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 Amères Retrouvaille [PV - Zéleph]

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Jeu 08 Aoû 2013, 11:24


Ses pas sont lents et légers, il rumine dans le silence de l’aurore. Le soleil commence à zébrer l’horizon de multiples nuances allant de l’orange à des teintes roses pâles. Sa respiration est mesurée et sa rage contenue. La voix de Faust se fait lointaine et il ne cesse de se tenir éloigné de ces pensées malsaines qui parcourent son être. Il ressent le manque et ne peut rien faire contre mais demeure vivace, il n’est pas encore résigné et ne le sera certainement jamais. La vie dans son acharnement à continuer à lui prendre le peu d’être cher qui lui restait. Maëlys est morte et Bjorn ne pourra plus jamais marcher. La Reine des Cieux semble être le dernier vestige de ce temps qui semble maintenant si lointain…Ce temps ou la gloire et le respect du combat semblaient toujours exister.

Depuis la fin de la destruction il se tient éloigné des affres politiques dans lesquelles demeure sa race. Un nouveau Roi énigmatique semble avoir pris place sur le trône. A quel prix ? Une nouvelle fois sa race demeure l’égide de la destruction, les Sorciers demeurant en soit la source des malheurs qui ont balayés le monde. Orion, Jun et tant d’autres. C’est dans ce nouveau souffle qu’une nouvelle ère commence, une ère fragile et incertaine. Malgré tout, ces pensées, son être ne sont tournées que vers Elle. Elle n’est plus là, ne demeure plus en ce monde, semblant avoir disparue. Et sa disparition le ronge, peu à peu c’est un gouffre dans lequel il s’enfonce.  Demeurant loin de tout pendant ces longs mois, il réapparaît pour retrouver ses fondements. Que sont devenus le peu de ceux qui restent ? Après tout le vent de destruction qui a balayé le monde semble ne pas avoir frappé uniquement les structures et la terre, il semble que certains êtres aient obtenus leurs pesants de cicatrices. Comment allait-il retrouver la Roi des Réprouvés. Plus encore qu’un Roi un ami, un frère.  Ce monde semblait avoir continué son chemin, n’attendant personne et marquant chacun dans sa propre mesure. Comme une ode de gloire perdue et de combat perdu d’avance…

Ses bottes s’enfonçaient dans le sable alors qu’il parcourait la plage. Les embruns marins martelaient ses narines alors que le ressac s’agitait sur la berge. Il n’y avait personne quelques badauds au loin semblant hors du temps. Il s’immobilisa et embrassa du regard l’horizon, ce n’était plus la tristesse qui caressait son âme d’une douce étreinte, c’était maintenant la colère qui brulait en lui. Malgré tout cette colère bienvenue, demeurait verrouillée au creux de son cœur. Aujourd’hui il fallait qu’il retrouve la mesure de son combat et ce n’était pas une épaule compatissante qu’il cherchait. C’était une voie, il avait besoin d’un objectif, besoin de quelque chose. Zéleph avait été un modèle et plus encore l’incarnation de ce que Valkan ne serait jamais. Ils c’étaient jurés de porter leurs fardeaux mutuelles et peut être qu’à cet instant cette retrouvaille serait porteuse de plus de choses que le sorcier espérait. Il se posa dans le sable avec lenteur, appréciant la chaleur résiduelle du sable et se laissant bercer par les vagues dansantes. Il ne c’était pas forcément donné rendez-vous, les deux hommes allaient simplement se croiser. Il l’attendrait, oui, il l’attendrait. Demeurant immobile, les yeux perdus dans le vague, Valkan avait une certaine impatience à revoir Zéleph…Qu’était-il devenu…La question murmuré au gré du vent se mura dans un écho silencieux…La réponse ne serait tarder.
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Dim 11 Aoû 2013, 18:11


