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 Event Juillet 2015 | Groupe II | Les Masques d'Or

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Lun 27 Juil 2015, 03:22


Je remarquais que la sirène était partie dans ses réflexions, elle ne semblait pas croire qu'ils puissent agir de leur propre chef. Apres tout si elle les avait observé assez longtemps pour le savoir, pourquoi pas. Mais personnellement je n'écartais pas totalement cette possibilité. Pour moi rien n'étais impossible, il suffisait que l'un d'entre eux aille envie d'en faire qu'à sa tête pour avoir ce genre de résulta.
Par compte, la possibilité du traite était tout autant possible. Ca m'agaçais, j'avais déjà eu droit a ce genre d'individu pendant toute la durée de l'expédition, voilà qu'il y en avait un nouveau ici. Quand je disais que l'on ne pouvait vraiment faire confiance en personne. Mais je me demandais alors comment est ce qu'il avait fait pour prévenir les masques d'or. Avant la réunion? Mais dans ce cas, est ce que ce n'était pas qu'une rumeur encore. Pendant? N'étais ce là pas trop risquée? Mais ca ne servais à rien de se posé toute ces questions. La jeune femme semblait avoir les moyen de le faire parler, j'aimais bien sa façon de parler, de penser. Si seulement j'en avais plus des comme elle dans mes rangs.

On se dispersa alors, certain partirent pour échafauder un piège, moi je voyais là le moment idéal pour essayer de trouver celui qui comptais nous trahir. En effet, vu qu'il allait tout faire pour les aider, il vaudrait certainement les prévenir qu'un piège était en train d'être tendu pour eux. Il allait de ce fait certainement commettre une erreur. À moins qu'il se montre assez prudent pour ne pas la faire? Mais dans ce cas il prenait un risque de passez pour un traite envers les masques. Toutes ces théorie me fi comprendre qu'il ne devait pas être à son aise, hésitant, apeurée aussi peut être. Il me suffirait de faire attention n au comportement des autres pour savoir qui était le coupable.
Je commençais alors à me balader parmi les allié, enfin... observant à mon aise, tendant l'oreille aussi, car il pouvait aussi essayer de donner des idées pour le piège mais qui non seulement ne marcherais pas, mais en plus nous serait fatal. Mais je ne vis rien de tout cela dans un premier temps, tout le monde participais avec le même entrain, essayais réellement de trouver des solutions. Il y avait même une discutions sur qui allait les attirer. J'augmentais alors ma vigilance, car servir d'appât serais une bonne idée pour les prévenir, mais personne ne se proposa pour le moment. Les laissant à leur piège, je continuais mon inspection.

Je fini alors par trouver un homme accroupi derrière un tonneau, regardant au loin comme s'il n'attendait que l'occasion de s'y précipiter. Je l'observai alors un moment et quand il cru que plus personne ne faisais attention à lui, il se leva et avançais nerveusement.
M'approchant de lui, je l'attrapais alors par le bras. "Dit moi, tu va ou ainsi? Tu sais que l'ont à besoin de tout le monde? Tu ne conterais quand même pas nous laisser là sans donner un coup de main. " "Non, je... je voulais essayer de trouver des objets qui nous serait utile pour crée le piège. Ma maison est part là, j'ai des choses qui pourrait être utile, il faudrait juste que je puisse..." Ses propos pouvaient être assez convainquant. Seul problème pour lui, c'est que l'on ne pouvait pas me mentir. Je serai alors plus fort son bras. " Tu ment et ce n'est pas bon de mentir à un démon, encore moins de mon rang! Tu ne serais pas celui qui cherche à nous trahir quand même?" " Non, non je... laisse moi, je ne veux pas me jeter à la mort comme vous!" il réussi alors à se dégager de mon emprise et il se mit à courir assez vite. Je me lançais à sa poursuite et quand je le rattrapai enfin il essayait de me lancer un pique de glace. Je l'esquivai alors et continuais ma cours. Il avait alors essayé de rendre le sol glissante, mais Kiata n'avait pas tardé à faire fondre le tout en lançais des flammes devant moi que je pouvais contrôler à ma guise. Finalement je pu bondir et la plaquer au sol, mais il continuait d'essayer de fuir. Je me relevais alors en me tenant sur ses jambes et d'une pression de mes pieds, je lui brisais les os. Il hurla de douleur et jura. Heureusement qu'elle avait dit que l'important c'était en vie. Je l'attrapais alors par le col et le traina jusqu'à la sirène ou je le jetais à ses pieds. " En attendant les masque voici le traite."
Je m'éloignai alors pour voir l'avancement du plan de capture.


