il avait eu une réputation ici autre fois, autant la sauvegardé autant que possible. « J’attend juste mon, passe temps. » Répondit-il avec un sourire entendu. Quand la porte se rouvrit, Scaldis ne manqua pas de sifflet avant de ricané. « Je ne savait pas que tu les aimer jeune. Je suppose que ça doit être plus simple à dresser. » Zéleph leva les yeux au ciel en grognant. Pourquoi prenait-ils tous plaisir a lui rendre la vie aussi difficile ? L’orisha s’approcha de Séléna, et lui fit un baise main, s’inclinant poliment. « Scaldis, ravis mademoiselle. » En s’éloignant il lui offrit un clin d’œil avant de s’éloigner. En passant devant Zéleph il se pencha pour lui murmuré avec amusement. « Tu a de la chance, je les préfères mure. » Le réprouvé lança sa jambe pour frapper le dos de l’orisha, mais celui-ci esquiva avant de partir en riant comme un fou.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 17 Jan 2016, 15:50

« Mais ce n'est pas... » de l'alcool ? Séléna ne termina pas sa phrase. Elle n'avait jamais bu d'alcool à vrai dire si ce n'était une seule fois, pour un gage, avec Samuel. Mais cela n'avait rien à voir. Le défi consistait à voler une bouteille dans la réserve et à en boire une gorgée, chose qu'elle avait fait avant de tout recracher tant le liquide était répugnant. La boisson qu'on lui avait donné n'avait rien à voir. Après... elle n'y connaissait pas grand chose en alcool donc peut-être valait-il mieux l'écouter. C'est vrai qu'elle se sentait étrange, pas malade, juste étrange. Elle finit par acquiescer, montant chercher l'arme tout en espérant qu'elle serait encore là.

Pendant ce temps, le chaton se laissa faire, mollement, ne cherchant pas la résistance. De toute façon, la Déesse n'avait rien à craindre et jouer avec les nerfs de son époux était une activité réellement délicieuse. La situation était cependant tout sauf amusante et elle ne se serait pas déplacée si Zéleph n'avait pas la fâcheuse manie de faire ce qu'on lui disait uniquement quand il ne fallait pas. Elle le comprenait dans un sens, il souhaitait obtenir des réponses à ses questions. Elle aurait pu le guider, sauf qu'elle ne le souhaitait pas. Elle n'était même pas certaine que son très estimé collègue lui donne ce qu'il désirait une fois qu'il aurait accompli ses desseins. Mitsuko n'était jamais intervenue dans les relations entre le Réprouvé et les autres Ætheri. Cette fois, c'était différent. Cette fois, ça la concernait. Elle fixait l'homme d'une manière continu, même après ses menaces. Elle n'était pas dupe, les choses se termineraient forcément mal. Elle avait créé Séléna pour lui mais faire le deuil de son mari était quelque chose de complexe. Dehors, elle retomba sur ses pattes, comme tout chat l'aurait fait, restant tout de même non loin de la scène.

Par chance, l'épée n'avait pas bougé. Séléna soupira, rassurée. Si elle était descendu sans, elle était certaine que Shizuo l'aurait encore blâmé. Le principal problème avec cette arme, c'est qu'elle était lourde. Elle n'en avait jamais vu dont le poids était semblable. La prenant à deux mains, elle descendit les escaliers un peu fébrile puis se dirigea vers la porte pour retrouver l'homme. Il y avait quelqu'un d'autre avec lui. Elle ne fit pas vraiment attention au sifflement, trop occupée à soutenir l'épée. Arrivant devant eux, elle posa la pointe du fourreaux par terre, légèrement essoufflée. Ce qu'il se passa ensuite la ravie au plus haut point. Écarquillant doucement les yeux comme si elle n'avait plus vu d'hommes bien éduqués depuis des siècles, elle fit elle même une petite révérence. « Séléna, enchantée. ». Voilà qui la rassurait un peu. Elle ne comprit pas tellement la suite mais, après tout, ça ne la regardait pas. Elle désigna donc l'épée à Shizuo, n'ayant pas le courage de la porter jusqu'à lui. « Elle est vraiment lourde... Si ce n'est pas vous qui l'avez posé sur mon lit, je me demande bien qui... ». Elle n'aimait pas trop ça. Elle préférait encore qu'il lui mente et que l'apparition de cette épée soit de son fait. Au moins, elle connaîtrait l'identité de celui qui était entré dans sa chambre au lieu de s'interroger et d'imaginer tout et n'importe quoi. L'ignorance était une chose terrifiante. Elle regarda un instant l'homme, imaginant quelque chose qui la fit rougir instantanément tant c'était déplacé et sortait de nulle part.

« Ah ! » cria-t-elle en sursautant. Quelque chose était tombée sur son épaule. C'était plutôt léger mais ça l'avait surprise. Tournant la tête, elle aperçut un écureuil. « Mais... ». Elle se serait sans doute attendrie si la situation n'était pas étrange. A vrai dire, elle commençait à être agacée par tout ce qu'il se produisait autour d'elle depuis ce matin. Le chat, l'épée, sa bosse, la mauvaise humeur de Shizuo et maintenant ça... L'animal ne semblait même pas avoir peur d'elle et il lui sembla même voir, une fraction de seconde, une sorte d'aura noirâtre s'échapper de ses propres lèvres. Il y eut un éclair blanc qui vint arracher le rongeur de son épaule. Le chaton avait sauté sur l'écureuil, l'entraînant au sol où ils disparurent tous les deux. Séléna blanchit. Il n'y avait aucun doute : les agissements du Réprouvé et ses pensées indécentes leur avaient attiré le courroux de la Déesse. Elle n'avait pas prié depuis plusieurs jours en plus de cela... « Je pense que nous avons offensé les Dieux... Peut-être que nous occuper des animaux contentera la Déesse... J'espère... » finit-elle par souffler, entre peur et gêne, en partant dans la direction que Scaldis avait prise. Peut-être qu'elle n'avait pas le droit de côtoyer Shizuo ? Peut-être qu'elle avait commis quelque chose de grave en sa compagnie ? Il l'avait embrassé et cela allait à l'encontre des principes qu'on lui avait inculqué. On l'avait assez prévenu : enfreindre les règles du Manoir revenait à s'attirer les foudres de la Déesse. Séléna ignorait tout de cette entité, jusqu'à son nom mais ses précepteurs avaient fait d'elle un prétexte à tout. La Déesse n'existait pas, c'était juste un moyen de la canaliser, de lui faire avouer ses fautes et de placer au dessus de sa tête une figure nettement supérieure. Séléna avait donc prévu de régler le problème et de rentrer pour prier et s'excuser. Elle pensa qu'il serait peut-être bien de... Rattrapant Scaldis elle lui demanda : « Est-ce que vous savez s'il y a une rivière ici ? ». Si elle purifiait son corps, les choses iraient sans doute mieux. Elle n'avait pas accompli le rituel beaucoup de fois mais ça lui était arrivée quand son comportement avait dépassé les bornes de l'acceptable aux yeux de ses précepteurs. Ils savaient qu'elle se rebellerait un jour, que ni les Rois ni les Dieux ne lui feraient plus peur. Cela dit, tant qu'ils pourraient la cadrer, ils le feraient. Quant aux Ætheri, le rival de Mitsuko avait pu retirer le sort qu'elle avait apposé sur Séléna plus tôt. Il ne savait pas jusqu'à quand mais, pour le moment, plus rien n'entravait le bon déroulement de son plan.

