Aya ▬ ❝ Merci beaucoup. Je vous promets de revenir le plus tôt possible! Vous ne serez pas déçu de votre choix... Sur ce adieu... ❞

Elle se retourna et le quitta marchant droit devant elle sans un regard vers l’arrière. Alors qu’elle franchit la porte et que celle-ci se fermer sur elle l’esprit eu un petit sourire qui ce dessina sur ses fines lèvres bleuté.

Harôun ▬ ❝ Je n’en doute pas. ❞

Il avait murmuré ces quelques mots, dans une courte phrase, mais qui n’était pas sans grande conscience de la réalité. Harôun fixa la porte quelque instant a peine encore avant de ce retourné et de monté les marches jusqu’à son trône de marbre. Il s’assit et laissa son regard parcourir la pièce à nouveau vide. A nouveau, mais pour combien de temps encore ? Peut-être une éternité, peut-être pas. Il avait beau avoir les cartes en mains il n’avait pas le droit de regardé cela, c’était une règle, il devait attendre comme tous. C’était pourtant bien vide sans aucune présence. Il pouvait bien ce créer de la compagnie, mais quel intérêt au fond puise qu’ils étaient vide de vie réel ? Non il attendrait patiemment assit ici sur son trône le regard absent comme s’échappent de cette pièce. Harôun sortit ses cartes comme à la coutume et se mit à jouer pour se distraire grâce à ses cartes qu’il chérissait temps. Elles n’avaient aucun secret pour lui, il en était le maitre, le roi absolu. Aucune d’elle ne pouvait le trompé, c’était un vrais don et un plaisir pour lui de s’amuser avec, tel un enfant il faisait tout pour ce créer des jeux les plus loufoque les uns que les autres, des challenge, mais il réussissait toujours à gagner. On ne pouvait l’avoir, même lui, ne pouvait se tromper. Lors ce qu’il en avait marre de ses jeux, il se contenter de fermer les yeux et médité, sur tout et n’importe quoi mais sur tout sur le même sujet, les jeux. Harôun apprécier également le silence, et maintenant qu’il l’avait retrouvé il se laissa à l’écouter, satisfait de ce qu’il avait fait aujourd’hui et de la recrue qu’il avait reçue. C’était une bonne chose, une très bonne chose et cela l’avait mis de bonne humeur ce qui amélioré encore plus le résultat. Les autres esprit ne pouvaient qu’être jaloux d’une tel chose, et il en sourit satisfait de cette idée.