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Mer 29 Juil 2015, 22:39



J'avais écouter les paroles de la jeune femme avec la plus grande attention. Au  début, elle ne disait que ce que tout le monde savait déjà, toute les personnes présente devait déjà savoir qu'ils était mauvais et cruel, mais peut être qu'il était bon de le rappeler qui sait. Mais quelque chose m’étonnais quand même, elle avait essayer de leur parler ? Elle les avait donc approcher et pourtant elle était là devant nous ? Était elle une reine de l'évasion ou était ce simplement un coup de chance ? Elle pouvait aussi avoir une force que l'on soupçonnaient pas. Mais dans ce cas, pourquoi est ce qu'elle avait besoin de nous ?
Comme moi elle avait beaucoup de question, même si pour elle j'avais l'impression qu'il y avais certaine évidence. J'avais donc continuer d'écouter, m'asseyant entre les pattes de Ciryon en profitant pour me détendre un peu. Entourée de toutes ces personnes, je me sentais plus en sécurités, pour moi je pouvais enfin me détendre un peu. Même si je savais que c'était de courte durée, c'était toujours ca de gagner. Elle se disait pacifiste, mais le besoin de réponse était plus fort que sa façon d’être visiblement. Mais comment est ce qu'elle espérait vraiment que l'on y parviennent ?

C'est alors que quelqu'un arriva et commença a gueuler tout paniquer, nous étions encercler, les masque d'or était là. Je m'étais alors relever rapidement mon regard se posant sur celui qui avait pris la parole. Il parlait d'un architecte, que c'était lui qui les guidaient, qui les renseignaient. Mais comment ? J'avais peur, j'avais l'impression que jamais je ne m'en sortirais, que jamais cette histoire finirais, il valait mieux mourir maintenant que de fuir et espérée vainement survivre.  «Petite fille, ce n'est pas le moment de sombrer dans des idées sombre. Monte.» Je montais alors sur le dos de Ciryon et il se mis à galoper vers l’ouverture qu'avais fait un démon précédemment. Seulement, notre chemin fut barrer par un des masque d'or qui venait de blesser Ciryon a sa patte. Me retrouvant sur le sol, je du faire attention à ne pas me faire écraser par les personnes qui fuyaient.
Je vis que le masque d'or n’approchais de moi, l'arme à la main et prêt à l'abattre sur moi, a mes yeux c'était fini et personne ne pourrais me venir en aide. Mais l'homme fus soudainement éjecter sans que je comprenne pourquoi, je supposais alors que quelqu'un m'avait aider, même si je ne voyais pas c'était qui. Dommage j'aurais bien aimée la remercier.