1028 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 17 Jan 2016, 20:30

Zéleph avait pris l’épée. Effectivement elle pesé son poids, m’enfin quand même il ne fallait pas exagérer. Pendant un certain temps, le réprouvé laissa son regard se perdre a admiré l’objet. Elle était de belle qualité, de très belle qualité même. N’importe qui ne pouvait pas se permettre d’acheté ça. Enfaite, à bien y regardé elle avait été faite sur commande, par un excellant forgerons. Quelque par il devait bien y avoir sa signature. Le manche était confortable. Sortant l’arme de son fourreau avec précaution, il laissa la lame se dévoilé. L’acier était d’un acabit supérieur. Neuf, elle n’avait jamais servi, aiguisé comme une lame de rasoir. Plus que son analyse technique sur l’épée qui était joliment équilibré, il ne pu manqué la gravure en Zul’dov qui orné la lame. ZSS… Oui c’était belle et bien ses initial et il aurait eu un doute si le reste n’avait pas clairement signifier quelque chose en rapport avec lui et sa chienne de vie. Faal kodaav aren faal kaazin, faal kodaav aren faal kulaas. « C’est pas vrais. » Zéleph ignora s’il devait être surprit, énervé ou offensé. Se fut à cette instant que Séléna le sorti de sa transe. Elle parlait d’offense aux Dieux ou de choses comme ça et le réprouvé ne pu s’empêcher de ressentir un haut-le-cœur. Plus durement qu’il le voulu, il remit l’épée dans son fourreau, avant de l’accroché a sa taille. Il était évidant que c’était un cadeau de Mitsuko, pour lui. Le jour où il la recroiserait il ne manquerait pas de la remercier. Shizuo garda alors le silence. Il se mit simplement à suivre Séléna et Scaldis, fixant la blonde avec ses yeux de braise.

Alors c’était elle sa « deuxième chance ? ». Enfaite-t-il fini par mettre le doigt sur les sentiments qui le submergé maintenant. Le dégout et la colère.  Des idées noires le transperçaient. Le désir de vengeance. Zéleph savait, il comprenait tout. Tout devenait limpide. Ses yeux, sa bouche, son parfum, cette sensation. Oui, c’était elle. Après tout il l’avait pensé alors même qu’elle n’était qu’une gamine. Son instinct ne le trahissait jamais. Cette marque sur sa main était le reflet de la sienne. Parce que leurs âmes étaient liées. Mitsuko avait peut-être endormit leur lien mais il existé toujours. Il ne savait pas se qu’elle cherché, mais maintenant qu’il était au courant, les règles du jeu aller changer. Et cet autre Aether qui voulait Séléna, il devinait bien pourquoi maintenant. Oui tout se clarifier dans son esprit. Le réprouvé réussit à réprimer son sourire. Les choses aller devenir intéressante.

Scaldis posa ses yeux sur la petite blonde. A force de vivre avec le réprouvé il avait compris deux trois chose a son sujet, et il se souvenait très bien avoir vu un visage semblable trainé a coté de son lit dans leur dortoir. Le portrait d’une femme blonde au yeux vert comme les siens. S’il n’avait pas autant besoin de lui pour leur mission il l’aurait laissé tranquille, mais voilas, aucun d’eux ne parlait le réprouvé.  « Oui, j’ai cru en voir une derrière le champ là bas. » Il pointa un champ de blé a droite du chemin menant au centre du village. « Il y a un moulin a eau, près du temple de Drejtësi, si mes souvenir son bon. » L’orisha ignoré pourquoi elle voulait une rivière, mais c’était le mieux qu’il pouvait offrir. Regardant par dessus son épaule, il vit Zéleph les suivre, l’air sombre. Apparemment quelque chose le contrarier. Une longue journée s’annoncé.

Traversant le village pour arriver près des enclos des animaux, le temps ne fut pas long avant d’entendre Cruella crier. « Vous êtes stupide ou quoi ?! METTEZ LES EN QUARENTAINE ! » Elle hurlé sur un pauvre homme, qui même s’il faisait deux tête de plus que lui semblait être terrifier. Il fallait dire que l’aura que dégager le vampire ferait s’écraser n’importe quel guerrier. « Nid krii io. Io ni vermullen. » Bien qu’il gardé son intégrité, le paysan la supplier de ne pas le tuer par se qu’il ne comprenait pas un mot de se qu’elle disait. Enfaite ils étaient plusieurs dans se cas, derrière l’armoire a glace qui leur servait de bouclier. La femme a la patience altérée aller reprendre l’assaut quand Scaldis posa sa main sur son épaule, se qui la fit reculer d’un pas, l’interrogent soudain du regard. « Tu vois bien que tu lui fou la trouille. Calme-toi. » « Heureusement que je lui fou la trouille à se piaf. » fit elle avec dégout, regardant l’homme avec une dangereuse étincelle dans les yeux. « Tu sais se qu’ils te disent les piafs lun ? » Zéleph avait fermer son visage a toute expression de puis quelques minutes déjà, mais son ton tranchant ne donna aucune envie a Cruella de rétorqué, sachant très bien que Lun était une insulte pour les vampires. Même si elle était froissée, ce n’était que justice. Elle se dégagea de la prise de Scaldis et préféra s’éloigner, non sans fusiller l’ancien roi du regard et lui signifier ainsi qu’elle n’en avait pas fini avec lui.

