Le soir s'approchait à grand pas. Ne savant pas où demeurer, elle marcha le plus longtemps possible. Malgré qu'elle est quitté ses proches enterré sous terre, son cœur y est resté et ainsi que son âme. Elle avait tuer plus d'une cinquantaine de personnes sans avoir le moindre désir de le faire. À chaque moment qu'elle se rappelait d'un souvenir, une lame traversa son cœur. Une lame imaginaire, mais qui était le symbole de sa souffrance. Elle ne désirait qu'une chose: se faire pardonner de ces derniers. Comment parler à des morts quand on ne possède pas le don? Lysis était dans la lune. Une lune qui est vide comme le désert et froid comme l'eau de l'océan. Le froid commençait a gouverner la température. Lysis se couvrit de sa cape pour éviter d'avoir froid. Phoebus la suivait toujours grâce au moye des airs. Lysis ne voulait pas de se pouvoir. Elle se sentait en colère. Il ne lui causait que des ennuis les uns par dessus les autres. Il sortait quand bon lui semble. Lysis avait besoin de se contrôler, mais comment faire? Elle l'ignorait complètement. Puis, un vent rafala dans son visage ce qui faisait que son capuchon se levait. Lysis fit un geste de la main comme pour donner une giffle. Puis, le vent tombit comme une feuille morte. Elle venait encore d'utiliser son pouvoir. Lysis frustrée de la situation, cacha sa main et marcha plus rapidement. Elle voulait oublier son passé, oublier ce qui lui causait ce mal... Cela fait des années qu'elle souffre en solitaire et désire seulement d'être compris. Soudainement, Lysis fut éclairé par une source lumineuse inconnue. Qui pouvait bien être là? Lysis se leva la tête et se retrouve devant une chapelle. Cette chapelle ne lui était pas inconnue. Il s'agissait de la chapelle du magicien blanc de son village. Lysis était bouche bée. En ce qui concerne Phoebus, il ne savait pas comment réagir. Il sentait que le lieu n'était pas néfaste pour elle, mais qui pourrait la faire souffrir. Le petit oiseau sifflotant d'une facon triste à Lysis. Lysis Ventus leva la tête et fit un sourire:
- Ne t'inquiète pas, je ne crois pas que je sois arrivée à ce lieupour rien. J'ai quelque chose a règler avec mon passé et seule ce lieu pourra m'aider. Reste à l'extérieur, mon ami, et prévient moi s'il y a quoi que se soit d'anormal.
Lysis déposa sa douce main sur la porte et sentit le désespoir traverser son corps. Elle avala sa salive et poussa tranquillement la porte. La grande porte grinça comme s'il s'agissait d'une vieille grange. Lysis rentra d'un pas incertain, car elle ne voyait rien du tout. Le lieu était sombre et lugubre. Puis, devant elle, une bouge s'est allumée. Puis une série de bougies s'allum;erent une en arrière de l'autre. Ils se suivèrent à la chaîne pour, finalement révéler chaque facette de ce lieu. Il y avait plein de photos sur les mur. Chaque photo était entourée de 2 bougies. Lysis regarda les photos avec des grands yeux. Les larmes commencèrent à couler sur ses joues. Elle voyait la réalité en plein visage. Puis, des voix retentirent dans le lieu. Il s'agissait des voix douces d'enfants qui rient ou bien, de personnes qui parlent. Tout ces voix tourmentèrent Lysis. Ils s'agissaient des voix des villageois qu'elle avait tué. Lysis se mit à genou et se boucha les oreilles. Tout ça lui faisait mal au point tel que son âme en tremblait. Puis, le vent commença à grandir. Il était rendu sortit de son corps. Il tournoyait autour d'elle à une vitesse fulgurante. Lysis était rendu le cœur d'une mini-tornade. Lysis, accroupie sur elle-même, se dit tout bas:
- Non, je n'ai pas fait ça... Je n'ai pas fait ça... J'AI PAS VOULU!!!!
Puis, le vent grandit et commença à tout détruire la chapelle. Les vitres cassèrent en milles miettes sous l'impact du vent. Lysis tombit les deux mains sur le sol. Elle venait de libérer un poids immense pour le moment. Son corps avait besoin de libérer cette énergie qui la soulagea. Puis, Phoebus arriva par les carreaux cassés. Il avait l'air inquiet. Lysis leva la main et il alla s'assoir dessus son index. Lysis fit un sourire et se leva. La chapelle était dans un piteux état. Puis, la porte s'ouvrit. On dirait bien que Lysis a attiré de la compagnie...
Édit:
Lysis vit la porte s'ouvrir brusquement. Une rafale de vent se fit sentir dans l'établissement. Lysis cacha son visage pour faire dévier le vent qui venait vers elle. Est-ce qu'il y avait quelqu'un? On dirait bien que non. Lysis soupira. Elle avait rêvé on dirait bien. Lysis fit signe à Phoebus de venir sur elle. Le petit oiseau avait sûrement eu peur de quelque chose quand il était à l'extérieur. Il voulait simplement se sécuriser au près de sa maîtresse. Lysis regarda autour d'elle. Le lieu faisait désormais pitié. Lysis marcha vers la sortie. L'établissement ne voulait plus d'elle à la façon que la porte s'ouvrit. Lysis sortie tranquillement. L'extérieur n'avait pas changer contrairement à l'intérieur de l'établissement. Elle allait sûrement revenir un jour, mais d'ici là, elle laisserait la place tranquille. Le couple partir au loin...
****Fin****