Je retournais alors prés de Ciryon et un homme voulu me force à le laisser là.  «Tu va pas me faire croire que la vie de cet animal est plus importante que la tienne quand même ?» «C'est mon ami !» Mais l'homme ne m'écoutait pas, ce n'était qu'un animal à ses yeux. Il fini alors par abandonner l'idée de me traîner au moment ou Ciryon me disait à son tour de fuir et essayant de se relever. Boitant, il commença à avancer et je restais prés de lui. Jusqu'au moment ou une femme viens et posa sa main sur sa patte, je vis le sang arrêter de couler et Ciryon m'appris qu'il n'avait plus mal. «Merci.» Je ne savais quoi dire d'autre à cette personne qui m'avait compris et qui l'avait aider.
On continuais alors notre cours, essayant de faire de notre mieux pour ne gênée personne d'une part et de l'autre pour ne pas se faire avoir comme précédemment. Quand nous le pouvions on aidaient au mieux ceux qui en avait besoin. Finalement on réussi à sortir de la battisse, mais je savais que ce n'était pas encore terminer, on n'étaient visiblement à l’abri nul part. Je ne pouvais pas m’empêcher de me demander comment ils avaient su que nous étions ici. Est ce qu'ils avaient simplement écouter une rumeur ? Ils ne pouvaient pas être aussi stupide, car personnellement si j'étais dans leur cas, je n'aurais pas été croyant que c'était un piégé, un moyen pour qu'ils soient tous rassemblée au même endroit et enfin anéanti. Est ce qu'ils auraient vraiment pris le risque ? Au vue de leur puissance peut être finalement. J'étais inquiéte et j'esperais que nous aurions bientôt les réponses à nos question.

De plus, je n'étais visiblement pas la seul à me demander ce qu'il c'était passée, la prêtresse se posais le même genre d'inquiétude. Mais elle conclu rapidement au fait qu'un traite devais se trouver dans les environs, parmi nous. Je regardais autour de moi, effectivement c'était peut être ce qui était le plus probable. Mais qui et surtout comment le découvrir ? Surtout que nous devions aussi crée un piège en même temps.
Ne voulant pas vraiment m'occuper de lui, je m'approchais des deux personnes qui pensait faire tomber un bâtiment sur les masque d'or. C'est vrai que c'était ce qui semblait le mieux à faire, il fallait jusque que ca suffise. Mais c'était risquer. La jeune femme voulais utiliser une rumeurs pour attirer les masques, j'aurais aimer opter pour cette option aussi, mais si on écoutaient la prêtresse, ca ne suffirait pas, ils ne viendraient pas exactement là ou on le voulaient. De plus notre but n'était pas de rameuter tout le monde, mais seulement certaine personne. «Je crois qu'il est en effet beaucoup plus prudent d'essayer d'en attirer un, ils sont en train de nous chercher, enfin je suppose. Du coup ils doivent être séparer, ce serais logique en tout cas. Il nous serait donc facile d'en attirer un rapidement. De plus justement, on ne sais pas combien de temps une rumeur pourrait mettre à arriver à leur oreilles.» Sans doute beaucoup trop et pendant que nous perdront du temps ici à tenter  d'autre personnes continueraient à mourir. Combien était peut être morte sous la frustration de l’échec qu'il venait de subir, même si c'était plutôt un contre temps à leur yeux je suppose.
 «Dit moi, tu ne pense quand même pas...» Ciryon avait compris ou je voulais en venir, seulement je ne ferais rien s'il ne me donnait pas son accord, j'avais besoin de lui. «Tu est assez rapide pour les distancer si besoin dans les rues. De plus s'ils venaient à être trop prés, je pourrais le stopper provisoirement.» Je n'avais pas pris cette décision à la légère, je savais que je risquais gros, mais étrangement je ne voulais pas que quelqu'un d'autre prenne le risque, je voulais me rendre utile et même si c'était de cette façon, au moins j'aurais fait quelque chose. «Je vais m'en occuper, je trouverais un masque d'or et l'enmenerais à l'endroit choisi. Je vous previendrais par de la musique quand je serais a proximités. » J'avais alors sorti ma lyre pour leur montrée le son et je montais sur le dos de Ciryon.