Ayant montré sa présence, il ne fallut pas deux seconde pour que le groupe de réprouvé se jette sur lui en désespoir de cause. Sa parlait dans tout les sens en Zul’dov. Ils avaient tous l’air dans un état de panique avancer, et Atax et Cruella n’avaient dû faire qu’aggravé les choses. Zéleph essaya tans bien que mal de les calmer pour réussir à comprendre. Il jeta un rapide coup d’œil vers Séléna pour s’assuré qu’elle était toujours près de lui. Voir Scaldis a coté d’elle le soulagea et il se concentra à nouveau sur les paysans. Il comprit qu’une terrible épidémie avait toucher leurs bêtes. Bicorne, cerfeuils, poules, tout les animaux sans exception. Ils avaient les mêmes symptômes et en trois jours finissaient tous par mourir. Au début, croyant comme pas permit, ils avaient pensé avoir offensé un Dieu. Ça lui rappela vaguement quelqu’un. Puis a force, ils ont réalisé que c’était une maladie, mais ils ne savent pas quoi faire. A se rythme là dans moins d’un mois tout les animaux seraient morts, il n’y aurait plu de viandes, plu de commerce, le village mourrait. Bien sur il le supplièrent de leur venir en aides, seulement le réprouvé ne savait pas quoi faire avec ça. Il n’était pas soigneur, ni scientifique. Scaldis et Cruella pouvait peut-être quelque chose, mais vue l’effet que le vampire avait sur les gens ça n’allait pas être facile. Zéleph demanda alors au paysans de l’écouté et de mettre tout les animaux ensemble dans le même enclos, de les séparés des bêtes encore saines. Il leur expliqua aussi que ces gens avec lui était là pour les aidés et que si ils avaient confidence en lui, ils devaient les laissaient examiner les animaux pour avoir une chance de les soigné ou de comprendre. Bien qu’il y eu quelque réticence, ils finirent tous pas obéir et commencèrent a s’activé pour rassemblé le bétail malade.

Se tournant vers ses camarades, il leur expliqua, appuyant sur le fait qu’il ne servait a rien de crier sur des gens qui ne comprenne pas se qu’on leur dit. Cruella ronchonna, mais elle promit de ne plu parlé a personne, de toute façon se qui l’intéressé c’était disséquer un de ces animaux et comprendre se qui n’allait pas. Tout le partit vers les enclos concernés. Zéleph pris juste le temps de se tourné vers Théo, le frère de Atax. « Surveille Séléna s’il te plais. Qu’elle ne s’approche pas de Cruella et Scaldis pendant qu’ils travaillent. » Ça aller être un bain de sang. Il ne désirait pas qu’elle soi malade. L’alfar acquiesça simplement, se tournant vers la jeune fille. Le réprouvé n’ajouta rien, il regarda à peine la jeune fille avant de partir à son tour aidé les paysans. Tarnis sourit a Séléna. « Au faite moi c’est Tarnis, je suis Alchimiste, et lui c’est Théodore, mais tu peux l’appeler Théo. Par contre il est muet, et il ne souri jamais, mais il est sympa je te promets. » « Tarn dépêche toi un peu ! » « Hum, tu devrais rester ici, Zéleph a raison. Ça ne vas pas être très beau là bas… Les animaux son dans un sal état et on va… Enfin, tu n’as pas besoin de savoir je suppose. A plus tard. » Il la salua avant de courir rejoindre les autres. Il était Alchimiste, il serait plus qu’utile pour analysé et faire quelque chose d’utile pour aidé. Théo posa ses yeux sur Séléna, lui barrent la route entre elle et le reste du groupe.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 17 Jan 2016, 23:17

« Est-ce que je peux passer, s'il vous plaît ? » demanda Séléna à l'homme qui lui faisait face. Il ne dit rien mais elle avait été prévenue du fait qu'il était muet. « Théo n'est ce pas ? Vous pourriez me laisser passer... Je ne vais pas les déranger vous savez... Je veux juste regarder... ». Ce n'était pas tout à fait exact. En son for intérieur, la jeune femme était convaincue qu'ils n'allaient pas être tendre avec les animaux et elle voulait les empêcher d'agir si leurs actes n'étaient pas nécessaires. Le problème c'est que l'homme n'allait pas faire ce qu'elle disait. Elle finit par soupirer, se reculant un peu pour analyser la situation. Il y avait le champ de blé. La moisson n'avait pas été faite et la récolte était encore haute... Si elle entrait dans la parcelle, personne ne la verrait et elle pourrait sans doute contourner le tout pour arriver du côté opposé. Comme Théo ne s'y attendrait pas, il n'aurait pas le temps de l'attraper avant qu'elle n'arrive aux côtés de Shizuo. Et puis, elle pourrait en profiter pour passer à la rivière effectuer la purification... « Écoutez, je vais aller à la rivière, d'accord ? Je n'ai pas besoin de vous parce que... ». Elle baissa un instant les yeux puis les remonta sur son interlocuteur. « Je veux accomplir un rituel religieux et pour ça j'aurai besoin de retirer mes vêtements et d'être seule. Vous comprenez ? ». Bon, ce n'était pas vrai. En théorie elle aurait dû mais elle était dans un lieu public alors elle garderait sa robe sur elle, quitte à être trempée. Il faisait froid mais si elle tombait malade, ce n'était rien. Elle préférait contenter la Déesse. Si cela se trouvait, l'état de ces pauvres animaux était une conséquence de son comportement irresponsable et de ses pensées immorales. Tournant les talons, elle partit sans demander son reste, ne vérifiant pas la présence de l'Alfar sur ses talons. S'il la suivait, elle espérait le semer dans le champ ensuite, sur le chemin du retour.