Le soleil commencé lentement à décliner. Il blâmer de ses grand rayons les pauvres mortelles victimes de sa splendeur. Zéleph se laisser guider par ses pas, sous cette chaleur de fin de journée. Son esprit était vide. Vide de penser et de souvenir. Il avait choisie de ne plus souffrir du passer. A quel prix ? Ce qu’il vivait chaque jour était une nouvelle torture. C’était pourtant son devoir de ce tenir debout malgré tout. D’être le titan que son peuple acclamer. Il semblait ne pas avoir le droit d’être torturé par les derniers évènements, et faisait son possible pour en donner l’impression. Impassible, et pourtant acculer par la souffrance. La rage brûlé en son peuple. Cette incendie déclaré par la guerre et le sang, ne se terminerait qu’ainsi pour les siens. Lui avait une vue bien plus personnel. Il connaissait. Savait ce qui était arrivé. Seulement où était passé Jun ? Le responsable de cette catastrophe ? Le lâche avait fui maintenant que son futur avait était bouleversé. Cela le rendait malade. Il n’y avait donc aucune justice ? Le Dovahkiin soupira. Au fond il ne pouvait empêcher son esprit de s’enfoncer dans ce genre de réflexion dangereuse. Il avait vu ce futur. Ce futur où il serait pire que le dernier monstre. Il n’avait rien à envier à Jun lors ce qu’il repenser à ce terrifiant reflet. Le chao n’aurait pas lieu. L’empereur noir stoppé dans ses noirs dessins. Seulement qu’est-ce qui lui assuré que son futur ne serait pas aussi déplorable que le Zéleph qu’il avait vue ?

Le réprouvé sortit de sa besace son tabac pour ce roulé une cigarette, puis il l’alluma avant de sentir son pied ce poser sur le sable. Il était sur la plage, enfin. Ses yeux carmins ce levèrent sur l’horizon. Le vaste océan était calme. Cette impression que rien ne pouvait bouleverser la plénitude de ce titan. S’approchant des vague, il resta un instant à contemplé simplement cette paisible beauté, avant de reprendre son chemin le long de la plage. Il l’aperçu sans mal. Valkan. Jetant du bout des doigts sa cigarette d’un air désintéressé, il le rejoignit. La confiance d’un réprouvé était chose rare et précieuse. Il n’y avait certainement rien de plus difficile à acquérir chez un homme que chez ce peuple. Pourtant, une fois acquit elle semblait sens faille et éternel. A l’inverse, faire confiance à un sorcier était à proprement parler, du suicide. En ces temps il était encore plus certain que ces deux faits étaient pires encore. Malgré tout, Zéleph voulait encore croire en ses amis, Adam ou Valkan lui avait toujours prouvé leur fidélité. C’était bien les deux seul sorciers qu’il n’avait jamais croisé qui mériter son intérêt.

Arriver devant le sorcier, le seigneur des deux rives sourit légèrement. « Tu sembles bien pensif pour une tête creuse. » L’humour y était, mais pas le cœur. Il en était bien navré, mais il était fatiguer par les morts et hanté par son destin. Peut-être l’inverse. Il ne savait plus très bien où il en était.

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Lun 12 Aoû 2013, 13:41


Une tête creuse hein ? Zéleph…Ca faisait un moment que les deux hommes ne c’était pas croisés. Plus encore aucun des deux ne savaient réellement ce qui c’était passé. Valkan note la réplique sans joie que le Seigneur de Deux Rives lui avait lancée. Une multitude de questions se bouscula. Le Soleil Noir soupira puis tourna son regard doré vers la haute stature de Zéleph. Un sourire naquit sur ses lèvres, au fond de lui, cela faisait du bien de voir cet homme. Ils avaient beaucoup partagé tous les deux et malgré cette opposition latente entre eux, de par leurs races, de par leurs essences, le lien qu’il partageait semblait être à la hauteur face à beaucoup d’épreuve. Un lien indéfectible qui était là, toujours là…
Le Sorcier n’avait pas choisi la plage par hasard à vrai dire, il voulait présenter quelqu’un à Zéleph. Je pensais à toi justement Zél. Je me demandais ce que tu étais devenu. J’ai suivis de loin ce qui s’est passé et…Valkan se tut. Que pouvait-il dire ? Qu’il était désolé pour la guerre et pour les morts ? Il était idiot de penser que Zéleph avait besoin de ménagement. Les mots étaient toujours francs et sans artifices dans leurs échanges, le Sorcier n’allait pas commencer à minauder. Surtout pas avec cet homme. Je vais prendre le trône Zéleph, je suis en marche. Avant que tu dises quoique ce soit, j’aimerais simplement te dire que je suis désolé. Il n’y avait pas besoin de dire autre chose, Zéleph comprendrait la portée de mots du Sorcier. Tout du moins Valkan l’espérait et le croyait. Il allait continuer quand deux silhouettes émergèrent au loin. Une femme et une enfant approchaient lentement vers eux. Elles étaient en avance. J’ai quelqu’un à te présenter Zéleph.