On partit alors prudemment dans les rue de la ville, vaillant à ne pas tomber sur un groupe de masque d'or, je cherchais vraiment un masque seul. Deux à la limite mais pas plus. Mais pour le moment je faisais choux blanc.
Finalement après de longue minutes de recherche et d'angoisse, j'en vis un qui venais de comment un crime. Le cœur lourd, je me montrais au meurtrier. Aussi tôt il m'annonça que j'allais périr et se lança à ma poursuite. Ciryon fis alors rapidement demi tour et commençais a galoper a une vitesse qui lui permettais de mettre une assez grande distance entre nous, mais qui permettais au masque de croire qu'il pourrait encore nous rattraper. Malheureusement je n'avais pas vu qu'une autre masque d'or ce trouvais à proximités, ce qui obligeais Ciryon à acceptée, j'avais bien essayer de plonger le deuxiéme en lethargie, mais j'étais soit trop faible, soit il avait une résistance à ce genre de magie.
On arriva alors à proximités de l'endroit du piège. J’espérais de tout mon cœur qu'ils avaient eux le temps de mettre le piège au point et que tout ce passerais pour le mieux. Malheureusement ils seraient peut être deux, je ne savais pas si le premier qui m'avait pris en cours avait continuer sa traque ou l'avait laisser à son compagnon. J’espérais que c'était la deuxiéme option en tout cas. Je ne savais pas si ce serais vraiment arrangeant pour les autres qu'ils soient deux. J'encourageais alors mon ami, espérant que sa blessures même soignée nous permettrais de mener le plan à bien et sans qu'un de nous deux soient blesser. Quand on arriva sur le lieu dis, on se stoppa quelque instant pour qu'il vienne jusqu'à nous et sortir au dernier moment.

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Jeu 30 Juil 2015, 14:33



GROUPE II
Gaia – Milady – Samael – Eowin – Arion [Nausicaa]

« Pourquoi as-tu décidé de trahir la cause des tiens ? » D’un regard aussi froid qu’impassible, Mæthilda dévisageait avec sévérité et mépris l’homme aux jambes brisées que l’Impératrice Démoniaque avait trainé à ses pieds. L’esprit corrompu par la démence, l’homme riait. « Vous n’êtes que des imbéciles. Libre à vous de jouer la finesse et de mimer un semblant de réflexion : vous ne comprenez rien. Le pari que vous avez fait sur votre vie est perdu d’avance. Si vous saviez … Oh, si vous saviez contre qui vous vous battez. » - « Instruisez nous. » Murmura-t-elle doucement. « Non. Bientôt, la vérité se dévoilera d’elle-même et vous ferez la rencontre de l’Architecte. A ce moment, vous comprendrez. » - « Qui est-ce ? Qui est-il ? Révélez-moi son identité. » - « L’Architecte est tellement persuasif … Ses méthodes … C’était l’unique moyen de survivre. » - « Répondez. » Il sourit. « Vous allez avoir des problèmes. » La Sirène tourna légèrement la tête en entendant le bruit de la pierre qui s’écroulait. Le piège semblait avoir fonctionné. Quelques hommes tiraient des décombres la carcasse sanguinolente d’un Masque d’Or. « Apportez-le moi. » ordonna-t-elle, se désintéressant du traitre. Malgré tout, elle ressassait ses mots, cherchait un sens, une explication. Elle s’accroupit près de la dépouille. « Prêtresse, il serait peut-être plus prudent … » - « Je tiens à m’en charger personnellement. » Du bout des doigts, elle dessina les contours du masque. « C’est éblouissant de détails. » souffla-t-elle avant d’agripper la figure d’or pour la tirer et dévoiler le visage. Devenue pâle, elle fit courir ses doigts sur le cou du meurtrier, sur son torse. « Je vois. » - « Quoi ? Que se passe-t-il ? Qu’avez-vous trouvé ? » S’empressa de demander un jeune homme pour qui le suspense était insoutenable. Elle déchira la chemise bariolée d’un geste sec, dévoilant l’or qui se fondait peu à peu dans la chair. « Ils l’appellent l’Architecte parce qu’il s’agit de leur créateur, d’une personne dont ils idolâtrent les desseins. Ce sont ses créatures. Ils n’ont aucun visage. Ils n’en ont jamais eu. Il n’y a que ce masque … » Mæthilda ferma les yeux. « J’ai déjà vu ça quelque part. » Elle ne préférait pas trop songer à cela. C’était dérangeant. Une histoire de famille.

