La lune brillait d'une profonde couleur de résonance blanche. Les nuages entourait le ciel comme si l’infiniment grand ferait mauvais présage. Le vent soufflait d'une faible allure sur les arbres, comme si les feuilles mortes n'étaient pas prêts à tomber. La brume s'imposait dans le cimetière, près d'une ville se situant dans le continent du matin calme. Namus était allongé sur de la pierre, finement sculpté par l'un des artisans de la ville. Imaginez un être insignifiant s'allongeant sur une pierre qui a demandé des heures de travail, de la fatigue et de la sueur. Namus ne ressentait rien de cela et s'en fichait éperdument de celui qui à crée cette pierre. Le compagnon reflet vagabondait dans les alentours et explora les recoins un à un. De nombreuses pierres tombales était présentes, sculptés aussi de différentes manières mais n'ayant pas d'aspect particulier rendant la tombe unique en soi. Seuls les plus grandes figures du monde du Yin et du Yang pouvait prétendre à ce genre de monument, dieux et aetheris compris.

Namus lui, était un sorcier, pas forcément un vrai sorcier mais il n'avait pas la carrure symbolique qui représentait le courage, la force et la domination. Le sorcier était un cloporte comme les autres, une personne insignifiante aux yeux de la société. Il n'avait pas hérité d'une grande ligné de sorciers mais même une personne insignifiante peut devenir au fil du temps, une personne importante qui aurait la possibilité de changer l'histoire du monde du Yin et du Yang pour l'éternité, sauf si les dieux et aetheris essayèrent d'en décider autrement. Le sorcier, toujours allongé sur la pierre sculpté, pensa à la guilde des voleurs auquel il a perdu la trace. Jaman, le dit-chef de la guilde des voleurs laissa une trace importante dans la mémoire de Namus Mileth. Il voulait savoir à tout prix pourquoi il est parti avec sa bande sans prévenir. Une ombre s'approcha doucement de Namus en essayant de faire le moins de bruit possible. Le sorcier grimace avant de lever les yeux qui une personne dit :

L'apprenti sorcier fait une cri d'effroi. Les corbeaux envolait depuis l'arbre où elles étaient perchés et Namus roulait son corps vers la droite avant de tomber dans un trou rectangulaire, peu profond. La personne s'approcha puis révèle sa forme initiale. C'était une blague de Alain Connu. Le corps entier du sorcier tremblait mais sa pensée n'exprimait aucun regret, ni haine, ni mot. Le sorcier restait au fond du trou, inexpressif, dépourvu d'attirance et de style. Namus portait une fine tenue de lin noir, assez grande pour se dissimuler dans la noir mais dépourvu d’éléments pour tenir la personne au chaud. Alain Connu tendait la main vers le sorcier pour le ramener à la terre des vivants comme celui des morts.

Les deux individus avait repérés un caveau au loin, un nom était gravé sur la roche mais complètement illisible. Un homme gardant l'entrée du caveau était stationné devant la porte blindée. Il s'approchèrent sans le moindre doute, prêt à pouvoir attaquer au moindre faux pas de la future victime. Cependant, l'homme d’allure pâle, les veines rouges visible sur son visage comme sur son corps entier, d'un manteau sombre épais était lui aussi prêt à dégainer mais dès qu'il s'observèrent de plus près, une similitude s’installe et l'homme dit :

L'homme doutait encore une fois à l'apparence de Namus, comme si il était pas prêt à recevoir des enseignements ou des conseils. Le sorcier s'éloigne du caveau, une mine neutre comme si elle était à la fois content et désespéré à la fois. La balance penchait équitablement. Alain Connu devenait plus discret et suit dans l'ombre le sorcier qui partait tranquillement chercher des informations à la taverne.