Pour aller à la rivière, elle emprunta un chemin. Elle se sentait vraiment étrange. C'était les effets de l'alcool en réalité. Elle n'était pas complètement ivre mais ses perceptions étaient légèrement faussées. Elle avait chaud et, oui, c'était un autre monde. Se mordant la lèvre inférieure, elle commença à penser à autre chose, penser à Shizuo, avant de se reprendre en secouant la tête. Elle devait rester pieuse. Si elle se purifiait de tout ce qu'il s'était produit les jours précédents, ce n'était pas pour replonger ensuite dans des idées folles. Arrivant à côté de l'eau, elle s'aperçut qu'il n'y avait pas beaucoup de profondeur. Elle devait trouver un endroit où elle pourrait s'immerger complètement. Longeant le champ, elle s'arrêta quand elle ne vit plus le fond. Elle ne savait pas nager mais elle était certaine qu'elle avait pied. Elle enleva ses chaussures, son gilet, son chapeau et s'avança vers l'eau. Elle ferma les yeux, récitant quelques phrases d'introduction, puis, plus bas, elle murmura ses fautes tout en rentrant dans le liquide glacé. « J'ai faillis aux principes que l'on m'a enseigné. J'implore votre pardon pour avoir laissé un homme, auquel je ne suis pas attachée par les liens du mariage, toucher mon corps. J'implore votre pardon pour la blessure que je lui ai infligé à même la chair. J'implore votre pardon pour avoir laissé cet homme noircir mes pensées au point que j'aime ses gestes inconsidérés. Je ne saurai lui faire porter le poids de la faute qui m'incombe. Je suis la seule fautive, moi qui suis entrée dans sa chambre et y suis restée. J'implore votre grâce et votre aide pour ne plus sombrer et être attirées par des chemins obscures... ». S'avançant un peu plus, tremblotante, elle finit par inspirer pour entrer entière dans l'eau. Elle y resta autant qu'elle put et poussa sur ses pieds pour remonter à la surface. Certaine d'avoir fait ce qu'il fallait, parce qu'on l'avait éduqué ainsi, elle sortit de là et entreprit de retrouver ses esprits. L'eau froide avait eu le bienfait de la dégriser un peu. Aussi, sans plus attendre, elle attrapa ses chaussures, son gilet et son chapeau et se mit à remonter le champ. Elle ne voulait pas mouiller ses objets secs et entreprit donc de traverser le champ pieds nus. Ils devinrent rapidement boueux. Elle s'en fichait un peu, elle avait froid et voulait retourner à côté de l'enclos pour voir si l'état des animaux s'était amélioré. Trempée, elle essaya d'enlever un peu d'eau de sa robe blanche en la serrant dans sa main libre. Ça ne servit pas à grand chose. Heureusement, la tenue était légère, ce qui lui permettait de bouger facilement. Si elle avait porté sa toilette habituelle, elle n'aurait sans doute pas pu bouger après coup.

Grelottante, elle passa la tête à travers le blé pour vérifier qu'elle était assez remontée. Elle avait bien calculé. Théo ne l'avait pas suivi et il regardait dans la direction opposée. Elle n'avait plus qu'à courir jusqu'à l'enclos où se trouvaient Shizuo et ses compagnons. Elle mit donc à exécution son plan, escaladant la barrière de l'enclos comme elle put. Seulement, une fois qu'elle fut arrivée sur les lieux de l'opération, elle blanchit en posant les yeux sur les animaux. « Qu'est ce que... ? ». Qu'est ce qu'ils étaient en train de faire ?

905 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 18 Jan 2016, 00:27

Ce n’était pas très beaux à voir. Certains paysans avaient détourné les yeux après l’avoir interrogé du regard. Seulement, leur ancien roi ne disant mot, le visage figer dans une expression neutre, ils n’osèrent contester quoi que se soit. Pourtant c’était écœurant de voir tout se sang coulé et la chair s’étaler sur l’herbe. L’odeur était nauséabonde et regardé se macabre spectacle était difficile pour n’importe qui. Zéleph, pour sa part, en était complétement détacher. Le sang, les entrailles ou la cervelle ne lui avait jamais fait aucun effet. Tarnis, quand a lui, vomissait son omelette plus loin sous les rire d’Atax. La boucherie qui se dérouler ici n’était pas pour le simple plaisir d’assouvir quelque pervers dessin. Scaldis et Cruella travaillais sérieusement à la découverte des origines de cette maladie. Bien sur les mesure prise n’était pas les plus agréable, mais par fois il fallait se salir les mains pour arrivé à ses fins. De l’extérieur cela devait ressembler à un carnage. Deux cadavre de bêtes, le ventre ouvert, les yeux arrachés, et plus encore. Les bras et les vêtements des deux spécialistes étaient imbibé de sang. Cela ne semblait pas les gêner. Cruella chercher avec attention quelque chose dans l’intestin du Bicorne, pendant que Scaldis se servait de ses instruments pour fouillé les poumons du cerfeuil.

Le réprouvé leva les yeux vers le reste du troupeau, tout les autres animaux agonisant. Ils semblaient subir d’atroce souffrances. Pris de crampes, vomissant du sang pour la plupart. Il n’aimait pas ça. Quelque part, ces animaux étaient aussi les sien. Il c’était tellement battu pour les avoir, les sauvé et les faires grandir ici. Il avait suivi leurs évolutions, avait appris aux paysans à les nourrir et les domptés. C’était lui qui avait créer tout ça, il ne supporterait pas de voir ça s’effondré, alors il était légèrement impatient de connaître les déductions des deux spécialistes. S’éloignant un peut pour calmer ses nerfs, il sentit son souffle se couper quand il entendit Séléna. Se retournant, il la vu au devant de la boucherie et il ressentit une fureur sans nom. Son regard se dirigea instantanément vers Théo qui leva les mains en l’air pour lui signifier qu’il n’y était pour rien, et il ne pu le blâmer car il savait que l’alfar avait dû faire de son mieux, mais elle devait être comme a l’image de son modèle : insupportable.

Zéleph s’approcha d’elle si vite qu’il ne réussit pas a s’arrêté a temps et lui rentra de dans. Au moins son attention lui fut toute donner. Lui attrape brutalement le bras, il ne la ménagea pas pour la détourné du spectacle. « Tu cherche les ennuis on dirait. » Il était menacé, et pour cause, il n’accepté réellement pas qu’elle lui désobéisse. Elle était trempée, pourquoi était-elle trempée ? Et il la tenait contre lui et ne se sentait pas mal, d’aucune façon… qu’était-il arrivé ? Une chose à la foi. Elle aller attraper la mort ainsi. Retirant son kimono, il l’enveloppa avec. Séléna ne se rendait même pas compte qu’un vêtement humide laissait transparaitre bien des choses, des choses qu’elle n’avait pas à montré, sur tout en cet instant. « Tu peut resté, mais je t'interdit de regardé. » sifflât-il entre ses dents, avant de la lâchée et de se retourné. Il aurait souhaité la raccompagné, mais il ne pouvait pas laissait ces deux là les mains dans des cadavres d’animaux devant les paysans seuls. Il ne voulait pas non plu incomber la tâche à Théo de le faire par se qu’elle se jouerait de lui à nouveau. Lui demandé de partir seule serait une erreur monumentale, alors autant la gardé sous le coude.