« Des Masques d’Or ! Je crois qu’ils sont furieux. Ils approchent. » Mæthilda esquissa une légère grimace. Ils n’avaient guère apprécié le traquenard ; c’était à prévoir. « Bien. Je crois que nous nous sommes suffisamment attardés sur ce continent. Il est grand temps de le quitter. » - « C’est impossible ! Ils nous en empêcheront. » - « Vous devez être conscients d’une chose : nous sommes devenus des ennemis de premier ordre. Ils nous poursuivront jusqu’à la mort. Je suppose qu’ils n’éprouveront même pas de fatigue à nous traquer puisqu’ils n’ont pas grand-chose d’humain. Nous devons partir. » - « Comment ? Pour aller où ? » Elle réfléchit un instant. « Il faut dérober un vaisseau. » - « Vous êtes complétement folle ! Prendre la mer est du suicide. » - « Rester vous assure la mort. Les côtes du Continent Dévasté ne sont pas si loin. C’est votre unique chance. » - « Notre ? » - « Je suis une fille des eaux. Je retournerai chez moi par le chemin le plus simple. » - « Le Continent Dévasté n’a jamais aussi bien porté son nom ! Il tremble sans cesse et les vagues le dévorent. » - « Faites ce qu’il vous plait. » Elle tourna les talons, suivie de près par les autres Ondins du groupe. « Vous ne pouvez pas rejoindre l’océan ! Les bêtes vont vous dévorer. » Elle hésita une seconde avant d’avouer : « Elles n’attaquent pas mon peuple. » Les Sirènes disparurent au détour d’une rue. Elles ne comptaient pas mourir à la place d’autres alors qu’une échappatoire leur tendait les bras. Elles n’étaient restées que pour les recherches. Au loin, quelques cris résonnaient pour s’arrêter avec brutalité. Les Masques d’Or arrivaient. A en croire la mélodie rythmée de leurs pas qui frappaient les pavés, ils étaient nombreux. « Au Port. » marmonna quelqu’un. Il leva la tête. « Passons par les toits. Il faut que nous arrivions avant eux. » Sinon, ils n’avaient aucune chance.

Mots : +730

EXPLICATIONS:

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Sam 01 Aoû 2015, 01:05

La chance semblait être avec nous, le traître suppose avait été démasqué et surtout le masque d’or avait fini sous les décombres comme prévu. Je n’attendais pas pour dégagés le passage pour pouvoir prendre l’homme masqué. Celui-ci semblait d’ailleurs plutôt dans un sale état, il ne semblait même pas capable de se défendre. C’était une bonne chose car, cela voulait dire qu’ils n’étaient pas invincibles mais juste effroyablement résistant. Il me suffisait donc juste de trouver le moyen d’avoir assez de force pour percer leur défense et vu que j’étais un démon, j’osais supposer que cette tâche ne devait pas être trop compliquée. Toujours était-il que je le prenais sans ménagement pour le conduire devant tout le monde pour le faire parler. Je savais que si on me le laissait seulement quelques minutes, je pouvais le faire chanter comme un rossignol. Mais je devais faire attention à ne pas trop me révéler. Je ne voulais pas qu’on puisse découvrir mon identité du coup, je préférais garder le silence pendant que d’autre le ferrait parler. J’observais donc dans mon coin la prêtresse démasquer l’homme pour ensuite nous expliquer que celui-ci n’était pas humain mais qu’il était une création que je préférais supposer de magique. Peut-être une magie du même genre que la nécromancie ?... C’était encore assez difficile à dire, pas assez de preuve et puis rien ne pouvait encore supposer que les sorciers pouvaient être impliqués vu que d’après les explications cela n’était pas de la nécromancie, sinon cela aurait voulu dire que les masques d’or étaient des morts revenu à la vie… Tout cela était encore bien flou, du coup je préférais ne rien dire pour l’heure et garder mes hypothèses pour moi.