Avalya fixait les deux hommes de loin. Son sourire immatériel sur ses lèvres. Son fils suivait son chemin et il n’en serait jamais autrement. L’orisha arriva bientôt vers eux. Sa main tenait la main de cette petite fille qui marchait à ses côtés. La petite fille en question était jeune, et elle ignorait encore tout ce qui je jouerais ici. Tout autant qu’elle ignorait tout de ces parents. Tout de son père qui était là, devant eux. Arrivé à proximité d’eux, la femme aux cheveux d’argent, dans cette beauté immortelle de la vieillesse, afficha un sourire puissant et lumineux, elle dégageait toujours cette force tranquille. Elle effectua un léger signe de tête et avant qu’elle puisse ouvrir la bouche, la jeune fille à ses côtés ouvrit la bouche et lança un « Whouah » significatif. Valkan c’était tendu, cela lui faisait toujours un pincement au cœur de voir sa fille, sa propre fille…La rage en lui tenta une percé mais il se contenta de sourire. Aya était introuvable et la situation paraissait si irréelle. L’océan face à eux, et le sable sous leurs pieds, image innocente et pourtant … La jeune fille s’approcha de Valkan et Zéleph et fit un sourire timide. Salut ! Bon sang c’est vraiment vous le Seigneur des Deux Rives, le Dovahkiin ? Je ne sais pas si je prononce correctement mais c’est trop super !  Ma grand-mère me raconte souvent des histoires avant de dormir et vous êtes un héros ! Sa voix bien que fluette était mélodieuse et envoutante. Elle parlait vite et gesticulait tout en parlant. Elle paraissait excitée comme une puce. Lexy ! La voix d’Avalya coupa nette son excitation, elle n’avait pas haussé le ton, simplement parlé avec cette tranquillité qui semblait émanée d’elle avec continuité. La jeune fille fit la moue mais s’empressa de réagir. Euh…Désolée je suis Lexy. Et là c’est ma grand-mère, Avalya. Lexy avait notifié Avalya d’un geste de la main, l’intéressée fit un léger signe de tête au Seigneur des Deux Rives. Lexy était d’une beauté profonde, des cheveux noirs bouclés descendaient en cascade jusqu’à ses épaules, sa peau était halée, ni trop claire, ni trop foncé. Quelques formes étaient déjà visibles et annonçait déjà qu’elle serait une femme désirable. Les courbes de son visage étaient parfaites, harmonieuse, ses yeux d’un bleu azur profond, si profond…Et l’innocence était là, une innocence qu’Avalya avait su protéger en sacrifiant beaucoup. Le Sorcier se mit à réagir. Hey ! Tu ne fais pas de bisous, petite effrontée ? Lexy s’empourpra une seconde et s’approcha de Valkan, celui-ci se pencha assez pour avoir un bisou sur la joue et se redressa juste après. Le cœur lourd de tellement de choses, il jeta un regard à Zéleph. Il était certain qu’il allait certainement deviner qui était cette fille…
Lexy se mit à sourire et s’approcha de Zéleph. A ce qu’il parait vous êtes le plus fort mon Seigneur ! C’est vrai ce qu’on raconte ? Hein, dites-moi s’il vous plait. Valkan leva les yeux au ciel, un sourire amusé sur les lèvres. Avalya posa une main apaisante sur l’épaule de Lexy. Elle était réellement pleine de vie…

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Mar 13 Aoû 2013, 16:28


Le seigneur des deux rives leva les yeux ailleurs, montrant par son silence qu’il était inutile de parler de cela. La guerre était un fléau. Cela n’apporterait que la discorde de s’épancher.  Zéleph accepté l’amitié du sorcier car il le connaissait et il avait foie en chaque être ayant prouvé leurs valeurs, seulement rien n’empêcher la rage animal de reprendre ses droits sur la nature humaine. Prendre le trône ? Les yeux du souverain s’assombrir. Voulait-il ce faire tuer ? Il semblait que la place de l’empereur noir est toujours connue une malédiction. Zéleph n’avait aucun doute sur les capacités de Valkan pour assoir son pouvoir sur ce peuple d’hyènes enragé. Il ne le dissuaderait pas. A quoi bon. Les yeux du sorcier refléter une conviction inébranlable. Peut-être son ami deviendrait-il fou comme tous les autres. Dans ce cas-là, il le sauverait de sa folie. Il en faisait le serment. Même si cela voulait dire le tuer. Il l’avait déjà juré, c’était lui qui devrait le stopper. Zéleph resta muet, fixant le sorcier le visage figé. Il était blasé par le pouvoir qui rendait fou le monde autour de lui. Etait-il le seul à être terrifier par toute cette puissance qui ronge chaque homme, comme de la gangrène. Préférant garder leurs membres putréfiés plutôt que de s’amputé de leurs forces, par mégalomanie.  Non le seigneur des deux rives n’en avait rien à dire, qu’une promesse silencieuse de garder la démence loin de Valkan, comme il avait vue celle qui bruler dans les yeux de Jun et d’Orion avant lui.  