« Je commence à perdre patience. » C’était un euphémisme, en réalité il l’avait déjà perdu avant d’arriver il y a plus d’une heure. Cruella fini par soupiré, l’air profondément dépité. Scaldis n’avait pas l’air moins perturbé. Ils se jetèrent des regards perplexes avant de se lever. En s’essuyant les mains l’orisha s’approcha du réprouvé, essayant de parlé bas pour ne pas influencé une quelconque penser au paysan quand au ton de sa voix. « Je ne comprend pas. Rien n’est infecté. D’un point de vue extérieur ils son en très bonne santé… C’est comme si ils n’avaient rien. » « On ne meurt pas de Rien, Scaldis. » Il était agacé, au bord de la colère. L’orisha le savait et comprenait son sentiment, lui aussi se sentait impuissant, et pour une fois personne n’eu envie de plaisanté ou se moqué du réprouvé. Cruella s’approcha lentement. « Je pense qu’il va falloir les abattre. » Zéleph laissa un long soupire lui échapper. Il n’aimait pas particulièrement l’idée de réduire d’un quart les troupeaux de Bouton d’or, mais s’ils ne trouvaient pas une meilleure solution, ça serait tout les troupeaux qui disparaitrait. Jetant un regard au seul alchimiste qu’il savait, il abandonna rapidement l’idée de lui demandé son avis en voyant Atax lui tapé gentiment dans le dos alors qu’il continuer à rendre son estomac. C’était un cauchemar. Ruinant un peut plus l’état de ses cheveux, il passa une main dans sa crinière blanche en ferment les yeux. « Très bien, je vais leurs expliqué. » Fini-t-il par abdiqué, ouvrant les yeux pour les posé sur les paysans, qui n’arrêtaient pas de le fixer, anxieux. Personne n’était ravis par cette situation.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 18 Jan 2016, 01:25

« Ah mais... » fit Séléna comme pour essayer de se défendre de l'assaut de Shizuo. « Non mais je... ». Elle n'arrivait réellement pas à terminer ses phrases avec lui. Il était brutal et les faibles forces de la jeune femme ne lui laissaient aucune chance de lui résister. Elle fut couverte du kimono du Réprouvé. Elle n'en voulait pas, qu'est ce qu'il lui prenait tout à coup ? Il fallait qu'elle supporte le froid si la Déesse en avait décidé ainsi. Et elle serait malade aussi si tel était le prix à payer pour avoir enfin un peu de répit. Si la divinité pouvait faire en sorte qu'elle ne pense plus à lui, elle était prête à beaucoup de choses. En attendant, elle était obligée de lui obéir. Il était si sec qu'elle resta retournée. Les odeurs n'étaient pas agréables mais ses pensées la gardaient en santé. Pourquoi est-ce qu'il était comme ça avec elle ? Ne pouvait-il pas comprendre qu'elle voulait voir ce qu'il se passait ? Oh bien sûr elle avait déjà vu un peu du spectacle macabre et ça lui avait donné un haut le cœur mais... elle n'avait plus cinq ans, elle pouvait faire face à ce genre de choses. C'est ce qu'elle croyait tout du moins. Légèrement agacée, elle faillit plusieurs fois se retourner avant d'imaginer ce qu'il lui ferait si elle ne s'accommodait pas de ses ordres. D'un autre côté, qu'est ce que ses valeurs lui disaient ? Il fallait qu'elle vienne en aide aux défavorisés. Ces animaux l'étaient. Elle n'avait aucune connaissance en biologie mais peut-être qu'elle pourrait faire quelque chose. Et puis, elle aimait les Cerfeuils et les Bicornes. Elle avait même réussi à en ramener un chez elle après la Coupe des Nations. Elle l'avait volé, d'accord, mais elle avait toujours l'intention de le payer. Il n'était jamais trop tard pour ce genre de choses. Baissant la tête, elle se prit à trouver que le tissu du vêtement sentait étrangement bon. Elle ne savait pas ce que c'était mais c'était... viril et chaud. C'était son odeur, à lui. Elle pencha un peu plus son visage pour que son nez touche le kimono. Elle ferma un instant les yeux avant de se rendre compte de ce qu'elle faisait. Si même la Déesse ne pouvait pas l'aider, cet homme devait être une sorte de Démon ou... un autre Dieu ? Non c'était ridicule. L'Æther qu'elle priait voulait sans doute la tester un peu plus. Comment devait-elle faire ? Quelle était la bonne voie à suivre ? C'était comme s'il l'avait ensorcelé. Ensorcelé...  L'effet que lui faisait l'homme s'ajouta à l'espèce d'aura noire qu'elle avait vu s'échapper d'elle. Si ça se trouvait, il s'agissait de magie noire... Des Sorciers ? Des Sorciers qui auraient pratiqué leurs dons sur ces bêtes ?

Séléna tendit l'oreille pour entendre ce qu'il se disait. Rien de bon apparemment. Elle n'avait pas besoin de voir pour sentir que les choses n'allaient pas être favorables pour les animaux. Elle ne voulait pas qu'ils les tuent. Elle hésita mais finit par tourner les talons pour rejoindre Shizuo. Elle n'avait qu'à pas regarder par terre, il était assez grand pour que le reste lui soit flouté si elle ne regardait que lui. Arrivant dans son dos, elle le contourna pour se poster en face de l'homme. Là, elle le fixa un moment avant de lever les talons pour essayer d'être au plus proche de son oreille. « Je crois que j'ai une idée... » fit-elle assez doucement pour que personne d'autre ne l'entende. « J'ai lu que les Réprouvés et les Sorciers n'étaient pas en bon terme depuis que euh... je ne m'en rappelle plus très bien, depuis un incendie ou une histoire de femme volée je crois... Mais... en fait, je me disais que, peut-être, ces animaux souffraient à cause de la magie. La magie noire peut faire ça, non ? Elle rend malade quiconque la subit. Je pense que si c'est ça, il faudrait trouver les responsables pour les tuer. ». Elle n'y avait pas réfléchit, récitant presque machinalement ce qu'elle avait pu étudier dans les livres. « Ou leur demander s'ils peuvent inverser le sortilège... Un peu comme avec vous... » fit-elle pensive. Le sortilège qu'il lui avait lancé et qui faisait qu'elle pensait à lui trop souvent à son goût. L'alcool y était pour quelque chose dans ses divagations mais l'idée de base était parfaitement plausible. Les deux races étaient ennemies, il n'aurait pas été étonnant que des Sorciers essayent de contaminer les animaux ou les récoltes. C'était le meilleur moyen d'affaiblir une population, surtout si ça se transmettait. Peut-être qu'en mangeant de la viande contaminée, les Hommes seraient également soumis à la maladie ? Si elle avait raison, les Mages Noirs ne devaient pas être très loin. Tremblante, elle reposa ses talons sur le sol et réajusta le kimono de l'homme pour se couvrir un peu plus. En réalité, ce n'était pas une si mauvaise idée qu'il avait eu. « Merci pour... ça. » fit-elle, s'en se rendre compte qu'il n'y avait peut-être pas qu'une considération de chaleur dans le geste. Jetant un bref coup d’œil sur les animaux, elle revint rapidement poser son regard sur Shizuo. C'était horrible. « S'il vous plaît... ne les tuez pas... Je suis sûre qu'il y a une explication à leur état... ».