Sans compte que comme on pouvait s’en douter la chute d’un bâtiment allait attirer les autres masque d’or et vu qu’on avait l’un de leur copain entre nos mains, il était facilement aisé de comprendre qu’on était devenu une cible de choix. La fuite était sans doute le choix le plus logique même si une partie de moi voulait rester pour s’amusé un peu avec tous ses types, je savais qu’une mort minable m’attendait si je m’attardais. Donc, je décidais d’opter pour la fuite, même si je n’aimais pas l’idée de me comporter comme un lâche. Je courais donc dans le sens opposer des masques d’or évidemment pour lors de ma course en rencontrer un qui avait réussi à non seulement avoir un peu d’avance sur les autres, mais à m’agripper par le flan sans que j’arriver à le voir. On se mettait à faire quelques roulades avant de se séparer pour qu’une fois debout, je puisse sentir une douleur au niveau du bassin. Une lame pénétrait ma chair alors que mon ennemi sortait une nouvelle lame. Rapidement et sans la moindre hésitation, je sortais la lame de mon corps pour la jeter au loin. La plaie était profonde et je saignais pas mal, mais ce n’était pas grave, je devais avant tout m’occuper de mon adversaire.

Un combat très bref, mais d’une violence extrême s’engageait. Je ne pouvais rester immobile à combattre, les autres masques allaient arriver d’une seconde à l’autre. Du coup mon premier assaut consistait à foncer sur mon adversaire telle un taureau en charge. Je l’agrippais au niveau du cou, alors que lui me poignardait plusieurs voir au niveau de l’épaule. Apres une petite série de coup de couteau, j’arrivais à agripper son bras pour l’empêcher de continuer alors que je continuais à courir loin des autres masques d’or. Certain mur semblait vouloir nous bloquer le chemin, mais tel un bélier, j’utilisais mon adversaire pour traverser les murs et bâtiment qui voulait m’arrêter. Le combat s’arrêtait au moment où on arrivait dans un endroit un peu plus dégagé et ou de toute mes forces je lançais le masque d’or le plus loin possible avant de dire :


Désolé mais je n’ai vraiment pas le temps de m’amuser une autre fois peut-être.

L’avantage d’être un démon était qu’on avait des ailes, je déployais alors mes ailes pour rejoindre le plus rapidement possible un navire sans me faire à nouveaux attaquer. C’était sans doute à cause de l’adrénaline que j’avais réussi à faire un exploit pareille car une fois à bord d’un navire, je m’écoulais dans un coin alors que je me faisais un bandage avec le peu de force qui me restait. J’avais perdu pas mal de sang et même si celui-ci était comme qui dirait maudit, j’en avais besoin dans mon corps pour survire… En tout cas, je l’avais échappé belle et j’allais avoir besoin d’un bon moment de repos une fois à Jucktion.


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Jeu 13 Aoû 2015, 23:48


L'homme que j'avais ramener n'étais pas vraiment bavard, il était persuadée que nous allions mourir, pauvre idiot. Non, pauvre dément qui c'était laisser envahir par la peur. Pour lui, il valait mieux tout abandonner plutôt qu'essayer de lutter, s'il savait à quel point je trouvais cela pitoyable. Je pris rapidement la décision de ne plus faire attention à ce qu'il disait. De toute manier c'était assez clair qu'il nous apprendrait rien, j’espérais seulement qu'elle le tuerait au lieu de le laisser s'en sortir comme si de rien n'était.
Je me demandais quand même pourquoi il disait que l'architecte était persuasif. Il ne devait pas être difficile d'impressionner un homme comme lui. Mais est ce que c'était vraiment le cas, quel moyen pouvait il utiliser et surtout s'il avait réussi à en faire convaincre un, il pouvait très bien réussir pour d'autre. Je crois qu'il me faudrait rester sur mes gardes, je n'avais pas envie de tomber sur un autre traite, j'en avais assez bouffer pour le moment.
Quand un bruit d'effondrement se fis entendre, je me retournais rapidement, craignant que ce soit les masque d'or qui soit arriver à nous rattraper, mais finalement il semblerait que les autres avaient réussi à crée un piégé assez efficace, mais certainement dangereux je présume. Je restais alors prés de la prêtresse, je voulais voir le visage de ceux qui nous pourchassait depuis des jours maintenant et j'attendis qu'il arrive.