Automatiquement Zéleph ce redressa alors même qu’une nouvelle présence ce faisait sentir. Deux pour être exacte. Une essence bien plus simple que l’autre. Le roi leva les yeux vers l’endroit que regarder Valkan. Une femme et un enfant. Les promenades au bord de la plage n’était pas peut courante, le seigneur des deux rive n’y prêta pas réel attention, jusqu’à ce qu’il entende la voix du serpent résonner a son oreille. Le réprouvé ce raidit a l’approche de la femme et l’enfant, baisant un regard plus froid qu’il ne l’aurait voulu a l’assemblé. Il ne savait pas ce qui se passait et tout cela lui paraissait tellement étranger qu’il préférait encore ne pas y prêter plus attention. La gamine s’adressa a lui, et le roi ce crispa, levant les yeux vers Valkan pour savoir si c’était une blague ou si il chercher à le tuer. Les enfants. Il apprécier ses petits êtres au futures encore incertain. Cette innocence, cette naïveté. Il avait toujours était très aimer par les gamins et leurs rendait, bien qu’un peut gauche et maladroit avec eux. Seulement, en son cœur dévasté rester les cendres d’un chagrin inconsolable. Meurtre causé par Jun, l’ancien seigneur noir. Valkan cherchait-il à le provoquer ? Dans tous les cas, Zéleph ne fut pas aussi avenant qu’il aurait pu l’être autre fois en vers cette jeune demoiselle. Il regarda cette scène aux abords touchant avec une profonde indifférence, le cœur engourdit par trop de mal. Sans répondre aux questions de la jeune Lexie, il la jaugea, s’adressant alors à Valkan. « La fille du futur empereur noir et de la reine déchu. Tss… M’arracher les tripes ne me donnerais pas plus de dégout. » Peut-être était-ce un peu violant comme dire, mais Zéleph avait la particularité d’être franc et honnêtes avec tout le monde. Hors Valkan savait ce qu’il avait pensé de sa relation avec Aya, qu’il trouver pire que ses prostituer pour faire la même activité sans avoir l’intelligence de ce faire payer.

Que Valkan en soit froisser, la gamine traumatiser, il n‘en avait que faire. C’était à force de fabriquer des gamins n’importe comment et sans ce soucié de la vie future que l’on fabriquer à des gens comme lui qui souffrait toute leurs vies. Il était réprouvé, un batard, un monstre. Il savait mieux que personne ce que cela faisait d’être le fruit d’un amour idiot et instable. D’un sentiment éphémère et de deux êtres incapable de penser au conséquence de pareils jeux. Non en tant que Dovahkiin il ne pouvait pas se réjouir d’une telle horreur.

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Mar 13 Aoû 2013, 17:19


Valkan fut surpris par la réaction de Zéleph. Il était….Différent. Ne comprenant pas, il ne réagissait pas tout de suite.  Et Zéleph parla. Ce fut comme si le temps se mit à ralentir. Avalya garda son sourire mais ses yeux crépitèrent d’une lueur étrange, Valkan écarquilla les yeux et Lexy…La jeune fille ouvrit la bouche en grand. Et l’espace de quelques secondes quelque chose se brisa. Les yeux bleus azur de la jeune fille se tintèrent d’une couleur or étrange et un sursaut de pouvoir crépita. Très léger et surtout très sombre, ce pouvoir latent apparut l’espace d’une seconde et repartit aussi vite. Lexy de par ses gènes avait un énorme potentiel magique, mais le problème ici ce n’était pas cela. C’était que…Je pensais que vous étiez un gentil Dovakhiin mais en fait vous êtes aussi méchant que…Les larmes de la jeune fille perlèrent aux coins de ses yeux immenses et choqués. Vous êtes aussi méchant que ceux qui ont tués mes parents ! Je n’ai pas de parents ! Vous êtes un menteur ! Méchant ! Lexy se mit à pleurer et tournant les talons, commença à courir en direction opposé de Zéleph et Valkan. Valkan instinctivement voulut s’élancer à sa poursuite mais Avalya le coupa dans son élan. Je vais lui parler, tu as besoin de discuter avec cet homme qui semble avoir le cœur meurtri, Valkan. Quant à vous cher Seigneur des Deux Rives, sachez que c’est au cœur de la plus grande adversité que les hommes sont amenés à donner le meilleur d’eux-mêmes. Sans un mot de plus elle s’éloigna de sa démarche gracieuse vers la jeune fille qui continuait à courir.