876 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Lun 18 Jan 2016, 17:59

Zéleph fixa Séléna perplexe. Il ne laissait rien paraître de sa réflexion, et pourtant son cerveau s’enflammer. Ils avaient des choses à mettre aux clair, mais en attendant il devait faire de son mieux pour gardé son esprit concentré sur le plus urgent. Il ne pu alors s’empêcher d’être une nouvelle fois désagréable, ça lui permettait de ne pas se laissait troublé. « Alors tuer quelqu’un se n’est pas grave, mais tuer un animal c’est un crime ? » Ça reproche était cinglante. Il ne disait pas être pour ou contre, il trouver ça simplement drôle la façon dont elle le supplier pour sauver ces animaux au détriment de vie humaine. Bien sur ce genre de pensé ne lui était pas étrangère, mais il trouvait toujours ça aussi stupide, même s’il s’agissait de sorciers. Il imaginer qu’elle ne se rendait pas compte, peut être que ça la ferait un peut réfléchir.

Jetant un regard à Scaldis qui l’interrogé en silence, il lui fit un signe discret pour qu’il se rapproche. L’orisha s’exécuta. Tournant le dos au reste du monde, il lui exprima l’idée de Séléna, qui bien que surprenant venant de sa jolie bouche, avait de bonne chance d’être correcte. « Tu pense que c’est vrai ? » « Je pense que les sorciers son capable de déclenché des guerres a cause de leur stupidité. »  « D’un point de vue extérieur nous n’avons aucune preuve et aucune piste pour affirmé quoi que se soit. D’un autre coté, je connaît vôtre passer commun et les tensions qui persiste entre vos peuples. Seulement est ce que ça justifie une tel attaque ? Vraiment ? » « Ils ne son pas malade, Scaldis. C’est une raison suffisante pour chercher de la magie noire. » « Bien. » Le grand rouquin s’éloigna du réprouvé sans plu rien ajouté et se dirigea directement vers Tarnis. Le magicien avait l’air de s’être calmer. Le réprouvé ne pouvait pas entendre se qu’ils disaient, mais quand il vit le visage du mage devenir vert il comprit. Tans bien que mal, Tarnis s’approcha l’air de résisté de toute ses forces contre la maladie. Le mage fit de son mieux pour analysé les corps à son tour, entre deux haut le cœur. Zéleph l’observa en silence, les bars croiser sur la poitrine, essayant de percevoir n’importe quel indice qui l’aiderait à se calmer. Si c’était effectivement des sorciers il ne répondrait plu de rien.

Quand Tarnis se releva il chancela un peut vers eux, et quand il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, il se plia en deux sous la crampe d’un vomissement. Zéleph soupira agacer. Il entendit Cruella se moqué de la petite nature qu’était leur magicien, avant que celui-ci ne réussisse enfin à parler d’une petite voix faible. « C’est… bien de la… magie noir… mais… mais… » « Mais quoi bordel ?! » Zéleph fit reculer l’alfa. « Laisse-le finir. » Tarnis repris sa respiration. « J’ignore d’où… ça peut venir… » « C’été utile, merci. » « Garde tes sarcasmes pour toi Cruella, s’il te plait. » Théo, pris de pitié pour le magicien, le pris par les épaules et l’éloigna des bêtes déchiquetés. Scaldis regarda Zéleph attendant de savoir s’il avait une quelconque idée, et très honnêtement le réprouvé n’en avait aucune. Ça ne lui plaisait pas de laissait les responsables en liberté, mais ils n’avaient pas le temps de faire une enquête. Il fallait prendre une décision, et bien sur c’était à lui qu’en incombé la tâche. Zéleph ne préférait pas déclencher une guerre alors, en se tournant vers les paysans il leur dit que c’était une maladie contre la quel ils ne pouvaient rien. Il fallait abattre les bêtes avant que cela se propage à tout les troupeaux. Bien qu’ils étaient tous déçu, ils acceptèrent l’idée. Le réprouvé se tourna ensuite vers ses camarades. « Faites se qu’il faut. »

L’étape suivante c’était s’occuper du dérangement potentiel. Zéleph ne perdit pas une seconde, il prit Séléna et la bascula par dessus son épaule pour le porté. Il valait mieux qu’elle ne soit pas là. Pour le bien de tout le monde, une fille hystérique ça n’était pas agréable a regardé. Il lui éviterait un certain embarra au passage. Il marcha le plus vite possible vers la maison, à l’autre bout du village bien sur. Quand il la reposa au milieux du salon, lui lui serra les mains pour la forcé à ne pas bouger, puis lui leva le visage vers le sien pour qu’elle le regarde. « Ecoute moi bien, tu peux m’en vouloir si tu veux, mais il n’y avait pas de temps à perdre. Ces animaux agonisent, ils ne se remettrons peut-être jamais d’une telle magie. Par fois il vaut mieux faire se genre de choix avant qu’il ne soit trop tard. » Il se demanda un instant si il parlait toujours des animaux. « Crois-moi, ça ne m’empêchera pas de retrouver les coupables et de leur tranché la tête. Seulement, pour le moment il faut arrêter le carnage. » Qu’elle comprenne ou non lui était égale, mais au moins elle avait son explication, ça lui donnerait une vraie raison d’être en colère contre lui au moins. « Pour se qui es d’un sortilège que je tes lancer, je suis peut-être un monstre, mais je ne suis pas un traitre. Si je dois avoir quelque chose je veux l’avoir totalement, sans supercheries. Pour finir, le sort des animaux n’a rien à voir avec les Dieux. Rien de se que tu peux faire n’a à voir avec eux. Si c’était le cas, crois-moi tu serais au courent. » Du genre les voir apparaître dans ton sommeille pour te hanter. Il lâcha prise et s’éloigna d’elle. Il préférait être honnête avec elle, c’était tout se qu’il avait a offrir enfaite. « Maintenant vas te sécher avant d’attrapé le mal. »