Il était en piteux état, en même temps même moi je ne sais pas comment je serais si je venais à me ramasser un bâtiment sur la tronche, quoi que je crois que je m'en sortirais mieux que lui malgré tout. La prêtresse s’occupait alors de lui ôter son masque, elle semblait surprise et fini par déchirée sa chemise. De l'or s’entremêlait à la chaire, aucun visage, juste ce masque comme elle l'avait dit. Quelque par j'enviais l'architecte, lui qui savait crée une tel armée, puissante et résistante. Si je ne craignais pas qu'il me poignarde dans le dos, je chercherais peut être à faire une alliance avec lui qui sait. Cependant je doute qu'il accepte vu que son but est d'exterminée tout le monde sans exception.
J'avais temps de question à posée à notre endormi, j'avais aussi envie de l’emmener pour l’étudier, peut être que quelqu'un parmi les démons arriveraient à l’étudier et a en faire une sorte de copie ? Mais est ce que l'un des nôtres avaient assez de puissance ? J'en étais pas certaine. Mais toujours est il que nous n'en savions pas plus sur l'architecte.

Mais on avaient plus vraiment le temps de se posée des questions, les masques d'or avaient certainement entendu la chute du bâtiment et de ce faire savaient ou nous trouver. Nous ne pouvions pas rester ici, il nous fallait partir et vite. Mais par ou ? La prêtresse nous parla alors de prendre la mer, les vagues se seraient elles calmer ? Pour elle c'était simple, elle comptait reprendre la voix de l'océan et elle n'avait pas tord. Pour certain c'était de la folie, mais c'était aussi notre seul chance. L'idée fut alors de passée par les toits. Je grimpa alors rapidement sur la façade et restais prudente, je n'étais pas certaine de leur solidités et je n'avais pas envie de justement tester ma résistance à me retrouver sous une maison ensevelie.
Je sautais de toit en toit, esquivant les quelques débris qui s’écroulait de ci et là. Je pouvais voir le port un peu plus loin et continuais ma route. Si seulement je pouvais volée, ce serais tellement plus rapide pour moi et je n'aurais même pas a prendre le risque de monter sur un des rares bateau encore debout. Eux non plus je ne pouvais être certain qu'ils tiennent la distance, mais comme elle l'avait dit, les prochaine côtes n'étais pas très loin et il valait mieux tenter ca que de rester ici.
Finalement j'arrivais sur le bateau dans les premiers, ma capacités à me coller au parois m'ayant permis a devoir moins faire attention de ce que j'aurais cru. On du attendre que d'autre personne arrive et finalement le bateau pris la mer. À chaque grosse vague, j’espérais que la coque tienne et dés que je pu reprendre le chemin des air, je m'envolais, hors de questions de rester avec eux. Je retournais alors au enfers pour réfléchir à ce que j'avais appris aujourd'hui et en informer les autres.

793 mots
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Jeu 13 Aoû 2015, 23:59


Mon cœur battais, je savais que le masque d'or n'était pas loin et je savais aussi que nous n'avions pas le droit à l'erreur. Finalement quand j’aperçus le reflet dorée entre à l'intérieur du bâtiment, je demandais à mon ami de se diriger rapidement vers la sortie. Le masque continuais alors sa lancer et se trouvais plus au moins au centre quand je passais a cotée de ceux charger de faire chuter le bâtiment. Je regardais alors ce dernier s'écrouler sur lui même et me demandais si on avaient pas été un peu trop fort. Car elle le voulait vivant, hors je n'étais pas certaine qu'il puisse réellement survivre a quelque chose comme ca. Enfin, ils nous avaient montrée à plusieurs reprise qu'ils étaient assez résistant, donc je supposais qu'il n'y avait pas grand-chose à craindre.
Quand la poussier fut retomber, on le dégageais alors des décombres et on l’emmena à la prêtresse. Celle ci semblait avoir questionnez le traite qui avait été trouver, mais visiblement les réponses n'avaient pas vraiment été concluante. Dommage, je voulais tellement en savoir plus, savoir si on avaient vraiment une chance de faire quelque chose et surtout savoir si tout ce qu'il ce passait allait bientôt s’arrêter. Heureusement pour nous, il nous restait encore le masque d'or, on en apprendraient peut être un peu plus avec lui.
Cependant, alors qu'elle venait de lui ôter son masque, je fus surprise de comprendre qu'il n'avait pas de visage, de simple création contre nature. Ca ne devrais pas exister. Maintenant le fait qu'ils étaient fait d'or expliquai pourquoi ils étaient aussi résistant, pour les vaincre il nous suffisait seulement de trouver ce qui pouvait percer l'or, ou encore demander à quelqu'un contrôlant parfaitement le feu de les faire simplement fondre. Mais était ce vraiment suffisant ?