Le Sorcier aurait dut exploser, se montrer violent pour ce que venait de faire Zéleph. Pourtant il n’en fit rien. Ils étaient à présent tous deux sur la plage, seuls. Valkan laissa le silence perduré quelques secondes. Je te reconnais plus Zéleph, pendant des mois on ne s’est pas parler et je pensais que ça t’égaillerais un peu, maintenant j’aimerais bien savoir ce qui se passe. Tu sembles…Complétement différent que l’homme que tu m’as montré même dans des pires jours. Par la Lune Noir…Parle !
Le dernier mot était un peu sec, mais Valkan ignorait ce qui se passait tout autant qu’il n’avait pas eu la prévenance d’alarmer Zéleph que Lexy n’était pas au courant. Il avait sacrifié énormément pour elle et en cet instant Valkan voyait Zéleph sous un nouveau jour. Il fronça les sourcils et jugea son ami. Il était différent, réellement différent. Qu’est ce qui avait pu se passer pour qu’il soit dans un tel état ?
Tu n’as pas fait ça Zéleph ? Par la tête de Jack, tu n’es pas aussi idiot n’est-ce pas ? Valkan fit les pas qui le séparaient du Seigneur des Deux Rîves et l’attrapa par le col. Les deux hommes savaient éperdument que le Sorcier ne gagnerait jamais en termes de force, mais la question n’était pas en cause. Si les actes de Valkan pouvaient paraître violents, ce n’était que de la colère et de l’inquiétude pour un ami. put*i* Zéleph ! Tu pues l’alcool ! Tu as recommencé à boire c’est ça ? Bon sang de bon soir ! Tu as intérêt à m’expliquer et vite ! Valkan n’y croyait pas et dans tout ça quelque chose le perturbait. Ça avait un arrière-gout étrange, il y avait des choses qui lui échappaient. Reportant son attention complète sur le Réprouvé. Il soupira et le relâcha. Qu’est ce qui t’arrive Zéleph ?
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Mar 13 Aoû 2013, 20:20


Zéleph sifflât entre ses dents, agacé. « Ne refait jamais ça. » La prochaine fois il lui briser les deux bras. De quel droit lui parlait-il ainsi ? Le jugeait-il seulement. Non, ce n’était certainement pas à Valkan de lui faire la leçon sur sa vie.  La boisson ? Quel rapport ? Il buvait, il avait toujours bue. Il ne se souvenait pas avoir arrêté, et il ne voyait pas pourquoi il le ferait. Boire lui était vital. Contrairement à beaucoup, l’alcool était son sa plus fidèle amie. Lors ce que tout c’était effondré autour de lui il ne lui avait resté que cela. Il avait tout perdu. Peut-être buvait-il trop, mais il était encore lucide, ou peut-être ce voilait-il la face, qu’importe il était assez énerver pour ne pas entendre raison de toute façon. « Peut-être qu’on ne se connait pas au fond. » Puise qu’il était si différent de l’homme qu’il avait connue, autant qu’il fasse une crois sur l’idée de retrouver cette hypothétique Zéleph. Le réprouvé n’était pas homme à s’épancher sur ses problèmes, sur ses sentiments ou toutes ces choses de femmes. On pouvait assimiler cela a de la pudeur, ou simplement a de la fierté mal placer. EN attendant Valkan pouvait bien en pensait ce qu’il voulait, voir son peuple mourir sous ses yeux, ses enfants bruler et à voir l’homme qu’il était supposer devenir, il pouvait facilement en devenir cynique et méchant. A qui la faute ? Pas à lui en tout cas, mais a la folie meurtrières des gens de son espèce. Valkan était un sorcier, en cela il était foncièrement mauvais et bien que Zéleph ai confiance en lui on ne pouvait pas dire que ce soit toujours l’amour fou. Il voulait en plus qu’il le félicite pour avoir copulé avec la pire mangeuse d’homme de ces terres. Elle avait déjà mangé son roi, et même si il ne l’aimer pas ça ne changer rien, son dernier mari avait mystérieusement disparut, elle abandonner ses gosses les uns après les autres et maintenant Valkan avait suivi. Il avait beau aimer le plaisir de la chair, il savait au moins ce maitriser devant ce genre de créatures.