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Mar 19 Jan 2016, 15:52

Séléna plissa les yeux, visiblement mécontente du commentaire du Réprouvé. Elle ne l'avait pas fait exprès. Simplement, un moyen efficace d'arrêter la Magie Noire consistait à tuer celui qui avait lancé le sort. Plus de cause, plus de conséquences. Parfois, ça ne marchait pas, pour les sorts très complexes mais c'était un risque à prendre dans certaines situations. Dans tous les cas, elle ne comprenait pas pourquoi cet homme défendait les Mages Noirs. Quelque part, elle était certaine qu'il en avait tué un certain nombre, et pas que. Elle finit par soupirer, regardant ses pieds. L'herbe était belle ici et si elle n'avait pas aussi froid, elle aurait volontiers voulu s'y étendre et regarder le ciel pour oublier tout le reste. Seulement, quand elle entendit Shizuo parler aux paysans, elle comprit qu'il ne leur communiquait pas ses conclusions à elle. La mine de chacun faisait peine à voir. Elle allait intervenir, vraiment, mais le Réprouvé revint à la charge, la hissant sur son épaule comme un sac de patates. Le monde semblait différent de là haut, seulement, la situation ne lui convenait pas du tout. « Non ! Lâchez moi ! Vous n'avez pas le droit ! » fit-elle en abattant ses poings dans son dos. Elle était certaine que ça ne lui ferait ni chaud ni froid mais elle ne souhaitait pas se laisser faire de la sorte. « Lâchez moi ! » répéta-t-elle. « Je veux les aider ! Vous ne pouvez pas faire ça ! ». Elle n'avait pas besoin de comprendre un mot de Zul'Dov pour se douter de ce qui allait arriver. C'était injuste ! Elle ne voulait pas que ça se produise mais, pour le moment, elle n'avait pas d'autres choix. Se rebeller contre Shizuo était impossible, ses pieds ne touchaient même pas le sol.

Une fois dans le salon, sa colère n'avait pas baissé et les explications de l'homme ne firent qu'aggraver les choses. Aussi, elle ne répondit rien. Il aurait dit qu'il allait se mettre à danser qu'elle aurait eu la même réaction. Elle l'écoutait d'une oreille distraite, trop occupée à réfléchir. Elle était certaine qu'il s'agissait de Sorciers. C'était un sentiment si fort qu'elle ne pouvait l'ignorer. Quand il lui dit d'aller se changer, elle inspira, faisant apparaître un faible sourire sur ses traits. « Vous avez sans doute raison. Je vais faire ça. ». Elle tourna les talons et se dirigea vers sa chambre, y entrant. Contre la porte, elle regarda un moment la pièce. Il lui fallait une idée... Sans attendre, elle se précipita sur le lit, enlevant les draps. Elle savait parfaitement que ça n'avait rien de solide mais ça pourrait au moins réduire la distance qui la séparait du sol. Réunissant rapidement les draps, elle fit des nœuds approximatifs et les accrocha à un meuble. Elle aurait été plus à l'aise dans une autre tenue pour descendre mais tant pis... De toute façon, elle savait parfaitement qu'elle allait tomber. Elle fit basculer l'autre bout par la fenêtre qu'elle ouvrit un peu plus, enjambant le bord en tremblant légèrement. Elle avait peur, bien sûr, mais elle devait le faire. Elle retira le kimono de sur ses épaules, il la gênait plus qu'autre chose. Elle finit par prendre une grande inspiration, se laissant tomber un peu dans le vide. Heureusement, ce n'était pas très haut. Arrivée à mi-chemin, l'un des nœuds lâcha et elle se retrouva par terre, dans un massif de fleurs. « Aïe... ». La blessure que Shizuo lui avait fait la lançait et elle avait mal à la cheville. Il fallait juste qu'il ne la voit pas quitter le domicile maintenant. Restant baissée le temps de passer devant les fenêtres, elle se redressa une fois qu'elle fut un peu éloignée, se mettant à courir en boitillant vers l'enclos. Elle se fichait bien des conséquences. Si c'était des Sorciers qui avaient fait ça, c'était justement ce qu'ils voulaient : que les bêtes soient tuées. Ils riraient de la crédulité des Réprouvés et recommenceraient durant la nuit sans aucun doute.

En la voyant arriver, Théo souhaita l'intercepter, ce qui marcha bien au début. Regardant la main qui lui interdisait le passage, la jeune femme finit par s'avancer, mordant dedans de toutes ses forces. Elle n'était pas sûre qu'il ait réellement eu mal, quoi que, des dents, ça ne faisait jamais du bien, mais en profita pour passer, bousculant tout le monde pour se placer entre les bêtes et ceux qui voulaient les achever. « Je vous interdis de faire ça ! » fit-elle, essoufflée, écartant les bras pour montrer qu'elle ne plaisantait pas. D'accord, ça avait sans doute l'air ridicule. Elle n'était qu'une petite chose face à des gens qui l'effrayaient au plus haut point. Seulement, il était hors de question qu'elle ne se batte pas jusqu'au bout. L'odeur du sang remplissait l'air et lui retournait l'estomac mais elle était furieuse et la colère était sans doute le sentiment le plus puissant. « Vous savez très bien que ce n'est pas une cause inconnue ! Vous êtes des monstres ! Je vous déteste ! ». Elle n'avait aucune idée d'un plan d'action pour soigner les bêtes mais, à vrai dire, elle n'en eut pas besoin car sa magie s'occupa de faire disparaître la source du problème. Ces animaux ne devaient pas mourir. L'extinction commença à se répandre, annihilant les effets de la magie noire. Sans magie, il n'y avait plus rien à craindre. Séléna chercha un appui derrière elle. Elle se sentait mal. Sans force, elle était devenue aussi blanche qu'un cadavre et, finalement, elle se laissa juste tomber dans l'herbe, ses jambes ne la soutenant plus. Elle n'avait aucune idée de ce qu'elle venait de faire mais elle continuait à chuchoter des menaces pour ceux qui auraient voulu approcher. Presque aveugle à cause du sentiment de malaise de plus en plus fort, elle sentit bouger à côté d'elle. Les animaux étaient tout aussi faibles mais le mal avait disparu et ils survivraient. Ils semblaient déjà mieux, ils n'agonisaient plus. Il fallait juste un peu de temps pour que les choses rentrent dans l'ordre.

1016 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Sam 23 Jan 2016, 15:48

Que c’était-il passer ? Personne n’avait pu lui donner une réponse correcte et il était en colère. Très en colère. Le seul signe de son agacement venait de ses doigts, tapant nerveusement sur l’accoudoir de son siège. Sa tête reposant sur sa main, il fixait sans siller la masse immobile sur le lit de l’autre coté de la chambre. Quand il était arrivé, il l’avait trouvé à terre au milieux des autres complétement décontenancé. Tarnis avait essayé de lui expliqué se qu’il avait compris, mais ça lui avait déplu. Sans un mot il avait ramasser Séléna et l’avait ramené dans sa chambre pour l’allongé. Elle semblait épuiser. Il n’aimait pas ça. Il n’aimait rien de tout ça. Se mettre en danger pour des animaux ? Elle n’avait aucune idée de la valeur de ces bêtes à ses yeux, mais ça ne valait pas la peine de se mettre dans un tel état. Il se promis de ne plu jamais rien croire qui viendrai de sa bouche. Après tout ce fus la première règle à suivre avec Mitsuko, apparemment elles étaient plus semblables qu’il ne l’avait cru. Amusant non ? Zéleph soupira malgré lui. Voilas qu’il rentrait dans sa tête celui-là aussi. Souviens toi des mensonges, des trahisons, des manipulations, de l’ignorance et du mal qu’elle t’as fait. Il n’avait besoin de personne pour s’en souvenir. C’était gravé dans son âme, ça lui avait brisé le cœur plusieurs fois et cette fois il lui semblait impossible qu’elle puisse le recoller. Que cette Aether, quel qu’il soit ne s’en face pas. Plu jamais il ne la laisserait avoir de l’influence sur lui. Bien. La voix disparus. Devant la détermination du réprouvé. Il était difficile de douté.