Le problème, c'est qu'il ne pu pas nous apprendre grand-chose d'autre. Il n'était pas encore réveiller quand des bruits de pas se firent entendre. Je me figeais alors un moment, me rendant compte de la bêtise de notre plan. Nous avions réussi à rester discret jusqu'au moment ou nous avons fait tout ce vacarme et voilà le résulta. Nous seulement nous étions repérée, mais en plus il y avait fort à pariée qu'il n'était pas vraiment ravis de ce que nous avions fait.
La prêtresse nous expliqua alors rapidement que nous allions devoir prendre le chemin du port pour essayer non seulement de prendre un bateau qui était encore capable de naviguer, mais l'éloignée assez des côtes avants que les masques d'or nous rattrapent. Ca me semblait tellement impossible, mais en même temps est ce que nous avions beaucoup de solution ? Je craignais que non.

Je sautais alors une nouvelle fois sur le dos de Ciryon, j’espérais qu'il serait encore tenir assez pour nous sortir de là, je savais que je lui en demandais beaucoup pour le moment, mais on avaient pas le choix.  Sans lui je ne serais certainement plus de ce monde. Mais en même temps sans moi il ne serait pas de ce merdier. Quelque part je m'en voulais de lui imposer tout ca.
Il se mis cependant à galoper sans broncher, quelqu'un nous avaient dit de passée par les toits, mais il était clair que ce n'était pas possible pour lui, c'était beaucoup trop risquer avec ses sabots, enfin encore faudrait il qu'il sache monter aussi. On passaient alors tout les deux dans les ruelles, priant que sa vitesse nous permettrais de distancer les masques.  «Petite filles, on va faire un détoure.» «Hein ! Mais pourquoi, nous n'avons pas de temps à perdre.»  «Je sais, mais avec le fait qu'ils passent tous par les toits, ils seront peut être plus focaliser sur eux. Du coup on va en profiter. Et puis ne crains rien, je suis rapide n'est ce pas.» Il se voulais rassurant, mais en même temps il n'avait pas tord, c'était ceux qui passait par les toits qui était le plus rapide et du coup ils faisaient une parfaite diversion. Il passait alors par les chemins qu'il avait sans doute repérée pendant que nous nous cachions et on fini par sentir l'océan tout prés. Mais le détour, s'il nous avait permis d'éviter les masque d'or, nous avait malgré fait perdre du temps et c'était avec horreur que je vis le bateau s’éloigne. Je croyais que c'était perdu, mais Ciryon m'ordonna de m'accrocher et il accéléra, je sentis finalement le vent dans mes cheveux et il sauta. Ce fus alors de justesse qu'il atterri sur le pont sous le regard surpris de ceux qui s'y trouvais. Mes yeux se posèrent alors sur les masques qui étaient arriver au port. On avaient réussi, mais je savais que tout n'était pas terminer. Aussi tôt arriver sur le continent, je partis en direction du berceau cristallin, je voulais allez en Aeden pour ensuite partir le le continent naturelle.
862 mots
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Event Juillet 2015 | Groupe II | Les Masques d'Or

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