« Tu sais quoi, je n’ai rien à faire ici. Occupe-toi de tes affaires, je ferais les miennes. » Osé le juger lui. Il aller commencer a réellement s’énerver si on continué à s’amuser à le prendre de haut et a l’enfoncer. Personne ne trouver donc qu’il c’était assez battue pour qu’on lui doivent un peu de respect ? Les sorciers entre autre devraient simplement s’écraser. Non il n’avait pas perdu la tête. Il avait simplement connue l’enfer et le cauchemar en quelque mois à peine, ne lui laissant aucun moment de répit dans son agonie. Peut-être c’était-il endurci, peut-être avait-il perdu son cœur, mais son esprit lui était plus fort encore. Faisant apparaitre ses ailes, le réprouvé était prêt à quitter la plage sans attendre, avant que tout cela ne finisse par réellement devenir inquiétant. Il était le Dovahkiin, tout son peuple l’appeler à chaque instant et le prier pour les aides. Il n’avait pas de temps à perdre en futilités.

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Mar 13 Aoû 2013, 21:02


Valkan était abasourdie. Tout son corps se crispa au fil des réactions successives du Réprouvé. Au fond de lui-même le sorcier avait l’intime conviction que quelque chose se passait et pourtant c’était le néant. L’incompréhension et peu à peu la colère prenait le pas sur tous ces sentiments. Serrant la mâchoire, il observa Zéleph. Ses prunelles dorées vibraient de quelque chose, de quelque chose d’étranges, de l’inquiétude et plus encore de la peur. Non pas que Valkan avait peur pour sa vie, Zéleph ne le tuerait pas. Il pourrait certainement lui faire mal, mais ne le tuerait pas. La peur qu’il ressentait c’était pour le Seigneur des Deux Rives. Il semblait si…Différent. Il y avait tant de choses, tellement d’éléments et Valkan semblait être en train de rêver. Il ignorait ce qui avait pu changer son ami, son frère comme cela, mais quel qu’en soit la cause il la trouverait et réglerait ça. Dans l’immédiat il devait de dire ce qui était. Des vérités lourdes de sens mais nécessaire, car après tout l’impression profonde qu’avait Valkan était que clairement Zéleph pourrait partir sans un regard en arrière. Prenant une profonde respiration, il jugea du regard Zéleph, durement. Ce n’était pas comme le regard d’un père, non c’était le regard de quelqu’un de fidèle qui voit un des êtres chers à son cœur devenir quelqu’un d’autre.
Tu sembles avoir oublié ce qui est Zél. Nous sommes tous deux gardiens l’un de l’autre et nous sommes assermentés par le sang. Ce que je fais ici ne peut pas forcément te plaire, mais je ne fais que m’inquiéter pour toi. J’ai protégé ma fille contre le monde et plus encore j’ai perdu le peu de ce qui me restait au cœur de cette foutu guerre. Pourquoi crois-tu que je veux le trône ? Je n’ai jamais voulus de ce pouvoir, jamais ! Je ne fais pas ça pour moi, je le fais parce que c’est nécessaire.  Et tout autant que je dois veiller sur toi, tu dois veiller sur moi. Si je deviens un nouveau Jun tu me tueras et si tu deviens complétement hanté, je dois faire en sorte de te montrer que tu as tords.
Il parlait d’un ton assuré et calme. Valkan devait ça à Zéleph et plus encore, la vérité et en soit c’était un peu un futur incertain qui était en cause.
Tu es une épave, pas le fier et grand Dovakhiin que j’ai connu. Peut-être qu’on ne se connait plus comme tu le dis. Cependant je peux te parler de l’homme que tu as été. Tu es Zéleph, le Seigneur des Deux Rives, l’un des hommes les plus droits et justes qu’il m’a été donné de connaître et plus encore tu n’es pas du genre à te parjurer et malgré ce qui te hante, au fond de moi j’ai la certitude que tu demeures un homme fidèle à tes amis. Je suis un Sorcier et en soit ça ne me rend pas digne de confiance, mais t’ai-je fait défaut à un seul moment Zéleph ? Ne t’ai-je jamais mentis ? Tu penses je ne sais quoi et en soit quoique tu penses, je ne te juges pas, je m’inquiète juste pour toi. Si tu dois m’en vouloir, qu’il en soit ainsi, mais tu ne pourras changer ça. J’ignore ce qui t’est arrivé et si tu ne veux pas en parler c’est ton choix, mais ne te comportes pas comme l’être dénué d’émotions que tu montres, pas avec moi, je te connais tout autant que tu me connais. Et ne vas surtout pas croire que nous ne partageons pas les mêmes cauchemars. Si tu ne veux pas de mon aide, je l’accepterais parce que je te respecte plus que tu ne le penses. Maintenant si tu ne veux pas me parler, soit, mais ne te cache par derrière ton masque avec moi.
Sa voix était clame et assurée, demeurant sur un ton neutre tous du long. Une sincérité flagrante était visible dans les prunelles sérieuses du Sorcier.
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Mar 13 Aoû 2013, 22:26