Zéleph ignoré encore beaucoup de choses et il ne savait pas s’il voulait connaître toutes les partis de l’histoire. Se qu’il savait était simple. Il y avait bien réfléchi. Séléna était la partie mortelle de Mitsuko, d’une certaine façon c’était un cadeau. Pour lui. Seulement une seconde chance n’était pas envisageable. C’était terminer. Elle ne l’aurait pas comme ça. Se dérobé et lui envoyé un morceau de viande pour le calmé ? C’était une bête enragée, peut-être oui, mais un homme avant tout. Seulement ça elle ne l’avait jamais totalement compris. Elle l’avait toujours pris pour un imbécile et il devait admettre l’avoir trop souvent était avec elle, mais pas assez pour ne pas se souvenir de comment cela fonctionnait. C’était ça façon de faire, comme toujours. Exaspérante et présomptueuse.

Zéleph ignoré si Séléna dormait ou non, il espérait pour elle que oui. Se levant il alla chercher un verre d’eau pour le lui laisser sur sa table de nuit, avant de sortir en fermant la porte doucement derrière lui. Dans le salon il s’assit devant le feu qu’il venait de démarré à nouveau.

Il avait vu Scaldis, il lui avait dit qu’il faudrait partir maintenant que leur mission avait pris fin. Zéleph souhaité malgré tout trouvé les responsables et l’orisha n’était pas contre. Cruella serait ravis, personne ne pouvait en douter. C’était une bonne chose, ça lui changerait les idées, un peut de sang, c’était tout se qui lui manqué. Sortant l’épée gravé a son nom, il l’observa sous la lumière des flammes. Que lui restait-il du passer, que des regrets et de la douleur ? Ses doigts suivirent les courbes et les creux de la gravure. « Aren. » Le mot glissa entre ses lèvres. Oui, c’était approprié. Tout ça n’était qu’une question de possession. Loyaux, mais si traitre. Il aurait tué quiconque osant la touché, elle ne se serait pas gêné pour en faire de même. Souvent il c’était demandé si c’était vraiment de l’amour. Si ce n’était pas le gout du jeu qui les avaient poussés l’un vers l’autre. Le délice de faire quelque chose d’interdit. Se déchiré, hurlé de douleur et agonir de plaisir. Zéleph souri, nostalgique, ses yeux reflétant la brillance de l’acier. Ce besoin irrépressible d’en vouloir toujours plus. Cette force démesurée, ce désire incontrôlable qui prend sa source dans les plus bas instincts, jamais il ne le retrouverait. Ce doux cauchemar était terminé. On le lui avait volé et maintenant il était obsédé par l’idée de comprendre pourquoi.

Son cou le piqué, ça ne le déranger pas, cela lui rappelait simplement les fait. Si l’idée de Mitsuko était de lui faire croire que Séléna pouvait la remplacer alors elle insulté sa propre intelligence. Cette pauvre enfant, il la briserait. Peut-être, oui, peut-être bien que dans une autre vie elle aurait était tout se qui lui fallait. Adorable, mignonne, chaste, elle avait de quoi le faire craqué. C’était ridicule, parce qu’aussi délicieuse qu’elle pouvait être, elle n’était que le centième de se qu’il avait eu jadis. A cause de ça, il était difficile d’imaginer l’apprécier correctement. Séléna ressemblé à une petite chatte perdue. Elle était loin du dragon qu’il avait épousé. Il soupira, c’était même un peut stupide comme idée. Il c’était imaginer un quart de seconde qu’il pourrait peut-être en faire se qu’il voulait. La faire sienne dans tout les sens du terme. Créer la perfection. Sa perfection. Seulement elle n’était ni assez solide pour ça, ni assez folle. C’était mieux. Par se que oui, l’idée était stupide. Après tout il n’avait ni le temps, ni l’envie de porté un nouveau fardeau comme celui-là. Zéleph savait se qu’il devait faire maintenant. Se laissait porté par le courant et attendre que l’Aether à cause de qui il était là lui dise se qu’il voulait savoir. En attendant, il resterait lui même, mais se qui était certain, c’est qu’il n’y avait aucune chance pour qu’il succombe. Séléna n’était pas Mitsuko et Mitsuko l’avait abandonné. S’il devait faire quoi que se soit, cela se réduirait à une vengeance. Zéleph savait pourquoi l’Aether l’avait choisi. Il désirait certainement prendre un certain ascendant sur la déesse, et qu’est ce qui l’irriterait plus que de voir son ancien jouet être le bourreau de son reflet mortel ? Enfaite c’était plutôt amusant. Avec cette épée elle désirait surement qu’il prenne conscience des choses. C’était dommage, par se qu’il n’en avait plu rien à faire. Après tout, l’indifférence dont sa femme avait fait preuve en vers lui et ses sentiment était une raison suffisante pour à son tour ne plu rien en avoir à faire.

Le craquement du bois du plancher lui fit comprendre que Séléna c’était levé. Il ferma les yeux un instant se concentrant sur les seuls bruits qui résonner dans la maison. Derrière les crépitements du feu, il pouvait l’entendre bouger. Il rouvrit les yeux. Oui, il était en colère, mais pas assez pour ne pas savoir se qu’il avait à faire.


hrp : Désolé pour le retard j'ai était prise de court cette semaine u.u
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas
 

Elle s'appelait Nemencla - Séléna

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

 Sujets similaires

-
» Plus elle est défendue et plus elle est désirée... [PV Masha]
» Mors Tua, Vita Mea - Deux (Séléna)
» Une femme de chambre (Séléna)
» Mors Tua, Vita Mea - Séléna
» Chasse au Konchu (pv Séléna) /-18\
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le pouvoir du Yin et du Yang :: Zone RP - Océan :: Continent Naturel - Ouest :: Terres de Lumnaar’Yuvon :: Lumnaar'Yuvon-