Zéleph était raide. Froisser, attaquer, affublé. Qu’elle était encore que cette pitié ? N’avait-il pas fini un peu ? Il était un guerrier, pas une femme avec qui il faut prendre des pincettes. Il n’avait pas non plus besoin d’une nourrice qui le garde. Il était son propre maitre et encore souverain de son esprit. Il voulait le pouvoir par ce que c’était nécessaire ? Et en quoi cela l’était ? Les sorciers étaient tous des pourritures. Au même titre que les démons ou les sangsues. Il exister des exceptions, et encore cela était juger comme déranger. Si Zéleph c’était écouter il aurait mis une bonne raclé a Valkan pour lui rappelait qui ici dominait l’autre. Il était pourtant bien loin de le vouloir, respectant encore trop son camarade pour lui faire cet affront. Que voulait-il au juste ? Zéleph avait tout perdu. Son monde c’était effondré, et aujourd’hui il ne vivait plus qu’à travers son peuple. Il n’était qu’une coquille vide cherchant en vains à sauver ceux qui pouvait l’être encore. C’était triste, douloureux, mais il était un Dovahkiin, le roi des êtres les plus combatif de ces terres, bien qu’aussi les plus malheureux. La souffrance était son pain quotidien. Non Valkan ne savait pas ce que c’était, personne ne savait ce que cela signifier d’être comme eux. Personne. Peut-être c’était-il forcer une carapace, mais lui savait que non. Il refuser l’idée. Il était ainsi par ce qu’on lui avait arraché le cœur pour l’écraser devant ses yeux. Oui, en lui subsistait un trou béant, le néant absolu. C’était due au événement ressent et plus encore. Il se sentait seul, affreusement seul et préférait encore tourner le dos aux peut qui lui rester plutôt que recommencer a tout perdre.

Il jaugea un instant le sorcier de bas en haut. Son ami semblait si loin de cette souffrance qui meurtrissait son corps. Cette torture incessante. Qu’importe ça vie, cela ne l’intéressait plu. Il avait fini de ce tourné vers les autre reclus sur lui-même et sa race. Se serrait eux contre tous, et rien d’autre. « Weii dir ! » dit-il froidement sachant pertinemment que même si Valkan ne parlait pas sa langue il comprendrait que cela n’avait rien d’amicale. Zéleph étendit ses grandes ailes blanches, et dans un élan il s’envola sans plus attendre dans les grandes hauteurs du ciel. Il n’avait plu cas rejoindre son peuple, ceux pourquoi il vouer sa vie et son âme. Ceux pourquoi il se rendait malade et mourrait chaque jour un peu plus. L’alcool, la fatigue, l’esprit meurtri. Zéleph avait perdu le peu de foie en ce monde qu’il avait. Ce battant jusqu’au bout pour croire encore cette fois il n’y avait plu rien pour le ramener a la vie, le réveiller d’entre les mort. Pour lui, il faisait déjà partie du passer.

*vas mourir

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Amères Retrouvaille [PV - Zéleph]

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